L’archipel philosophique de l’intrication quantique relativiste
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Si la science permet à l'homme de penser le monde, il est un monde que la science permet parfois à l'homme de se figurer, c'est celui de sa propre grandeur. En son temps, Nietzsche démontrait déjà par l'intermédiaire de Zarathoustra que l'homme est d'une puissante puissance, enfin pourvu qu'il discourt en ce sens.
Au-delà des simples défis techniques et conceptuels, expérimentaux, le véritable enjeu de la science moderne est d'apporter à l'homme une élévation contextuelle de sa philosophie et de ses ambitions ontologiques. Elever les critères de nos perceptions vers davantage de réalisme, d'emphase, en somme relancer la validité de ce que Heidegger définissait comme "La" seule et unique vraie question utile, à savoir : "ne pas avoir été présent" ou "s'être considéré étant dans un état présent" ? Cette dynamique, en fait l'héritage philosophique de la métaphysique, associée à la logique Nietzschénne de la puissance de l'être, puis couplée à la mention du Guai savoir, et enfin enrichie à l'uranium critique de Kant, donne naturellement corps à cet élan fédérateur -quasi eschatologique- que je présente : une perspective à la fois philosophique et mathématique du concept d'humanité. Croiser la dialectique sophistique des lumières allemandes avec celles de l'ethnologie et de l'anthropo-cosmie contemporaine est, en tout état de cause, l'avenir propre de tout progrès scientifique sensé. Depuis maintenant plus de trente ans, je mets en place une série de programmations intellectuelles dont le but est de définir philosophiquement cette complexité, et d'offrir au monde, petit à petit, une synthèse utile, l'éclairage universel que notre époque désire si ardemment recevoir, fût-ce encore largement enfoui dans l'inconscient collectif : définir l'état de l'être, dans l'état... Une mission pour laquelle je me suis engagé a apporter tout mon concours, et ce, je l'espère, avant que le temps n'en vienne à entamer les ressources de ma puissance cérébrale si singulière. Puissance dont je suis capable d'user à volonté et dans des proportions choisies au quotidien. Là par exemple, pour cette introduction, je ne me sers que d'un tiers de mes capacités mentales.
Au-delà de l'imbroglio philosophico-mathématico-onto-dialectico-culino-ethnico-politique que je suis l'un des seuls à comprendre à ce niveau, au delà de l'univers macrocosmique de mes réflexions et de leur portée, demeure dans le cadre plus restreint de la seule science, un écueil expérimental fascinant. Je le définis personnellement comme un insert cosmogonique particulier. Ontologiquement : une brèche. On appele aussi cela, plus communément, l'intrication quantique. J'utilise pour circuler dans ces galeries conceptuelles, un système intellectuel de va et viens transversal décomposé. En effet, si les champs relativistes fonctionnent pour décrire les modèles cosmologiques, ceux de l'univers quantique reposent sur des critères très différents. Bien qu'on puisse croiser quelques composantes, comme la présence de constantes géométriques trans-dimensionnels par exemple -sphères et spirales notamment-, l'omniprésence du ratio Phi à toutes les échelles, l'abondance de mouvements dynamiques éléctro-gravitationnels cohérents de part en part, plus la surreprésentation, en masses - des quarks aux galaxies- de ce qu'on appelle le" vide", nous ne trouvons toujours pas de point commun significatif, aucune analogie utile entre ces différentes dimensions. Le seul mode opérationnel est donc pour l'instant l'intrication quantique. Il faut pour l'aborder, posséder un minimum de bagage scientifique, il faut être capable de produire des équations complexes en quelques secondes, et avoir en sa possession le compte-rendu de multiples expérimentations en laboratoires pour espérer pouvoir cerner le chœur nano-particulaire d'un tel concept. Car oui, penser l'homme et l'univers requiert un apprentissage, requiert de s'imprégner des dogmes quantiques existants. Le prérequis saugrenu selon lequel notre univers présenterait une homogénéité globale d'une dimension à l'autre, et quoiqu'il est longtemps fait son chemin dans l'esprit des nantis et des sous-éduqués -et surtout des mécréants-, ne présente aucun intérêt. Car en effet, comment ignorer aujourd'hui que l'univers tout entier à été créé pour la seule gloire de l'homme ? Un monde supérieur, divin, l'immensité cosmique, et un monde inférieur, celui de la petitesse atomique, séparé d'une fracture nette, physique et conceptuelle, ontologique, un monde entièrement dissocié de celui situé au-dessous de nous, celui là soumit aux volontés humaines. Car descendants des dieux, au centre de cet univers, limite cathartique et transfigurative : l'Homme. Un homme "en marche", d'ailleurs. Homme qui pourvut de connaissance, saura situer et recevoir les messages divins, ce que Heidegger décrivait comme "l'Illumination", et saura ainsi avancer sur la route de la comprhéension scientifique consensualisée, et saura d'autant mieux, se faisant, réduire le monde au simple usage de ses propres plaisirs.
Au cœur de ces esquifs nébuleux et radioactifs, nuages de concepts abstraits, trouve-t-on le sujet de l'ultra-lumière. En fait le non-sujet, puisque le postulat d'Einstein selon lequel "la vitesse de la lumière ne peut en aucun cas être dépassé dans l'univers", -bien que demeurant en soi une affirmation complètement gratuite et invérifiable- fait loi. La célèbre formule E=mc², quintessence relativiste, limpide mise en œuvre de l'affirmation ingénue qui stipule que "l'intelligence est l'art de ramener le plus complexe au plus simple, et non l'inverse", aura certes permis de nombreuses applications depuis, mais n'aura jamais permis d'opérer les observations nécessaires à la confirmation du célèbre présuposé sur l'infranchabilité du seuil de la vitesse lumière. Mystère de la science, indicible paradoxe du génie à l'état pur, la vitesse de la lumière, intitulée "C" dans l'équation, se trouve pourtant "multipliée" par la masse "M", puis mise au carré... De cela, on déduit l'essence de ce qu'est l'énergie (E)... Au travers de cette réduction ultime, on tente de répondre à la question qui nous anime en fait tous, à savoir... : qu'est-ce qu'un trou noir ? -What's a black hole ? (en Américain)-. Un bel objet d'étude, un axe de recherche vers lequel je n'ai malheureusement pas eu le temps, pour l'instant, de poser quelque formulation utile pour l'humanité. En effet, ce qui retient en ce moment toute mon attention est la recherche de ce pont intriqué entre préceptes quantiques et relativistes. Une galaxie, un astre, une cellule, mais qu'est-ce qui peut bien relier tout ça ? Depuis le centre mystérieux d'un étoile, d'un atome ou d'une galaxie, git un puy sans fond d'énergie. Source ultime et fractalisée de la réalité énergétique de l'univers. Les bases géométriques, mécaniques, dynamiques ou éléctro-gravitationnelles n'étant pas utilisables, car bien trop convenues en termes simples, la recherche continue, et pourvue de disciples au potentiel cognitif aussi avancé que celui dont je dispose, par la grâce de Dieu, nous parviendrons un jour, ensemble -en marchant sur Stockholm s'il le faut-, à inscrire notre nom au panthéon labellisé de la compréhension du monde et de l'univers.
A suivre.
ps : Je tiens d'ores et déjà à dédier mon prochain ouvrage consacré à la philosophie politique (encore à écrire) à la chancelière allemande, pour qui j'ai beaucoup d'admiration. Et à notre nouveau président, dont j'admire aussi beaucoup l'œuvre jusque-là (il est très beau en plus). Je suis ouvert à l'idée de la réalisation d'une préface de leur part. Ensemble, ces deux pays alliés durant toute l'histoire -ou presque- guiderons, par l'intermédiaire du talent et du réalisme de ses représentants politiques, ce navire européen, renforcé par la vigueur retrouvée du tendem Franco-Allemand, vers une Union plus équitable et plus prospère. Propulsera -j'en suis sûr- cette humanité européénne en régression mentale spontanée vers de meilleurs lendemains. Je le crois, et c'est bien là l'essentiel.
Note : lol.
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