Deux mille milliards de « dette » ? C’est du bidon…
Ça y est ! La « dette » de la France a atteint et même dépassé les 2.000 milliards d’euros. Depuis hier, les média(rhées) nous gonflent les aliboffis avec des illustrations de ce que représente cette « dette ». Le nombre d’Airbus, de rames de TGV, le volume de l’Arc de Triomphe en billets de 10, etc.
Faux ! Konnerie ! La « dette » ne représente rien pour une raison bien simple : Les banquiers « prêtent » de l’argent qu’ils n’ont pas. Parce qu’ils ont un ratio de prêt de 9 à 1. Ce qui veut dire qu’ils peuvent prêter 9 lorsqu’ils ont seulement 1 en caisse ! Ils se contentent de passer quelques lignes électroniques et d’encaisser les intérêts. C’est de la pure arnaque à grande échelle.
En 2008-2009, avec un plan d'attaque établi dès la fin des années 90 par Goldman Sachs, les banques ont orchestré un risque de banqueroute généralisée suite à la "crise" organisée des subprimes. En réalité, avec quelques mouvements de lobbying et en achetant quelques hauts responsables, les banksters ont amené les dirigeants occidentaux, et particulièrement le président français en la personne de Nicolas Sarkozy, à livrer l'argent public des États dans ces mêmes banques... en empruntant cet argent à qui ? Aux banques que l’État était censé renflouer ! Un truc de oufs… Et l'addition est salée. De moins de 1300 milliards, la France est passée, suite à ce hold-up historique des banques, à plus de 2000 milliards aujourd'hui, soit plus de 700 milliards d'euros. Ceci s'appelle désormais la "crise" de la dette publique. Il faut greffer à ça les intérêts de la dette, donc de l’argent pour enrichir encore plus les banques (et les classes dirigeantes) que nous avions "sauvées". Merci Sarko !
La dette est voulue, les déficits sciemment entretenus dans le but de fabriquer le prétexte imparable pour détricoter les acquis sociaux, démolir la démocratie de proximité et détruire la redistribution des richesses ! En a découlé un effondrement des recettes fiscales et sociales, contraignant à plus d’austérité, plus de destruction des services publics et par conséquent… creuser encore et encore la dette. Et en plus culpabiliser le cochon de payant qui "vit au dessus de ses moyens".
L’origine de cette dette provient essentiellement de l’arnaque de la loi dite Rothschild-Pompidou, avec la complicité de Giscard. Cette loi scélérate qui a interdit à l’État français de se financer directement auprès de la Banque de France en lui imposant de se financer auprès des banques privées. Celles-ci se finançant auprès de la banque centrale à très faible taux d’intérêt et… « prêtant » l’argent des contribuables à taux bien plus élevé à l’État. La différence va dans la poche de ces banksters et prend le nom de « dette publique ». Ce système inique, cette arnaque gigantesque, a été repris par l’Europe avec les accords de Maëstricht. Cette dette a pour finalité d’asservir les États tout en renforçant le pouvoir des financiers et des rentiers. A noter que cette loi scélérate est concomitante (1973) avec la création de la mafia financière dite « Trilatérale » par Rockfeller et autres banksters…
Cette dette s’est aggravée dans les années 80. Les dépenses publiques n’ont cessé de croitre, jusqu’en 1996, tandis que les recettes publiques n’ont cessé de décroitre. Depuis les années 1980, la fiscalité sur les ménages les plus riches est passée de 65% à 41%, la fiscalité sur les entreprises est passée de 50% à 33%, et même à 8% pour les grands groupes du CAC40 (caca-rente). Évidement, la baisse des cotisations sociales des entreprises est à l’origine du déficit de la sécurité sociale et de la réforme des retraites. La dette permet un transfert des richesses vers les plus riches, payée par l’ensemble de la population. Les uns hériteront de la dette, les autres de l’argent de la dette. Le système et les inégalités seront ainsi perpétués.
Alors que faire ? Gel de ce surcroît de dette d'au moins 700 milliards (la dette « Sarko ») et soumission au référendum pour décider de son annulation pure et simple.
Les Islandais l’ont fait. Pourquoi pas nous ? François n’a-t-il pas dit un jour « Mon ennemi, c’est la finance » ?
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77 réactions à cet article
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Rien à dire !
Entièrement d’accord !Cela dit, pour dégonfler les aliboffis, deux solutions :- appliquer pendant 15 mn un sac rempli de glace sur la partie gonflée- faire appel à la veuve Poignet, secourable et désintéressée.-
Cette veuve, fort joyeuse, est une grande bienfaitrice de l’humanité mâle !
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On ne peut plus pendre Pompidou.
Mais il faut se dépêcher si on veut pendre Giscard.Personne en France ne l’a autant mérité.Mais qui dans ce panier de crabe qui nous gouverne aura le courage de dire qu’on a fini de jouer au monopoly, et que cette dette, on ne la rembourse plus parce qu’elle n’a nulle raison d’être ?Qui ? -
Qu’un état gère mal cela est possible mais que TOUS - les 28 - soient ensemble à quelques variantes près dans la mouise, attend une autre explication que celle d’avoir « VÉCU AU DESSUS DES SES MOYENS » ! Toute l’Europe est malade : mais c’est une épidémie alors ? À moins que...
Souvenons-nous, sont arrivés ensemble :
- la chute du mur de Berlin (et les frontières disparues) a favorisé les déménagements d’usines (surtout l’Allemagne et sa proximité vers l’Est ), les bénéfices tirés de cette désindustrialisation à l’ouest restant au passage dans les même poches des patrons et autres zinzin (les investisseurs institutionnels et autre packages financiers)
- à l’ouest - l’ours soviétique à genoux - plus questions alors de s’inquiéter des opinions publiques : « youpi c’est la fête, champagne ! » se réjouirent tous les Picsou d’occident, on a gagné« !!! Les usines fermant en lâchant dans la nature des milliers et des milliers d’emploi, les états refusant de taxer avec justice et INTELLIGENCE la finance pour compenser les pertes sociales née de ce nouveau business, les politiques vont de concert agir donc sur trois leviers pour rembourser ces fameux emprunts, »compensatoires« au désordre voulu et bien organisé, les transports, les personnels déplacés, les normes inapplicables :
1er levier - détaxer (au nom de la compétitivité) les entreprises, laisser s’installer un dumping fiscal (voir les paradis au coeur de l’Europe), réduire les cotisations sociales patronales (les charges qu’ils disent) d’une part... tout cela créant un trou abyssal... qui sera comblé par l’emprunt... ben voyons... un peu comme celui qui ne paye pas le juste prix de sa cantine et la collectivité qui compense !
2e levier - réduire voire supprimer ce que nos anciens avaient obtenu de longues luttes sociales, le gros mot »d’acquis social« , voulu par le CNR, signé par de Gaulle, le PCF, le PS, les Chrétien/sociaux etc... (ce que Chaban-Delmas voulu instituer avant que Pompidou ne le vire)
3e levier - laisser américaniser plus encore la société française par de sournoises privatisations, au bénéfice de quelque Qatari et autres philanthropes, vente des bijoux, le tout pour compenser les creux provoqués intentionnellement pour un retour au 19e siècle (Lire Thomas Piketty)
Mais avant cette ruine imminente et annoncée de notre société, partout en Europe (et ailleurs peut-être), il faut rappeler le rôle de nos industriels nationaux partis au long de contrées lointaines - non pas pour rapporter des épices - mais détruire des pans entiers de ce qui se fabriquait par exemple en France. Complément d’enquête un soir sur la 2 montrait le déchargement au Havre d’un porte contenairs provenant de Chine lequel repartait À VIDE !!! Pas besoin d’explication de texte, l’image suffisait pour comprendre ce qu’il se passait !
»Qu’un chat soit noir ou gris, peu importe, s’il attrape les souris« . Nouvelle »religion« de Den Siao Ping, il promulguait ce nouvel adage tout en supprimant la faucille et le marteau du drapeau national : »on allait voir ce qu’on allait voir...« et on a vu, ce Peuple qui voilà peu de temps hier utilisait encore le boulier avant que les anciens »ennemis« n’arrivent avec plans, machines, sciences, études, matières, outils, pour fabriquer à vil prix ce qu’alors ils avaient cependant réussi chez nous mais au passage, ces Medef associés construisirent quelques nouvelles fortunes en conservant - pour eux comme d’hab - la différence de »coûts" permis par ces déménagements et quelques corruptions certainement...
Pour conclure et si vous additionnez :
- 1973, les Etats empruntent aux banques privées - perte du levier de souveraineté
- 1989, le mur et toutes ses conséquences (heureuses certes pour beaucoup d’entre-elles)
- 2000... 2014... et à suivre : LE BORDEL GÉNÉRALISÉ !!! -
puis Mitterrand , Chirac, Sarkozy ...
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Vous oubliez Hollande cher ami !!!
Et tous ses potes « Young Leaders » de la French-American foundation (attention, à l’UMP il y a Juppé qui est en train de reçevoir un gros coup de piston !!!).
La French-American Foundation, c’est quoi ?
Cherchez par vous-mêmes, nausée assurée.
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howahkan Hotah 1er octobre 2014 12:19Merci, .....a répéter encore et encore.......
cela dit si on arrête de jouer au monopoly ceci ne peut arriver...or « on » veut jouer au monopoly...alors forcement il y a un gagnant...a moins que l’ on voit en comprenant l’arnaque que de toutes façons tout jeu mène à un tel résultat.
aucun jeu pour gagner n’est anodin.....
non je ne crois pas l’humain du présent mur pour ce changement de l’esprit...pas encore...il faudra pire..
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Très bon résumé... Les impôts servent de moins en moins à financer les services publics mais de plus en plus à grossir les bonus des banksters.
Que faire ? L’annulation de la dette (intérêts) est un bon début. L’annulation de la Loi Pompidou-Giscard (version Maastricht) est nécessaire si l’on veut briser le cycle de la dette.
A lire la très intéressante série sur l’annulation de la dette au cours de l’Histoire.
Première partie-
Bonjour Victor,
Pour rembourser sa dette publique, le gouvernement islandais a fait comme les autres : demandé et obtenu un prêt de 2,25 milliards d’euros au Fonds monétaire international (FMI).
En échange, le gouvernement a imposé une série de mesures d’austérité équivalentes à 10% du PiB
l la monnaie islandaise s’est effondrée, le pays a subi une importante inflation (jusqu’à 18%), soit une baisse nette des salaires réels.
Cela a contribué à étrangler encore plus les prolétaires islandais d’autant que nombres d’entre eux avaient contractés des prêts immobiliers avant 2008, prêts indexés sur l’inflation… Qui ont donc vu leurs taux d’intérêts exploser entre 2008 et 2012 !
En 2012, le taux d’endettement des ménages était de 225%. Pour pouvoir le rembourser, les Islandais ont été contraints à puiser dans leurs retraites complémentaires : …
Autre chose : l’islande a emprunté 1 milliard sur les marchés financiers pour rembourser l’aide du fmi, et je ne crois pas que les taux d’intérêts de cet emprunt ait été aussi bas que ceux qui nous sont accordés et nous permettent (jusqu’à présent) de ne pas couler à pic..
D’autre part, la banque publique a été privatisée....
Bref si c’est cela que vous nous proposez comme exemple à suivre, je ne crois pas qu’il s’agisse de la meilleure solution.. : le recours au FMI, l’impossibilité d’emprunter sur les marchés pendant un certain temps puis à des taux qui seront autres que ceux dont nous bénéficions... les privatisations, l’austérité en plus, des crédits immobiliers et divers qui ne seront plus remboursés.. la galère quoi
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Pour ce qui est de l’Islande il faut distinguer trois moments ou trois phases .
Dans un premier temps les autorités ont réagis d’une maniére ’classique’ : faire payer le peuple .
Dans un deuxiéme çà a tourné à 180° . Le président l’a trés bien expliqué pourquoi , plus aucun dirigeant n’était en sécurité . Là ils ont pris les bonnes décisions , celles normalement qui viennent à un esprit normal populaire . A la surprise des experts çà marchait tout allait bien .
Un troisiéme temps c’est présenté d’une maniére innatendue . Un controle de circulation des capitaux avait été instauré . Celui ci ne satisfaisait pas tout le monde , en particulier ceux qui en avaient des capitaux , évidemment . Et plus précisemment des hedges funds étrangers qui voyaient leurs fonds bloqués . Ceux ci ont mis en place un stratagéme fatal au bon sens Islandais . Ils ont créé une cryptomonnaie miraculeuse , avec une généreuse distribution de 200e à tous le monde qui en voulait . Se créant par là la possibilité de contourner le pouvoir gouvernemental .
Ainsi les Islandais se sont fait harponner comme une baleine .
Faut réfléchir à tout question monnaie . Et se méfier surtout des meilleures intentions . -
Les Islandais l’ont fait. Pourquoi pas nous ?
Parce qu’ils ne sont que 300 000 , soit la ville de Nancy ! Leur dette a été répartie et diluée .
Nous dépensons 30% de plus que ce que nous gagnons ( 266 Mads de recettes, 372 Mards de dépenses ) et tous les gauchistes d’avox trouvent que cela n’est pas encore assez .-
C’est quoi le pendant du gauchiste.... le gentil ?
En attendant, la dette, ce sont des intérêts et rien d’autres.
Après si pour toi une bande qui s’accapare la création de monnaie pour son propre compte c’est un bande de gentils, alors tu es irrécupérable.
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Nous dépensons 30% de plus que ce que nous gagnons dont au moins la moitié pour payer les intérêts de la dette, c’est donc le serpent qui se mord la queue. L’autre moitié venant de la mondialisation qui permet au pognon des plus nantis (pas les classe moyennes, pas les cadres sup, pas les professions libérales qui sont des petits minus comparés à ceux qui tirent le ficelles) de foutre le camp à l’étranger.Tant qu’à arriver à l’austérité, il fallait la faire en 1973 sans emprunter un seul centime aux marchés financiers qui seraient moins arrogants aujourd’hui. Pour la population le résultat final aurait été le même sans l’endettement en prime. -
Mac , tu as parfaitement raison . Et pourquoi s’est-on endetté depuis 1975 ? Logiquement, on s’endette pour investir mais dans notre cas, c’est juste pour continuer à distribuer des avantages à droite et à gauche . Maintenant on est foutu.
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Kalagan75, sais tu ce que sont les « risques sociaux » et la logique de repartissions quant a leur résolution ?
Autre question, Pourquoi les banques ont le droit de pratiquer l’effet de levier, d’utiliser la reserve fractionnaire, et a fortiori l’interdit-ont a un état souvreain !?!?!la reponse est intersequement lié a la théorie libéral utilisé par les capitaliste pour légitimer leur liberté de nous interdir au principe que cela « entrave leur liberté de commercer » !il faut retourner la table un bonne fois pour tout, et c’est certain que les usa vont tenter de saisir nos avoir un peu partout dans le monde pour reccupérer la dette désavoué, comme il l’ont fait avec l’argentine. -
non ce sont les émigrés qui ruinent le pays !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
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Encore un con qui ne comprendra jamais rien à rien. Vas voter marine et ferme là
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Une question à l’auteur : vous pourriez préciser qui sont ces gens représentés par le Gouvernement dans le petit dessin, et qui sont presque aussi gras que le système bancaire ?
Au passage, que sont devenus les actionnaires et les patrons de l’industrie et du commerce ?
Est-ce que Pierre Gattaz était aux chiottes quand vous avez pris la pris la photo ?
Parce que, pour ces gens-là, pas plus que pour les banquiers, la dette c’est du bidon : ce sont des rentrées sur lesquelles ils comptent. Et si on ne veut pas la rembourser, il ne suffira pas de demander la permission, si vous voyez ce que je veux dire.
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En ne répondant pas, l’auteur signe son appartenance politique : la droite libéralo-poujadiste.
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L’Equateur a fait mieux que l’lslande. C’est un petit pays formidable. Un pays exemplaire qui a eu le courage de dire MERDE aux banques et à tous les charognards du monde financier mondialisé, c’est-à-dire étazunien.
Ce petit pays, qui doit son nom à sa position géographique (sur la côte ouest de l’Amérique du Sud et...sur l’équateur), était mis en coupe réglé par les multinationales étazuniennes. Sa monnaie – le Sucre – a même été remplacée par le dollar US. C’est dire la main mise yankee sur le pays.
Eh bien le 14 décembre 2008, Rafael Correa, président de l’Equateur, prend une décision simple, évidente et ferme : annuler unilatéralement la part qu’il juge « illégitime » de la dette publique de son pays, et suspendre le remboursement de tous les titres de la dette. Cette part illégitime fut estimée à 70% de la totalité de la dette !
Cette décision faisait suite aux travaux d’un audit de la dette du pays sur la période 1976-2006 effectué dès 2007 par une commission d’enquête indépendante. Il faut savoir que l’Équateur avait alors perdu sa souveraineté, placé qu’il était sous les diktats du FMI et de la Banque mondiale.
Les experts de la Commission ont identifié des tranches de dettes dites « illégales » (dont le contrat est contraire au droit international ou équatorien), « odieuses » (contractées par un gouvernement despotique, à l’encontre de l’intérêt des populations) ou encore « illégitimes » (par exemple lorsqu’elles sont creusées pour voler au secours des banques privées...).
Les banques ricaines ont gueulé au charron, mais Correa les a envoyé chier ! Et que croyez-vous qu’il se passât ? 95% des créanciers de l’Équateur (FMI, Banques, et autres fonds institutionnels) ont accepté cette décision !
Ainsi le président Correa, s’appuyant sur l’outil fort efficace de l’audit de la dette mais aussi sur une mobilisation populaire sans faille, a su établir un rapport de force suffisant pour faire avaler aux mafias financières que la part de la dette qu’il annulait n’était pas celle du peuple et que ce n’était donc pas au peuple de la payer !
La nouvelle constitution, approuvée par 64 % des votants lors du référendum de septembre 2008, renforce le rôle du Plan national de développement et fait de l’État un acteur central dans la production de biens, la construction d’infrastructures et la régulation. Les activités financières sont désormais considérées comme un « bien public » et le contrôle des ressources naturelles par l’État devient un principe constitutionnel.
Le président Correa entend s’attaquer à des chantiers où l’immobilisme a longtemps été la règle, en particulier l’amélioration de la qualité du système éducatif et l’efficacité de l’administration. Le gouvernement essaie de diversifier ses partenaires commerciaux, en privilégiant une coopération économique et technique Sud-Sud avec des pays comme l’Iran, la Chine et, surtout, l’ALBA (Alternative bolivarienne pour les Amériques). Le pays a quitté le Centre international de règlement des différends (CIRDI), refusant les arbitrages internationaux bidonnés par les Etazuniens. Le gouvernement tente de promouvoir la création d’instances exclusivement régionales au nom de l’indépendance et la souveraineté vis-à-vis des pays industrialisés.
Voilà un exemple à suivre !
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Oui, mais j’ai peur que nous ne soyons trop impliqués pour que ça se passe sans casse sévère.
Et le rapport d’échelle ne peut être écarté d’un simple revers de la main, ce qui marche pour l’Islande ou l’Equateur ne marchera probablement pas pour nous.
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Si un pays comme la France (encore cinquième puissance du monde) renverse ainsi la table où se gavent les banksters, ça fout tout le système en l’air.
Restera plus qu’à se rapprocher des Bricks pour mettre à bas - enfin - l’hégémonie du dollar. -
ça fout tout le système en l’air.
cassus belli
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et pour les curieux ...
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QUI DETIENT LA DETTE DE LA FRANCE ?"Sur le site de l’AFT, le citoyen curieux apprend juste que un tiers de la dette est détenu par des investisseurs français, un tiers au sein de la zone euro, et un tiers à l’étranger, en dehors de la zone euro, mais les non-résidents peuvent être de faux non-résidents, des Français détenteurs d’un portefeuille d’obligations via un paradis fiscal. Les trois plus gros détenteurs de la dette française sont le Luxembourg, les îles Caïmans et le Royaume-Uni ! Les Îles Caïmans, un paradis fiscal des Caraïbes autant peuplé que Châteauroux (44 000 âmes), pourrait donc ainsi faire basculer le destin des Français ?«
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Excellent ! la plus grosse partie de cette dette est totalement illégale puisque détenue par des paradis fiscaux, c’est donc bien du bidon...
C’est assez facile de deviner qui se cachent réellement derrière les numéros de compte, c’est forcément pas les plus pauvres et les moins cupides de la planète.....
La dette, c’est juste le prétexte pour que le mouton reste bien tranquille à la tonte....
En d’autres temps, c’eût été un très grave »casus belli".......................... -
Il a fait bien mieux, mais ça ne peut marcher qu’une fois :
Il a en réalité payé la dette du pays.Il a dit qu’il ne payerait pas les fameux 70%. Aussitôt, l’ensemble des dettes, jugées trop risquées ont été revendues à tout petit prix. Il a racheté cette dette le quart du prix de ce qu’elle valait avant. Il l’a donc bien payée... mais pas cher. Un coup de bluff qui a marché. Et on ne peut rien lui reprocher puisqu’il ne doit plus rien à personne.
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il a n’y a jamais eu d’audit sérieux sur la Dette publique...... et pour cause serait -on tenté de dire !!!
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Que d’âneries et de fantasmes dans ce condensé de « réflexions ».1. La dette (= l’argent que l’état demande aux banques) provient de politiques irresponsables qui, pour se faire élire, promettent des merveilles irréalistes à leurs électeurs. Cela s’appelle de la démagogie.2. Un budget équilibré = on dépense ce que l’on gagne, au plus. Et ce n’est pas parce que l’on s’appelle Etat que l’on a le droit de se placer au dessus de la mêlée.3. La loi Pompidou a pour but d’obliger l’état à emprunter dans le privé pour éviter la tentation de « faire marcher la planche à billet » = avant on avait besoin d’argent et on demandait à la banque de France de le « créer ». Si 1000 milliards de Francs étaient en circulation, et que l’on en imprimait 1000 milliards alors progressivement le Franc perdait sa valeur jusqu’à 50% théoriquement. Conséquence : la baguette de pain passe à 2F, là où quelques temps plus tôt elle n’en valait qu’1F. De même, 1000F placés sur un livret qui permettaient d’acheter 1000 baguettes, ne pouvaient plus qu’en acheter 500 « post-création » monétaire. Cela s’appelle l’inflation. Dans le système proposé à l’époque, l’idée était d’emprunter de l’argent sur les marchés (à un taux qui équivalait le plus souvent à l’inflation = pas de bénéfice pour la banque, ou peu) et de le rembourser (l’argent emprunté ne restait pas dans la circulation). Ainsi, il n’y avait pas augmentation de la masse monétaire. Ensuite, s’il y a eu intérêt c’est aussi pour faire réfléchir à la meilleure façon de dépenser l’argent : le pognon se jette plus facilement par la fenêtre s’il ne coûte rien, que s’il en coûte.4. Trouvez vous normal que, de façon chronique depuis 40 ans, on dépense 10% de plus que ce que l’on gagne ? Dans le privé, une telle société fait faillite. Expliqué autrement, vendre de la dette à un état revient à filer de la drogue à un drogué ou de l’alcool à un alcoolique.5. Cet argent prêté correspond à des économies de quelqu’un (alternativement il est endossé contre un actif de quelqu’un) = si l’argent prêté n’est pas remboursé, l’investisseur perdra sa mise (ou, dans le cas de garanties, l’impayé de remboursement sera pris sur les actifs qui l’ont garanti). Ne pas rembourser la dette, c’est spolier quelqu’un.6. Pour l’Islande, il serait bon d’aller jusqu’au bout de l’histoire. Oui, le pays n’a pas remboursé sa dette. S’en est suivi un super-plan-drastique de réduction des dépenses de l’état et de libéralisme. Plus personne ne voulant prêter à l’Islande, le pays est retourné à la planche à billet (votre système pré-pompidou). Résultat des courses : une inflation bien largement supérieure à la progression des salaires (+ de 15% / an), une dévaluation de la monnaie et de l’hyper-endettement des ménages (taux d’endettement > 200% = en moyenne la dette d’un islandais dépasse deux fois le montant de son patrimoine). Et bien sûr l’impossibilité d’emprunter de l’argent sur les marchés dans le futur. Et puis c’est un pays de 400.000 habitants. La France est 175 fois plus grande. Il ne faut pas comparer les choux et les carottes, une grande « signature diplomatique » dans le monde et un pays de quelques pékins, sans industrie, qui vivent dans le froid.Bon après je ne vous demande pas de réfléchir à mes propos. Vous devez être tellement convaincu que vous avez raison et que le « système » est vérolé de vilains banquier qu’il est très incertain que vous changiez d’avis.Bien à vous-
3. La loi Pompidou a pour but d’obliger l’état à emprunter dans le privé pour éviter la tentation de « faire marcher la planche à billet »
Quel succès, tout va bien aujourd’hui, surtout ne rien changer.
Et aucun mot sur qui empoche les intérêt en prêtant du fric qu’il n’a pas ?
Non un, surtout pas, chut !le pognon se jette plus facilement par la fenêtre s’il ne coûte rien, que s’il en coûte.
De mieux en mieux, t’iras dire ça au nabot, et à tous les petits seigneurs issus de la décentralisation par exemple.
Je me suis pas fais chier à lire la suite de ton pavé, les premières lignes suffisent, je réponds par « abus de faiblesse », ou encore "publicité mensongères".
Bref, au vilain banquier tu réponds par le gentil banquier.... tu vaux pas mieux..
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« Trouvez vous normal que, de façon chronique depuis 40 ans, on dépense 10% de plus que ce que l’on gagne ? »
Mais n’avez-vous pas compris que ce qu’on dépense en plus que ce que l’on gagne, c’est pour payer les intérêts d’une dette qui n’a pas lieu d’être ?Vous êtes un serpent qui se mord la queue. -
La BCE prête aux banques à un taux de ... 0.015% !!!
Tatata !!! Sonnez trompettes !!!
Ensuite, les banques prêtent à des taux d’intérêts négatifs, elles perdent de l’argent par pur civisme, tout le monde le sait !!!
De plus, AVEC LES « DETTES SOUVERAINES », le risque est quasi-nul car ces dettes étant adossées à l’état, ce sont au final les contribuables qui payeront (du moins les plus pauvres)...
Il faut vraiment arrêter de perndre les gens pour des cons.
Ces histoires de « dette souveraine » ne sont que des escroqueries destinées à enrichir quelques oligarques.
La meilleure preuve que ça marche, c’est que la dette continue de grimper et d’atteindre un niveau totalement ubuesque !!!
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@ionysis
Ah, ca fait plaisir de voir un post rationnel dans cet amas de bêtise. Merci.
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Entre 2009 et 2012, la dette publique a augmenté de 600 milliards d’euros, on ne peut pourtant pas dire que la période ait été marquée par une exubérance sociale et salariale ! C’est donc bien vers d’autres causes qu’il faut chercher les raisons de la montée de la dette.
Deux de ces raisons principales tiennent à la reprise par des organismes publics des dettes bancaires de la crise financière et à la récession provoquée par cette même crise. L’austérité et la pression fiscale sur la population en période de récession ne permettent pas non plus de diminuer la dette, mais juste de payer leur rente aux financiers...
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L’auteur ne comprend RIEN au fonctionnement de l’économie Capitaliste.
Pour rappel, dans le système Capitaliste, le taux de profit des entreprises s’effondre avec le temps. C’est cela qui cause toutes les crises économiques. La sorcellerie financière qui tente de modifier l’économie réelle en créant ou en détruisant des liquidité n’y peut absolument rien. Pas plus que la mystique Keynésienne (augmenter les impôts et la redistribution) ou la schizophrénie libérale (baisser les impôts et agrandir les marchés).Il n’y a rien qui puisse sauver le Capitalisme. Rien.La civilisation humaine a 12000 ans. Dans les 12000 prochaines années, jamais la France des années 50-70 ne réapparaîtra : JA-MAIS. D’ailleurs, vous qui regrettez cette veille France, il vous à peine quelques décennies à vivre.-
Ce qui est en rouge est juste ! Surprenant de la part d’un coco (ou assimilé). Dommage que la suite relève du facepalm.
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surprenant pour un coco ?
Ce sont les communistes les premiers à avoir analyser la nature des crises inflationnistes... bref...Ce qui est surprenant, c’est la quantité hallucinante de Keynésiens et de néo-fascistes qu’on trouve encore à gauche. Le Stalinisme a de beau jour devant lui. -
Il faut arrêter de culpabiliser tout le monde et vous même.
Jamais nous n’avons dépensé au delà de nos moyens, c’est un mythe.La dette vient exclusivement d’un jeu d’écritures et de règles truquées.Si l’Etat était resté notre prêteur exclusif, avec des intérêts nuls ou faibles comme il en avait le droit avant la loi scélérate de 1973, nous n’aurions aucune dette, et les intérêts que nous versons actuellement (égaux à la totalité de l’impôt sur le revenu et davantage encore) nous rendraient riches et prospères, et capables d’investir.-
Oui, à la place nous aurions une superbe inflation, les prix seraient 10x supérieurs à ce qu’ils sont, tous les petits épargnants seraient ruinés (yeah !), et cela ne changerait rien au problème de production et de distribution.
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L’inflation était certes à deux chiffre, mais la dette était à zéro.
La faible valeur du franc permettait de vendre à l’étranger, et d’acheter en France au lieu d’importer.Ce qui s’appelle une économie saine.De plus, les taux d’emprunt étaient équivalents à l’inflation, et chacun à cette époque a pu devenir propriétaire. Aujourd’hui, une masure de banlieue est strictement inabordable pour un jeune, pas moins de plusieurs centaines de milliers d’euros, sans espoir d’inflation salvatrice.Vous prônez donc le désespoir, et suscitez la révolte.L’inflation nulle ne peut intéresser que ceux qui ont l’argent, pas ceux qui bossent.Il vous reste à choisir qui vous voulez favoriser.Mais on l’a déjà bien compris. -
Il n’y a plus de boulot parce que notre monnaie est trop chère : d’où la difficulté à vendre à l’étranger, d’où les délocalisations, d’où nos achats à l’étranger plutôt qu’en France, d’où le chômage.
Sortons de l’Euro (et en passant de l’Europe et de l’Otan), et vous verrez notre industrie reprendre du poil de la bête.Notre monnaie est au-dessus de nos moyens, elle est juste faite pour l’Allemagne.La monnaie allemande devrait être 20% plus chère que la Française (elle-même 20% plus chère que les monnaies italienne et espagnole : 1.20, 1.00, 0.80.Tout autre taux est contre nature et insupportable.Une golf et une mégane valent le même prix, 20.000 euros.Une golf à 24.000 ne se vendrait plus en France. Mais une mégane à 16.000 se vendrait parfaitement en Allemagne. -
Une dévaluation serait immédiatement suivie d’une reprise de l’économie.
C’est mathématique et imparable.Le pétrole serait plus cher ? La belle affaire : l’état modérerait sa soif insatiable de taxes..Les exportations feraient le reste, et il n’y aurait aucune inflation, mais bien au contraire une remontée progressive de la valeur de notre monnaie, mais sur des bases saines cette fois.Je n’ai pas inventé le concept. -
Cette dette, même si elle est injuste est révélatrice de l’absence de gestion responsable de notre pays, elle aura eu au moins ce mérite là.
Quoiqu’il en soit, à l’instar de l’Islande et de l’équateur, je pense qui nous serons dans l"incapacité de régler cette dette et qu’il serait plus raisonnable d’effacer aux deux tiers cette dette à condition d’interdire désormais tout budget déficitaire sous peine de révocation du président en fonction.-
Mais il n’y a pas de budget déficitaire si la dette est annulée : le seul déficit est du au paiement des intérêts de la dette.
Plus de dette, plus d’intérêts de la dette, et un budget positif.C’est pourtant simple.Qui peut croire que les USA rembourseront jamais leurs 17.000 milliards de dette ?Mais eux ont une planche à billet qui tourne à plein, et personne ne leur en fait le procès. La rigueur, c’est juste pour nous. -
Mais il n’y a pas de budget déficitaire si la dette est annulée.
Le déficit budgétaire c’est dû (chaque année) au fait que l’on dépense plus qu’on ne gagne
Annuler la dette va faire qu’on va avoir un budget équilibré d’un coup d’un seul ?
Mais eux ont une planche à billet qui tourne à plein, et personne ne leur en fait le procès. La rigueur, c’est juste pour nous.
75% de la dette US est dans les mains des investisseurs étrangers, essentiellement chinois, et croyez moi ils ont leur mot à dire sur la valeur de leurs investissement ! C’est pas un procès qu’ils risquent
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75% de la dette US est dans les mains des investisseurs étrangers, essentiellement chinois
Bonjour,
je tiens à rectifier cette erreur. A la fin de 2012, la Chine possédait 13% sur les 22% de dette américaines détenu par les étrangers (dont la Belgique est devenu le 2eme détenteur étranger).
Le reste 78% c’est la FED qui l’a possède.(Planche a billet) -
L’organisation est simple : les recettes fiscales sont trop importantes pour que le capital ne lorgne dessus.
Il lui serait (encore et pour le moment) difficile de privatiser l’impôt en revenant au temps des fermiers généraux.
Alors, à la place, l’État est le fermier général unique et centralisé : il collecte l’impôt pour le capital et lui en reverse la plus grande partie.-
... et lui en reverse la plus grande partie... sous la forme des intérêts de la dette, premier poste budgétaire, avant celui de l’ Éducation nationale.
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Isga nous reprend les arguments des journalistes-economistes du systeme pour qui l’inflation a 2 chiffres était une conséquence de la possibilite qu’avait la banque de France d’émettre de la monnaie:mensonges mensonges l’inflation était faible avant 73 et a augmentée apres 73
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Donc pour résumer, les dettes souveraines et toutes les autres contractées auprès d’un établissement bancaire quelconque n’ont que la valeur que le système leur octroie, alors appuyons sur le bouton « effacement », finalement c’est un problème simple à résoudre.
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De 1959 a 1973 l’inflation etait faible et a augmentée apres la loi de 1973Oncle archibald, isga,etc... menteurs ! http://france-inflation.com/inflation-depuis-1901.php-
L’autre truc qui s’est passé en 1973 c’est le choc pétrolier lors duquel le prix du baril est passé de 2 à 12 dollars.
Ca semble plus logique de lier l’inflation (l’augmentation des prix) à cet évènement plutôt qu’à un changement du mode de financement public qui n’est pas directement lié avec le niveau des prix ?
Ca coulerait pas de source ? -
... Et si l’argent est bidon, inventons un monde sans lui ou tout au moins dans sa définition actuelle.
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Merci l’Auteur, Bonsoir Tous ,article à répéter et diffuser au plus grand nombre .
Une chose dont personne ne parle ,même deux ;
D’abord les matières premières qui diminuent comme neige au soleil et qui sont donc de plus en plus chères à extraire .
Deuxièmement la population qui à doublée depuis les années 1970 et qui continue à croitre de façon exponentielle .
Je pense que ce sont 2 facteurs en totale corrélation avec nos problèmes actuels ,les solutions se doivent d’être radicales .-
C’était en août 1994. Un ami de longue date, que j’avais connu très généreux envers les démunis, m’expliquait qu’il avait cessé de donner depuis qu’en décembre 1990, l’Etat – sous la présidence de François Mitterrand – s’était chargé de lui faire les poches avec la mise en place de la CSG – Contribution sociale généralisée.
Las ! Ne voilà-t-il pas qu’en janvier 1996, l’Etat – sous la présidence de Jacques Chirac cette fois – trouve bon d’en remettre une couche avec la CRDS – Contribution pour le remboursement de la dette sociale ?
Depuis, les finances de la France n’ont cessé de ressembler à un paysage lunaire : gouffres et cratères, avec quelques éruptions géologico-économiques dont on préfère oublier la lamentable altitude.
En cette année 2014, force est de constater que la tendance à la charité mal ordonnée s’est accentuée, voire accélérée. Au nom de quelle idéologie mortifère ?
Le contribuable sait-il, par exemple, qu’il paie pour que des clandestins soient logés à l’hôtel ?
Ces mêmes clandestins qui affluent par dizaines de milliers sur les côtes italiennes avant d’être « dispatchés » vers d’autres pays de l’UE ?
Logés à l’hôtel, mais pas dans un bouge parisien à 40 euros la nuitée : comme on connaît ses clandestins on les honore.
Le tout agrémenté, chaque mois, de quelques centaines d’euros d’argent de poche alors que, dans le même temps, d’honorables retraités se voient servir des pensions de 500 ou 600 euros mensuels pour avoir travaillé toute une vie !
Le contribuable sait-il que, pour la seule Ile-de-France, l’« hébergement d’urgence » concernerait à 80 pour cent ces clandestins, c’est-à-dire des gens qui, d’un point de vue strictement légal, n’ont rien à faire sur le territoire français ?
Voix off du choeur éploré des bien-pensants : « Clandestins-quel-vilain-mot-parlons-plutôt-de-sans-papiers ».
Voilà comment le détournement sémantique, arme redoutable au service de l’inversion des valeurs, permet de faire passer (sans jeu de mots) un clandestin – donc coupable de se trouver là où il est dans l’illégalité la plus flagrante – en un sans-papiers – ce qui en fait immédiatement une victime.
Dans le même temps, que fait-on des travailleurs pauvres, moins que smicards, qui dorment en foyer, dans une voiture, une embrasure de porte ou un parking ?
Il est grand temps que la charité redevienne ce qu’elle a toujours été avant qu’une morale universaliste et misérabiliste bouleverse un ordre universellement établi au nom du bon-sens : subvenir à ses besoins et ceux des siens AVANT de songer à partager le reliquat.
L’Etat français, dans sa poursuite effrénée du credo européen « le bien-être pour tous » – mais surtout les ‘pour tous’ venus d’ailleurs – préfère continuer d’ignorer le coût réel d’une immigration incontrôlée, tout comme il choisit de n’ouvrir qu’à moitié les yeux sur la gabegie engendrée par des institutions républicaines pléthoriques et redondantes, mille-feuilles dont les profiteurs ne sont pas les payeurs.
Au rayon du bricolage, l’Etat a choisi la tondeuse. Il est certes plus facile de s’attaquer à la bergerie qu’aux meutes de loups, élus ou cooptés, qui nous gouvernent et nous administrent.
En attendant, lesté de ces aberrations et de tant d’autres, le paquebot France continue de couler.
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Quand on vous dit et rebat les oreilles que l’immigration est une « chance » !..... Résultat : « 2000 à zéro » !... Je parlais en « milliards d’euros » !.. « Of course » !... Alors continuons !... Y’a pas de problème !... Sauf à tuer les familles, paupériser les retraités, et ne plus jamais augmenter le smig !... Continuons donc d’accueillir en notre sein ceux qui semblent moins bien lotis !..... Et tout ira encore et toujours mieux ! ...2 plus 2 faisant moins 1 !....... Nos « politiques » réinventent l’arithmétique !..... 2 plus 2 égal moins 1 !...... Il suffisait de le savoir !..... 2000 milliards d’euros de dettes !!.. Et après !!??? Ca change quoi ???.. Si l’immigration est vraiment notre avenir !!??!!... 3000 milliards !!??.. 4000 ??!!.. 5000 ??!!.. 20. OOO milliards ou 200.000 !!??...... Intégrons !.. Faisons venir ici toute la misère du monde entier !..... Puisque c’est notre « RICHESSE » !..... Pas de problème !... Quand il vous faudra emprunter plus que vous ne gagnez !....Rien que pour payer vos charges et vos impôts, sur le revenu ou locaux....... !!.. Vous verrez bien si « tel » n’est pas votre « problème » !..... Quand ceux qui payaient jusqu’à maintenant ne pourront plus !.... Qui paiera ?????!!.... Les « politiques » ??... Eh non !... PERSONNE ne paiera !.. Et pourtant des « pauvres » qui arrivent en bateau, y’en aura toujours au moins autant !.... Sinon plus !... Qui paiera pour ceux-là ?????... François et son gouvernement ???.. Ou les prochains ??... PERSONNE ne POURRA plus payer !... PERSONNE !... Adishatz.
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Mais comment peut-on écrire de telles conneries ? Sûrement par indigence culturelle. Savez-vous au moins par qui la plus grosse immigration de l’Histoire est représentée ?? Par les Européens au XIXème siècle. Réfléchissez un peu au lieu de tomber dans la paranoïa des débiles incultes.
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Y’a qu’à fusiller les créanciers !
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La dette de la France, c’est juste 1/24ème du « hors-bilan » de BNP-Paribas, c’est à dire 48 000 milliards de paries sur des prix futurs joués à partir des filières du « Shadow-banking »dans les « dark-pools » Britanniques essentiellement !
Pour améliorer tes performances de « trading à hautes fréquences », tu dois te rapprocher au plus près des serveurs de « trading » de la City, OK ?
Qu’en est-il de la directive MIF les gars ?-
La dette de la France, c’est juste 1/24ème du « hors-bilan » de BNP-Paribas, c’est à dire 48 000 milliards de paries sur des prix futurs joués à partir des filières du « Shadow-banking »dans les « dark-pools » Britanniques essentiellement !.
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La machine infernale s’est mis en mode autodestruction mais on ne sait pas encore quand se produira l’explosion en chaîne, aidez la machine à en finir au plus vite, ce suspens est intenable..... -
Victor écrit : "François Hollande n’a-t-il pas dit un jour « Mon ennemi, c’est la finance » ?
Oui, il l’a dit, mais c’était uniquement pour que les Français votent pour lui.Et ensuite, une fois élu, François Hollande fait la politique que lui demande de faire la finance.Le plus scandaleux, dans cette trahison, c’est quand François Hollande a nommé comme ministre de l’Economie un banquier d’affaires !Emmanuel Macron, millionnaire, ancien de la Banque Rothschild !Aujourd’hui, en France, c’est la finance qui est au pouvoir.-
Emmanuel Macron, comme Hollande, « Youg Leader » de la French-American foundation....
Que le monde est petit !!!
Combien de temps faudra-t-il vous le répéter avant que vous ne compreniez ?
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Jean Tulard est un historien de la Révolution française et du Premier Empire.
En novembre 2013, dans l’émission télévisée "Ce soir ou jamais", Jean Tulard parlait du huitième défaut de paiement de la France : ce défaut de paiement, "la Banqueroute des Deux Tiers", a eu lieu le 30 septembre 1797.
Jean Tulard dit :
"La Révolution française naît de la crise des finances publiques : 2 milliards de déficit, le roi ne peut plus emprunter, il est dans l’impasse.
On va trouver des solutions : on va nationaliser les biens du clergé, on va inventer le papier-monnaie, l’assignat, on va multiplier les solutions les plus invraisemblables. Pour aboutir à quoi ? A la Banqueroute des Deux Tiers sur tout le territoire. La banqueroute est inéluctable dans ce type de crises.
Qui paie dans la banqueroute ?
- Tous les crétins qui ont prêté à l’Etat.
- Tous les crétins qui ont acheté des actions.
- Tous ceux qui n’ont pas investi dans la terre, dans la pierre (c’est-à-dire les Biens Nationaux pendant la Révolution).
Quand vous faites le bilan de la Révolution française, à la fin du Directoire, vous constatez que les perdants sont tous ceux qui ont épargné, qui ont investi, etc, et que les gagnants sont ceux qui ont acheté de la terre.
La banqueroute met tout à plat. C’est la solution idéale. La banqueroute met tout à plat.
Paraît Bonaparte qui, sur les ruines du système financier, bâtit le franc-germinal, qui va durer jusqu’au franc-Poincaré.
Voilà. C’est très simple. Nous finirons sur une banqueroute. Elle est inéluctable."
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Tous les poncifs des pontifes n’y changeront rien, le monde est malade, nous sommes malades, le monde c’est nous.-
Bonjour,
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Sur le plan national
Au total, 21 milliards d’économies sont prévues pour 2015, soit un reflux de la dépense publique à 56,1% du PIB en 2015 (contre 56,5 en 2014). Ainsi, 7,7 milliards d’euros d’économies seront imputées à l’État et ses agents. Le ministre des Finances, Michel Sapin, avait avancé le 10 septembre, un chiffre légèrement inférieur : 7 milliards d’euros. Pour le reste, l’effort des collectivités territoriales se chiffrera à 3,7 milliards d’euros, celui de la Sécurité sociale à 9,6 milliards (dont 3,2 milliards pour la seule branche maladie).
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En 2016 le gouvernement prévoit de diminuer les dépenses publiques à 55,5% puis à à 54,5% du PIB en 2017. Au total, sur trois ans l’effort devrait se chiffrer à 50 milliards d’euros.
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Le budget 2015 « plaît surtout » aux patrons et à Bruxelles !
La CGT a estimé que le budget 2015 présenté mercredi par le gouvernement plaisait « surtout aux patrons et aux technocrates de Bruxelles », qualifiant de « graves » les conséquences des coupes budgétaires prévues. "La couleur avait déjà été affichée par le président de la République et le gouvernement : il s’agit bel et bien d’un budget d’austérité dans la droite ligne de l’économie de l’offre que veut promouvoir le pouvoir en place« , affirme la centrale dans un communiqué. Selon la CGT, »les conséquences économiques et sociales des coupes budgétaires sont graves« . »La baisse des dotations des collectivités pèse sur l’emploi et les investissements« . À la Sécurité sociale, »ces coupes vont aggraver la situation des plus modestes", notamment pour les soins de santé. En revanche, estime la CGT, "les entreprises continuent d’être servies généreusement" dans ce budget.
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Outre le faible recul du déficit public, le gouvernement a prévenu que son déficit structurel, solde scruté de près par Bruxelles, ne se rapprocherait de l’équilibre qu’en 2019, et non en 2017.
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Conséquence : la dette publique, désormais à plus de 2.000 milliards d’euros, devrait culminer en 2016 à 98% du PIB, avant d’entamer un repli « supposé ».
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Wauquiez (UMP) redoute une « nouvelle saignée » des classes moyennes. « Ce qui me gêne dans ce budget, c’est que je crains que ce ne soit une nouvelle saignée pour les classes moyennes et que ce gouvernement soit très hypocrite quand il dit qu’il baisse les impôts : il reprend d’une main ce qu’il donne de l’autre » estime le député-maire du Puy-en-Velay (Haute-Loire) Laurent Wauquiez sur RTL.
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Hier j’ai attendu dans la radio dire Qu’ils ne toucheront pas aux revenues des riches !
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Cette crise est une crise artificielle, volontairement maintenu, par la TROIKA pour forcer les états européens de brader les services publics ainsi des divers bien publics et de détruire le tissus social qui est une plaie pour le grand patronat vautour.
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Ce que nous vivons en ce moment n’est rien d’autre que l’application des traitées européens (Masstricht et Lisbonne) plan concocté par l’oligarchie financière (Goldman & Sachs et companie)
.Les milliardaires sont plus nombreux et plus riches en 2014
Le classement Forbes des milliardaires de la planète met en évidence que cette crise financière qui durée depuis 2008 à bien épargné les riches.
Le nombre d’ultra-riches est en effet en hausse de 15,3% et ils sont désormais 1.645 à faire partie de ce classement, un record absolu depuis sa création il y a 27 ans. Pour l’anecdote, ils n’étaient plus que 793 en 2009 en pleine débâcle financière.
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C’est la preuve irréfutable que cette dite « crise » est volontairement imposé aux états européens pour spolier le bien des travailleurs et de la classe moyenne.
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Il y urgence de sortir de l’Europe !-
Les exemples de pays s’étant libérés de leur dette existent. C’est possible, et c’est possible avec le peuple. Pour que la France suive leur exemple cependant, il faut en premier lieu qu’elle regagne sa souveraineté. Car au niveau financier, tout se décide aujourd’hui à Bruxelles. Et Goldman-Sachs, Rothschild et consorts y sont particulièrement actifs. Cette conférence de 4h « Qui Gouverne la France et l’Europe ? » est particulièrement instructive à ce sujet : https://www.upr.fr/conferences/qui-gouverne-la-france
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Au lieu d’ergoter sur le devenir de la France au cas où elle reviendrait à la planche à billet,regardez donc ce que font les USA ,ils asservissent l’occident avec un PQ qui s’appelle le dollar . Ils impriment à tout va pour compenser la dette abyssale qu’ils creusent tous les jours ,la presque totalité de leurs avoirs appartiennent à la Chine qui les tient par les co...les.Ils attendent vraisemblablement le moment propice...et pendant ce temps ils roulent des mecaniques avec la complicité des dirigeants européens... !!
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« L’origine de cette dette provient essentiellement de l’arnaque de la loi dite Rothschild-Pompidou, avec la complicité de Giscard. Cette loi scélérate qui a interdit à l’État français de se financer directement auprès de la Banque de France en lui imposant de se financer auprès des banques privées. »
L’analyse de Magali Pernin et Lior Chamla ne semble pas d’accord avec cette assertion concernant la loi de 1973 cf :http://www.theorie-du-tout.fr/2012/03/loi-1973-rothschild.htmlPar contre c’est bien le Traité de Maastricht qui interdit clairement aux Etats de recourir aux banques centrales nationales. L’UE est devenu d’une telle toxicité pour la France que je lorgne de plus en plus sérieusement sur le programme de l’UPR. Couper les ficelles ! peu importe qui les tire...-
Et dire que ma banque me téléphone chaque fois que je dépasse mes 1000 autorisés !..... C’est qui la « banque de la France » ?????!!!.... Si je pouvais y ouvrir un compte !!....Ah bon, c’est moi le banquier ???.... Vous déconnez là !.......Faudrait vraiment que je parle sérieusement à mon banquier !!!.... Adishatz.
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On coupe comment le robinet a dette ?
Interdiction a l’État d’emprunter.Sinon une bonne solution serais a la fin du mandat de Hollande si dette il y a tous les Élus au SMIG max jusqu’à épuration de la dette, président compris. Et les pensions des élus au minimum vieillesse, tous les présidents inclus. (je suis sur que rapidement ils sortiraient le pays du caca)
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« On coupe comment le robinet a dette ? »
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En appliquant ce programme inspirée du programme du CNR -
En Europe, quels sont les Etats qui ont été en défaut de paiement ?
Réponse :
1- L’Espagne a été 13 fois en défaut de paiement.
2- L’Allemagne a été 8 fois en défaut de paiement.
3- La France a été 8 fois en défaut de paiement. Rappel : le dernier défaut de paiement de la France remonte au 30 septembre 1797 (les historiens l’appellent « la banqueroute des Deux Tiers »).
4- L’Autriche a été 7 fois en défaut de paiement.
5- La Hongrie a été 7 fois en défaut de paiement.
6- Le Portugal a été 6 fois en défaut de paiement.
7- La Turquie a été 6 fois en défaut de paiement.
8- La Grèce a été 5 fois en défaut de paiement.
9- La Russie a été 5 fois en défaut de paiement.
10- La Pologne a été 3 fois en défaut de paiement.
11- La Roumanie a été 3 fois en défaut de paiement.
12- L’Italie a été 1 fois en défaut de paiement.
13- Les Pays-Bas ont été 1 fois en défaut de paiement.
(Carmen Reinhart, Kenneth Rogoff, « Cette fois, c’est différent », édition Pearson, page 120)
Une des premières banques de l’Histoire est une banque de Gênes, la banque Leccacorvo. A partir de 1244, la banque Leccacorvo se développe. Elle prête des sommes énormes au roi de France, Saint Louis. Grave erreur !
Quand le roi Saint Louis rentre de croisade en 1254, il annonce à la banque Leccacorvo qu’il refuse de lui rembourser les sommes énormes qu’il lui doit : c’est le premier défaut de paiement de l’histoire de France.
Conséquence : la banque Leccacorvo fait faillite.
Un Etat européen qui se déclare en défaut de paiement, ça a pour conséquence de ruiner les créanciers.
Les crétins qui avaient prêté à cet Etat sont ruinés, … et ensuite de nouveaux crétins recommencent à prêter à cet Etat !
Depuis 800 ans, tous les Etats qui accumulent les défauts de paiement trouvent TOUJOURS de nouveaux crétins pour les financer.
Et ça fait 800 ans que ça dure.
Et ça va continuer encore et encore.
Il y aura toujours des crétins.
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Ce que vous appelez un « crétin » c’est un investisseur. Le défaut de paiement est un risque et c’est pour couvrir ce risque qu’on vous paye des intérêts. Est « crétin » celui qui se lance dans un prêt perdu d’avance.
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Il y a deux sortes de patrons, les entrepreneurs, avec leurs salariés, qui créent des richesses, et les « patrons » de l’Etat et collectivités territoriales qui les distribuent après avoir ponctionné les entrepreneurs et autres actifs. Ils en distribuent plus qu’ils ne ponctionnent : ils vivent au-dessus de nos moyens en endettant le pays. Sans oublier que quand ils distribuent, ils commencent par eux-mêmes par se gaver sur notre dos. La politique, ce n’est pas servir les citoyens et son pays, c’est se servir et en faire profiter ses proches. Taper sur les entrepreneurs qui sont les principaux créateurs d’emplois, n’arrêtera pas notre marche vers la pauvreté.
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La loi Giscard-Pompidou a clairement été faite pour préparer la construction européenne. En effet, dans une Europe avec une monnaie unique, un État qui s’endette déraisonnablement auprès de la banque centrale créé une inflation qui est subie par l’ensemble de la zone. L’emprunt auprès d’une banque est donc un garde-fou à ce système.
A l’époque, peu de personnes pouvaient prévoir ce que ça allait donner. Donc, quand je vois des réactions de révolutionnaires qui proposent de pendre Giscard, ça fait juste froid dans le dos et ça nous renvoie à de très sombres périodes de l’histoire.
Cependant, on ne peut que constater que pour un pays comme la France qui a toujours remboursé ses dettes ce système est un échec complet. La seule solution reste de sortir de l’Euro et de l’Europe en général. On a testé et c’est plutôt bien parce qu’on aurait eu des regrets de ne pas le faire. Maintenant, on en constate les limites et il faut siffler la fin de la récré. Le problème, c’est que nous sommes dirigée par une classe politique qui a été biberonnée avec l’espoir d’une Europe concurrente des Etats-Unis, qui se rend bien compte de l’ampleur de l’échec mais qui n’ose pas tuer son bébé. Alors on attend « courageusement » que Cameron appuie sur la gâchette, les anglais étant les moins complexés vis-à-vis de l’Europe.
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Ben ouais, c’est clair, y’a qu’à pas rembourser la dette ducon.
Et qui va financer le budget alors ? Eh ?
Même Hollande a fini par comprendre qu’être ennemi de la finance, c’est bien, sauf que c’est elle qui paye. C’est elle qui paiera cette année encore les 75 milliards d’euros de déficit. C’est elle qui nous prête 2000 milliards quasi gratuitement sur notre bonne tête. C’est grâce à cette finance qu’on a encore le RSA, la retraite, la sécu, les primes de Noël et de rentrée scolaire, et que les riches se font payer leurs domestiques via l’APAJ.
Le jour où la France fait défaut, nous n’avons plus accès à tout ça, donc les pauvres crèvent, c’est aussi simple que ça. Ce ne sont pas « les riches » qui vont payer, ils ne sont pas assez nombreux, et ils n’auront de toute façon plus d’argent si on revient au franc, qui sera immédiatement dévalué.
Mais c’est pas grave, va, continuez à croire que l’argent pousse sur les arbres et à distribuer de l’argent qui ne vous coûte rien, vu que ce n’est pas vous qui bossez pour l’avoir.
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c’est étonnant quand méme , que çà vienne là lorsqu’on s’appréte à discuter/voter le budget : la dette . Je constate que lorsque l’on s’endette à fond personne n’y voit rien à redire . Les politiques touchent leurs commissions sur les affaires , les affairistes sont heureux , des gens ont de l’emploi et les banques des garanties d’état . Tout va bien .
En général quand on s’inquiéte c’est qu’on prépare des coupes sévéres sur les femmes enceintes , les chomeurs , l’hospital , l’éducation , etc ...Parce qu’il est bien clair que c’est eux qui creusent la dette ...
Cette dette est une grosse arnaque , mais c’est rien à coté du débat sur la dette .
Et je parle pas du chantage que çà permet à nos amis des hedges funds Américains sur notre politique ...-
c’est étonnant quand méme , que çà vienne là lorsqu’on s’appréte à discuter/voter le budget : la dette . Je constate que lorsque l’on s’endette à fond personne n’y voit rien à redire . Les politiques touchent leurs commissions sur les affaires , les affairistes sont heureux , des gens ont de l’emploi et les banques des garanties d’état . Tout va bien .
En général quand on s’inquiéte c’est qu’on prépare des coupes sévéres sur les femmes enceintes , les chomeurs , l’hospital , l’éducation , etc ...Parce qu’il est bien clair que c’est eux qui creusent la dette ...
Cette dette est une grosse arnaque , mais c’est rien à coté du débat sur la dette .
Et je parle pas du chantage que çà permet à nos amis des hedges funds Américains sur notre politique ...
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