Haro sur un Africain, une Arabe musulmane et un Français de souche
On ne compte plus les "UNE" de la presse papier et en ligne - de la presse mainstream et dite "iindépendante"... qui prennent à partie Alain Soral, DIeudonné et plus récemment Farida Belghoul.
Tous ! de la presse dominante et mainstream à la presse dite "indépendante"... du Figaro à Marianne en passant par Médiapart.
Dieudonné le métis camerounais, clown au nez noir, humoriste satiriste sans rival au service d’un rire qui a pris toute la dimension de l’ampleur de l’arnaque incommensurable d’une représentation du réel qui n’a qu’un seul but : tabasser à coups de représentations toutes plus mensongères les unes que les autres, à coups de pied et à coups de poing, la réalité qui nous est donnée à vivre et dont Guy Debord nous exposera tous les tenants et les aboutissants.
Dieudonné n’est-il pas alors le plus grand anti-tartuffe depuis Molière, de cette société-là ?
Avec l’abandon en 1983 d'un projet destiné à contrer l'offensive néo-libérale s’ensuit un deuxième abandon : celui des classes populaires livrées au chômage et à la violence d’un libéralisme économique sans précédent ; arrive alors SOS racisme et le détournement d’un élan qui se voulait fraternel et rassembleur porté par des français issus de l’immigration, appelé « Marche pour l’égalité » ; détournement et récupération dans le but de forcer les classes populaires blanches et européennes maintenant stigmatisées, accusées de tous les maux – racisme, antisémitisme, xénophobie, islamophobie -, et à propos desquelles le PS ne fondait plus aucun espoir électoral, à la désertion des urnes ou au vote FN, vote stérile, avec l’appui de tous les médias qui tiennent depuis trente ans un rôle stratégique dans la production et la diffusion d’une doxa qui recouvre tout : à la fois la finance, l’économie, le politique et la culture.
Il reviendra à Farida Belghoul de dévoiler au grand jour toute la supercherie de ce système de domination par la division et la diversion ; elle refusera la récupération de cet élan par le PS et SOS racisme.
Savoyard autodidacte, Alain Soral est celui qui, aujourd'hui en France, avec l’aide de Rousseau, de Marx, de György Lukács, de Lucien Golmann, de Philippe Muray, de Michel Clouscard et de Jean-Claude Michéa , développe les analyses les plus courageuses, les plus pertinentes, les plus intelligentes et les plus talentueuses sur la société française (d’aucuns écriront : "... sur ce qui est arrivé à la France...") de la fin de la seconde guerre mondiale à nos jours.
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Dieudonné, Farida Belghoul et Alain Soral... trois figures bannies des médias et contre lesquelles une guerre dissymétrique (une de plus… après le Moyen-Orient, le Maghreb et l'Afrique subsaharienne) est menée sans pitié, et un verdict sans appel quotidiennement rendu de "fasciste, antisémite, raciste et complotiste".
Il est dit que ni SOS racisme ni la Licra ni le MRAP et ni la Ligue des droits de l'homme ne voleront à leur secours (non ! on ne pouffe pas de rire svp !).
On notera au passage que ces trois figures, l’Africain, l’Arabe musulman et le Français de souche auraient dû symboliser un modèle multiculturel dont le PS et les Verts souhaitaient assurer la promotion. Et c’est sans doute là toute l’ironie de la situation : que ce soit précisément cette France Black, Blanc, Beur qui mette à mal une idéologie de domination dont la loi d'airain a pour seul modèle : la connivence, la collusion, la cooptation, le trafic d'influence, la concussion, l'abus de confiance et les bombes.
Car dans les faits, il n’a jamais été question de rassembler qui que ce soit autour d’une idée forte qui aurait le souci de la justice pour tous mais bien plutôt de diviser un pays, de le dépecer pour mieux le livrer à une oligarchie mondiale seule capable de garantir à une classe politique sans courage et sans projet digne de ce nom, secondée par une classe économique et médiatique vorace, des carrières nationales, européennes et mondiales mirobolantes, sur le dos de la démocratie, du monde du travail et de l’histoire sociale et culturelle de tout un pays, voire d’un continent : l’Europe.
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Dieudonné, Farida Belghoul et Soral...combinaison explosive !
Pour leur faire face et pour leur faire la guerre... , cet autre trio : les Médias dominants (qui appartiennent à l’hyper classe économique : banque, armement et industrie du luxe), une classe politique UMP – PS et une bourgeoisie à la tête d’une presse dite « indépendante » et « alternative » : Marianne, le Monde Diplomatique, Médiapart, Charlie Hebdo… ainsi qu’un vieux modèle d’expression qui franchement commence à sentir un peu l'urine, incontinence oblige ! Le Canard enchaîné.
On n’oubliera pas non plus des universitaires-fonctionnaires à l’abri du besoin, et au sujet desquels, encore une fois, Marx avait vu juste lorsqu’il affirmait en 1844 que les fonctionnaires - ici, on ciblera en priorité les universitaires et autres enseignants des Grandes Ecoles -, sont les gardes chiourmes (sorte de garde prétorienne) d’une domination exercée par l’Etat dans une alliance de gouvernement avec le grand Capital (aujourd’hui… oligarchie mondiale ou mondialiste) par le biais des multinationales et de la Banque.
Bien évidemment, on pensera aussi à La Trahison des clercs de Julien Benda
Mais... revenons à cette presse dite "indépendante" et à ses supplétifs... une presse qui se croit et se veut « alternative » entre les mains d’une bourgeoisie de la bien-pensance et du politiquement correct, actrice d’une fausse rébellion contre un ordre établi qui les subventionne - aide de l'Etat en dizaines de millions d’euros.
- Médiapart (son patron est le fils d’un Vice-recteur de la Martinique) qui, pour penser le monde et éclairer ses abonnés, s’est fait une spécialité de s’appuyer sur des poètes et des auteurs issus du colonialisme et de la traite négrière - auteurs qui n’ont fait finalement que célébrer la langue de leurs maîtres : Césaire et Senghor ; l’un finira maire de Fort-de-France en Martinique, l’autre Président du Sénégal avant une retraite en Normandie : haras, bocage et champ de courses ; et plus près de nous dans le temps, un Edouard Glissant et un Chamoiseau ; ce dernier a fini au café de Flore et à la Closerie des Lilas. Tous inopérants et inoffensifs sur un plan politique. Jugez plutôt : à propos de l’élection d’Obama, Glissant et Chamoiseau parleront de « véritable miracle » - de quoi faire hurler de rire mon cheval, ou de rage n’importe quel humaniste de gauche ou d'ailleurs.
Au sujet de ce journal, vous trouverez des informations sur Plenel et quelques uns de ses journalistes ICI et LA ; informations d'un intérêt plus que certain... et qui expliquent bien des choses.
- L’hebdomadaire Marianne en difficulté faute de lecteurs payants, qui vit sous perfusion de l'Etat - plus d'1 million et demi de subventions en 2013 -, soutient à ses heures perdues un Parti de gauche sans troupes ni assise populaire, composé en grande partie d'enseignements et de syndicalistes ; en revanche, il n'oublie jamais de soutenir Israël..
- Le Monde diplomatique… à l’heure où sur Internet la dissidence fait rage… et gratuitement qui plus est, ce mensuel privé de lecteurs, est à la recherche de mécènes pour assurer les fins de mois, payer les imprimeurs et les salaires (sûrement confortables) de ses permanents. D’où son repositionnement et son ralliement au lynchage médiatique de Dieudonné, d'Alain Soral et consorts.
- Charlie Hebdo a fait de l’insulte d’une population la plus fragilisée et la plus exploitée de notre société - les Musulmans -, son fonds de commerce…
Et pour finir...
- Le Canard enchaîné dont l’humour passé et repassé, mille fois ressassé, et l’ironie… sentent un peu, comme on a pu le laisser entendre plus haut…l’urine et les couches culottes de l’incontinence à la fois analytique et stylistique.
Tous ligués donc... contre un métis camerounais, une algérienne musulmane et un français de souche autodidacte ; tous à leur faire la guerre... guerre contre trois symboles non pas de la domination mais de l’humiliation : Africain noire, populations arabo-musulmanes et le Français de souche des classes populaires auxquelles tous les procès sont faits : inadaptation au monde, xénophobie, homophobie, islamophobie, racisme, antisémitisme... depuis que le PS, comme un fait exprès, a abandonné l’ambition non pas tant de changer le monde que de protéger les plus faibles d’entre nous tout en les élevant à l’infinité de tous les possibles d’êtres humains en devenir, et ce quelle que soit leur condition d’origine ; coïncidence qui vaudra à quiconque se met en tête d’insister sur sa concomitance (abandon des classes populaires et leur diabolisation) d’être qualifié de complotiste paranoïaque.
Cette bourgeoisie dite progressiste et tolérante - bourgeoisie de la fausse dissidence -, se définit évidemment selon le critère de la production d’un discours autour de ce qu’elle croit incarner : la rupture dans un contre modèle aux médias dominants. Cette bourgeoisie prône avant tout les liens de la convergence de vue et de comportement. Dans ce qu’elle croit être leur dissidence, au sein de cette classe, tous ont les mêmes réflexes et la même prudence : savoir jusqu’où ne pas aller trop loin et contre qui ; et plus important encore : ne jamais nommer ni les choses ni les gens, cultiver le flou d’une rhétorique d'une bien-pensance et d’un politiquement correct qui épargne bien du souci à ceux qui pourraient en retour, le leur en causer quelques uns.
De plus, cette bourgeoisie de l’opposition au système, est bien trop sûre de ses catégories de pensée pour accepter la moindre remise en cause : « Nous remettre en cause ? Mais pourquoi faire ? Nous l’avons déjà fait en proposant une autre information indépendante ! »
Aussi, ne la mettez jamais face à ses contradictions ! Ne la prenez jamais par surprise ! Car elle doit pouvoir tout anticiper de ceux au nom desquels elle prétend œuvrer : les dominés. Et enfin : ne forcez jamais cette bourgeoisie à se décevoir ! Sa férocité sera à la hauteur de tout ce qu’elle soupçonnait en elle et que des « gueux » viennent maintenant révéler au grand jour, à son grand embarras et bientôt, à son grand désespoir : « Comment ça ? On ne vaut donc pas mieux que les autres ? »
Confrontée à sa propre duplicité, c’est alors qu’arrivent la colère et une volte-face pas tant au nom d’intérêts de classe (et/ou d’une solidarité d’appartenance ethnique), mais bien plutôt au nom des grands principes avec lesquels elle ne saurait transiger, et alors que ces grands principes ne sont aucunement en question : on botte en touche pour ne pas avoir à faire face à une problématique, une vraie, qui n'a qu'un seul tort : être à haut risque.
Tel un rituel macabre, véritable jeu de massacre, dans une action soutenue que rien ne peut empêcher et qui prend la forme d’un imparable désir de nuire… cette folie des médias dominants, de la classe politique et d'une bourgeoisie à la tête de médias dits « alternatifs » ou « irrévérencieux » sous-tend un puissant désir de retour à la normale, à l’harmonie d’un ordre, dans l’univers clos et sécurisant du statuquo.
Cette restauration de l’harmonie et de l’équilibre passe toujours par le meurtre du trublion provocateur ; c'est là la règle du jeu ! Trublion incontrôlable, libre comme cette liberté qu’aucun bourgeois quel qu’il soit, dissident ou pas, n’accordera à un métis, à un Arabe, à un Musulman ou un Français de souche déclassé car ces derniers incarneront toujours la mauvaise conscience d’une bourgeoisie d'une gauche dite « sociétale » (Clouscard, Michéa, Muray et Alain Soral ont tout dit à son sujet), dont le profond mépris pour celui qui ne peut rien pour lui-même, engendre une culpabilité qu’un politiquement correct vient apaiser mais pour un temps seulement car… chassez le naturel… il revient au galop.
Aussi... pour les médias dits « alternatifs » tout comme pour les « médias dominants », les humoristes doivent rester à leurs places, là où fleurissent les blagues de potaches sans suite dans les idées ... et la démocratie sera bien gardée !
Toujours prompte à se montrer compatissante, avec cette bourgeoisie, le moment où tout bascule est le moment où ses intérêts économiques sont menacés : subventions d’Etat, manque à gagner dû à la perte de lecteurs, carrières universitaires,
Classe insidieuse dans laquelle des psychologies opaques prospèrent comme autant de points aveugles de la psyché humaine, si les coupables peuvent être aussi des victimes, avec cette bourgeoisie-là, aucun risque : elle est bien seule coupable puisque son pouvoir reposera toujours sur la dépossession de plus grand nombre.
Chacun de ses sourires adressés aux humbles, aux sans-grades, cache l’auto-satisfaction de ceux qui sont aux commandes et qui contrôlent toutes les situations ; chacune de ses joies est volée à la mélancolie du déclassé ou au désespoir de la bête de somme abruti par un travail dégradant.
Une bourgeoisie en apparence moderne, esprit libre-penseur et républicain d’une complaisance inouïe avec ses propres contradictions – c’est la paille dans l’œil du voisin et la poutre dans le sien -, et dont l’avantage comparatif et son ascendant rhétorique n'hésitent pas à aller exercer leur talent chez les confrères des médias dominants et concurrents, passant de l’un à l’autre en toute aisance : dominant/alternatif – alternatif/dominant ; le Monde diplo/France Inter, France Inter/le Monde diplo ; ou bien encore : Médiapart/France2, France2/Médiapart…
L’affirmation de cette classe passe toujours par l’exécution des trouble-fête qui outre-passent leur fonction de clowns et de fous du roi ; tout comme la bourgeoisie d’une droite sans complexe n’existe que dans le bannissement et la calomnie, c’est dans l’élimination sociale que cette autre bourgeoisie résout ses propres conflits de conscience : « Chassez loin de moi cette vérité à mon sujet que je ne saurais voir et accepter ! »
Le regard-faisceau d'un métis, d'une Algérienne musulmane et d'un Français en disgrâce, transperce les certitudes de cette bourgeoisie, blesse mortellement son orgueil et la brûle de l’intérieur car à ses yeux, cette combinaison africaine, maghrébine et française n’a qu’un seul tort : remettre en cause sa prétendue supériorité morale et intellectuelle jusqu'à nous révéler in fine (preuve à l’appui : celle de son ralliement à la campagne de diabolisation de nos trois comparses bouc-émissaires) qu’elle est finalement, elle aussi, du côté de la domination.
Et c’est bien cette brûlure qu’elle ne leur pardonne pas.
Les paroles disent une chose et les faits… une autre. Or, notre trio infernal du tiers et du quart mondes refuse ce jeu de dupes : « Vous n’êtes pas ce que vous dites ! En revanche, nous… nous le sommes ! ».
Chez cette bourgeoisie qui se plaît à se penser compassionnelle, généreuse et honnête, on trouvera le désir d’être reconnue en tant que gardienne d’une moralité qui, dans les faits, n’a qu’un seul souci : balayer au plus vite de sa conscience l’absence d’un véritable engagement - au prix de tous les risques à la fois physique et matériel -, en faveur de la justice et de la liberté, oublieuse du fait suivant : qui ne risque rien n’a aucune leçon à donner à qui que ce soit. Et jamais cette bourgeoisie-là n’acceptera qu’on la mette en danger ; et un seul danger la guette : qu'on expose au grand jour la duplicité de son existence privée comme publique … ou pour le dire autrement : son caractère hypocrite, égoïste, lâche face aux puissants et intransigeant face aux dominés, et ce à chaque fois qu’elle est prise en faute.
Après Renoir et « La règle du jeu » en 1939, c’est Claude Chabrol qui nous le rappellera dans « La cérémonie » en 1995.
***
Pour protéger sa fille, sa moralité et l’unité de la famille Lelièvre - famille recomposée archétypale d’une bourgeoisie entrepreneuriale -, et châtier au passage celle qui osera s’attaquer à sa respectabilité, Lelièvre père à qui on aurait volontiers donné tout de même le bénéfice du doute quant à la perversité des travers propres à la classe auquelle il appartient (1), sera sans pitié face à quiconque menace, non pas le confort matériel maintenant acquis et sécurisé d’une classe qui n’a plus à s’expliquer depuis des générations, mais bien plutôt son confort moral : « On est des gens bien ! On ne laissera personne nous salir ! » ; Lelièvre père sacrifiera « la bonne » en la congédiant ; décision prise en cinq minutes montre en main ; et le destin de cette "femme de maison" analphabète de basculer pour toujours avec ce licenciement sans préavis : « Si vous êtes analphabète ce n’est sans doute pas entièrement de votre faute… mais il faut que vous soyez disparue (!) dans une semaine. »
Aussi, qu’il soit permis de proposer à la réflexion des uns et des autres ce qui suit : si cette bourgeoisie des médias dits « alternatifs et indépendants » devra un jour rendre des comptes … cette bourgeoisie de la fausse dissidence qui se précipite dans les abris à la moindre alerte, ce sera de nous expliquer comment elle a pu , aux côtés d’une hyper-classe et de ses supplétifs, ne pas trouver quoi que ce soit à sauver chez ces trois damnés de la terre : l’Africain, l’Arabe musulman et le Français de souche autodidacte déclassé.
La question est posée.
1 - Chabrol choisira délibérément de nous présenter une famille Lelièvre décidément sympathique, généreuse, humaine et compréhensive ; et si cette famille se révèlera bientôt impitoyable, Chabrol ne prend pas grand risque et "se couvre" en lui opposant une « employée de maison » et une postière à la limite de la psychiatrie - jadis soupçonnées de parricide et d'infanticide -, sans doute pour soulager la conscience des critiques de cinéma, qui appartiennent eux aussi à la bourgeoisie, du fardeau de devoir condamner sans réserves les Lelièvre, leur propre classe. Courageux Chabrol mais pas téméraire ni fou : les affaires sont les affaires !
Avec cette postière et cette « employée de maison » sociopathes, la critique et le public bourgeois pourront donc à loisir évoquer « deux monstres » (comme ce fut le cas à la sortie du film en 1995), s’exonérant ainsi de l’obligation de devoir interroger son propre mode de fonctionnement en tant que classe, et c’est sans doute là que Chabrol rejoint ce milieu bourgeois qu’il n’a jamais quitté et dans lequel son cinéma n’a pas cessé de l’enfermer… car avec « La cérémonie », film élitiste, il offrira aux esprits avisés seuls la possibilité de situer la monstruosité chez les Lelièvre (et non chez les deux meurtrières) en tant que classe symbole d’une domination qui a pour socle : l’humiliation et la dépossession du plus grand nombre.
Sans doute Chabrol n’a-t-il fait que se regarder à travers son cinéma, de film en film…
Un peu lourdingue et complaisant Chabrol ! comportement typique d’un bourgeois sorti du rang qui ne saura jamais vraiment ce que sont la liberté, la dissidence, la rupture, et moins encore une aspiration libertaire qui ne prenne pas appui sur un ordre bourgeois décadent.
Décidément, n'est pas Pasolini qui veut !
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Pour prolonger, cliquez : Le phénomène Dieudonné
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