Ebola : fin d’épidémie ?
Alors qu’à la fin du mois d’octobre l’épidémie semblait en passe de quitter les 3 pays principalement contaminés : Guinée, Libéria et Sierra Léone, la contamination semble désormais marquer le pas. Ceci non grâce aux efforts de l’OMS qui a sous-estimé la gravité du phénomène mais bien grâce à la mobilisation internationale de certains Etats.
L’on peut d’ailleurs souligner les efforts de la France (un millier de personnes), de la Grande-Bretagne et des Etats-Unis (3000 hommes) et de Cuba (500 personnes). Tout en rappelant l’effort de nos amis chinois (160 personnes !), un effort énorme du principal investisseur en Afrique !
Car c’est bien de là qu’est venu le sauvetage : alors que Médecins sans Frontière se battait depuis des mois contre l’épidémie (voir http://www.christophebugeau.fr), l’OMS a fortement sous-estimé le risque : ce n’était pas une maladie contagieuse comme une grippe ! Elle ne s’attrapait que par contact direct !
Certes, mais cette petite épidémie a fait des incursions vers d’autres pays : Nigéria, Etats-Unis, Mali qui heureusement ont réussie à endiguer l’épidémie ! Car une contagion dans le reste de l’Afrique eu été catastrophique et il aurait eu peu de chance pour qu’elle ne s’étende pas au reste du monde.
Aujourd’hui l’on semble avoir atteint le pic épidémique : 21 000 personnes infectés et 8500 décès. Ces derniers vont malheureusement continuer mais le nombre de contamination hebdomadaire dans les 3 pays concernés a fortement baissé (pas de nouveaux cas au Libéria depuis le 11 janvier et la guinée a enregistré le plus faible nombre de cas depuis le 17 août) et désormais, l’on peut estimer que les chances d’une extension de l’épidémie est très faible.
Les conclusions à tirer de cette crise sont simples : une maladie émergente même si elle ne se propage pas par voie aérienne peu être extrêmement dangereuse surtout dans des pays avec des structures sanitaires défaillantes. L’OMS doit en tenir compte, les laboratoires pharmaceutiques aussi ! Certes, Ebola, la fièvre de Lhassa ou Marburg ne font que des émergences ponctuelles mais dans un monde où l’on se déplace beaucoup les risques de pandémie augmentent aussi beaucoup !
La grippe rapporte plus, car elle est régulière et nécessite des doses vaccinales annuelles. Aussi, c’est aux Etats et à l’OMS de financer les recherches dans ce domaine. Mais elles ne sont pas à négliger, la Russie a une bonne longueur d’avance concernant Ebola du fait des recherches en matière militaire. Il faut coopérer avec elle pour mettre au point un vaccin et un médicament curatif.
Car, il ne faut pas se voiler la face, cette épidémie peut être le prémice à d’autres émergences, en souhaitant qu’à l’avenir qu’il s’agisse d’Ebola ou d’une autre maladie émergente, le problème soit pris au sérieux dés le départ et non après que les morts aient commencés à s’accumuler !
30 réactions à cet article
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La différence entre les USA et Cuba, c’est que les premiers ont envoyé 3000 soldats et les seconds 500 médecins !
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et ça explique bien des choses !
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Dans des pays (22 millions d’habitants) ou l’espérance de vie est de 50 ans, soit 18.000 jours, il meurt 1200 personnes par jour.
Soit 400.000 personnes par an.Alors 8500 morts par ebola en un an, c’est peanuts.La grippe saisonnière tue 250 à 500.000 personnes par an.A propos, cette année le vaccin anti-grippale aura une efficacité proche de zéro.Ce n’est pas beaucoup moins que les autres années, en fait, mais là c’est le pompon. -
howahkan Hotah 22 janvier 2015 12:10y a t’ il seulement eu un début........ ???????,.
en tant que péquin moyen, je n’ai aucun ....moyen de le savoir....
le mensonge étant une règle pour gouverner !!! CQFD
vous savez que en intégrant passivement psychologiquement le fait absolu de la mort du corps....mais de manière très profonde donc non intellectuelle, pas par la pensée donc, je peux alors vivre le fait éventuel de celle ci en quasi permanence, le fait de la maladie aussi, ....etc etc
je peux vivre ainsi.......sinon que fais je ? dans quel état j’erre ? ou cours je ?
je fuis le fait, celui la comme tous les autres qui ne correspondent pas a ce que je veux que la vie soit..et qui n’a rien a voir avec ce qu’elle est ..........ce qui est impossible.......
voila presque la racine de notre démence personnelle donc collective........c’est cadeau
c’est les soldes
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Mince, moi qui y voyais une solution pour l’avenir, avec une épidémie mondiale capable d’érradiquer un pourcentage de la population à deux chiffres.... m’a trompé ... et Jean Marie aussi d’ailleurs.
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Je crois que vous n’avez rien compris du tout. S’il n’y a pas de morts, comment vont faire les labos pour faire peur aux gens et vendre leurs vaccins ?
Endiguer une épidémie dans un pays pauvre n’est souhaitable pour personne, surtout pas par l’OMS et les gouvernements du Nord, payés par l’industrie pharmaceutique.-
Article consternant.
8500 morts sur 22 millions d’habitants qui vivent dans des conditions d’hygiène moyen-âgeuses c’est donc ça ce terrible fléau que L’OMS a sous estimé ?-
L’OMS n’a rien sous estimé du tout ! C’est d’après le nombre de morts annoncés sur le terrain que l’OMS a considéré que les chiffres avancés par les Etats africains étaient faux ... sous estimés.
L’OMS a fait son boulot.-
D’après certain médecin, Ebola se soigne très bien, c’est l’équivalent d’une bonne grippe version tropicale, mais dans toute cette affaire, l’on peut difficilement écarté le mercantilisme des laboratoires pharmaceutiques à faire caisse de résonance !
Vous deviez faire un article sur le fascisme médicale, il y a plein de point noir qui mériterait d’être éclairé, à part le plus commue l’atrait de l’argent facile !
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@ soi même
« Ebola se soigne très bien, c’est l’équivalent d’une bonne grippe version tropicale »ça se soigne tellement bien (sic !) que plusieurs médecins en sont morts ! -
Ebola : le mensonge généralisé
Très peu de contagionLes images de soignants portant des masques et des combinaisons intégrales pour s’approcher des malades suspectés sont insensées et dignes d’un mauvais film de science-fiction.
Car le virus Ebola ne se transmet absolument pas si facilement :
« Il faut un contact direct avec un liquide biologique comme le sang, les selles, les vomissures. Il n’y a aucune transmission par voie aérienne. C’est-à-dire que, lorsqu’une personne parle ou tousse, elle ne répand pas le virus Ebola dans l’air ambiant. » explique le Pr Bruno Marchou, chef de service des maladies infectieuses et tropicales de l’hôpital de Purpan, à Toulouse. [4]
Autrement dit, le virus Ebola est comparable au SIDA pour son mode de propagation. Il faut vraiment être au contact du sang ou du liquide biologique du malade pour risquer soi-même d’être contaminé.
Cela veut dire, toujours selon le Pr Bruno Marchou, que le virus Ebola :
« n’atteindra pas le stade pandémique. À Conakry (capitale de la république de Guinée), ils avaient initialement plusieurs dizaines de cas parmi le personnel hospitalier. Ils ont réussi, en appliquant des mesures d’hygiène standard simples, à endiguer la propagation du virus parmi leur personnel. »
Ces mesures d’hygiène n’ont rien de sorcier : « Quand on s’occupe d’un patient, on se couvre les mains avec des gants. Si le patient vomit, il faut aussi se couvrir le visage. C’est le b.a-ba. On fait ça tous les jours. » continue-t-il.
« La mort dans 20 à 90 % des cas »Sandrine Cabu, de Médecins Sans Frontières, interrogée par Le Monde, explique que le virus Ebola entraîne « la mort dans 20 à 90 % des cas ».
Pourquoi une fourchette aussi absurdement large ?
Parce que le virus Ebola est surtout dangereux quand il est mal soigné. Les personnes meurent de déshydratation ou d’hémorragies mais le traitement consiste alors simplement à hydrater ou à transfuser le patient, pas à lui donner un vaccin ni un hypothétique médicament. Il ne faut pas croire ce que prétend l’industrie pharmaceutique qui aimerait pouvoir vendre aux gouvernements une poudre de perlimpinpin comme elle l’avait fait pour le Tamiflu.
« Les nouveaux médicaments ne sont pas la solution contre Ebola », selon un expert en maladies infectieusesLa solution contre l’épidémie consiste à respecter des mesures simples et de bon sens : hygiène, bonne nutrition, vitamine D, vitamine C.
Selon Anthony Fauci, directeur de l’Institut national des allergies et des maladies infectieuses des Etats-Unis, l’outil le plus efficace contre Ebola est de prodiguer les soins de base aux malades.
« La véritable priorité devrait être de créer des infrastructures médicales dans les pays touchés pour fournir aux malades le soutien médical de base comme l’hydratation et la transfusion sanguine. Cela aura un beaucoup plus gros effet sur la santé que la distribution au hasard de quelques médicaments expérimentaux. » [5]
Selon Thomas E. Levy, auteur d’un article récent sur les remèdes potentiels contre le virus Ebola [6] :
« Jusqu’à présent, il n’y a pas un seul virus testé qui n’ait pas été inactivé par une certaine dose de vitamine C. Un des moyens prioritaires pour détruire le virus, ou programmer sa destruction par le système immunitaire, est d’activer la “réaction de Fenton”. En un mot, cette réaction peut se produire à l’intérieur du virus, dans les cellules où les virus se répliquent et à la surface des virus eux-mêmes. »
Il n’y a donc aucune raison de suspecter le virus Ebola de se transformer brutalement en une pandémie à l’échelle de l’Afrique, et encore moins dans le reste du monde.
Mais il n’y aucun doute que cette psychose peut servir les intérêts financiers de quelques-uns.
Semer la panique : un business très lucratifLa panique autour du virus Ebola rappelle évidemment la grippe aviaire de 2005 et la grippe porcine (H1N1) de 2009.
Ces deux « pandémies imminentes » ont été l’occasion de manipuler grossièrement les opinions publiques pour justifier la vaccination en masse des populations, qui s’est révélée entraîner de terribles effets secondaires, dont la narcolepsie, un très grave trouble du sommeil. [7]
En 2009, l’Organisation Mondiale de la Santé a prédit qu’un tiers de la population mondiale pourrait être touchée par la grippe H1N1, avec des effets incalculables. La ministre de la Santé Roselyne Bachelot n’avait alors pas hésité à commander 94 millions de vaccins ! Les Français n’ayant été que 6 millions à se faire vacciner, Mme Bachelot avait, dès le mois de janvier 2010, annulé auprès des laboratoires pharmaceutiques la livraison de 50 millions de doses et fait verser par l’Etat en dédommagement près de 48 millions d’euros aux laboratoires. [8]
Quant au fameux médicament antiviral « miracle », le Tamiflu, son effet réel n’est que de réduire la durée des symptômes de moins d’une journée, sans limiter d’aucune façon les hospitalisations. Une étude britannique a conclu que la distribution de Tamiflu contre la grippe H1N1 a eu pour seul effet de… gaspiller 500 millions de Livres sterling.
En effet, la saison de grippe 2009 se révéla finalement moins grave que d’habitude, malgré la présence de la souche H1N1. De plus, de nombreux prétendus cas de grippe H1N1 se révélèrent ne même pas être des grippes mais de simples rhumes, ce qui n’est pas sans rappeler ce cas de virus Ebola à Berlin qui s’est finalement révélé être… une gastro. [9]
Jouer avec le feuToutefois, les titres excessifs martelés par la presse sont à mon avis très dangereux :
« Une épidémie absolument pas sous contrôle, sans précédent », Médecins Sans Frontières, le 30 juillet 2014. [10] [11]
« Le virus Ebola continue de dévaster l’Afrique de l’Ouest », Le Monde, 15 août 2014. [12]
« L’OMS décrète une urgence de santé publique de niveau mondial », France 24, le 20 août 2014. [13]
Cette psychose est en train de semer la pagaille en Afrique, où des gouvernements sont ni plus ni moins en train de fermer les frontières, mobiliser les armées pour réprimer les populations, et même isoler sans raison des dizaines de milliers de malheureux, hommes, femmes, vieillards et enfants mis en quarantaine dans un bidonville du Libéria, sans nourriture ni eau. [14]
« Pour espérer contenir l’épidémie de fièvre hémorragique Ebola qui fait rage au Liberia (…) le gouvernement prend des mesures draconiennes. Deux quartiers de la capitale, Monrovia, ont été placés en quarantaine et sous surveillance sécuritaire, alors que dans le reste du pays, un couvre-feu a été instauré. », Le Monde du 22 août 2014.
https://www.santenatureinnovation.com/ebola-le-mensonge-generalise/
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Article consternant de bêtise, dixit tranquillou derrière son clavier
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Comme toujours avec Miss Cathy...
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peut-on faire encore confiance à l’OMS ?
L’OMS, bateau ivre de la santé publique : les dérives et les échecs de l’agence des Nations Unies
de Bertrand Deveaud et Bertrand Lemennicier
Faut-il supprimer l’Organisation Mondiale de la Santé ? S’appuyant sur les résultats d’une longue enquête, deux auteurs français portent un diagnostic sévère sur cette Organisation Internationale. Ils prônent sa privatisation et sa mise en concurrence avec d’autres institutions privées aux buts identiques. Deux ans d’investigation à Paris, Genève, New York et Washington, des témoignages, la consultation de rapports officiels, de documents confidentiels, ont été nécessaires à l’élaboration de cette vaste enquête critique, la première du genre, consacrée à l’Organisation Mondiale de la Santé.
(date de publication : septembre 1997)
http://www.amazon.fr/OMS-publique-d%C3%A9rives-lagence-Nations/dp/2738457037L’OMS, océan de corruption et d’inefficacité
Par Sylvie Simon
http://www.altermonde-sans-frontiere.com/spip.php?article12420Depuis 50 ans, l’OMS censure toute étude sur l’impact de l’industrie nucléaire
L’assemblée générale annuelle de l’Organisation mondiale de la Santé (OMS) a été perturbée pour la troisième fois par des organisations demandant l’abrogation de l’Accord passé avec l’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA).Le 28 mai 1959, il y a exactement 50 ans, un protocole d’accord OMS-AIEA avait été approuvé par l’Assemblée générale. Il stipule que les deux organisations doivent se concerter sur tous les sujets d’intérêt commun. Dans la pratique, il signifie que l’OMS ne peut pas publier d’études sur les maladies provoquées par les radiations sans l’accord préalable de l’AIEA. Cet accord a été scrupuleusement respecté, y compris après l’accident de Chernobyl et les guerres du Kosovo et d’Irak.
Il s’ensuit que l’OMS a censuré toutes les études sur les maladies liées à l’industrie nucléaire, civile ou militaire, depuis un demi-siècle et attribué faussement de nombreux problèmes de santé publique à des facteurs mineurs.
http://www.voltairenet.org/article160442.html
L’OMS, une menace pour notre santé et nos libertés ?
http://www.initiativecitoyenne.be/categorie-11926799.html-
question de la fiabilité de l’OMS mise à part, et question de taux de mortalité mise à part également, les chiffres n’indiquent pas un taux de contagion important, ce qui avait été dit depuis le début puisque cette pathologie était connue.
Ebola est donc très faiblement épidémique, ce qui est un point très positif.
Des laboratoires cherchent un vaccin, ou déjà commencent à les tester, mais est-ce la bonne réponse puisque cette infection virale n’a rien de pandémique ? au contraire
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La vaccination, une stratégie lourde, lente, coûteuse et disproportionnée pour des cas d’infections aléatoires ... ?.
Le FAVIPIRAVIR, un médicament qui semble très efficace contre des infections virales !
Enfin un médicament pour guérir la fièvre Ebola ?
ils ont eu l’occasion de tester un nouveau traitement, à base d’antirétroviraux, le FAVIPIRAVIR, qui donne des résultats très encourageants. L’essai thérapeutique est mené par l’Inserm, l’institut national de la santé de la recherche médicale français. L’essai est également en cours depuis le 17 décembre dans le centre géré par Médecins sans frontières à Ghékédou en Guinée. L’expérience est coordonnée par l’OMS.« On peut donc guérir d’Ebola » explique le Dr Jean Luc GALA, qui dirige la mission de B-Fast.
Le FAVIPIRAVIR est un médicament fabriqué par la firme japonaise Toyama Chemical Co. Au départ, cet antiviral était prévu pour traiter la grippe influenza. Mais on a découvert que son mode d’action bloquait la réplication du virus Ebola. Le médicament a été testé sur des souris, puis a été administré, à titre compassionnel chez plusieurs patients atteints d’Ebola en Europe. C’est la première fois qu’il fait l’objet d’une étude clinique en Afrique, au sein d’un groupe de patients infectés par le virus. L’essai montre une efficacité accrue sur les patients qui se présentent tôt à l’hôpital.
http://www.rtbf.be/info/monde/detail_enfin-un-medicament-pour-guerir-la-fievre-ebola?id=8772731
Ebola : l’INSERM précise les détails de son essai sur le favipiravir
http://www.lequotidiendumedecin.fr/specialites/infectiologie/ebola-l-inserm-precise-les-details-de-son-essai-sur-le-favipiravir?gclid=CMrtg7GbnsMCFUbMtAodtFIAfw
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Deux études publiées au printemps 2014 ont indiqué que cette molécule avait été testée avec succès contre le virus ebola sur des souris, et s’était montrée efficace même lorsqu’elle était administrée six jours après l’exposition de ces animaux au virus
http://fr.wikipedia.org/wiki/Favipiravir
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Le médicament japonais est appelé favipiravir (ou « T-705 »). Il est commercialisé sous le nom Avigan par Toyama ChemicalAvigan® Tablet 200mg administered to patients infected with Ebola virus
October 6, 2014FUJIFILM Corporation (President : Shigehiro Nakajima ; “Fujifilm”) announced that a French nurse who infected with Ebola virus and was treated with a combination of the anti-influenza drug Avigan® Tablet 200mg* (Favipiravir) and other unapproved drugs has recovered and left hospital on October 4. This information was relayed to Fujifilm by the French National Agency for Medicines and Health Products Safety (ANSM), a French government agency.
http://www.fujifilm.com/news/n141006.html
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pour rappel :
.En 2012, sur le continent africain, 6,6 millions d’enfants sont morts avant leur cinquième anniversaire ; pratiquement tous ces décès (99%) sont survenus dans des pays à revenu faible ou intermédiaire. Les principales causes de décès d’enfants de moins de 5 ans ont été : la pneumonie, la prématurité, l’asphyxie ou les traumatismes à la naissance, et les maladies diarrhéiques. Le paludisme était encore l’une des principales causes de décès en Afrique subsaharienne, avec près de 15% des décès de moins de 5 ans dans la région. Les maladies non transmissibles (MNT) ont été responsables de 68% (38 millions) des décès dans le monde en 2012, contre 60% (31 millions) en 2000. Les maladies cardio-vasculaires ont à elles seules tué près de 2,6 millions de personnes de plus en 2012 qu’en 2000.
Le nombre de décès dus au VIH était encore de 1,5 millions en 2012. La diarrhée ne figure plus parmi les cinq principales causes de mortalité mais reste parmi les 10 premières, avec également 1,5 millions de décès en 2012. La tuberculose, bien qu’elle ne figure plus parmi les 10 principales causes de mortalité en 2012, figurait encore parmi les 15 principales causes, avec 900 000 morts en 2012. La tuberculose reste la principale cause de mortalité infectieuse dans le monde. Selon un des derniers rapports de l’OMS 1,4 millions de personnes y ont succombé en 2011. Les décès maternels sont passés de 427 000 en 2000 à 289 000 en 2013, mais sont encore beaucoup trop nombreux : près de 800 femmes meurent chaque jour de complications de la grossesse et de l’accouchement...lire la suite
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lire également : ÉBOLA : LE MENSONGE GÉNÉRALISÉ
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Le FAVIPIRAVIR, un médicament japonais commercialisé contre la grippe qui semble être très efficace contre les infections virales dont le virus ebola ! voir mon commentaire et liens + haut
MAIS des recherches de vaccins sont en cours ...
Ebola : le laboratoire Merck obtient les droits sur un vaccin potentiel
Le potentiel vaccin contre la fièvre Ebola sera commercialisé par Merck. Le groupe pharmaceutique américain va coopérer avec la société de biotechnologie NewLink Genetics pour développer, fabriquer et distribuer ce remède, ont annoncé lundi les deux entreprises.
L’accord octroie à Merck des droits exclusifs sur le vaccin (rVSV-EBOV) et les éventuels produits dérivés.
En termes financiers, Merck va verser au total 50 millions de dollars à NewLink : 30 millions dès la prise d’effet de l’accord de partenariat et 20 millions au début des tests d’efficacité début 2015, précise un document transmis au gendarme boursier américain. NewLink aura aussi droit à des royalties sur les ventes de vaccins sur certains marchés.
http://www.lexpress.fr/actualite/so...------------
Se pourrait-il que le nez devant cette thérapie Favipiravir (alias Avigan) qui semble très prometteuse, elles seraient abandonnées, et que des millions de $ investis le seraient sans un minimum de retour sur investissements ?
Je suis assez sceptique que les labos lâcheraient prise et renonceraient à ce nouveau marché, bien que d’un point de vue médical et économique la vaccination soit je me répète, une stratégie très lourde, lente, coûteuse et totalement disproportionnée pour des cas d’infections aléatoires et locales ... ? quelques milliers de cas d’infections (21000 dit l’auteur) au milieu d’une population qui se chiffre en dizaines de millions
Se pose toujours dans cette logique, l’illogisme de vaccinations de masse sur des millions d’habitants pour une nombre d’infections très faible à ’échelle de ces populations.
Cet article qui suit me laisse penser que « politiquement » les options sont déjà posées, les affaires ficelées, même si ce n’est pas de la logique en terme de médecine !-
Pourquoi la France a intérêt à soutenir la santé publique en Afrique
Soutenir la santé en Afrique est une exigence morale. Cette politique correspond aussi à une logique économique et diplomatique. Les programmes de vaccination, que la France est appelée à co-financer, sont in fine le gage d’un renforcement de nos partenariats économiques, et d’une croissance mutuelle.
Soutenir la santé en Afrique : une exigence morale et une logique économique
La carte de la vaccinationIl nous semble dès lors crucial que la France capitalise sur les investissements ayant l’impact sanitaire le plus puissant et sur lesquels elle dispose d’une expertise reconnue. Nous disposons d’un outil particulièrement efficace dans la lutte contre les grands fléaux sanitaires de notre temps : la vaccination.
...Dans ce contexte, la France doit impérieusement apporter son soutien financier à la vaccination pour mettre en place une diplomatie économique fondée sur des impératifs d’efficacité au bénéfice de tous. De Dakar à Berlin via Davos, investir dans la vaccination c’est investir dans l’avenir.
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Ce qui m’étonne aussi beaucoup c’est que la politique de santé de ces pays africains semble pilotée depuis l’étranger ??? par l’OMS et une nébuleuse de politiques et de lobbyistes.
Même si ces pays connaissent beaucoup de retard sur pal mal de plans, cela fait des années que chacun a d’excellents médecins formés dans les universités européennes ou américaines
!
et si ces pays commandaient du FAVIPIRAVIR pour traiter les cas infectés, et se prémunir d’autres qui pourraient surgir ... au lieu de l’option vaccination ? ce serait tellement plus simple ... -
Faut pas oublier vos cachets les gars ... c’est l’heure
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Ouais 9000 morts ça bouscule un chouilla...
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Moins que la grippe espagnol de 1918 !
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Hé oui des gens pas vaccinés ... et ça a donné une pandémie
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Vaccination pas de pandémieSans vaccination = pandémieC’est si difficile à comprendre ?La coqueluche, la rougeole tuent ceux qui ne sont pas vaccinés, on commence à voir ça en France, des enfants qui ont des parents imbéciles qui refusent la vaccination et après ils pleurent « si on avait su » ... mais c’est trop tard. Mais vous, qui en parlez si mal de la vaccination, vos enfants sont vaccinés, car c’est obligatoire et c’est tant mieux. -
Une pandémie vient quand, il y a une mauvaise santé psychique et physique d’une population, c’est comme pour vous , la barrière humanitaire s’effondre car vous éprouvez le besoin d’être malade et non l’inverse, où ce sont les micros organismes ont eux raison de vous, car dans cette hypothèse, c’est un miracle que l’on vie , au vue des foyers pathogénies que l’on coutoie à longueur de journée , on devrait pas être en bonne santé, mais bien perpétuellement malade, comme nous font croires ses médecins qui ne jure que par les vaccins t
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Mes chats, mon chien sont vaccinés, ils n’éprouvent aucune envie d’être malades.
Alors bientôt un vaccin contre la dengue ?ça ferait du bien aux populations qui en souffrent. -
Ebola serait alors du même tonneau que dengue !Voir là, mon témoignage.
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