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Accueil du site > Tribune Libre > L’islamophobie en France : une si vieille histoire

L’islamophobie en France : une si vieille histoire

Aux lendemains de la dislocation de l’URSS, nombre de cléricatures médiatiques ont d’abord été (brièvement) séduites par l’idée que sa disparition rendait l’humanité à « la fin de » son « histoire ». Mais, très vite, apparaissaient des contestations inédites (et qui ne pouvaient plus être présentées comme une sujétion au dogme soviétique) du modèle capitaliste. Elles se sont ensuite converties à la croyance que l’ère « postcommuniste » serait celle du « choc des civilisations », autrement dit la guerre de l’Occident contre l’islam, dans laquelle le Musulman incarnerait la menaçante figure du nouvel ennemi, le couteau entre les dents.

Cependant, ce n’est qu’après que les terroristes d’Al-Qaïda, créés par les États-Unis, ont commis les odieux attentats du 11 septembre 2001 que l’expression publique d’une défiance généralisée à l’égard des musulmans, teintée parfois d’un franc racisme, va finir de se libérer. C’est le commencement d’un véritable déferlement, dont la vague, treize années plus tard, n’est pas retombée – et dont rien n’indique, bien au contraire, qu’elle pourrait enfin refluer.

Dans ce raz-de-marée, certaines déclarations (et proclamations) se distinguent par leur particulière trivialité. C’est le cas, par exemple, de celles de l’écrivain Michel Houellebecq, qui a théorisé, peu de jours avant les attentats du 11 Septembre, que « l’islam » était « la religion la plus con ». Claude Imbert, fondateur de l’hebdomadaire Le Point, déclare, au mois d’octobre 2003, dans le cours d’une émission de télévision : « Je suis un peu islamophobe, ça ne me gêne pas de le dire. J’ai le droit de penser que l’islam – je dis bien l’islam, je ne parle même pas des islamistes – apporte une certaine débilité qui, en effet, me rend islamophobe. ». Sans doute sait-il parfaitement que l’aversion, lorsqu’elle s’applique contre les musulmans, peut être publiquement dite sans que nul ne s’en émeuve – hors quelques rares antiracistes. Son confrère Jean Daniel Bensaïd, né à Blida (Algérie), co-fondateur du Nouvel Observateur et autre haute figure de la presse dominante, expose dans un éditorial daté du 4 novembre 2004, que son « désenchantement actuel, c’est de voir ce que devient la France », et « avoue » sa « tristesse de ne plus reconnaître son pays » (la France, et non pas l’Algérie). Il avait même prévenu Mitterrand : « Le clocher de votre affiche électorale, dans peu de temps, vous le verrez entouré par deux minarets  ».

Faisant une analogie entre un musulman haineux (« Islamorama ») et un syndicaliste hargneux (« Castorama »), cette « caricature » rappelle à certains lecteurs — comme le rapporte le médiateur (Le Monde, 4 octobre) — l’iconographie antisémite et anticommuniste du journal Je suis partout dans les années 1940.

Ce dessin de Plantu rappelle aussi un autre événement qui mérite d’être mentionné. C’était il y a trente ans, en janvier 1983 : confronté à un vaste mouvement social dans une industrie automobile en crise, le gouvernement « socialiste », en pleine reconversion néolibérale (déjà) et décidé à ne rien céder aux ouvriers (déjà), discrédita médiatiquement les grévistes, dont beaucoup étaient immigrés, en les assimilant aux mollahs iraniens. « Des grèves saintes d’intégristes, de musulmans, de chiites ! », s’enflamma le ministre de l’intérieur. La presse obéissante fit ses choux gras des « intégristes » en col bleu. Satisfaites, la droite et l’extrême droite constatèrent à cette occasion qu’il était plus efficace, pour insulter les « bougnoules », de les appeler « musulmans ».

Dans sa « Lettre à Madame Roger des Genettes » en janvier 1878 », Gustave Flaubert (1821-1880) écrivait déjà : « Sans doute par l'effet de mon vieux sang normand, depuis la guerre d'Orient, je suis indigné contre l'Angleterre, indigné à en devenir Prussien ! Car enfin, que veut-elle ? Qui l'attaque ? Cette prétention de défendre l'Islamisme (qui est en soi une monstruosité) m'exaspère. Je demande, au nom de l'humanité, à ce qu'on broie la Pierre-Noire, pour en jeter les cendres au vent, à ce qu'on détruise La Mecque, et que l'on souille la tombe de Mahomet. Ce serait le moyen de démoraliser le Fanatisme."

Et dans son ouvrage paru à Paris en 1910, Alain Quellien, relève qu’« il y a toujours eu, et qu’il y a encore, un préjugé contre l’islam répandu chez les peuples de civilisation occidentale et chrétienne  », chez qui, « pour d’aucuns, le musulman est l’ennemi naturel et irréconciliable du chrétien et de l’Européen, l’islamisme est la négation de la civilisation, et la barbarie, la mauvaise foi et la cruauté sont tout ce qu’on peut attendre de mieux des musulmans  ». Ces préventions, portent un nom : cela s’appelle, dit-il, « l’islamophobie ».

 
Actes islamophobes en 2012

L’islamophobie est donc ce néologisme qui désigne l'hostilité envers l'islam et les musulmans. Le terme peut être également employé pour décrire un sentiment négatif ou une attitude xénophobe envers l'islam ou certaines de ses formes et, par amalgame, envers les personnes d'origine arabe ou supposée « arabes » : Maghrébins, Turcs, Iraniens, etc.

Cette haine est, par essence, névrotique : on se met à prêter à des personnes, au nom d'une croyance qu'on reconnaît, ou qu'on croit reconnaître chez elles, un ensemble de caractéristiques stéréotypées. Cette névrose se trouve quantité de cautions, qui vont du "choc des civilisations" d'Huntington en passant par certaines caractéristiques de l'islam, jusqu'au simple fait qu'elle concurrencerait la toujours première religion de France, le christianisme. Mais dans tous les cas, elle verse dans la généralisation, l'amalgame, le refus du rapport individuel à la croyance, et ne veut voir dans les croyants musulmans que des automates, imperméables à leur milieu, conquérants et forcément dominateurs. On peut, à raison, parler de paranoïa.

Enfin, voici la fonction de l’islamophobie des temps modernes, telle que décrite par Alain Gresh  : "encoder le racisme pour le rendre imperceptible, donc socialement acceptable. C’est cette machine à raffiner le racisme brut, lancée par les socialistes en 1983, qui tourne à plein régime depuis trente ans, à gauche comme à droite. On ne parle évidemment jamais de « bougnoules » à la télévision et dans la presse. Mais on diffuse à flux continu des reportages où se déverse un magma confus de « musulmans », d’« islamistes » et autres « communautaristes ». Rien de raciste, bien sûr ! C’est simplement que ces gens-là posent « problème », nous dit-on, car ils menacent la « république », la « laïcité », le « féminisme », le « vivre ensemble ». Ainsi encodé, ce racisme raffiné, produit dans les beaux quartiers, imprimé dans les journaux, mis en scène à la télévision, propagé par Email et sur réseaux sociaux, se dissémine dans toute la société. Laquelle, ainsi habituée à vivre dans un mélange de peur identitaire et d’angoisse sécuritaire, est sommée de traquer les voiles litigieux, de mesurer les poils de barbe et de signaler le moindre « colis suspect ». "
 
Charles Martel exploite "la haine du Sarrasin" pour régner
 
Nous sommes en l’an 732 de l’ère chrétienne. Ce n’est pas encore la France, mais des principautés, plus ou moins liées aux territoires des églises ou des couvents. Au sud, le Languedoc, la vallée du Rhône, les marches pyrénéennes sont sous administration musulmane.
 

Un seigneur de mauvaise réputation campe non loin de l’ancienne voie romaine (faisant partie de la voie principale VP2 allant de l’Espagne à la Gaule du nord). C’est Charles, (690 - 741), duc d'Austrasie (Belgique actuelle). Sa mauvaise réputation, il la tient de sa naissance et des pillages dont lui et ses hommes d’armes ont l’habitude. On l’appelle d’ailleurs Charles « Martel » (le marteau), à cause de cette violence dont il use contre les communautés religieuses chrétiennes, et contre les autres seigneurs francs et gallo-romains. Ainsi, selon l'historien allemand Karl Ferdinand Werner, la Provence fut si bouleversée par les exactions de Charles Martel que le surnom « Martel-Marteau » pourrait venir de là et non de la victoire contre les musulmans à Poitiers en 732 (les chroniqueurs musulmans nient la réalité de la bataille de Poitiers). Peu importe : une légende est née. En prétendant avoir écrasé les musulmans, Charles acquiert une aura et une supériorité sur tous les autres chefs francs et gallo-romains. Une nouvelle dynastie, celle des Carolingiens, est née. La Gaule, morcelée en plusieurs principautés, va être unifiée et deviendra la France, environ cinq siècles plus tard, grâce au combat contre les musulmans. En effet, le nom de France ne fut employé de façon officielle qu'à partir de 1190 environ, quand la chancellerie du roi Philippe Auguste a commencé à employer le terme de rex Franciæ (roi de France) à la place de rex Francorum (roi des Francs). 

Ces guerres contre les Sarrasins donneront, entre autres, une trame pseudo historique à beaucoup d'oeuvres culturelles françaises, dont la Chanson de Roland : « La plupart des historiens s'accordent maintenant pour dire qu'à la bataille de Roncevaux, les chevaliers carolingiens ont, en fait, affronté la milice vasconne (basque) et non l'armée sarrasine. En pleine époque de reconquête de l'Europe et de conquêtes en Orient, il est fort possible que le texte de la Chanson de Roland ait été écrit pour donner un fondement historique aux croisades, et transformer une guerre territoriale en guerre sainte ».
 
Le Musulman ou la malédiction de l'Autre
 
Les chrétiens du Moyen Âge qui essayèrent de comprendre, de définir et de caractériser l'Islam étaient tout sauf des “observateurs objectifs et détachés”. Ils ne se différencient en rien d’un Michel Houellebecq, d'un Nostradamus, d'un Lepen ou d’un Claude Imbert. Leur perception des musulmans s'appuie moins sur l'Islam que sur leurs préconceptions chrétiennes de l'histoire et de la géographie divines. Autrement dit, quand les chrétiens du Moyen Âge se penchèrent sur l'Islam, ils le firent à travers le filtre de la Bible et d'auteurs tels qu'Eusèbe, Jérôme, Augustin et Isidore de Séville. La représentation des musulmans est bien le résultat d'une sorte de prophétie : elle est annoncée par les textes de la tradition chrétienne ; elle s'y trouve pré inscrite. Leur existence ne ferait que manifester sur le plan de l'histoire la fonction qu'ils incarnent : celle habituellement dévolue aux puissances maléfiques qui ne cessent de revenir sous différentes formes dans l'Ancien et le Nouveau Testament, les écrits des Pères de l'Église ou les récits hagiographiques (idolâtres qu'a dû affronter le peuple d'Israël, meurtriers du Christ, païens qui vouèrent au supplice les premiers martyrs ou sectes hérétiques combattues par le pouvoir ecclésiastique afin d'affirmer la vérité de son dogme). Ils correspondent surtout aux nations associées à la Bête contre lesquelles le chevalier christique de l'Apocalypse (exemple : Charles Martel) a entrepris de faire la guerre, le manteau trempé de sang et une épée sortant de la bouche (au lieu de la parole employée par les apôtres pour répandre l'Évangile). L'altérité de l'Islam est pensée sur le mode de la répétition. L'Autre n'est pas vraiment différent de ce que l'on connaît : il est toujours plus ou moins le même – c'est-à-dire, ici, le diable.
 
L'Autre est non seulement un repoussoir nécessaire pour construire l'identité de la France ou du christianisme, il doit être exclu des territoires dominés par l'Église (comme cela est le cas avec les hérétiques et les juifs). La société chrétienne ne saurait cependant se contenter de se replier à l'intérieur de ses propres frontières. Avec les Croisades , il lui faut chasser l'Islam pour s'étendre au monde entier et lui imposer son ordre. Ceci est l'ambition de l'universalisme chrétien qui entend couvrir la terre entière jusqu'à ce qu'il n'y ait plus rien d'autre que lui. Le prix à payer pour une telle entreprise « totalitaire » est la constitution d'une société fondée sur l'intolérance. Exclus de la société chrétienne, les autres sont assimilés à des bêtes dépourvues de raison (les juifs comme les musulmans sont comparés souvent à des ânes(*)).
 
Après le haut Moyen Âge, la malédiction qui a pesé sur les « Autres », juifs et musulmans, ne s'est pas arrêtée avec la Renaissance (comme en témoignent notamment l'esclavage, la Shoah et l’islamophobie actuelle). Ces brefs rappels invitent le lecteur, non pas à condamner simplement une période qui serait heureusement révolue, mais plutôt à en sortir. Ce que, comme nous l'avons vu ci-dessus, beaucoup de Français contemporains sont incapables de faire.
 
Faut-il avoir peur de l’islam ?
 
Certaines études réalisées dans différents pays, établissent à 6 % le nombre de personnes supposées musulmanes (de par leurs parents) dans l'Europe de 2010, soit 44,1 millions. Les projections montent à 8 % en 2030. Et les rapports précisent qu'une possibilité d'Eurabie comme disent les thuriféraires de l'arrêt de l'immigration et de l'expulsion, est sans fondement. Le Financial Times écrit : "L'islamisation, et a fortiori la charia, n'est pas une perspective envisageable grâce à une poussée démographique". L'INED arrive au même résultat pour la France : en 2010, 2,1 millions de personnes se sont déclarées musulmanes pratiquantes en France - pour 63 millions d'habitants. D'autre part les démographes Youssef Courbage et Emmanuel Todd ont démontré que la fécondité des pays musulmans chute partout et finit par rejoindre celle des Européens. Malgré ces chiffres, dont il faut bien tenir compte, l'extrême droite européenne fait semblant de les ignorer et se réfère à d'autres chiffres alarmistes dont ils se servent politiquement. 
 
L'anthropologue des religions Malek Chebel, s'en inquiète : "[...] Marine Le Pen passe sous silence les milliers de musulmans éduqués, les cadres, les médecins, les ingénieurs, les militants politiques et syndicaux, les étudiants" bref, l'intégration réussie mais silencieuse. Il ne reste que la peur de l'islamisme intégriste terroriste et conquérant. Mais ce dernier fait infiniment plus de dégâts en terre d’islam qu’en Europe. Tous les jours, des centaines d’innocents Arabes (musulmans et chrétiens) sont suppliciés, sans que cela émeuve beaucoup d’Européens. Au contraire, ces derniers arment les assassins, car, pour eux, comme le disent les sionistes « un bon Arabe est un Arabe mort », .
 
Hannibal GENSERIC http://numidia-liberum.blogspot.com/2014/01/lislamophobie-socle-identitaire-de-la.html
 
(*) Dans un article intitulé « les Arabes, précurseurs de l’ère numérique  » j’avais écrit : "Lorsque les écrits d'Al-Bîrunî (savant mathématicien ; 973-1048) parviennent en Europe, son nom fut francisé en Aliboron. Pour les savants européens d’alors, ses œuvres apparaissent comme ardues, voire ésotériques. Au lieu de reconnaître leur incompétence, les savants français se sont moqués du contenu de ses livres. Par dérision, Al-Bîrunî, alias Aliboron, fut affublé du sobriquet de Maître Aliboron. Au 14e siècle, Jean Buridan (1300-1358), maître scolastique et philosophe aristotélicien, nomma Aliboron son célèbre âne affamé et assoiffé qui, placé à égale distance d'un seau d'eau et d'une botte de foin, mourut de faim et de soif, faute d'avoir su choisir dans quelle direction aller en premier. Par la suite, d'autres ânes furent nommés Aliboron, et "Maître Aliboron" devint une périphrase pour désigner l'âne par excellence, comme on le lit chez La Fontaine.  Du reste, je suis convaincu que La Fontaine n’aurait pas utilisé ce mot s’il savait l’ânerie qui en a été l’origine. Autrement dit, les ânes ne sont pas toujours ceux que l’on pense !"
 

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30 réactions à cet article    


  • gaijin gaijin 28 janvier 2014 10:11

    dommage de ne pas avoir poursuivit la partie géopolitique de l’ analyse jusqu’à l’époque actuelle pour s’interroger sur la curieuse concordance des temps entre l’effondrement du bloc soviétique et la montée de l’islamisme radical et du terrorislamisme .......


    • fcpgismo fcpgismo 28 janvier 2014 10:25

       Ni Dieu ni maître toute religion n’est qu’un système d’asservissement de la pensée du prêt à penser,au service d’ une caste.


      • soi même 28 janvier 2014 13:28

        fcpgismo, se paye notre tête, qui défend le Gender ?
         C’est fcpgismo !


      • soi même 28 janvier 2014 11:31
        L’islamophobie en France, est bien un four tous intellectuel pour bien préparer les esprits faibles.

        Publiquement on dénonce des fait marginaux, on les monte en épingle, ( polémique de Jospin sur le voile ) les esprits s’enflamment. Résultat on tend la perche aux radicaux Islamistes .

        Et bien on est bien avancer, ticket gagent la banalisation des idées Lepenismes, installation durable de revendication communautaire, légitimation par le dénis de radicaux Islamistes, et d’autre forces plus insidieuses qui prenne la main de nos affaires en toutes discrétions et qui pèsent aujourd’hui pour baissier tous véritables solutions...


        • Senatus populusque (Courouve) Senatus populusque (Courouve) 28 janvier 2014 13:51

          J’ai pu traduire « four tous » = fourre-tout, mais il me manque la traduction de « baissier ».


        • soi même 28 janvier 2014 18:53

          ( L’indice est entraîné à la baisse par les spéculateurs baissiers, qui ont les mains libres pour manipuler le marché étant donné que personne ne veut se mettre en face pour acheter. )


        • foufouille foufouille 28 janvier 2014 11:59

          "Certaines études réalisées dans différents pays, établissent à 6 % le nombre de personnes supposées musulmanes (de par leurs parents) "

          c’est génétique ?


          • Kookaburra Kookaburra 28 janvier 2014 12:18

            Le terme d’islamophobie est utilisé pour faire de l’islam un objet inaccessible à la critique, sous peine de poursuites. Il devient le nouvel instrument de propagation du fondamentalisme qui s’avance masqué, drapé dans les atours de la victime. Il cherche à rétablir le délit de blasphème et à l’associer au racisme. Or, la critique d’une religion n’a rien à faire avec une race. D’ailleurs, il y a des croyants de toutes les races dans l’islam. On a le droit de détester une religion et de le dire. Le terme d’islamophobie est utilisé aussi par les islamistes contre les musulmans libéraux qui ose critiquer les anachronismes de leur religion ou pour stigmatiser les jeunes femmes musulmanes qui veulent s’affranchir du voile ou épouser l’homme qu’elles aiment indépendamment de sa religion. Avec ce terme nous assistons depuis vingt ans à la fabrication d’un nouveau délit d’opinion.


            • Ruut Ruut 28 janvier 2014 12:31

              J’aime bien le dessin.
              Tous les dogmes sont par essence mauvais.


              • Fergus Fergus 28 janvier 2014 16:32

                Bonjour, Ruut.

                Je ne suis pas loin de penser comme vous, mais je nuancerais quand même en disant plutôt : « Tous les dogmes sont porteurs d’effets pervers. »

                Et l’histoire montre malheureusement que les déviances prennent rapidement le pas sur une pensée originelle qu’elles dénaturent.


              • paul 28 janvier 2014 12:47

                En terrain miné de façon institutionnelle par les gouvernements et leurs médias qui propagent la haine contre telle ou telle catégorie de la population, dur, dur de lutter .
                 www.lesinrocks.com/auteur/paul-moreira/
                 television.telerama.fr/ television/ une-vague-de-racisme-deferle-sur-france-2, 95115.php


                • Senatus populusque (Courouve) Senatus populusque (Courouve) 28 janvier 2014 13:07
                  Voltaire (1694-1778) :

                  « Il était bien difficile qu’une religion si simple et si sage, enseignée par un homme toujours victorieux, ne subjugât pas une partie de la Terre. En effet les musulmans ont fait autant de prosélytes par la parole que par l’épée. Ils ont converti à leur religion les Indiens et jusqu’aux nègres. Les Turcs même leurs vainqueurs se sont soumis à l’islamisme. [...] Les premiers musulmans furent animés par Mahomet de la rage de l’enthousiasme. Rien n’est plus terrible qu’un peuple qui, n’ayant rien à perdre, combat à la fois par esprit de rapine et de religion. »


                  • Hannibal GENSERIC Hannibal GENSERIC 28 janvier 2014 16:35

                    @Senatus. Voltaire détestait, avec raison, toutes les religions. N’osant pas attaquer le christianisme, de peur de se faire rôtir ou empaler, il s’est défoulé sur les musulmans et les juifs, ce qui confirme l’objet de mon article. 

                    Voici ce que Voltaire écrit, par exemple, sur les Juifs :

                    "Toujours superstitieuse, toujours avide du bien d’autrui, toujours barbare, rampante dans le malheur, et insolente dans la prospérité, voilà ce que furent les Juifs aux yeux des Grecs et des Romains qui purent lire leurs livres". (Tome 1, page 186)

                    "Si Dieu avait exaucé toutes les prières de son peuple, il ne serait restés que des Juifs sur la terre ; car ils détestaient toutes les nations, ils en étaient détestés ; et, en demandant sans cesse que Dieu exterminât tous ceux qu’ils haïssaient, ils semblaient demander la ruine de la terre entière." (Tome 1, page 197)

                    " N’est-il pas clair (humainement parlant, en ne considérant que les causes secondes) que si les Juifs, qui espéraient la conquête du monde, ont été presque toujours asservis, ce fut leur faute ? Et si les Romains dominèrent, ne le méritèrent-ils pas par leur courage et par leur prudence ? Je demande très humblement pardon aux Romains de les comparer un moment avec les Juifs." (Tome 1, page 226)

                    Prenez Google, tapez Voltaire antisémite et vous allez trouver des tas de citations.

                    En lisant les commentaires ici, vous voyez bien que la plupart dénotent bien d’une paranoïa doublée d’esprits moyenâgeux, confirmant bien ce que j’écris. Ceux qui croient que je défends la religion musulmane, n’ont apparemment lu les insultes musulmanes que j’ai reçues dans mes autres articles , comme dans « le coût économique de la religion musulmane », ou bien « les nouveaux assassins ».


                  • philouie 28 janvier 2014 13:20

                    oui,

                    en plus le chantage à l’antisémitisme dont serait porteur les musulmans pour véhiculer un message proprement antisémites. sémites nos plus juifs mais arabo-musulmans.

                    nous vivons une époque à vomir.


                    • DanielD2 DanielD2 28 janvier 2014 13:52

                      L’auteur fait l’impasse sur les milliers de razzias des musulmans en Europe.

                      Une phrase symptomatique :

                      « Au sud, le Languedoc, la vallée du Rhône, les marches pyrénéennes sont sous administration musulmane. »

                      Et qu’est-ce que « une administration musulmane » faisait en Espagne et au Nord des Pyrénées ?

                      Et j’imagine que pour l’auteur, les 2 sièges de Vienne étaient une sympathique viré touristique.

                      Le monde musulman, quand il était en position de force, à toujours essayé d’envahir l’Europe. Par l’Espagne, par les Balkans, par le Cocasse. Jusqu’à la colonisation du Magreb, les Musulmans faisaient régner la terreur en Méditerranée à coup de piraterie et de razzia sur les cotes Européennes. Des centaines de milliers d’esclaves Européens ont été libéré au Magreb après la conquête.

                      Bref, faire passer les Européens pour d’horribles intolérants conquérants et les musulmans pour des victimes, c’est une vision religieuse de l’histoire.

                      Et il suffit de lire le Coran pour se rendre compte qu’être islamophobe n’est pas une opinion, c’est un devoir. Vous voulez qu’on parle des appel à la haine, au meurtre, à l’intolérance, etc, que l’on trouve dans chaque page de ce livre ? Et qui explique largement la situation déplorable du monde musulman, incapable de sortir d’un moyen-age culturel. 


                      • Senatus populusque (Courouve) Senatus populusque (Courouve) 28 janvier 2014 14:29
                        On entend dire trop souvent que le Coran est systématiquement mal traduit en français, voire intraduisible. Cet argument est difficilement recevable car il relève de l’immense mauvaise foi des croyants musulmans, comme si leur culture était supérieure à la culture occidentale, et leur langue ineffable !! ... J’ai pris soin de consulter plusieurs traductions, et j’ai signalé les variantes quand elles étaient significatives. Au demeurant, j’aimerais bien que l’on me propose, le cas échéant, une meilleure traduction pour les passages concernés, si contestés.


                      • Aristoto Aristoto 28 janvier 2014 14:33

                        L’islamophobie est l’image masqué de l’antisémitisme !!

                        Ces gugus, catholique et musulmans fondamentalistes ne rêve que d’une chose : d’encore se foutre sur la gueule, pour les croisade perpétuelle, c plus qu’une philosophie, pour eux c un principe de vie, le plus fondamentale comme je le disait !


                        • Martin sur AgoraVox Martin sur AgoraVox 28 janvier 2014 19:10

                          Non il n’y a pas un préjugé contre l’islam, de même qu’il n’y a rien de névrotique, il n’y a pas de paranoïa, dans l’attitude critique envers l’islam.

                          Ceci-dit il est devenu très difficile, carrément périlleux, de prendre position en France contre l’islam. Comme le résume bien un commentaire précédent : « Le terme d’islamophobie est utilisé pour faire de l’islam un objet inaccessible à la critique, sous peine de poursuites ».

                          Faut-il avoir peur de l’islam ? Si l’on est attaché aux fondements de l’identité des européens telle qu’elle était jusqu’au milieu du XXème siècle, alors : OUI il faut s’opposer à l’islam.

                          Comme le résume un autre commentaire : « il suffit de lire le Coran pour se rendre compte qu’être islamophobe n’est pas une opinion, c’est un devoir ».

                          Ce qui amène à prendre position contre l’islam, ce ne sont pas le préjugés, ni les névroses, ni la paranoïa ; ce qui amène à prendre position contre l’islam ce sont les faits, les bases sur lesquels repose l’islam.

                          Affirmer que l’islam est une religion comme une autre : ça c’est un préjugé.

                          Non, nous ne pouvons pas accepter de regarder l’islam en France comme une religion comme une autre. Car l’islam n’est pas une religion comme une autre.

                          Contrairement à l’idée que l’on cherche à répandre en France, notamment à travers les programmes de l’enseignement public obligatoire, il faut retenir que toutes les religions ne se valent pas.

                          L’islam est un danger pour les Européens : l’islam attaque les fondements de la société européenne, la progression de l’islam détruit les valeurs européennes.

                          La propagation de l’islam en Europe est une agression contre l’identité européenne.

                          L’identité des Européens est bâtie sur des fondations qui contiennent un grand nombre d’éléments d’origine chrétienne : par exemple la société européenne applique les principes moraux issus de l’enseignement chrétien. Ainsi la laïcité a été inventée par les Européens en appliquant le principe chrétien de tolérance.

                          Une précision sur la tolérance : être tolérant cela ne signifie pas qu’on doit accepter de subir passivement l’intolérance des autres. La tolérance qu’ont adoptée les Européens, qui sont globalement d’ascendance culturelle chrétienne, ne doit pas leur interdire de s’opposer à l’expansionnisme agressif des musulmans. La tolérance s’arrête là où commence l’agression. L’islamisation de l’Europe, facilitée par les cercles politiques au pouvoir, qui sont les collaborateurs de l’islamisation, cette islamisation qui se répand contre la volonté de la majorité des Européens, est une agression et lorsqu’on est agressé on a le droit de s’opposer à l’agression par tous les moyens qui s’avèrent nécessaires.

                          Le recentrage des Européens sur les valeurs chrétiennes apparaît nécessaire et urgent à cause de la progression très rapide de l’islam en Europe. C’est là, à propos de l’acceptation ou du refus de l’islamisation, qu’est mise en avant la question de la tolérance. Il y a sur cet aspect de la tolérance et de l’intolérance une grande différence entre l’islam et la chrétienté.

                          Éloignons nous un instant des textes qui définissent les deux religions et intéressons nous aux messages qu’ont laissé Jésus et Mahomet par l’exemple-même de leur vie.

                          Intéressons nous donc aux faits de leur vies.

                          Jésus n’a jamais appelé à propager par la force la religion chrétienne. Alors que Mahomet a appelé à l’intolérance : il a personnellement propagé l’islam par la guerre, par la violence. L’enseignement de Mahomet, l’exemple qu’il a donné, contient une dose certaine d’incitations à la haine.

                          Certains rétorqueront que la chrétienté a aussi été souvent imposée par la violence. À cela il faut répondre que ceux qui ont utilisé la violence pour propager la chrétienté sont seuls responsables de leurs actions : ils n’ont pas agi en accord avec les enseignements de Jésus, le prophète chrétien. Par contre ceux qui cherchent à imposer l’islam par la violence sont en accord avec la doctrine qu’enseignait Mahomet et même avec les actions guerrières, avec la violence, avec le vol que pratiquait personnellement, le sabre à la main, Mahomet, le prophète de l’islam.

                          Concernant la tolérance de certaines religions et l’intolérance d’autres religions observons aussi que Mahomet, le prophète de l’islam, a défini clairement les règles de l’islam comme devant être les règles politiques – les lois – de la société dans laquelle vivent les musulmans. Alors que Jésus a clairement séparé le domaine politique – « Donnez à César ce qui est à César … » – du domaine religieux.
                           
                          Insistons encore sur le fait suivant : contrairement à l’idée que l’on cherche à répandre en France, notamment à travers les programmes de l’enseignement public obligatoire, il faut retenir que toutes les religions ne se valent pas. Les origines culturelles des Européens actuels sont chrétiennes et retenons que la chrétienté a façonné l’identité des Européens.

                          L’islamisation de l’Europe est une agression contre l’identité des Européens indigènes.


                          • Constant danslayreur 28 janvier 2014 19:34

                            "Ceci-dit il est devenu très difficile, carrément périlleux, de prendre position en France contre l’islam. Comme le résume bien un commentaire précédent : « Le terme d’islamophobie est utilisé pour faire de l’islam un objet inaccessible à la critique, sous peine de poursuites"
                             smiley
                            Sans dééécooonnéééér


                          • Constant danslayreur 29 janvier 2014 07:00

                            Peillon-Titif
                            Arrêtez de raconter des salades et votre vie avec, il n’y a rien à vendre sur AV, c’est un copain qui n’arrête pas de me le rappeler...
                            Et quand je dis rien, c’est nibe, walou, de chez que dalle, pas même ça


                          • cathy30 cathy30 28 janvier 2014 20:14

                            Dommage que l’article soit victimaire.

                            Bien sûr que les maures n’étaient pas musulmans mais de Maurétanie (latins). Il faudrait nous prouver que les musulmans étaient capables à l’époque de soulever une armée pour attaquer l’Europe.
                            Lutte fratricide entre Scythes et Greco/romains pour obtenir l’Europe. 
                            L’empire Ottoman sera celui des descendants de Charlemagne, la lignée Otto (Germains).

                            • Henri Diacono 28 janvier 2014 20:17

                              A Hannibal,
                              Salut à vous et bravo. Une fois encore.
                              L’islamophobie, un enfumage de plus, vieux comme le monde, et destiné encore une fois aux piètres dominés afin que les dominants, apatrides et athées, puissent continuer à « faire leur beurre » en toute quiétude.
                              Et si, par exemple, entre autres « enfumages », une bonne fois pour toutes on mettait historiquement les points sur« les i » des croisades. Il me semble que ces différentes expéditions guerrières auxquelles le populo avait largement été invité, avaient été voulues par les papes (à l’époque la religion commandait tout l’Occident) pour faire oublier les difficultés économiques vécues en terre chrétienne qui auraient pu provoquer des révoltes ou des troubles graves ?
                              Tant que les dominés, pleutres dans l’âme, n’auront pas compris qu’en ayant peur de l’autre, sentiment fabriqué à leur intention par leurs maîtres, ils seront toujours exploités et que rien ne changera. Après l’islamophobie, viendra une autre...phobie.
                               Amen le seul mot commun - à l’heure actuelle - aux juifs,chrétiens et musulmans.


                              • cathy30 cathy30 28 janvier 2014 20:50

                                Eviter les échanges entre l’Orient et l’Occident par la population. 


                              • Hannibal GENSERIC Hannibal GENSERIC 29 janvier 2014 07:01

                                @ Henri Diacono.
                                Enfin quelqu’un qui a compris de quoi on parle.
                                Loin de moi est l’idée de défendre l’islam, ou d’attaquer le catholicisme, je voulais juste montrer qu’hier comme aujourd’hui, les gogos marchent comme un seul homme dès qu’on leur agite le chiffon rouge devant le nez.

                                Islam par ci, Arabe par là, Ils oublient tout d’un coup qui sont les vrais responsables de leurs déboires. Alors rien rien ne vaut une bonne guerre de religions. Vu la nature et le nombre de commentaires ici reçus, ça marche toujours.

                                Naturellement, les Arabes (Maghrébins, Turcs, Iraniens, Paks, ..) dominent les télés et la finance en France, ils sont responsables des démantèlements industriels, ils décident à Bruxelles de tout et de rien, ils concurrencent, par leurs produits à bas coûts les produits hexagonaux, ils pillent les sociétés du CAC40 pour transférer le fric volé en Arabie. Bref, comme le dit Marine, comme le disait Charles (Martel) ils sont les premiers responsables de tous les malheurs de la France. Y compris la peste noire.

                                Quant on vous dit que l’Homo Sapiens est plus intelligent que le l’Homme de Néandertal ou de Cro-Magnon, n’en croyez rien. Internet en est la preuve.


                              • cathy30 cathy30 29 janvier 2014 07:35

                                Vision manichéenne des événements.

                                Les grecs et les germains se sont servis de l’islam et s’en servent encore. Il y a effectivement 2 islam. Mais elles ont en commun le viol et le pillage que pratiquaient les grecs. Il était alors facile d’enrôler les musulmans dans les guerres occidentales. 
                                Nous avons un exemple très récent de leur façons de faire, la dernière guerre mondiale. Pillages et viols des musulmans sur leur passage en Italie, Sicile de la population autochtone. Les grecs ont enrôlés des africains lors de leurs razzias. Les fruits des viols étaient alors recherchés plus tard. Cela faisait des êtres assez violents et excellents pour les faits recherchés. 
                                Pour savoir qui domine le monde regarde vers la city. 


                              • Beauceron Nelson Bonaparte 28 janvier 2014 21:54

                                L’islamophobie est la peur de l’islamisme, pas le rejet des musulmans... à eux de convaincre et de séduire !


                                • Beauceron Nelson Bonaparte 28 janvier 2014 21:59

                                  Hannibal et Genseric étaient paiens, au moins ils ne faisaient pas la guerre au nom d’un dieu ; c’est le monothéisme qui a ravagé le monde méditerranéen depuis le christianisme imposé par l’empereur calculateur Constantin depuis Byzance à l’islam de Mohamed et ses disciples... Au fait quand j’étais gosse à l’école tout le monde était athée, il y avait moins d’embrouilles !


                                  • Hannibal GENSERIC Hannibal GENSERIC 29 janvier 2014 07:06

                                    @Nelson Bonaparte. Tout à fait d’accord. Entre la peste, le choléra, et le sida, je ne choisis pas. Je les laisse à leurs adeptes, qui en sont heureux, comme on le voit.


                                  • Bombe Bombe 30 janvier 2014 00:22

                                    Ce torchon haineux..

                                     On a droit à tout, un résumé de la propagande islamiste des dernières années, sans parler de la haine anti chrétienne du truc..
                                    ça pisse sur la France, le christianisme, l’histoire nationale, mais ça veux ensuite qu’on pleurniche avec lui de l’islamophobie...
                                    Réécriture totale de l’histoire, stigmatisation du peuple, diabolisation de l’histoire du pays etc.. etc....
                                    Le coup des juifs aussi.. qui étaient ultra insignifiants et protégés par l’église mais c’est pas grave.. cet article fait parti de ceux qui réécrivent l’histoire sous un angle anti raciste où les minorités ont forcément étés les victimes de la majorité blanche et chrétienne...

                                    Les premiers à crier à l’islamophobie sont comme les premiers à crier au racisme, ce sont les plus haineux, les plus racistes, les plus conquérants, ces gens sont les plus susceptibles, si je commence à parler des noirs en disant ci ou ça, le premier qui me traitera de négrophobe sera le noir raciste qui supportera le moins la critique, pareil avec le concept d’islamophobie.

                                    L’islamophobie ?
                                    0 mosquées en France il y a 90 ans,
                                    2400 aujourd’hui.

                                    10 000 musulmans en France en 1910
                                    6 millions aujourd’hui.

                                    Les gens n’aiment pas se faire coloniser, c’est partout pareil.
                                    C’est avant tout culturel, anthropologique, civilisationnel, ethnique et ensuite religieux.

                                    Il n’y a pas d’islamophobie réelle en France vu que l’islam a clairement été favorisé à mort, tant qu’aux actes anti religieux, ils touchent très clairement les chrétiens bien avant l’islam.

                                    «  »L’esclavage, la shoah, l’islamophobie«  »

                                    Quel esclavage ? celui des musulmans ? traite arabe ? barbaresques ? ottomans ? traite des blanches ?
                                    Non mais c’est honteux, l’autre qui voudrait nous faire gober que les croisades seraient de l’intolérance chrétienne alors qu’elles n’étaient qu’une réponse à l’invasion islamique, voilà pourquoi on ne pourra vivre ensemble, vous ne défendez pas notre civilisation mais la votre tout en nous crachant dessus.
                                    Mais oser comparer l’esclavage ou la shoah à l’islamophobie là c’est trop...

                                    L’islam n’était pas ici il y a encore quelques années, il n’a d’ailleurs pas vocation à y rester, si le système considère cette présence comme acquise c’est son problème.. 
                                    mais moi je vais pas chez les autres avec des millions des miens pour leur expliquer que je veux vivre chez eux comme chez moi, je vais pas me victimiser si on me rejette, je vais rentrer chez moi..

                                    Ensuite on nous fait presque accepter que 8% de musulmans en Europe en 2030 serait acceptable.. pas vraiment..

                                    • raymond 30 janvier 2014 20:41

                                      « L’islamophobie ?

                                      0 mosquées en France il y a 90 ans,
                                      2400 aujourd’hui.
                                      10 000 musulmans en France en 1910
                                      6 millions aujourd’hui. »
                                      C’est faux et même si ???? ou est le problème ? avez vous demandé leur certificat de bons français à tous les pauvres bougres morts pour votre pauvre patrie ?

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