« Jouer » avec les petits Garçons… Bacha Bazi
Bacha Bazi en Persan veut dire « jouer avec les enfants » ; en Afghan, et cette petite différence sémantique à sa valeur cela veut dire « jouer avec les garçons ». En clair, et ce depuis des lustres, ces fières guerriers déguisent en filles de jeunes garçons âgés de 8 à 18 ans, les font danser devant leurs amis, puis… Ces pauvres mômes se font sodomiser à la chaine.
La « haute société » masculine afghane porte aux nues la compagnie de ces « garçons imberbes », cela est un signe de prestige et de pouvoir d’en posséder un. Pour ces pauvres êtres, c’est prostitution, viols en série, parfois assassina et enfin, à 18 ans, devenus enfin « un homme », le rejet par la même société où ils furent encensés… Chez nous cela s’appelle pédophilie, mais dans cette belle contrée cela s’appelle Bacha Bazi…
Pourtant la loi du code pénal est claire en Afghanistan :
- Adultère, pédérastie, violation de l’honneur Article 427 : 1) - Une personne qui commet l’adultère ou la pédérastie sera punie d’un long emprisonnement. 2) - Dans l’un des cas suivants, la commission de l’acte spécifié précédemment est considéré comme une circonstance aggravante : Dans le cas où la personne contre qui le crime a été commis avait moins de dix-huit ans… De plus, la loi islamique (Charia), qui criminalise les actes homosexuels avec pour sanction maximale la peine de mort. -[1]
Hier soir sur TV5, j’ai regardé ce documentaire La danse des garçons Afghans[2]. Concernant la prise en main, le dressage, puis la mise sur le marché de la prostitution de jeunes garçons issus de milieu très pauvre. Des « macs » - voir, cet homme Dastager sur la photo ci dessus avec sa tète de merlan frit, mais face camera entrainant un gamin nommé Shafiq de 11 ans dans sa voiture ; un autre, fier « guerrier » ancien commandant qui avoue coucher avec des garçonnets alors qu’il est marié et père de famille, derrière lui de manière ironique trône une photo encadrée du commandant Massoud ; un 3eme, un petit brun moustachu, l’air chafouin va draguer à la rivière, là, ou des gamins très jeunes viennent se baigner ; pour parfaire l’immondice, cette ordure de Dastager, qui nous confie avoir au moins couché avec 1.000 enfants et qui fut en son temps chef des moudjahidines, est le propriétaire d’un magasin de cerfs volants, jouets très prisés par les petits garçons de ce pays… De plus, on peut voir ses « potes » pédophiles venir draguer devant son magasin… C’est à gerber !
Najibullah Quraishi le journaliste, est celui qui réussit à faire parler cette bande de saloperies ; à un certain moment dans la voiture Dastager en rigolant nous plonge dans l’innommé à propos d’un de ses ex pensionnaire : « Tout le monde buvait et tous ceux qui en avaient envie allaient dans la voiture et le faisaient. Il était allongé là, il ne bougeait même pas… Il était vraiment beau ! »…
Se poser la question : mais que font les Nations Unies, les organisations pour l’enfance, les Américains, les français, Karzaï ? … Non pas lui, l’est trop pourri de l’intérieur. Cette situation qui se développe, car, selon ces « guerriers », ils pratiquent la pédophilie par ennui, et accessoirement par tradition… Quelle belle société ! Seulement capable de former des hommes aux armes, qui, un semblant de paix venu ne trouve rien de mieux d’exploiter et parfois tuer des enfants de moins de 18 ans. Ne parlons même pas de la situation des femmes de ce pays, que je dois vraiment qualifier de merde !
Corruption, châtiments corporels, mutilations, acide envoyé au visage de pauvres gamines de 12 ans mariées à de vieux d’égueulasses qui parfois aussi pour faire bonne mesure sodomisent un autre pauvre môme de sexe mâle cette fois ci afin de faire bonne mesure et d’atteindre les tréfonds de l’ordure. Quelle société ! Où, nous les occidentaux n’avons rien à y faire, laissons les s’entre-étriper entre eux ; ça nous coute un bras et en plus ils nous crachent dessus. Ca doit faire un drôle d’effet pour une mère de soldat, un père, une famille d’avoir perdu l’un des leurs pour une telle cause… Putain, si cela m’était arrivé je ne m’en serais jamais remis ; participer à ça, pour ça !!! Sans compter les milliards du trafique d’héroïne… Putain de mordel de berde !
L’Islam est très clair sur le point concernant les mœurs[3] : voici une explication par Abdelwahab Bouhdiba qui aborde la question des interdits islamiques. Il distingue les relations licites (halâl) des relations illicites (harâm) ; le mariage légal (nikâh) de l’adultère / la consanguinité / l’inceste, la pédophilie et la pédérastie (zinâ).
Les Zinâ et plus particulièrement l’homosexualité qui à ce jour dans certaines parties du globe est punie très sévèrement par des peines de prison dans le meilleur des cas, jusqu’à la pendaison chez les dingos Iraniens. Il est bon de souligner qu’en cas de pédophilie homme/petite fille bien souvent se résout par une somme d’argent, alors, que la loi se voudrait plus sévère pour les cas de pédophilie homme/petit garçon… Quant aux homosexuels ? Mieux vaut être lesbiennes que gay ; pour les femmes ça prête presque pas à conséquence, pour les hommes c’est une autre paire de manche… De burnous. Quant aux trans… ??? Je me dis que ça ne doit pas être facile-facile d’être musulman tous les jours…
Ce documentaire m’a ouvert les yeux sur un aspect de l’humanité qui je dois l’avouer (et heureusement) me restait inconnu, la pédophilie. Les dernières images du film se concentrent sur la danse d’un jeune éphèbe, qui, en voix off on l’apprendra, sera assassiné, car, histoire de jalousie, histoire d’un refus, histoire d’égo ; histoires glauques… Il avait 17 ans.
Depuis des décennies ce pays est en guerre, alors, peut être est ce cela le basculement vers la paix ; des hommes désormais désœuvrés, ne connaissant que la guerre, le sang, les morts. Un sas de passage vers le repos du guerrier ? Et l’immondice !
Georges Zeter/septembre 2012
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