DSK Vie privée, Vie publique
Les Strauss-Kahn contre-attaquent, ripostent, se rebiffent. Cinq plaintes viennent de fuser à l'encontre de plusieurs medias. Propos diffamatoires pour Guaino, atteinte à la vie privée pour les journaux. Ils se disent victimes des excès de la presse, et entendent museler les derniers téméraires qui avaient bravé la première plainte déposée contre Le Figaro.
L'affaire DSK continue donc à faire circuler beaucoup de bits (pardon...) dans les câbles informatiques qui alimentent la Toile..
Interdiction donc d'évoquer la vie privée de la paisible famille Strauss-Kahn.

D'accord pour ne pas évoquer la vie privée de DSK
Puisqu'il est désormais interdit sous peine de poursuites de s'exprimer sur la vie privée de DSK, abstenons-nous donc.
Même si, avouons-le, les révélations sur cette vie privée que nous devons tout de même aux vilains medias, nous ont été bien utiles.
Elles nous ont révélé le vrai visage d'un homme qui ne s'encombre manifestement ni de principes ni d'éthique, et qui a voulu nous gouverner.
Si Nafissatou Diallo n'avait pas existé, DSK serait sans doute à la place de François Hollande.
Parlons donc de la vie publique de DSK
Devant cette tentative de muselage, la seule riposte possible est de ... parler de sa vie publique !
Et pourquoi pas une rétrospective de la vie publique de DSK ?
Faisant fi de la chronologie historique, commençons par l'affaire du KoweitGate.
Et pour faire simple, redonnons un nouveau souffle à cet article d'un collègue d'Agoravox publié le 10 mars 2011... Il fait donc partie des combattants de la première heure..pour la vérité sur DSK.
Extrait :
"DSK, la presse Française sourde aux bruits de ses casseroles !
DSK mêlé à une affaire « Kuwait-Gate » à plus de 22 milliard d’€uros ? c’est ce qui à été révélé ces derniers jours dans la presse étrangère mais la presse française elle, n’en à pas fait mot. Il faut dire que nos médias ont déjà fort à faire avec les sondages sur le FN et la Libye où nos intérêts sont menacés…
La réputation qui précède DSK n’est plus à faire, on ne parle pas de partie fine mais de son attirance pour l’argent : en 1984, le mentor de Pierre Moscovici ne lui avait-il pas confié qu’une place à « l’inspection des finances, vous y restez 4 ans et vous gagnez pleins de fric » ? Il faut croire que ceci constitue un talon d’Achille supplémentaire pour le patron du FMI.
Le document suivant (assignation devant le TGI de Paris) expose les faits reprochés à l’état Français et par ricochet à DSK qui était alors Ministre délégué à l'Industrie et au Commerce Extérieur"
Suite de la rétrospective dans d'autres articles. A nos plumes.
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