L’OMS : Organe de Propagande du Lobby Pharmaceutique
Non content de s'être lamentablement planté dans ses prospectives de début d'année sur la crise du Coronavirus, choisissant de donner intérêt et total crédit aux pronostics et prévisions délirantes de Neil Ferguson, qui s'était d'ailleurs déjà fourvoyé de façon similaire lors de l'épisode H1N1, surestimant grandement les conséquences, et qui prédisait cette fois des centaines de milliers de morts par pays à cause du coronavirus, l'OMS, qui fut un intermédiaire important de ce dangereux catastrophisme, nous assure maintenant que le Coronavirus pourrait « ne jamais disparaître » !
On aurait bien envie de se plier de rire si tout cela n'était pas si grave. Non seulement l'OMS semble incapable de la moindre auto-critique, mais de plus se relance de plus belle dans les registres de la débilité crasse et du conflit d'intérêt.
Que des commerciaux et des publicitaires, des avocats ou des politiciens aient un parti pris et usent de divers stratagèmes de communicants est en soi une chose relativement compréhensible, mais quand cela vient de l'Organisation Mondiale de la Santé, et que cela se fait avec autant de cynisme, ça devient extrêmement préoccupant.
Bill Gates de son côté, non content de nous avoir imposé le monopole de Windows ad vitam aeternam pour nos ordinateurs, nous rappelant au passage à la formidable hypocrisie du capitaliste emblématique qu'il est, croyant aux vertus constructives de la concurrence et de la compétitivité, mais uniquement pour les autres, entend lui forcer l'humanité tout entière à se vacciner contre le terrible Coronavirus. Et cela, bien sûr, toujours au gré de cette insupportable science cynique du communicant moderne, dans le but stricte et inattaquable de veiller au bien être de l'humanité. C'est aussi dans ce but philanthropique immaculé qu'il finance au travers de sa fondation l'OMS et quantité de médias d'envergure dans le monde entier à hauteur de millions de dollars par ans, y compris des médias Français d'ailleurs.
L'OMS et Bill Gates, on l'aura compris, travaillent pour le complexe pharmaceutique. Une industrie qui est probablement dans les faits devenue pour l'humanité un fléau bien pire que toutes les maladies jamais connues dans toute l'histoire. Une industrie tentaculaire notamment capable d'imposer à des pays entiers la vaccination obligatoire des populations, et ce, grâce à des agents commerciaux placés aux plus hautes places de nos gouvernements. Ainsi, en 2018, étaient imposés en France rien de moins que 11 vaccins obligatoires pour les enfants... Un scandale absolument surréaliste, une abomination d'ailleurs toujours en vigueur et que les diverses frondes désespérées d'une minorité consciente des risques parmi les populations n'ont à ce jour jamais pu contre-carrer.
L'industrie pharmaceutique, dans la logique capitaliste, vise perpétuellement la croissance, et dans cette optique, si les maladies naturelles ne sont soudain pas assez virulentes et menaçantes, il convient bien sûr d'en inventer des nouvelles.
Rappelons brièvement que nous devons aussi à cette industrie quelques inclassables et formidables progrès : Le Napalm, le Zyklon B et le gaz sarin par exemple. On leur doit aussi le Round up et l'émergence de la tentaculaire corporation Monsanto, célèbre institut de bienveillance pour l'humanité, elle aussi. En clair, quand elle ne fabriquait pas encore de « médicaments », les prémices de l'industrie pharmaceutique faisait dans les armes de guerre, une bien étrange concomitance.
À ce sujet, on aimerait d'ailleurs parfois que nos amis journalistes antifascistes, surtout en ces temps de pandémie mondiale, s'intéressent un peu moins à la pseudo extrême droite et aux grands discours moralistes abscons, et un peu plus aux origines historiques de la création du complexe pharmaceutique, ils réaliseraient peut-être enfin que la genèse de toute cette organisation et de ce marché captif remonte à l'Allemagne des « belles années » et aux authentiques fascistes. Ils réaliseraient que les premiers progrès dans le domaine de la pétro-chimie, et dont est issue cette industrie médicamenteuse, sont nés au cœur du consortium Nazi. IG Farben, dont on ne parle que trop rarement au bulletin des nouvelles, était abreuvée, déjà à l'époque, par des capitaux et des moyens logistiques généreusement fournis, là encore, par de « philanthropes » Américains, et ce fut là ce qui constitua le contexte de l'émergence du tout premier modèle de colosse industriel, le tout premier modèle de « multi-nationale » de l'histoire moderne.
Au lieu de cela, nous avons en vitrine de nos radios publiques quelques énergumènes au QI de haricot vert, bobos indigents, ignares et incultes qui se permettent de cracher sur la personne de Dider Raoult et sur ses pseudos « fans ». Comment peut-on laisser de tels arrivistes dénigrer ainsi en toute impunité une sommité de la médecine Française à la tête d'un hôpital high-tech et d'une équipe de médecins hautement qualifiés qui ne font eux pas dans les beaux discours mais dans le soin médical et la recherche, dans la science, et qui ont prouvé, je répète « prouvé », que ce maudit Coronavirus était parfaitement soignable. Et cerise sur le gâteau, ces énergumènes vendus aux discours officiels sont sponsorisés par les deniers publics. Oui, c'est en étant rémunérés avec votre propre pognon qu'ils vous insultent. Au lieu de faire leur boulot, ces champions du politiquement correct entendent fièrement débusquer le fascisme en s'en prenant éternellement à des cliches éculés et à Alain Soral notamment, leur punching ball favorit, et contre lequel ils ne tiendraient pas 2 minutes, ni dans un débat, ni dans un ring.
Ces indigentes raclures, sponsorisées par nos impôts, continuent ainsi leur joyeux travail de désinformation, poussant leur travail de propagandiste jusqu'au ridicule le plus total et cautionnant ainsi depuis plusieurs semaines ce qu'il convient d'appeler un ignoble crime d'état contre les personnes âgées de notre pays, contre nos anciens, qui sont ceux qui étaient les plus fragiles et les plus à risque face à la maladie, et qu'on a abandonné à leur sort dans les Ehpad, les refusant dans les hôpitaux, leur administrant des substances dangereuses, inefficaces et onéreuses en lieu et place des traitements appropriés. Plutôt que de concentrer la prévention sur eux et de simplement les soigner de façon appropriée, nos dirigeants nous ont imposé à tous un délire total, une psychose surréaliste, une dictature sanitaire dont certains des effets seront irréversibles pour les libertés publiques, et cela se ressent d'ailleurs dans le ton insupportable avec lequel s'adressent à nous nos dirigeants dans leurs communiqués. Ils nous ont infantilisés et réduits, un peu plus encore, à du simple bétail. Ils ont, au lieu de réagir intelligemment et de faire simplement leur travail, sacrifiés notre économie déjà vacillante. Et si cette économie est aujourd'hui vacillante, ce n'est d'ailleurs en rien à cause de la productivité Française elle-même, d'un quelconque manque de savoir faire Français ou d'un manque d'effort à la tâche de la brave population Française, mais essentiellement à cause de l'incompétence politicienne cumulée et de leurs différentes trahisons depuis trois ou quatre décennies.
Et après tout cela, après une telle incurie, un tel scandale sanitaire et une telle incompétence de leur part à tous, l'OMS a le culot de se pointer la tête enfarinée et de nous annoncer que le Coronavirus ne « disparaîtra peut-être jamais ». « Il nous faut un douzième vaccin obligatoire messieurs dames ! », et surtout, « il nous faut vacciner la totalité de la population ! ». Ce serait sinon, n'ayons pas peur des mots, un cas de non-assistance à personnes en danger !
Mais combien de temps continuerons-nous à souffrir et endurer ces surréalistes scandales ?
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