L’ARME CLIMATIQUE - La manipulation du climat par les militaires - VOLET N° 2
LES CHEMTRAILS
A ne surtout pas confondre avec les « contrails » - (traînées de condensation), le mot « chemtrails » - (traînées chimiques) , apparaît à l'automne 1990 dans un manuel édité par le département de chimie de l'Académie de l'US Air Force.
Il semble que ce soit la première fois que ce terme est utilisé officiellement. Une fois lancé, ce mot, « chemtrails » fait son petit bonhomme de chemin. Il réapparaît en 2001 à la faveur du projet de loi intitulé le Space Preservation Act, présenté au Congrès sous le numéro HR 2977 par Dennis Kucinich, le représentant du parti Démocrate de l'Ohio.
Section 7 du projet : rubrique « définitions ».
« (B) Ces termes incluent les systèmes d'armes exotiques tels que :
1/ armes électroniques, psychotroniques, ou d'information ;
2/ chemtrails
3/ systèmes d'armes à ultra basses fréquences de haute altitude
4/ armes à plasma, électromagnétiques, sonores ou à ultrasons ;
5/ systèmes d'armes laser ;
6/ armes stratégiques, opérationnelles, tactiques.
7/ armes chimiques, biologiques, environnementales, climatiques ou tectoniques. »
Or, la chambre des représentants, censurera ce rapport, en supprimant les termes « chemtrails » et « systèmes d'armes exotiques ». Le texte définitif sera donc expurgé. Dennis Kucinich est interviewé en janvier 2002 par Bob Fitrakis du journal Colombus Alive. En effet, le journaliste lui demandera pour quelle raison, il a introduit le terme « chemtrails » dans son projet de loi, alors que le gouvernement américain nie l'existence des « chemtrails ».
Dennis répondra : « La vérité est qu'il y a un programme entier au département de la Défense, nommé Vision for 2020, qui développe ces armes. »
Quant au document « Vision for 2020 », sans surprise, la version publique n'apporte aucune précision. Le secret militaire est donc bien gardé, dirons-nous préservé.
Mais si les militaires sont discrets, les industriels eux, avancent de leurs « gros sabots » et le sont beaucoup moins.
En effet, en 1991, David B. Chang et I-Fu Shih, deux chercheurs de la Hughes Aircraft Company, un contractant majeur de la défense américaine, déposent un brevet sous les n° 5003186. Les premières lignes expliquent l'objet de leur découverte :
« Une solution au problème du réchauffement climatique consiste à ensemencer l'atmosphère avec des particules métalliques. Une technique pour répandre ces particules métalliques consisterait à ajouter de minuscules particules dans le kérosène des avions de ligne, de sorte que les particules soient émises par les moteurs de l’avion lorsqu'il vole à son altitude de croisière ».
D. Chang et I-Fu Shi préconisent d'utiliser des oxydes de métal qui ont une haute émissivité, comme l'oxyde d'aluminium qui présente l'avantage d'être bon marché, et l'oxyde de thorium.
Qu'est-ce que l'oxyde de thorium ? 1
C'est « un agent de contraste radiographique qui était utilisé dans les années 30 jusqu'aux environs de 1954. Des taux élevés de mortalité sont liés à son utilisation et il a été démontré qu'il provoque le cancer du foie ».
Mais les deux chercheurs, qui connaissent pourtant la nocivité de l'oxyde de thorium, ne semblent pas s'en émouvoir outre-mesure et en proposent son aspersion dans le ciel, pourtant... Sans se soucier le moins du monde de ceux qui sont en dessous et qui reçoivent les retombées de ces particules métalliques sur Terre.
Création du GIEC.
Les études sur le « réchauffement climatique » s'intensifient. La création d'un organisme, le GIEC - Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat – (affilié à l'ONU), a pour mission les études sur la question du réchauffement climatique.
Une question cependant reste en suspens : qu'est-ce que la « Hugues Aircraft Company » vient faire au milieu ? N'y aurait-il pas également (ou plutôt) des applications de nature « militaires » sous couvert d'applications « civiles » ?
Une partie de la réponse vient du brevet antérieur auquel D. Chang et I-Fu Shi font référence, enregistré sous le n° 3222675 qui n'est pas de toute première jeunesse et qui date de.... décembre 1959, en faveur de Walter Schwartz et de TRW Inc., société rachetée en 2002 par North rop Grumman, un géant industriel américain de la défense et de la sécurité !
Extrait : « On sait que depuis de nombreuses années que l'ionosphère pourrait être utilisée pour réfléchir les ondes radio vers la surface de la Terre. Au fur et à mesure que les fréquences augmentent et que la longueur d'onde diminue, est atteint un point à partir duquel la réflexion des ondes radio cesse d'être efficace. Par suite, il a été suggéré qu'une ceinture de dipôles ou de réflecteurs soit mise en orbite autour de la Terre afin de permettre la réflexion des signaux de haute-fréquence ».
Ou : comment placer dans le mécanisme inventé, différentes substances comme l'anhydride malique qui, en fonction des conditions, se transforme en gaz. L'objectif est de favoriser la Company.
Car c'est un marché prometteur qui s'annonce, et il n'y a pas que la Hugues Aircraft Company à être alléchée par ce marché.
La compagnie Evergreen International Aviation Inc., se place dans les rangs. Il n'est que de se rendre sur son site internet qui vante les « possibilités de sa flotte de « supertankers », des Boeing 747 spécialement aménagés pour épandre des produits chimiques dans le ciel, y compris de nuit.
Quatre marchés présentés où est carrément proposée « la modification du climat ». Mais sans apporter de précision sur la nature potentielle de ce marché, ou si ces activités sont déjà engagées ou en passe de l'être.
Sur sa page : « Investor Relations », Evergreen International Aviation Inc, annonce qu'elle a peu de clients, ce qu'elle reconnaît comme un facteur de risque économique. Le fait que le principal soit une unité de l'US Air Force ne permet pas cependant de conclure qu'elle pratique « la modification du temps pour l'armée ». En tout cas, cela lui ressemble.
Les traînées dans le ciel.
Elles sont observées dès le début des années 2000, les premières aux USA et au Canada. Puis dans toute l'Europe, y compris dans les anciens pays de l'Est. Dès que la Croatie adhéra à l'OTAN, des traînées similaires dans le ciel croate sont également observées.
Selon les associations européennes qui luttent contre ce phénomène, seule une organisation supranationale comme l'OTAN peut coordonner ces opérations à l'échelle d'un continent.
Et c'est d'Europe que vient l'une des premières confirmations officielles. La chaîne RTL consacre un reportage à ce sujet en décembre 2007 : des nuages anormaux de 350 km de long apparaissent sur les radars de la météorologie allemande, d'abord à l'été 2005, puis en mars 2006.
Les météorologues alertent l'armée fédérale allemande qui « reconnaît avoir effectué des exercices sur la frontière avec les Pays-Bas et procédé à des épandages. Les militaires précisent toutefois que ces produits ne sont pas dangereux et que les quantités sont minimes ».
Mais cela ne convainc pas Karsten Brandt, un météorologue qui, alerté par l'ampleur des nuages, « témoigne de son étonnement devant la taille de ces nuages artificiels et les quantités colossales de produits qu'il a fallu injecter pour les générer ».
Les météorologues continuent d'observer de nouveaux vols similaires au-dessus de la plupart des régions allemandes qui créent encore des couches denses de nuages artificiels.
Si les militaires ne révèlent pas la nature de ces nuages, et des épandages dans l'atmosphère, au- moins ont-ils reconnu qu'ils effectuaient des épandages.
Mais lorsque les militaires États-uniens sont à chaque fois, interpellés par les scientifiques, comme le docteur Rosalie Bertell, ils nient, mais à force de fuites dans les médias et de la mobilisation des associations et des particuliers inquiets de la multiplication de ces opérations, ils finissent par reconnaître, qu'effectivement, ils pratiquent des épandages. But invoqué : la lutte contre le réchauffement climatique.
Question : « Depuis quand le rôle de militaires est la lutte du réchauffement climatique ? Qui le leur demande et à quel titre ? »
Alors que la preuve matérielle de ces épandages est bien sous nos yeux, sous les yeux des populations sous toutes les latitudes, les militaires américains se réfugient catégoriquement derrière « l'affirmation que les chemtrails sont un « canular » !
Des analyses à la tonne !
Si les « chemtrails » sont un canular alors comment expliquer la nature des produits répandus sur tous les sols, depuis les airs ?
Des centaines d'échantillons ont été prélevés : sol, air et eau. Ce, à la demande de particuliers, d'associations et d'universités.
Les résultats sont pour le moins très inquiétants et parlent d'eux-même.
Présence de :
1/ aluminium, baryum (sous la plupart de leur forme (sulfate, chlorure...)
2/ cadmium
3/ titane
4/ lithium,
5/ triméthyaluminium, composé chimique à partir de l'aluminium sous forme liquide qui se transforme en fumée blanche lorsqu'il est vaporisé dans l'air. De plus, il est précisé que cette substance est facile à ajouter au kérosène des avions.
Dans trois jardins publics à Paris, des échantillons ont été prélevés.
Ce, pour en avoir le cœur net.
Rapport d'analyse : présence d'aluminium et de baryum dans les bacs à sable parisiens. Voir (rapport page 176) de l'ouvrage de P. Pasin – au chapitre 7 « Le temps des chemtrails »).
D'où viennent ces substances, sinon des épandages ?
Il pourra être rétorqué que cela ne prouve pas que ce soient les militaires, à l'origine de l'épandage des substances incriminées.
Cependant : « des officiers français sous couvert de l'anonymat – ont bien confirmé que ces opérations d'épandage sont bel et bien pratiquées au-dessus de l'hexagone ».
Comme ils ne peuvent ni ne veulent témoigner publiquement, des traces ont donc été cherchées ailleurs. Voir (Page 177 de l'ouvrage), le résultat des recherches.
Le silence de l'Union Européenne.
Le 10 mai 2007, le député hollandais au Parlement européen Erik Meyer pose une question écrite à la Commission, sur : « la préoccupation croissante à l'égard des traces laissées par les avions, lesquelles ne contiennent plus uniquement de l'eau, mais engendrent des voiles laiteux de longue durée, conséquence potentielle de la présence de baryum, d'aluminium et de fer ».
Texte intégral officiel – traduit en français :
« 1. La commission sait-elle que depuis 1999, les citoyens américains et canadiens se plaignent de plus en plus fréquemment d'un nouveau type de traces laissées dans l'air par des avions ? Ces traces peuvent parfois rester en suspension pendant plusieurs heures et atteindre une extension largement supérieure, entraînant la formation de voiles laiteux baptisés « aerial obscuration » (obscuration aériennes »). La Commission sait-elle que ce nouveau type de traces se distingue nettement des fines et courtes lignes blanches présentes dans l'air, baptisées « traînées de condensation » depuis l'invention du moteur à réaction, lesquelles ne restent pas plus de 20 minutes dans l'air et ne peuvent apparaître que si la vapeur d'au se condense sur les particules de poussière en raison de la faiblesse des températures et d'un taux d'humidité élevé ?
2. La Commission sait-elle que les enquêtes menées par ces plaignants, les observations des pilotes et les annonces des pouvoirs publics aboutissent de plus en plus fréquemment à l'hypothèse qu'en l'espèce, l'avion diffuse dans l'air sec de petites particules composées de baryum, d'aluminium et de fer, une substance immédiatement baptisée « chemtrails » (traînées chimiques) dans le cadre du débat en cours aux États-Unis ?
3. Etant donné que ces traînées chimiques, contrairement aux traînées de condensation ne constituent pas un sous-produit inévitable du trafic aérien actuel, la Commission connaît-elle la finalité de la diffusion planétaire artificielle de ces substances d'origine terrestre ? Possède-t-elle des effets favorables sur la production de pluie, les télécommunications ou la lutte contre le réchauffement de la planète ?
4. Dans quelle mesure les obscurations aériennes et les traînées chimiques sont-elles actuellement présentes dans l'espace aérien européen, sachant que nombre de citoyens de notre continent sont désormais persuadés de leur présence croissante et s'inquiètent face au manque d'informations concernant ce phénomène et à l'absence d'explications à l'intention du public ? Qui prend l'initiative de diffuser cette substance et d’où proviennent les financements ?
5. Abstraction faite des conséquences positives recherchées par la diffusion de ces substances dans l'air, la Commission en connaît-elle également les inconvénients potentiels pour l'environnement et la santé publique, le trafic aérien et la réception des signaux télévisuels ?
6. Comment empêcher les États européens ou des entreprises de prendre des mesures unilatérales d ont les conséquences transfrontalières peuvent être considérées comme néfastes par d'autres États ou par des organisations de citoyens ? Une coordination est-elle d'ores et déjà assurée sur ce plan ? L'Union joue-t-elle un rôle à ce niveau ou attendez-vous d'y jouer un rôle à l'avenir ? Quels sont vos objectifs à cet égard ? ».
La réponse arrivera quelques semaines plus tard, le 26 juin 2007, par Stavros Dimas, commissaire européen à l'environnement.
A suivre...
1 www. Termsciences.fr
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