Entre compassion et indignation, les amis des animaux revendiquent le port de l’Étoile jaune
Voici qu'avec le mouvement "all-apologies" et son écusson, l'Étoile jaune devient tendance chez les amis des animaux... C'est le retour de l'Étoile jaune pour proclamer la douleur universelle.
"Pour ces créatures, tous les humains sont des nazis ; pour les animaux, la vie est un éternel Treblinka" écrivait Isaac Bashevis Singer, auteur yiddish et prix Nobel de littérature, déclaration jugée iconoclaste et qui inspira "Un éternel Treblinka", le livre de Charles Patterson.
De toute évidence, le nouvelle écusson "all-apologies" touche notre mémoire et son analogie subliminale avec une certaine Étoile jaune nous renvoie dans les années sombres.
Pour les animaux, les années sombres sont perpétuelles, leur enfer au quotidien n'a de cesse pour satisfaire nos plus futiles besoins.
C'est bien pour cela qu'à notre compassion nous devons associer des excuses, toutes nos excuses.
Vous vous direz : oui, mais un bourreau qui s'excuse, un nazi repenti, la belle affaire... Vous faites erreur car nous autres, animalistes ou humanimalistes, c'est au nom de ceux qui torturent et consomment les animaux que nous avons l'élégance de nous excuser. Nous ne sommes ni les zoophages, ni les bouchers, ni les éleveurs, ni les fourreurs, ni les dompteurs, ni les vivisecteurs..., ni rien de tous ces gens spécistes qui ne sentent même pas le besoin de s'excuser, de ressentir la moindre honte pour leurs méfaits qui plus est complètement inutiles, frivoles et scandaleusement cruels. Un exemple : ne pas consommer de chair animal, c'est une assurance-vie de plus de 10 ans que les autres, telle abstinence dispense de l'essentiel des maladies qui grèvent la santé humaine et plombent le budget de la Sécurité sociale.
L'écusson "all-apologies" veut bien dire ce qu'il veut dire :
- Pardon aux animaux, êtres doués de la même sensibilité que nous mais sans voix, sans lois, sans avocats, incapables de se défendre ;
- Pardon à ceux que l'on dérange avec une vérité qui ne peut que les blesser et qui n'ont d'autre réponse envers nous que le déni, la moquerie et les gratuites et grotesques accusations. Pardon pour le délit de les réveiller, de remettre en cause leur mauvaise conscience.
En dépit de sa hardiesse, toute proportionnelle à l'horreur dans laquelle sont plongés nos amis les animaux, le concept a reçu un accueil favorable au delà de toute espérance. À croire que nous sommes plus nombreux qu'on ne croit à vouloir nous mobiliser pour une cause dédaignée par une majorité en perte de conscience.
Ce n'est pas une première. Par pur défi, certains non-Juifs, en particulier les zazous, se sont affichés avec l'Étoile jaune portant l'inscription « Swing » à la place du mot « Juif ». On dit que durant l'occupation allemande du Danemark, le roi Christian X et une partie de la population non-juive portaient l'Étoile jaune afin de soutenir leurs concitoyens juifs en rendant inefficace la mesure de l'occupant.
92 réactions à cet article
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Ah maintenant, les gens qui mangent de la viande sont assimilés à des nazis, pas mal celle-là, prochaine étape à des mangeurs d’enfants !
Je vous dédicace mon morceau de filet de boeuf prévu pour le déjeuner Tarrier, une très belle pièce d’ailleurs, miam miam ! Sinon Vive les zoophages, les bouchers, les éleveurs, les fourreurs,les dompteurs, les vivisecteurs !-
Bonjour Julien.
C’est marrant comme ton commentaire fait écho dans ma tête à ma première réaction à la lecture de cet article. J’ai spontanément repensé à une scène du film culte « Les oiseaux » ; celle où une bigote indécrottablement bornée explique de manière péremptoire que les petits zozios ne sont que de charmantes et innocentes créatures placées sur Terre par Dieu dans l’unique but d’égayer la vie des Homme et que juste derrière une serveuse passe en lançant « Et un poulet frites, un ! » ... -
Non @julien30 vous n’y êtes pas du tout.
D’abord cela serait plustot collabo pour ceux au courant, et attentiste pour les autres : j’aide le système et je ferme les yeux.
Ensuite ce ne sont pas les mangeurs de viande qui ont assimilé à des nazis, mais les mangeurs de viandes qui ne regardent pas d’où provient l’animal qu’il mange.
Ce n’est pas de tuer un animal le problème, c’est de traité les animaux comme des objets alors qu’ils sont tout à fait aussi sensible que les humains. Le problème n’est pas la mort de l’animal, le problème c’est la vie de l’animal !Effectivement 80% des mangeurs de viande vont simplement au supermarché et ne se pose pas plus de question. Ceux là clairement manque de compassion. A une époque certain homme était considéré comme des sous-homme (il n’y a pas que l’histoire des juifs ... amérindiens, esclavage etc...) Et il était normal et de bon ton de ne pas avoir de compassion pour ces gens là.
Aujourd’hui et heureusement cela est fini.
Mais on a pas encore franchis le cap pour les animaux, et même pire si avant la question n’était pas trop un problème, bon nombre d’agriculteur étant largement compassionnel avec leurs bêtes.Aujourd’hui on automatise et industrialise tout cela, mettant en exergue notre vision de sous-être des animaux.
Le parallèle : élevage intensif et nazisme ; est certe choquant, et comporte une grande différence ; dans un cas il y a extermination et au passage exploitation, dans l’autre exploitation et au passage extermination.
Mais il n’est pas dénué de tout fondement ; même si à mes yeux le parralèlle avec l’esclavage serait peux être plus approrié.D’ailleurs tout cela n’est pas si étonnant, vous avez vu l’expérience de milgram, vous avez vu cette video d’une filette qui cri à l’aide dans la rue ? Vous avez vu le nombre de résistant qu’il y a eu en 40 ...
La position noble est rarement celle de la majorité, et pourtant c’est ça qui est chouette, c’est qu’avec le temps les chose évolue dans la bonne direction malgré tout.C’est loin d’être facile d’être courageux ; que chacun s’occupe de soi et face de son mieux. Après il y a d’autre terrain d’action pour exprimer son courage on ne peu pas être parfait partout. Mais clairement si vous êtes un mangeur de viande inconsidéré, vous avez en vous une forme de collaborateur, ou d’esclavagiste, par un des trait de votre personnalité ; Ce qui ne veux pas dire que sur d’autre terrain vous ne soyez pas un saint.
Cordialement.
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@ Julien
Vous èttes évidemment un agent provocateur. Ca ne cessera que quand les gens, lassés, cesseront de répondre à des gens comme vous. Sur ce thème - et suret bien d« autres -bloquer devient lentement, mais surement, une forme d’infantilisme. L’espoir de la »pensée citoyenne libérée " d’Il y’a quelques années est mort. La triste vérité, c’est que quidam lambda n’a pas grand chose a dire et que son discours est maintenant encadré et renvoyé vers l’insignifiant du mainstream.Les gens comme moi qui sommes tombés sans cette illusion, avons en sortir, Juste un sevrage de l’insignifiance que chacun doit faire pour soi et a son rythme, en prenant conscience que maintenez tous les débats sur le Websont manipulés.Quand à l’article mme, il est clair que la cruauté envers les animaux est une question morale sérieuse ; mais la soulever sur le web la rabaisse au palier du remplissage qui compose maintenant presque tout le contenu des blogues. Il va falloir trouver autre chose, ou du moins une autre façon de créer le dialogue entre citoyens et de promouvoir l’é’change des idées.Pierre JC Allard -
Oula pas besoin de partir ainsi dans vos considérations à partir de mon commentaire dont une partie de l’intérêt vous a échappé. Agent provocateur de l’insignifiance ? En partie sans doute mais pas que, mon message ne consistait pas à dire qu’il n’y a pas de cruauté dans l’abattage mais à montrer le côté contre-productif de l’analogie de l’auteur. Au-delà de toujours tout ramener aux nazis, c’est un procédé assez minable qui vise à associer au régime nazi ceux qui ne sont pas d’accords avec la cause défendue, c’est très malhonnête, inutilement outrancier et au final contre-productif pour cette même cause.
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Et au passage, pour obtenir l’amélioration de la qualité des échanges sur les forums que vous espérez, ce serait bien également que les gens se relisent davantage et fassent un peu plus attention à l’orthographe avant de publier leurs messages. Ce serait utile pour mieux saisir d’emblée toute la puissance de leur pensée.
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Dans ce pays de faux culs,se gratter l"épaule est devenu un salut nazi inversé,tout est donc possible dans la tête des blaireaux.
Petit rappel de géométrie à l’auteur :
Une étoile dessinée est munie de branches,6 en ce qui concerne celle portée sur la poitrine eut un temps.
Là,moi,je vois un rond jaune.
C’est pour qui t’est-ce le p’tit point Gogo... ???
:D-
Plutôt que d’interdire l’accès aux cantines scolaires pour les enfants dont les parents ne travaillent ,tels que le Maire communiste de Givors (69) et celui de Thonon UMP l’on fait. Pratiques qui doivent être interdites, car vu la situation de détresse dans laquelle se trouve ces familles, priver un enfant d’un repas équilibré par jour est ignoble. Mais également pour réduire la consommation de viande et sensibiliser les enfants à la souffrance animale ,il faut obliger les Maires et les responsables de toutes les collectivités territoriales à servir au moins un jour sur deux des repas non carnés. Cela contribuerait à résoudre par ailleurs les problèmes carnés liés à certaines contraintes religieuses.
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Bonjour Daniel.
Je ne voulais même pas réagir tellement cette généralisation est primaire et stupide au plus au point mais vu que tu as commencé à evoqué mes penser, je ma jette à l’eau.1) « L’abatage animal est forcément ignoble et irrespectueux. »
Quand on ne sait pas, on ferme sa gueule ; ça évite de dire des bêtises.
Même si oui, la façon dont l’abatage industriel est actuellement pratiqué est hautement contestable et condamnable, ce n’est en revanche pas la seule manière possible de faire.
Et puis que l’on parle de l’état d’esprit des « carnassiers » j’en connais qui avant d’abattre une bête, lui parle, s’excuse et la remercie. Merci de ne pas généraliser de manière autoritairement exclusive.2) « L’abatage est ignoble alors il faut y mettre un terme ! »
C’est s’làaaa ouiii ...
Et les voitures tuent donc il faut interdire tous les véhicules motorisés !
Ce n’est pas forcément l’abatage qu’il faut faire cesser mais l’ignominie. Ne pas confondre tel le bonobo primaire, le quoi avec le comment.3) Les défauts de ce monde ne tournent pas autour de cette cause qui est par ailleurs tout à fait juste. Il ne faut donc pas tout y résumer et ne surtout en perdre le sens des priorités.
Pour ce qui est de la santé, il y a quarante mille autres trucs bien pires que les simples conditions d’abatage INDUSTRIEL de ces pauvres bêtes.
Et come le fait très pertinemment remarquer Daniel, sur le plan humain et étique, il y a également bien d’autres priorités.Sinon, hormis ces colossales omissions, je suis d’accord avec l’article [dont je salue l’auteur et sa prise de position toute à son honneur] ; les œillères en moins.
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PS : (Parce que mon comm précédent peut paraitre dur pour l’auteur ; qu’il n’y ait pas de malentendu.)
1) Je re-salue clairement l’auteur, son article et son courage militant pour une cause effectivement GRAVE et au combien fondamentale notamment parce qu’elle est représentative de l’état d’esprit inquiétant (sens du sacré de la vie) d’une société.
2) il y a un autre point que l’auteur à oublié et qui va totalement dans son sens : lorsqu’une émission est diffusée sur le sujet, ceux qui la regardent (beaucoup s’en lavent carrément les mains... !) vont certes s’offusquer. Mais quid ensuite ? Quelles reflexions et conclusions vont-ils en tirer ? Quelles décisions ne serait-ce qu’à l’échelle personnelle vont-ils concrètement prendre ? Certains, oui, changeront plus ou moins leur habitudes mais beaucoup seront purement et simplement passé à autre chose deux jour plus tard.
Chacun, en tant qu’acheteur final, ne doit effectivement pas oublier ni minimiser SA part de responsabilité dans cette chaîne. -
Tout à fait !
Il faut savoir que la façon de manger fait aussi partie de l’éducation culturelle. Les menus des cantines devraient être neutres. On ne saurait donc exiger la suppression totale des viandes mais persister à faire de la viande une obligation n’est pas normal car cela correspond à une norme imposée au milieu du siècle précédent à partir d’idées reçues dont il est prouvé aujourd’hui que c’était une erreur !
Dans le même sens il faudrait revenir sur les laitages quasi obligatoires au petit déjeuner (Cela ne concerne que les cantines de pensionnats, pour autant ce n’est pas négligeable !)
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Les cons, ça ose tout. C’est même à ça qu’on les reconnaît.
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Avez-vous lu Isaac Bashevis Singer ?
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« Avez-vous lu Isaac Bashevis Singer ? »
Pas besoin, le simple fait de savoir que le type assimile les mangeurs de viande à des nazis suffit à le désigner comme un abruti ou simple nuisible. Sans même mentionner le fait, comme c’est rappelé plus bas, que beaucoup de nazis à commencer par Hitler, avaient un grand respect de la vie animale, bref cette analogie est d’une telle bêtise et outrance crasses que le type ne vaut sûrement pas la peine d’être lu. -
Singer ne parlent pas des « mangeurs de viande » mais des tortionnaires d’animaux ! Vous la faîtes la nuance ? Libre à vous de manger de la souffrance, de la torture sans compter la chimie pharmaceutique et « phytosanitaire » !
On ne se demande pas où elle est la connerie ! -
En meme temps , les grands centres d’élevage c’est comme des camps sauf qu’au lieu d’y mourir de faim on s’y goinfre jusqu’à ras bord .
Et on surveille qu’on y est en bonne santé avant de tuer pour ensuite mettre au four. -
Oh la la, c’est quoi encore ça gaffe aux com, faudrait pas lui donner raison
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J’avais pensé la même chose il y a des années, j’en avais parlé mais pas d’écho !! mais j’y incluais aussi les hommes, tous ceux qui sont victimes de l’ultra libéralisme capitaliste !
Permettez-moi de donner le lien qui suit : je pense que peu de gens sont au courant, c’est absurde et effrayant, et il y a quelque chose à signer :
http://www.penelope-jolicoeur.com/2013/11/prends-cinq-minutes-et-signe-copain-.html?fb_action_ids=10201075402783315&fb_action_types=og.likes&fb_source=other_multiline&action_object_map=%2210201075402783315%22%3A227695997397545&action_type_map=%2210201075402783315%22%3A%22og.likes%22&action_ref_map=[]-
Bon je suis allé voir le site par curiosité....
Ben merde, apparemment il a meme l’air de penser aux humains http://www.all-apologies.org/noosphère/infos-actus-humanimalistes/
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tres instructif, la bd de penelope !
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oops, je veux dire instructive !
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C’est là encore un avatar du capitalisme. Les chalutiers sont achetés à crédit, ce qui fait jouer à fond l’effet de levier (nécessaire au profits d’Intermarché) et permet aux banque d’écouler des créations de liquidité, c’est à dire ce qui permet à ces parasites de rackéter la société en approfondissant les dettes.
Où nous voyons que l’Europe est complice d’un système purement financier appuyé sur une prédation bien réelle par contre !
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Il va sans dire qu’une fois de plus, je ne répondrai pas aux snipers du politiquement correct, à ces gens qui redoublent dans leur bassesse plutôt que de nuancer leur pensée, leur mode de vie, leur alimentation culturellement programmée.
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« culturellement programmée. »
Voilà un point intéressant à développer !
C’est clair qu’une bonne partie de notre alimentation n’a plus rien d’une démarche naturelle ni individuellement et sciemment choisie. Diététiquement, 100g de « viande » ou poisson par repas est un myhte né d’une part de la mise à disposition de viandes abondantes et financièrement accessible pendant l’après guerre puis savamment entrenue et amplifiée par une industrie vénale.
De même, consommer régulièrement des boissons artificielles et autres aliments synthétiques ne revient-il pas à marcher sur la tête ? Mais là, au moins, on ne fait de mal qu’à soi-même.Maintenant, mon arrière grand-père, fermier breton en 1900, dépensait largement ses 2000 calories rien qu’en une matinée et même s’il mangeait beaucoup de fruits et légumes (en même temps, dans une ferme ...) se passer de protéines animales ne lui aurait purement et simplement pas permis d’avoir la force de faire tourner une ferme.
Donc oui le culturel et le civilisationnel sont également déterminants et à bien avoir en tête.
.Et +1 pour la sagesse de ne pas rentrer dans les polémiques, ce qui ne doit toutefois pas fermer les discussions.
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Enorme de parler de politiquement correct alors que vous reprenez l’identification de ceux qui ne pensent pas comme vous à des nazis ! Et puis vous parlez de pensée nuancée, que votre analogie en révèle en effet !
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Avis aux Justes
Désormais, nous nous reconnaîtrons....
All-apologies : voici un écusson pour nous mettre à l’unisson.
Dans le partage d’une même conviction, reconnaissons-nous pour créer l’unité.
Notre intransigeant respect pour les animaux nous écarte de l’écologie ordinaire et tend à faire de nous des dissidents. Luttons donc pour une meilleure visibilité et affichons partout l’identité de notre combat.
Porter cet écusson, c’est prendre publiquement le parti des animaux et nous reconnaître entre partisans, c’est porter sur le cœur une inaliénable image de mémoire et proclamer à cor et à cri la plus grande et perpétuelle injustice qui est celle du spécisme.
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à priori cet écusson n’a rien de nécessaire sauf dans certaines manifs : Il n’y a pas que les animaux qui souffrent !
Ce serait trop beau si le monde des humains était, en ce qui concerne l’espèce, si parfait qu’il n’y aurait plus que ce combat à mener !
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Il faudrait quand même un jour arrêter de récupérer le nazisme en le mettant à toutes les sauces. A force, on banalise l’horreur et on finit par saoûler les gens.
La cause animale se suffit à elle-même et n’a pas besoin de se raccrocher à une catastrophe qui en plus n’a rien à voir.-
L’assimilation au nazisme n’a rien d’une banalisation au contraire. Cette assimilation a été proposé par des victimes de la Shoah elles-mêmes pour montrer comme les conditions d’élevage moderne leur rappelaient ce qu’elles avaient vécues.
Je rappelle que les esclaves animaux subissent ce genre de sort dès leur naissance et jusqu’à la mort ... C’est donc bien plus que Treblinka ...
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Isaac Bashevis Singer a écrit « Pour ces créatures, tous les humains sont des nazis ; pour les animaux, la vie est un éternel Treblinka ».
C’était pourtant un écrivain juif polonais yiddish et prix nobel de littérature ...intéressant
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Absolument pas Omar ! je m’insurge ; l’homme a été dur avec les animaux comme il l’était à l’égard de lui-même ; et je ne parle pas de sadisme ou autres déviances qui, certainement ont toujours existé ; seulement l’engraissage délibérément tortionnaire que l’on fait subir aux porcs, aux volailles et dans une moindre mesure, quoique, aux bovins et au ovins, non, cela n’a jamais existé avant 40 !
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« Sauf que la barbarie envers les animaux existait bien avant, »
Les nazis n’ont pas non plus inventé les génocides.
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à Alinea,
Les animaux restent les plus maltraités aujourd’hui
Par exemple en ce qui concerne les jeux en cirques qui concernaient autrefois beaucoup les animaux (venationes) mais aussi les hommes (munerachie, hoplomachie). Ne subsiste aujourd’hui que la tauromachie et quelques traditions de combats entre animaux.
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All apologies, par solidarité avec les victimes et dénier la réduction de l’humanité à une majorité soit ignorante, soit inconsciente de sa méprisable suffisance.
Belle initiative qui permet de faire un vrai bras d’honneur, une sorte de quenelle, éthique et utile celle-là, tortionnaires passifs qui n’ont derrière leur mots ignobles, que la lâcheté de sous traiter à autrui les sales besognes.
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le mieux est de porter une croix gammée dans le bon sens (celui-ci au choix)
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« dans le bon sens »
MDR ! Bien vu Foufouille, comme d’hab.
Mais je doute que la plupart des gens en saisissent la signification. -
il suffit pourtant de se renseigner. c’est sur wiki
celle des nazis est le symbole de la mort
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qui veut une gélule a base de pancréas de cochon ?
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Le rapprochement nazisme /défense animale décrit ici est franchement hasardeux, et même à côté de la plaque.
Les nazis, à l’image de leur chef suprême avaient, qui l’eut crû, une attitude bienveillante envers les animaux. Hitler - et c’est largement connu - était végétarien, adorait les bêtes et spécialement les chiens. Ferveur défenseur de la cause animale, il fit promouvoir la loi Tierschutzgesetz dès son accession au pouvoir en 1933 : "protéger la responsabilité de l’homme pour les animaux comme des créatures compatriotes", loi qui interdisait la vivisection et l’abattage rituel notamment. Cette loi donna naissance au Animal Welfare Act.
Bref, le nazisme fut bien plus clément pour les animaux que pour les juifs, et maintenant on en voudrait comme étendard pour défendre les bêtes ? Quel mauvais goût je trouve !-
Mais enfin zen zoe, ce cinglé de l’histoire n’est un modèle pour personne ! Rien de ce qu’il a dit ou fait ne devrait constituer le moindre argument que ce soit !
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Xenozoid 20 novembre 2013 18:59ha ha,pourqoui tu joins le nazisme, a cela ?tu comprend pas ?
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Jelena XCII 20 novembre 2013 19:11>> Hitler (...), adorait les bêtes et spécialement les chiens.
Surtout les bergers allemands.... Par contre jamais vu une photo du moustachu en compagnie d’un épagneul, d’un cocker ou d’un labrador. Même envers les chiens il était raciste. -
Quand je pense Jelena que j’ai eu un berger allemand, qui était d’une bravitude !
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bon , sur ce , je vais me manger ma goulash en songeant que je ne vaux pas mieux qu’un maton de la Totenkopf !
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Comme à l’habitude, les réactions de ceux qui qui agitent leur steack à la manière du pédophile qui brandit les photos de ses victimes en guise de trophée sont caractéristiques de comportements perverses qui tendent à reporter sur autrui leur affres à la manière d’un miroir déformant ...
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Ce qui me « surprend » !
Ce sont les mêmes, voir le végétarien « bossant »chez Ruquier, qui s’indignent que l’on tue les animaux et qui se déclarent scandalisés que le Pape ne se prononce pas pour le doit à l’avortement.
« Je fais ce que je veux de mon corps »
Comme si un seul toubib sérieux pouvait affirmer droit dans les yeux que le foetus fait partie du corps de la femme !-
Il y avait une raison (la santé) d’abandonner la cigarette et bien des adeptes l’ont abandonnée. Il y a au moins trois raisons principielles (le respect, la santé, la planète) de ne plus manger de viande et les gens continuent, pourquoi ? Parce qu’ils ne savent pas ce qu’ils mangent et qu’ils sont sous la coupe de dealers assermentés.
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Un lieu commun, dont l’intention non avouée est cette fois de chercher à discréditer, est la fumeuse question de savoir si Jésus, non pardon..., si Hitler consommaient ou non de la viande, avec la loi de Godwin à la sempiternelle rescousse des anti-végétariens. Hitler, végétarien ? Le Führer avait des problèmes d’estomac et tentait, non sans mal, d’éviter la viande. Mais ses plats préférés restaient les saucisses bavaroises, les boulettes de foie et le gibier farci, notamment les pigeonneaux. Dès son arrivée au pouvoir en 1933, Hitler s’empressa d’interdire les sociétés végétariennes ; il fît arrêter leurs chefs et fermer la rédaction du principal magazine végétarien publié à Francfort. Toutes les organisations végétariennes étaient interdites dans les territoires occupés. Hitler, ami des animaux ? Une anecdote pourrait rétablir la vérité : “Pour éliminer tout ce qui pouvait en eux être faible ou gentil, certains membres des S.S. devaient élever un berger allemand pendant douze semaines, puis étrangler le chiot devant un officier”. Peter Sichrovsky, Born guilty, children of nazi families (1988).
La loi de Godwin est une règle empirique énoncée en 1990 par Mike Godwin relatif au réseau Usenet, puis popularisée depuis sur Internet : « Plus une discussion en ligne dure longtemps, plus la probabilité d’y trouver une comparaison impliquant les nazis ou Adolf Hitler s’approche de 1. » C’est tout spécialement en vigueur chez ceux qui cherchent à clore le débat avec un animaliste ou un végéta*ien. Atteindre le point Godwin revient à signifier à son interlocuteur qu’il vient de se discréditer en vérifiant la loi de Godwin.
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Bien des espèces omnivores à tendance carnivore ont ainsi évolués, l’un des plus emblématiques exemples est celui du Grand Panda, cet ursidé qui se contente désormais de pousses et de feuilles de bambou. Selon les chercheurs, le génome du panda (21.000 gènes, 2,4 milliards de bases) contient tous les gènes codant les enzymes caractéristiques d’un régime carnivore. Mais l’animal a perdu toute capacité gustative nécessaire pour apprécier la viande. Exception faite d’Homo sapiens, champion de toutes les outrances contre-nature, on ne connaît guère d’exemple inverse. Seul notre bon copain déraisonnable qu’est le Bonobo est censément enclin à d’occasionnelles dérives bouchères, voire cannibales, quand l’occasion fait le larron.
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La capacité des hommes à consommer de la viande n’est pas tout à fait contre nature : Cela est lié au fait que l’espèce a dû traverser plusieurs glaciations. Par contre la consommation actuelle de viande n’a plus rien de naturel vu que ce n’est plus nécessaire et qu’il y a mieux pour les hommes maintenant.
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Rien ne peut arrêter une idée dont l’heure est venue, dit-on. C’est souvent faire l’apologie idéaliste du comble de l’utopie. Sauf lorsque les circonstances économiques viennent cautionner l’hypothétique espoir et qu’en l’occurrence il ne semble guère possible d’afficher encore plus longtemps et davantage que les 60 milliards de cadavres d’animaux aux dépends desquels nous vivons annuellement, soit 234.624.000 tonnes de chair, d’entrailles et d’os, que les 1090 animaux tués chaque par seconde dans le monde, lesquels requièrent deux-tiers des terres agricoles pour leur alimentation. Cette débauche cruelle et exorbitante, propre d’une véritable décadence alimentaire, implique les incommensurables et irréversibles dégâts collatéraux planétaires que les spécialistes et les médias ne font qu’énoncer, sur le mode ronronnant des prêches dans un désert. D’ici à 2050, la consommation mondiale de viande va doubler. Jusqu’à quel point pourra-t-on développer l’élevage intensif, si exigeant en céréales, en eau et en énergie, grand vecteur de gaz à effet de serre et toujours sans le moindre égard pour la souffrance d’animaux considérés comme de la viande sur pattes ?
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Avant la fin de ce siècle, la viande aura disparue, seuls quelques citoyens suffisamment riches pour être monstrueux, continuerons de se délecter de chair fraîche, comme au temps des rois, et à en perdre la santé mentale et physique. En devançant cette date, nous pouvons être d’avant-garde, tant pour notre corps que par respect pour les animaux et la planète.
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Des camps de rééducation alimentaires devraient être institués...
Heil Tarrier !
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Constant danslayreur 20 novembre 2013 13:00Merci, grâce à vous je me souviens que je dois ramener des steaks ce soir.
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Si on veut manger de la viande saine ,pas grasse ,bien nourrie , sans antibios et autres cochoncetés, il faut manger de l’écolo !
Aita Lecter .
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le meilleur est de la viande de végétaryen nourri a l’herbe bio. l’avantage est qu’il est bon a manger très jeune ..............
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L’inculture de beaucoup d’intervenants qui, visiblement, n’ont jamais vraiment trop approfondi la question posée et se gaussent immédiatement d’une analogie entre les comportements des nazis et la façon dont nous traitons les animaux saute immédiatement aux yeux. On ne saurait trop leur recommander la lecture de l’imposante étude d’Elisabeth de Fontenay : « Le silence des bêtes », où l’on retrouvera aussi quelquefois ce parallèle, lequel paraît s’imposer à quiconque prend la peine de penser avant d’écrire. L’auteur concède qu’elle n’est pas strictement végétarienne, et son bouquin qui doit bien comporter un millier de pages ne saurait se résumer en deux ou trois paragraphes. C’est une étude extrêmement complexe et nuancée, et la nuance est bien ce qui manque le plus quand on parcourt cette page de réactions hâtives.
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Constant danslayreur 20 novembre 2013 18:59« On ne saurait trop leur recommander la lecture de l’imposante étude d’Elisabeth de Fontenay : « Le silence des bêtes » »
Inutile de recommander nous ne sommes pas tous incultes hein, puisqu’il est avéré qu’Aita lui, a bien lu le livre, si môssieu
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Constant danslayreur 20 novembre 2013 19:03Ma perke il ne fonctionne pas mon lien
J’insiste... http://www.profession-gendarme.com/wp-content/uploads/2013/10/silence_des_agneaux-skeuds.jpg -
Serez-vous compris Constant ?
J’ai vu un vieux marocain cet après-midi, usé par le labeur, qui promenait ses deux bichons blancs en laisse !! (je sens que si je ne suis pas comprise, on y passera la nuit !) -
Bon, mais comme le Lion est également un inculte, le Lion continuera à manger de la viande, éventuellement déchiquètera ses proies vivantes sans se preoccuper de leurs souffrances.
Et bien Labrune je vois plus de cohérence chez le Lion que chez vous, mais traiterez-vous le Lion de nazi ?
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À ce degré groupie, il n’y a plus rien à faire ; Te deum
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Xenozoid 20 novembre 2013 14:36c’est assez symptomatique, de nos société, se labelliser mais refus d’etre labelliser,mois je bouffe pas de viandes depuis ma 15eme annee,et pourtant,cétait dur,vas faire comprendre que la charcuterie c’est de la viande,que l’aumailleurie est le stade de trie, et que aimer les lapins ne signifie pas faire de l’elevage pour des manteaux,mais jamais je ne labelliserais un choix autant personnel que politique,ce n’est pas une religion ou une doctrine, c’est un choix personel,sinon,je suis d’accord se que l’on fait subir aux animaux nous reviens sur la gueule,et c’est encore plus profond que cela, l’education est l’aumaillerie moderne,tout est a repensé,et en premier lieux il serais temps de détruire les mythes qui nous faconnent...
Animalement vôtre-
animalisation de l’humanité .....par soi même.
humanisation des animaux ......par eux mêmes ;Voilà où nous sommes rendus.-
Xenozoid 20 novembre 2013 17:32tu en es rendu a dire n’importe quoi
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Un peu d’optimisme dans ce climat de morosité ambiante.. Demain quand il faudra abriter et nourrir 15 milliards d’humains ; la souffrance animale, les abattoirs, les cochons qui voyagent, tout ceci ne sera plus qu’un mauvais souvenir... j’imagine même que cela choquera les générations futures..
http://www.consoglobe.com/viande-in-vitro-steak-frankenburger-cg
Ceci et la culture de légumes hors sols permettront une meilleure gestion des besoins alimentaires de l’humanité en évitant d’épuiser la terre...
Cela dit, il faudra veiller à ce que les espèces prédatrices animales soient en nombre suffisant afin que ne pas créer un déséquibre de la faune.. ( on a pas encore trouver le moyen d’empêcher les gros poissons de boulotter les petits, ni les lions les gazelles.. :)
la nature est cruelle mais au moins les futures proies peuvent jouir de leur milieu naturel en toute liberté pour un temps non défini... ce qui n’est pas le cas de nos animaux d’elevage, que l’on fait naitre que pour leur infliger la souffrance d’une vie très courte et en captivité..-
L’instrumentalisation des animaux, par Matthieu Ricard
Est-il concevable de souhaiter l’avènement d’une société plus altruiste tout en fermant les yeux sur le sort que nous infligeons aux milliards d’animaux tués chaque année pour notre consommation ? Dans les élevages industriels, la durée de vie des animaux est d’environ 1/60ème de ce qu’elle serait dans des conditions naturelles. C’est comme si l’espérance de vie d’un Français n’était que d’un an et quatre mois.
http://www.altermonde-sans-frontiere.com/spip.php?article24375
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Je viens de commencer cette lecture ; il est extrêmement important que les gens sachent et comprennent que l’on ne peut bâtir son palais sur un ossuaire, ni une civilisation sur la barbarie... pourtant, depuis le génocide indien, cela n’arrête pas, je pense qu’il nous faudra attendre une autre civilisation pour voir nos souhaits exaucés !
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« ni une civilisation sur la barbarie... »
C’est pourtant toujours ce qui s’est fait et les Romains (par exemple) étaient de terribles barbares.
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Sans trompettes ni prophètes, Il est préférable de s’intéresser à comprendre dans sa complexité la société plutôt que perdre son temps à évaluer les stratégies infantiles et égoïstes des droites ou des gauches
Le statut juridique des animaux
La corrida (en espagnol, « corrida de toros », « course de taureaux ») est une forme de course de taureaux consistant en un combat à l’issue duquel le taureau est mis à mort
Suite :
http://laicite-moderne.blogspot.fr/2013/11/le-statut-juridique-des-animaux.html
http://laicite-moderne.blogspot.fr/
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Constant danslayreur 20 novembre 2013 19:08Il y a une chatte qui vient régulièrement se nourrir à ma fenêtre, avec mes sous donc, quand elle sera bien dodue elle fera un excellent civet ou alors un râble
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Xenozoid 20 novembre 2013 19:12le cynisme ne payant pas a tout les coup vas falloir fair mieux, que d’attraper une chatte
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Aucun scandale, si tu es zoophage tu peux manger ce que tu veux, du chien aussi comme les Chinois, ou du cheval comme les Français...
Je signale, en passant, que la Confédération suisse n’interdit pas la cynophagie et que certaines populations de Suisse orientale et centrale continuent cette tradition en préparant des plats à base de chat et de chien, compris des charcuteries. Pas trop fier de se nourrir des meilleurs compagnons de l’homme, le pays, haut lieu de civilisation..., semble tout de même faire montre d’une certaine réserve à cet égard.
Il serait oisif de faire des procès d’intention, en matière d’animaux tout se mange ou rien ne se mange, pas de clivages culturels, pas de subjectivité, encore moins de schizophrénie de notre part, seulement des ignominies culturellement ancrées et l’absence de conscience de la part des adeptes du carnisme.
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Constant danslayreur 20 novembre 2013 19:30Monsieur Tarrier,
Vos billets m’ont manqué - je ne mens jamais - vos idées doivent s’exprimer et vous les exprimez très bien, de plus comble de bonheur, vos fils sont Toujours intéressants d’une manière ou d’une autre merci, je me garderai donc d’être désagréable et de prendre le risque que vous ne repartiez hiberner dans quelque grotte ou juste ailleurs.
Même modérément, je vais continuer à manger de la viande - pas celle de ma voisine de chatte non - l’ordre des mots est double checked -, je l’aime trop pour ça, je l’ai vue, pourtant complètement asséchée par ses petits, reculer quand même pour leur laisser toute la place dès qu’il y avait quelque chose à manger, je n’oublierai jamais cette scène (*1*).
Et vous, vous allez continuer à dénoncer ma zoophagie entre autres... ça me semble correct comme statu-quo.
(*1*) Je ne promets par contre rien, si je tombe sur une chatte méchante ou mauvaise mère, on est bien d’accord
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On peut bouffer de la chatte en étant végétarien.
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D’abord faut toucher Abou ...
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Il tue le loup, il frappe l’âne, il caresse son chien et mange l’agneau, c’est l’homme !
Telle est, en une phrase, notre schizophrénie ordinaire à l’endroit des animaux, loin de tous les principes naturels et moraux.... Cette approche éminemment subjective qui atteint le plus haut degré du cynisme, avec ses variantes d’une culture à l’autre, interpelle quiconque possédant un minimum d’empathie et de sens de la relativité dans sa réflexion et son émotion. Tous les animaux sensibles se valent et c’est bien pourquoi voir en un veau des recettes de cuisine alors qu’ailleurs les bovidés peuvent être vénérés, accommoder de la viande de chien à une sauce chinoise alors que d’autres en font le plus charmant des compagnons, ou encore préférer voir du cochon dans son assiette plutôt que du cheval, ne résiste pas à un examen quelque peu approfondi de la question. On entrevoit de suite l’aspect psychopathique de cette éducation devenue conduite et garder des œillères en dégustant tranquillement son steak-frites, pendant que le chien dort à nos pieds, ne correspond pas à une normalité. Il y a des habitudes auxquelles il faut tordre le cou. Un retour à la raison s’impose afin retrouver un peu plus de conscience et envisager enfin des lendemains sans viande.
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Comment se fait-il qu’il y en ait qui protège le loup, caresse l’âne et le chien et l’agneau ?
Ceci est un mystère, en tout cas, une incommunicabilité étanche entre ces deux « frères » !! -
« Comment se fait-il qu’il y en ait qui protège le loup, caresse l’âne et le chien et l’agneau ? »
car certaines viandes sont très dures a cuisiner et à manger. le tarryen est très dur a bouffer, même bobo
certains animaux sont utiles et d’autres doivent être régulés. surtout les « races » supérieures -
L’homme est effectivement un être extrêmement complexe, complexité qui semble dépasser Mr Tarrier.
Pourtant l’Homme est la seule espèce vivante sur Terre à se préoccuper d’Ecologie...
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à TF1Groupie :
C’est normal, les hommes constituent l’espèce dominante. On voit mal comment les autres espèces pourraient se préoccuper d’écologie sauf à prendre le pouvoir !
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un bon extrait de pancréas de cochon, et un bon morceau de poulet bien moelleux. (se nourrir de jeunes vegétaryens herbivores étant interdit )
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Il y a dans le domaine du vivant un grand principe qui est celui de la chaine alimentaire.
les êtres vivants se nourrissent d’être vivant. c’est comme ça.
le lion mange la gazelle et il ne viendrait à personne de dire que le lion se comporte en nazi.
De même,l’homme mange la viande et c’est comme ça.Mais il y faut du respect.
Alors oui, quand on voit les conditions d’élevages des animaux dans l’élevage industriel, alors oui. ce sont des comportement de nazi, dans le sens de comportement déshumanisé par des humains qui ont perdus leur lien avec la nature.
Il faut y être attentif et s’éloigner de ça.
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Le lion n’a pas de compassion parce que ça le tuerait vu qu’il ne peut pas faire autrement.
Il n’a pas la conscience aussi développée que nous non plus.Nous on l’a et on peut faire autre chose. -
Voila, c’est ce que je dis.
vous vous servez de votre raison pour élever des animaux dans de conditions indignes..
ce que le lion ne fait pas.
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ce que le lion ne fait pas."
il les bouffe dans tes conditions indignes, pauvre débile -
Il accomplit sa nature.
il ne sert pas de son intelligence pour construire la barbarie.
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D’abord le lion ne tue pas !
Il laisse cette basse besogne aux lionnes. Ce faisant il est ensuite le premier à se servir !
Les lions ressemblent beaucoup aux hommes
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En fait les hommes sont bien pires que les lions finalement !
- Les lionnes s’attaquent de préférence à la gazelle la plus faible, souvent celle qui est malade, donc même si le meurtre est violent il va dans le sens de la nature et serait presque un moindre mal.
- Les hommes, de leur coté, enferment leurs futures victimes et leurs font vivre une vie de merde avant de les occire... fût-ce ’’humainement", c’est bien pire ! Et en plus si une bête est malade, c’est tout le troupeau qui est abattu et même pas consommé !
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Alternatives :
- la viande in vitro :
http://fr.wikipedia.org/wiki/Viande_in_vitro- la viande humaine.
Bon appétit.
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Des exceptions confirment la règle que l’homme est un mammifère herbivore
De cette règle générale, on exclura les ethnies du Cercle polaire arctique (Péninsule scandinave, Islande, Groenland, Nord canadien, Alaska, Nord de la Russie) dont les conditions de vie dans un environnement excessivement particulier ont induit, au fil de temps, une mutation alimentaire idoine. Sous bioclimat ultra spécifique comme celui arctique, le régime des Inuits, des Inuvialuits, des Kalaallits, des Iñupiats et des Yupiks était cette exception carnée, conforme aux offres du milieu environnemental, qui confirmait la règle d’un homme partout ailleurs herbivore. Il est d’ailleurs rapporté que l’ancien terme français « esquimau » pouvait venir d’un mot algonquin du XVIIème siècle signifiant « mangeur de viande crue ».
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