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DROITE/GAUCHE

Qui peut dire aujourd’hui ce que veut dire être à droite ou être à gauche  ? Bien fort qui répondrait pertinemment. Essayons néanmoins de démêler quelques fils, ceci dans la mesure de l’impossible. À l’origine du monde actuel, en 1793, la “gauche” siégeait en haut et à gauche de l’hémicycle. C’eut pu être le contraire. À droite les monarchistes confis en égoïsme. Sur la montagne les esprits forts, les modernistes, les philanthropes, les révolutionnaires décidés à faire tomber la tête des ennemis du genre humain pour mieux faire du passé table rase. Toujours est-il que par les temps qui courent, se situer à gauche ne signifie plus rien de précis à part être en faveur du “social”, soit une vague prédisposition à la générosité… laquelle conduit par exemple à se lamenter sur le sort d’un assassin dont le trépas tarde à venir tout en oubliant les victimes dilacérées, démembrées des bombes démocratiques, celles qui s’abattent sur les populations civiles de Gaza, du Donbass, les Chrétiens et les Chiites de l’Émirat islamique d’Irak et de Syrie !

Être de gauche, a contrario du droitier, c’est donc posséder une propension naturelle à la compassion, un sens du partage et de l’accueil, surtout s’il est subventionné sur fonds publics. D’ailleurs la prise en charge allocataires des plus démunis, des pauvres, des migrants, des sans-papiers1 est à présent un droit absolu inscrit en lettres flamboyantes dans la loi… et sans doute quelque part au sein d’une Constitution à qui l’on fait dire tout ce que l’on veut. Et de nos jours l’on sait bien qui veut. À partir de là nul ne songera plus désormais à parler de secours, ou d’assistance, puisqu’il n’y a plus que des Droits… à tout ! Le socialisme vu sous cet angle n’est pas un choix, c’est une obligation sociale, comportementale… et comme nul n’est censé ignorer ou transgresser la Loi ! Une multitude de droits qui concrétise à présent le rêve fou d’un éminent socialiste révolutionnaire, lequel un siècle avant l’assomption de notre meilleur des mondes libres avait pensé et théorisé “le droit à la paresse”… et subséquemment au parasitisme social2.

Car le seul défaut de cette idée mirifique est que cette nouvelle majorité électorale bénie, vivant des subsides publics, ne s’épanouit forcément qu’aux crochets des derniers créateurs de richesses. Tel est le génie de la Gauche, accuser d’exploitation et de spoliation ceux qui nourrissent gratis pro deo les prébendiers du système ! Finalement la Gauche se résume à une “sensibilité” dont elle s’est arrogée monopole. Un état d’esprit qui relève du flou le plus intégral, mais se connote des valeurs d’ouverture, de partage, de solidarité et de tolérance. Toutes qualités bien évidemment déniées aux gens d’en face. Valeurs qui de toutes les façons ne valent que par l’usage que l’on en fait, et dans des circonstances bien précises. Cette fameuse “sensibilité” est à ce titre une expression aussi ridicule autant qu’absconse… en premier lieu parce que la Gauche prétendant incarner le culte de la Raison, cette sensibilité, la réduit à une prédisposition caractérielle prélogique… autant dire “primitive” pour reprendre la terminologie du progressiste Lévy-Bruhl3.

Être de droite consiste à ne pas adhérer une idéologie, à un rêve, à une irréaliste et abstraite espérance ; c’est un effort d’adéquation au monde et à ses lois intransgressibles. Au contraire de l’homme de gauche à l’état natif – s’il a jamais existé – qui entrevoit dans ses brumeuses chimères l’avenir du genre humain. Idéal dans lequel, par pure générosité, il fera au besoin entrer ses concitoyens à coup de marteau de forge.

 

La nature de l’homme

Entre gauche et droite, la pierre d’achoppement, tient en la conception que les uns et les autres ont de l’homme, de sa nature – physis en grec - et au-delà de l’existence impérieuse de lois naturelles régissant le monde animal et humain… À gauche domine la vision matérialiste d’un homme façonnable à volonté autrement dit, dépendant essentiellement de son environnement et de la qualité des “pédagos” mandatés pour lui inculquer les rudiments de la Matrice4. De ce point de vue l’homme n’est jamais responsable de ce qu’il est et il suffit de le changer de milieu pour le transformer de fond en comble. L’application de cette thèse à l’enseignement actuel en montre immédiatement le bien fondé. Position soutenue jusqu’aux confins de l’absurde par nos doctes philanthropes et didacticiens qui imaginent l’homme malléable et façonnable à l’infini5… et cherchent toujours des causes de ses échecs hors de l’homme lui-même. Jusqu’à l’arracher à toute fatalité phylogénétique, ceci pour mieux l’exonérer de toute responsabilité individuelle, soit in fine de toute liberté. Si l’homme est irresponsable, alors la “liberté” est un concept creux, inexistant, n’est-ce pas ?

A fortiori, les différences et le clivage droite/gauche ne se réduisent pas à de simples divergences d’intérêts matériels. Elles sont aussi et avant tout d’ordre idéel. Des visions du monde divergentes qui départagent des natures psychiques, des tempéraments antagonistes : optimistes contre pessimistes avec toutes les nuances intermédiaires. Fatalisme biologique de la condition humaine contre prométhéisme béat et culte du progrès technique ab libitum. Le second, le droitier, est un réaliste – à ne pas confondre avec matérialiste – pour lequel il faut connaître les lois physiques qui régissent la nature humaine de façon tout aussi inflexible que les lois physiques régissent le cosmos. Et s’y soumettre ou apprendre patiemment à composer avec elles.

 

En ce sens, la transgression des lois est au mieux exceptionnelle, transitoire et toujours illusoire : chassez la nature, elle revient au triple galop. Ce n’est pas parce que les effets des comportements transgressifs ne se font pas sentir immédiatement que les effets négatifs n’interviendront pas tôt ou tard… Mais à gauche, pas question d’anticiper les conséquences puisque ce sont les idées, la vision qui gouvernent le monde, excluant ainsi toute relation de cause à conséquence hors du schéma volontariste prévalant6. Sur le papier tout marche. Las la réalité est rebelle !

 

Pour changer l’homme, changeons le monde 

Le réaliste s’efforce au contraire de garder le contact avec la dure matérialité du monde et se fait ingénieur s’il entend vaincre ou dépasser le principe d’Archimède qui le repousse hors des limites du réel… L’homme depuis les origines ne rêve-t-il pas de voler, mais pour s’affranchir de la pesanteur il a conçu de savants engins… cela strictement en fonction des lois qui gère l’attraction terrestre dont il a voulu se libérer, non en les niant, mais en les utilisant à son profit. Pour changer l’homme, changeons le monde ! Car il n’est au fond question que de cela dans les projets de réformes sociétales… Ainsi la négation des surdéterminismes biologiques à travers l’enseignement du “genre” et de l’égalité des sexes. Reste que pour y parvenir, si tant est que cela soit envisageable, encore faudrait-il connaître les lois exactes qui régissent l’ethos humain et non de pseudo règles nées des projections fantasmatiques des noirs désirs de nos idéocrates… qui veulent faire de leurs pathologies comportementales la norme pour tous. Des infirmes intellectuels dont le projet de société serait entre autres le retour à l’indifférencié, à la promiscuité primitive … le but implicite et tacite de tout communisme étant l’achèvement de l’humanité dans la termitière idéale7.

L’homme de droite, est réaliste quant aux lois naturelles, pénétrés – en principe - des règles simples et invariantes, fondations de l’humain, animal social [politique disait Aristotote], que nous dictent le bon sens, l’intuition et l’instinct. Sinistrement, le droitier aujourd’hui se perd trop souvent dans la brume de ses nostalgies, oublieux du réel immédiat et particulièrement de l’art de la guerre existentielle. Oublieux des rigueurs de la concurrence interspécifique, il s’est rendu prisonnier des lois que ses ennemis ont inventées pour le lier pieds et poings. Devenu le contraire d’un pragmatique, il aime dorénavant à se griser de mots et de commérages… dépressif chronique et régressif, vivant sur l’illusion de son droit d’aînesse, celui d’être l’héritier légitime alors qu’il a déjà tout perdu ou presque. L’homme de gauche, n’est a contrario pas un réaliste mais un pragmatique résolu volontiers cynique… Peut-être parce qu’il il a fait sienne une conception machinale du monde et de l’homme selon laquelle, si l’on appuie sur le bon déclic, cela doit marcher. Cette conception de l’homme, mécanique faiblement intelligente, conduit au mépris du bipède, cette vile semence de bétail [Maïmonide], conditionnable et par suite, manipulable sans restriction. Dans cette optique, la conscience des hommes, les foules se manipulent et se violent à volonté comme le théorisait si bien en 1939 l’apatride binational franco-soviétique Tchakhotine8.

 

Optimisme et progrès

À droite le pessimisme. En dehors du principe transcendant d’espérance, le pessimisme réaliste est la norme dans la mesure où l’homme de par sa misérable condition se voit assigner de gravir sa vie durant une pente ardue et ce, jusqu’à sa fin dernière… Pente d’autant plus escarpée que ses exigences morales sont plus élevées. Pour l’optimiste, à l’opposé, tous les espoirs sont permis car tous les hommes étant égaux, il peut, au cours de sa brève traversée des “grands cimetières sous la Lune” prétendre à tout. La Jérusalem terrestre lui appartient. Seule la méchanceté exclusiviste des nantis – lisez les aborigènes leucodermes, ataviquement bâtisseurs et défricheurs - pouvant alors s’opposer à ses universelles espérances planétariennes. Les arts, la littérature sont encombrés d’optimistes qui souvent réussissent magnifiquement… avec un minimum de talent, mais par la bande. N’ayant à traîner le fardeau d’aucun héritage civilisationnel, d’aucune morale bourgeoise, ils voient l’avenir s’ouvrir devant eux avec de perpétuels lendemains qui chantent… Toute chose annonciatrice du Grand soir, celui des repues franches, quand sera arrivé l’extinction de l’exploitation de l’homme par l’homme, la fin des patrons, et surtout des riches condamnés pour l’éternité… à payer9  ! Reste que la catégorie des riches ne cessant de s’étendre, il faut maintenant y faire entrer non seulement ceux qui possèdent les instruments de production, mais tous ceux qui sont assez arrogants pour gagner leur vie au moyen d’un astreignant voire pénible labeur. Bref tous ceux qui sont exclus légitimement et à juste titre des lois socialement altruistes caractérisant la gauche compassionnelle.

Allons plus avant et cherchons ces distinctions qui n’apparaissent plus vraiment mais qui continuent cependant de courir sous la surface. L’homme de gauche est avons-nous dit, un optimiste né, il croit toujours à un inéluctable retour au Jardin d’Éden. Retour qu’empêcheraient encore ceux qui contrebattent le progrès en général et social en particulier. Sans que l’on sache très bien ce qu’est ce fichu progrès que beaucoup confondent avec la nouveauté10… Autrement dit avec la mode, laquelle change au gré de l’humeur du temps et de l’ingéniosité des mercantis.

Le progrès apparaît comme une masse nuageuse avançant inexorablement, engloutissant les rocs qui tentent de lui faire obstacle. C’est dans cette acception un front uniforme. En vérité, là où l’autostrade du progrès passe, le plus souvent le paysage trépasse. Le mot progrès englobe quand même d’authentiques avancées, encore faudrait-il tenir compte de ce que cette notion comporte de régressif… Ainsi le progrès veut que, la nature humaine étant foncièrement bonne et intrinsèquement généreuse, les crimes et délits doivent être imputables, non aux perpétrateurs, lesquels ne sauraient être spontanément délinquants ou criminels (sauf par un malheureux accident), mais à ceux qui les stigmatisent, veulent les retrancher du corps social, ceux qui en un mot s’opposent aux progrès de la science de l’homme ! On comprend parfaitement l’optimisme de l’homme de gauche si l’on admet que les crimes et délits sont une invention des réactionnaires… ces parasites du corps social pratiquant extensivement l’exploitation du travailleur indigène ou immigré, et adepte de toutes les déclinaisons du racisme ethnique et de classe. Changeons le monde, démolissons le vieux système, brisons les chaînes et l’immobilisme, démolissons des positions bien ou mal acquises et le mal disparaîtra de lui-même et, comme par enchantement, l’humanité sera enfin libérée.

Aujourd’hui, la gauche social-démocrate – à l’instar des socialistes révolutionnaires qui eux ne veulent pas l’avouer, la logomachie anticapitaliste servant d’écran de fumée - a changé son fusil d’épaule et contracté un mariage pour tous avec le libéralisme économique. La priorité n’est plus d’abattre les citadelles de la finance globalisée [apatride, mot à présent connoté], mais de déblayer le terrain social pour fluidifier les marchés, accélérer les échanges, désentraver le vol des criquets pèlerins [schistocerca ou locuste grégariapte]. M. Hollande11 a dès le départ assimilé cette donnée de base, et magnifiquement compris qu’il convient de prendre le problème par l’autre bout… c’est ce qu’a entrepris à sa demande, Dame Taubira, ci-devant Garde des Sceaux, en s’attelant à la noble tâche de supprimer le crime de droit commun. Il suffit d’abolir le crime par décret, ce que l’on nomme ordinairement “dépénalisation” ou “libéralisation” et le tour est joué. Les assassinés et les cambriolés n’ont plus qu’à se taire et rendre hommage à la justice souveraine infernale.

Le sociétal ne coûte pas grand chose et peut rapporter gros auprès de certains segments du corps électoral. C’est justement là que s’incarne à plein l’idole Progrès, dressée dans toute sa splendeur molochienne, animé d’un feu dévorant, dévoreur d’une foule innombrable d’enfants à naître sous le singulier prétexte de Liberté… Mais au fait qui parle de sacrifices d’enfants au vu et au su de tous dans les avortoirs publics ? Ou d’encouragement à la débauche et à la prostitution sous couvert de libéralisation et de modernisation des mœurs ? Merveilleux progrès. Ne devrions-nous pas également moderniser notre regard et notre façon de penser si nous voulons vraiment percevoir le monde tel qu’il est, et non tel qu’on nous serine qu’il n’est pas… au tréfonds de la ténébreuse caverne de toutes nos ignorances ?

 

 

Notes :

1 – « Le Sanspapiérisme : Où sont les papiers des sans-papiers ? Anatomie d'une manipulation » de Luc Gaffié, Genève mars 2012.

2 – Paul Lafargue [1842/1911], socialiste gendre de Karl Marx, auteur de : « Le droit à la paresse » 1880. « O paresse, mère des arts et des nobles vertus, sois le baume des angoisses humaines !  »… Noble maxime en vérité, mais dont la sagesse s’applique très inégalement parmi les hommes. Très éclectique l’athéiste Lafargue est aussi l’auteur d’un essai titré « La Circoncision, sa signification sociale et religieuse ».

3- Lucien Lévy-Bruhl [1857/1939], cousin par alliance d’Alfred Dreyfus, socialiste et ami de Jaurès, il est l’auteur d’impérissables études telles : « Les fonctions mentales dans les sociétés inférieures  » [1910] ou « La mentalité primitive  » [1922] à une époque où la notion de “races inférieures” faisait parti du paysage ordinaire de la gauche impérialiste en général et des socialistes en particulier. Ainsi Léon Blum qui le 6 juin 1889 déclarait à la Chambre : « Nous admettons qu’il peut y avoir non seulement un droit, mais un devoir de ce qu’on appelle les races supérieures, revendiquant quelquefois pour elles un privilège quelque peu indu, d’attirer à elles les races qui ne sont pas parvenues au même degré de culture et de civilisation ». La conversion à l’antiracisme pur et dur au lendemain de la guerre montre à quel point la pensée socialiste est inconsistante, opportuniste et versatile, épousant dialectiquement les contours porteurs des idées utilitairement en vogue, soit les outils et les armes idéologiques du moment.

4 – S’il suffisait d’augmenter mécaniquement le nombre de personnels, les crédits et le budget de l’Éducation nationale pour produire à la chaîne des Mozart, des Poincaré ou des Carrel, cela se saurait. Au lieu de quoi plus l’empire pédagogique s’accroît et plus l’analphabétisme galope, aussi bien dans les catégories sociales dites favorisées.

5 - « Au sein de la Matrice nous baignons dans le liquide amniotique du mensonge  ». Les puissants se sont toujours arrogés le droit d’écrire l’Histoire et quelque fois de juger les vaincus. Or l’hyper puissance du Système – incarné par le Bloc euratlantiste – s’exprime par la voie communicationnelle… capacité à façonner et à créer en temps réel faits et événements en fonction de ses besoins d’influence et de domination… « Nous sommes un empire maintenant, et lorsque nous agissons, nous créons notre propre réalité ». Dixit Karl Rove, conseiller de GW. Bush, au cours d’une conversation de l’été 2002 rapportée par Ron Suskind dans le New York Times le 17 oct. 2004, peu avant l'élection présidentielle américaine. Durant l’hiver 2003, l’Amérique construisait effectivement une « réalité sur mesure  » afin de sidérer la Communauté internationale et de légitimer l’invasion de l’Irak. La fable officielle avait inventé de toutes pièces des armes de destruction massive assorties d’une opération salvatrice-libératrice du pays. Nous avons ici le transfert dans le domaine politique d’une disposition mentale morbide, l’affabulation, qui devient alors un outil et une arme létale… notamment en ce qu’elle affirme avec l’hybris [chuztpah] la plus monstrueuse et la plus dévastatrice, que la contre-vérité l’emporte définitivement sur le réel, qu’elle est en fait la réalité ultime… « Peu importe que ce soit vrai puisque moi, j’y crois… surtout si par obligation juridique et morale et vous êtes conviés sous peine des plus dures sanctions à y souscrire  »… Stratégie du mensonge sidérant mis en œuvre de manière exemplaire par le Nobel au tatouage controversé Élie Wiesel.

6 – Dans les hideux dessins animés [cartoons] des années cinquante, certains personnages continuent de courir sur et dans le vide jusqu’à ce qu’ils s’aperçoivent de leur bévue et finissent par tomber comme des pierres. Les possibilités hollywoodiennes virtuellement transgressives appliquées à la conquête de l’imaginaire collectif planétaire, sont en effet devenues illimitées. À telle enseigne, le péripatétisme sélénique – alors même que la recherche s’échine toujours à trouver des matériaux susceptibles de protéger les organismes vivants des radiations électromagnétiques au-delà des ceintures de Van Allen – qui permis à l’Amérique de prendre une substantielle avance dans la Guerre des Étoiles. Notons que le président Obama vient de renoncer – les imbéciles diront que les raisons en sont budgétaires – à tout retour sur le satellite terrestre. Or la publicité n’a pas de prix ! Nul ne sait finalement quand l’homme y marchera à nouveau. Peut-être quand il cessera de marcher sur la tête ?

7 – La fiction apologétique de cette infra pensée a fait la fortune d’un sous-écrivain, Bernard Werber.

8 - Théorisé en Union soviétique par Yvan Pavlov qui met en évidence le conditionnement réflexe, et dans l’École behavioriste pendant capitaliste – mais équivalent en portée théorique - du totalitarisme rouge. Edward Bernays, neveu de Sigmund Feud « Propaganda » [1928] et « The Engineering of Consent »1947… « L'ingénierie du consentement est l'essence même de la démocratie, la liberté de persuader et de suggérer » ; Serge Tchakhotine « Le viol des foules par la propagande politique » [Paris1939].

9 – Avant, aux temps anciens, l’on brûlait allégrement, après les avoir pillés, les châteaux et les châtelains avec. Les temps modernes sont arrivés et il a été jugé plus expédients de dépouiller légalement les richous de leurs biens par des lois de confiscation. On ne tue plus la vache, on la trait jusqu’au sang. La notion de “riche” s’étendant et se diversifiant actuellement avec l’expansion tous azimuts de l’idéologie socialiste, les politiques de “justice fiscale” s’appliqueront bientôt à toutes les couches de la société encore productrices, assimilées pour ce faire à d’infâmes bourges capitalistes. Les sorbonnards de Mai 68 qui sont aujourd’hui aux commandes, se flattaient de prédire que : «  L'humanité ne sera heureuse que le jour où le dernier bureaucrate [social-démocrate] aura été pendu avec les tripes du dernier capitaliste  ». Plus poétiquement au XVIIIe siècle Voltaire citant le curé Meslier avait dit « L'humanité ne sera heureuse que le jour où le dernier des tyrans aura été pendu avec les tripes du dernier prêtre ». Heureuses formules et vaste programme !

10 - Symptôme d’actualité. Jany Leroy sur Boulevard Voltaire et sous le titre évocateur de : « La Marianne de Quimper est retournée faire le trottoir »… « Que l’équipe municipale ne voie aucun inconvénient à représenter la République sous les traits d’une pute serait simplement atterrant s’il n’y avait, derrière la démarche, le baratin comico-laborieux récité la bouche en cœur : à la mairie de Quimper, on défend une certaine conception de l’art. La création est aussi faite pour titiller. Au vu de la pouffiasse, il est permis de se demander ce qu’ils avaient l’intention de titiller… mais passe encore, car le plus amusant réside en cette volonté très à la mode de certains élus et politiques de se la jouer amateurs d’art contemporain, ésotérique si possible, attitude témoignant non pas d’un véritable goût pour la chose mais d’une angoisse de passer pour has been, ringard, vieux jeu et autres épouvantails qui vous bannissent à vie des plateaux de Canal+. Partant de là, l’artiste eût proposé d’installer une poupée gonflable coiffée d’un bonnet phrygien, un phallus tricolore ou une paire de fesses ressemblant à François Hollande – par ailleurs sosie officiel de cette partie du corps –, l’équipe municipale « amateur d’art » eût accueilli l’œuvre à grand renfort de ôôôhhh ! et de ââââhh ! Modernitude oblige » [bvoltaire.fr26juil14].

11- Hollande candidat à la présidence ce la République, au Bourget le 20 janvier 2013 devant dix mille personnes : « Mon véritable adversaire, c'est la finance ». On a su depuis exactement ce que signifiait ce propos aussi démagogique qu’inconsidéré, mais qui a fait mouche… le temps d’une campagne électorale au suffrage universel.


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27 réactions à cet article    


  • Qaspard Delanuit Qaspard Delanuit 21 octobre 2014 19:32

    Désolé d’être aussi franc, car vous avez du passer du temps à écrire cet article... mais il est d’une inutilité totale. 


    Gauche et droite sont des concepts périmés qui ne permettent en aucun cas de définir les clivages actuels, ni de distinguer quoi que ce soit dans la sphère politique. Je dirais même que ce sont des concepts de diversion, qui épuisent notre énergie dans de vaines discutailles absolument stériles.

    C’est un peu comme si je vous demandais si vous êtes plutôt pour les Médicis ou pour les Pazzi. Que répondriez-vous ? Que vous vous en foutez parce que vous n’êtes pas un Florentin du XVe siècle. Pour la Gôche et la Droâte, c’est la même chose : je ne vis pas dans les années 1970 et Georges Marchais est mort.

    Les vrais questions sont autres. Débarrassez-vous de ces toiles d’araignée idéologiques. Entrez dans la réalité. 

    • trevize trevize 21 octobre 2014 20:18

      à la lecture du titre, j’ai espéré que ce serait le propos de l’auteur. Même au début, il y a comme un vernis de cette idée, mais il s’estompe bien vite, et on s’aperçoit que l’auteur se voit à droite et qu’il n’aime pas trop la gauche, quelque chose dans ce goût-là.



    • Julien30 Julien30 22 octobre 2014 14:33

      Terray est un con de gauche qui sort la même analyse que le premier militant de gôche venu, si c’est ça les références à l’UPR...


    • Julien30 Julien30 22 octobre 2014 15:31

      Qaspard, oui ça n’a plus de sens si on en reste aux classifications du système qui place par exemple l’UMP à droite. Mais si on reste au sens originel des mots et de ces notions, l’opposition valeurs traditionnelles face à celles de l’homme nouveau déraciné est plus que jamais d’actualité.


    • lsga lsga 22 octobre 2014 15:36

      oulalal ! mais vous confondez la droite et l’extrême droite vous !


      Donc, la droite conservatrice défend le patrimoine et la rente des soubresaut de l’Histoire.Ce sont des conservateurs. De la même manière, la gauche conservatrice protège les acquis sociaux nationaux des soubresaut de l’Histoire.

      L’extrême droite réactionnaire veut revenir aux bonnes vielles valeurs traditionnelles féodales du temps où c’était mieux avant. 


      L’extrême gauche progressiste est pressée qu’on passe aux nouvelles valeurs du futur où on aura plus besoin de travailler. 



    • Layly Victor Layly Victor 21 octobre 2014 20:27

      Sur ce thème gauche-droite, je ne saurais trop vous conseiller la lecture des deux premiers livres de Jean-Claude Michéa : « l’Empire du moindre mal », et « le complexe d’Orphée ». De formation intellectuelle anarchiste, au sens d’Orwell, il a été le premier à publier cette thèse ahurissante à bien des égards : la gauche et la droite sont les deux piliers du système libéral. Le rôle de la droite est de gérer économiquement le système, le rôle de la gauche est de démoraliser le peuple.
      Les gens qui sont habitués à baigner dans leur culture religieuse gauche-droite ont du mal à saisir cette réalité, mais le club Bilderberg, lui, la maîtrise très bien : ronde des partis UMP, PS, FN, EELV, FG bien orchestrée avec alternance consciencieusement huilée. De temps en temps, quand les choses se gâtent, il nous gratifie de passements de jambe à la Ronaldo. Le club vient de sortir le serpent Juppé, « le préféré des Français ». Celui là, c’est le pire de tous : ses ondulations brouillent la vue. Et les braves gens vont se précipiter pour voter ! De l’autre côté des Pyrénées, ce sera du Podemos à la sauce gaucho-indigno-perso-énergies renouvelables (censées rendre la terre aux paysans, le gros mensonge !).

      Lisez Michéa, ne serait-ce que pour le plaisir de son immense culture et de sa connaissance de l’histoire non préformée. Si vous doutez de la justesse de sa thèse, confrontez la à la réalité :

      cohésion de la fine équipe Hollande, Fabius, Juppé, Sarko, BHL à la fois dans les bombardements et dans « l’action psychologique » en Libye, Syrie, Irak, Serbie, Ukraine, excitation à la haine contre « l’ennemi » Russe, et silence complice de tous les partis organisés
      Destruction de l’art
      Destruction de la musique
      Destruction de la poésie
      Destruction de l’enseignement des Mathématiques
      Destruction de l’enseignement des sciences physiques
      Destruction de l’enseignement du Français
      Destruction de l’enseignement de l’Histoire
      Destruction du sens moral et de l’esprit de solidarité

      Voyez vous dans ces bombardements et ces destructions, une réelle différence gauche-droite ? Je sais ce que vous allez dire : ce sont des traîtres qui ne représentent plus l’idéal. Mais vous allez vous enflammer à la première occase pour un nouveau gadget du club.


      • Captain Marlo Fifi Brind_acier 21 octobre 2014 21:17

        Layly Victor,
        J’ai lu Michéa, mais il n’est pas complet sur la question, à mon avis.
        Toute la Gauche avec Mitterrand s’est ralliée à TINA, à l’ UE, à l’euro et à l’ OTAN, s’est soumise à l’euro-atlantisme et n’en démord pas !


        Pour toute une partie de la Gauche, la question de la souveraineté se mélange indûment à la peur du nationalisme, alors que la démocratie nécessite un peuple, une Nation et des frontières !

        « Jacques Sapir :  » La haine de la Nation est l’internationalisme des imbéciles"

        En refusant de poser la question de la souveraineté et de la sortie de l’ UE, ils augmentent les problèmes sociaux et alimentent le FN qu’ils prétendent combattre.
        Ils perdent sur toute la ligne.

      • lsga lsga 21 octobre 2014 20:45

        Droite et Gauche sont les classifications idéalistes petites bourgeoises.

        La classification matérialiste, révolutionnaire, qui se base sur le rapport à l’Histoire, c’est :


        1. Progressiste : En route vers le Futur !
        2. Conservateur : On sait ce qu’on a, on sait pas ce qu’on perd...
        3. Réactionnaire : c’était mieux avant !

        Faites votre choix. 

        • Bubble Bubble 22 octobre 2014 16:13

          Yep, vu que le futur c’est la transmission aux enfants, je déduis :


          Progressiste -> parent
          Conservateur -> célibataire, qui a peur de perdre avec une famille
          Réactionnaire -> adolescent éternel, qui rêve de son enfance perdue.

        • Captain Marlo Fifi Brind_acier 21 octobre 2014 21:06

          Il n’y a plus ni Droite ni Gauche, puisqu’il n’y a plus de pouvoir national, ni la possibilité de faire des politiques intérieures nationales... Les droits régaliens ont été transférés à la Commission européenne, particulièrement par les deux derniers Traités, Maastritch et Lisbonne.


          La Gauche et la Droite appliquent consciencieusement et à tour de rôle les décisions de la Commission européenne. « Cf la feuille de route économique de Matignon »
          C’est l’article 121 du TFUE qui donne le droit à la Commission européenne de donner les directives en matière économique aux Etats.

          Sur le reste non plus, il n’y a plus de différence entre la Gauche et la Droite depuis Maastritch, car les Gouvernements ne contrôlent plus :

          ni la monnaie confiée à la BCE, ni le taux de change externe de la monnaie, ni les mouvements de capitaux, ni la diplomatie, ni la Défense sous contrôle de l’ OTAN, si le budget sous tutelle, ni les frontières, ni les marchandises, ni les personnes dans l’espace Shengen, ni la politique étrangère confiée à BHL et à l’ Otan, ni l’économie, ni les réformes dictées par le FMI et la Commission...


          Ce ne sont que des marionnettes au service de Washington et de l’ Europe des banskters.
          Et heureusement, les Français ont fini par s’en rendre compte....

          Heureusement qu’il reste le peuple français qui ne supporte pas éternellement la soumission...
          «  Le génie du peuple français » par Asselineau.

          • lsga lsga 21 octobre 2014 21:12

            tiens c marrant, quand on pense que la politique Européenne est « ultra-libérale » car les européens ont partout voté pour eux.... 


          • Captain Marlo Fifi Brind_acier 21 octobre 2014 21:20

            Isga,
            Forcément, on s’est bien gardé de leur expliquer ce qu’il y avait exactement dans les Traités, et les européistes de Droite et de Gauche leurs ont raconté des salades...

            Florilège des promesses européistes, par Asselineau.


          • lsga lsga 21 octobre 2014 21:25

            oh les gens votent à Droite tu sais... depuis 30 ans, dans toute l’Europe.... 


            donc bon, l’Europe est ce qu’elle est... 

          • Captain Marlo Fifi Brind_acier 21 octobre 2014 21:41

            Isga,
            Toi qui attends « le Grand soir » et les petits matins, j’ai trouvé un article pour toi, qui explique pourquoi tu vas peut-être attendre, un certain temps... « Social, pourquoi ça n’explose pas (encore) »


            « Implosion » qui se rattache « à la stratégie du choc » de Naomi Klein.

            Le capitalisme contrôle la désintégration de l’opinion publique comme d’autres ont contrôlé la chute des tours du 9/11 : scientifiquement.


          • lsga lsga 22 octobre 2014 12:53

            non mais Fifi : on est bien d’accord que l’UE aujourd’hui est une Europe des Nations, et que la Commission Européenne comme le parlement Européen sont constitués à partir des votes nationaux en EUrope.


            C’est parce que le prolétariat Européen vote massivement pour les partis de Droite que nous avons l’Europe que nous avons....

            Il serait temps que vous l’admettiez. 

          • Le Corbeau Magnifique Le Corbeau Magnifique 21 octobre 2014 23:35

            La gauche, c’est Marine Le Pen, la droite c’est Bruno Mégret.

            Ailleurs, c’est des dégénérés !


            • César Castique César Castique 22 octobre 2014 00:57

              Excellent article qui vole à 30’000 pieds au-dessus des critiques qu’il a suscitées.


              • Diogène diogène 22 octobre 2014 09:20

                Droite et gauche au parlement,

                c’est comme cour et jardin au théâtre : 
                une convention dont l’origine remonte à l’époque où la comédie française était installée au jardin des tuileries.

                Deux points communs :
                - les deux institutions sont des théâtres,
                -.il ne faut pas essayer de donner un sens aux conventions qu’elles utilisent et ne sont que des repères pratiques entre professionnels initiés.

                Ça ne signifie pas que la distinction droite/gauche dans la vie politique actuelle soit absurde.
                Elle renvoie à plusieurs réalités sociologiques implicites :
                - le clientélisme local qui attribue des territoires aux gens influents distributeurs d’aides et de subventions aux entreprises, aux familles, aux chômeurs... et gestionnaires du bien public (écoles, routes, transports...). Dans ce milieu, on se partage le gâteau dans la même famille.
                - le lobbying, terme élégant pour évoquer la corruption généralisée des élus par les groupes financiers et industriels : droite et gauche ont leurs propres regroupements en la matière. Les uns financent les campagnes électorales, les autres renvoient l’ascenseur par des choix « judicieux ».
                - les réseaux : clubs, loges, églises, mafias (le siècle, le grand orient de france, le CRIF...) qui étendent leurs influences dans les deux familles d’une manière souterraine mais connue des initiés. Si un courant perd son influence, l’autre prend le relais.

                Pour le commun des mortels, le jeu devient de moins en moins compréhensible, mais pour les invités au banquet, la distinction est importante s’ils ne veulent pas devoir se contenter des restes.

                • Diogène diogène 22 octobre 2014 11:34

                  Finalement, pour éviter les confusions et les contre-sens dus à la surcharge sémantique des termes droite/gauche pour lesquels le signifié a pris une large autonomie par rapports au signifiant, je propose que l’on dise désormais « bâbord » et ’tribord"...


                • Mohammed MADJOUR (Dit Arezki MADJOUR) Mohammed MADJOUR 22 octobre 2014 12:12

                  « Qui peut dire aujourd’hui ce que veut dire être à droite ou être à gauche  ? »

                  J’ai déjà répondu des centaines de fois sur ce site et sur d’autres sites : Gauche et Droite, veulent dire exactement la même chose et la même ambition qui est celle d’arriver périodiquement à l’Élysée  ! C’est le balancement d’un Pendule politique qui brasse à chaque échéance électorale le peuple français soit à Gauche, soit à Droite et c’est tout  !

                  Aujourd’hui ce Pendule est fatigué, n’entraine plus personne !

                  NI GAUCHE, NI DROITE NI PENDULE GAUCHE-DROITE.. VOTEZ POUR MOI : http://www.agoravox.fr/actualites/politique/article/moi-president-de-droite-de-gauche-157600


                  • L'enfoiré L’enfoiré 22 octobre 2014 12:26

                    J’ajoute le lien de votre billet en commentaire au miensmiley


                    • zelectron zelectron 22 octobre 2014 14:29

                      DROICHE-GAUTE  ?


                      • L'enfoiré L’enfoiré 22 octobre 2014 14:43

                        Même combat, même flops...


                      • christian pène 22 octobre 2014 18:27

                        la République via la Convention , a à son palmarès le génocide vendéen , où l’on jeta des individus dans des crématoires pour qu’ils brûlassent vifs.....les atrocités vendéennes sont le fait de la Ière République , celle qui servira de modèle aux futurs dirigeants communistes Staline, Mao, Pol Pot........et encore aujourd’hui au dictateur KIM III celui de la Corée du nord.....également à Hitler et ses potes dont Himmler et ses Gauleiters.....

                        bien entendu les dirigeants actuels qui ’n’hésitent pas à copuler avec les communistes et les trotskistes ne renient en rien ce sinistre passé qui comporta aussi la Terreur issue de « la loi des suspects » ......

                        compte tenu de l’insignifiance de ce qui a été reproché à Louis XVI et de ce qu’ont fait depuis notamment De Gaulle, Mitterrand, Chirac, Sarkozy et Hollande , ces derniers n’auraient pas du échapper à la peine capitale .....d’ailleurs De Gaulle a failli y passer au Petit-Clamart , et Chirac de la part de Maxime Brunerie.....

                        En tout cas , le bilan de la République est tantôt insignifiant mais RUINEUX, tantôt RÉ-PU-GNANT ......c’est à gauche que se sont réunis les plus minables d’entre les minables ; c’est le succès de l’école républicaine depuis 1968 devenue la fabrique du crétin satisfait......


                        • Layly Victor Layly Victor 23 octobre 2014 10:30

                          A propos du génocide vendéen, prototype des génocides ultérieurs, comme vous l’avez dit, le grand Victor Hugo lui même, dont la mère avait pourtant assisté aux massacres de Nantes, a gardé le silence, « pour ne pas ternir l’image de la République ».
                          Pour comprendre l’oeuvre de la République, il suffit de regarder une carte de France : mis à part quelques territoires conquis par Napoléon, et le rattachement de la Savoie et du Comté de Nice suite à la participation de Napoléon iii à la révolution italienne, tout a été fait par les rois.
                          Depuis l’avènement de la République, le déclin a été continu, mis à part le bref sursaut de De Gaulle et du CNR, que nous devons au sacrifice de ceux qui sont partis en Angleterre et aux résistants (alors que la République avait massivement opté pour Vichy, contrairement au mensonge récurent des socialistes).
                          Aujourd’hui, la République crache sans vergogne au visage du peuple français : destruction de l’industrie entérinée par la loi sur la transition énergétique, votée par 35 députés, détournement de l’attention par le « plug anal » de la place Vendôme, manipulation tous azimuts pour attiser la haine envers le grand peuple Russe, etc.


                        • Philippe VINSONNEAU Philippe VINSONNEAU 22 octobre 2014 19:27

                          si comme au temps de césar le profil des exploiteurs étaient gravés sur les pièces de monnaie entre sarkozi et macron il n’aurait pas été nécessaire de refondre la monnaie, Vérifiez, si si ... ils ont la même tronche et manifestement pas plus l’un que l’autre à l’intérieur hormis une viscosité magma dégénérée inhumaine bref ce que Darwin aurait nommé la dégénérescence de l’évolution

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