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FRONT NATIONAL : Les chiens ne font pas des chats ! par Léon LANDINI, résistant FTP-MOI, président du PRCF

De nombreuses personnes sont décontenancées par le nouveau visage offert par le Front National depuis l’accession de Marine Le PEN à sa tête ; des analystes, des journalistes et d’autres individus, proches de Marine Le PEN, ont inventé une nouvelle gomme magique : la « dédiabolisation ».

Par ce subterfuge, ils souhaitent rassurer le monde et nous faire croire que le FN serait devenu un Parti compatible et pourrait désormais appartenir lui aussi à la sphère démocratique.

Il s’agirait là d’une énorme et surprenante évolution de l’organisation fascisante sinon fasciste, fondée en 1972 par son père et composée à l’origine d’anciens collabos de la pire espèce, entre autres de fascistes notoires, des tueurs de l’OAS et des nervis d’ORDRE NOUVEAU.

Au moment où de braves gens trompés par les médias s’apprêtent peut être à voter pour Marine Le PEN, avant qu’ils n’accomplissent ce geste, Il convient de leur rappeler qui a fondé le FN et quelles étaient les relations intimes que certains criminels notoires entretenaient avec Jean-Marie Le PEN.

Par ailleurs, malgré certaines simagrées de désaccords qui apparaissent publiquement entre le père et la fille, cela n’a pas l’air très fondamental, car c’est tout de même le père qui finance la campagne électorale de sa fille, ce qui signifie que leurs désaccords politiques ne sont vraiment qu’apparents.

 

En juin 1973 le mouvement fasciste appelé « ORDRE NOUVEAU » est dissout par un décret du ministre Raymond MARCELIN.

Parmi les tous premiers organisateurs du Front National figurent une kyrielle d’individus issus d’ORDRE NOUVEAU ou d’autres organisations d’extrême-droite et fascistes qui, actuellement encore, démontrent par leur présence aux côtés des Le PEN que ce Parti reste un parti d’extrême droite et que ce n’est pas avec lui que la situation des travailleurs français pourra s’améliorer. 

Pour bien resituer la place du Front National dans le monde actuel, il convient de présenter quelques brèves biographies sur les fondateurs de ce Parti. Voici d’ailleurs quelques exemplaires des promoteurs du Front National qui démontrent clairement que la démocratie n’était pas leur fort.

 

Commençons par Pierre BOUSQUET 

Membre du Parti franciste depuis 1935, il était devenu délégué général du bureau de commandement de la jeunesse franciste en 1941. Ancien caporal de la 33è division de grenadiers SS Charlemagne, il fait partie des 300 français qui combattirent les Russes en avril 1945 dans la capitale allemande.

Il a été membre du premier bureau politique du Front National et son premier trésorier pendant 9 ans.

A son sujet, Jean-Marie Le PEN disait : « Bousquet a peut-être eu les responsabilités que vous dites, il a peut-être été un ancien SS, mais moi je suis de ceux qui sont pour la réconciliation des Français…C’était le rassemblement des patriotes français ».

 

Léon GAULTIER 

Il a été secrétaire à l’information du Gouvernement de Pétain.

Il fut également un des fondateurs de la Milice Nationale de Pétain.

Lieutenant des Waffen SS, il commanda une unité française sur le Front de l’Est durant l’été 1944.

A son retour en France, frappé d’indignité nationale, il fut emprisonné et condamné aux travaux forcés. Libéré après avoir passé une certaine période en prison, il devint en 1972, cofondateur du Front National dont il fut trésorier, il figure comme une personnalité importante parmi les membres fondateurs de cette organisation.

 

François DUPRAT 

L’homme d’extrême-droite qui inventa le Front National.

Auteur spécialisé dans le fascisme et les mouvements d’extrême-droite.

Il eut un rôle fondamental dans la naissance et l’ascension finale du Front National.

Adepte des thèses révisionnistes. Il fut une des figures de l’extrême-droite dans les années 1960/1970. Il était à ce moment-là N° 2 au Front National.

Il était auparavant adhérent de diverses organisations fascistes, comme l’OAS en passant par la Fédération des étudiants nationalistes et Ordre Nouveau.

C’est lui par exemple, qui souffla à Jean-Marie Le PEN, une expression devenue une des marques du parti d’extrême droite, le fameux : « Un million de chômeurs, c’est un million d’immigrés en trop » expression reprise aujourd’hui sous d’autres formes par Marine Le Pen.

Le positionnement économique et social défendu par Duprat au FN et le soi-disant « nouveau » discours de Marine Le Pen, présentent des similitudes frappantes.

 

François BRIGNEAU

Militant d’extrême-droite. Il adhère au « Frontisme » en 1937. Membre du Rassemblement National Populaire de Marcel DÉAT, il s’oriente vers la Collaboration et en juin 1944, au lendemain du débarquement allié en Normandie, il s’engage dans la Milice.

Arrêté au lendemain de la Libération, il est emprisonné à Fresnes où il partage la cellule de son ami Robert BRASILLACH.

Libéré, au moment de la création du FN il en devient Vice-Président

Un demi-siècle plus tard, « il tire toujours une certaine gloire » de ses engagements et se vante d’avoir été un compagnon de cellule de BRASILLACH.

BRASILLACH est surtout connu pour son engagement à l’extrême-droite. Membre de l’Action Française, dans les années 1930, il évolue vers le fascisme.

Sous l’occupation, il devient rédacteur en chef du journal collaborationniste et antisémite « Je suis partout » dans lequel il laisse clairement apparaitre sa haine des juifs, du Front Populaire, de la Résistance et de la République, ainsi que son admiration pour le IIIème Reich. En 1943, Il part aux côtés du journaliste collaborateur Fernand de BRINON sur le front de l’Est, rendre visite pour encourager les soldats de la Légion des Volontaires Français (LVF) contre le bolchévisme.

Après la Libération il est jugé pour sa participation à la collaboration et à cause de ses virulents écrits antisémites et contre la Résistance, il fut condamné à mort et fusillé.

 

Au début des années 1960, Jean Marie Le PEN, n’ayant rien renié de son passé sulfureux, se rend en Espagne pour aller saluer d’anciens compagnons de combat.

Il rendre visite à Abel BONNARD – à Louis DARQUIER de PELLEPOIX – à Léon DEGRELLE – et à Otto SKORZENY.

Pour la bonne compréhension et pour savoir ce que valaient ces rencontres, il nous semble utile de rappeler qui sont ces individus.

 

Abel BONNARD

Maurassien, il évolue vers le fascisme dans les années 1930.

Partisan d’un rapprochement franco-allemand, il devient, durant la seconde guerre mondiale, une figure de la collaboration avec l’occupant nazi.

Nommé ministre de l’Education Nationale en 1942, il fait partie des « ultra » et des derniers partisans du régime de Vichy.

Au moment de la Libération, par crainte de se faire arrêter il se réfugie à Sigmaringen en Allemagne.

Après la Libération, un tribunal le condamne à la peine de mort par contumace, il s’exile en Espagne où sous la protection de Franco il y meurt en 1968.

 

Louis DARQUIER de PELLEPOIX

Individu politique d’extrême droite, il est principalement connu pour son engagement antisémite et pour son activité de collaborateur durant la seconde guerre mondiale.

Partisan de la collaboration avec l’Allemagne nazie, il est en mai 1942 nommé par Pierre LAVAL, à la direction du Commissariat général aux questions juives, c’est à ce moment-là que la déportation de juifs atteignit son apogée.

A la Libération se sachant recherché, il fuit en Espagne. Condamné à mort par contumace, il y reste protégé par Franco et y meurt à l’âge de 82 ans, sans jamais avoir été inquiété et sans jamais avoir rien renié.

 

Léon DEGRELLE

Journaliste et homme politique engagé à l’extrême droite. Il est surtout connu pour son engagement antisémite et pour son activité de collaborateur durant la seconde guerre mondiale.

Partisan de la collaboration avec l’Allemagne nazie, il est nommé en mai 1942 par Pierre Laval, à la direction du commissariat général aux questions juives en remplacement de Xavier VALLAT, jugé beaucoup trop modéré. 

Il entama une carrière politique, en fondant le mouvement REX, au départ Parti nationaliste, qui devint rapidement un Parti fasciste, puis durant la seconde guerre mondiale, se rapprocha du national-socialisme, pour finir dans la collaboration avec l’occupant allemand.

Engagé volontaire, il combattit sur le front de l’Est avec le grade de commandant dans la 28e division SS Wallonie. La guerre terminée pour fuir l’épuration, comme beaucoup d’autres crapules de son genre, il partit se réfugier auprès de Franco en Espagne.

Il y vécut près de cinquante années, non seulement en toute quiétude mais en s’érigeant toujours comme un ardent défenseur du nazisme et des thèses négationnistes. Il s’imposa comme une référence de l’extrême droite.

 

Otto SKORZENY

Il rejoint le Parti nazi autrichien en 1931.

Comme colonel SS, il participa à de très nombreuses opérations prestigieuses, telle que l’évasion de Mussolini d’une prison italienne, en 1944.

Mais le souvenir que beaucoup de déportés ont gardé de lui, c’est que devant l’avancée de l’armée rouge, les nazis déplaçaient les déportés d’un camp à un autre.

Cela se faisait à pied et le colonel SKORZENY suivait à moto ce troupeau de malheureux et, dès que l’un d’entre eux n’arrivait plus à suivre, il sortait un révolver niché dans sa botte et lui tirait une balle dans la tête. Cela nous a été affirmé à de multiples reprises par des anciens déportés ayant eu à vivre ces effroyables moments.

 

Jean Marie Le PEN et sa fille

Jean Marie Le PEN n’a toujours rien renié de son passé, au contraire, c’est sans aucune vergogne qu’il répète ses infamies.

En effet, le 2 avril 2015, il revient sur ses propos polémiques de 1987 qui ont été condamnés par une écrasante majorité de la population française, en réaffirmant que LES CHAMBRES A GAZ NE SONT QU’UN « DÉTAIL DE L’HISTOIRE ».

Et le 9 avril 2015, il refuse de considérer que Philippe PÉTAIN était un traître.

Non seulement sa fille n’a jamais contredit les déclarations de Jean Marie Le PEN, mais voilà que les sondages la placent en tête des candidats au poste de Président de la République. Forte de cet avantage, se croyant devenue intouchable, elle vient d’effectuer une déclaration plus qu’ambiguë sur la rafle du VEL’ D’HIV qui a soulevé beaucoup de vagues. Cette déclaration correspond parfaitement à celles que son père a effectuées et continue à faire régulièrement, en prenant la défense de ceux qui ont traîné notre pays dans la boue et dans le déshonneur.

Les chiens ne font pas des chats !

SOURCE : http://www.initiative-communiste.fr/articles/front-national-chiens-ne-chats-leon-landini-resistant-ftp-moi/


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24 réactions à cet article    


  • Alren Alren 22 avril 2017 11:50

    Beaucoup de gens qui sont malheureux du fait de la politique anti-sociale menée par Chirac, puis Sarkozy, puis Hollande et devenus protestataires de ce fait, ignorent que le F haine est un parti resté fasciste « dans les coulisses ».

    Et que s’il avait le pouvoir, il mènerait une politique de répression brutale des travailleurs et s’attaquerait lui aussi aux services publics (détestés) pour faire la place au privé qui coûte plus cher et qu’il paieraient intégralement, subissant une perte terrible de pouvoir d’achat.


    • Onecinikiou 22 avril 2017 23:17

      Ordure de communistes qui ont 100 millions de morts civils sur les bras Tou au long du XXième siècle (et ce n’est malheureusement pas fini, voir ce qui se passe en Corée du nord) mais qui osent tout de même donner, toute honte bue, des leçons de morale et sinon de politique !


      Ils osent faire passer MLP pour une nazi alors que sa déclaration sur le Vel d’Hiv s’inscrit exactement dans le positionnement des gaullistes authentiques depuis la Libération !

      La mystification communiste continue de plus belle lorsqu’ils soutiennent que les dirigeants historiques du Front furent tous des collabos (ou leurs héritiers). 

      Or la preuve que des 11 membres fondateurs référencés sur Wikipédia qui furent en âge de collaborer ou de résister lors de la deuxième guerre mondiale, 6 furent des résistants incontestables (justes entre les nations, croix de guerre, etc...) - une majorité donc - dont le propre successeur de jean Moulin à la tête du Conseil National de la Résistance, Georges Bidault, dès 1943 ! De même que pour son vice-président pendant 25 ans, Roger Holeindre :


      Quant à Jean-Marie Le Pen, alors pupille de la Nation, à 16 ans il demandait à rejoindre le maquis ! Et c’est un communiste qui l’affirme :


    • Onecinikiou 22 avril 2017 23:21
      Pour parachever la démystification en règle de l’incroyable et révoltant révisionnisme historique propre aux staliniens depuis toujours, rappelons que c’est l’exacte Assemblée nationale radical-socialiste issus du Front populaire - moins les communistes, qui avaient été déchu de leurs mandats suite au pacte de non-agression signé entre l’URSS et l’Allemagne nazi - qui a voté les pleins pouvoirs à Pétain ! Que les collabos étaient principalement issus de la gauche historique, dont au premier titre Laval, chef du gouvernement de Vichy ! Mais l’on pourrait aussi parler de Déat, Doriot, Bousquet, Papon, tous issus des rangs de la gauche socialiste, radicale, anti-fasciste, voire communiste !


      http://www.dailymotion.com/video/xft7u3_la-gauche-fut-la-mere-de-la-collaboration_news


      Que Thorez, alors Premier secrétaire et figure historique du PCF, va s’enfuir pour Moscou après avoir déserté son régiment d’infanterie un mois seulement après la déclaration de guerre et alors que l’armée est en pleine mobilisation, il sera condamné par contumace par un tribunal militaire pour indignité nationale et à 6 ans de prison pour cela, puis déchu de la nationalité française !

      Et que dire de Mitterrand, récipiendaire de la francisque n°2202 des mains mêmes du Maréchal honni, et dont il fera fleurir la tombe jusqu’à sa mort ! Ce qui n’empêcha nullement les communistes de rentrer au gouvernement sous sa présidence pour profiter des strapontins ministériels !

      Rappelons également que les communistes, qui pourfend aujourd’hui l’OAS, ont voté les pleins pouvoir à Massu pour mater l’insurrection du FLN à Alger, après avoir là encore voter à l’unanimité pour envoyer le continent en Algérie afin de faire « suer le burnous » !

      Immonde tartuffes et salopards.


    • Onecinikiou 22 avril 2017 23:28

      Pour parfaire les connaissances pour le moins douteuses en histoire de nos chers menteurs et manipulateurs communistes, coutumiers du fait, je vais donner une longue liste de personnages (dont beaucoup sont malheureusement morts, les années passant depuis la SGM) qui ont tous appartenu au Front national (certains l’ont même fondés, et pas des moindres), en tant qu’élus ou simples militants. Certains furent très proches, ou sont encore très proches, de Jean-Marie Le Pen. Tous ces hommes et ses femmes sont d’illustres résistants à l’occupant nazi.

      - Georges Bidault, ancien Ministre des affaires étrangères du Général de Gaulle, Grand Croix de la Légion d’honneur, Compagnon de la Libération, désigné comme successeur de Jean Moulin comme président du Conseil National de la Résistance en 1943, membre fondateur du Front national en 1972.

      - Jean-Baptiste BIAGGI (Paris), avocat, ancien député de Paris, ancien conseiller régional de Corse, ancien maire de Cagnano (Corse), officier de la Légion d’honneur, Croix de Guerre 1939-1945, médaille de la Résistance, membre du Front national.

      - Mlle Rolande BIRGY (Haute-Savoie), ancienne de la JOC (1928), membre du Sillon catholique (1930), de la CFTC (1929) et du MRP (1945), résistante (Réseau Valette d’Osia), croix du Combattant volontaire de la résistance, Yad-Waschem (titre de « Juste » décerné par l’Etat d’Israël, en 1984), membre de SOS Tout Petits, membre du Front national et proche de Jean-Marie Le Pen.

      - Jean-Charles BLOCH, Croix de Guerre, Président du comité des Français Juifs, ancien candidat du Front national à Sarcelles.

      - M. Roger BLOCH (Var), commerçant (ER), Croix du combattant 1939-1945, médaille des opérations de sécurité en Algérie, Reconnaissance de la Nation pour faits exceptionnels, ancien conseiller municipal Front national de Toulon.

      - Nicole de BOISGUILBERT, médaille de la Résistance, membre du Front national.

      - M. Claude BRABANT (Cher), ancien combattant, réfractaire au STO, évadé de France (1943), agriculteur-éleveur, maire (H) d’Annoix (30 ans), père de 7 enfants, chevalier du Mérite agricole, membre du Front national.

      - M. Jean-Louis de CAMARET (Vaucluse), Médaille militaire, Croix de Guerre 39-45 avec citations, Croix du Combattant volontaire de la Résistance, ancien membre des réseaux de la France combattante et des FFI, médaille d’argent de la Ville de Paris, titulaire de la flamme d’honneur du Front national.

      - M. Michel de CAMARET, ambassadeur de France, député Front National au Parlement européen (1984-1987), Compagnon de la Libération.

      - Michel CARAGE, Compagnon de la Libération, membre du Front national.

      - Colonel (ER) Maurice CATALAN (Charente-Maritime), certificat national d’appartenance aux FFI, père de 6 enfants, chevalier de la Légion d’honneur, officier de l’ordre national du Mérite, croix de guerre des T.O.E., croix du combattant et diverses décorations étrangères, candidat FN Cantonnales 2004 de LA-ROCHELLE-1 (23).

      - M. Roger CHADUC (Haute-Loire), retraité des finances, combattant volontaire de la Résistance, candidat FN Cantonnales 2004 BLESLE (04).

      - Albert CHAMBON, ancien ambassadeur de France, grand Officier de la Légion d’honneur, médaille de la Résistance, délégué national du Conseil National de la Résistance, ancien déporté à Buchenwald, membre du Font national.

      - Capitaine de Vaisseau (H) Pierre CHESNAIS (Var), officier de la Légion d’honneur (6 citations), croix de guerre 1939-1945 et T.O.E., croix de la valeur militaire, croix du combattant volontaire de la Résistance, médaille de la Résistance, médaille des services volontaires dans la France libre, membre du Front national.

      - Gilbert DEVÈZE, grande figure de la Résistance qui rejoint Londres en 1940, Ancien député européen Front National en 86.

      - Jacques DORÉ, Adhérent au Front National depuis 84, Membre du Comité Central, Secrétaire national aux français de l’étranger, Directeur de cabinet aux affaires étrangères, LEG 88 - REG 92 - MUN 95, Croix de guerre, Médaille des Déportés, Médaille des Evadés, Croix du combattant de la Résistance, Croix de la France libre.

      - Pierre DUFOUR, Ancien Conseiller régional FN de Seine-Saint-Denis, engagé volontaire à la 2ème DB, Croix de guerre 39-45..

      - Ghislaine de FIQUELMONT, première Française entrée à Metz le 19 novembre 1944, dans les rangs du XXe CA américain, membre du Front national.

      - M. Edouard FONTANA (Val-de-Marne), président de Chambre (H) à la Cour d’appel de Paris, Croix du combattant volontaire de la Résistance, médaille de la France libre, candidat FN législatives 2002 et sénatoriales 2004 (Val-de-Marne).

      - M. Edouard FREDERIC-DUPONT, Croix de guerre 39-45, Médaille de la Résistance, Député FN (1986-88) sur la liste « Rassemblement national » conduite par Jean-Marie Le Pen.

      - Robert HEMMERDINGER, médaillé de la Résistance, médaille de la France Libre, Croix de guerre, Président du Comité National des Français Juifs, Ancien Conseiller Régional FN d’Ile-de-France (1992-1998), Commandeur de la Légion d’honneur, grand officier de l’ordre national du Mérite.


    • Onecinikiou 22 avril 2017 23:31

      Et encore !


      - M. Roger HOLEINDRE (Seine-Saint-Denis), Membre fondateur du Front National, Vice-président du Front National, président du Cercle national des Combattants, à 15 ans il fut l’un des plus jeunes résistants de France, écrivain, grand reporter, ancien député de Seine-Saint-Denis, conseiller régional d’Ile de France, Médaille militaire, Croix de Guerre des T.O.E., croix de la Valeur militaire.

      - M. Robert JACOB dit LUZIE (Corse), officier ER, officier de la Légion d’honneur, commandeur de l’ordre national du Mérite, Médaille militaire, Croix de guerre 39-45 (10 citations), membre du Front national.

      - M. Serge JEANNERET, Croix de guerre 39-45, Croix du Combattant volontaire de la Résistance, Membre fondateur du FN en 1972.

      - M. Augustin JORDAN (Paris), ancien ambassadeur, commandeur de la Légion d’honneur, compagnon de la Libération, Croix de guerre 39-45, fait parti des premiers SAS, membre du Front national.

      - Jacques LAFAY, Adhérent au Front National depuis 84, Membre du bureau politique, conseiller national à la santé, EUR89 - LEG88,93 -REG86,92 - MUN 89,95, Officier de la légion d’honneur, Croix de guerre 39-45 ( 5 citations), Croix du combattant volontaire de la Résistance, membre du Front national.

      - M. Robert LIMONDIN (Seine-Saint-Denis), ancien combattant 1939-1945, prisonnier de guerre (1940-1945) en Prusse orientale, membre du Front national.

      - M. Francis MASSART (Gironde), combattant volontaire de la Résistance, interné-résistant, évadé, Croix de guerre 1939-1945, chevalier des Palmes académiques, membre du Front national.

      - Chef de Bataillon (H) Charles MET (Sarthe), ancien président du directoire de la Société laitière de Normandie, vice-président du Cercle national des Combattants, commandeur de la Légion d’honneur, Croix de guerre 1939-1945 et des T.O.E., Croix de la valeur militaire, Candidat FN législatives 1997 (2e circonscription Sarthe), Candidat FN Européennes 2004 (région ouest).

      - M. Jean NICOLET (Hauts-de-Seine), retraité de la Police nationale, conciliateur judiciaire (H) de la cour d’Appel de Paris, médaille d’honneur de la police nationale, Croix du Combattant 1939-1945, médaille commémorative 1939-1945, membre du Front national.

      - Général (CR) Georges NOËL (Yvelines), de l’Armée de Terre, grand invalide de guerre, officier de la Légion d’honneur, Médaille militaire (1944), Commandeur de l’ordre national du Mérite, Croix de guerre 1939-1945, Croix de la valeur militaire, membre du Front national.

      - Professeur Jacques ROBICHEZ, professeur (H) à la Sorbonne, chevalier de la Légion d’honneur, officier de l’ordre national du Mérite, Croix de guerre 1939-1945, ancien président du Conseil scientifique du FN.

      - Professeur Pierre ROUTHIER (Haute-Marne), ancien élève de l’Ecole normale supérieure, professeur émérite de géologie à l’Université Pierre et Marie Curie, chevalier de la Légion d’honneur, Croix de Guerre 1939-1945, membre du Front national.

      - M. Albert SAUVANET (Hérault), officier de cavalerie (ER), ancien cadre supérieur des industries mécaniques et métallurgiques, officier de la Légion d’honneur (5 citations, 2 blessures), médaille des évadés, combattant volontaire de la Résistance, chevalier du Mérite agricole, membre du Front national.

      - Lt Colonel (H) Marcel TIBERGHIEN (Nord), ancien de Jeunesse et Montagne (centre-école, maquis Renaud (Thollon) et CR6), puis Rhin et Danube, officier de l’ordre national du Mérite, Croix de guerre 1939-1945 (2 citations), membre du Front national.

      - M. Pierre TINSEAUX (Var), engagé volontaire 1939-1945, ancien de la division Leclerc, conseiller régional FN Provence-Alpes-Côte d’Azur.

      - Pierre SAILLY, candidat FN aux municipales de Saint-Cyr-sur-Mer, ancien déporté à Buchenwald, le Struthof et Dachau.

      - Henri YRISSOU, ancien résistant, inspecteur général des finances, Commandeur de la Légion d’honneur, membre du Front national.

      - Pierre SERGENT, Résistant dans le réseau Vélite-Thermopyles avant de rejoindre un maquis en Sologne, Ancien député Front National (1986-1988), Ancien officier.

      - Jean VALETTE d’OSIA (1899-2000), G de C.A. (C.R.) Commandant du 27e B.C.A. de 40 à 42, chef militaire de Haute-Savoie en 43 jusqu’à son arrestation en septembre 43, évadé puis passé à Londres et Alger en 44. Grand Croix de la Légion d’Honneur, Croix de guerre 14-18, T.O.E., 39-45., fondateur du maquis des Glières, Grand Croix de la Légion d’Honneur, Président du Comité de soutien à la candidature de Jean Marie Le Pen.

      - Docteur Pierre WEBER (Meurthe-et-Moselle), Médecin ER, docteur en médecine, lauréat de l’Académie de médecine, ancien maire de Nancy, membre honoraire du Parlement (1958-1978), Médaille de la Résistance, Candidat FN aux régionales de 2004 en Meurthe-et-Moselles.


    • Onecinikiou 22 avril 2017 23:37

      Que répondent à cela les faussaires du PRCF nom de dieu !!


    • Le421... Refuznik !! Le421 23 avril 2017 15:31

      @Onecinikiou
      Ordure de communistes...

      Certains répondraient : « salopards de fachos ».

      Mon père était résistant communiste en 42 et je trouve que de botter le cul des chemises noires était une bonne chose.
      Certains pleurent tous les ans à l’anniversaire de la mort du Führer.
      Comme Frédéric Chatillon, le copain de Marion Anne Perrine...

      Le problème est juste de choisir son camp.


    • Onecinikiou 23 avril 2017 17:50

      @Le421


      Je ne vise pas les résistants contre l’occupant nazi, furent-ils communistes (ce qu’il n’est pas question de nier), mais les faux révolutionnaires d’aujourd’hui, complètement incultes sur cette période historique, dont le cerveau a été méthodiquement lavé et conditionné par des décennies de mensonges et de travestissements, sous la férule d’une propagande grossière fomentée par les soviétiques ; faux révolutionnaires mais vrais sectaires qui eux, par contre, nient intégralement le fait que des pans entiers de ce que l’on nomme la droite nationaliste française aient pris faits et causes contre l’occupant nazi. Pour preuve la liste que j’ai présentée ci-avant, absolument pas exhaustive d’ailleurs puisque celle-ci se limitait à des individus qui s’engagèrent plus tard pour le Front National (ce qui ne fut évidemment pas le cas de toute la droite nationaliste). Souffrez donc que je remette un peu de subtilité et de complexité dans une période qui le fut ô combien. 

    • troletbuse troletbuse 22 avril 2017 13:10

      Aujourd’hui la vraie extrême droite est composée des européistes et des mondialistes forcenés dont le représentant est Macaron. Mais ils ne travaillent pas pour les Français mais ils vendent la France aux étrangers, guerroient pour le compte d’autres pays, ...... Ce sont des traîtres à la nation et c’est bien pour cela que le crime de haute trahison a été retiré en catimini de la constitution ? 

      http://www.delitdimages.org/selon-le-code-penal-hollande-est-coupable-de-haute-trahison/


      • Onecinikiou 22 avril 2017 23:42

        @troletbuse


        Vous avez tout compris, malheureusement les imposteurs du PRCF vont appeler comme leur candidat Mélenchon à faire barrage à MLP en offrant un boulevard au banquier apatride Macron !

        Ce ne sont même plus des idiots utiles à ce niveau là, mais des alliés objectifs, des traitres au même titre que les ploutocrates transnationaux. Au poteau !!

      • Pimpin 22 avril 2017 13:57

        Voici un début de la liste de la centaine d’anciens résistants membres du FN à son début. 

        Eux savaient certainement plus que vous de quoi il s’agissait, qui avait fait quoi, et qu’il était important 27 ans après la fin de la guerre de se réconcilier autour du concept de nation.
        Malheureusement 72 ans après la fin de cette guerre il y a encore des irresponsables qui tentent de monter les gens les uns contre les autres en ressortant ces vieilles histoires assorties de gros mensonges et manipulations, faute d’être capables d’argumenter sur la politique d’aujourd’hui.

        Maître Jean-Baptiste BIAGGI (Paris), avocat (H), ancien député de Paris, ancien conseiller régional de Corse, ancien maire de Cagnano (Corse), officier de la Légion d’honneur, Croix de Guerre 1939-1945, médaille de la Résistance.


        Mlle Rolande BIRGY (Haute-Savoie), ancienne de la JOC (1928), membre du Sillon catholique (1930), de la CFTC (1929) et du MRP (1945), résistante (Réseau Valette d’Osia), croix du Combattant volontaire de la résistance, Yad-Waschem (titre de « Juste » décerné par l’Etat d’Israël, en 1984), membre de SOS Tout Petits.


        Jean-Charles BLOCH, Croix de Guerre, Président du comité des Français Juifs.


        M. Roger BLOCH (Var), commerçant (ER), Croix du combattant 1939-1945, médaille des opérations de sécurité en Algérie, Reconnaissance de la Nation pour faits exceptionnels, ancien conseiller municipal de Toulon.


        Nicole de BOISGUILBERT, médaille de la Résistance.


        M. Claude BRABANT (Cher), ancien combattant, réfractaire au STO, évadé de France (1943), agriculteur-éleveur, maire (H) d’Annoix (30 ans), père de 7 enfants, chevalier du Mérite agricole.


        M. Jean-Louis de CAMARET (Vaucluse), Médaille militaire, Croix de Guerre 39-45 avec citations, Croix du Combattant volontaire de la Résistance, ancien membre des réseaux de la France combattante et des FFI, médaille d’argent de la Ville de Paris.


        M. Michel de CAMARET, ambassadeur de France, député Front National au Parlement européen (1984-1987), Compagnon de la Libération.


        Michel CARAGE, Commandeur de la Légion d’Honneur, Compagnon de la Libération, Croix de Guerre 39/45 (6 citations), Médaille Coloniale avec agrafes « AFL » « Fezzan-Tripolitaine » « Tunisie », Médaille des Blessés, Médaille des Services Volontaires dans la France Libre, Presidential Unit Citation (USA), Officier du Nicham Iftikar (Tunisie).


        Colonel (ER) Maurice CATALAN (Charente-Maritime), certificat national d’appartenance aux FFI, père de 6 enfants, chevalier de la Légion d’honneur, officier de l’ordre national du Mérite, croix de guerre des T.O.E., croix du combattant et diverses décorations étrangères, candidat FN Cantonnales 2004 de LA-ROCHELLE-1 (23).


        M. Roger CHADUC (Haute-Loire), retraité des finances, combattant volontaire de la Résistance, candidat FN Cantonnales 2004 BLESLE (04).


        Albert CHAMBON, ancien ambassadeur de France, grand Officier de la Légion d’honneur, médaille de la Résistance, ancien déporté.


        Commandant CHALLE, Commandeur de la Légion d’Honneur (dix citations), pilote à Normandie-Niémen.


        Capitaine de Vaisseau (H) Pierre CHESNAIS (Var), officier de la Légion d’honneur (6 citations), croix de guerre 1939-1945 et T.O.E., croix de la valeur militaire, croix du combattant volontaire de la Résistance, médaille de la Résistance, médaille des services volontaires dans la France libre.


        Gilbert DEVÈZE, grande figure de la Résistance qui rejoint Londres en 1940, Ancien député européen Front National en 86.


        Jacques DORÉ, Adhérent au Front National depuis 84, Membre du Comité Central, Secrétaire national aux français de l’étranger, Directeur de cabinet aux affaires étrangères, LEG 88 - REG 92 - MUN 95, Croix de guerre, Médaille des Déportés, Médaille des Evadés, Croix du combattant de la Résistance, Croix de la France libre.


        Pierre DUFOUR, Ancien Conseiller régional FN de Seine-Saint-Denis, engagé volontaire à la 2ème DB.


        Ghislaine de FIQUELMONT, première Française entrée à Metz le 19 novembre 1944, dans les rangs du XXe CA américain.


        M. Edouard FONTANA (Val-de-Marne), président de Chambre (H) à la Cour d’appel de Paris, Croix du combattant volontaire de la Résistance, médaille de la France libre, candidat FN législatives 2002 et sénatoriales 2004 (Val-de-Marne).


        M. Édouard FRÉDÉRIC-DUPONT, Croix de guerre 1939-1945, Médaille de la Résistance, Député (1986-88) sur la liste « Rassemblement national » conduite par Jean-Marie Le Pen.


        Robert HEMMERDINGER, médaillé de la Résistance, médaille de la France Libre, Croix de guerre, Président du Comité National des Français Juifs, Ancien Conseiller Régional FN d’Ile-de-France (1992-1998), Commandeur de la Légion d’honneur, grand officier de l’ordre national du Mérite.


        Etc ... Une centaine d’anciens résistants.









        • eric 22 avril 2017 14:00

          Et TOUS les fondateurs historiques du PC, sans exception sont des bolcheviques génocidaires, éliminateurs de Koulaks, antisémites à leurs heures de pères en fils (aujourd’hui, ils nomment cela antisionisme).

          Dans les différentes formes de socialisme, international, national, ils sont à l’origine du plus grand nombre d’assassinat de masse politique.

          On pourrait dire, au moins, au Fn il y a aussi autre chose et notamment pas mal d’anciens CGTistes dessillés. Des vrais résistants et de la première heure ( pas ceux qui ont attendu les ordres de Staline à la fin de son amitiés avec ses copains NSDAP).

          On pourrait rappeler le comportement du PC avec les MOI qui se sont battu trop tôt à son goût contre les socialistes brun ( voir le filme mémoire d’ex). ou avec certains vrais résistant du côté de LImoges

          Mais pourquoi faire quand on a un candidat gaulliste et chrétien démocrate. Des sensibilités qui n’ont jamais pactisé ni avec les fachos rouges ni avec les facho bruns.

          Si il faut absolument se baser, pour voter, sur ce qu’on fait les grands parents ou arrière grand parents des uns et des autres, il faut voter Fillon. SI on regarde vers l’avenir et pas 70 ans en arrière aussi du reste....


          • jaja jaja 22 avril 2017 14:59

            @eric

            Voter pour un escroc ? C’est tout ce que vous proposez ?


          • eric 22 avril 2017 20:05

            @jaja

            Je m’y refuse absolument ! Trois miterandistes, trois soutiens de Hollande, les types qui ont promis ce que l’on sait et donné ce qu’on a vu ! Jamais, ! C’est même pas tellement que ce sont des escrocs à plusieurs milliers de milliards d’euros ; mais il faut voir dans que état ils ont mis notre pays. Avant Mitterrand il n’y avait pas de nouveau pauvres par exemple.

            Évidement, ils préféreraient que nous nous intéressions à la question de savoir si une attachée parlementaire bilingue Bac plus tout plein à Bac., c’est plus tôt deux SMIC ou deux SMIC et demi, et pour combien d’heure par jour.

            Un des plus nauséabond dans ce style étant le FIlochar, le pied nickelé à la veste noir et au foulard rouge, qui touche plus de 12 0000 euros par mois pour un emploi fictif à Bruxelles et se permet de donner des leçons...


          • Pimpin 22 avril 2017 14:02

            JEAN-BAPTISTE BIAGGI 


            * OFFICIER DE LA LÉGION D’HONNEUR * 

             * CROIX DE GUERRE * MÉDAILLE DE LA RÉSISTANCE * 

            * GRAND INVALIDE DE GUERRE * 

            * MEMBRE DU CONSEIL NATIONAL DU FRONT NATIONAL * 

             

            L’accaparement par la gauche et spécialement par le parti 

            communiste dit français, de l’idée et du vocable de 

            Résistance est un mensonge, une escroquerie. 


            La résistance à l’Allemand a commencé en 1940 et plus 

            particulièrement à partir du 10 mai 1940. 


            Alors que les communistes, sur ordre de Staline allié à 

            Hitler, désertaient comme Maurice Thorez ou sabotaient le 

            matériel et le moral de l’armée française, nous avons résisté à 

            l’invasion. 


            (...)


            Arrêté par la Gestapo en 1943, j’ai été interné à Fresnes 

            puis au camp de Royallieu (Compiègne). 

            Je me suis évadé du train qui m’emmenait à 

            Neuengamme (camp de la mort). Il s’est agit d’une évasion des 

            trains de déportés spectaculaire car nous avons sauté à 45 entre 

            Châlons-sur-Marne et Bar-le-Duc. 

            (...)


            Mon chef de réseau, Alain Griotteray, a écrit un livre 

            intitulé 1940 : la droite était au rendez-vous. Il y démontre que 

            les premiers et sans doute les plus purs résistants étaient, à 

            Londres comme en France, des patriotes et souvent des 

            adhérents et des militants des mouvements nationaux d’avant- 

            guerre. 

            Si certains des dirigeants de ces ligues se sont égarés 

            dans les rangs des « collabos », la plupart d’entre eux ont des 

            états de services de résistants. Je ne veux citer que quelques 

            noms mais qui sont, à mes yeux, des symboles : d’Estienne 

            d’Orves, Henri d’Astier de la Vigerie, Piron, Bénouville, 

            Groussard, Vallin et tant d’autres, brillants ou obscurs soldats de 

            la vraie France. Et d’où venait de Gaulle lui-même, sinon de 

            cette droite tant décriée ? 

            En revanche, les Doriot, Déat, Faure, Spinasse, 

            Frossard, Laval et compagnie ne venaient pas précisément de 

            droite, sans parler des dirigeants communistes qui, jusqu’au 22 

            juin 1941, date de l’invasion par Hitler de l’Urss de Staline, avec 

            lequel il avait signé le honteux pacte germano-soviétique et 

            partagé la malheureuse Pologne, n’ont cessé de servir les 

            intérêts allemands et réclamé de la Gestapo la parution de 

            l’Huma ! 

            Aujourd’hui encore, bien que les rangs des résistants se 

            soient bien éclaircis, je reste persuadé qu’il y a plus de résistants 

            au Front national que dans toute la gauche réunie. 

            (...)

            * Les professionnels de la haine et les profiteurs qui 

            réveillent de nos jours l’esprit de vengeance que l’on pouvait 

            concevoir, sinon excuser, dans les mois ou les années qui ont 

            suivi l’occupation, m’inspirent une antipathie qui ne cesse de 

            grandir au fur et à mesure que leur arrogance et leur nocivité 

            s’accroissent. 

            Certes, les gestapistes ont bien mérité leurs douze 

             balles et tout le monde en est d’accord, mais la France a besoin 

            de tous ses enfants, même de ceux qui se seraient trompés, 

            erreurs toujours difficiles à définir. 


            La réconciliation des Français est une très noble tâche à 

            laquelle nous devons tous nous atteler ; si l’on veut servir la 

            France, il n’y a pas de tâche plus urgente. La patrie française n’a 

            jamais été aussi grande et rayonnante que lorsque les Français 

            ont été rassemblés et réconciliés. 


            Le Front national a toujours voulu cela et le veut 

            aujourd’hui plus que jamais. 

             

            Grenoble 15 mai 1993



            • jaja jaja 22 avril 2017 15:03

              @Pimpin

              Vous devriez voir qui était Georges Guingouin, le premier maquisard de France...

              https://clio-cr.clionautes.org/une-legende-du-maquis-georges-guingoin-du-mythe-a-l-histoire-5055.html


            • Rodolphe de Gérolstein redneck 22 avril 2017 15:59

              Fuck les communistes


              Demain je vote Marine, je vote patriote !


              • Le421... Refuznik !! Le421 23 avril 2017 15:38

                @redneck
                Le patriotisme, c’est l’amour de son pays.
                Le nationalisme, c’est la haine de tous les autres.

                Dans les esprits faibles, c’est pareil !!

                Et quand vous gueulez : « On est chez nous !! »
                Dites-vous bien que ce n’est pas chez moi.
                Et ça ne le sera jamais.
                Quand on a des escrocs comme chef de file, il faut toujours se méfier.
                Des fois, on se retrouve inopinément du mauvais côté de la matraque...


              • Mohammed MADJOUR (Dit Arezki MADJOUR) Mohammed MADJOUR 22 avril 2017 18:02

                Même avec tous vos ragoûts qui puent, je vous dis que le Front National n’a pas encore terrorisé des pays et n’a pas encore crée des RÉGIMES DE MERDE TERRORISTES QUI PERPÉTUENT LE TERRORISME DE L’ETAT FRANÇAIS !


                Qu’est-ce que vous avez à vomir vos histoires pourries, l’histoire n’a pas été plus que polluée pour en rajouter vos salades ? L’OAS C’ÉTAIT L’ETAT FRANÇAIS, C’ÉTAIT L’ÉLYSÉE DE DI GOULE ! Vous ne comprenez rien à l’histoire !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

                Le Front national n’a pas encore assassiné des chefs d’Etats étrangers et ne soutient pas encore des régimes terroristes qui travaillent pour l’Etat français et que l’Etat français soutient au détriment des populaces terrorisées et corrompues !

                Alors allez déverser votre saleté dans la poubelle du Web : SI LES FRANÇAIS NE VEULENT PAS DEVENIR DES MOINS QUE RIEN, ILS VOTERONT EN MASSE POUR LE FRONT NATIONAL ET FERONT CE QU’ILS VEULENT DE LEUR PAYS !

                LE COMMUNISME EST MORT ET MÊME S’IL ÉTAIT VIVANT VOUS N’EN SEREZ PAS MEMBRE !

                • non667 22 avril 2017 21:15

                  a prcf
                  nous faire croire que le FN serait devenu un Parti compatible et pourrait désormais appartenir lui aussi à la sphère démocratique.

                   a part des procès d’intention énoncez nous des faits antidémocratiques et antirépublicains du fn post 1972 ? 


                  • Le421... Refuznik !! Le421 23 avril 2017 15:43

                    @non667
                    Un truc qui me vient à l’idée et qui est un exemple criant...
                    Menacer de couper les vivres à un journal (La Voix du Nord) à cause d’articles anti-FN.
                    Au hasard.
                    La mort de Clément Méric n’a rien à voir avec la liberté d’expression, bien sûr...

                    Tué par ce que vous appelez « un bon français », copain de « bons français »...


                  • Libertad14 Libertad14 23 avril 2017 07:39

                    Il est parfois nécessaire de refaire un peu d’histoire !!

                    Le système dans lequel nous vivons à tendance à éradiquer la mémoire du passé, pour cause.
                    Ce parti anti progressiste à toujours eu comme adversaires voire ennemis les communistes et les syndicalistes qui mènent la luttes contre l’exploitation des travailleurs.Parti nationaliste, réactionnaire, Qui a toujours et qui continue à utiliser le mensonge , le populisme pour arriver à ses fin.
                     

                    • fannydesto 25 avril 2017 23:38

                      Telle est la question : le Front national est-il un parti fasciste ? http://wikidebats.org/wiki/Le_Front_national_est-il_un_parti_fasciste_%3F


                      • fannydesto 29 avril 2017 15:53

                        La question de fond est la suivante : le Front national est-il un parti fasciste ? Je recommande cet article pour se faire une idée : http://wikidebats.org/wiki/Le_Front_national_est-il_un_parti_fasciste_%3F

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