En finir avec l’abus du droit de grève !

Vous subissez une inflation de blocages et privations et d'atteinte à votre liberté individuelle ?De votre liberté ces grévistes n'en ont cure !
Ils vous méprisent, ignorent vos droits légitimes. Votre vie personnelle ou professionnelle est bafouée et humiliée et ils vous prennent en otage.
Ils estiment leur « égo revendicatif » supérieur à votre liberté. Il n'y a que eux qui comptent.
Ils vous empêchent de vivre libre. De disposer des moyens auquel vous avez droit.
Mais en ont-ils le droit ? Le droit de grève est-il un droit ? Non c'est un "faux" droit.
Vous êtes tellement conditionnés depuis l’enfance par une éducation nationale marxisée que vous n’avez jamais fait attention que le droit de grève n’est pas et n'a jamais été un vrai droit. Comment pouvez-vous croire à l’absurdité qu’un acte de contrainte, voire de violence envers autrui soit un vrai droit ?
En fait, la grève est tout le contraire d’un droit. La grève porte atteinte aux principes généraux du droit.
La grève est une action concertée, qui consiste en une cessation du travail par les salariés d’une entreprise. Elle vise à créer des préjudices et entraîne une perte de productivité de l’entreprise.
En faisant pression contre la hiérarchie contractuelle, la grève est un déni de la responsabilité du salarié devant ses engagements et sa propre signature du contrat de travail.
La plupart des Français sont conditionnés et il ne manque jamais de juristes, de politiciens pour rappeler que l’on doit le respect aux grévistes qui font valoir « leurs droits ». L’endoctrinement et le conditionnement doctrinaire en oublie le raisonnement.
La liberté de circuler, d’entreprendre est une liberté fondamentale. La grève est une atteinte à ces libertés fondamentales et n’est évidemment pas un droit légitime et licite.
La grève est une épreuve de force, une violence, c’est une cessation « concertée » du travail.
Le travailleur est lié au travail par un contrat. Contrat que le travailleur et l’employeur ont signé ensemble en leurs âmes et conscience.
Avec ou sans concertation, la grève constitue une rupture unilatérale de ce contrat et devrait en découler les responsabilités habituelles d’une telle rupture : fin du contrat, indemnisation des dommages causés, voire poursuite pénale lorsqu’il y a voie de fait, comme accaparation ou blocage de l’outil de travail, piquets de grèves, et obstructions qui constituent une atteinte à la liberté des non-grévistes.
Ne perdons pas de vue en effet que « faire grève » ne veut pas simplement dire s’abstenir de travailler : cela suppose de s’abstenir de travailler dans le cadre d’un « contrat de travail en cours de validité ». En d’autres termes, cela signifie manquer à ses obligations, prévues par le contrat.
Les effets sur la société sont dévastateurs
Les délocalisations en sont pour une part la conséquence. La dissuasion de l’investissement, la destruction de segments entiers de parts de marché, de rayonnement et d’image et destruction d’emploi des autres.
Aux dommages visibles dégradations, pillages, saccages, incendies, s’ajoutent une multitude de dommages invisibles que personne ne peut quantifier : voyage raté, nuit de galère, école sans maître, opération retardée parce que le personnel n’arrive pas à l’heure, marché raté, etc.
Les grèves portuaires ou aéroportuaires qui paralysent les ports et les aéroports sont récurrentes. Ces grèves sont particulièrement nocives pour l’activité des ports et aéroports et l’investissement en France. De situation privilégiée géographique, la France ne peut les exploiter sans ces grèves répétées de catégories sociales, aussi bien que ceux de nos concurrents.
Marseille, le Havre ne sont pas à leur place réelle économique que leur confère la géographie à cause des grèves à répétitions, l’industrie horlogère, l’industrie métallurgique, les transports en ferries les déchargements portuaires, et bien d’autres ont étéq sinistrées par cause de grèves jusqu’au-boutistes.
La panne de croissance épouvantable, qui n’a aucune raison d’être en France, est accentuée par la « grèviculture ».
Grève versus Look out
L’équivalence est condamnée. Comment considérez-vous le lock-out, la grève patronale ? Fermer les portes de l’entreprise signifie, de la part de l’entrepreneur, une violation du contrat de travail, même si c’est dont entreprise et qu’il soit la base de l’ensemble de la base de tous les emplois qu’il a créé.
Comment considérer pour l’employeur ce qui est une faute, ne pas considérer l’équivalence pour le salarié ?
Comment exposer que l’entreprise doit strictement respecter le contrat, et l’employé disposer du droit de passer à côté ?
La rhétorique collectiviste se fonde sur le prétendu « échange inégal » et supposé dissymétrie entre employeur et salarié pour justifier un droit de grève inconditionnel.
Mais la dissymétrie, c’est bien l’inverse. C’est bien à l’employeur qu’on interdit de se révolter contre la force brute.
La signature et l’engagement contractuel du salarié ne vaut-elle rien ?
La législation française fait une abstraction à la liberté des individus contre les intérêts de groupes coalisés dans un acte malveillants envers les autres. La Constitution (marxiste) de 1946 institue ce « faux droit » qui « s’exerce dans le cadre des lois qui le réglementent » alors qu’aucune loi, mais un code réglemente le travail.
Il est temps d’admettre que le droit de grève est inconstitutionnel.
La jurisprudence et plusieurs articles du Code du Travail (L 2511-1) ont établi que la grève ne rompt pas le contrat de travail, mais le « suspend ». C’est ridicule.
Pourquoi y revenir ? Apparemment il faudrait s’y résigner. Pourrait-on priver une nation démocratique de l’une de ses libertés fondamentales ?
Le « droit » de grève est trop souvent l’exemple typique d’un faux droit qui s’exerce aux dépens de personnes non consentantes. Dans ce sens il s’agit d’une agression contraire aux principes du droit et la liberté des autres.
Nous n’en avons pas fini avec les grèves.
Un petit groupe parmi les 150 000 employés de la SNCF représente 25% de toutes les grèves du pays, qui bloque pour n’importe quoi les 2 millions de voyageurs innocents et totalement pas concernés. Il faut en finir et supprimer le droit d’agression qui dans ce cas sert à détourner à son profit les ressources de la collectivité. La plaisanterie actuelle va couter pour cette corporation 35 miliards, c'est plus que le budget de la justice.
Evidemment aucun salarié du secteur privé n’a une retraite aussi généreuse et si spéciale et ne part à 49 ans comme un conducteur de TGV. Le principe de la grève étant pour eux de détourner le bien collectif du droit commun pour en retirer un privilège corporatiste inéquitable spécial, à charge de la société toute entière.
Aujourd’hui la CGT se croit « parti politique » ou « législateur » et veut changer la « loi » simplement pour garder son pré carré de monopole de négociation alors qu’ils ne représentent pas 3% des travailleurs du privé, et n’est qu’une succursale de statutaires en délégation, professionnels de la grève, qui passent plus de temps dans des locaux syndicaux qu'en entreprise.
Certains évoqueront l’illusion d’un service minimum en cas de grève dans les services publics.
Quand il y a un organisme public ou quasi public, en bonne logique, c’est de bénéficier d’un service maximum que devrait faire partie de l’obligation de service public.
Tout autre régime est inadmissible et porte atteinte à la liberté de circuler.
Tout cela fait partie du paysage « social » français.
Pourquoi y revenir ? Apparemment il faut s’y résigner : pourrait-on priver une nation démocratique de l’une de ses libertés fondamentales ?
La législation française ne l’entend pas ainsi. C’est la Constitution de 1946 qui institue ce « droit » qui « s’exerce dans le cadre des lois qui le réglementent ».
On attend toujours ces lois, mais la jurisprudence et plusieurs articles du Code du Travail (L 2511-1) ont établi que la grève ne rompt pas le contrat de travail, mais le « suspend ».
Donc, l’employeur ne peut ni renvoyer le personnel gréviste, ni embaucher un personnel de remplacement, ni attaquer les syndicats grévistes.
Supprimer le droit de grève n’est pas un « drame ».
Dans les autres pays, c’est le droit des contrats qui est seul pris en considération, de sorte que la grève est rupture contractuelle.
-Au Japon, les grévistes mettent un brassard pour indiquer qu’ils sont en grève mais continuent à travailler.
-Aux États-Unis, la première décision du nouveau Président Reagan aura été de licencier plus de 11.000 contrôleurs aériens. Depuis les compagnies aériennes Américaines sont rentables et les Françaises sont connues que pour cela.
-En Angleterre, depuis Madame Thatcher (1982), les grévistes peuvent être licenciés.
-En Suisse, la paix du travail désigne une convention de prévention des conflits sociaux, et la grève est très rare.
-En Allemagne, il ne peut y avoir de grève pendant les périodes de négociation salariale.
Dans la plupart des pays, la grève est interdite dans les services publics ou dans les activités d’utilité publique.
Ces pays, néanmoins, ont bénéficié des progrès sociaux aussi bien et même souvent mieux que les autres pays, ce qui condamne l’idée que les grèves étaient nécessaires à ces progrès sociaux.
Par conséquent, dans un cadre légal, le salariat est une relation d’échange, entre un salarié qui vend son travail et un employeur qui achète ce travail, sous les conditions du contrat de travail.
L’interdiction que subit aujourd’hui un employeur de se licencier un salarié au motif qu’il est gréviste est contraire aux droit de vie de la personne morale.
Il est temps de penser à supprimer ce faux droit de grève et l’illusion que c’est un droit…..
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