Aveuglement et complicité passive des politiques et de la presse bobo face à l’islamisme radical
Je ne suis qu'un simple citoyen parmis d'autres, un citoyen qui vote et dont le devoir est d'alerter sur un fait dont il a connaissance quand il s'agit du salut public, la voie démocratique prévue par la constitution étant de s'adresser au député de sa circonscription.
À Monsieur Christophe Siruge,
député de ma circonscription, le 10/10/2015 (envoyé un mois avant l'attentat, copie)
Monsieur le Député,
Suite à votre question du 19/03/2013 où vous avez bien voulu attirer l'attention de Mme la ministre de la culture et de la communication sur la question de l'éventuelle mise en cause du bienfondé de la localisation au mont Beuvray des vestiges de l'oppidum de Bibracte, question à laquelle la ministre vous a fait une belle réponse langue de bois : dans cette perspective, les questionnements relatifs à la stricte identification de Bibracte au site du Mont Beuvray s'avèrent d'un intérêt accessoire - JO du 11/06/2013 page : 6077 – je me permets de vous demander une nouvelle intervention, mais cette fois, sur un sujet autrement plus important, celui de l’islam.
Auteur de plusieurs ouvrages auto-édités sur le christianisme, ainsi que d’un manuscrit, Le Prophète au visage voilé, systématiquement refusé par les maisons d’édition, j’y développe une thèse, arguments à l’appui, que rien ne descend du ciel mais que tout s’explique dans une forme de pensée tout à fait respectable mais qui n’a rien à voir avec le contexte actuel. D’où ma modeste proposition, sans renier les valeurs de l’Histoire, de les dépasser pour se retrouver sur un chemin commun qui reste à construire.
Ma question à la ministre de la Culture est la suivante : suite à la découverte récente, en Angleterre, de deux feuillets les plus anciens du Coran, le soussigné, érudit, auteur dans le journal citoyen Agoravox, a demandé à M. le professeur François Déroche, de faire connaître son interprétation du verset 24 de la sourate 18 du dit Coran (lettre ci-jointe publiée sur Agoravox le 5/9/2015). M. François Déroche est professeur au Collège de France, titulaire de la chaire récemment créée "Histoire du Coran. Texte et transmission’’. Le soussigné demande que Mme la Ministre intervienne pour qu’une réponse lui soit donnée, le sujet lui semblant plus d’ordre culturel que cultuel ; et ceci afin que la communauté scientifique et l’opinion en soient informées.
Veuillez agréer, M. le Député, l’expression de mes sentiments républicains.
Emile Mourey
Nous sommes le 23 novembre 2015. Les instances religieuses des religions dites du Livre en sont encore à voir, théologiquement, dans les textes bibliques, dits sacrés, une parole inspirée et même un plan de Dieu, justifiant ainsi les massacres de l’Histoire, passés, présents et à venir (depuis Moïse et Josué). D’où le raisonnement simpliste de ceux qui inspirent le Djihad : établir le royaume de Dieu, pardon, le royaume d’Allah, en tuant tous les mécréants.
Tous les hommes intelligents et sincères devraient se dresser comme un seul homme pour dénoncer cette interprétation biblique et condamner ceux qui s'en réclament. Or, que constatons-nous ? des hommes politiques complaisants, se satisfaisant de compromis, un silence assourdissant des philosophes qui pensent qu’ils n’ont pas à intervenir sur les questions de théologie, des médias qui éludent systématiquement le débat pour ne pas, soi-disant, faire le jeu du FN. La dernière émission de « Ce soir ou jamais » est caractéristique : Toi qui signales le danger, ferme ta gueule ! France coupable, musulmans et islam victimes.
Je suis, parmis d'autres, une voix qui parle dans le désert, sous la dictature de la pensée unique bien-pensante. Il y a manifestement dans le Coran des sourates qui appellent à la haine et au meurtre mais il ne faut pas le dire. Les assassins du Bataclan se sont pourtant bien réclamés de l’islam - de ces sourates. Non ! on ne veut voir en eux que de simples terroristes déviants.
Il ne faut pas se boucher les yeux. La forte natalité dans la population d’origine immigrée que connaît notre pays n’est pas sans poser de problèmes. À cela s’ajoute une islamisation de plus en plus prégnante dans une partie de cette population, d’où le désarroi bien compréhensible de nombre de nos concitoyens, quels qu'ils soient.
Pour contrer cette islamisation de plus en plus radicale, le bon sens voudrait que la puissance publique ne soit pas complice par son silence.
Je repose la question à M. François Déroche, titulaire de la chaire ‘’Histoire du Coran. Texte et transmission’’ : Mahomet était-il un ou sept ?
http://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/mahomet-une-enigme-de-l-histoire-174066
N'importe qui peut comprendre que si Mahomet n'est qu'un conseil de sept hommes, il s'ensuit que les textes musulmans sont plus ou moins voilés, qu'il faut les réinterpréter, certainement pas dans le sens radical, mais plus prosaïquement en les replaçant dans le contexte troublé de leur époque. J'en ai informé en détails, preuves et arguments à l'appui, les ministères concernés depuis déjà de très nombreuses années. On m'a fait des réponses polies et même parfois encourageantes, mais sans effet.
Copie à DRAC, François Deroche, presse, etc...
E. Mourey 23/11/2015
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