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Accueil du site > Tribune Libre > L’insalubrité du débat public en France

L’insalubrité du débat public en France

Qu’Air France, France Telecom fassent des bénéfices et donc payent des impôts et donc renflouent les caisses de la Collectivité alors qu’ils en perdaient lorsqu’ils étaient en situation de monopole (situation qui explique encore leur piètre politique actuelle en ressources humaines) ce côté positif n’effleure évidemment pas nos néocommunistes soucieux de faire passer par la bande leur programme fondamental : celui de faire payer les riches puis les moins riches avant de les éliminer pour se mettre à leur place comme cela s’est réalisé en Russie (jusqu’aux paysans moyens), en Chine, au Vietnam, dans tous les pays de l’Est, dans tous les pays du Tiers Monde dominés par l’idéologie national islamique et/ou tribal/communiste, avec les résultats que l’on sait : accroissement de la misère sur la durée, perte des libertés fondamentales, y compris syndicales, constitution d’une nouvelle élite tyrannique, avec comme paravents quelques fenêtres positives qui auraient été de toute façon façonnées sans eux comme l’instruction publique et la santé gratuite pour les plus démunis. 

Qu’un tel rappel de bon sens ne soit pas à l’ordre du jour dans la politique de communication du gouvernement et des partis modérés en dit long sur le degré de décomposition, d’insalubrité du débat politique en France où il est soudain devenu plus opportun pour eux de se positionner par rapport à l’écologie et son économie verte qu’en rappelant l’idée toute simple que la situation de monopole, qu’elle soit privée ou publique, empêche l’esprit d’innovation à même, lorsqu’il est bien accompagné par la Collectivité, de proposer des solutions alternatives aux problèmes de l’heure. Une anecdote sur ce point : on peut remarquer souvent que des rues sont éventrées à plusieurs reprises pour installer successivement des nouveaux tuyaux d’évacuation, de gaz, de télécommunications, etc ; or, au lieu de se concerter afin qu’il n’y ait qu’un seul trou de fait et que les diverses équipes travaillent en alternance, chaque service, public, (ou récemment privés comme GDF et France télécom) ouvre, fait son installation, referme, puis deux jours après rebelote pour un autre service, ce qui engendre encombrements, embouteillages, difficultés de tous ordres…

Ce manque de concertation vient en réalité illustrer le degré zéro de l’esprit public en France où contrairement à ce qu’il est prétendu, l’on préfère croire que défendre des avantages reste synonyme à soulager la peine des populations… Mais il est vrai que le gouvernement actuel, césariste, centralisateur, opportuniste, ne fait rien pour démontrer que l’autonomie, la liberté, peuvent être des chances pour développer une prospérité soucieuse de qualité de vie et du bien vivre ensemble, on l’a bien vu dans sa mauvaise réforme des Universités, dans son refus de réformer les charges sociales, par exemple en supprimant le monopole de la Sécurité Sociale, tout en faisant en sorte que les soins lourds restent mutualisés.

En fait, au lieu d’opposer solidarité et liberté, il serait possible de les articuler, par exemple en constituant un Fonds Commun de Solidarité (FCS) à même de capitaliser des moyens financiers pour accompagner la modernisation en terme de formation, bourses, infrastructures diverses et ce avec un moyen simple : l’investissement dans une sécurité sociale de votre choix peut être défalqué de votre impôt et reversé à ce Fonds qui, bien géré, (sous contrôle de la Cour des Comptes plutôt que du Conseil d’Etat), pourrait permettre que la France puisse enfin se débarrasser de toutes ces piques et sangsues qui la saignent alors qu’elle pourrait aller de l’avant pour le bonheur du plus grand nombre. Voilà ce qu’une politique néomoderne signifie. Il serait temps de la mettre en application. Ce qui reste un voeu pieux tant l’on voit bien qu’aucune alternative réelle aux discours néo-bonapartistes et néo-communistes n’apparaît pour le moment à l’horizon.
 

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33 réactions à cet article    


  • Cogno2 5 octobre 2009 14:24

    Les 4 premières lignes m’ont suffit.
    Rien qu’a voir les termes utilisés, ça sent le mépris, et donc votre blabla ne s’adresse qu’a des convaincus.
    Au plaisir.


    • Lucien-Samir Arezki Oulahbib Lucien-Samir Arezki Oulahbib 5 octobre 2009 14:37

      La réalité contredit l’idéologie et donc cela fait mal donc on refuse l’objectivité...


    • LeGus LeGus 5 octobre 2009 15:03

      @L’auteur,

      J’avais commenté votre précédent article de « Salmigondis sans queue ni tête. Macédoine de rancœur. »

      Pour le prochain tentez quand même de construire des liens logiques entres les idées que vous exposez.



      • Jean-Pierre Llabrés Jean-Pierre Llabrés 5 octobre 2009 15:16

        à l’auteur

        "En fait, au lieu d’opposer solidarité et liberté, il serait possible de les articuler, par exemple en constituant un Fonds Commun de Solidarité (FCS) à même de capitaliser des moyens financiers pour accompagner la modernisation en terme de formation, bourses, infrastructures diverses"

        Dans la même veine, je vous propose :
        Pour un Nouvel Ordre Économique Français Équitable !
        http://www.agoravox.fr/actualites/economie/article/pour-un-nouvel-ordre-economique-60258


        • LE CHAT LE CHAT 5 octobre 2009 15:28

          Toujours la même propagande néolibérale ..... Cet enfumage n’est que de la propagande destinée à masquer la toujours plus grande concentration des ressources dans les mains de quelques uns au détriment de la solidarité !


          • GB 5 octobre 2009 15:40

            La solidarité à la française, c’est le partage des dettes et la personnalisation des gains. Pour s’en convaincre il n’y a qu’à regarder les salaires que s’octroient les élus. 


            • Servais-Jean 5 octobre 2009 16:11

              Dire qu’un service public perd de l’argent est complètement ridicule.
              Depuis leur création EDF ou GDF paient des impôts et donc rapportent de l’argent à la collectivité à tel point que juste après son élection sarkozy a demandé à EDF une avance sur impôts de plus d’un milliard pour finir de fêter sa victoire.
              Vous semblez ne pas faire la distinction entre les services publics destinés à gérer l’administration de la nation comme les services fiscaux, la sécurité sociales et bien d’autres et les services publics destinés à fournir des services à chaque citoyen comme la SNCF, EDF, GDF ... qui sont assujettis aux impôts comme n’importe quelle entreprise privée mais qui ne sont pas, ce que vous semblez regretter, soumis aux ordres des financiers et de leurs actionnaires.


              • Lucien-Samir Arezki Oulahbib Lucien-Samir Arezki Oulahbib 5 octobre 2009 22:32

                1°EDF est dans le rouge comme la SNCF...en particulier son fret aux mains de corporatistes comme le port de Marseille d’ailleurs... GDF s’en sort mieux...oui...


                2°Justement : si La Poste change de statut elle basculera en entreprise... et payera donc des impôts...

                3°/ une entreprise privée peut avoir un cahier des charges de service public

                4° c’est la lourdeur des charges qui pousse certains actionnaires à exiger plus de rendement

                5° mais en effet, certains ont les dents longues d’où la nécessité de permettre aux salariés de devenir actionnaires ; ne pas confondre soif d’acquérir, éternelle, et esprit du capitalisme disait Max Weber, esprit qui peut être affiné...

              • Le péripate Le péripate 5 octobre 2009 18:25

                Le service public devient le public au service des fonctionnaires. Sans concurrence pas d’innovations (ah si le minitel, le tgv, le concorde, que des succès mondiaux), sans concurrence tous les services publics connaissent la même dérive : faiblesse des investissements, infrastructure délabrée, cout du personnel en perpétuelle hausse, service en baisse. C’est une loi d’acier.


                • ASINUS 6 octobre 2009 13:44


                  « loi d acier »
                  bonjour peripate toujour un rien outrancier « loi d airain » suffira, sinon mais cela demande confirmation pour le cas de la poste les statutaires fonction publique y sont desormais minoritaires « je crois que cela date des socialistes » et puis j ai du mal ,vous allez m expliquer l interet pour du privé a acquerir du non rentable y a t il une « valeur »
                  non dites ? voir dissimulée qui en expliquerait l interet .


                • Le péripate Le péripate 6 octobre 2009 13:56

                  A la rigueur je peux accepter l’idée que l’État puisse être, pour un temps seulement, un pionner là où le marché ne peut encore être rentable ( et ceci est une lourde concession de ma part), autant il n’est surement pas du rôle de l’État d’assumer une activité qui ne serait plus rentable parce que le monde a changé. Parce que le rôle de l’État n’est pas de produire des biens et des services, hormis celui de la sécurité par le Droit, qui lui est supérieur.


                • ZEN ZEN 5 octobre 2009 18:35

                  Le « docteur en sociologie »est fatigué...
                  Billet « insalubre » , écrit sur un coin de table de bistrot

                  "une anecdote sur ce point : on peut remarquer souvent que des rues sont éventrées à plusieurs reprises pour installer successivement des nouveaux tuyaux d’évacuation, de gaz, de télécommunications, etc ; or, au lieu de se concerter afin qu’il n’y ait qu’un seul trou de fait et que les diverses équipes travaillent en alternance, chaque service, public, (ou récemment privés comme GDF et France télécom) ouvre, fait son installation, referme, puis deux jours après rebelote pour un autre service, ce qui engendre encombrements, embouteillages, difficultés de tous ordres…"

                  On voit pire aux USA ! our ne pas parler de l’Italie...


                  • Lucien-Samir Arezki Oulahbib Lucien-Samir Arezki Oulahbib 5 octobre 2009 22:34

                    Mais la roublardise et le laisser aller... sont la chose au monde la mieux partagée, ouaip et vous me remettez une tournée siouplait !


                  • micmac 5 octobre 2009 22:47

                    Hipch ! Ben ch’est ben vrai cha ! Camarade chindiqué ch’est la luuuutte finaaale !

                    Parcheque faire des trous et les reboucher, en ch’en fout du moment qu’on est est payé !

                    De toute fachon l’état ch’est fait pour faire des trous ! T’as qu’as voir, les franchais cotichent touche sans chamais boucher le trou de la chec choche.


                  • Gazi BORAT 6 octobre 2009 13:55

                    « Les rues éventrées à plusieurs reprises... »

                    Eternel cliché pour brocarder la bureauceratie.. et qui, finalement, ne pourrait être évité que par une meilleure centralisation... Cauchemar du libéral moyen !

                    La privatisation des services publics voit ceux ci remplacés, en place d’un opérateur unique, par pléthore de sous traitants : les éventrations de rues à répétition, dans une telle évolution, seront appelées à se multiplier !
                    Aujourd’hui, en place d’employés d’EDF, on trouvera une société chargée de l’installation de nouveaux compteurs, une autre des relevés, une autre de la maintenance, etc, etc..

                    gAZi bORAt


                  • Francis, agnotologue JL 5 octobre 2009 18:48

                    « En fait, au lieu d’opposer solidarité et liberté »

                    Qui oppose solidarité et liberté  ? Quelles en sont les conséquences ? Qui perd, qui gagne ?

                    A quoi pensez-vous ? Vous pourriez donner un exemple ?


                    • Philou017 Philou017 5 octobre 2009 19:20

                      Le libéral contraint de faire appel au défunt communisme pour justifier la libéralisme. Trop drôle.

                      L’auteur a l’air de remâcher de vieilles antiennes.

                      L’honnêté, c’est de constater que le système financier a détourné une bonne partie des bénéfices de l’économie réelle dans sa poche, avec bien sûr régression sociale à tous les niveaux en contrepartie.
                      Toute analyse qui ne part pas de cette évidence est faussée et pas crédible.


                      • Lucien-Samir Arezki Oulahbib Lucien-Samir Arezki Oulahbib 5 octobre 2009 22:39

                        Les subprimes ont comme cause la loi sociale votée sous Roosevelt exigeant des banques de prêter de l’argent aux ménages sans trop regarder leur capacités de recouvrement, les présidents successifs n’ont fait qu’accentuer la chose... Les Etats sont en réalité complices des dérives financières puisque sans elles ils ne pourraient pas emprunter pour faire de la cavalerie... Ce qui ne veut pas dire que les monétaristes libertariens n’aient pas leur part de responsabilité en pensant que l’on peut se passer d’un arbitre...


                      • Francis, agnotologue JL 6 octobre 2009 09:45

                        « En fait, au lieu d’opposer solidarité et liberté »

                        Qui oppose solidarité et liberté ? Quelles en sont les conséquences ? Qui perd, qui gagne ?

                        A quoi pensez-vous ? Vous pourriez donner un exemple ?


                      • ZOULOU 6 5 octobre 2009 22:25

                        Tout à fait d’accord avec cet article.
                        Et comme d’habitude, les crypto-communistes admirateurs des paradis de la liberté tels que la Corrée du Nord ou Cuba, sont les premiers à nous ressortir leurs poncifs éculés sur le néo-libéralisme. Quelle pauvreté d’esprit !


                        • Cogno2 6 octobre 2009 10:00

                          Le ton de votre article, le ton de vos réponses me confirme que vous n’êtes pas digne d’intérêt.


                          • Cogno2 6 octobre 2009 10:04

                            Sachez que j’ai signalé votre comportement comme abusif, même si j’ai peu d’espoir que cela fasse quoi que ce soit.

                            Une chose de sure, quand un auteur traite ses contradicteurs « d’idiot », c’est qu’il n’a aucun argument.


                          • Bulgroz 6 octobre 2009 11:28

                            On cite les bons résultats de La Poste et son excellente situation financière :

                            Résultats 2008 : +535 Millions Euros, 2007 : +951

                            Mais il fait dire que la Poste :

                            • N’a payé qu’une seule fois dans sa vie des dividendes à son actionnaire (le Peuple Français), 141 millions en 2008 sur les résultats 2007, rien avant
                            • ne paie pas d’impôts sur les sociétés :2008 : 0, 2007 : 40, les années avant : 0
                            • La Poste bénéficie d’un abattement de 85 % sur les bases de la taxe professionnelle et des taxes foncières sur les locaux professionnels et bénéficie, pour le calcul de la cotisation minimale de taxe professionnelle, d’un abattement de 70 % (article 1635 septies du Code Général des Impôts)
                            • La poste ne cotise plus pour la retraite de ses fonctionnaires que d’une cotisation « libératoire » destinée à assurer« l’égalisation des conditions de concurrence avec les nouveaux entrants ».

                            En conséquence de quoi, la cotisation retraite de la Poste est gelée au niveau de 1999 (plus inflation) et c’est désormais l’état qui assure le service des pensions et son déficit.. En 2007, les charges futures des fonctionnaires de la Poste étaient estimées à 77 milliards d’Euros. Il s’agit aujoyrd’hui de plus de 200 000 fonctionnaires retraités.

                            Vérifiez dans les comptes de La poste, cette provision n’existe plus et la Poste n’a plus l’obligation de constituer des provisions. La Poste a payé une soulte de 2 milliards et une cotisation libératoire annuelle (en diminution) de 1,6 milliards pour que l’Etat prenne en charge le service de ces pensions

                            En 2009, le déficit assuré par le budget de l’Etat via "l’établissement public national de financement des retraites de La Poste" (EPNFRLP) est de 1 milliard. Pour 2010, le déficit de ces retraites est de 1,5 milliards.

                            http://www.ifrap.org/Les-regimes-speciaux-de-retraite-et-la-gestion-de-leurs-deficits,1338.html?numpage=3


                            • Ronny Ronny 6 octobre 2009 12:20

                              C’est du 27ème degré ce papier ?

                              Si oui, c’est très fort, car je me suis laissé avoir.

                              Sinon, surtout conservons l’auteur parmi nous à titre de la préservation des espèces disparues ou en voie de disparition...


                              • ASINUS 6 octobre 2009 13:38

                                heu juste comme ça le « docteur » enseigne au Clesid lyon 3 c est privé je suppose cette fac ? pas payée avec les impots induement prelevés au vraix producteurs de valeurs ?
                                 cela serait pour le moins inconséquent et incoherent« docteur en ultraliberalisme »mais pour les autres non ?


                                • Gazi BORAT 6 octobre 2009 13:59

                                  A noter la récurrence du préfixe néo, qui semble accomodable à toutes les sauces : néo bonapartistes, neo communistes et .. (excusez du peu :

                                  « NEO MODERNE » !

                                  Ca c’est audacieux !

                                  gAZi bORat


                                  • rocla (haddock) rocla (haddock) 6 octobre 2009 14:12

                                    A compter du 2 mars 2009, le timbre poste pour les envois de lettres de moins de 20 grammes en France métroplitaine est de 0,56 euros .

                                    J’ trouve c ’est pas donné comme prix , un timbre pèse moins d’ un gramme , sans doute un dizième de gramme , si on le ramène au prix du kilo on nous vend les timbres à 11.200 euros le kilogramme .

                                    Si je vends du pain à même 5 euros le kilo , je suis pas cher .

                                    Pour ce prix la postière pourrait me faire un joli sourire .






                                    • Aafrit Aafrit 6 octobre 2009 15:12

                                      « Qu’un tel rappel de bon sens »

                                      Il est rigoleux, cet auteur !


                                      • Emile Red Emile Red 6 octobre 2009 15:44

                                        Ah !

                                        Le vieux truc des entreprises publiques déficitaires...

                                        Au fait triste auteur, pourquoi ne faites vous pas un papier sur les subventions d’état au entreprises privées, les cadeaux aussi, les exonérations et autres fariboles qui font de notre pays une tire-lire pour vos enfoirés de copains de Wall Street...

                                        Déplorable d’être aussi niais quand on se fait passer pour professeur.


                                        • lord_volde lord_volde 6 octobre 2009 16:12

                                          Cet article ne vaut pas un pet de vache. Même ma tante ne pourrait le refourguer au mont de piété tellement il ne vaut pas un clou rouillé. L’auteur manie la langue écrite avec indélicatesse, imprécision, contresens, moult expressions mal dites ou mal formulées. L’auteur s’affuble d’un titre de docteur et d’ATR alors que sa dissertation démontre un piètre niveau scolaire ne dépassant pas celui d’une classe de terminale professionnelle. Il est affligeant de constater qu’un olibrius de pacotille qui se prétend détenteur de titres (usurpés) d’excellence ne brillerait surtout que par ses lacunes manifestes et ses irréfragables déficiences intellectuelles. La pensée par le vide est désormais couronnée de succès. On peut donc en déduire qu’il s’agit d’un concept universitaire néorécipiendaire.


                                          • lord_volde lord_volde 6 octobre 2009 16:40

                                            Le Conseil d’Etat étant une juridiction administrative et un organe de conseil auprès du gouvernement, n’a pas pour rôle de contrôler les comptes publiques des institutions ayant vocation . L’auteur qui est une brèle confirmée, notamment en matière de compétences institutionnelles ne fait pas dans la dentelle lorsqu’il affirme présomptueusement, sa préférence à voir la cour des comptes jouer le rôle de contrôleur, ce qu’organiquement et par nature, il est essentiellement.

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