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Capitalisme et poker menteur

Le 9/11/1989 s’écroulait aux accents du violoncelle de Rostropovitch, le mur de Berlin, et s’affirmait comme le point d’orgue d’un gigantesque coup de balai sur l’ Europe orientale. Moins d’une génération après l’assertion de Kroutchev qui prétendait qu’ils(les communistes) nous enterreraient, l’expérience marxiste léniniste échouait lamentablement, implosant de l’intérieur.

Les tenants de l'« autre doctrine », médusés, se pourléchèrent rapidement les babines. Le capitalisme triomphait et réduisait 70 ans de communisme à une page d’histoire, sans un coup de canon, alors que 10 ans plus tôt, Reagan préparait sa « guerre des étoiles ». La surprise passée, ils ne tardèrent pas à établir des bilans « à la louche « des méfaits du socialisme (100 millions de morts, chiffre rond , si facile à retenir que la Droite et l’extrême Droite l’utilisent encore), l’appelant d’ailleurs socialisme plutôt que communisme afin de faire d’une pierre deux coups, se débarrasser si possible des scories de partis socialistes européens, qui avaient pris depuis bien longtemps leurs distances avec le marxisme, mais qui avaient le tort d’être un peu trop revendicatifs pour les tenants de l’ultra libéralisme qui avaient commencé à mettre en place leurs pions , Thatcher et Reagan se révéla une hydre à deux têtes fort peu sympathique, mais diaboliquement efficace. Dérégulation et laissez faire ont pu mettre en place le terrain de jeu idéal qui perdure désormais.

Sur les cendres encore chaudes de la bête immonde, les occidentaux se sont autocongratulés d’un succès qu’ils n’avaient en aucun cas provoqué et ont tiré rapidement les marrons du feu afin de recueillir rapidement les fruits de l’inespéré.

Hélas, 3 fois hélas , depuis un quart de siècle , le capitalisme a prouvé, tout en étant pas véritablement une doctrine, qu’il reposait sur des fondements aussi détestables qu’immoraux. La cupidité s’associe inéluctablement à la vanité, la rapacité à l’arrogance. A la différence du communisme dont les responsables avaient des noms, culte de la personnalité oblige, Staline, Lénine, Ceausescu……, le capitalisme devenu financier n’a ni visage, ni identité, ce sont des forces occultes qu’on appelle le marché ou les marchés ou les investisseurs. Ces malfaiteurs jouent au casino et à la roulette russe avec nos vies. Leur philosophie n’est pas d’être riche, ni même très riche, mais d’être le plus riche si nécessaire en tuant ses concurrents quitte à leur infliger le baiser mortel avant la mise à mort . Car c’est bien avec ces méthodes qu’ils prennent leur pied. L’ultime banderille qui les fera rois, plus puissants parfois que les polichinelles qui nous gouvernent . Ce sont des preneurs d’otages, piétinant les droits sociaux sans vergogne, en un mot, sans humanité.

Et quand ces gens là s’encanaillent à qui mieux mieux pour plomber l’économie mondiale, à coup de subprimes et autres produits dérivés, ils osent présenter la note de ces « actifs toxiques « irrécupérables, à leurs complices, politicards pleutres au mieux ou corrompus au pire qui s’empressent de créer en urgence des milliards d’euros, de dollars, venus d’on ne sait où, en réalité de la monnaie de singe. En 2008, il aurait fallu nationaliser, au moins temporairement, les banques incriminées, au lieu de dévaliser le contribuable, les actionnaires avaient joué, c’était à eux d’enregistrer les pertes. La finance est le carburant de l’économie, elle doit rester aux mains du peuple. L’important n’est pas pour un peuple, comme le prétendent ceux qui veulent la fin de l’euro, de battre monnaie, mais de maîtriser combien de monnaie il doit battre, de la vraie monnaie, la contrepartie de l’économie réelle, pas des comptes aux multiples zéros qui sommeillent sur des comptes aux Iles Cayman.

Le capitalisme est cliniquement mort depuis au moins le début du 21 ème siècle, mais ces "vicelards" ont bien plus d’un tour dans leur sac. La plus grande escroquerie, la plus impressionnante et démesurée partie de poker menteur s’exécute devant nous. La masse monétaire globale donne le vertige, elle représente des dizaine de fois le PIB mondial et le patrimoine des terriens. Ce ne sont que des chiffres virtuels sur des comptes. Débiteurs et créanciers chevauchent cette comptabilité d’apothicaire et participent à l’hystérie collective, à savoir le premier qui bouge est mort.

Ce monde désenchanté s’articule autour d’acteurs principaux, les américains, les chinois, les européens et quelques pays franc tireurs, moins puissants économiquement mais terriblement dangereux, Arabie Saoudite, Iran et Israël.

Les Américains ou Etats unis d’Amérique : Ils n’ont de zunis que le nom puisqu’à part un patriotisme suranné, une religion qui n’a parfois rien à envier aux enturbannés mahométans , un fusil d’assaut paradant à leur ceinture, leur individualisme tient lieu de crédo, de pierre angulaire. Ces "amerloques" ( Désolé, j’adore parfois faire de l’anti américanisme primaire, c’est une forme de méditation chez moi lol) vivent à crédit depuis des décennies , dette publique et dette privée, mais ils continuent de dépenser « militairement « plus que les reste du monde réuni . Depuis 2008, ils émettent des dollars , 600 milliards en gros chaque année , de l’argent fictif. La vraie valeur du billet vert ne devrait pas excéder de nos jours le coût du papier de sa fabrication……………heureusement, il y a, entre autres…….les chinois

Les Chinois ou la Chine qui s’est réveillée : parlons en justement de l’empire du milieu. Il nous inonde de produits cassés (prix et qualité) que les occidentaux paient en monnaie de singe. Que les descendants de Lao Tseu et Confucius consentent à accumuler des milliers de milliards de dollars me laissent sur les fesses. C’est donc la règle du « je te tiens, tu me tiens par la barbichette, les chinois et les américains détiennent la même arme, enfin presque, les uns c’est le dollar, les autres, des dollars. L’un peut casser la croissance chinoise , gage de stabilité , et provoquer jusqu’à l’éclatement de ce monstre aux multiples facettes et ethnies, géant aux pieds d’argile, l’autre peut causer la déroute du dollar et pousser l’ Amérique vers la faillite. A côté de cet éventuel cataclysme, 1929 c’est Blanche Neige au pays de Candy

Les Européens ou la France, l’Allemagne et l’ennemi de l’intérieur le Royaume uni : le plus grand marché mondial, ils ont bien plus d’affinités entre eux, en dépit des apparences, que les américains, mais ils ne le savent pas, en tous cas leurs politicards qui se querellent plusieurs fois par an pour des questions de sémantique, quand les peuples voudraient un peu plus d’efficacité. D’autre part, un impitoyable cheval de Troie obscurcit l’horizon, la « Perfide Albion » savonne la planche de salut au profit du grand frère. Ils ont autant le sens européen que Depardieu celui de la sobriété. Dialoguer avec Cameron, c’est comme faire l’amour avec un inconnu sans protection, l’impression de risquer beaucoup pour pas grand-chose.

A côté de ces monstres économiques, il y a les francs tireurs, fanatiques, donc dangereux.

Les Israéliens ou celui qui tire le premier contre un ennemi désarmé doit gagner : Ils sont les petits frères des cow boys , ils ont hérité de leur suzerain un goût immodéré pour l’emploi de la force, ils ont échangé leur malheur passé contre un territoire qu’ils ne cessent d’accroître, s’asseyant sur les résolutions de la communauté internationale. C’est certain que la chute du communisme a précipité des millions d’ashkénazes, juifs d’europe de l’est, vers la terre promise et son exigüité. Ils rêvent donc de leur territoire biblique, faisant fi des revendications de peuples dont c’est aussi la terre, les Palestiniens. Faut vous dire monsieur (dixit Jacques Brel) que chez ces gens là, on est le peuple élu de Dieu. Il n’est pas nécessaire en conséquence de demander l’autorisation pour dégainer une bombe atomique sur la tronche des iraniens, voir plus si affinités, je veux dire plus de pays. Si nous disparaissons, tout doit disparaître, les soldes à la sauce sioniste.

Les Iraniens ou après moi le déluge : philosophiquement assez proches des précédents . Boum boum boum , Allah reconnaîtra les siens, châtiera les infidèles, et offrira des vierges aux plus méritants. Ces agités du turbans sont malheureusement les descendants de la grande civilisation perse et de Zarathoustra passés à l’essoreuse de cerveaux de l’idéologie de Khomeyny . Ont-ils la bombe, veulent t’ils la bombe ? la théocratie iranienne n’a pas fait ses preuves économiquement, les croisés américains et israéliens, trop énervés pour réfléchir auront-ils la patience d’attendre ?

Les Saoudiens ou le Coran dans une main et le poignard dans l’autre : ce sont eux qui ont sabordé (avec d’autres) la conférence sur le climat de Copenhague pour refourguer jusqu’à la dernière goutte leur or noir à des prix astronomiques. Les références climatiques ont peu de poids, chez eux y’a que du sable, et quelques degrés en plus ne changeront en rien leur quotidien, sinon à pousser un peu plus la climatisation. Alliés des américains en même temps que bailleurs de fonds des terroristes musulmans et autres salafistes, ce qui pourrait paraître antinomique pour le commun des mortels ne l’est pas pour eux. Ils propagent l’idée du califat universel, avec le centre du monde La Mecque. Avoir les fesses plus haut que la tête 5 fois par jour n’aide pas trop à réfléchir apparemment.

Vous me direz que j’ai oublié les Russes, la Russie est le plus vaste territoire du monde, mais pour l’instant, les russes se reposent sur leurs richesses naturelles et attendent leur heure. Poutine est un gangster mais un fin stratège, dans cette gigantesque partie de poker menteur, les russes observent et attendent leur heure.

Les communistes sont sans doute responsables de la mort de dizaine de millions de morts, mais la situation actuelle engendrée par ce capitalisme perfide, insolent, insouciant est inquiétante. La menace est sournoise.

7 milliards de petits terriens, et moi et moi et moi, c’est la, c’est la vie, j’y pense puis j’oublie.


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6 réactions à cet article    


  • Robert GIL ROBERT GIL 19 janvier 2013 10:22

    le capitalisme est le plus grand fleau qui emportera sur son passage plus d’innocents que toutes les pestes, l’inquisition ou toutes autres ideologies donc se sont servis les hommes pour arriver au pouvoir. Le capitalisme avance masqué et insidieusement lobotomise les cerveaux preparé par la propagande de la tele, des medias et de leurs valets. Il n’y a qu’un remede...mais pour le moment personne ne veut l’appliquer, chacun s’arqueboute sur ce qu’il a, espérant echapper au massacre.
    Quand aux fameux 100 millions de morts, voir : « …C’EST 100 MILLIONS DE MORTS ! »


    • julius 1ER 19 janvier 2013 13:22

      beaucoup de conneries et d’approximations dans ce texte !

       «  »« Sur les cendres encore chaudes de la bête immonde, les occidentaux se sont autocongratulés d’un succès qu’ils n’avaient en aucun cas provoqué et ont tiré rapidement les marrons du feu afin de recueillir rapidement les fruits de l’inespéré »«  »« 
      faux c’est la guerre de étoiles voulue par Reagan qui a anéanti l’URSS en l’obligeant à suivre dans une course à l’armement aussi inutile que coûteuse ! 
       
      . »« L’important n’est pas pour un peuple, comme le prétendent ceux qui veulent la fin de l’euro, de battre monnaie, mais de maîtriser combien de monnaie »« 
      faux ! les deux paramètres sont importants, battre monnaie, et contrôler sa monnaie sont deux choses importantes !

       »«  « à la louche « des méfaits du socialisme (100 millions de morts, chiffre rond , si facile à retenir que la Droite et l’extrême Droite l’utilisent encore), l’appelant d’ailleurs socialisme plutôt que communisme »« 
      comme si les deux grandes guerres mondiales n’étaient pas à mettre à l’actif de nos glorieux impérialo-capitalistes celles- là ont fait bien plus de 100 millions de morts plus toutes les guerres annexes, cela relève d’un inventaire à la » Prévert" il n’ y a que sparagus qui s’amuse à faire ce genre de comptabilité macabre ! 

      • olfe olfe 19 janvier 2013 20:23

        Sans compter que la grande crise du capitalisme des années 1920/1930 a provoqué la montée du nazisme... On connaît la suite !!! Ces 50 millions de morts, on peut les mettre finalement sur le compte du capitalisme.
        On peut parler aussi de l’esclavagisme d’autrefois, de la colonisation qui sont des extensions du capitalisme, des dictatures militaires sud américaine, qui sans le soutien des états-unis via l’école de Chicago et Milton Friedman, n’auraient jamais vu le jour et provoqué des milliers de morts, des souffrances terribles pour les peuples... Eh oui, ce sont les dégâts collatéraux du capitalisme.


        • louphi 20 janvier 2013 15:18

          cardom325

          Votre analyse de la situation économique et politique mondiale serait parfaite si vous ne commettiez pas une grossière erreur d’appréciation en ce qui concerne les deux premiers paragraphes de votre article. Cette grossière erreur est peut-être contre votre gré car, comme le souligne pertinemment ROBERT GIL, « le posteur » qui rafle la mise des commentaires sur votre article,« Le capitalisme avance masqué et insidieusement lobotomise les cerveaux préparés par la propagande de la télé, des medias et de leurs valets.  ».

          Ainsi, à propos du communisme et de l’URSS, comme la propagande du capitalisme nous a tous et toutes gavés et lobotomisés, vous reprenez à votre compte les fables du capitalisme. Pourtant, à juste titre, vous qualifiez le capitalisme de « vicelard » et comme étant « La plus grande escroquerie, la plus impressionnante et démesurée partie de poker menteur [qui] s’exécute devant nous ».

          En effet, ce n’est pas « Le 9/11/1989… aux accents du violoncelle de Rostropovitch » que le communisme s’est écroulé, « comme le point d’orgue d’un gigantesque coup de balai sur l’Europe orientale. ». En réalité, c’est plutôt, bien plus tôt, le 5 mars 1953, que ce « gigantesque coup de balai sur l’Europe orientale », cet événement aux conséquences cataclysmiques mondiales, s’est produit.

          Contrairement au battage lobotomisant du capitalisme, ce n’est pas le communisme qui s’était effondré de lui-même comme un château de cartes, c’est le capitalisme aux abois qui, ayant bandé au maximum toutes ses énergies occultes de nuisance, dans un ultime effort, dans un dernier sursaut avant sa chute définitive, avait réussi à renverser l’URSS de Staline par un coup d’Etat sanglant.

          Ce coup d’Etat sanglant avait été perpétré par un gang capitaliste, infiltré et camouflé dans l’appareil d’Etat soviétique, à la solde du sionisme et de l’impérialisme euro-américain. Ce gang putschiste capitaliste, anarcho-trotskiste, avait pour chef précisément Nikita Sergueïevitch Khrouchtchev que vous avez cité. Le gang anarcho-trotskiste de Khrouchtchev était l’une des dynamites du monde capitaliste camouflées dans l’appareil d’Etat soviétique. Ainsi donc, le gang trotskiste de Kroutchev (ou khrouchtchev) s’est emparé du pouvoir en URSS en mars 1953 par un putschsanglant. Par ce coup d’Etat anti-soviétique commandité par le monde capitaliste, Staline et d’autres principaux dirigeants de l’Etat soviétique avaient été assassinés. Il s’est agi en fait de la victoire, en URSS, de la contre-révolutioncapitaliste mondiale.

          En politique, les changements de régime se font aussi par coup d’Etat. Par exemple le coup d’Etat de Napoléon louis Bonaparte en décembre 1851, violent dans les coulisses et pacifique en public, a fait changer la république en empire. De même, le coup d’Etat anti-soviétique trotskiste khroutchevien fut violent, ravageur en coulisse, tambourineur en public et couvert par un grand brouhaha international orchestré par le monde capitaliste.

          Il n’est pas nécessaire de faire de grandes recherches pour comprendre la vérité et la réalité du dynamitage de l’URSS par le capitalisme grâce au gang capitaliste anarcho-trotskiste kroutchevien. En effet, on se souvient de l’activisme contre-révolutionnaire clandestin extraordinaire que le monde capitaliste entretenait en URSS du temps de Staline à travers des groupes terroristes anarcho-trotskistes de tous genres. On se souvient aussi que, quand l’URSS était communiste marxiste-léniniste, le monde capitaliste utilisait, à l’encontre de l’URSS, les termes de « glacis soviétique », « rideau de fer », « empire du goulag ». Brusquement, dès que Khroutchev s’est emparé du pouvoir, le même monde capitaliste a abandonné les termes précédents et s’est mis bruyamment à claironner les termes de « schisme communiste », « hérésie de l’Eglise communiste », « dégel du glacis soviétique », « ouverture du goulag », « déstalinisation ».C’est ainsi que le monde capitaliste aura salué et couvert la victoire de sa contre-révolution en URSS.

          Le coup d’Etat anarcho-trotskiste-khroutchevien marque la fin de l’URSS et la résurrection de l’empire capitaliste russe. Sans ce coup d’Etat anarcho-trotskiste-khroutchevien, le sort de l’impérialisme aurait déjà été définitivement réglé. C’était la question à l’ordre du jour en 1953 au moment de ce coup d’Etat. L’Histoire a retenu ces graves et tristes événements par les expressions évocatrices de « déstalinisation de l’URSS », « dégel du glacis soviétique », « levée du rideau de fer », « ouverture du goulag », etc.

          L’auteur de cet article, cardom325, commet donc une grave erreur de lecture de l’Histoire du communisme, de l’Histoire mondiale, lorsqu’il confond la fin du communisme avec la chute du mur de Berlin en écrivant entre autre que « Le capitalisme triomphait et réduisait 70 ans de communisme à une page d’histoire, sans un coup de canon ». En réalité, ce ne sont pas 70 ans de communisme qui ont été réduit lors de la chute du mur de Berlin en 1989. C’est plutôt le processus de restauration de l’empire capitaliste russe qui, au bout de 36 ans, était arrivé à maturité et devait nécessairement se débarrasser de ses scories communistes. L’expérience communiste de l’URSS n’a donc pas duré 70 ans comme le fait croire le rabattage capitaliste que répercute cardom325, mais plutôt 36 ans, de la révolution d’Octobre 1917 jusqu’à l’assassinat par coup d’Etat de Staline en mars 1953.

          On peut donc dire que les évaluations de cardom325à propos de la fin du communisme « ne sont que des chiffres virtuels sur des comptes [virtuels] ». C’est une « comptabilité d’apothicaire [qui participe] à l’hystérie collective, à savoir le premier qui bouge est mort. ».

          Toutefois, en dehors de cette grave erreur sur l’Histoire du communisme, le reste de l’article de cardom325est admirablement pertinent dans un style littéraire épique tout autant admirable. Je ne manque pas de le consigner dans ma bibliothèque comme une belle description globale du système capitalisme pourrissant actuel.


          • cardom325 cardom325 20 janvier 2013 15:45

            Merci de votre contribution qui se ne contente pas , comme un autre, de biffer ce qu’il réprouve, les taxant de conneries , je ne suis plus un élève et je n’ai pas besoin d’un prof qui corrige mes copies, que celui là ponde enfin un article, que je me délecte de lui lancer la première banderille


            • louphi 20 janvier 2013 16:50

              cardom325

              Vous savez, Agoravox se définit comme une tribune libre de journalisme et de discussions citoyens ouvert à tout public. Cela est bien, et même très bien. Ce qui veut dire qu’il y aura toujours une floppée de petites gens qui s’adonneront toujours au malin plaisir d’érafler les articles et les commentaires. Un peu à l’image des graffitis que les petits chiards font sur les murs de certains de nos quartiers populaires. C’est à l’image de cette société. Cela ne doit pas trop vous froisser et surtout vous empêcher d’écrire pour dire ce que vous avez à dire.

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