Appel à témoin : avez-vous des renseignements sur une « élégante femme népalaise en sari rose » ?
Elle semble avoir été vue par de très nombreux journalistes au congrès
annuel d’espéranto, à Białystok, sans qu’aucun ne puisse l’identifier
ni l’interviewer.
Cela s’est passé dans un couloir mal éclairé d’une salle d’exposition. Selon les témoins, elle aurait même échangé un joyeux « Saluton ! » avec un mystérieux « Allemand de haute taille », ce qui est déjà suspect, vous en conviendrez. Les indices matériels ont été masqués par les mégots, canettes, papiers gras et autres résidus humains de tout congrès.
On s’étonne du peu d’informations disponibles si on considère le nombre de compte-rendus de la scène qu’on a pu lire dans les médias :
Selon Yahoo et la dépêche de l’AFP :
« Białystok, Pologne (AFP) - Une élégante femme népalaise en sari rose et un Allemand de haute taille échangent un joyeux "saluton !" avant de se lancer dans une discussion animée en esperanto, une langue créée de toutes pièces pour favoriser l’entente entre les peuples. »
« Une élégante femme népalaise en sari rose et un Allemand de haute taille échangent un joyeux "saluton !" »
RTL-Info
« Une élégante femme népalaise en sari rose et un Allemand de haute taille échangent un joyeux "saluton !" avant de se lancer dans une discussion animée en espéranto, une langue créée de toutes pièces pour favoriser l’entente entre les peuples. »
(TV5 monde)
Le Parisien. L’envoyé spécial de l’Est-éclair, plus proche géographiquement de la Pologne, a lui aussi entendu le même mystérieux mot code « Saluton ! »
Libération Champagne (sobre) :
"Une élégante femme népalaise en sari rose"... etc.
Le Point, , Aujourd’hui.fr, France 123news, Actu.voilà, RTL-info, Actualité en ligne, tous sont unanimes sur la présence d‘une mystérieuse femme en sari rose au congrès de Białystok !
Ou suspecte-t-on un gang de voleurs à la tire qui utiliserait des complices vêtues de sari pour cacher leur butin, écumant les foires internationales comme celle de l’espéranto ?
Ou peut-être sommes-nous à l’aube d’une affaire d’espionnage : la femme au sari et l’Allemand de haute taille sont-ils de dangereux espions ayant furtivement échangé des informations sur l’Union européenne en se mêlant à la foule ?
La coopération internationale n’est pas un vain mot dans « les services », car l’info a circulé aussi vite qu’elle le méritait, on en parlait jusqu’en Angola .
Et jusqu’en Chine l’on s’interroge sur ce qui est en train de devenir l’affaire du sari de Bialystok :
China Daily
Mais peut-être nous sommes-nous emballés un peu vite... Ce journal anglophone chinois semble délaisser la piste de l’espionnage pour replacer cette rencontre dans le cadre de la communication internationale :
« "You have a lot of strong-minded people who’ve taken it from being a completely made-up language through to, 120 years later, hundreds of thousands of people speaking it," he said. "I can’t see a way for it to become the international language because English has filled that role already. But does it have a future as a language, a culture and an internationalist entity ? Yes it does !" »
Le Point aussi doute de la piste romanesque comme de l’affaire policière, pour privilégier l’espéranto, langue de communication internationale :
« Son importance est dans le contact avec les gens", estime la Népalaise Indu Devi Thapaliya (45 ans). C’est un Polonais qui a commencé à lui enseigner l’espéranto en 1990 dans la capitale népalaise Katmandou. »
« François Randin, 58 ans, qui vient de Suisse, un pays connu pour les malentendus entre germanophones, francophones et italophones, raconte qu’il est tombé amoureux de l’esperanto il y a 15 ans. (...)
Il se rappelle un voyage effectué à travers la Chine grâce à des contacts espérantistes. Avec l’anglais, "on restait dans les bases du petit-déjeuner... du café et du lait...sans aller au-delà ! Avec l’espéranto, je parle avec les Chinois comme je parle avec vous, je peux aller jusqu’à philosopher", dit-il. »
Peut-être les services spéciaux ont-ils malgré tout discrètement surveillé la rencontre annuelle de l’espéranto, cette langue facile qui permet aux citoyens du monde entier de communiquer – un peu trop bien et un peu trop facilement au gré des gouvernements... La mondialisation, oui, pour les "traders", le pétrole et les produits manufacturés chinois, mais pas pour la communication, l’information ou le débat citoyen - trop révolutionnaire...
Cette rencontre entre une femme en sari et un Allemand de haute taille n’était finalement qu’une discussion en espéranto entre citoyens du monde, comme il y en eut des milliers durant le congrès de Białystok, mais les journalistes y ont vu malice, qui n’ont d’autre expérience de la communication internationale qu’en anglais d’aéroport.
144 réactions à cet article
-
Oui, c’est bien qu’on parle de l’esperanto.
Suis trop flemmarde pour m’y mettre mais je suis certaine que ça doit être génialCitoyen du monde, esperantiste ya quand même des gens qui ont eu des idées formidables ...
-
Le coté amusant c’est la reprise au mot près presque de la dépêche AFP par les autres journaux, en france en résumé il n’existe qu’un seul journal.
Sinon le reste RAS.
-
Mais c’est une plaisanterie ou quoi ?!
Tient, un truc aussi intéressant que cet article : J’ai pas encore pris mon café, ce matin.-
Pourquoi un commentaire tel que tl ;dr - qui est parfaitement juste - doit-il être censuré ?
-
Parce que « vi ne estas lerta legi pli ol du vortoj »
-
Parce que tu est sur agoravox, et qu’agoravox tient plus d’une succursale du CSA que d’un réel média.
-
Et je te dis pas si chaque rédacteur pouvait faire replier les coms, on serait en dictature ici, quoiqu’avec certains je me dis que parfois...
-
Cher Krotkodildo, vous voudriez pouvoir poster quoi bon vous semble sans qu’on vous emmerde, vous voudriez pouvoir replier les commentaires à votre guise, voire les supprimer purement et simplement.
Comme je suis d’une gentillesse sans égale, je vous donne la solution : OUVREZ UN BLOG !
Vous verrez, c’est un peu désarçonnant quand, comme vous, on en est resté au minitel, mais je vous assure que c’est très pratique.
Typhon
-
Certains avancent des propos sans fondements, que c’est pas bien.
-
Hermès n’est pas clair, et pense avec son fondement.
Typhon
-
Ha la mauvaise foi, chez certains, leur tiens au corps.
-
Hermès n’est pas clair, et pense avec son fondement.
Merci, Captain Obvious. -
Rien n’est plus voluptueux pour un pas con que d’être pris pour un con par un con.
-
C’est faux, rien n’est plus voluptueux qu’une boisson glacée, voire une glace tout court, après 4 heures de marches à travers les reliefs alpins.
Croire que se moquer des plus cons que soi est le summum du plaisir dénote une vie et une cervelle particulièrement vides.
Typhon
-
Ha je vous rassure je ne me moque pas des cons, il n’y a besoin de le faire à leur place
-
Bon aller, puisque tout le monde poste des trucs inutiles, un peu de pub pour quelqu’un qui le mérite.
Bon, c’est en anglais, mais grâce à la merveilleuse valeur propédeutique de l’espéranto, vous connaissez cette langue comme votre poche, j’en suis sur.Typhon
-
Saluton krokodilo !
Article amusant qui me fait sourire. Peut-être qqun fera-t-il le pas d’aller voir comme langue est superbe ?Je la pratique depuis l’âge de 16ans avec beaucoup de plaisir.J’ai déjà écris ici-même que ma fille - à présent médecin - est allée apprendre l’acupuncture à l’Université Sinica de Pékin, où les cours étaient dispensés en .... espéranto à des étudiants d’une quinzaine de nationalités.Chez nous on se complait encore trop à ne voir que son nombril ou alors à lorgner sur celui des anglo-saxons.Mi salutas vin plej amike.-
Saluton Eugène ! Enfin quelqu’un de souriant et de bonne humeur !
-
Lui il est de bonne humeur parce qu’il a le droit de raconter sa vie sur le thread, alors que moi, quand je la raconte, on me censure.
8|================D
Typhon
-
Les journalistes professionels ne jugent bon de récrire une dépêche AFP que si la nouvelle est suffisamment importante pour que leurs petits cerveaux malfaisants donnent leur avis. Sans ça, si ça n’a aucun intérêt, mais que c’est juste pour remplir l’espace blanc entre deux pubs, Ctrl-C Ctrl-V, et voila.
Maintenant, comme je l’avais déjà dit, faire du journalisme, même amateur, pour parler de journalisme, c’est de la non-information.
Enfin, cet article est illisible, parce qu’il a été mis en forme n’importe comment, et qu’il manque de fond. Il ne parle littéralement de rien.
Typhon
-
Ça existe le journalisme professionnel ? Ha bon !
-
Et ouais. Et ils sont bien plus fort que Krokodilo, puisqu’ils pondent des articles tout aussi pourris, mais réussissent à les vendre. Probablement parce que ça ne parle pas d’espéranto...
Typhon
-
C’est toujours mieux que le linguisme amateur.
-
"Les journalistes professionels ne jugent bon de récrire une dépêche AFP que si la nouvelle est suffisamment importante pour que leurs petits cerveaux malfaisants donnent leur avis."
Je traduis à ma sauce, les journalistes professionnels réécrivent une dépêche AFP pour gagner un salaire. Leur but est de donner l’impression que leur article contient de nouvelles informations, mais on constate facilement que non rien de plus que la dépêche AFP qui elle même résume leur article. Donc salaud de journalistes tueurs d’arbres, ah mort !, ah mort !
-
Une critique d’un Dalek, n’est-ce pas un compliment ?
-
Ah, des attaques sur les avatars, ça faisait longtemps !
Cher Krokodilo, je le sais bien que vous n’avez rien à dire, ce n’est pas la peine d’insister si lourdement.
Typhon
-
Mieux vaut avatar que jamais !
-
Qu’est-ce qui t’arrive, Grand K ? T’es tout vert !
-
Hermès, c’est peut-être pour ça que la presse quotidienne est en difficulté, mais j’aime bien les dossiers et les articles fouillés des hebdomadaires.
-
c’est sur qu’il existe une grande difference entre hebdos et quotidiens, mais bon on trouve beaucoup d’erreurs dans les deux, des fois la volonté de chercher l’info correcte n’est pas toujours là. Je me souvient de mon ancien chef de service qui avait donné des infos pour le parisien pour la promotion d’un dépistage, l’article au final était très different par rapport à ce qu’il avait dit
-
Tout à fait. Et d’ailleurs, la ponctuation existe.
-
Effectivement, les journalistes pros sont nuls. Ça ne vous rend pas meilleur pour autant.
Typhon
-
Article intéressant : oui à 54%... Non mais je rêve...
-
Le dernier référendum prouve de manière irréfutable que la terre est plate.
Typhon
-
Krokodilo ne connait visiblement pas de répit. Il poste, il poste, il poste sans cesse ses articles superflus, tout à fait à leur place sur ce site pseudo-journalistique.
Ce dernier article, par exemple, est typique. Krokodilo n’y parle de rien. C’est du vent pur et simple. Où est l’information, là dedans ? Où est le propos ?
Il n’y en a pas. La lecture de cet article est à l’intelligence ce que la masturbation est à la reproduction, le plaisir en moins.
-
Curieux comme les messages de la bande à Asp se suivent et se ressemblent, Ahriman, Thor and co.
Et permettre à la bande à Asp de cracher son venin, n’est-ce pas utile à la société ? -
On vous dit que votre article ne porte sur rien et ne veut rien dire, et vous répondez en disant qu’on est méchant. Le fait d’être méchant n’étant pas incompatible avec le fait d’avoir raison, et vu que vous ne tentez même pas de défendre votre article, j’en conclus que nous avons raison, et même, je le prouve scientifiquement, puisque toutes les observations le corroborent.
Si vous avez un besoin pathologique de parler pour ne rien dire, allez voir un psychanalyste, ce sont des gens que l’ont paye pour s’écouter parler.
Typhon
-
Vous savez parfaitement qu’il y a longtemps que je ne réponds plus sérieusement à la bande à Asp et à ses pseudos.
Par ailleurs, pourquoi aller payer un psychanalyste puisque ici c’est gratuit ?Au fait, comme toujours, merci à la bande, Thor, Ahriman, Lymb et Jovitouriste de faire monter le compteur des messages, mais où sont passés les autres ? Grâce à votre zèle, un article qui ne « parle de rien » se voit propulsé à mi-hauteur de la page d’accueil ! -
Et permettre à la bande à Asp de cracher son venin, n’est-ce pas utile à la société ?
Utile au lulz, en tout cas.
Vous savez parfaitement qu’il y a longtemps que je ne réponds plus sérieusement à la bande à Asp et à ses pseudos.Parce que vous avez déjà répondu sérieusement à un commentaire ?
Par ailleurs, pourquoi aller payer un psychanalyste puisque ici c’est gratuit ?Au fait, comme toujours, merci à la bande, Thor, Ahriman, Lymb et Jovitouriste de faire monter le compteur des messages, mais où sont passés les autres ? Grâce à votre zèle, un article qui ne « parle de rien » se voit propulsé à mi-hauteur de la page d’accueil !Et vous en êtes fier, en plus ! Au moins, vous assumez la débilité intrinsèque du contenu de vos articles. C’est un progrès qu’il faut signaler, et je vous en félicite.
-
Grâce à votre zèle, un article qui ne « parle de rien » se voit propulsé à mi-hauteur de la page d’accueil !
Eh oui, aspeux à l’oeuvre :¤)))
-
Par ailleurs, pourquoi aller payer un psychanalyste puisque ici c’est gratuit ?Parce que le psychanalyste ne vous montrera jamais tout le mépris qu’il a pour vous, et ne vous fera jamais de remarque sur votre attitude de pleureuse lâche. Parce qu’ici, sous les déjections des allumés de votre espèce, c’est un site d’information, pas votre blog.
Typhon
-
Arcane 19 août 2009 15:24
A l’auteur,
Aucune information sur cette femme népalaise. Désolé.
Par contre, perdu petit chat couleur caramel aux Saintes-Marie-de- la - mer.
Il sait miauler en 2 langues ( a fait la cour avec la chatte de notre voisine de camping qui est allemande) et s’appelle Toffee.
Récompense à qui le retrouvera vivant.-
Raisonnement absurde basé sur une ignorance totale du sujet et des supputations non moins absurdes ! Alors, les malades qui appuient la thèse de Bénichou selon lequel personne ne parle l’espéranto, et qui sont obsédés le fait que, contrairement à ce qu’il affirme, cette langue prend son essor, devraient se faire soigner.
De toutes façons, quoi que tu écrives, ils se bouchent les yeux. Ce qu’ils voudraient, c’est une censure de l’espéranto. D’ailleurs il faut pas se creuser longtemps la cervelle pour voir que tout ça est piloté par la nullité des nullités car cet article, qui date de trois semaines, était oublié depuis déjà longtemps.
Il a disparu depuis longtemps de la une et personne ne le visite autrement que par pur hasard. Il est donc inutile de perdre son temps et, le mieux, c’est de donner des informations avec des références car, de leur côté, c’est le zéro absolu., Il est évident que, au départ, l’anglais a au moins un atout que l’espéranto n’a pas : tout le monde croit qu’il est non seulement utile, nécessaire, indispensable, qu’il n’est point de salut sans lui, etc.
Tout le monde sait qu’il existe alors que le pourcentage de personnes qui ont connaissance de l’existence de l’espéranto est peu élevé, même dans les milieux intellectuels. Ce n’est motivant d’apprendre une langue que lorsque l’on sait qu’elle peut être utile, qu’elle peut apporter bien des satisfactions, que ce n’est pas un simple passe-temps, qu’elle a un usage professionnel répandu (ce qui, il faut le reconnaître, est encore un handicap pour l’espéranto, mais ce n’est pas une situation définitive).
J’ai vu pas mal de cas de personnes qui ne s’y sont mises qu’à la retraite et qui ont toutes regretté de ne pas avoir pu l’apprendre dès l’école. Le professeur Molimard, déjà mentionné, est l’un de ces cas. Raison de plus pour l’apprendre très jeune. étudier De plus, de nombreuses réponses sont déjà accessibles à qui veut bien chercher :
http://www.ilovelanguages.com/...
http://www.esperanto.qc.ca/en/...
http://www.esperanto.net/veb/f...
http://vortareto.free.fr/argum...
http://www.esperanto.net/veb/f...
http://www.geocities.com/skolt...
http://www.globidar.org/globe/...
http://esperanto-panorama.net/...
http://claudepiron.free.fr/ind...
etc.Il y a une certaine parenté entre l’espéranto et le français du fait que les deux langues ont une grande quantité de racines communes issues du latin. Cependant, par d’autres caractéristiques, il a beaucoup de similitudes avec d’autres familles de langues, si bien que les locuteurs de toutes les langues du monde ont l’impression de trouver plus ou moins de la leur dans l’espéranto. Un Chinois découvre un trait de la sienne dans l’invariabilité des éléments de base de l’espéranto. Un Japonais, un Coréen, un Hongrois, un Turc ou un Finlandais sont déjà habitués au système de formation des mots par agglutination, c’est-à-dire par la juxtaposition de radicaux et d’affixes. s’offrant à nous.
-
Grâce à votre zèle, un article qui ne « parle de rien » se voit propulsé à mi-hauteur de la page d’accueil !
C’est toujours mieux que de propulser en une un article rempli de conneries conspirationnistes ou une apologie de la médecine douce.
Au moins, les espérantistes sont des () inoffensifs et peu contagieux.
Typhon
-
italiasempre 20 août 2009 00:05Saluton Krocodilo,
Vidu ci tion !Ha, virinoj potenco... :)-
Salue ton crocodile.
Vide ci tient !
Ha, urinoir potence...
:P
Typhon
-
-
Sacrifier l’intelligibilité pour la concision n’a jamais été une preuve de finesse.
Typhon
-
italiasempre 20 août 2009 01:52Hum, les propos lapidaires non plus.
Monsieur Ahriman-Typhon, s’il vous plait, détendez-vous. -
Je ne suis pas spécialement tendu. Pourquoi dites-vous cela ?
-
italiasempre 20 août 2009 02:03Euh, parce que je vous lis ?
Mais si c’est juste une -fausse- impression, excellent, tant mieux. -
Saluton Krocodilo,
Vidu ci tion !Ha, virinoj potenco... :)
:) Q.E.D.D’ailleurs
R.N.Z.B.N.A.M. Djü armesk Kjröokuddÿlo Vll brz mlàn prövêsk paar bräun trulâw ? :)))))))))parenthèse)))
-
Saluton, kion mi devas vidi ?
Si tu polémiques avec les Daleks (avatar d’Ahriman), tu n’as pas fini, ils adorent la castagne... -
« Sacrifier l’intelligibilité pour la concision n’a jamais été une preuve de finesse. »
Tiens ce message doit pouvoir aussi s’adresser à jovi.
-
Dankon al italiasempre, kiu disvolviĝis al mi je QED, kiun mi ne konis
-
italiasempre 20 août 2009 11:56Ne gravas -apparemment les parenthèses ont le don incompréhensible d’exciter monsieur Jovitourtiste, alors, Krokodilo, visualise un beau smiley souriant -
Dans ce cas précis il ne s’agit même pas de castagne mais d’une tentative lamentable d’emmerder son monde.Heureusement, je suis d’un naturel conciliant -Hi hi-.Je te souhaite une excellente journée, Krokodilo. -
italiasempre 20 août 2009 12:05Hermes
Ne dankinde.Kiel oni diras tion en Esperanto ?Très bonne journée aussi :) -
Ce ne sont pas les parenthèses qui sont en cause, mais les smileys. Les smileys sont la preuve d’une expression déficiente et pauvre, incapable de faire passer la moindre émotion à travers des tournures de phrases.
On me dira « mais comment savoir qu’un message est ironique sans smileys ? ». Ben, utilise ton cerveau, Luke ! En plus, l’ironie perd tout son sel si on explique que c’est de l’ironie à tout le monde. Au contraire, si on ne le fait pas, il y aura toujours un débile pour croire que c’est sérieux, ce qui est très amusant à voir.
Typhon
-
italiasempre 20 août 2009 12:48Vous savez ce qui est encore plus amusant à voir ?
L’autoplussage.Ca c’est carrément tordant, alors merci Ahriman-Typhon pour ce :) pour moi matinal. -
Vous avez l’air de trouver ça encore plus amusant à faire, visiblement. De toute façon, sur un site bien tenu, y a pas de plussage, y a pas de moinssage. Je suis un génie, si ça ne vous convient pas, tant pis pour vous.
Typhon
-
ha oui on a vu votre intelligence à l’oeuvre, il y en tellement à dire.
-
la preuve : vous lui avez déjà auparavant répondu avec un smileys ainsi que sous le message de eugène. Ha, ça va pas plaire à jovi tout ça.
-
« ha oui on a vu votre intelligence à l’oeuvre, il y en tellement à dire. »
Hummm... Que voila une répartie d’une grande finesse ! D’une originalité hors du commun !
Messieurs, Oscar Wilde trouve ici son digne successeur ! -
vous lui avez déjà auparavant répondu avec un smiley
Excusez moi, hein, j’étais en train de générer du contenu pour mon merveilleux blog. Pour répondre à votre phrase, je me suis juste contenté de traduire ses propos, et j’ai traduit le smiley espéranto en smiley français.
ainsi que sous le message de eugène.C’est pas un smiley, c’est la preuve que dieu existe. Mais votre petit cerveau ne peut rien y comprendre.
Et avant qu’on ne m’emmerde sur ce terrain, je signale que j’assume tout à fait ma mauvaise foi, parce que moi, contrairement à l’inverti vert, je suis doté de deux gonades en état de fonctionnement.
Typhon
-
Dankon al italiasempre, kiu disvolviĝis al mi je QED, kiun mi ne konis
Ouais, et puis, comme on dit par chez nous :
Hrêsköģir kzhmür Vjöahseèrçh ghtêrt küpaz ezh Pührt.
Fherpük Ûxchoz, Œrzcÿhc az Märţhôlkõmd tüyrt.
Bhörtihg ezh ojkàmlr, pük Æjspêèrhentõj ghöl. -
dumme mann er mannen som sa en dum
-
Ben tu vois Hermes, là je ne suis pas tout à fait d’accord avec toi. Globalement, c’est une appréciation assez juste, mais sur le détail, il faut quand même reconnaître que Ezh èjhrof az Zskêlhôzs möŕtaq Mâazşönê, Ezhi êkhroph, az Zkêljoss ùghriàm Sänhrèn.
-
You shake my nerves and you rattle my brain
Too much love drives a man insane
You broke my will, oh what a thrill
Goodness gracious great balls of fire
[band joins]
I learned to love all of Hollywood money
You came along and you moved me honey
I changed my mind, looking fine
Goodness gracious great balls of fire
You kissed me baba, woo.....it feels good
Hold me baba, learn to let me love you like a lover should
Your fine, so kind
I’m a nervous world that your mine mine mine mine-ine
I cut my nails and I quiver my thumb
I’m really nervous but it sure is fun
Come on baba, you drive me crazy
Goodness gracious great balls of fire
[piano solo]
Well kiss me baba, woo-oooooo....it feels good
Hold me baba
I want to love you like a lover should
Your fine, so kind
I got this world that your mine mine mine mine-ine
I cut my nails and I quiver my thumb
I’m real nervous ’cause it sure is fun
Come on baba, you drive me crazy
Goodness gracious great balls of fire
[guitar solo]
[piano solo]
[guitar and piano jam]
I say goodness gracious great balls of fire...oooh..Jerry Lee Lewis
-
Tout commentaire en ANGLAIS sur un article de Krokodilo ne mérite qu’une seule et unique réponse :
In b4 404.
-
Pas du tout, c’est « In B4 anastasie »
Typhon
-
Au fait, pour changer, voici une remarque tout à fait en rapport avec l’article et son contenu : TL ;DR.
-
Je peux affirmer que l’on peut parler en anglais à Krokodilo et qu’il ne se fâche pas. Tout dépend du fonds et de la forme.
Je reprendrai le commentaire d’Hermès. Il suffit de le répéter souvent, et même une information erronée finit par être reprise par wikipédia et devenir la vérité absolue (et cela preuve à l’appui). La rencontre entre cette népalaise en sari rose (charmante et gracile), et ce grand allemand (aux yeux bleus et à la machoire carrée) ne changera peut-être pas le cours de l’histoire, mais elle illustrera l’absence de pluralité des médias.
Une question quand même : comment sait-on que cette femme était népalaise ?
Si j’ai une autre question, je n’hésiterai pas à la poser, ne serait-ce que pour faire monter l’article en haut de page. Smiley, Smiley, Smiley.-
C’est sûrement très intéressant, mais je goûte les langues comme on aime le vin : issues d’une histoire comme d’un terroir plus ou moins ensoleillé, plus ou moins âpre, plus ou moins calcaire ; portant robe comme culture ; goût comme littérature et usage comme familiarité.
J’assume ma mauvaise foi : l’esperanto ne résonne pas à mon oreille comme la musique des autres langues, forgées étrangement, humaine folie et humaines en leurs contradictions mêmes, leurs variations, leurs illogismes.
Je ne veux pas plus d’une langue universelle, serait-elle pratique, que d’une culture universelle. -
Je goûte les langues comme j’aime les vins. Pas plus qu’une culture universelle dont la qualité principale serait la facilité d’accès je ne souhaite ni n’approuve une langue universelle dont ni l’histoire, ni la robe ni le goût au fond du palais ou sur les papilles ne font vibrer mon coeur, ma curiosité et mon âme autant que toutes les langues que j’aime apprendre, quand bien même elles sont difficiles, et celles que je tente de prononcer en voyage, quand bien même je serais fautive.
-
L’apprentissage de l’espéranto n’est absolument pas en contradiction avec celui des autres langues, y compris de l’anglais, au contraire, il le favorise. Une simple étude des bases de l’espéranto ne demande pourtant pas des facultés intellectuelles surhumaines. Comme la plupart des visiteurs sont mentalement et intellectuellement plus évolués, plus honnêtes aussi, voici quelques précisions qui leur seront utiles.
Le surréalisme, c’est de voir tant de gens sacrifier un temps fou, de l’argent et des efforts injustifiés pour pouvoir communiquer plutôt mal que bien quand un moyen plus adéquat, plus facile d’accès et surtout plus équitable, existe. Le surréalisme, c’est de voir à quel point des gens, qui n’ont pas pourtant pas fréquenté des écoles parmi les plus minables, peuvent apparaître comme frappés d’idiotie lorsqu’ils s’efforcent de parler l’anglais.
Je reconnais que c’est du gâchis de temps et de forces, quoique, à mon avis, il n’y a pas lieu de laisser souiller une idée. Pour ma part, je me suis efforcé, autant que possible, quand j’en avais le temps, de considérer ça comme une opportunité pour apporter des informations complémentaires et des références vérifiables, ce qui était totalement absent de l’autre côté. La pression du travail m’a souvent contraint, c’est vrai, à être expéditif.
Je ne demande à personne de me croire, mais je donne à chacun la possibilité de découvrir des choses très souvent ignorées du grand public et même de pas mal d’espérantistes.
C’est particulièrement significatif que le BC ait reçu, en 1971-72, avant l’entrée de la Grande-Bretagne dans le Marché Commun (le 1er janvier 1973), 16% de crédits supplémentaires du gouvernement britannique et ceci alors que tout avait déjà été défini dans le rapport annuel du British Council , année 1968-69, page 12 : Il y a un élément de commercialité dissimulé dans chaque professeur, livre, revue, film, programme télévisé, de langue anglaise envoyés au delà des mers
Si alors nous sommes en train de tirer un avantage politique, commercial et culturel de l’usage mondial de l’anglais, que faisons-nous pour maintenir cette position ?Eh bien, non seulement ils la maintiennent, mais ils pratiquent la politique du coucou : les autres langues hors du nid !
Le niveau de facilité de l’espéranto, c’est sur le terrain que ça se mesure et se constate, Quoi que l’on en dise, la question de l’espéranto est toujours d’actualité. Polyglotte, licencié de grec et de latin, agrégé en langues modernes, lecteur à l’Université d’Uppsala, en Suède puis professeur au Lycée Henri IV et à l’École des Sciences Politiques à partir de 1893, Théophile Cart, avait adressé un rapport au ministre de l’Instruction Publique, le 3 septembre 1906, voici donc bientôt un siècle.
Il attirait l’attention des autorités de l’éducation en des termes que l’on pourrait fort bien transposer à la situation actuelle :
“Le malaise résultant d’un tel état de choses est si réel, qu’on s’efforce d’y apporter remède, en tous pays, par la place, de plus en plus grande, qu’on réserve, dans l’enseignement public, aux langues vivantes, alors que, d’autre part, la somme des connaissances générales qu’il convient d’acquérir, va, elle aussi, en augmentant.Il n’y a aucune témérité à prédire que la solution par l’étude des langues étrangères, toujours plus nombreuses et mieux apprises, aboutira à la faillite. Vainement on s’efforce de la retarder par de fréquents remaniements de méthodes. Elle est fatale, parce que la mémoire a ses limites. Le nombre de personnes capables d’apprendre ‘pratiquement’ deux ou trois langues étrangères, avec tant d’autres choses, en outre est infime ; or c’est à un nombre d’hommes continuellement croissant qu’il importe de communiquer avec des nations de langues différentes, de plus en plus nombreuses.“
En plus d’être une langue, l’espéranto est une école de logique et aussi une école d’humanisme et de civisme sans frontières, ce dont le monde a le plus besoin. Il peut constituer la base d’un enseignement d’orientation linguistique et d’un enseignement préparatoire à celui des autres langues. Un grand nom de la recherche pédagogique, Pierre Bovet, fut parmi les premiers à souhaiter son introduction dans l’enseignement : L’espéranto est un des meilleurs moyens de faire trouver, aux enfants, un intérêt très vif aux exercices, si souvent fastidieux, des cours de langues.
Quand il abordera l’étude des langues étrangères, cet assouplissement du sens linguistique sera d’une valeur inestimable. L’espéranto se plaçant à mi-chemin entre le français et l’allemand, par exemple, ou le latin, permettra en les fractionnant de réduire considérablement les difficultés. Aucun espérantiste, à ma connaissance ne conteste la place de l’anglais par le nombre d’usagers natif ou non.
Par contre toute personne qui a étudié et pratiqué les deux langues sait pertinemment que l’investissement pour la première est excessif par rapport au service apporté et que l’on pourrait atteindre beaucoup mieux à moins cher. .
-
Typhon
-
Au fait, Annie, ton message ne répond pas à une question fondamentale : aime-tu les sucettes ?
Typhon
-
Je ne sais pas, Jovitouriste. J’ai appris l’allemand en première langue. Je voulais apprendre le russe mais ça n’existait pas dans mon patelin. Le latin était un enjeu d’ordre politique, et j’en fus dégoûtée par un professeur qui méprisait mes parents.
Voyez-vous, pour moi les langues, je le redis, embrassent érotiquement la mienne. Pas celle-ci. -
A cosmic, j’ai un peu de mal à saisir votre propos. Mais je vais tenter d’y répondre, et donc je redis ici ce que j’ais déjà exprimé ailleurs, je ne pense pas qu’une langue universelle existera toute langue peut mourir, naitre évoluer, fusionner avec une autre, donner des langues filles, se dialectiser, etc et même malgré nos technologies modernes nous permettant de communiquer immédiatement de manière internationale cela continue et je pense continuera, les exemples sont monbreux et les multiples formes de français et d’anglais sont là pour nous le montrer sans erreur.
-
@Cosmic,
Heureuse de voir que vous avez délaissé des sujets plus polémiques pour l’espéranto. J’apprécie aussi les bons vins, mais les articiles de Krokodilo ont aussi l’intérêt d’aborder la place de l’anglais et sa suprémacie dans les échanges internationaux ou les programmes scolaires. Un sujet qui est loin de me laisser indifférente parce que je suis la première à regretter non seulement une « batardisation » du français dans la presse, les médias et dans certains secteurs d’activité, mais aussi le fait que l’anglais a permis d’introduire des concepts qui auraient été déclarés totalement étrangers à l’esprit français s’ils avaient été traduits du départ. Je fais surtout référence au « management » et à la structuration actuelle du travail en France. -
Une question fondamentale mais qui m’a été si souvent posée. En fait je ne me souviens plus de la réponse
-
Hermès,
Je peux entendre que, politiquement, l’espéranto représente une alternative à l’enseignement de l’anglais, enfin, de je ne sais quel sabir anglo-américain qui serait, à tort, considéré comme majoritaire (quid de l’espagnol sur le Grand Continent ? quid du mandarin ?).
Je lis, de temps à autre, les débats qui opposent ses sectateurs à ses détracteurs.
Je n’ai pas étudié la question, et ne le ferai sans doute jamais, préoccupée par d’autres et n’ayant pas la prétention de couvrir tous les sujets.
Je dis juste que pour moi, cette langue neuve, artificielle, bien que porteuse d’un idéal que je peux comprendre, est sans sel et sans couleur, et que ses variations sonores ne charment ni mon tympan, ni mon marteau :) -
Concernant votre approche de l’esperanto, je vous dirais que les gouts et les couleurs cela ne se discute pas, car cela est du ressort du subjectif. Mais je pense qu’y gouter un peu ne peut pas faire de mal, et bien au contraire ne pas vouloir y gouter c’est refuser d’affronter une part de réalité qui dérange, en résumé des préjugés que nous possédons tous. Bien à vous.
-
Bonsoir Annie :)
Je déplore autant que vous, enfin je crois le comprendre à vous lire ci-dessus, que la langue française comme tant d’autres langues soit menacée de disparition, malmenée, considérée trop complexe, pénible, chiante, pleine de subtilités et d’exceptions capricieuses. Mais pour moi, l’histoire de l’espéranto et de l’anglais, c’est un peu celle du calife qui voulait être calife à la place du calife... -
Excusez moi cosmic, il semble que nos propos se croisent, donc il m’apparait du fait de votre dernier message que vous ayez appris cette langue. Donc veuiIlez ne prendre en compte que la première partie de mon dernier message. Bien à vous.
-
Cosmic dancer, justement, il y largement assez de langues complexes, truffées de particularismes pour satisfaire n’importe quel amateur de langues, même le plus intelligent. Par contre, d’outil de communication entre les humains, point. Ou un vague anglais d’aéroport maîtrisé par une infime partie de l’humanité malgré des efforts financiers et des investissements scolaires énormes depuis un siècle. Seuls les énormes intérêts politico-économiques en jeu empêchent de dresser un constat d’échec et de réfléchir sereinement au problème.
On pourrait comparer ça aux cargos : les marchandises de Chine, dont vous avez probablement achaté de nombreux exemplaires, voyagent par porte-containers, et tous les armateurs du monde utilisent les mêmes cargos, la même technologie, les mêmes règles de navigation.De la même façon, pour que les idées circulent mondialement, et pour que les débats soient aussi mondialisés que le transport maritime, il faut à l’évidence une langue de communication qui nous soit commune : qui peut sérieusement penser que dans quelques siècles l’humanité ne se comprendra toujours pas ? Apprendre l’espéranto n’empêche nullement d’étudier l’anglais, le chinois ou l’italien, quand on en a le goût ou l’utilité. -
Hermès
Marrant, ce pseudo :)
Je vous avais répondu mais ça n’est pas paru et pour lors je dois m’en tenir là. Alors, peut-être, à une prochaine fois.
Cordialement, en reconnaissance de votre accueil. -
Il faut dire aussi que si Jovitouriste cessait son habituel parasitage par l’envoi de longs argumentaires décalés de la discussion et piochés ailleurs, on s’y retrouverait mieux.
-
Peut-être mais ce n’est pas à mon avis une question anodine. L’anglais évolue très rapidement sans jamais perdre ses repères historiques. Je ne suis pas sure que le français soit capable de le faire, mais c’est justement ce manque de flexibilité qui en fait aussi une langue aussi intéressante.
-
Krokodilo,
Non, je n’achète pas chinois même quand je n’ai pas un rond, j’aime trop le savoir-faire, j’aime trop l’amour, j’aime trop la vie pour m’attacher à, matérielles ou non, des choses de peu de bien, avec ou sans capitale initiale.
J’entends bien que l’apprentissage de l’espéranto n’interdit pas celui des autres langues, mais Krokodilo, pardonnez mon absence de savoir et ma mauvaise foi assumée, ce goût, ce goût de l’effort, qui loin d’empêcher la communication la rend si émouvante entre personnes de langues différentes qui échangeront comme elles le peuvent, pas nécessairement en anglais ni nécesairement en espéranto, ce goût de la difficulté, de l’effort, peut-être culturellement judéo-chrétien, et quoi qu’il en soit reconnaissant ce que notre époque se targue de défenre, à savoir les fameuses « différences », me convient comme un signe, oui, je le redis, amoureux :)
Tout l’inverse d’une tentation globaliste et facile. -
Pardon pour les fautes, il commence à se faire tard.
-
parasitage par l’envoi de longs argumentaires..
FAIL : ce sont des inargumentaires générés automatiquement.
Apprendre l’espéranto n’empêche nullement d’étudier l’anglais, le chinois ou l’italien, quand on en a le goût ou l’utilité.Sauf que l’espéranto n’a aucune utilité. En outre, le temps des mortels est compté, et je constate que peu semblent vouloir étudier l’espéranto. Le problème étant qu’une langue, ça sert à communiquer. Si tu es le seul à connaitre une langue, ben, t’as l’air con.
Typhon
-
Ce n’était pas une critique mais un exemple : je pense qu’il est extrêmement difficile de nos jours de n’avoir rien acheté produit en Chine !
Apprendre l’espéranto, bien l’aprendre, n’est en rien céder à la facilité, c’est faire le choix d’une langue facile afin de pouvoir arriver à un bon niveau (sans les contraintes pour faire de même en anglais) et parvenir à une communication internationale de qualité. En ce moment, je lis un Maigret en espéranto, est-ce le goût du moindre effort ?En outre, convaincre de cela n’est pas non plus refuser tout effort ! -
Ben si, Krokodilo, comme on dit dans les polars.
Même un putain de T.shirt à deux balles, je ne l’achète pas. Et je vous mets au défi de trouver dans ce que je possède des articles « made in China ». Pas difficile, je suis très lourde et principalement de cartons de livres. -
Vous possédez un ordinateur, Cosmic Dancer. Je doute fortement qu’il n’y ait aucun composant chinois dedans.
Typhon
-
Krokodilo,
Votre idéal de communication internationale, quel est-il ? Vous savez, il ne me fut jusqu’à ces jours, pas spécialement difficile de communiquer « internationalement » sans nécessiter cette langue que, c’est ainsi, je considère sans parfum, sans poids... Et sans vouloir offenser votre enthousiasme que je respecte. -
Je sais pas, Typhon. Je suis soumise à mon Mac.
-
Et les piles ? Ceci dit, je botte en touche, je ne vois pas l’intérêt d’enquêter sur vos achats, les innombrables objets manufacturés chinois n’étant qu’un exemple de la mondialisation.
-
Moi non plus, Krokodilo :)
Sur ce, je sors. A+, en langage simple :) -
Vous signez Typhon ? C’est pas fatigant à la longue de gérer tous ces pseudos ? -
Ecoutez, uraniste de bas étage, je n’ai pas changé de compte, j’ai juste fait espérantulo, quand il s’est travesti en Hermès. Le fait de signer sous mon vrai pseudo est une marque d’honnêteté, qui devrait vous permettre de suivre.
J’ai eu les comptes suivants depuis mon arrivée :
Qual
Nossamelueugat
Etupetsenokork
Mepetulenutsemerkolidorkol
Xebeche.
Borntofrag.Ce dernier compte a changé de nom plusieurs fois. (Winkiesman Ahriman)
La dénomination actuelle m’est venue après avoir constaté plus haut que vous me preniez pour votre psy.
Si vous vous demandez qui est qui, je vous suggère de regarder en bas des messages, vous y verrez que je signe toujours de la même manière :
Typhon
-
Et non, cela n’a rien de fatiguant de gérer tout ses pseudos, car d’une part, contrairement à notre ami vendredi, je n’en utilise qu’un seul à la fois, et d’autre part, j’ai une mémoire d’éléphant, contrairement à vous.
Typhon
-
Cosmic Dancer,
Point n’est besoin de botter en touche !
Grand K, un mac n’a pas besoin de piles, seulement du secteur.
Le l’électricité qui provient du secteur, grand bien nous fasse, est encore Française (contrairement à l’Allemagne, par exemple, pauvre d’eux). -
Ben quoi ? En Allemagne aussi, l’électricité est française.
Typhon
-
En fait, je pense exactement le contraire de Cosmic dancer : l’homme est une seule espèce, et à la vitesse de la mondialisation, particulièrement dans le domaine de la communication (Internet, Wikipedia, etc.) je trouve illogique que les hommes n’aient aucun moyen de communiquer entre eux. La traduction automatique est à la préhistoire de sa vie, malgré tous les mensonges, et l’anglais a échoué malgré des investissements pharamineux, pourtant le besoin d’une langue commune est criant, sinon pourquoi l’aviation aurait-elle imposé l’anglais (très mauvais « choix » d’aileurs) ? Ainsi que peu ou prou de nombreux domaines des sciences, et l’Union européenne officieusement et dans l’inavoué, la honte ?
Le langage est une des inventions humaines les plus étonnantes, celle qui nous différencie radicalement des animaux, même s’ils communiquent, car notre langage sophistiqué permet la conservation et la transmission du savoir. La mondialisation et le langage doivent forcément se rencontrer un jour, confluer vers une solution pratique.-
L’homme est une seule espèce, bien sûr, ai-je jamais prétendu le contraire ? Mais une espèce infiniment variée, infiniment pénible, infiniment complexe, infiniment passionnante et méritant mieux qu’un paradis totalitaire.
-
L’anglais n’a pas échoué, et le besoin d’une langue commune est beaucoup moins criant que vous ne le dites. Les domaines qui ont besoin d’une langue commune ont adopté l’anglais, les domaines qui ne l’ont pas fait se passent fort bien d’une langue commune.
« La mondialisation et le langage doivent forcément se rencontrer un jour, confluer vers une solution pratique. »
C’est ce qu’elles ont fait. Le fait que vous soyez anglophobes vous enfonce dans le déni, mais vous aurez beau servir toutes sortes de philosophie pour prouver que la terre est fixe et plate, il n’en reste pas moins que c’est une sphère en orbite autour d’une étoile.
Typhon
-
La France est-elle un paradis totalitaire parce que tous les Français parlent et écrivent le français, tout en gardant vivantes (plus ou moins) de nombreuses langues régionales ? Certains régionalistes d’ailleurs le pensent...
Cette question de langue internationale n’est que la même situation à l’échelle mondiale, c’est un simple problème pratique qui ne mérite pas qu’on utilise des arguments aussi forts et aussi passionnels - vioire irrationels - que la dictature et le paradis totalitaire.Il y a tellement d’émotion liée à notre langue natale, celle de l’enfance, de l’amour, du savoir, qu’on a souvent du mal à en parler comme d’un outil : on choisit un outil sur des critères précis, efficacité, rapport qualité-prix, etc.J’ajoute que depuis quelques années, les profs eux-mêmes utilisent l’expression « anglais de communication », autrefois sacrilège, car un prof enseigne une langue et une culture. Donc, cette idée de communication mondiale progresse dans les esprits. -
La France est-elle un paradis totalitaire parce que tous les Français parlent et écrivent le français, tout en gardant vivantes (plus ou moins) de nombreuses langues régionales ? Certains régionalistes d’ailleurs le pensent...
Ben oui. Figurez vous que les Français, ils n’ont pas décidé dans la paix et la concorde de parler une seule langue française youkaïdiaïda.
C’est le pouvoir central de Paris qui a décidé que le français de Paris était LE français, et qu’il fallait d’urgence éliminer les patois pour unifier la france, et détruire toute velléités locales qui auraient pu conduire à la désunion. C’est un véritable rouleau compresseur linguistique qui s’est abattu sur la France avec l’école républicaine, gratuite, laïque, et obligatoire.
Vous qui pleurnichez sur les trois phrases anglaises que les marmots apprennent en fin de primaire, vous auriez été horrifiés de voir cela.Faut vraiment être ignorant comme un krokodilo pour ne pas savoir comment les français en sont arrivés à ne parler qu’une seule et même langue.
Typhon
-
Toujours aussi fort pour attribuer des pensées aux autres. Je n’ai jamais dit que ça c’était fait sans violence, seulement que c’était bien pratique aujourd’hui.
L’anglais est justement une violence, car imposé aux enfants et aux parents, alors que l’espéranto, s’il était soutenu, proposé voire choisi par les européens pour l’UE serait pour la première fois le choix raisonné et l’abandon de la guerre des langues. On peut même adopter une démarche scientifique en faisant des tests comparatifs, vitesse d’apprentissage, fiabilité dans la traduction et rétrotraduction, etc. Là encore, ce serait la première fois qu’on quitterait la voie de la violence politique, voire physique comme vous le rappelez. -
Oui, mais notre point de désaccord, c’est de penser que l’anglais, est, ou non, imposé.
Je maintiens, moi, que l’anglais est enseigné aux enfants avec l’accord des parents, et que l’espéranto, s’il était proposé comme alternative aux parents, serait peut-être enseigné à plus d’enfants que maintenant mais aurait probablement moins de succès que l’allemand.
Typhon
-
Moins de succès ici, en France, que l’allemand. Car dans les lycées allemands, polonais ou portugais, pensez-vous que la question serait la même ? Moi non.
-
Et ce, en pensant à l’Europe seulement. En faisant fi des langues du continent indien, de celles - autorisées ou non - de la Chine.
-
-
Du point de vue de l’assimilation culturelle, les chinois sont beaucoup plus abrasifs que n’importe quoi d’occidental. Vu la manière dont ils ont digéré les mandchous et les mongols, je crois qu’on peut dire que la Chine est beaucoup plus agressive que les Angloklaxon.
Typhon
-
Difficile de vous contredire sur cette abrasivité, si le terme est permis. Or donc ? La défense et illustration de l’espéranto devrait-elle être comprise comme l’arme linguistique destinée à contrer l’impérialisme capitaliste anglo-saxon autant que l’impérialo-communisme chinois ?
Cosmic Dancer
(Pourquoi contresigner ?) -
Bon je réinterviens encore une foisde plus sur cette imposition de l’anglais.
Il y a quelques années l’anglais était plus ou moins « imposé » en fonction des quotas minimums pour l’apprentissage des autres langues en gros l’anglais s’impose par des contraintes logistiques. Mais le système qui est en train de se mettre en place est en train d’imposer l’anglais. Ce qu’il faut comprendre, c’est que prochainement les langues apprises en primaire devrons être obligatoirement suivies au collège, certains recteurs ont déjà devancés cet aspect par une application précose. Mais il faut savoir que le choix des langues au primaire ne peut exister qu’en fonction du choix au collège, en gros si au collège n’existe que anglais en LV1, au primaire, il n’existera que anglais, donc de cette façon on impose bien une langue au primaire, dont l’anglais et l’on peut même dire que c’est la seule langue au primaire qui puisse être imposée. Du fait de nombreuses contraintes logistiques, l’anglais devrait être de plus en plus imposée au primaire, dont je n’ai pas trop le courage ici de réexpliquer ici.
Maintenant l’histoire de la langue commune, oui le monde a besoin d’une langue commune et du fait des contraintes historiques ou des avantages historiques, c’est l’anglais qui a pris cette place. Mais malheureusement l’anglais malgré ses avantages actuels possède un certain nombre de contraintes, pour plus de détail il est possible le livre ’LA LINGVO DANĜERA’ de Lins, ’English-Only Europe ?’ de Phillipson, ’Pourquoi veulent t’ils tuer la langue francaise ?’ de Lecherbonier . Le reste chacun connait mon avis.
-
Non, mais au cas ou ça ne serait pas clair, je ne suis pas partisan de l’espéranto, moi, je ne l’apprendrais certainement jamais, je n’en ai rien à foutre.
Y a pas d’impérialisme culturel américain, parce que les américains souffrent du défaut inverse de celui des français, c’est à dire qu’ils sont incapables d’exporter leur culture.
Les Etats Unis ont une culture très intéressante, mais ils ne réussissent qu’à exporter des produits.
Typhon
-
Au sujet de l’impérialisme américain
-
Tiens , de façon étonnante vous ne voulez pas voir certaines vérités, la première c’est qu’ils exportent bien leur culture au moyens des produits de consommations divers et variés ( appareils electroménagés, alimentation, films, musique) , leurs idées politiques et economiques, leurs idées au moyen de l’armée (L’OTAN etant leur fer de lance). Noubliez pas que pour rester première puissance du monde, leur but est inovation ( USA), production( chine) et consommation ( europe).
-
Justement non. L’exportation de biens, qui proviennent d’ailleurs de Chine, n’a aucun impact culturel.
Et les films, il faut avoir une vision tout à fait superficielle de la chose pour ne pas comprendre leur insignifiance.
Le fait que l’on utilise le NOMBRE de films pour démontrer l’influence culturelle américaine, montre au contraire que cette influence est nulle. Les films américains sont exportés en nombre parce que les américains considèrent largement la cinématographie comme une industrie, et traitent les films comme des produits.
Pour bien faire comprendre mon point de vue, je vais prendre l’exemple d’une nation qui est dans une situation diamétralement opposée, la France.
Notre pays n’a jamais été une nation de commerçants, mais son influence culturelle a marqué une bonne partie de la planète. Il est significatif que les américains aient une constitution directement héritée de Montesquieu, que les Japonais aient un droit inspiré en partie du code civil, et que nos anciennes colonies et d’autre pays aient décidé de créer un consortium de pays francophones auquel la France ne s’est arrimée qu’à contrecoeur.
Là, ce n’est pas la quantité de production qui compte, c’est son impact.
Typhon
-
« moi, je ne l’apprendrais certainement jamais, »
Enfin une bonne nouvelle dans ce monde de brutes ! -
Pourquoi ? Ça vous déplairait qu’un type en ait tellement après vous qu’il apprenne l’espéranto juste pour démontrer à quel point tout ce pour quoi vous vous battez est risible, point par point, en démontant toute votre propagande bidon de chevalier linguistique de quatre sous ? Je suis sûr que ça doit se trouver.
En l’occurence, je n’en suis pas à ce point là, étant donné que, contrairement à ce que vous avez pu dire ici ou là, je ne suis pas obsédé par l’espéranto, et je ne m’intéresse au quatuor agoravoxien que dans la mesure où je peux venir me détendre en me foutant de leur gueule.Donc, désolé de décevoir peut-être un secret espoir, mais l’espéranto n’est pas au centre de mes préoccupations, comme mon blog peut du reste en témoigner.
Typhon
-
la culture américain c’est vivre comme les américains donc voir les mêmes films ou musiques, les mêmes émissions, manger comme aux usa, avoir la même économie, ect, ect, les films et musiques américains d’abord et avant tout les produits pour les américians, et en second lieu pour le reste du monde. Bien sur nous ne sommes pas devenus totelment américain, notre culture fortement ancrée en est un frein important, mais l’influence américaine est présente partout.
-
c’est vivre comme les américains..
Non. La culture, ça ne se limite pas au style de vie. Y a des tas de formes de pensée américaine. Et elles n’ont pas été exportées.
Typhon
-
Le style de vie, c’est :la culture, l’économie, la cinématographie, les croyances populaires, la vision du monde, le culinaire, les danses, la chanson, l’habillement, les loies, la gestion de son environnement, ses relations au reste du monde, etc, etc, etc, etc, etc, etc. Et je l’ai dis plus haut nous ne sommes pas culturellement des américains, mais une partie de leur culture est entrée dans notre mode de vie.
-
Nan.
La culture américaine, c’est Bierce, c’est Bradbury, c’est Dorothy Parker, Jim Morrison. Je ne pense pas que ces grands écrivains aient eu beaucoup d’influence sur l’Europe. Les américains ont longtemps eu un complexe d’infériorité culturelle vis-à-vis de l’Europe, et, même si ce n’est plus le cas aujourd’hui, il coulera de l’eau sous les ponts avant qu’on se retrouve dans la situation inverse.
Mais bon, discuter de ces choses là avec un inculte qui ne sait pas écrire, ça ne nous mènera pas bien loin.
Si vous croyez que la culture américaine c’est Mcdonald, Kellogg’s, ou je ne sais quoi, c’est que vous manquez de culture. C’est à peu près aussi ridicule que de mesurer l’influence culturelle française au nombre de renaud vendues sur cette planète.
Typhon
-
Ha mon chérie, on voit bien que vous avez une belle vision réduite et réductrice de la culture d’un pays, vous devriez plus vous ouvrir au reste du monde. Remarque j’ai jamais compris ce réflexe d’infériorité que pouvait avoir certains américains, comme certains canadien du reste.
-
En littérature, vous oubliez Poe, Steinbeck, Twain, Faulkner... Voire Fante et le polar américain qui ont énormément influencé, en France, écrivains et cinéastes.
Et puis il y a la musique, le jazz, le rock...
Et Hollywood, avec Cinecitta seulement pour s’y mesurer aux heures de gloire. -
Et Hollywood,
Hollywood ? Comme je le disais un peu plus haut, c’est la matérialisation du problème culturel américains. Certes, ils exportent beaucoup de films, mais c’est parce qu’ils les traitent comme des produits.
Je ne dis pas qu’il n’y a pas de grands réalisateurs américains, seulement, comme la domination commerciale américaine a tué 80 % du cinéma mondial, les dits grands réalisateurs ne peuvent pas inspirer grand’chose en dehors de l’amérique.
Le Rock est un bel exemple de ce qui arrive aux exportations culturelle américaines. Après quelques belles années de créativité, et un mouvement culturel mondial qui a effectivement ses racines en Amérique, les démons de l’argent ont tout bouffé, et le rock est devenu un produit de consommation comme un autre. « They turned rebellion into money’.
Je ne vais pas citer tout les grands écrivains américains, ça prendrait trop de temps...
Par contre, Steinbeck n’est pas un écrivain américain. C’est un écrivain sudiste.
Je maintiens que »l’impérialisme culturel américain" n’existe pas. Ce n’est qu’un épouvantail agité par des gens qui ne comprennent pas que la perte d’influence culturelle de la France provient de sa sclérose culturelle. En France, il y a de moins en moins de livres de qualités, et de moins en moins de cinéma de qualité.
Typhon
-
Je ne pense pas que l’impérialisme americain existe mais la tentation d’y arriver oui, mais par contre l’influence américaine est quand même importante.
-
Evidemment, banane, c’est la première puissance économique mondiale.
Typhon
-
Et vous avez trouvez ça tout seul que c’était la première puissance économique mondiale, je vous tire mon chapeau
-
Ouais. J’ai compté chaque dollars qui sortait et rentrait du pays depuis la dernière guerre mondiale pour parvenir à cette conclusion.
Mais ce n’est pas l’influence économique d’un pays qui détermine son influence culturelle. L’empire romain et alexandre avant, ont plus fait pour la diffusion de la culture grecque que les grecs eux-mêmes.
Typhon
-
Houa, encore plus fort que vous m’épatez encore plus, votre capacité de réfléchir est époustouflante, vous avez pris une pilule d’intelligence pour y arriver, c’est pas possible autrement.
-
"Le langage est une des inventions humaines les plus étonnantes, celle qui nous différencie radicalement des animaux, même s’ils communiquent, car notre langage sophistiqué permet la conservation et la transmission du savoir."
Je ne voudrais pas pinailler mais les baleines et les dauphins, notamment les orques, sont capables de conserver et de transmettre des savoirs par l’intermédiaire d’un langage acquis et complexe.
Donc ce n’est pas le langage qui nous différencie du reste du règne animal. -
Moui.
Je suis trop Raper’s Delight ce soir :)
-
Donc ce n’est pas le langage qui nous différencie du reste du règne animal.Qu’est ce qui nous différencie du règne animal. Nous sommes des animaux, banane.
Les êtres humains n’ont rien de particulier qui leur permette de revendiquer une quelconque supériorité ou place à part.
Nous sommes les animaux les plus intelligents, de la même manière que le guépard est l’animal le plus rapide.
Typhon
-
« Donc ce n’est pas le langage qui nous différencie du reste du règne animal. »
J’ai bien précisé DU RESTE du règne animal, banane.
Donc oui nous sommes bien des animaux mais force est de constater que nous aimons bien nous distinguer des autres espèces. Et ce n’est pas forcément par l’intelligence en tant que telle.Nous sommes la seule espèce sur terre a prendre en considération nos morts. Aucun animal, pas même l’éléphant ne pratique un rite mortuaire. Si les castors fabriquent des refuges, aucun d’entre eux ne conçoit un abri pour ses morts.
. -
Cosmic Dancer.
A propos d’ animaux, vous avez oublié de citer Jack London qui a fait rêver bien des enfants du vieux continent avec Croc-Blanc.
-
Les rites funéraire sont une conséquence de notre intelligence. Avant d’avoir du respect pour les morts, il faut avoir conscience de ce qu’est la mort et aussi peut-être de sa propre mortalité.
Typhon
-
D’abord vous jouez les malins en affirmant que l’intelligence de l’homme ne lui donne pas une place à part dans le règne animal et maintenant vous dites qu’elle lui donne une conscience supérieure.Vous retournez votre veste bien vite.
-
vous dites qu’elle lui donne une conscience supérieure.
J’ai dit ça moi ? Ou ça ?
C’est pas la peine de faire le malin en disant que je retourne ma veste, alors que je ne l’ai jamais fait. Si vous avez lu ce que j’ai dit, certes nous sommes les plus intelligents, mais ça ne nous détache pas plus du règne animal que le fait d’être le plus rapide ne détache le guépard.
Evidemment que nous sommes une espèce à part. Mais toutes les espèces le sont. Prenez les hydres, par exemples. Elles sont immortelles.
Est-ce que ça leur donne une âme ?
Typhon
-
« il faut avoir conscience de ce qu’est la mort et aussi peut-être de sa propre mortalité. »
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
Ajouter une réaction
Pour réagir, identifiez-vous avec votre login / mot de passe, en haut à droite de cette page
Si vous n'avez pas de login / mot de passe, vous devez vous inscrire ici.
FAIRE UN DON