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Femmes du 8 mars en Iran

 

Sous le régime islamique la première et la dernière fois la journée des femmes était célébrée le 8 mars 1979, un mois après la prise du pouvoir par les Mollahs. Le cortège des femmes qui demandaient une liberté de choix contre le hijab islamique était attaqué et dispersé par le régime. De nombreuses femmes et militantes des droits des femmes ont été arrêtées et maltraitées. Le régime a déclaré qu’on peut seulement célébrer l’anniversaire de Fatema Zahra, la fille du prophète, pour la journée des femmes !

La journée internationale des femmes est officialisée le 8 mars par l’UNO et célébrée dans beaucoup de pays à travers le monde. Le 8 mars est alors un évènement historique pour les femmes á la suite d’une proposition de Clara Zetkin en août 1910, l’Internationale socialiste. L’évènement favorise des conditions favorables pour les femmes afin d’améliorer le statut des droits de l’égalité pour les travailleuses et les employées avec les hommes. A l’extension, dans l’esprit égalitaire les femmes ont demandé dans les pays séculaires / laïques le droit de vote, de la formation professionnelle et à la fin toute discrimination possible contre les femmes.

Le fruit du 8 mars emmène un nouvel élan d’émancipation des femmes dans les pays développés et surtout séculaires ou laïques, mais aussi les pays séculaires en voie de développement. La journée des femmes alors symbolise la fin de l’oppression et des discriminations dont les femmes sont victimes au quotidien. En effet, pour la première fois, les femmes avaient l’espoir de quitter leur statut subalterne imposé par des tardions patriarcales et religieux. Ce qui reste pourtant un manque d’action dans les pays islamisés comme l’Iran où la misogynie institutionnalisée par le régime islamique étouffe toutes les chances égalitaires surtout pour l’égalité des femmes avec les hommes.

Sous le régime islamique la première et la dernière fois la journée des femmes était célébrée le 8 mars 1979, un mois après la prise du pouvoir par les Mollahs. Le cortège des femmes qui demandaient une liberté de choix contre le hijab islamique était attaqué et dispersé par le régime. De nombreuses femmes et militantes des droits des femmes ont été arrêtées et maltraitées. Le régime a déclaré qu’on peut seulement célébrer l’anniversaire de Fatema Zahra, la fille du prophète, pour la journée des femmes !

Aujourd’hui en Iran, nous témoignons une lutte acharnée pour l’égalité de la justice, la paix, la démocratie, le sécularisme / la laïcité dans laquelle les femmes iraniennes jouent un rôle précurseur. En réalité, en dépit des réussites et une amélioration du statut des femmes dans le monde séculaire ou laïque, les conditions des femmes ne s’améliorent guerre en Iran sous le régime islamique. Le régime rétrograde des Mollahs chiites exerce les lois de la charia dans leur système judiciaire et éducatif, ce qui étouffe dans l’œuf la possibilité de l’égalité en général surtout pour les femmes. La misogynie est institutionnalisée depuis la naissance du régime islamique en 1979. Il y a un ensemble des aspects judiciaires et administratifs qui se rattachent à l’inégalité en général surtout de sexe dans tous les domaines de la vie sociale.

En principe, la journée des femmes est marquée par la laïcité / le sécularisme contre l’église patriarcale du 19ème siècle. C’est pour ça, que le régime ne tolère pas cette journée et les féministes et d’autres partisans de l’égalité des sexes ont depuis lors doublé le cap en réclamant plutôt une lutte libératrice contre la misogynie religieuse. Pourtant, si l’église catholique était une institution poussant la discrimination de sexe, plutôt, dans un passé lointain, aujourd’hui c’est l’islam politique qui donne l’ordre de la misogynie et la ségrégation des femmes de la vie socio-culturelle. Leur symbole ségrégationniste s’appelle le hijab islamique qui est comme un mur de séparation entre les femmes et les hommes dans la société islamisée. Dans cette perspective, la discrimination nauséabonde de la violence organisée par les bandes Islamistes contre des femmes en Iran est un exemple flagrant et ceci a rigoureusement limité les conditions d’accès au travail, à l’éducation, aux arts, au sport, au divertissement et bref à une vie quotidienne telle que l’on témoigne dans les pays non-islamisés.

Plus qu’un symbole traditionnel, le hijab islamique est aujourd’hui en Iran l’emblème politique du régime totalitaire des Mollahs et c’est pour ça que le hijab obligatoire qui est entré en vigueur depuis 1981 en Iran avec un vêtement long et souvent sombre qui voile entièrement le corps ; cela peut être un tchador (voile) ou un manteau long avec un foulard. Une majorité entre les femmes iraniennes qui rejettent le hijab obligatoire mène de plus en plus le combat civil contre le hijab obligatoire. Identifiées comme les femmes « mal voilées », elles souffrent quotidiennement de la pression psychologique et physique commise par la Police de Moralité des Mollahs. Les femmes peuvent être interpellées dans la rue et parfois détenues et mal traitées. Depuis l’installation du régime des Mollahs misogynes, pas un jour ne s’est écoulé sans harcèlement, agression, arrestation, même jet d’acide sur les femmes de soi-disant « mal-hijab » ou mal-voilées. Sous ces conditions atroces, les femmes iraniennes sont obligées de porter le hijab islamique ou bien l’emblème du régime islamique.

L’ironie est que certaines déléguées féminines du monde non-musulman qui se rendent en Iran en tant que les femmes d’état respectent aussi le code vestimentaire des Mollahs en portant le foulard islamique. L’exemple est Mme. Sénégal Royal, la ministre française du gouvernement socialiste du président Hollande qui s’est rendu en juillet 2016 en Iran foulardée, autrement dit en tenue islamique. De même, il y avait une dizaine de ministres composées suédoises de plusieurs femmes qui portaient le foulard islamique. Elles portaient le hijab islamique tandis que des millions de femmes « mal-voilées » en Iran sont quotidiennement humiliées, agressées et même détenues par la police de moralité du régime. La discrimination de sexe a accordé une nouvelle conscience aux femmes iraniennes dans les dernières décennies. Elle est marquée par des changements profonds dans leur comportement compensatoire et récurrent visant à faire des études universitaires plus que les hommes, malgré que leurs études ne soient pas un avantage sur le marché du travail à cause de leur statut de femme. Dans les lois de la charia, l’accès à l’emploi et les conditions appropriées du travail et aux ressources économiques ne sont pas en général favorables pour les femmes.

Pourtant, ces femmes bien éduquées représentent une menace sérieuse pour les Mollahs misogynes, tel qu’on parle de la prochaine révolution en Iran d’une révolution de femmes. Les femmes sont plus que la moitié de la population iranienne. Elles sont engagées côte á côte avec les hommes libres dans la lutte contre le régime oppressif des Mollahs. Depuis l’installation du régime islamique, il y de nombreuses femmes qui ont été exécutées ou mises en prison pour leur lutte contre le régime islamique. Elles luttent comme leurs camarades masculins pour la restauration de la démocratie, l’égalité et laïcité qui sont les revendications les plus demandées par le peuple iranien.

Lorsque la structure du régime islamique est fondée sur l’idéologie orthodoxe de l’islam, les iraniens, les hommes comme les femmes, s’engagent de plus en plus aujourd’hui dans à une lutte d’arrache-pied contre le régime totalitaire et soit dans le but de la formation des structures sociales, économiques, politiques, administratives et juridiques adaptées aux normes internationalement reconnues dans le monde moderne. Alors, dans le monde prédominé par la législation islamisée, la question la plus contemporaine et la plus tranchante reste celle de la liberté et l’égalité, qui concernent les femmes plus particulièrement. Ainsi, le sort des femmes dans la société iranienne se partage avec celui des hommes libres et c’est dans la libération du peuple iranien du joug des Mollahs, une nation qui est en grande partie lésée par les principes de l’islam politique imposé par les Mollahs corrompus et sans scrupules. Pas seulement les femmes conscientes, mais aussi les hommes solidaires font le même bastion, parmi d’autres, contre la ségrégation de sexe, ainsi que de toutes les formes de discrimination possibles sous la barbarie des Mollahs.

Par Jahanshah Rashidian


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12 réactions à cet article    


  • sls0 sls0 3 mars 2021 16:33

    L’agence Bloomberg dont l’idéologie n’est qu’économique lors de la levée des sanctions contre l’Iran a voulu voir si l’Iran était équipée pour rentrer dans le système.

    Ils ont tout analysé et surtout le système éducatif.

    Ils ont favorablement été étonnés par le niveau universitaire qui était de taille à encaisser le choc technologique et faisaient la remarque que les étudiants étaient majoritairement des filles.

    Le savoir c’est un pouvoir, c’est des postes clés.

    Si on veut une ségrégation anti-femme on fait comme en Afganistan, pas d’études pour les filles.


    • xana 3 mars 2021 18:24

      @sls0
      Oui, c’est une évidence.
      Mais ici il s’agit plutôt de l’habituelle propagande anti-iranienne. Cependant ils ont un peu changé, au début j’ai cru qu’il s’agissait d’un VRAI témoignage. Mais non, on en revient toujours à la même chose : Le « régime des mollah » semble ne rien avoir du tout de positif. Vivent donc l’Amérique et son enfant chéri, Israël, qui font tout pour débarrasser ces pauvres Iraniens de ce « régime » sans aucune arrière pensée bien sûr...

      J’attends encore de voir sur ce site un article sur l’Iran qui ne soit pas de la propagande éhontée.


    • chantecler chantecler 4 mars 2021 06:48

      @Jeekes
      Vous ne savez pas lire !
      (valable pour les trois premiers commentaires .)
      Vous pensez réellement que le régime des mollah a toutes les qualités ?


    • xana 4 mars 2021 09:00

      @chantecler

      Bien sûr que nous ne pensons pas que « le régime des mollah » n’a que des qualités.
      Mais le procédé de diaboliser absolument son adversaire quoi qu’il fasse (ou quoiqu’il ne fasse pas) est simplement de la PROPAGANDE.

      Malheureusement les gens comme vous sont incapables de faire la différence entre la propagande et un reportage honnête et mesuré. Vous croyez désespérément en la « bonne foi » des médias et des « journalistes » dont c’est LE METIER de diaboliser l’adversaire de leurs patrons.

      Manque de culture ? Plus simplement manque d’esprit critique.

      C’est pourquoi la propagande sionisto/américaine a encore de beaux jours devant elle.


    • Étirév 4 mars 2021 03:01

      La Femme, avant et après l’islamisme
      Avant : la divinité primitive en Arabie
      La Femme-Esprit, chez les anciens Arabes, c’est l’Almée, en arabe Almet, d’Alam (savoir).
      L’Almée, c’est « celle qui sait ». Elle représente l’âme, c’est-à-dire la vie, que l’on appellera plus tard Alma, et dans certaines langues l’homme parlera encore à la femme en l’appelant Alma mia, mon âme.
      Nous trouvons aussi la Femme appelée Almageste (la très grande), mot dérivé du premier et dont on fera en grec Mégistê au féminin et mégistos au masculin, superlatif de Mégas (grand). Inutile de faire remarquer que c’est de ce mot qu’on fera Majesté. Après ce nom générique donné à la Femme, nous trouvons des désignations particulières telles que :
      - Allah-Taola, Divinité suprême adorée au Hedjaz.
      - Al-Lat, (l’Alilat d’Hérodote), dont le sanctuaire était à Tayt (Taïf), près de la Mecque.
      - Monat (Manat ou Manah), adorée à Codayd (Qudayd).
      - Al-Ouzza (Al-Uzza ou Al-Ozzâ), adorée à Makhla (Nakhlah).
      - Sawâha, Déesse adorée à Rohat, dans le Tihâma.
      - Shams, Déesse du Soleil (en hébreu Shemesh).
      Dans toutes les formes de la grande religion de la Nature qui régna si longtemps, dans l’univers tout entier, nous voyons à l’aurore de tous les cultes : la Femme
      Voyons maintenant la femme en Arabie, après l’islamisme :
      Les évolutions sociales sont lentes, les changements progressifs. Le Coran avait inscrit l’avilissement de la femme dans ses lois ; mais les mœurs ne l’avaient pas encore accepté. Les femmes continuèrent encore à briller pendant quelque temps, en dépit du Prophète, de son Dieu et de sa loi.
      L’époque des califes qui succèdent à Mohammed est particulièrement brillante par les femmes de valeur qui s’y distinguent.
      L’histoire a gardé les noms de Badhlah, la poétesse qui chante une douce chanson dans les jardins de Bagdad, de Zubeïdah, femme du calife Haroun Ar-Rashid, qui exprimait, dans des poésies délicieuses, l’amour et la douleur. C’était une étoile de première grandeur qui brillait dans le monde des lettres. Le chroniqueur Madouzi, qui a gardé sa mémoire, a exagéré son luxe et sa prodigalité. Le nom d’Abbassah, sœur du même calife, est aussi resté dans le souvenir des anciens Arabes. Une autre femme poète, Oleïah, joua un grand rôle à cette époque. Par les accords de sa lyre, elle calmait les fureurs tyranniques du calife Haroun Ar-Rashid. On raconte que, un jour, transporté de plaisir en entendant la belle voix de la chanteuse, il jeta tout le contenu de sa caisse sur la tête de celles qui accompagnaient la Diva, près de 6 millions.
      Renan nous apprend que « l’Islamisme lui-même eut une auréole pour Hind, fille d’Othobah, qui chantait à la tête d’un chœur de femmes, à la bataille d’Ohed, et contribua puissamment à la victoire des croyants ».
      Le calife El-Motassem eut la pensée d’organiser un « Paradis terrestre », suivant les données du Coran. Ce livre faisait, en Arabie, le même effet qu’avait fait la Bible à son apparition. il faisait perdre la tête aux hommes. Dans les jardins de Zamara, sur le Tigre, il réunit les plus belles femmes qu’il put trouver ; singulière transformation d’une idée ! L’ancienne conception d’un lieu de délices où règne la vie spirituelle, devient un lieu de débauche où règne l’amour profane ! C’est ainsi que ces hommes dégénérés comprenaient le Paradis. Cela amena un changement profond dans les mœurs. La femme libre perdit sa valeur, et ce furent les esclaves qui se soumettaient aux caprices des hommes qui furent les plus estimées. Ces femmes esclaves coûtaient des sommes folles, surtout dans le Paradis de Zamara, où on dépensait le revenu de tout le royaume pour les amours du calife.
      Il y avait à Médine une célèbre école de chant, d’où sortit la remarquable chanteuse Djemilah, qui évaluait chaque note de sa voix à un prix fantastique, ainsi que l’avait déjà fait, du reste, la célèbre Salamah, chanteuse esclave à Zamara.
      Salamah, Rabéïah, Soueïkah et d’autres régnaient en maitresses sur le cœur du calife. Les villes les plus saintes d’Arabie, la Mecque, Médine, étaient des centres de luxe restés renommés dans les derniers temps des Abbassides.
      Les califes de l’Arabie étaient à la fois chefs spirituels et temporels (califat signifie vicariat). Ils se disputaient entre eux le pouvoir, et, pendant qu’ils étaient occupés de leurs intrigues, leurs femmes, profitant de la liberté qui leur restait, s’exerçaient dans toutes les branches de la science et des arts.
      C’est ainsi qu’on vit les femmes des califes provoquer une renaissance de la science. Une d’elles, Chodah, s’y fit surtout remarquer. Sa vie austère, livrée à l’étude, contraste avec celle des autres femmes de son temps, si occupées des soins corporels que réclamait l’entretien de leur beauté.
      Avec elle devaient s’éteindre les derniers élans de l’esprit féminin en Arabie.
      Quand les Mongols attaquèrent Bagdad et mirent fin au luxe des califes, l’influence et le charme de la femme intellectuelle disparurent de l’Arabie orientale.
      Une classe à part se forma dans l’Arabie méridionale, composée de femmes artistes, les chanteuses des cours des princes ; mais on ne les glorifie plus, l’envie remplace la louange, on les accable de tant de mépris que personne ne veut plus les connaître.
      (...)
      C’est quand les hommes, ou les peuples, s’affranchissent de la discipline maternelle qu’ils dégénèrent et disparaissent, car elle est un principe de vie en même temps que de vertu.
      NB : Précisons que parmi les surnoms de Fatima, l’un des plus usuels est Zohra ou Zahra, qui est le nom de la planète Vénus, qu’on appelait Isthar dans l’ancien Orient.
      BLOG


      • xana 4 mars 2021 09:05

        @Étirév

        Bel étalage de connaissances, pourtant bien inutile dans ce fil.
        L’Iran n’est pas l’Arabie, sauf pour les ignares.

        Comme on dit chez nous, la culture c’est comme la confiture. Moins on en a, plus on l’étale.


      • Jonas 5 mars 2021 08:47

        1)

        Comment ne pas être admiratif , devant le combat que mènent les femmes iraniennes , pour leur liberté et leur dignité depuis des années, malgré la répression , du régime criminel. des mollahs. 

        Cette liberté et cette dignité sont payées chèrement , par des femmes iraniennes qui veulent rester debout face aux agressions des sbires du pouvoir , et la prison. Plusieurs femmes sont emprisonnées pour le seul crime de vouloir vivre dégager du carcan imposé , par un régime hypocrite et corrompu qui cherche à tyranniser les femmes pour détourner l’attention du peuple sur son impuissance a satisfaire les besoins premiers. 

         Ce combat des femmes iraniennes aurait dû susciter le soutien et les encouragements des « idiotes inutiles » des fiministes françaises. Mais pas du tout ces « idiotes » au contraire poussent, incitent et prennent partie pour les femmes voilées dans le pays de Voltaire. 

        La situation des femmes en pays musulman, chiite ou sunnite n’est pas enviable, elles sont considérées , uniquement comme usine de procréation et n"ont nullement leur place dans la société. L’islam est une religion rétrograde et obscurantiste qui rejette la moitié de l’humanité, les femmes. il y a trois sortes de haines véhiculées par l’islam et ,inculquer de génération en génération de pays musulman en pays musulman. 1) Haine de la femme 2) Haine des juifs 3) Haine de l’Occident. 

        Pour rester dans le sujet , je cite celle des femmes.



        • Jonas 5 mars 2021 09:07

          2) Des Trois haines que véhicule l’islam a savoir 1) Haine des femmes 2) Haine des juifs 3) Haine de l’Occident, je me contente de citer celui des femmes pour rester dans le sujet et faire comprendre la solitude des femmes iraniennes en Occident dans leur combat, contre le régime barbare des mollahs. Honneur aux femmes iraniennes ! Bravo a leur courage ! 

          Haine des femmes en pays d’islam , je donne la parole au journaliste Algérien Amin ZaouI. dans un excellent article , sur Tunisie Focus, du 29 janvier 2016. 

          << La femme par excellence , est le sujet , l’être , qui est frappé par la haine dans la plus haute magnitude sur l’échelle arabo-musulmane. Haine de toutes les couleurs . De tous les coins .Dans notre histoire .Dans tous les langages et les langues. Elle est maudite dans les discours religieux. Elle est abominée dans le discours politique hypocrite. Elles est un serpent dans la société. Elle est la source de tous les maux qui tombent depuis la nuit des temps. Elle est Satan. Elles est la souffrance de l’homme depuis son éjection du Paradis dans le texte religieux. Et en somme, c’est à cause de la femme que les musulmans sont sous-développés ! A cause d’elle , ils ont faim , ont soif ! A cause d’elle , ils sont battus dans toutes les guerres ! Â cause d’elle , ils sont analphabètes ! >> 


          • Ben Schott 5 mars 2021 09:26

            @Jonas
             
            Tu commences à être très pénible, toi. Je t’en pose des questions sur les haines que véhicule le judaïsme ?

             
            Tout le monde a compris que tu es un troll en service commandé.
             
             

             


          • Jonas 5 mars 2021 13:43

            @Ben Schott

             « Quand le sage montre la lune , l’idiot regarde le doigt » dit un proverbe chinois. 

            Est-ce ma faute , si les adeptes de l’islam font l’actualité par leurs agissements violents , dans les pays démocratiques , qui leurs offrent , des avantages sociaux et des libertés dont leurs coreligionnaires restés au pays n’osent même pas rêver ? 

            En Suède , pays pacifique et hospitalier pour un grand nombre de musulmans fuyant leur pays . Un jeune afghan , abusant de cette généreuse hospitalité ,pris d’une folie coranique attaque et blesse sept personnes innocentes. C’est sa manière de remercier le pays hôte. Avec la Suède, on ne peut pas invoquer la colonisation , comme justification de cet acte meurtrier. 

            En France , les attaques et les violences par des musulmans sont devenues presque quotidiennes . Un jeune Algérien , Anes Saïd K, multirécidiviste , condamné par huit fois a tenté de tué un photographe de presse de l’Union de Reims. 

            Si les adeptes du Judaïsme, Christianisme , Bouddhisme , Hindouisme , Shintoïsme , Animistes et autres , en tant qu’immigrants dans un pays musulmans se conduisaient comme les adeptes de l’islam, je les condamnerai de la même façon. 


          • Jonas 5 mars 2021 10:32

            A l’auteur , (1)

            Comment ne pas être admiratif devant le courage des femmes iraniennes , qui se battent pour leur dignité et leur liberté, sans aucun secours ni soutien extérieur. 

            Alors que dans notre France des « idiotes inutiles » apportent leur soutien et leurs encouragements aux femmes voilées, sans se voiler elles mêmes et leurs filles. 

            Malheureusement , ce n’est pas seulement en Iran , pays musulman non arabe que les femmes sont maltraitées , ostracisées , et cantonnées , comme objet inutiles , toutes bonnes pour le lit. c’est partout où l’islam cette religion archaïque et obscurantiste est présente.

            C’est un musulman , Algérien , Amin Zaoui. qui dénonce , la haine des pays arabo-musulmans , contre les femmes , une haine qui est une culture transmise de génération en génération , d’un pays musulman a un autre. Elle concerne 1) Les femmes 2) Les juifs 3) L’Occident. 

            Pour rester sur le sujet ,je cite , ce qu’il écrit sur la haine des femmes en pays arabo-musulmans



            • Jonas 6 mars 2021 08:39

              Je suis est serai toujours auprès du grand peuple iranien , et contre le régime criminel des mollahs qui cible les femmes. Il y a un paradoxe entre les femmes iraniennes qui se battent au péril de leur vie et celle de leur famille , pour la liberté et contre le voile imposé par les mollahs et les fiministes ces « idiotes inutiles  » de France qui sont pour le voile. 

               Les «  idiotes inutiles » pensent-elle a cette jeune femme de 24 ans Yasaman Aryani , qui écope de 16 ans de prison , pour avoir distribué des fleurs aux femmes dans le métro à visage découvert ? 

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