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Fake-News

Je vais en écrire quelques-unes qui ne manqueront pas de surprendre.

L'ENTREPRISE créait des emplois.
Le travail a une valeur.
Il faut rembourser la dette de l'état.
l'État peut être en faillite.
La monnaie est indispensable.
L'humain est fainéant.
La morale vient d'un "dieu".
Les hommes disposent d'une libre arbitre.
Les hommes sont libres.
Les hommes sont égoïstes.
La vérité existe.
Je peux être impartial.
J'en termine avec le meilleur d'entre eux : pour développer l'économie et l'emploi nous avons besoin de l'argent des Riches.

Je ne vous invite pas à philosopher.

 Non je ne vais pas développer chaque point. Si nous les avons défini et ils reposent sur nos observations qui accréditent leurs certitudes sur lesquelles nous allons organiser notre existence.
On aperçoit déjà l'enchaînement.
L'observation de nos existences nous fait définir nos organisations et ce que nous comprenons et nous en poursuivons l'usage qui conforte nos certitudes dans la place que nous y avons trouvé. Je fais pareil, pas moyen d'y échapper.
Il faut bien que je puisse croire sinon le doute me tuerait.
Sauf que l'existence se déroule par des actions dont nous ne voyons leurs réalisations que lorsque nous pouvons en mesurer leurs effets dans l'instant où ad vitam æternam. Mais durant l'écoulement de cette durée restée dans nos mémoires nous construisons des souvenirs pour nous adapter au monde en ignorant qu'il change à tout instant.
Alors toutes ces affirmations nous permettent de stabiliser nos existences même si elles sont fausses.
Nous comprenons que si elles étaient absolument vraies nous serions dans un déterminisme le plus absolu et ces définitions n'existeraient pas.

Est-ce triste.

Leurs existences est la preuve que ce sont des "fake-News", et donc nous pouvons en changer, ouf nous sommes sauvés, pas tout à fait, car au lieu de réfléchir nous allons attendre que quelqu'un nous délivre une Vérité, et nous repartons pour un nouveau tour fait de '"fake-News". C'est triste, non ! Ce n'est pas triste, c'est même essentiel pour que les civilisations se succèdent pour s'adapter à l'évolution de la planète.

Cela permet de comprendre que l'organisation dans laquelle nous vivons nous pouvons en changer.
Mais comment si par mimétisme et enseignement nous consolidons ces fake-News news en nous. Par le conflit inter-générationel car nous ne pourrons pas tout passer aux générations futures.
C'est par ce moyen que la nature ou dieu pour les croyants s'assure que nous évoquerons en corrélation avec un environnement auquel nous participons.
Je ne vais fournir que l'exemple de Copernic qui a remis en cause l'héliocentrisme face à un pouvoir autocratique divin.

Ils n'ont pas écouté.

Je n'écris pas cela pour inviter à philosopher, mais parce que mes gilets jaunes sont l'expression d'un ras le bol d'un pouvoir autocratique élitiste qui leur soutient à l'aide des fake-news que j'ai listé que l'on ne peut pas changer les choses.
En 1995 dans une réunions des maîtres de la planète à Davos en Suisse, Bill Gates disait à ces semblables qu'il fallait qu'ils ne pratiquent pas un capitalisme vainqueur à outrance sous peine de voir ressurgir une opposition idéologique.
Nous n'avons pas encore trouvé une opposition idéologique, car après l'effondrement du communisme, le PS a suicidé le socialisme et Mélenchon a bien de la peine pour trouver une nouvelle voie humaine d'abord.
Ainsi les Gilets Jaunes s'ils s'apparentent à une jaquerie ils n'en sont pas moins le résultat de ce capitalisme débridé, qui s'est caché toutes ces années sous l'Europe, la loi du marché, la mondialisation, le libéralisme pourrissant nos existences par la prolifération des déchets.
Cela me rappelle quand je participais à la fabrication d'abris nucléaires durant la guerre froide, ils n'étaient pas fait pour le peuple.
Si je me félicite de la détermination des gilets jaunes, ils n'en sont pas moins dans une impasse pour avoir avec beaucoup de leur concitoyens participé à la détérioration de la représentation populaire car leurs aînés n'ont pas su résister au consumérisme et ont laissé dépérir ce qui leur aurait permis d'être écouté par le rapport de force en son temps.
Nous avons vu que le pouvoir est resté sourd aux défilés au son des tambours comme s'ils allaient au carnaval. Le pouvoir avait chaque fois l'opportunité de satisfaire les revendications. Quid l'Europe exigeait la réduction des charges, c'est à dire clairement la baisse du niveau de vie des citoyens pour qu'ils s'alignent sur ceux des pays plus pauvres.

Il faut penser plus loin.

Mais réfléchissons y qui dirige l'Europe le pouvoir politique ou la BCE et les lobbyistes, même si l'on ne peut leur reprocher de défendre leurs intérêts.
Alors pourquoi faudrait-il le reprocher aux Gilets Jaunes, en seraient ils indignes parce que c'est le peuple et que parmi eux il y a des citoyens de l'ex FN.

Ainsi faute d'une nouvelle société qui se met en route et que les capitalistes veulent contrôler, c'est le fascisme qui se développe, pas le nazisme comme certains mentent en faisant l'amalgame à cause d'événements racistes, mais pour ce que nous en connaissons pour l'avoir vu dans divers pays, même s'il ne présente plus le même paradigme que par le passé, lui aussi évolue, c'est bien pour cela que certains ne le reconnaissent pas.
Je n'ai pas une solution miracle, au lieu d'aller dans les universités comme je l'ai fait un mois par an, chacun préfère se promener dans les temples de la consommation. Et alors, il n'est jamais trop tard pour comprendre quand l'on se trompe, nous ne sommes pas les maîtres du monde, nous le croyons quand nous naissons, sauf qu'il faut s'élever, apprendre ce que l'on ignore, ce n'est pas un péché qu'être ignorant, c'est notre état naturel, c'est pour cela que nous avons besoin de la liste des fake-News que j'ai écrite. Mais sachons qu'elle est fausse sinon nous ne pourrons jamais changer nôtre existence.

Chacun aspire vivre où il est né.

Pourtant pour y parvenir ne nous appuyons pas sur ceux qui s'en servent pour dominer les peuples parce que chacun dans notre égoïsme le plus enfoui nous espérons en être.
Je vous invite à penser l'humain d'abord et nous trouverons la solution à nos problèmes sans devoir s'enfermer par peur des autres qui n'ont aucune envie d'aller chez les autres car l'on s'attache heureusement à la terre où l'on nait.


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13 réactions à cet article    


  • rogal 4 avril 2019 10:16

    Leurs existences est la preuve que ce sont des « fake-News ».

    Bientôt la semaine de la langue française...


    • ddacoudre ddacoudre 4 avril 2019 13:02

      @rogal Bonjour je ne suis pas un anglophne, il a servi mon dessein seulement. Mai heureusement que le Cro-magon n’a pas pense comme toi 😉😉

      Cordialement ddacoudre OverBlog blog.


    • Francis, agnotologue JL 4 avril 2019 11:02

      Bonjour dd,

       

      intéressant, mais il ne faudrait , quand même pas amalgamer bobards et croyances, quand même.

       

       
      «  la blague la plus drôle du premier avril est une vérité : celle qui consiste à rappeler que c’est le seul jour où les gens vérifient une info avant de la partager. »


      • ddacoudre ddacoudre 4 avril 2019 17:14

        @JL Bonjour C’est bien ce que j’ai,je n’ai list ? que ce en quoi nous croyons pour en avoir fait l’observation. Il existe un paradoxe naturel, c’est le besoin de certitudes face a un monde qui change a tous les ainstant sans que nous puissions le ma ?triser pour ’ous rassurer. Nous devons pour vivre ce paradoxe ?tre assur ? d’ ?tre en mesure de faire face a cette ?volution plan ?taire a laquelle comme toutes les esp ?ces et les choses terrestre inertes nous particippns. J’ai bien s ?r joue avec cette notion de fausses nouvelles, j’ai une analogie pour faire ressentir que tous ce que sur quoi nous nous appuyons ne sont pas des v ?rit ?s. Heureusent sinon nous ne pourrions pas en changer et je n’aurai jamais pu ?crire cet article. Il appartient a ce qui le lisent s’entrouvre l’essence le lien qui uni cet article a l’actualit ? des gilets jaunes qui sont dans une impasse car ils sont tellement encre dans elles qu’ils ne peuvent pas trouver de solution en dehors d’elles Cordialement ddacoudre overblog


      • Spartacus Lequidam Spartacus 5 avril 2019 07:35

        Ce sont des clichés, pas de l’économie.

        -C’est l’offre et la demande qui crée l’emploi. L’entreprise crée l’offre ou répond à la demande.

        -La dette d’un état est un impôt différé. Lorsque qu’elle cesse d’être un impôt différé, un état peut être en faillite. L’Argentine est un exemple.

        -La morale, il faut trois conditions indispensables :

           un accord volontaire des parties, qui se créent elles-mêmes des devoirs ;

           une certaine égalité entre les résultats obtenus par les parties 

           une relation réversible.

        Or, c’est dans la société des marchands que ces trois conditions sont les mieux réunies. La conclusion, étonnante : c’est seulement dans le capitalisme que la notion d’obligation morale et légale peut atteindre son plein développement.

        -Et pour développer l’économie, il faut l’esprit d’entreprise.


        • ninportequoi 5 avril 2019 21:35

          @Spartacus
          Vous oubliez un peu vite que le capitalisme a aussi été colonialiste, esclavagiste, nationaliste, fasciste ou qu’il a financé la montée du nazisme avant de collaborer activement avec lui (entre autre turpitudes). S’il est sorti de là c’est en étant contrôlé et limité dans ses excès par la démocratie et les droits de l’homme. Mais de lui même le capitalisme est un système d’enrichissement (pour le meilleur ou pour le pire) sans morale. Il l’a largement démontré et le démontre encore chaque jour.    


        • Spartacus Lequidam Spartacus 6 avril 2019 07:20

          @ninportequoi
          Rien a voir avec le capitalisme.
          Le capitaliste ne connait que le consommateur.

          L’esclavage est vieux comme le monde.
          C’est le capitalisme en remplaçant l’homme par la machine, qui a rendu l’esclavage économiquement obsolète. 
          Le nazisme est du socialisme. 
          La mise en esclavage c’est l’état qui « contrôle » et dirige en vue des intérêts des fonctionnaires et élus.
          Même les chinois disent que « l’enrichissement est glorieux ».


        • ninportequoi 6 avril 2019 09:36

          @Spartacus
          Le colonalisme, l’esclavagisme, le nationalisme le fascisme ou le nazisme ont été des formes prises par le capitalisme dans son évolution.
          Toutes les grandes sociétés capitalistes allemande (Siemens, Opel, IG Farben, etc.) ont financé Hitler puis on travaillé avec. L’industrie chimique allemande, parfaitement capitaliste, demandait des lots de cobayes humains au régime qui lui en fournissait régulièrement (pour une mort certaine). Qui peut croire, à part vous, que ce capitalisme finançait le « socialisme », ou que le « socialisme » aidait le capitalisme allemand ? Faut il vous rappeler que le premier mouvement politique réprimé par le nazisme fut le communisme ?
          Pour satisfaire au mieux et au plus bas prix le consommateur Européen , le capitalisme Européen a pratiqué le commerce triangulaire avec l’Afrique (prélèvement d’esclaves) et avec ses diverses colonies. Ceci pour fournir au consommateur Européen le textile, le tabac, ou d’autre produits au plus bas prix possible. 
          Pour les besoins d’une propagande vous confondez régulièrement capitalisme encadré par l’Etat et socialisme. Ce n’est qu’une propagande grossière qui ne peux fonctionner que pour des gogos incultes mais qui n’a aucun fondement historique.

          C’est le progrès technique et l’invention de la machine à vapeur qui a permis le remplacement du travail humain par le travail mécanique. Pour les productions demandant beaucoup de main-d’oeuvre peu qualifiée, le capitalisme a lutté autant qu’il a pu pour la poursuite de l’esclavage. L’apartheid et la discrimination raciale se sont maintenue jusque très récemment dans deux sociétés parfaitement capitalistes : l’Afrique du Sud et les Etats-Unis.
          Vous disiez récemment que l’empire Romaine était déjà capitaliste. Cet Empire Romain pratiquait systématiquement l’esclavage. Quand on prend Spartacus comme pseudo, et même en étant inculte et totalement intoxiqué par une propagande, on devrait au minimum savoir cela.

          Autant dire que votre thèse présentant le capitalisme comme libérateur de l’individu est une ineptie. De lui même le capitalisme n’a jamais rien lâché sur ce terrain là. Tout a du lui être arraché par de difficiles combats.


        • zygzornifle zygzornifle 5 avril 2019 09:08

          Macron président..... Ha non ce n’est pas une fake mais un cauchemar .....


          • Bernard Mitjavile Bernard Mitjavile 5 avril 2019 10:42

            Facile d’affirmer sans développer rationnellement aucun des points, c’est ça qu’on appelle des fake news. Par exemple « il faut rembourser la dette de l’Etat », mais vous la remboursez tous les jours, chaque fois que vous prenez un café au comptoir par le biais de la tva et autres. En effet le service de la dette est le principal poste de dépense de l’Etat avec l’Education Nationale. En intérêts depuis 40 ans, on a presque payé son montant. Vous voulez cesser de payer, très bien mais on emprunte pour tout simplement payer les fonctionnaires etc.. pas pour des projets pour le futur. Un peu de réflexion et de raison ne ferait pas de mal.


            • ddacoudre ddacoudre 5 avril 2019 17:56

              @Bernard Mitjavile

              Bonjour

              Il te faut du développement va visiter mon site tu sera servi, Cordialement ddacoudre OverBlog


            • Bernard Mitjavile Bernard Mitjavile 6 avril 2019 10:13

              @ddacoudre C’est ce que l’on appelle ne pas répondre à une question. Oui la dette, au moins ses intérêts, tu la payes tous les jours, oui, on ne peut vivre indéfiniment en dépensant plus que ce que l’on gagne (l’Etat français), oui, si on cesse de payer la dette, on sera en faillite et on ne pourra plus emprunter et cela ne sera pas si facile, faire croire le contraire c’est une fake news ou c’est croire au père Noël.


            • ddacoudre ddacoudre 6 avril 2019 14:02

              @Bernard Mitjavile

              Bonjour visiblement tu n’a pas été voir mon site alors il vient a toi. Je suis égoïste. C’est sur cette observation des comportements humains qu’Adam Smith se base pour concevoir son axiome resté célèbre.

              « L’homme travail dans son seul intérêt et il met pour cela tout en œuvre, et ce faisant il travaille sans le savoir dans l’intérêt de la nation mieux que s’il avait voulu le faire. »

              Adam Smith est toujours considéré comme le père du libéralisme. Sauf qu’en son temps l’écologie il ne connaissait pas et aujourd’hui elle lui donne tors. Même si cela passe par la conciense de son intérêt individuel.

              Potentiels dominants.

              Quand on parle de l’intérêt individuel l’on pense toujours à l’égoïsme, comme s’il n’est pas un passage obligé. Personne ne peut se nourrir à la place d’un autre, personne ne peut ressentir l’environnement à sa place. Sommes nous égoïste pour cela, certainement pas. L’usage de ce mot pour désigner l’exces de tout, s’approprier sans partage, relève d’un comportement inné encré en nous pour sélectionner le meilleur dominant animalier. Celui qui doit disposer des meilleurs gènes pour assurer la descendance de son espèce. Si l’on imagine appartenir à une espèce spontanée façonnée dans la glaise par des mains divines, se poseront alors d’imaginaires maux venus d’un ange déchu. Nous sommes tous de potentiels dominants en compétition.

              C’est de ce que l’on peut se gaver que nous retirerons notre puissance en en privant les autres.

              Être pluridisciplinaire.

              Tous nous connaissons l’image du dominant animalier qui se goinfre à satiété avant d’en laisser les restes aux autres. En nous civilisant nous avons modifié seulement l’objet de notre appétit vorace. Pour prendre un raccourci, c’est devenu la monnaie et les dominants son ceux qui se sont inscrits dans l’organisation économique qui c’est structuré dans une chaîne de paradigmes successifs pour en arriver au paradigme actuel, le capitalisme et non le libéralisme. J’espère que sera saisi la différence. Il n’est pas évident de saisir cela si l’on ne s’instruit pas de pluridisciplinarité, si nous n’acceptons pas notre monde comme une organisation culturelle cérébrale qui satisfait aux besoins primaires innés.

              Que disons nous aujourd’hui que le monde appartient à ceux qui ont amassé de la monnaie. La révolution appuyé sur les « lumières », c’est a dire le développement de l’intellect à partir de la diffusion des savoirs démocratisés par l’imprimerie, à mis le pouvoir politique entre les mains des citoyens.

              Ne pas jeter qu’un noyau.

              Certes cela fut lent et brutal pour en arriver au vote de tous, soit 1944 pour nous. Nous avons équilibré la représentation du dominant par le principe républicain signifiant qu’il n’y avait plus de dominants humains en dehors de sa représentation systémique d’accès pour tous à l’égalité. Cela quelle que soit la nécessaire répartition des tâches propres aux besoins, qui se développent, conduits par le paradigme du dominant toujours présent en nous, régulé dans l’nter dépendance de nos vies Dans ce monde culturel chacun poursuit son expression en se valorisant, s’aimant, séduisant pour se distinguer et s’afficher comme meilleur, Chacun se chercher une place pour le démontrer, même en participant au concours du meilleur jet d’un noyau d’olive. Il vaut mieux cela que la guerre.

              Le capitaliste double sa mise.

              Il devient donc facile d’identifier quand nous passons de l’égoïsme naturel à celui du dominant refoulé qui affiche sa puissance en se gavant ou en amassant.

              Il commence par refuser de participer à la vie publique à hauteur de ces ressources. Il prêtant que c’est par celle-ci qu’il concours aux besoins des autres, alors qu’il lui laisse les restes. J’en ai écrit plusieurs fois la démonstration simplifier, je vais recommencer. Un entrepreneur embauche un employé pour l’aider. Il lui versé un salaire pour louer sa force de travail. Ensuite il verse à la collectivité des prélèvements, et se fixe une marge pour retirer son propre rêvenu et les besoins de fonctionnement de son entreprise.

              Il va devoir vendre sa production au prix du salaire + les prélèvements+ la marge. Le client qui est le salarié, n’a que son salaire qui est inférieure à la revente de son travail. Il ne pourra donc pas l’acheter et devra soit consommer moins, soit attendre de cumuler, soit s’endetter. S’il s’endette ils devra emprunter à ceux qui ont de l’épargne ou des fonds disponibles. Ceux qui ont pu amasser d’une manière ou d’une autre, même la petite épargne déposer dans les banques de ceux qui aurons décidé de réduire leur consommation ou autre.

              Nous percevons facilement que la monnaie que redistribue l’employeur en salaire il le lui récupère, et même plus quand il veut consommer à la hauteur du travail qu’il a accompli. Cette organisation s’appelle le capitalisme ou l’exploitation de l’homme par l’homme. Nous comprenons par cela que nous ne nous sommes pas écarté de nôtre inné, nous avons seulement développé un paradigme nouveau du dominant et par l’égalité et le libéralisme ouvert cette capacité à tous. A tous ceux qui par une destinée historique sont cooptés par la structure en place.

              Ainsi quand nous avons renoncé au pouvoir du peuple d’émettre de la monnaie pour l’attribuer aux banques et en particulier la BCE, nous avons redonner à ceux, qui disposaient déjà de ressources, de devenir des dominants financiers en prétextant que c’était leurs richesses qui créait l’activité économique. Leur ouvrant le droit à dirigé par leurs compétences

              C’est cela que nous entendons dans les prises de paroles. l’Europe sensé apporter le bien être en créant la BCE a renforcé le pouvoir des dominants. Cela fut possible parce que notre égoïsme naturel pensait y trouver son intérêt particulier sans aucun souci de partage pour tenir compte d’une réalité où nos existences sont interdépendantes. Et si l’autre ne sera pas nourri par ce que nous mangerons, notre capacité de compassion et d’empathie nous permettra de comprendre ce qu’ils peuvent ressentir en ne recevant que les restes. Mais mon raisonnement à une limite. Il repose sur la perception de la comparaison entre la misère et la pauvreté.

              La misère

              En France à l’exception de quelques cas nous ne sommes pas dans la misère. La misère c’est devoir aller sur les décharges. Ce n’est pas dépendre de la solidarité des autres, mais de leurs charités. Même si elle repose sur des sentiments louables. Elle ne repose pas sur la compréhension complexe de l’Inter dépendance de nos existences indispensables pour Être nommé et reconnu.

              La pauvreté

              La pauvreté c’est ne pas pouvoir avec son travail accéder à l’essentiel que l’on produit et à l’obstentatoire par la recherche de l’agrémantation de son existence, et non de se croire riche en se comparant à ceux dans la misère. Si cela passe par un paradoxe. Celui de pouvoir consentir des efforts pour y parvenir, tout en recherchant à réduire leurs pénibilités. Dans cette perspective nous y substituons des animaux, des outils, des machines, des robots. Ce sont là les conséquences d’une solidarité égoïste tenant compte de l’objectif républicain guidant la collectivité nationale.

              L’environnement

              Est-ce l’individualisme soutenu par son intérêt qui et la richesse des nations, où la soumission au dominant culturel Bêta, celui qui s’inscrit dans la structure sociale, tel un élu, un entrepreneur. En fait ceux qui cumulent les moyens d’un pouvoir sur les autres au nom, non plus d’une force physique, comme chez nos ancêtres préhistoriques, mais comme dispensateur, ordonateur, garant de la culture acquise, et de la place sociale qu’il a été nécessaire d’occuper.

              C’est donc l’environnement socio culturel qui déterminera la place du dominant « culturel ou systémique » suivant non plus seulement ses mérites, mais la place aléatoire de sa naissance. Ce n’est donc pas en ignorance de la collectivité que nous nous développons, d’abors pour exciter, ensuite pour vivre en collaboration avec ses semblables vers une finalité qui constitue l’attracteur humains

              Un bien que se réjouir de nos existences.

              En poursuivant le fil du raisonnement l’on peut s’interroger pour définir place des autres, ceux qui ne sont pas des dominants « culturels ou systémiques » et auraient pu l’être s’il étaient né ailleurs. Ils sont soumis par leur condition de salariés. Conditions que l’existence même d’individus, de citoyens qui disposant des capacités de dominants, non pu du fait de leur naissance trouver la place sociale y correspond, développent une aptitude à l’opposition, à leur reconnaissance et élaborent des stratégie pour y parvenir. C’est aussi bien l’ascenseur social, que la revendication, que l’idéal socialiste ou humanisme, que l’égalité homme femme qui représente un autentique bouleversement. En attendant la fin du salariat, l’abandon du mythe monétaire et la suppression des prisons.

              Dans l’ancien testament, soit quelques siècles, Eclesiaste disait ceci : " chapitre 3 verset 12. Ainsi je le sais, le seul bonheur pour eux ( les hommes) , c’est de se réjouir et de profiter de la vie . Quand quelqu’un mange bois et profite des résultats de son travail, c’est un don de dieu. Dans la revendication actuelle, les gilets jaunes ne sont pas au bout de leurs peines. Pourtant ils ne changerons pas leur destiné s’ils restent soumis. . cordialement ddacoudre OverBlog

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