De l’optimisme : Peter Thiel et les fondamentaux du libertarianisme
Par exemple, ils nous rappellent que, bien que les politiciens et les Etats posent bien souvent plus de problèmes qu'ils n'apportent de solutions, la technologie et la créativité des individus font que nous ne sommes pas forcément condamnés à un futur ultra étatiste.
from zero to onehttp://t.co/TtFsSpVkLP
— Peter Thiel (@peterthiel) 8 septembre 2014
Quel est le principe du "libertarisme" prôné par @peterthiel ?#LeSupplément pic.twitter.com/rVbkMI86Oq
— Le Supplément (@LeSupplement) 28 février 2016
- Il n’y aura pas d’avenir enviable sans progrès technologiques.
- on parle de nos nations comme des "pays développés", comme s’il n’y avait plus rien à inventer.
- Nous ne vivons pas en démocratie. Les gouvernements élus ne représentent pas vraiment le peuple. Et la plupart des décisions sont prises pas ces bureaucraties compliquées non élues, parce que les questions sont de plus en plus compliques. Mais ces administrations ont tendance à avoir la main trop lourde sur la régulation. Si bien que nous n’avons ni liberté, ni démocratie !
- c’est intéressant de réfléchir à la manière de bâtir un nouveau pays à partir de zéro (*)
- Il y a une différence qualitative dans les risques d’abus entre les multinationales les plus puissantes type GAFA et les états. Pour moi, les états sont beaucoup plus puissants : ils ont des armées, une police, des prisons. Ils font usage de la violence, ils peuvent tuer les gens.
- La principale critique libertarienne du gouvernement américain, c’est toutes ces interventions militaires, ces guerres extérieures coûteuses dans lesquelles il se lance.
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