• AgoraVox sur Twitter
  • RSS
  • Agoravox TV
  • Agoravox Mobile

Accueil du site > Tribune Libre > Des méfaits du méthane et des clathrates

Des méfaits du méthane et des clathrates

Confrontés à des faits que le pouvoir s’est comme d’habitude bien gardé de révéler, avec la complicité des scientifiques et plus largement des élites concernées, les media semblent enfin s’éveiller et vouloir alerte l’opinion concernant les effets du méthane sur l’avenir de la planète et de toutes les espèces qui l’habitent.

Cet article renvoie donc le lecteur à ses journaux habituels pour s’instruire à ce sujet, pour autant qu’il en éprouve le besoin ou en ait l’envie, et lui propose en attendant deux commentaires de l’auteur, répondant à ce qu’ont publié, le Figaro d’une part et France info.fr d’autre part.

 

Le Figaro le 12/12

Avec la surpopulation humaine, et dans une large mesure à cause d'elle, la prolifération du méthane est non seulement l'une des principales sources des catastrophes qui guettent l'humanité, mais elle semble frappée du même tabou.

Il est en effet étrange que dans le présent article, apparemment bien documenté, ne soient pas évoqués les considérables gisements d’hydrates de méthane – notamment dans l’inventaire qui l’illustre – puisque selon les experts, ces gisements sont estimés être à eux seuls supérieurs à l’ensemble de toutes les autres sources de GES, y compris ce qui reste des réserves de la planète en énergie fossile.

La fonte du permafrost (sol gelé en surface), qui accompagne aux pôles et à proximité, celle des glaces, n'est-elle pas un signe évident de ce qui est en train de se produire sous les eaux, en termes de dégradation des gisements de clathrates, sous l'effet du réchauffement climatique et plus précisément des océans ? Les scientifiques ignoreraient-ils que des accumulations considérables de ce méthane solidifié par le froid et la pression des profondeurs, sont présentes partout dans les océans, et qu’elles se dissolvent et dégazent à la moindre augmentation de température de leur milieu ? Sans que nul ne sache où précisément ni quand, puisque le gaz méthane qui en résulte remonte à la surface pour se diffuser en s’échappant de l’atmosphère pour atteindre la couche d’ozone qu’il contribue à détruire, sans que nul ne s’en aperçoive autrement que par l’aggravation accélérée de l’effet de serre qui en résulte.

 

francetvinfo.fr le 13/12

« ... Il existe par ailleurs des phénomènes de "dégazage naturel qui libèrent le méthane fossile piégé dans le sous-sol", précise-t-elle [une chercheuse interrogée par les auteurs de l’article]. »

Ce qu’aurait pu préciser cette chercheuse, c'est que :

1° ces phénomènes ont pour origine des gisements d’hydrates de méthane, sous forme de clathrates (voir si besoin votre navigateur pour apprendre en détail de quoi il s'agit), considérablement plus importants que tout ce que nous exploitons des énergies fossiles de la planète.

2° le dégazage de ces clathrates, sédiments gelés à forte teneur en méthane, se produit du fait de leur fonte, sous l'effet du réchauffement et en particulier de celui des océans.

En d'autre termes c'est la manifestation d'une réaction en chaîne, cycle infernal enclenché par un réchauffement résultant lui-même largement de la surprédation humaine, et risquant ne pouvoir aller désormais qu'en s'aggravant, outre le fait qu’il risque ne pouvoir être interrompu.

Venez en discuter : https://groups.google.com/forum/?hl=fr# !forum/clathrates


Moyenne des avis sur cet article :  1.5/5   (16 votes)




Réagissez à l'article

15 réactions à cet article    


  • fred.foyn 14 décembre 2016 09:33

    C’est de loin, le danger pour la planète, et notre survie mais comme vous dites, personnes n’en parle...La terre en regorge et avec la fonte des Pôles et le réchauffement la BIG catastrophe n’est pas loin !


    • Claude Courty Claudec 14 décembre 2016 16:58

      @fred.foyn
      Personne n’en parle ;; ; et aurait bien tort de se fatiguer, étant donné l’intérêt que portent les foules à la question, à en juger par le nombre d’ouvertures de cet article (plus de 500 tout de même en quelques heures !) et de réactions (2) suscitées par sa lecture.


      Les veaux dorment, jouent, se battent, batifolent, engraissent, en attendant l’abattoir. Ou peut-être savent-ils que le méthane est un gaz anesthésiant. Il peuvent alors en déduire qu’il n’y a pas lieu de s’inquiéter, puisqu’en guise d’apocalypse, nous nous endormirons tous d’un sommeil éternel ; comme ce fut peut-être le cas de l’équipage et des passagers du Flying Dutchman.

      Mieux vaut en rire que d’en pleurer en tout cas.

    • janel janel 14 décembre 2016 17:50

      @Clannera un chiffre à chaque fois que vous pétez, il faut le savoir, vous lâchez une bulle de méthane. 


      Si vous multipliez les bulles par 7 milliards d’être humains et ensuite par 365 pour avoir le chiffrage annuel et en plus pour la précision  du calcul, il vous faudra introduire non pas votre doigt dans la statistique pour réduire le débit de la pollution mais la fréquence de vos pets à la minute ce qui vous donnera un chiffre astronomique qui vous persuadera de faire quelque chose pour les générations futures en nous interdisant de manger du cassoulet générateur de pets intempestifs.


      Voyez vous, on s’intéresse très sérieusement à votre article. Il ne faudra pas oublier les vaches car en plus de péter, elles vous rotent du méthane et je ne parle pas de la fermentation du fumier. 


    • manu manu 14 décembre 2016 19:40

      @Claudec

      http://www.futura-sciences.com/planete/actualites/terre-hausse-inexpliquee-taux-methane-atmosphere-2805/

      On va peut être un jour rouler à l’électrique et peut être réduire notre consommation de lait et de bœuf ; le lait de vache est mauvais pour la santé et le bœuf souvent nourrit au ogm.


    • Claude Courty Claudec 14 décembre 2016 21:23

      @manu

      Merci pour ce lien, je connais le site et l’article, publié aussi par le Figaro. Mais n’évalue-t-il pas trop arbitrairement, en les sous-estimant considérablement, les émissions de méthane d’origine(s) naturelle diverses .
      Il serait intéressant de savoir comment sont calculés les émissions résultant de la fonte des hydrates de méthane des fonds marins, alors qu’il s’agit précisément d’un phénomène hautement aléatoire, voire insaisissable en raison des difficultés : de localisation de gisements répartis et enfouis en des lieux et à des profondeurs extrêmement variables et pour la plupart hors de portée pour être observés quand ils sont détectés ; de quantification ; de détermination des causes de leur fonte (action de courants marins lesquels, où), séismes, effondrement des parois de fosses océaniques...).
      La seule chose que nous sachions semble être que ces gisement sont gigantesques et que leur dégradation incontrôlée présente pour toutes les espèces peuplant la planète un danger certain et dorénavant croissant en s’accélérant 

      Il s’agit en tout cas d’un sujet apparemment majeur, qui fait surface – sans jeu de mot – et semble en surprendre plus d’un. Les distingués participants aux COP successives, étaient-ils au courant ? Problématique d’une autre importance que la pollution par le diesel, pour ne prendre qu’un exemple de leurs préoccupations avec lesquelles ils amusent la galerie.

      Dommage que les commentaires de cet articles ne soient pas accessibles ?

    • HELIOS HELIOS 15 décembre 2016 03:22

      @Claudec

      Les COP ne s’y interressent pas, parce que le methane, d’où qu’il vienne, n’est ni directement taxable, ni sujet a contravention.
      De plus, il ne fait de l’ombre a aucun industriel.

      Si demain le methane etait accessible a tous, il deviendrait une source d’energie qu’il faudrait taxer et que les industriel pourraient vendre. Comme pour le petrole, on pourrait en augmenter le prix au grés des budgets....

    • Doume65 16 décembre 2016 11:45

      @Claudec
      Bonjour.
      Le danger des hydrates de méthane des fonds marins est réel et sérieux mais ce n’est qu’une potentialité. Pour le moment, on n’a pas trouvé de méthane dans l’air au dessus de ces « gisements ». Il semblerait donc qu’il se dissolve dans l’eau (ou soit métabolisé par des organismes marins) avant d’arriver en surface. Quant à celui du pergélisol, là aussi, les scientifique s’aperçoivent qu’il est rapidement métabolisé par des bactéries qui prolifèrent autour de cette source d’énergie pour elles. Enfin, on peut se rappeler que le méthane reste moins de 10 ans dans l’atmosphère où il est rapidement détruit. La science, pour l’instant est moins paniquée par le méthane qu’elle l’était il a une dizaine d’année. Ce qui ne signifie pas qu’il ne faille pas s’en préoccuper, bien sûr.
      Au fait, j’y pense, de plus en plus de compagnie se préparent à exploiter les clathrates, en commençant bien sûr par les plus accessibles, c’est à dire les moins profondes et les plus grosses, donc les plus dangereuses. Du danger en moins, si c’est bien fait.


    • Claude Courty Claudec 16 décembre 2016 14:54

      @Doume65

      Bonjour.

      Je ne suis pas un scientifique, mais la réflexion me conduit à vous trouver bien optimiste.
      S’il est certain en effet qu’une part du méthane émanant des fonds ou des parois des océans peut être dissoute ou métabolisée : dans quelle mesure ? il ne s ’agit pas d’un phénomène mesurable, à la différence de ce qui se produit pour le pergélisol. La fonte de celui-ci peut être facilement observée et ses effets prévus et mesurés avec précision, puisque fonction du gain progressif en profondeur du dégel d’un environnement stable et aisément accessible, contrairement à ce qu’il en est pour les hydrates de méthane enfouis sous les eaux.

      Je suis pour ma part davantage préoccupé par tout ce qui peut se passer à notre insu, notamment en relation avec des séismes et autres phénomènes susceptibles d’entraîner des bouleversement inopinés des fonds marins ou l’effondrement de parois de fosses océaniques plus ou moins profondes. Je ne vois pas comment des volumes considérables de gaz aussi soudainement qu’aléatoirement libérés pourraient significativement se métaboliser ou de se dissoudre avant d’arriver en surface pour ensuite s’élever dans l’atmosphère, plus ou moins haut et plus ou moins rapidement, selon les volumes en cause, avec au passage, le cas échéant, quelques dommages collatéraux, comme la disparition inexpliquée d ’aéronefs et de bateaux ainsi que quelques autres événements.

      Il y a aussi lieu de compter avec la probabilité de réactions en chaîne de type structurel touchant les zones concernées, ceci à deux titres :
      - par propagation du réchauffement des hydrates de méthane eux-mêmes, d’où libération du CH4 jusqu’à épuisement plus ou moins rapide, selon sa configuration, du gisement
      - du fait de l’action de l’eau, les courants marins ainsi que tout autre mouvent de sa part, ne pouvant avoir pour effet que d’aggraver le phénomène par érosion accélérée. Il suffit pour s’en faire une idée de s’interroger quant à l’origine de ces gigantesques puits, de plusieurs km de diamètre relevés en certains endroits des océans, notamment en Baltique je crois me souvenir.
      Il semblerait d’ailleurs que l’instabilité de ce qui est une source d’énergie convoitée, soit le principal obstacle à une exploitation des gisement de clathrates.

      Quant à l’incertitude régnant pour ce qui est de la localisation des gisements, mis à part ceux qui ont été repérés, notamment par la prospections visant leur exploitation, vous écrivez « ... on n’a pas trouvé de méthane dans l’air au dessus de ces « gisements ». Mais encore faudrait-il pouvoir les cartographier. Or, ci ces gisement existent, c’est précisément par ce qu’ils n’ont pas encore été « mis en réaction » ou échappent à notre observation pour de multiples raisons.

      En tout état de cause, je considère pour ma part que le soudain accroissement de la part de méthane dans l’atmosphère, tel que nous le vivons, ainsi que les questions que nous nous posons à ce sujet, ont de fortes probabilités de découler de ce qui précède. L’avenir nous le dira. 

    • Claude Courty Claudec 17 décembre 2016 18:18


      @Doume65


      Re bonjour.

      J’ignore si vous avez déjà pris connaissance de ma réponse à votre commentaire, mais ayant été un peu rapide – ce que je vous prie d’excuser – j’y reviens pour la compléter sur deux points.

      Je suis d’abord passé un peu vite sur l’activation (dégazage) par « lavage », des gisements par les mouvements de l’eau, qu’il faut considérer comme pouvant être amplifiée par le réchauffement de celle-ci, tel qu’il accompagne le réchauffement climatique en général. Une élévation minime de sa température, a fortiori en mouvement, doit probablement avoir des conséquences considérables sur l’érosion qu’elle provoque et par conséquent sur l’importance des sédiments qu’elle découvre et du dégazage qui en résulte.

      Par ailleurs, j’ai répondu de travers à votre remarque sur l’absence d’émanation au dessus des gisements. Alors que vous évoquiez ceux en exploitation j’ai étourdiment attribué à votre remarque un caractère général. Il n’en demeure pas moins que les émanations résultant de cette exploitation, donc contrôlées – nous pouvons l’espérer, ne serait-ce que pour ceux qui y travaillent) – doivent être sans commune mesure avec celles qui peuvent résulter d’un séisme. bouleversant soudain un ou plusieurs gisements dont nous ignorons le plus souvent, autant l’existence, que le positionnement (sur trois axes), que l’importance.

      Cordialement

    • Victor 14 décembre 2016 14:33

      Quand mon thé bout, c’est à cause des bulles de CO2 qui dégaze de l’eau.
       
      Tous les scientifiques savent que la courbe CO2 suit celle des températures et non l’inverse... le CO2 augmente la température avec une inertie de 50 ans, la température augmente le CO2 avec un retard de 1000 ans. (inertie des océans)
       
      Le réchauffement ayant commencé au milieu du 19e siècle, c’est donc à cause de l’industrie pétrochimique de Napoléon (je veux des subventions du capital)
       


      • Sergio Sergio57 14 décembre 2016 16:45

        ’La fonte du permafrost (sol gelé en surface), qui accompagne aux pôles et à proximité, celle des glaces’


        Ce sont les randonneurs nordiques qui vont être ravis, ils aiment cuisiner les pâtes au gaz, et pour les montagnards, ils savent que le gaz part des montagnes.
        Désolé pour les calembours, je n’ai pas su me retenir, votre article est juste et intéressant. Le constat que vous énoncez fait peur et évidemment on ne peut l’ignorer, alors quand on fait le compte de tout ce qui nous attend, on a tendance à vouloir ignorer. Alors la grande question est : par quoi on commence ?

        • janel janel 14 décembre 2016 17:14

          Monsieur Claudec


          Vous vous définissez comme étant un franc-tireur de la pensée libre. Laissez moi rigoler parce que j’en suis certain, vous ne savez pas ce que signifie le mot : franc-tireur.


          Les franc-tireurs sont des tireurs embusqués ou « sniper » qui ont pris pour missions d’attendre qu’une cible apparaissent dans leur ligne de mire pour lui tirer dessus. Autant vous dire que les franc-tireurs ne sont pas autres choses que des tueurs.


          Et à l’heure actuelle lorsqu’ils sont à la solde des islamistes en Syrie, les victimes sont des civils quels qu’ils soient : femmes, enfants, vieillards, soldats ou pas qu’importe, le but est de semer la terreur.


          En plus dans votre expression « franc-tireur de la pensée libre », il y a un pléonasme parce que le mot « franc » signifie déjà par lui même la liberté comme dans cette expression « zone franche » qui veut dire zone libre de tous droits. Nous pouvons retrouver cette idée de la liberté avec le mot « franchise  » comme par exemple : acheter une franchis ce qui signifie acheter le droit d’exploiter une marque librement.


          Les Francs ont formé jadis un peuple insoumis aux romains et l’ont fait savoir en se qualifiant eux mêmes comme des francs. C’est à dire des hommes libres n’obéissant plus à l’autorité romaine.


          Vous avez donc commis deux fautes graves de logique en 1,2,3.. en 4 mots. Vous avez battu le record absolu de la connerie concentrée dans l’usage d’un si petit nombre de mots, deux conneries dites pour 4 mots employés.


          La suite à mon prochain commentaire où je chercherai à démolir votre article de partisan à la thèse réchauffiste pour nous imposer la taxe carbone qui se répercutera obligatoirement sur notre facture chauffage.... si toute fois, je veuille encore me donner la peine de vous instruire eu vous critiquant....


          • Claude Courty Claudec 14 décembre 2016 18:15

            @janel

            Tissu de stupidités, doublé d’ignorance.

            Je vous renvoie aux dictionnaires. Vous y apprendrez qu’un franc-tireur est tout autre chose que ce à quoi vous pensez (ou à ce que d’autres pensent pour vous et que vous répétez sottement).

            Franc-tireur = Combattant indépendant ; Au fig. Personne qui, appartenant ou non à un groupement, à un parti, à une école, professe une certaine indépendance d’esprit, manifeste [ ou s’efforce de manifester] des idées avancées ou ne se plie pas entièrement à la discipline (tlf - CNRS).

            Avant de prétendre donner des leçons, préoccupez-vous donc de savoir de quoi vous parlez, ça vous évitera de passer doublement pour un imbécile.


          • janel janel 14 décembre 2016 20:43

            @Claudec

            Vous n’êtes pas en situation de me reprocher ceci : (à ce que d’autres pensent pour vous et que vous répétez sottement). Non !!!! Je pourrais facilement réfuter votre assertion en vous défiant de me trouver l’original du texte que j’aurai répété sottement !!!!!


            Vous ne pouvez pas non plus me reprocher d’ignorer ce qu’un est franc-tireur puisque dans mon commentaire, je vous ai décrit sa fonction exacte dans un conflit armé.


            Et comme vous semblez de ne pas l’avoir remarqué ou plutôt de ne pas l’avoir compris, je vous répète ma définition du franc-tireur : Les franc-tireurs sont des tireurs embusqués ou « sniper » qui ont pris pour missions d’attendre qu’une cible apparaissent dans leur ligne de mire pour lui tirer dessus. Autant vous dire que les franc-tireurs ne sont pas autres choses que des tueurs.


            Ensuite je vous ai donné la définition du mot franc qui veut dire libre.


            Après m’avoir insulté en me traitant d’imbécile, vous n’avez pas réussi à vous placer au dessus de moi en me donnant une définition plus précise et rapide de ce que sont les francs-tireurs.


            Pour objecter ma définition, vous avez eu recours à un copié-collé. Je vous rappelle donc que vous m’avez déjà reproché de ne répéter ce que les autres ont déjà dit.


            Vous ressemblez à quoi maintenant que vous qui avez été pris en flagrant délit de commettre ce que vous reprochez aux autres de faire.


            Vous ressemblez à une nouille ramollie du cerveau incapable d’apprécier ce qu’on lui dit tellement elle se croit supérieur, cette nouille.


            J’ai assez perdu mon temps avec vous.


            Salutation et bonne baise.





          • Sergio Sergio57 16 décembre 2016 19:27

            L’Etat français va prêter 70 million d’euros à William Saurin, ça va en faire du méthane en plus ! 

Ajouter une réaction

Pour réagir, identifiez-vous avec votre login / mot de passe, en haut à droite de cette page

Si vous n'avez pas de login / mot de passe, vous devez vous inscrire ici.


FAIRE UN DON



Publicité



Les thématiques de l'article


Palmarès



Publicité