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Accueil du site > Tribune Libre > Introduction à la libre-pensée

Introduction à la libre-pensée

La libre-pensée, attitude dont la Grèce est considérée comme le berceau pour avoir, par un constant effort, essayé de substituer à l'image que les religions présentaient de l'Univers un ensemble d'explications tirées de l'observation et de la raison, devrait être avant tout curiosité et absence de doctrine.

Il est par conséquent non seulement permis mais recommandé de se demander ce que signifie ce dernier terme, et là où commence et finit la doctrine.

Selon la définition qui en est donnée par les dictionnaires, une doctrine est un ensemble de principes, d'énoncés, érigés ou non en système, traduisant une certaine conception de l'univers, de l'existence humaine, de la société, etc. et s'accompagnant volontiers, pour le domaine considéré, de la formulation de modèles de pensée, de règles de conduite. La doctrine, s’apparente au système, celui-ci comme celle-là n’étant rien d’autre qu'une théorie dont ne se vérifient plus les déductions logiques. Pourtant, cette idée théorique, ne pouvant en principe accéder au statut de vérité que relative, devient fréquemment, par insuffisance de rigueur, une vérité absolue.

Le système diffère de la doctrine en ce qu’il est un ensemble clos de connaissances déduites de la théorie, tandis que la doctrine, tout aussi close, est plutôt déduite de la pratique, véhicule un ensemble d'opinions dont rien n’exige qu’elles procèdent d’idées originales. La doctrine étayant souvent le système et ce dernier la légitimant en quelque sorte à son tour, cette relation explique comment, à partir des idées les plus utopiques et même farfelues, peuvent s’établir des théories fondant les plus solides convictions et certitudes. C’est le renvoi du doctrinal au systématique entre lesquels se plaisent tant de consommateurs et propagateurs d’idées toutes faites et autres enfonceurs de portes ouvertes.

La doctrine peut encore être présentée comme une prise de position ponctuelle, nettement et publiquement définie, d'une école de pensée ou d'un individu sur un problème particulier, généralement délicat et sujet à controverse ; opinion bien arrêtée sur un point précis. Le doctrinaire, à la différence du libre-penseur, thésaurise, interprète les thèses d'autrui, proches de ou opposées à la sienne, pour se faire sa propre doctrine. Il fait ainsi sienne, aux différences près qu'il y introduit – même si elles peuvent être importantes – la doctrine d'autrui.

A contrario, l'aptitude et la volonté de conception exempte de préalables autres que ceux pouvant naître de l’observation personnelle des faits, sont inséparables de la libre-pensée ; autant que la certitude y est étrangère. Une telle attitude, exempte de toute obligation d’originalité et sans entraîner le rejet des idées existantes, fait obligation de n’accepter ces dernières qu’après les avoir comprises et critiquées.

Contrairement à une conception étriquée mais néanmoins assez répandue, la libre-pensée n'est pas seulement d'essence religieuse ou politique. Elle est le libre-arbitre ou l’effort menant à la capacité de se prendre soi-même raisonnablement en charge dans tous les domaines. Par exemple, et à la limite de ce raisonnable, la libre-pensée peut s’appliquer à un domaine aussi délicat que celui de la santé. Être libre-penseur en l'occurrence, c'est appliquer, dans toute la mesure du possible, son libre-arbitre à la mise en cause de la médecine et de ses traitements et chercher à apprécier, autant que l’intellect le permet, le moment à partir duquel ils sont efficaces ou ne le sont plus. Il ne s’agit nullement de contester les bienfaits de la science (pas davantage que ses méfaits d’ailleurs), mais de conserver en toutes circonstances sa propre faculté de jugement, pour aussi faible qu’elle soit, avec la conscience des risques qu’une telle attitude peut faire courir.

Le nihilisme quant à lui, auquel conduit souvent la libre-pensée, n'est en fait que négation, trop souvent prise pour ce "libre arbitre" se gardant au contraire de tout jugement sommaire et définitif. Penser librement, c'est en effet considérer par exemple que la vie n'est ni bonne – la vie est belle –, ni mauvaise – la vie ne vaut pas la peine d'être vécue –, mais qu'elle est, tout simplement. Sachant par ailleurs qu'il est du pouvoir naturel de l'homme de la retirer encore plus facilement que de la donner, avec trop souvent une insouciance qui n’a d’égal que l’importance du don. L’homme a aussi, bien que moins aisément le pouvoir d'assumer cette vie et de la faire ce qu'elle est.

C’est à partir de ces considérations que bien témérairement, il sera tenté ici de développer quelques uns des points essentiels d’une pensée ambitionnant d’être libre, c’est à dire fondée sur la réflexion personnelle, dosée de sa part de bon sens et d’expérience. Il sera ainsi tenté, bien témérairement, de pallier l’absence des titres dont la plupart des auteurs s’attaquant à ce genre de sujet se prévalent, et de cautions scientifiques, philosophiques ou plus simplement techniques. Nulle garantie n’est par conséquent donnée à celui qui serait en quête d’un auteur qui se serait donné la peine de penser pour lui, dûment autorisé à cette fin par l’académie ou, à défaut, par l’opinion du plus grand nombre.

En tout état de cause, libre ou non, le savoir est affaire de curiosité avant que d’être celle d’expérience et de transmission, ne serait-ce que pour répondre à la nécessité de posséder au moins les rudiments du savoir-apprendre qui est aussi, faut-il le rappeler, aussi nécessairement que dangereusement réducteur de liberté de pensée. Rien de plus naturellement et implicitement pratiqué en effet, en matière d’enseignement, que l’encouragement à minimiser la part d’effort personnel à produire pour acquérir de nouvelles connaissances. Tout y concourt : la plupart des maîtres, les média – a fortiori lorsqu’ils sont illustrés –, au détriment de ce qui nous entoure et que nous n’aurions pourtant qu’à observer avec suffisamment d’attention pour en tirer une large partie du savoir propre à satisfaire notre appétit après l’avoir aiguisé.

Et que nul aille déduire de ce qui précède que la libre-pensée, telle qu’elle s’entend ici du moins, néglige ou dédaigne le savoir, fut-il académique. Les clercs dont cette libre-pensée ruine le fond de commerce, idéologique ou simplement marchand, peuvent penser le contraire et ne s’en privent d’ailleurs pas ; selon un trop grand nombre d’entre eux, hors ce qu’ils professent point de salut. L’accumulation des connaissances et leur restitution en état d’être consommées par le plus grand nombre n’est pas inutile, même si leur digestion n’est pas toujours aisée. Leur soif de comprendre dépasse chez nombre d’ignorants, leur capacité d’assimilation même si leur impatience contrarie souvent leur concentration. Mais si se faire sa propre opinion et en vérifier le bien fondé partout où cela est possible est passionnant, et s’il faut souhaiter à qui ambitionne de comprendre autant que faire se peut, de trouver en lui-même, par sa propre réflexion, les moyens d’y parvenir, il est indiqué de ne pas négliger pour autant l’apport de ceux qui l’ont précédé dans l’étude et la connaissance, sauf à gaspiller son énergie et risquer bâtir sur du sable.

Il est toutefois regrettable que l’objectif des détenteurs de savoir soit davantage de convaincre que d’inciter à réfléchir. C’est la raison pour laquelle il est tenté ici, peut être avec une certaine candeur, de démontrer que cela est possible à ceux qui en doutent ; soit parce qu’ils sont sceptiques, soit parce qu’ils ont tout simplement la paresse qui fréquemment explique leur ignorance. Car oui, la libre-pensée est permise à l’ignorant ; elle lui est même permise davantage qu’au savant, surtout quand ce dernier est un spécialiste. L’ignorant est même l’archétype du libre-penseur. La libre-pensée est en elle-même, source de savoir, à condition toutefois que celui qui entend la pratiquer soit suffisamment curieux, indépendant et passionné (ou inconscient, ce qui revient au même) pour aborder autant les faits que les impressions, et qu’il s’avère inlassablement prêt à remettre en cause les enseignements qu’il en tire. Non pas que la libre-pensée passe par l’universalisme ou le positivisme, qui ont démontré leurs limites, mais simplement parce que plusieurs vérités valent mieux qu’une et qu’elles sont toutes nécessaires, par définition, à qui est en quête de synthèse.

L’apprenti libre-penseur doit se garder d’en rester au sommaire. Il en est de la libre-pensée comme de la connaissance : il y a ceux qui savent tout au sujet de rien, ce qui est trop souvent le cas des spécialistes les plus éminents, et ceux qui ne savent rien au sujet de tout. Il existe un immense espace intermédiaire dans lequel peut trouver son bonheur qui veut s’efforcer de comprendre l’essentiel. Cela ne va pas sans risques, dont le premier est de se tromper, mais nous y reviendrons.

Citations, aphorismes, pensées et maximes émanant d’auteurs les plus divers faisant autorité pourront parfois simplifier la tâche. A condition toutefois d’y avoir recours comme à une insuffisance acceptée et parfois voulue. Chaque extrait sera alors considéré comme tel et non comme le résumé d’une pensée – fut-elle l’expression d’un système ou d’une doctrine – ; comme un simple éclairage parmi d’autres, du sujet concerné.

Chacun aura compris qu’il n’est pas davantage dans les possibilités que dans les intentions de l’auteur de s’ériger en maître-penseur. Tout au plus, en prosélyte du libre arbitre, suivra-t-il une méthode qu’il a personnellement et longuement pratiqué, consistant à passer en revue un ensemble de sujets dont la relation n’est pas toujours évidente à première vue mais qui aboutissent pour lui à un tout. Chacun pourra librement s’en inspirer, en se réservant de critiquer autant le choix de ces sujets que leur développement, et en faire éventuellement l’objet de ses propres réflexions. Sans omettre toutefois de considérer cette invitation comme le contraire d’une manière d'entraîner autrui à adhérer à de quelconques convictions (et erreurs).

Que nul ne s’attarde d’ailleurs à de telles considérations. Qu’il pense plutôt à l’intérêt, apparemment paradoxal, pour la libre-pensée, du manque de compréhension de la pensée d’autrui ou même du niveau d’instruction pouvant conduire à ne pas connaître le sens exact des termes d’un discours, écrit comme parlé. Le lecteur assez ignorant pour cela mais suffisamment curieux pour ne pas s’y arrêter, est amené à opérer sa propre interprétation, telle qu’elle peut notamment découler d’un sens général, filtré par sa propre culture – ou inculture – pour se l’approprier … ou le rejeter. C’est à partir de ce qu’il pensera, par lui-même et avec l’aide éventuelle de qui il choisira comme guide, qu’il parviendra à sa propre compréhension de ce qu’il souhaite pénétrer, cette compréhension fut-elle erronée. Sa curiosité le conduira tôt ou tard à s’en rendre compte et à reconsidérer ce qui aura lieu de l’être, ce qui ne va pas sans participer à la construction de sa propre pensée ni ne constitue jamais un vain effort. Bien entendu, des déviations, des malentendus, des approximations, peuvent résulter d’un tel exercice, mais n’est-ce pas là, justement, une manière de pratiquer une authentique libre-pensée ? Quoiqu’il en soit, le libre-penseur peut avoir une conviction, s’il lui est permis d’en avoir une seule : celle d’être contesté par tous ceux qui ont leurs certitudes et à défaut celles des autres. Il le sera en tout état de cause par la plupart de ceux qui adhèrent, de bonne foi ou par calcul, à une pensée partagée d’avance. Rien n’est en effet pire pour eux que celui qui a l’outrecuidance de chercher par lui-même ; c’est l’individualiste maudit, autant par ceux qui se satisfont des idées toutes faites et qu’il met en accusation, que par ceux qui les leur concoctent et qu’il ose ainsi défier.

Réactive par nature, et un temps réduite – comme déjà souligné – à l’anticléricalisme, la libre-pensée a élargi son champ d’application et tend dorénavant à l’anti-dogmatisme, en réaction aux idéologies et aux credo en lesquels elles se sont trop souvent stratifiées. Ceci explique que dans un univers se flattant de la plus grande ouverture aux idées nouvelles, la libre-pensée se fasse de plus en plus rare. Nombreux sont ceux qui, sans même s’en rendre compte et souvent persuadés de faire au contraire preuve de liberté, rallient un système de pensée préfabriqué. Il en est comme de l’imagination qui, atrophiée, alourdie par une pléthore d’idées désormais incontrôlables, est de moins en moins capable d’élaborer, de produire, en dehors des règles de la bien-pensance. Voilà la véritable source de l’idéologiquement correct, conduisant aux affligeants mais plus répandus encore politiquement et scientifiquement corrects.

« Ce qu’on qualifie d’opinion commune est, à bien l’examiner, l’opinion de deux ou trois personnes ; et c’est de quoi nous pourrions nous convaincre si nous pouvions seulement observer la manière dont naît une pareille opinion commune. Nous découvririons alors que deux ou trois personnes qui ont commencé à l’admettre ou à l’affirmer, et auxquelles on a fait la politesse de croire qu’ils l’avaient examinée à fond ; préjugeant de la compétence de ceux-ci, se sont mis à leur tour à croire ces premiers, car leur paresse intellectuelle les poussait à croire de prime abord, plutôt que de commencer par se donner la peine d’un examen. C’est ainsi que de jour en jour, le nombre de tels partisans paresseux et crédules d’une opinion s’est accru ; car une fois que l’opinion avait derrière elle un bon nombre de voix, les générations suivantes ont supposé qu’elle n’avait pu les acquérir que par la justesse de ses arguments. Les derniers douteurs ont désormais été contraints de ne pas mettre en doute ce qui était généralement admis, sous peine de passer pour des esprits inquiets, en révolte contre les opinions universellement admises, et des impertinents qui se croyaient plus malins que tout le monde. Dès lors l’approbation devenait un devoir. Désormais, le petit nombre de ceux qui sont doués de sens critique sont forcés de se taire ; et ceux qui ont droit à la parole sont ceux qui, totalement incapables de se former des opinions propres et un jugement propre, ne sont que l’écho des opinions d’autrui : ils n’en sont que plus ardents et intolérants à les défendre. Car ce qu’ils détestent chez celui qui pense autrement, ce n’est pas tant l’opinion différente qu’il affirme, mais l’outrecuidance de vouloir juger par lui-même ; ce qu’eux ne risquent jamais, et ils le savent mais sans l’avouer. Bref : rares sont ceux qui peuvent penser, mais tous veulent avoir des opinions et que leur reste-t-il que de les emprunter toutes cuites à autrui, au lieu de se les former eux-mêmes ? Puisqu’il en est ainsi, quelle importance faut-il encore attacher à la voix de cent millions d’hommes ? Autant que, par exemple, à un fait de l’histoire que l’on découvre chez cent historiens, au moment où l’on prouve qu’ils se sont tous copiés les uns les autres, raison pour laquelle, en dernière analyse, tout remonte au dire d’un seul témoin. » (Schopenhauer).


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42 réactions à cet article    


  • raymond 16 août 2013 19:31

    essai, socrate est mort, nous sommes nous face à notre monde qui n’a plus aucun lien avec ces grimoires, que faire ?


    • smilodon smilodon 16 août 2013 21:17

      @ l’auteur : J’ouvre mon dictionnaire à la lettre « A », je commence ma lecture et, arrivé en bas de 1ère page, après le 15ème ou 16ème mot, après la 15ème ou 16ème définition, non seulement je ne tourne pas la page, mais je referme mon dictionnaire !...... Cher « claudec », votre patronyme est-il « ROBERT » ou « LAROUSSE » ???? « MAXIDICO » peut-être ??... En tout cas vous êtes aussi passionnant à lire que tous ces grands noms !!.. Désolé pour le fond de votre article... Mais la forme me semble si rébarbative qu’à la 5ème ligne de votre texte, je décrochais déjà !... Raison pour laquelle je ne vous ferais pas le plaisir d’un 3ème vote !.. En même temps, vu que je n’ai rien lu (ou presque), admettez que c’est honnête de ma part !... Sans rancune !.. Mais ce site doit servir, à mon humble avis, à s’exprimer !.. Faire « court » et faire « clair » !.. Si on ne comprend pas certains mots, y’a les « dico » pour nous expliquer !!.... Dommage... C’était peut-être bien !.... Adishatz érudit !.....


      • Claude Courty Claudec 17 août 2013 08:37
        Par smilodon (---.---.---.119) 16 août 21:17
        Aller jusqu’à la 5ème ligne, avouez que c’est tout de même un peu court pour se faire une idée. Surtout quand le texte est long.
        Merci tout de même de votre avis, dont je m’efforcerais de tenir compte.

      • zelectron zelectron 16 août 2013 21:25

        Enfin quelqu’un qui m’a expliqué clairement ce qu’est la libre-pensée :
        un galimatias dont seul l’auteur se délecte


        • Claude Courty Claudec 17 août 2013 08:44

          Par morvandiau (---.---.---.75) 16 août 21:30

          De toutes les formes de liberté, celle de penser est en tout cas la seule qui ne soit pas limitée par celle d’autrui.
          Si vous avez une idée quant à un tabou ou à un sujet qui lui serait interdits, merci de préciser.

        • Claude Courty Claudec 17 août 2013 17:51

          Par morvandiau (---.---.---.75) 17 août 16:25

          1° - Concernant les idées, la pensée, je n’ai pas de certitudes, tout au plus ai-je quelques convictions. Et pour ce qui concerne les faits, je m’en remets à eux dans la mesure où il sont vérifiables personnellement ou font l’objet de témoignages dignes de foi.

          2° - Pour ce qui est des révisionistes, historiens (? ??) ou autres, ils ont le droit comme quiconque de penser ce qu’ils veulent, et le libre-penseur peut comme quiconque les suivre ou non, mais les uns et les autres ne doivent pas être surpris de voir leurs prises de position contestées, lorsqu’elles contredisent des faits avérés.

          Pas davantage qu’avec le nihilisme, il ne ne faut confondre la libre-pensée avec le négationisme ou le révisionnisme. Je crois fournir quelques précisions à ce sujet dans mon article.


        • foufouille foufouille 17 août 2013 18:05

          le libre-penseur a donc des limites libres
           smiley


        • Claude Courty Claudec 17 août 2013 08:55

          Par Tall (---.---.---.227) 16 août 21:54

          L’article aurait effectivement pu être plus long.
          Je proposerai un résumé.
          Mais à propos, l’intelligence artificielle est-elle compatible avec la libre pensée ?
          Peut-être un chapitre de plus pour une « introduction » que je ferais peut-être mieux de qualifier « Essai de définition ... ».

          • dom y loulou dom y loulou 17 août 2013 12:57

            la paresse intelectuelle voudrait que vous critiquiez le plaidoyer du porteur d’eau sans même avoir les couilles de le dire


            et cela depuis le jour où il fut publié aux frais de l’auteur tant ses propos viendraient heurter une secte de mystifiés vivant uniquement dans la non-pensée de l’ancien testament et dans la mystification de leur être, les rendant incapables d’apprécier la nature humaine

            une lobotomie bien apprise de l’antique Babylone qui regardait les aom comme des chèvres à maltraiter

            l’Histoire est emplie de faits répertoriés dans la LITTERATURE, mémoire de l’humanité

            car laissée à elle-même (surtout arrosée quotidiennement de fluoride destructeur cérébral) la mémoire des aom est apparemment de trois jours...

            la géographie emplie de monuments, telles les centaines de pyramides que « les spécialistes » (lobotomisés eux aussi) ne veulent pas prendre en considération, dans le mépris le plus évident de la notion la plus basique des sciences qui est de tenir compte de l’EXISTANT

            devant un tel déferlement de haine le libre penseur laisse chacun a sa paroisse, surtout si toutes au nom de la paix brandissent armes et bûchers

            en écho fatals d’habitude séparatiste forcenée au lieu de chercher la concorde qui leur apporterait la sécurité intérieure et un monde agréable à vivre

            mais ce n’est pas l’apanage de COLONS 

            en l’occurrence les petits malins qui s’implantent en tant que COLONS DE LA PSYCHE depuis 6000 ans

            et c’est exactement ce que sont les MEDIAS ROTTENCHILDS et du common wealth qui par la voix de la reine des crapauds voulait « retake control of the planet in Copenhagen » en 2009 ...


            une synthèse ne peut que se faire avec des FAITS

            la vérité est une et indivisible, pas faite de notion abstraites invisibles et des fatras mystiques auquel il faudrait croire et que l’on pourrait substituer à d’autres croyances abstraites innombrables

            le seul but pouvant être atteint ainsi serait une guerre mentale incessante

            le but évident des producteurs d’armes qui se goinfrent de nos souffrances


            ces 6000 ans d’histoire sous le joug de la pensée babylonienne qui aime tant voir les chèvres dans la confusion

            hallas les aom ne sont PAS des chèvres

            les sciences sont en les arts la seule à ne tenir compte que des FAITS


            force est de constater que les scientifiques d’aujourd’hui sont aussi mystifiés que destructeurs (commandités par la corporation sataniste militaro-industrielle rottenchilds) et donc LEUR OBJECTIVITÉ EST TOTALEMENT INEXISTANTE


            des faits comme le nouveau pape est un jésuite... ceux-là même qui impriment le dollar à la FED américaine, ne semblent pas laisser perplexe beaucoup de monde, tant le fait de penser est devenu une rareté on dirait

            quelles supercheries nous préparent-ils encore dans leur banqueroute abyssale FORCEMENT REMBOURSABLE EN TRAVAUX FORCES ?

            supercheries telle le pillage actuel de l’or et de la manne apportée par les soutiens à la démocratie directe des suisses pour prétendre une « relance économique » de la machine impériale, en insulte magistrale à tous les soutiens reçus 


            le mental babylonien n’est plus qu’une bulle de savon prête à exploser à la moindre « anormalité »

            comme celle de la fin du smog dans notre atmosphère

            fait merveilleux dont les médias semblent détourner le regard à chaque instant, surtout pas parler du ciel, pire, gommer l’utilité au moins mémorielle du cinéma en renumérisant tous les films pour leur coller des ciels qui n’existaient pas avant 2010

            toujours ces attaques contre la mémoire. étalée evant nous et avec cette stupidité qui nous prend tous pour des débiles mentau comme si on ne souvenait pas des films qu’on adorait alors enfant, certains détruits ayant des ciels qui changent à chaque prise de vue, de la pure destruction d’oeuvres d’art

            cela aussi punissable par la loi en principe mais aucune loi n’est de mise pour la secte des colons de la psyche collective

            une atteinte directe à la psyche des enfants qui n’ont ainsi pas le droit de savoir que la PLANETE SE REGENERE et la destruction-même de la seule utilité que pouvait procurer la vie des acteurs de cinéma

            toute valeur intrinsèque de leur machine est anéantie par leurs propres soins et détourner le regard du ciel est

            symptomatique

            • Claude Courty Claudec 17 août 2013 13:21

              « Essai » ne fait décidément pas davantage dans la libre-pensée que dans la dentelle en nous assénant les vérités de Lénine. Tellement peu libre-penseur qu’il nous entraîne hors du sujet en nous récitant les leçons de son catéchisme marxiste.

              Marx qui pourtant, comme tous ceux qui l’ont suivi, et tout autant que les capitalistes, a oublié l’homme dans ses libres cogitations. Il faut en effet ne pas confondre libre-pensée avec communisme ni avec anarchisme, l’une et l’autre de ces doctrines passant tout bonnement sous silence le fait démographique, comme la plupart des membres de l’élite d’hier et d’aujourd’hui, qu’elle soit de gauche ou de droite.
              Mais puisque « Essai » semble assez s’intéresser à la libre pensée pour être intervenu sur ce fil de discussion, qu’il visite http://claudec-abominablepyramidesociale.blogspot.com il y trouvera une autre vision que celle qu’il emprunte à son parti. Les articles et commentaires publiés sur ce blog sont accompagnés de schémas, à l’intention des visiteurs que décourage la lecture. Il y verra quelle est la véritable nature des maux qu’il dénonce : De la richesse à l’exclusion sociale aujourd’hui et à la barbarie demain, par la démographie.

              • Senatus populusque (Courouve) Senatus populusque (Courouve) 17 août 2013 15:20

                "Ce qu’on qualifie d’opinion commune ...

                Schopenhauer, L’art d’avoir toujours raison, Belval (Vosges) : Circé, 1990, pages 50-51.


                • Senatus populusque (Courouve) Senatus populusque (Courouve) 17 août 2013 15:35

                  Rectif : 1999 ; 1830 pour l’édition originale.


                • Claude Courty Claudec 17 août 2013 15:42

                  Par Senatus populusque (Courouve) (---.---.---.42) 17 août 15:20

                  Merci pour cette précision.
                  Citation entre guillemets, attribuée à qui de droit.
                  Même source, réimprimée en 2004 (pages 48-49)

                  • Axel de Saint Mauxe Axel de Saint Mauxe 17 août 2013 18:10

                    Pour moi la libre pensée c’est une pensée indépendante des dogmes, une manière de penser en observant le monde extérieur sans en référer à une quelconque doctrine reconnue. Elle se fonde sur l’observation de faits naturels ou humains et sur l’experimentation. Aux antipodes de la pensée moderne (théorique et constructiviste) on en tire souvent des conclusions surprenantes.


                    • Claude Courty Claudec 17 août 2013 20:54

                      Je ne vois pas le rapport. Un libre-penseur n’est pas forcément le chevalier blanc volant au secours de la veuve, de l’orphelin et de tous ceux que leurs idées mènent en prison. Il est des penseurs et des apologistes qui la méritent. Le refus du dogme et de l’endoctrinement, ne signifie pas l’acceptation et la propagation de tout et n’importe quoi.

                      Mais soyez plus précis, dites-nous de quoi il s’agit et en quoi la liberté d’opinion a été bafouée.


                      • Axel de Saint Mauxe Axel de Saint Mauxe 17 août 2013 21:39

                        Il s’agit là d’une responsabilité individuelle : l’on est de mauvaise foi ou pas, mais ce n’est pas au pouvoir de décider ce qui doit être pensé et partagé.


                        Les lois d’exception limitant la liberté d’expression doivent être abolies.


                      • exocet exocet 18 août 2013 00:56

                        « La libre-pensée, attitude dont la Grèce est considérée comme le berceau »

                        La Grèce, qualifiée de « première des démocraties », était constituée d’une poignée de citoyens et une armée militaire régnant par la force, la terreur, la torture et la mise à mort sur une armée d’esclaves qui assuraient la vie d’opulence, de luxe et de confort des premiers.

                        Je n’ai pas lu tout platon, ni tout aristote, mais il ne me semble pas que ce deux grands penseurs se soient pesamment opposés à cette exploitation des gens réduits en esclavage dans la « république grecque » d’alors.

                        Tout comme dans l’empire romain, les philosophes en cour n’évoquaient guère le sujet des peuples opprimés et pressurés par l’empire (les « barbares »), ni des esclaves à rome.

                        Cet ancien empire romain a justement servi de modèle dans son organisation à notre « démocratie » actuelle : parlement, sénat, y donnent l’illusion que le peuple (les esclaves qui bossent) sont représentés.
                         
                        Nul besoin, donc, de sortir tout le galimatias de cet article, gallimatias obscur, pour savoir qu’un libre penseur, c’est avant tout quelqu’un qui a l’altruisme et le courage nécessaires (ce point fondamental n’est pas mentionné dans cet article) pour penser et dire, et dénoncer les injustices envers et contre les exploiteurs......sinon c’est un « penseur » à la BHL, chevalier du vent, dont la prose sert les puissants, justement en détournant les regards et les consciences des cris de détresse des opprimés.


                        • Luc-Laurent Salvador Luc-Laurent Salvador 18 août 2013 08:25

                          @ morvandiau

                          Bonne attaque ! Moi non plus, pas surpris de la réponse.

                          @ l’auteur

                          Socrate qui a dû boire la cigüe, c’était bien en Grèce non ?

                          Donc pour moi, vous avez raison la libre-pensée de la Grèce antique car, je me souviens très bien lorsqu’étudiant à Paris j’allais vers la jolie petite rue Mouffetard en passant par la rue des Fossés Saint Jacques.et je jetais parfois un coup d’oeil dans la vitrine du bureau de la libre-pensée, au n°10 selon pagesjaunes.fr.

                          J’étais TOUJOURS horrifié du caractère affreusement sectaire du discours (je n’ose dire pensée) qui s’exprimait là. Qu’on mette ça dans une vitrine me dépassait tant c’était brutal.

                          J’aurais eu alors toutes les raisons de me croire en affinité avec la libre-pensée, me considérant comme un penseur absolument libre, mais j’ai tout de suite vu que je ne pouvais rien avoir à faire avec ce qui m’est apparu comme étant une secte, ni plus, ni moins.

                          L’anticléricalisme forcené des textes donnés en illustration me choquait alors même que j’aurais volontiers penché de ce côté. Je ne comprenais pas sa véhémence et surtout cela me paraissait tellement dépassé !.

                          Je comprends à présent que ce combat anticlérical de la libre-pensée n’est pas inactuel et n’a jamais cessé de l’être.

                          Il fait le lit du Nouvel Ordre Mondial en participant à la destruction des valeurs morales (comme l’a pointé Kant, si j’ai bien compris, la raison et la pensée ne sont pas du même ordre que les valeurs et les choix éthiques. Elles ne peuvent donc y mener. J’en déduis qu’elles peuvent facilement en éloigner smiley).

                          Ceci dit, votre propos ne laisse pas d’être rassurant par son inconsistance et son opacité
                          . A part des égarés qui se payent de mots (libre, pensée, c’est flatteur comme appelation) je ne vois pas trop qui vous allez pouvoir intéresser avec ce que zelectron a si bien désigné comme galimatias.

                          Pour finir, la cerise sur le gâteau ! : dans les pages blanches la « Libre Pensée » est rangée dans : « Activités : associations religieuses... ».

                          C’est pas un signe ça ?


                          • Luc-Laurent Salvador Luc-Laurent Salvador 18 août 2013 08:29

                            erratum  : Donc pour moi, vous avez raison de rapprocher la libre-pensée de la Grèce antique


                          • spartacus spartacus 18 août 2013 09:53

                            La « libre pensée » nécessite de s’affranchir du mimétisme. smiley


                            • Luc-Laurent Salvador Luc-Laurent Salvador 18 août 2013 19:35

                              Tout à fait d’accord, c’est pourquoi il ne faut se garder de la secte de la « libre pensée ».
                              Rien de plus mimétique qu’une secte !


                            • Claude Courty Claudec 18 août 2013 19:46

                              Par Luc-Laurent Salvador (---.---.---.48) 18 août 19:35

                              N’importe quoi ! Ce qui reste à ceux qui n’ont rien à dire, ou qui ne savent pas quoi ils parlent.
                              Allez d’abord apprendre ce qu’est une secte.

                            • Claude Courty Claudec 18 août 2013 10:25
                              @ morvandiau
                              Dommage que vous n’ayez pas répondu à mon invitation en formulant plus précisément votre problème. Nous aurions probablement eu une excellente étude de cas.
                              -----------------
                              En libre-penseur capable de sa propre remise en cause, je crois que la responsabilité d’une mauvaise communication incombe en premier lieu à l’émetteur, mais sa meilleure volonté peut-elle ouvrir des yeux qui ne veulent lire que ce qui leur convient ?

                              Quoi qu’il en soit, et à l’usage de ceux qu’une trop longue lecture décourage ou qui préfère s’en remettre à la parole de leurs maîtres à penser, ci-après quelques extraits de mon article répondant aux derniers commentaires qu’il a pu susciter :

                              - La doctrine étayant souvent le système et ce dernier la légitimant en quelque sorte à son tour, cette relation explique comment, à partir des idées les plus utopiques et même farfelues, peuvent s’établir des théories fondant les plus solides convictions et certitudes. C’est le renvoi du doctrinal au systématique entre lesquels se plaisent tant de consommateurs et propagateurs d’idées toutes faites et autres enfonceurs de portes ouvertes.

                               - A contrario, l’aptitude et la volonté de conception exempte de préalables autres que ceux pouvant naître de l’observation personnelle des faits, sont inséparables de la libre-pensée ; autant que la certitude y est étrangère.

                              - Contrairement à une conception étriquée mais néanmoins assez répandue, la libre-pensée n’est pas seulement d’essence religieuse ou politique. Elle est le libre-arbitre ou l’effort menant à la capacité de se prendre soi-même raisonnablement en charge dans tous les domaines. (sinon dans tous, au moins dans le plus grand nombre possible)

                              - Leur soif de comprendre dépasse chez nombre d’ignorants, leur capacité d’assimilation ... 

                              - La libre-pensée est en elle-même, source de savoir, à condition toutefois que celui qui entend la pratiquer soit suffisamment curieux, indépendant et passionné (ou inconscient, ce qui revient au même) pour aborder autant les faits que les impressions, et qu’il s’avère inlassablement prêt à remettre en cause les enseignements qu’il en tire. Non pas que la libre-pensée passe par l’universalisme ou le positivisme, qui ont démontré leurs limites, mais simplement parce que plusieurs vérités valent mieux qu’une et qu’elles sont toutes nécessaires, par définition, à qui est en quête de synthèse.

                              - L’apprenti libre-penseur doit se garder d’en rester au sommaire. Il en est de la libre-pensée comme de la connaissance : il y a ceux qui savent tout au sujet de rien, ce qui est trop souvent le cas des spécialistes les plus éminents, et ceux qui ne savent rien au sujet de tout. Il existe un immense espace intermédiaire dans lequel peut trouver son bonheur qui veut s’efforcer de comprendre l’essentiel.

                              - le libre-penseur [est] contesté par tous ceux qui ont leurs certitudes et à défaut celles des autres. Il le sera en tout état de cause par la plupart de ceux qui adhèrent, de bonne foi ou par calcul, à une pensée partagée d’avance. Rien n’est en effet pire pour eux que celui qui a l’outrecuidance de chercher par lui-même ; c’est l’individualiste maudit, autant par ceux qui se satisfont des idées toutes faites et qu’il met en accusation, que par ceux qui les leur concoctent et qu’il ose ainsi défier.

                              - Réactive par nature, et un temps réduite – comme déjà souligné – à l’anticléricalisme, la libre-pensée a élargi son champ d’application et tend dorénavant à l’anti-dogmatisme, en réaction aux idéologies et aux credo en lesquels elles se sont trop souvent stratifiées. Ceci explique que dans un univers se flattant de la plus grande ouverture aux idées nouvelles, la libre-pensée se fasse de plus en plus rare. Nombreux sont ceux qui, sans même s’en rendre compte et souvent persuadés de faire au contraire preuve de liberté, rallient un système de pensée préfabriqué.

                              - Pour ceux qui n’auraient toujours pas compris, qu’il lisent attentivement Schopenhauer, tel que cité en fin d’article.

                              • Luc-Laurent Salvador Luc-Laurent Salvador 18 août 2013 19:45

                                J’ai connu des anti-dogmatiques qui étaient absolument dogmatiques sur l’anti-dogmatisme.
                                Il me semble que la libre-pensée est dans cette veine là.

                                Plutôt que d’entendre et discuter les idées d’une personne, on jugera qu’elle est dogmatique et on passera à autre chose...

                                Bref, vous voulez pensez ?
                                Alors pensez en toute liberté, sans penser à la « libre pensée » et ses dogmes


                                • Claude Courty Claudec 18 août 2013 19:58

                                  Par Luc-Laurent Salvador (---.---.---.48) 18 août 19:45

                                  En tout cas, c’est ce qui s’appelle noyer le poisson plutôt que débattre.
                                  Ceci dit, et puisque le sujet semble vous intéresser, en attendant « la construction sociale de la réalité », invitation à voir de qu’est la « réalité de la construction sociale » selon un libre-penseur.
                                  Les articles et commentaires qui sont publiés sur ce blog sont accompagnés de schémas, à l’intention des visiteurs que décourage la lecture.

                                • franc 18 août 2013 20:37

                                  Article un peu long mais néanmoins intéressant qui peut paraitre rébarbatif pour certains mais pas pour moi ;

                                   

                                  je voudrais apporter une nuance entre la liberté de pensée et la liberté d’opinion,car un pensée n’est pas tout à fait identique à une opinion ;

                                  Une pensée est une activité de l’esprit pour la recherche d e la vérité suivant les critères de la raison de nature logique ou expérimentale ;Elle débouche sur une opinion qui à défaut d’être certainement vraie du moins est réfléchie avec une certaine sincérité dans la recherche d ela vérité

                                  Une opinion est un état de l’esprit qui résulte soit à la suite d’une pensée ou d’une réflexion sincère à la recherche de la vérité soit de l’acceptation d’un préjugé c’est à dire d’une idée acceptée sans réflexion sans une élaboration d’une pensée raisonnée , une idée imposée dogmatiquement sans raisonnement personnel.

                                  Une pensée comme une opinion peut être vraie ou fausse ,mais une pensée relève de l’activité d ela raison et donc ne débouche pas à un résultat définitif nécesairement puisque la raison peut être en activité et éveillé à tout moment et recommencer sa pensée tandis que l’opinion est un état définitif relevant plus du dogme et du préjugé que de l’activité de la raison ,dogme et préjugé n’inciant pas à se remettre en cause .

                                   

                                  d’où il suit que la liberté de pensée doit être totale et absolue car elle est le moyen de la recherche d ela vérité et donc bénéficie du m^me coup de l’absoluité de celle-ci ,tandis que la liberté d’opinion n’est que relative, relative à la vérité de celle-ci ,une opinion démontrée fausse avec une certitude absolue ne devant pas être tolérée du moins quant à ses conséquences en acte.La liberté de pensée ne débouchant pas à une opinion définitiv e puisqu ’une pensée est une recherche de la vérité peut recevoir le caractère d’absolu ,la recherche d ela vérité conférant à la liberté de pensée son absoluité .

                                   Car la liberté de penser ce n’est pas de dire nimpote quoi ,d’accpeter le faux comme le vrai,mais de rechercher le vrai et de combattre le faux ;La liberté de pensée ne doit pas déboucher sur le nihilisme 

                                   

                                   

                                   


                                  • Claude Courty Claudec 18 août 2013 22:17

                                    Par franc (---.---.---.253) 18 août 20:37

                                    Merci pour ce distinguo indispensable entre liberté de pensée et liberté d’opinion. La confusion est en effet facile et fréquente, comme cela a eu lieu dans ce fil de discussion. Cette précision manquant à mon article, je ne manquerai pas de l’y ajouter (quitte à l’allonger encore).

                                  • Claude Courty Claudec 18 août 2013 22:59

                                    Maintenant que vous nous avez mis en appétit et après vous être tant fait prier, peut-être consentirez-vous à nous en dire un peu plus..

                                    Qui est Robert Faurisson ? Pourquoi est-il jugé ? En quoi son cas intéresse-t-il la liberté de penser ? (excusez mon ignorance).

                                    • Claude Courty Claudec 19 août 2013 09:39
                                      Par morvandiau (---.---.---.75) 19 août 05:38

                                      Je vis dans le monde libre de la libre-pensée, aussi loin que possible des idées autour desquelles se rassemblent comme des mouches ceux qui sont incapables de faire autre chose.

                                      Nulle surprise quant à vos références et au motif éminemment partisan de vos interventions. Je ne me laisserai pas entraîner sur un terrain aussi nauséabond.

                                      Ce qui vous y situe, de même que le « célèbre » sieur Faurisson, relève de la liberté d’opinion et non de la liberté de pensée. Je ne peux faire mieux que de vous renvoyer à la contribution de Franc et aux réponses que je lui ai faites.

                                    • Claude Courty Claudec 18 août 2013 23:08
                                      @ Franc

                                      Ci-après le chapitre que je pense ajouter à mon article, suite à vos remarques. Je n’ai pas développé autant que vous le faites, pour rester dans mon propos, qui se limite à tenter de définir la libre-pensée.

                                      « Il y a lieu d’être attentif à ne pas confondre liberté de pensée et liberté d’opinion. La libre-pensée recherche la vérité, en l’absence de toute doctrine et préjugés. Une opinion peut résulter du fait de penser (se forger une opinion) mais peut aussi être admise telle qu’elle existe en tant que résultat de la pensée d’autrui, ce qui est notamment le cas d’une opinion partisane, d’un dogme, d’une doctrine.

                                      Une pensée, comme une opinion, peut être vraie ou fausse, mais à la différence d’une opinion née de la libre-pensée, donc du raisonnement et de ce fait toujours sujette à remise en cause, une opinion acquise, surtout si elle est doctrinaire, ne peut être contestée. Sauf à réviser la doctrine, raison pour laquelle les partis, les religions, les sectes, etc. condamnent la libre-pensée) »

                                      • franc 19 août 2013 16:09

                                        Mr Claudec ,je n’ai pas tout à fait le m^me avis que vous sur le cas de Mr Maurisson et sur le révisionnisme en général en histoire ,mais cela est mon avis et il est aussi discutable.

                                        je pense que Mr Faurisson relève de la liberté de pensée tout autant que d’opinion ,car d’abord l’histoire n’est pas une science exacte et d’autre part il me semble que Mr Faurisson est un universitaire qui a fait des recherches sur le sujet peut-être plus ou moins orientées suivant son idéologie mais néanmoins doit pouvoir être recevable comme une pensée élaborée et réfléchi avec un certain raisonnement non négligeable m^me si il n’apporte pas de preuves certaines et absolues ;mais du côté opposé non plus il n’existe pas de preuves d’une certitude absolue comme la vérité mathématique ou découlant d ela méthode expérimentale .Il existe donc un doute possible aussi minime soit -il mais existant quand m^me pour un cartésien procédant au doute méthodique.Par conséquent ,à mon avis ,la liberté de pensée doit pouvoir lui être appliqué .

                                        L’existence du génocide des juifs par les gaz dans des camps de concentration nazis ne me semble pas avoir la m^me certitude absolue que le fait que la terre est ronde et non plate . Par exemple j’ai déjà vu des reportages sur les chambres à gaz dans un camp ,et on a montré les tas de cheveux comme étant ceux des prisonniers avant d’aller prendre la douche pour y être gazé ,mais pour moi cel a n’est pas une preuve suffisante et certaine que cela passe ainsi ,les cheveux pouvant être mis soit après la libération du camp soit que effectivement ces cheveux appartiennent bien aux prisonniers du camp mais néanmoins cela n’implique pas mathématiquement qu’ils sont conduits après pour être gazé car je ne l’ai pas vu d e mes propres yeux ou que cela n’est pas démontré expérimentalement et mathématiquement ;cela est probable et m^me très probable qu’il en soit ainsi mais néanmoins cela n’est pas d’une certitude absolue mathématique ou expérimentale .D’où le doute cartésien.

                                        j’irais encore plus loin ,car j’ai une conception de la liberté de pensée très large et le plus large possible ;Je dirais que m^me une opinion ou une pensée démontrée vraie avec une certitude mathématique ou expérimentable doit pouvoir aussi être remise en cause,bien sûr si elle est vraie sa remise en cause ne durera pas longtemps car l’activité critique de la raison s’apercevra qu’effectivement elle est vraie et m^me sortira encre plus vraie par la vérification et la revérification par la raison ;Il arrive que m^me dans un livre de mathématique où il est sensé contenir que des propositions vraie il se soit ttrouvé des erreurs dans les démonstrations .Donc m^me une proposition ou théorème mathématique doit pouvoir être remise en question et redémontré mathématiquement par la raison ;

                                        par exemple on peut remettre encause non pas lthèse de Gödel de l’incomplétude mais la démonstration sous forme mathématique de cette thèse ,car en fait cette thèse n’est pas un théorème démontrée mauis une thèse axiomatique indémontrable.

                                         


                                        • franc 19 août 2013 16:59

                                          Je voudrais encore préciser dans le détail et la pratique la différence entre la liberté de pensée et la liberté d’opinion dans un exemple concret ;

                                          par exemple le fait de dire que la terre est plate est une opinion ou une pensée dans les temps anciens et aujourdhuis assurément une opinion et une opinion fausse avec une certitude absolue ;Est-ce qu’il faut considérer que cela relève de la liberté de pensée ou d’opinion que de dire que la terre est plate ;

                                          dansles temps anciens ou primitifs cela peut être considérée comme une liberté de penser que la terre est plate avec un certain raisonnement avec la connaissance et les moyens insuffisants de l’époque ,en disant par exemple que si la terre est ronde on tomberait si’l’on est en bas ;mais aujourd’huis ce raisonnement ne tient plus avec la connaissance des lois de l’attraction universelle de Newton et en particulier de la pesanteur dirigée vers le centre de la terre ;En plus aujourd’huis on peut vérifier expérimentalement et directement par la vue en s’élevant suffisamment haut au dessus de la terre sur un engin volant comme un avion ,une fusée ou une station orbitale .Donc aujourd’huis dire que la terre est plate ne relève plus d ela liberté de pensée mais de la liberté d’opinion car il est démontré expérimentalement et mathématiquement que la terre est ronde et non plate ,c’est une véritée absolue.

                                          maintenant on peut tolérer ou pas cette opinion ,dans quel cas on peut la tolérer ,dans quel cas on peut l’interdire .On pourrait penser de la manière suivante ,on peut tolérer cette opinion fausse si elle n’entraine pas des maux conséquents pour la société ,par contre il faudrait l’interdire si elle entraine des maux non négligeables pour la société ;Par xemple un individu isolé sans aucune idéologie un peu fada peut toujours dire que la terre est plate ,cela n’entraine aucune conséquence grave pour lui et pour les autres ,dans ce cas on peut tolérer qu’il le dise et qu’il exprime cette opinion que tout le monde ou presque sait qu’elle est fausse. .Par contre si cet individu le dit dans le cadre d’une idéologie ou d’une secte ,et que ette opinion relève d’un préjugé dogmatique d’une secte ou d’une idéologie quelconque ,et qu’en plus cette secte ou cette idéologie condamne tout individu de penser le contraire c’est à dire de penser ou d’exprimer que la terre n’est pas plate ,alors assurément cette opinion fausse doit être interdite en m^me temp que la secte qui l’érige en dogme.

                                          On voit là que la liberté d’opinion n’est pas absolue mais relative ,relative soit à la véracité de cette opinion soit à la dangerosité qu’entraine l’opinion fausse.Par contre la liberté de pensée est absolue et il est m^me permi aux gens qui tiennent une opinion fausse de vouloir démontrer qu’elle est vraie selon un certain raisonnement qui doit néanmoins s’inscrire dans les règles de la pensée rationnelle et donc de l’activité de la raison .Ainsi une opinion fausse peut être interdite de diffusion en tant que telle ,en tant que simple opinion ,mais néanmoins on peut tolérer toute tentative de démonstration ou de raisonnement tendant à vouloir démontrer qu’elle est vraie qui pourrait être considére comme une liberté de penser,cela est est assez subtil comme comme différence entre la liberté de pensée et la liberté d’opinion


                                          • escartefigue 19 août 2013 17:47

                                            Oui  mais souvent il y a beaucoup de platitudes sur une terre ronde . 


                                            ( en dehors des crevaisons intempestives de pneus sous-gonflés )

                                            • Claude Courty Claudec 19 août 2013 21:49

                                              @franc

                                              J’éprouve à vous lire le sentiment qu’il existe deux libres-pensée : l’une de laboratoire ; théorique, définie et délimitée scientifiquement, avec une telle précision qu’elle me semble impraticable par le commun des mortels et une autre, celle que je m’efforce de pratiquer au quotidien. Or c’est au quotidien que là comme en bien des choses il faut décider. J’en reste donc pour ma part, pour faire la différence entre pensée et opinion, à la preuve ou au témoignage tels que communément définis et admis, me réservant de réviser mon jugement s’ils venaient à être démentis.

                                              Ainsi, quand vous écrivez " Mr Faurisson est un universitaire qui a fait des recherches sur le sujet peut-être plus ou moins orientées suivant son idéologie " je réponds que je ne pense pas trahir la libre-pensée en préférant aux conclusions d’un intellectuel endoctriné, le témoignage de ceux qui sont revenus des camps ; de ceux qui les ont libérés ; de certains de ceux qui y ont sévi ; d’un certains nombres d’éléments matériels tels que vestiges de locaux et de véhicules spécialement aménagés, comptabilité de la fabrication du Zyklon B et de sa fourniture à certains camps, etc. Sans compter ce que Nuremberg a pu confirmer et révéler ... et mes propres souvenirs de la guerre.

                                              Sur un autre registre, Les abat-jours en peau humaine tatouée, prélevée sur des corps avant incinération et collectionnés par telle kapo, les vestiges de fours crématoires n’ayant rien de chaudières de chauffage central, ne sont pas non plus de pures inventions. Et pourtant, certains en restent aux rapport rassurants rédigés par des inspecteurs de la Croix-rouge (donc irréfutables), à la suite de visites de camps, soigneusement préparées par ceux qui voulaient que la vérité soit tue.

                                              En attendant, et à défaut de pouvoir assister au fonctionnement de fours qui se sont heureusement éteints depuis longtemps, ou à une opération de gazage, reste à attendre un jugement qui, selon moi, devrait contribuer à l’entretien de notre devoir de mémoire. Si tel n’était pas le cas, il me restera à réviser mon opinion, en libre-penseur.


                                              • exocet exocet 21 août 2013 12:46

                                                « Sur un autre registre, Les abat-jours en peau humaine tatouée, prélevée sur des corps avant incinération et collectionnés par telle kapo »...

                                                Claudec, je m’en voudrais de briser votre enthousiasme, mais pour exercer la libre pensée sur un sujet, il est au premier chef nécessaire de disposer d’informations exactes et vérifiées, informations sur lesquelles pourra s’appuyer le raisonnement.

                                                Ainsi, par exemple, je ne pense pas être contredit en affirmant que pour chaque baraquement (de camp de concentration) dans lequel des juifs étaient emprisonnés, les kapos...étaient le plus souvent des prisonniers juifs eux aussi.
                                                Je peux citer les sources multiples et concordantes trouvées sur le net, et n’ai pas connaissance qu’aucun historien conteste ce fait..
                                                Je vois donc mal, de fait, un prisonnier, obligé de surveiller ses camarades, se livrer à ce genre d’horreurs, même si la brutalité de certains kapos a été révélée après la libération des camps.

                                                En ce qui concerne le concept des « abat-jour en peau humaine », je suis un peu gêné de parler d’un concept aussi horrible, aussi inhumain, sorti de Dieu seul sait quelle imagination infernale, mais là aussi, si on fouille un peu le net, aucun des sites d’anciens déportés, à ma connaissance, n’évoque ça....

                                                Et voilà, si on essaie d’exercer la libre pensée à partir de postulats de base doûteux, c’est comme si on introduit dans un ordinateur des données de base fausses : le résultat du calcul sera faux.


                                              • Claude Courty Claudec 21 août 2013 15:24
                                                Par exocet (---.---.---.237) 21 août 12:46

                                                Relisez mon article, les extraits que j’en fourni en cours de discussion ainsi que les posts spécialement dédiés à cet aspect de la libre-pensée, et vous constaterez que les faits sur lesquels se fonde une opinion et leur vérification, par témoignages ou autrement, y sont considérés comme essentiels.

                                                Par ailleurs, mon étonnement est d’autant plus grand face à la surprise que vous dites éprouver en apprenant le goût pour les tatouages humains qu’ont pu manifester certains gardiens de déportés, que vous semblez être un l’internaute averti . Puisque vous êtes aussi soucieux de vérité, donc d’information, vous devriez commencer par consulter Internet avant de donner des leçons.

                                                Si vous n’êtes pas en âge de vous souvenir de son procès et des compte-rendus auxquels il a donné lieu, vous pourriez vous faire une idée des agissements d’une certaine Ilse Koch à ce propos, tout simplement en questionnant sous ce nom n’importe quel moteur de recherche et en tout cas celui de Google. En prenant la précaution de n’en pas rester à une seule occurrence.

                                                Bien sûr, tout est contestable, d’autant plus que le temps effectue son œuvre, mais vous ne pouvez user d’un argument comme celui consistant à ergoter sur le fait que j’ai employé le terme de Kapo (volontairement et dans le sens plus général de garde chiourme et tortionnaire). En tout état de cause, les kapos n’étaient pas, comme vous l’écrivez, des détenus juifs, mais plus souvent des détenus de droit commun qui bénéficiaient ainsi d’un statut relativement amélioré, quitte à se montrer plus inhumains que leurs maîtres. (cf. nombreux témoignages de déportés).

                                              • Claude Courty Claudec 20 août 2013 05:39
                                                @ franc
                                                Je reviens vers vous à propos d’un détail qui me paraît le mériter.
                                                Vous écrivez : « l’histoire n’est pas une science exacte ... ». Pourquoi ne pas dire qu’aucune science n’est aussi exacte que les scientifiques aimeraient nous le faire croire – tout en se contredisant les uns les autres ?
                                                Mais là n’est pas l’important. Pour ce qui nous occupe ici, ce qui est nié n’est pas l’histoire - qui se situe bien au-dessus des élucubrations des intellectuels les plus brillants, raison pour laquelle ils n’ont jamais fini de l’écrire - mais de simples faits, auxquels le vulgum pecus est confronté avec ses seuls moyens d’appréciation, ce dont ne manquent pas de profiter les grands esprits pour propager leurs fantasmes. Chacun n’est-il pas dès lors réduit , ou à les croire benoîtement, ou à exercer ses facultés personnelles ; à activer librement ses idées, pour tenter de distinguer le vrai du faux et se faire librement son opinion ?

                                                • Claude Courty Claudec 20 août 2013 12:51
                                                  @ morvandiau
                                                  J’ai parcouru, avec moins d’intérêt qu’il vous en a fallu pour la constituer, l’impressionnante somme de vos documents de référence.
                                                  Quelques remarques :
                                                  . Difficile de distinguer le révisionnisme de l’antisémitisme, dans ce qui a vous a guidé.
                                                  . Il y manque le minimum d’éléments contradictoires pour en rendre la consultation édifiante.
                                                  . Si ce sont là vos seules lectures, je crains que vous ayez un problème d’ordre phobique.
                                                  . Pour tenter de le soigner, sachez qu’il existe au moins autant de témoignages contraires à ceux que vous produisez. il suffit d’interroger n’importe quel moteur de recherche pour en prendre connaissance.

                                                  En libre-penseur, j’en reste à l’opinion que je me suis faites, par les moyens et pour les raisons exposées par ailleurs, non pas – je le rappelle – pour prendre part à un débat qui m’intéresse assez peu quant au fond, l’ingéniosité de l’homme en la matière étant sans limite, mais pour illustrer ce qui me paraît être la libre-pensée.

                                                  • Claude Courty Claudec 20 août 2013 20:38

                                                    @ morvandiau

                                                    Méthode et philosophie me paraissent des qualificatifs bien disproportionnés, mais si vous y tenez, vous pouvez vous faire une idée des sujets que je cultive, à ma manière, en allant sur l’un ou l’autre de mes blogs, via le lien conduisant à mon site perso, tel qu’il figure sur ma page de présentation Agvx.

                                                    • Claude Courty Claudec 21 août 2013 07:24
                                                      Précision : La distinction entre libre-pensée et liberté d’opinion implique, pour le libre penseur :
                                                      1° qu’il ne fasse sienne l’opinion d’autrui, d’où qu’elle provienne, qu’après l’avoir dûment critiquée.
                                                      2° Qu’il n’ait d’opinion définitive sur rien, avec le risque que ce soit pris, bien à tort, pour du nihilisme.
                                                      Conclusion pour moi de ce fil de discussion, avant réécriture de mon article – manifestation, s’il en est, de ce que peut être la libre-pensée.

                                                      • franc 21 août 2013 15:24

                                                        Je ne suis pas pas d’accord avec vous Mr Claudec quand vous dites qu’il n’ y a aucune science exacte ,il y a au moins deux sciences exactes ,la science mathématique logique associée à la méthode axiomatique formelle (Hilbert) et la science physique expérimentale associée àla méthode expérimentale (Claude Bernard) ;mettez vous en doute le principe d’identité A=A,ou que la terre soit ronde .En fait il n’ ya que ces deux méthode s ,la méthode axiomatique formelle mathématique et la méthode de vérification expérimentale physique pour arriver à une connaissance certaine de la vérité .

                                                        les témoignages des êtres humains m^me des personnes réputées le splus honnêtes ne peuvent être considéres comme des vérités absolues et irréfutables ,car personne n’est parfait etles êtres humains peuvent mentir dans certaines situations exceptionnelles et le plus souvent ils mentent pour protéger leurs intérêts individuels ou communautaires

                                                         et à supposer m^me la vérité de l’existence des abat-jours à peau humaine prélevée sur des corps avant incinération cela n’implique nullement de manière logique et mathématique que ces personnes dont la peau avaient été prélevée aient été gazés et encore moins qu’il y ait un gazage systématique de tous les prisonniers des camps ,,là encore il ya un doute possible selon la méthode expérimentale ou selon la méthode mathématique

                                                         

                                                        d’autre part le fait que vous ne mettez aucun doute et cela de manière absolu sur le système de gazage des juifs dans les camps les camps de concentration alors que vous n’ étiez pas là pour le voir de vos propres yeux contredit votre propre pensée contenue dans votre dernier commentaire revendiquant votre statut de libre-penseur à savoir je cite :

                                                        « 1° qu’il ne fasse sienne l’opinion d’autrui, d’où qu’elle provienne, qu’après l’avoir dûment critiquée.
                                                        2° Qu’il n’ait d’opinion définitive sur rien, avec le risque que ce soit pris, bien à tort, pour du nihilisme »
                                                         
                                                        surtout le 2° qui contredit votre opinion définitive sur la shoas .
                                                         
                                                        mais vous avez la liberté d’opinion comme d’autre aussi ont leur liberté d’opinion .

                                                        • Claude Courty Claudec 17 septembre 2013 09:40

                                                          Par franc (---.---.---.253) 21 août 15:24

                                                          Le sujet de ce fil de discussion étant classé, c’est avec retard que je vous lis et vous réponds, ce dont je vous prie de bien vouloir m’excuser.

                                                          - Qui a prétendu que les « fournisseurs » de peau tatouée ont été tués (il faut espérer qu’ils l’ont été avant prélèvement) par les gaz ?
                                                          Qui a dit que TOUS les prisonniers des camps avaient été SYSTEMATIQUEMENT gazés ?
                                                          Votre lecture ne serait-elle pas quelque peu déformée par vos convictions ?

                                                          - Me situant à un bien modeste niveau de la pyramide du savoir, les sciences auxquelles vous attribuez l’infaillibilité ne sont pas à ma portée. Ne pouvant les prendre en compte dans mon raisonnement je m’y résigne, tout en m’efforçant, avec ce qui m’est accessible, de me forger mes convictions et de les assumer – toujours prêt à en changer le cas échéant – plutôt que de risquer être la victime des certitudes d’autrui.

                                                          - Quant à prétendre fonder son opinion à la manière de Saint Thomas, cela ne conduit-il pas à la négation pure et simple d’une histoire dont nous n’avons bien évidemment pas pu vivre tous les évènements ?

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