L’aube d’un jour nouveau !
L’aube d’un jour nouveau !
Il est évident que toutes les conditions sont réunies pour une explosion sociale.
- Une société qui subit la philosophie du fric où la seule valeur aujourd’hui pour exister et être respecté c’est l’importance du compte en banque.
- Une société dirigée par les multinationales et les banques privées.
- Une société où la politique est galvaudée par des professionnels de la magouille et de la tromperie bien trop occupés par leur carrière et leur monde, se moquant bien du social et de l’humanitaire
- Une société dont le système politique fabrique des chômeurs, de la misère, et qui conditionne son peuple en faisant régner l’insécurité et l’ignorance.
Considérer que la loi visant à abroger le code du travail est le facteur déclencheur de la révolte, c’est regarder par le petit bout de la lorgnette. En vérité ce sont des difficultés à vivre et ce depuis des décennies qui en s’accumulant ont rendu cette situation explosive.
Partout en Europe se lève un courant de gens indignés qui s’organisent pour dénoncer les abus de ce système capitaliste et libéral ou les abus financiers sont devenus monnaie courante.
Peut-être de ce mouvement jaillira la création d’une société nouvelle où les valeurs de partage, la revalorisation de la force de travail sera d’avantage reconnue. Il ne s’agit pas de fomenter la guerre civile, mais de mettre fin à la dictature des lobbies financiers comme les entreprises multinationales, les banques privées qui pillent les caisses des états européens, éradiquer la culture de la pensée unique, et mettre fin au règne de ces politiciens véreux qui au nom du Capital se sont appropriés le pouvoir pour mieux servir les intérêts de cette caste dominante.
Certains auront peur ou feront semblant pour rester dans l’immobilisme. Ils tenteront de faire croire que les biens personnels seront confisqués alors que seules les entreprises en positions de monopoles (les banques, les entreprises multinationales) devraient être nationalisées et passer sous contrôle de la nation afin que cesse le pillage des caisses de l’état.
Bien évidemment cette oligarchie financière se battra becs et ongles pour conserver ses privilèges. Nous savons par expérience qu’ils ne manquent pas d’imagination, qu’ils utilisent leur presse écrite et leur télévision pour faire obstacle au pluralisme démocratique, mais rappelons le « ils sont peu, nous sommes beaucoup ». Nous avons l’avantage du nombre. Trop c’est trop, à un moment il faut savoir dire NON, il faut agir.
La société nouvelle qui jaillira devra satisfaire au plus grand nombre et non pas à l’inverse.
16/04/2016
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