Immobilier crac boum hue
Une sourde angoisse obsidionale gagne le cœur des grandes cités archi-prospères du monde occidental car, tout autour, à la périphérie, l'espace s'est soudain peuplé d'une nuée de nouveaux arrivés, pauvres hères, rednecks, desdichados, nécessiteux et miséreux échappés de tous horizons, qui apparaissent au gentil petit animal domestiqué et si bien soigné, au joli petit oiseau en cage, mais encore bien protégé, comme une menaçante armées de raccoons, de criquets, de taons, de loups assoiffés, d'ânes décharnés. Le bon La Fontaine, qui nous inspire cette image, se serait fendu de bien d'autres fables sur le sujet eût-il vécu à nos côtés. Ses châteaux en Espagne nous ont déjà servi de référence. Selon que vous serez riches et puissant est toujours un excellent guide-line pour comprendre notre temps. Jean François Buet lui-même, président de la très réputée FNAIM en France, n'hésite pas lui aussi à convoquer au secours de ses thèses un rien alarmistes la sagesse des anciens : « Vulnerant omnes, ultima necat » écrit-il. "Immobilier : cessez de tirer sur les propriétaires !" titre-t-il encore. Ces appels au secours sont d'autant plus justifiés que le Roi Lion, qui bon an mal an faisait régner l’ordre auparavant, a depuis belle lurette fait défection et trahi sans vergogne ses sujets. Tout se conjugue en ce moment pour que ça aille bien mal dans l'immobilier des grandes villes occidentales.
Que vaudra l'immobilier des beaux quartiers ?
Citons Valeurs Actuelles (presse archi-collabo lâcheront certains, soit, vous corrigerez) : Lâchée par ses pouvoirs publics, muselée par le politiquement correct, la France subit une invasion de “gens du voyage” majoritairement issus de Roumanie et de Bulgarie.
"Une dizaine de fillettes roms a fondu sur ces deux touristes venues visiter la capitale, ce 26 juillet. La plus âgée des voleuses doit avoir 14 ans. Nous sommes sur le quai de la station de métro Opéra, dans la chaleur suffocante des horaires de pointe."
Ce genre d'information n'a rien de nouveau, il constitue simplement un rappel factuel, qui montre combien il convient de se méfier des petites donzelles preneuses de citadelles, il décrit des phénomènes dont l'ampleur ne cessera pas d'augmenter, pour notre plus grand amusement devant si belle illustration du "changement, c'est maintenant".
Il faudra bien s'y faire. Dans ces conditions, aussi peu objective soit la vue qu'on y porte, aussi exagéré soit le ressenti - sinon le ressentiment - et si l'on y ajoute l'augmentation irrépressible de la pollution, du bruit, de la pression exercée par l'administration pour remplir d'argent sonnant et trébuchant ses innombrables tonneaux des Danaïdes, comme le dénonce Buet, de l'insécurité et de l'inconfort croissant, que vaudra l'immobilier des beaux quartiers, que vaudront dans quelques temps les beaux appartements des beaux arrondissements, les orgueilleuses maisons auxquelles la bourgeoisie et le show-biz et les investisseurs tiennent comme à la prunelle de leur yeux, comme au battement de leur cœur ?
Dont le prix à Paris ou à Strasbourg ou à Lyon permettrait de s'acheter un château en Meuse ou dans la Creuse avec tout le personnel qui va avec, avec, en sus, l'hélicoptère pour navetter vers la défense.
Inévitable. Mais, dans ces conditions, comment continuer à nicher tranquillement, comment fonder une famille, élever cinq où six enfants, payer sans accrocs pendant 20 ans, intérêt, taxes, frais, redevances et capital, femme au foyer et non rond-de-cuir ou serveuse comme l'exige l'économie du moment, comment ?
Il n'est pas certain qu'ils ne fuiront pas cette fois, si devait se renouveler à fréquence élevée les évènements de la place Bellecour où ceux de Paris, les "émeutes de 2005", ou plus près encore, celles du printemps, à mettre au compte des gros Quataris. "
« A Marseille les banlieues sont dans la ville » déclare le sociologue Laurent Mucchielli.
Citons le Figaro ("autre presse collabo" hurleront d'autres, soit, vous tempérerez) : Paris serait-il en train de devenir le nouveau terrain de jeu des bandes de banlieue jusqu'alors épargnée par ces épisodes de violence qui enfièvrent épisodiquement les départements voisins, la capitale est désormais en proie à des situations en tout point identiques...
Et même la presse humaniste, s’y met, Libération, qui le 20 août en rajoute : candidate à la primaire PS pour les municipales, Samia Ghali appelle l’Etat à « éradiquer la délinquance ». Celle-là même qui demandait l’intervention de l’armée.
Je ne donne pas 20 ans pour que les moutons pâturent au Champ-de-Mars et sur les pentes de Ménil-Motant
Charme de la mondialisation argumenteront d'autres, l'immobilier à Paris ou à Strasbourg ne s'est jamais si bien porté en raison principale de la demande des étrangers affirmeront d'aucuns.
Il est vrai que louer la suite la plus vaste du Crillon et la faire tapisser de sable pour y monter ses tentes en poil de chameau et ainsi retrouver la joie des ancêtres affranchis des contraintes ridicules qui pèsent sur les modes de vie de nos contemporains, obligés par exemple, pour se soulager les basses tripes, de s'enfermer dans d’ exigües aisances ergastulaires malodorantes, n'est pas sans forcer l'admiration.
Tout comme installer ses tentes de la même fabrique, mais encore plus grandes, plus mirifiques, arborant fièrement les armes du Raïs suprême et de la République Islamique dans les jardins de l'Elysée n'est pas s'en évoquer d'une certaine façon l’élégante mutation de l'habitat en France sous la poussée de la mondialisation éclairée.
Avez-vous remarqué le nombre de Yourtes aussi, dans nos campagnes ? Admettons, il y a encore de la marge. Le « péril jaune » de Peyrefitte n’est pour autant pas parvenu à Perros-Guirec.
Et que je sache, le bel hôtel Jean-Sébastien Bach à Strasbourg, tout près du parlement, où je vais prendre un thé de temps en temps avec Maman, et le joli parc y attenant ne se sont pas vus encore envahis de campements de gueux errants ayant traversé le Rhin.
Il n'empêche, la mondialisation nous ramène à la Tour de Babel, version nouvelle, encore plus universelle puisque les hommes lui donnent la terre entière comme fondations cette fois-ci. Les gentils criquets, les joyeuses sauterelles, toute la gent trote-menu, palmistes, chinchillass et autres Zygogeomys trichopus venus innombrables renforcer les efforts des petits cochons - dont l'histoire est bien connue quant on parle de maisons - des hirondelles, fourmis et cigales indigènes tout dévoués à l'édification du progrès et des tours qui vont avec ne parlent pas tous le français.
Et même, tant leurs variétés, leurs espèces, leurs genres sont multiples et grands, c'est plus de cent langues qu'on peut compter, ce qui fait qu'eux mêmes, entre eux, ont encore plus de mal à se comprendre. Dans ces conditions, comment faire avancer le chantier, comment conserver la valeur et la croissance du "patrimoine" immobilier ?
Pour les nouveaux arrivants, la Tour Eiffel n'est qu'une tour de ferraille et les abords du périphérique une zone de camping bien pratique. Et le Polygone à Strasbourg une étape vers d'autres terres promises. Peuvent-ils, ces démunis, envisager de se loger à Neuilly ? Parmi ceux-là même qui, si l’on en croit le Nouvel Obs et Libération, les aiment tant. Enfin, très platoniquement.
Comment, en matière d'immobilier, de logement, de pas évoquer la chronique des miséreux, s’inquiéter de la prolifération endémique de leur sort ?
Mais le roi des animaux lui, le nouveau faut-il préciser, qui n'est plus le lion du temps de la Fontaine comme chacun sait, mais l'hippopotame gastralgique et prognate nouvellement installé à Saint-Tropez, à la cour duquel on retrouvera avec plaisir Trimalcion et Fortunata, et qui brasse de haut et de loin avec entrain les eaux troubles de la finance et de l'immobilier abstrait, symbolique et virtuel n'a rien à faire de ces misérables considérations de petites gens n'ayant à ronger que grains, paille, rogatons et tapis mités.
La Tour de Babel, jusqu'où ?
La Tour de Babel, Migdal Bavel, Burj Baabel, tower of Babel fait rêver, comme le Burj Dubaï, 3000 pieds, bientôt dépassé, comme la Tour Eiffel, comme les Tours Jumelles, là n'est pas la moindre de ses qualités. On sait que les escapades oniriques se terminent parfois par un réveil brutal, retour cruel à la réalité et à ses lois immuables éternelles, voyez la triste fin de la Tour de Babel.
Pour les institutionnels faut-il le préciser, le réveil est encore loin. L'Hippopotames ne craint encore rien.
Pour les zinzins tout va bien, ça monte, ça monte, en route avec assurance vers le ciel. Tout le monde est à la pelle, à la truelle, à la manivelle, sous les hourras et les encouragements de Sieur - Monseigneur - banquier, notaire, agent immobilier, promoteur, investisseur, administrateur fiscale, de Messire bailleur des collectivités territoriales et de Lord All Share du Grand Capital (le frère de Lord Dow Jones).
A propos de Capital, pas plus tard qu'hier, dans la revue éponyme : "Home Depot a revu à la hausse ses objectifs annuels mardi après avoir fait état de résultats supérieurs aux attentes au deuxième trimestre, la première chaîne mondiale de magasins de bricolage ayant tiré parti de la bonne tenue du marché immobilier américain." Vous voyez bien que tout va bien.
C'est sous la plume légère de Constance de Cambiaire. Non ! non ! je n'invente pas. La bonne tenue du marché immobilier est bien là.
Tout va donc très bien, même si quelques esprits grincheux et quelques voix dissonantes se font remarquer par-ci par-là sans pour autant troubler les clameurs de la standing ovation qui accompagne l’irrésistible ascension de nos actions et de nos rentes .
"...les marchés n'ont plus confiance en la capacité des Etats à rembourser leurs dettes. C'est très clair, la crise née de la dette est loin d'être terminée. Qu'il s'agisse des Etats-Unis ou de l'Europe, la confiance n'est pas de mise pour 2013 — d'autant que la croissance n'est pas au rendez-vous. Un krach des marchés n'est pas à exclure avant la fin de l'année." dit la Chronique Agora qui voit d'où viendra le danger, des Etats-Unis à l'Europe en passant par la Chine, et qui recense pour nous les points de rupture possibles... Mais qui avoue cependant « distraire et passionner ses lecteurs » depuis 2002.
D'un autre côté, l'actualité de l'immobilier nous invite à goûter les délices d'un investissement à Maurice.
Qui veut aller à Maurice me direz vous ? Si, si, il y en a, qui ne se laisseront pas rebuter par les analyses alarmistes sur ces contrées et la suffocante chaleur des tropiques qui vous obligera à garder le fauteuil sous la clim..
Il n'aura fallu à l'humanité qu'un peu moins de huit mois, 232 jours exactement, pour consommer toutes les ressources naturelles qu'elle peut produire en un an. Ce mardi 20 août correspond au "Global Overshoot Day" ou "jour du dépassement planétaire".
Cette orgie dépensière ne sera pas non plus sans effets sur nos affaires immobilières.
La "dette écologique" viendrait-elle s'ajouter aux abyssales dettes tout-court et en empirer les effets ? Il y a fort à parier.
"Nous ne pouvons plus continuer à creuser cette dette écologique" prévient l'ONG qui préconise plusieurs solutions : nouvelles technologies, aménagement urbain, réforme fiscale écologique ou encore des régimes alimentaires moins riches en viande. "Sinon, le dépassement des limites écologiques finira par liquider la planète."
Alors la tour de Babel, un de ces jours, balayée cul par dessus tête ? Dieu va-t-il réitérer ses tentatives d’extermination ? Il y a fort à parier aussi que cette fois-ci, il va réussir.
Foin de La Fontaine et des images pour enfants. Que disent les experts et les chiffres ?
Redevenons sérieuse, l'immobilier est chose justement trop sérieuse pour qu'on l'abandonne, fussent-elles expertes, aux mains des rêveuses.
Les économistes de Project Syndicate vous le diront, eux en qui on peut placer toute notre confiance et nos économies, Kenneth Rogoff, Jeffrey D. Sachs, Joseph E. Stiglitz, J. Bradford delong, Nouriel Roudini, Dominique MoÏsi, Romain Pichot, sans oublier Sganarelle, très érudit expert ès matières immobilières qui écrit dans Valeurs Actuelles.
On pourra également se reporter avec profit aux analyses chiffrées et substanciées de "La Bulle Immobilière", belle association elle aussi friandes de chiffres, d'analyse et de cotations, mais pas forcément à l'unisson avec les experts cités supra.
"La Bulle" nous apprend que :
La courbe des revenus, en monnaie actualisée, est presque une droite sur les 12 dernières années. Mais les prix de l'immo ont doublé, plus que doublé. Pour les ménages, l'écart entre le disponible pour payer et le prix à payer ne cesse d'augmenter. Cela pénalise de façon évidente les "primmoaccédants" (comme il y a des primo-infections, lorsque les douleurs mettent un peu de temps avant d’arriver) mais pas les banquiers, qui eux n'ont pas de pb de revenu, vu que c'est eux qui font la monnaie, c’est eux qui ne sont pas touchés.
Donc le marché de l'immobilier, celui qui représente le système d'échange de biens entre les financiers et les Institutionnels se porte à merveille.
Vous voyez bien que tout va bien. Je vous le concède, je burine un brin, c’est le métier qui le veux. Cela dépend des points de vue, des angles d’observation. Les Banquiers, ils n'ont d'ailleurs même plus besoin de s'encombrer avec des biens immobiliers, de besogner laborieusement, comme le fait la classe laborieuse. Ils vont directement aux bénéfices. Virtuoses, Ils titritisent l'immobilier à tour de bras, ils le virtualisent, l'échangent, l’électronisent, l'achètent et le vendent directement sous forme de papier, de courriers, de mail, fabriquant directement de l'argent, sonnant et electroniquant.
Vous allez penser cher lecteur, que je vous fais danser, que je joue avec vous - Ah ! ces obsessions !
Que vous n'y pouvez comprendre rien à mon papier sur l'immobilier, un pas à gauche, un pas à droite, on tourne la tête à gauche, puis on la tourne à droite, on lève les bras, puis on frappe dans ses mains. Un deux trois. Abracadabra. Un coup ça va, un coup ça va pas, un coup c'est moche, un coup c'est bien. Un coup l'immobilier s'écroule, un coup il se porte bien.
Voyez-vous, je ne suis en générale pas confuse, mais le sujet est ici très aporique, complètement dialectique, tissé de contradictions. Si vous êtes en haut de la Tour, encore mieux si vous en êtes l'heureux commanditaire, Maître d'ouvrage élu de l'Eternel lui-même, vous voyez votre immobilier se très-bien porter, monter avec allant, se gonfler, se gonfler, s'enfler en s’élevant. Excusez-moi de retomber aux fables, Regardez bien, investisseurs, Est-ce assez ? dites-moi ; n'y suis-je point encore ?
Mais moi, je peux vous le confirmer sans risque de me tromper, moi qui suis en architecture, encore étudiante certes, mais en dernière année : ça n'est pas du tout rassurant ces structures désaccordées, branlantes, déséquilibrées, de guingois, qui n'en finissent pas de se convulser, de s'enfler, de tendre à l’infinie turgescence.
L'Univers entier ne semble pas être un assez vaste tonneau pour ses drôles de Diogène gonflés d'orgueil et idolâtres, dont la philosophie est à l'opposé absolu de celle du vrai Diogène, le fils d'Icésios, au passage, autre banquier, le père, autre faux-monnayeur. Cette évocation nous enseigne qu'il nous faudra peut-être attendre un changement de génération pour revenir à la raison.
L’immobilier est pour l’heure la façon la moins illicite de faire de la fausse monnaie et du beurre.
Mais, surtout, ne soyez pas en bas à trimer, porter la pierre et l'assembler, ajuster cent milles abacules, sculpter la dentelle des feuilles d’acanthe, monter les claveaux, purger vos 20 ans de captivité, croulant sous la rançon. La performance immobilière que constitue la construction de la plus gigantesque Tour jamais conçue ne vous emplirait pas d'allégresse. Il faut être en haut, au naos, juste à coté des Dieux, à ne rien faire que compter la plus-value journalière pour accéder, sans risques, à l'extase.
"La crise touche l'immobilier de luxe entend-on dire en Suisse. depuis dix mois, l'immobilier de prestige est en crise, informe « le Matin ». Les prix des propriétés sont donc à la baisse. « La crise frappe fort..."
Essayons de laisser à leurs sombres et stupides oracles ces atrabilaires rabat-joies.
Nous ne pouvons cependant pas nous abstenir, pour terminer cette riche étude, de faire simple mention d'une courbe qui affecte tout particulièrement la santé des affaires immobilières et qui risque de modifier tout ce qu'on sait jusqu'à présent de l'immobilier tant auparavant elle n'était pas motif d'inquiétude.
Les experts nous affirment que le chômage est un frein à la stabilité de l'immobilier.
Et bien, ça tombe mal. Ce chômage ! Il se refuse toujours à régresser sous nos climats. Et même que les administrations et les états s'y mettent allègrement, qui procèdent en leurs rangs à coupes sombres, aussi sombres que les heures au nom éponyme : Army Races to Cut HQ Staff by 25 Percent ! a-t-on lu tout récemment. Un quart réformé !
Mais où va-t-on si même l'armée américaine, après celle de la France, se met à alimenter le chômage avec désinvolture et sans rechigner ?
Alors l’Immobilier crac boum hue ?
A la hausse ? jusqu'à quand ? l'effondrement ? qui dira ? Suivez en tout cas, ça va bouger ! Ça va rocker !
Il y en a bien d'autres encore, des facteurs à l'œuvre en ce moment, pour mettre à mal l'antique croyance selon laquelle "la pierre ne perd jamais d'argent" !
Ne parlons pas de la perte de confiance généralisée, des grenouilles, des moustiques, des ulcères, de la poussière, de la prochaine épidémie de déprimes à la rentrée, du sinistre faisceau de contrariétés qui fait écho à milles autres sombres menaces et qui, pour être recensées, prendraient la place d'un traité bien plus volumineux que le mince mais brillant rapport qui nous a dessiné la France de 2025, quand, parait-il, chacun disposera d'un toit et d'un environnement de qualité, et quand les logements vacants seront devenus très rares et que trouver un logement sera une étape plaisante de la vie nous a assuré Madame la Ministre du logis.
Nous n'en dormirions plus. Aie ! Encore le Bon La Fontaine, son financier et son savetier.
Ma génération serait-elle la dernière à s’être abreuvée à la source d’intelligence des fables du plus grand sociologue de France ? Il nous faudra vérifier auprès des experts.
NB : les moralistes du XVIIème ont tous combattu l'ambition sociale
NB2 : la première illustration est une publicité vue sur les bus. Elle était publique. Elle n’a pas été modifiée. Elle a déclenché la ire de maintes institutions. Mais là n’est pas le sujet.
http://www.valeursactuelles.com/roms-l%E2%80%99overdose20130821.html
http://www.publications-agora.fr/landings/lca/krach-marches-boursiers/
http://www.partenaire-europeen.fr/Espace-Acheteur/Nous-cherchons-pour-vous-entre-particuliers
http://www.bulle-immobiliere.org/drupal/content/informations-l%C3%A9gales
http://www.cimm-immobilier.fr/franchise/creer-agence-immobiliere-franchise-art-36.html
http://actualite.lefigaro.fr/paris-bandes-banlieue-violence.html
http://www.jean-francois-buet.fr/
http://www.dinosoria.com/rat.htm
http://www.liberation.fr/societe/2013/08/20/la-situation-ne-s-est-pas-amelioree-depuis-un-an_925967
www.20 minutes.ch-Aug 19, 2013
Illustrations - citations graphiques
http://cguy.org/blog/2012/11/01/les-animaux-malades-de-la-peste/ Montreal
Maarten van Heemskerck /
http://www.dejonckheere-gallery.com/fr/Heemskerck_Maarten-5.html?m=1&id=158
http://dubaiw.net/wp-content/uploads/2012/01/dubai-burj-dubai-tower.jpg
Wiki commons by Roman Bonnefoy : la Tour eiffel, qui a servi à la composition originale pour l'article
http://realtybiznews.com/wp-content/uploads/2011/11/real-estate-agent.jpg
Plus une photo personnel (la pub sur le bus)
Trois repères supplémentaires pour la compréhension du sujet
http://www.youtube.com/embed/WfGMYdalClU
http://www.youtube.com/watch?feature=player_embedded&v=l8b80dXMgME#at=32
http://www.ina.fr/video/CPB86013331 INA / Crac Boum Hue
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