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L’Union européenne et sa « carte bleue » pour faciliter l’immigration non-européenne

L’immigration non européenne est-elle choisie ou subie ? Les députés français peuvent toujours mettre en scène une certaine agitation médiatique autour de la question d’immigration, cependant la France ainsi que les autres États membres de l’Union européenne sont tenus - par la décision conjointe des instances de l’Union européenne - d’ouvrir grandes les portes à l’immigration non européenne.

Cette décision d’augmenter fortement les flux d’immigration non européenne est dictée par les lobbies représentant les cercles favorables à la mondialisation [1] (voir les notes en fin de l’article).

  • La décision politique d’augmenter fortement les flux d’immigration non européenne est-elle démocratique ?

On peut être en faveur de cette décision comme en peut être contre. En démocratie toutes les opinons doivent être permises. Mais en démocratie chaque décision doit être fidèle aux souhaits de la majorité des citoyens. Le thème omniprésent dans le présent article, comme dans la plupart de mes articles est : est-on certain que les règles fondamentales de la démocratie ont été respectées lorsqu’a été prise cette décision politique d’augmenter fortement les flux d’immigration non européenne ?

Dans une société démocratique, il faudrait prendre ce genre de décision d’ouvrir grandes les portes à l’immigration non européenne, influençant fortement l’avenir et l’existence même des peuples européens, seulement après s’être assuré que la population européenne est majoritairement favorable à cette ouverture des frontières externes de l’Union européenne. En l’absence de consultation démocratique sur cette question, une chose est certaine : l’évolution de la législation de l’Union européenne crée intentionnellement les conditions qui facilitent l’augmentation des flux d’immigration non européenne.

  • Quelle est la portée réelle des lois françaises sur l’immigration ?

Deux faits très importants relativisent la portée des textes de loi qui peuvent être adoptés dans le cadre du droit français. D’une part, ces textes de loi votés par les députés et sénateur français doivent être conformes au cadre législatif défini à Bruxelles par la Commission européenne [2] laquelle prévoit d’ouvrir plus grandes les portes de l’immigration non européenne (cela est exposé plus loin dans l’article). D’autre part, ces textes ne peuvent être mis en application de façon isolée sur le territoire français dont les frontières internes sur l’Union européenne sont désormais entièrement ouvertes.

Même si les députés ou sénateurs voulaient réellement mettre en place une politique spécifique à la France pour l’immigration non européenne, cette politique spécifique ne serait pas efficace, car lorsque les immigrés non européens viennent s’installer dans un État membre de l’Union européenne, ils en obtiennent la nationalité après quelques années, après quoi ils peuvent s’installer sans obstacles dans n’importe quel autre État membre de l’Union européenne, puisque les frontières internes de l’Union européenne sont ouvertes. Concernant l’immigration non européenne, désormais seule la politique commune à l’Union européenne peut être efficace. La question est ensuite de savoir quelles sont les orientations de cette politique européenne commune.

L’agitation autour des textes sur l’immigration qui ont été adoptés par l’Assemblée nationale française et par le Sénat français n’est qu’une façade médiatique, derrière laquelle se met en place la véritable politique d’immigration sur le long terme, la politique d’immigration décidée au niveau de l’Union européenne, à laquelle devront rapidement se conformer tous les États membres de l’Union européenne.

Ce cadre législatif européen, qui sera bientôt rendu encore plus accueillant à l’immigration non européenne et qui sera harmonisé par l’introduction de la « carte bleue » - une carte de séjour commune aux États membres de l’Union européenne - a pour objectif officiel d’augmenter très fortement les flux d’immigration en provenance d’autres continents. Les objectifs chiffrés d’augmentation des flux d’immigration en provenance d’autres continents sont disponibles, mais ne provoquent pas de réaction majeure de la part des citoyens européens. Peut-être parce que les médias n’y attachent pas une grande importance. Ou peut-être parce que les citoyens sont majoritairement d’accord avec ces décisions politiques. Ou peut-être parce que les citoyens, trop occupés à gérer les contraintes de la vie au jour le jour, omettent de porter le regard au loin afin d’apercevoir l’avenir qu’on leur prépare en haut lieu.

La Commission européenne présentera le 23 octobre 2007 son projet de « carte bleue » qui est préparé par le commissaire en charge de l’Immigration, M. Franco Frattini. L’objectif matérialisé par cette carte de séjour, appelée « carte bleue », est de mieux ouvrir les portes à l’immigration en provenance d’autres continents [3]. Le but officiellement affiché est de combler le manque de main-d’œuvre qualifiée. Le but non affiché est de combler le déficit démographique de l’Union européenne.

La Commission européenne et les autres instances politiques européennes prennent depuis des années des décisions qui conduisent au remplacement de la population européenne autochtone par des populations en provenance d’autres continents. Peut-être parce que les citoyens européens sont majoritairement d’accord avec le remplacement prévu, ou peut-être qu’ils ne sont pas d’accord - on ne le sait pas car ils n’ont pas été appelés à participer à la décision de faciliter leur remplacement sur le continent européen.

Cette décision de continuer d’accueillir et d’amplifier le flux d’immigrés non européens, est présentée, par les politiques au pouvoir et pas les lobbies économiques qui les entourent, comme étant la seule solution possible. Mais d’autres solutions existent [1].

  • Le manque de main-d’œuvre qualifiée est le résultat d’une mauvaise gestion politique !

Le manque de main-d’œuvre qualifiée est notamment le résultat de la responsabilité défaillante des politiques qui se sont succédé au pouvoir depuis des décennies. La tâche des ministres de l’Education, de l’Enseignement supérieur et d’autres responsables des filières de formation professionnelle, est, ou devrait être, l’adaptation des cursus de formation, y compris la formation professionnelle continue, en fonction de l’évolution des besoins en qualifications sur le marché de travail. C’est une solution de facilité que d’importer la main-d’œuvre qualifiée qui a été produite hors du continent européen. Cette solution de facilité est un signe d’échec du système de formation mis en place dans les États membres de l’Union européenne.

Par ailleurs, il est possible d’organiser une société stable même quand la population diminue. Cependant cela est contraire aux intérêts des lobbies économiques et financiers qui pour défendre leurs intérêts prêchent la croissance économiques perpétuelle [1].

  • Quelle est l’ampleur des flux de l’immigration non européenne que souhaitent organiser les politiques au pouvoir ?

Les dirigeants politiques des États membres de l’Union européenne ont délégué aux instances de l’Union européenne, notamment à la Commission européenne, la responsabilité de mettre en place la politique d’immigration non européenne telle qu’elle est souhaitée par divers lobbies économico-financiers et par les organisations internationales telles que par exemple l’Organisation des Nations unies. Les hauts responsables de l’Organisation des Nations unies répètent inlassablement et avec de plus en plus d’insistance que « l’immigration de remplacement est la solution pour les populations européennes en déclin et vieillissantes ».

Le flux de remplacement de la population européenne dont les taux de fertilité sont largement inférieurs au seuil qui permettrait d’en assurer le renouvellement, devrait d’après les estimations de la Commission européenne, atteindre plusieurs millions d’immigrés par an.

Selon le commissaire en charge de l’Immigration, M. Franco Frattini, l’Union européenne comptait 18,5 millions d’immigrés non européens légaux en janvier 2006, soit « près de 4 % de la population de l’UE ». On pourrait ajouter que malgré les flux d’immigration massifs, le nombre d’immigrés non européens légaux est stable dans les États membres de l’Union européenne. Cela est dû au fait que ces États permettent la naturalisation dès que le séjour légal sur le territoire de l’État a duré quelques années. Naturellement dès qu’une personne a obtenu la nationalité d’un État membre de l’Union européenne, elle n’est plus comptabilisée comme immigrée. Voilà comment les statistiques officielles permettent d’affirmer qu’ « il ne peut pas y avoir un problème d’immigration en forte croissance par rapport à il y a quelques dizaines d’années, puisque le nombre d’immigrés est stable depuis des décennies ».

  • Quelles ingérences étrangères interviennent pour que les flux d’immigration non européenne soient fortement augmentés ?

Cette décision des instances l’Union européenne de mieux ouvrir les portes à l’immigration non européenne n’aurait pas pu être préparée sans la caution approbatrice des gouvernements des États membres de l’Union européenne. Comme cela a déjà été évoqué, cette tendance est par ailleurs soutenue par les instances internationales non européennes qui se permettent des ingérences dans les affaires européennes.

Par exemple, la Division de la population du département des affaires économiques et sociales, de l’Organisation des Nations unies, a publié un rapport intitulé « Migration de remplacement : est-ce une solution pour les populations en déclin et vieillissantes ? ». À cette question l’Organisation des Nations unies répond par un OUI. En voici le résumé en français :

Ce rapport prétend qu’il n’y a qu’une seule solution au déclin démographique des Européens autochtones : l’immigration massive en provenance d’autres continents. L’ONU précise que dans un pays où le taux de fertilité est dans la moyenne européenne, il faut chaque année 6 000 immigrés par million d’habitants. Pour le continent européen entier, avec 720 millions d’habitants, les dirigeants de l’ONU veulent donc que chaque année 4 320 000 immigrés non européens viennent remplacer les Européens autochtones en voie de disparition. En cent ans, jusqu’en 2100, cela voudrait dire que plusieurs centaines de millions immigrés non européens seront venus en Europe.

À aucun moment les instances internationales n’envisagent que les Européens pourraient organiser leur société de manière à perdurer malgré la réduction de la population au lieu de disparaître par le remplacement.

Depuis des années, tous les rapports de l’ONU, toutes les interventions des dignitaires de l’ONU auprès des dirigeants européens, avancent l’argument que pour assurer une forte croissance économique en Europe il faut une forte immigration non européenne [4]. La croissance économique est-elle le critère suprême ? Les Européens sont-ils d’accord avec ce diktat que les instances politiques internationales cherchent à leur imposer, les Européens autochtones sont-ils prêts à être remplacés sur leur continent d’origine afin que les profits des entreprises croissent d’avantage ? En vérité ce diktat doit être fermement refusé par les Européens car l’extinction n’est pas un destin inévitable des Européens autochtones. C’est ce que démontre mon article publié sur mon blog « Mondialisme, meilleure productivité, durée de travail accrue : à qui cela profite ? ». Lien : Agoravox

  • Les lobbies locaux militent en faveur de la forte immigration non européenne - avec quelles conséquences ?

Le manque de main-d’œuvre était déjà à l’ordre du jour dans les années 1950. Il peut être intéressant de faire la comparaison avec les solutions qui à ce moment-là ont été adoptées en France ou dans d’autres pays d’Europe occidentale d’une part, et au Japon d’autre part.

Dans les années 1950-1960, il a été décidé en France d’importer des immigrés d’Afrique (du nord et sub-saharienne). La justification a été que l’industrie et l’économie en général ont besoin de toujours plus d’ouvriers pour assurer la croissance. Et c’était le commencement des changements massifs dans la structure raciale ou ethnique et religieuse de la population française, qui d’une population européenne aux racines culturelles chrétiennes au début du XXe siècle est devenue une population métissée et de plus en plus marquée par l’islam au début du XXIe siècle.

Toujours dans les années 1950-1960, mais au Japon, il a été décidé d’automatiser l’industrie et les Japonais ont investi dans les robots et la réorganisation du travail dans tous les secteurs économiques. Ils ont réussi à créer une expansion économique durable et la population japonaise n’a pas changé sa structure raciale, ethnique ou religieuse.

Il y a là matière à de nombreuses études qui pourraient examiner comment les décisions dans un domaine - l’économie ou l’industrie - produisent des effets durables et parfois irréversibles dans d’autres domaines - culture, structure raciale ou ethnique de la population, structure religieuse...

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  • Notes :

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[1] Lire l’article « Mondialisme, meilleure productivité, durée de travail accrue : à qui cela profite ? ». Lien :

Agoravox


[2] Lire l’article « L’Assemblée nationale et le Sénat : une délocalisation "réussie" ». Lien :

Agoravox

[3] Liens :

Le Monde

Romandie

[4] Par exemple, en 2001, la Division de la population des Nations unies, a même augmenté la pression sur les Européens en énonçant que 4,5 millions d’immigrés non européens ne suffiront pas, mais qu’il faut 13,5 millions de nouveaux immigrés par an en Europe. Vous avez bien lu, cela signifierait 135 millions en seulement dix ans. Lien sur un article publié par Unesco.

Citation de cet article : « Loin de menacer la protection sociale, les immigrés contribueraient à préserver le niveau de vie d’une Europe vieillissante. Selon la Division de la population des Nations unies, il faudrait 13,5 millions de nouveaux immigrés par an en Europe pour assurer la stabilité du rapport entre salariés et retraités. »

Cette citation est l’exemple parfait de la pression que l’on exerce sur la population européenne : « si vous voulez continuer à vivre dans le confort, vous devez accepter de disparaître au profit de populations venues d’autres continents ».

Ce chantage poussant à accroître encore le flux d’immigration non européenne est présenté comme la seule solution envisageable.

L’avenir que l’on prépare ainsi pour les peuples européens est en vérité une absence d’avenir. Cette absence de leur propre avenir n’est certainement pas souhaitée par la majorité de citoyens européens. Les dirigeants européens agissent donc de manière antidémocratique, lorsqu’ils mettent en place la solution « d’immigration non européenne de remplacement ». Les dirigeants européens, plutôt que d’agir démocratiquement, préfèrent suivre les instructions rédigées par la Division de la population des Nations unies et par divers lobbies pro-mondialistes.


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27 réactions à cet article    


  • Cris Wilkinson Cris Wilkinson 5 octobre 2007 11:52

    Il y a quand même une chose de drôle avec ce qui concerne ce type d’immigration, c’est que nos cher altermondialiste/gaucho vont main dans la main avec les ultralibérales, qu’ils nous disent haïr.


    • non666 non666 5 octobre 2007 13:55

      L’Internationale du fric a en effet besoin de l’internationale ouvrière pour mener a bien son combat.

      Ce n’est pas un hasard s’ils militent pour le bipartisme, solution necessaire et suffisante pour garder encore l’image d’une société democratique.

      Le reste est diabolisée, ignoré, n’a pas le droit d’antenne.

      En choisissant Royal et en la rendant seule adversaire credible, les medias qui poussent a la mondialisation savaient ce qu’ils faisaient.

      On avait le choix entre une fédéraliste européenne blairiste qui agitait son drapeau bleu blanc rouge pour mieux nous seduire et un fédéraliste libéral qui faisait les yeux doux aux etats unis et a israel : quel choix ! Reduire le choix a ça etait effectivement la première des imposture de notre systeme democratique


    • bulu 5 octobre 2007 13:57

      De toute facon la propagande fait que le mec de gauche croit que cette immigration est bonne, le metissage interessant et que ca pose pas de problemes car notre societe est tolerante ; et le mec de droite croit que ses chefs luttent reellement contre des etrangers qui entreraient illegalement et qui seraient une menace culturelle. Tous sont cocus, les etrangers sont voulus car les interets sont importants :
      - salaires vers le bas
      - natalite
      - division ideologique de la population (autoproclames anti-racistes contre racistes designes, autoproclames francais de souche contre etrangers designes, on stigmatise les vilains etrangers delinquants, on stigmatise les mechants francais racistes...)
      - affaiblissement de la communaute nationale au profit de l’integration europeene et ideologie mondialiste —> individualisme


    • Internaute Internaute 5 octobre 2007 14:24

      Esperons que votre articel sera lu et compris.


      • DAUMINAU 5 octobre 2007 15:04

        Désespérant car ce genre d’analyse est automatiquement taxée de « paranoïa », sans que d’ailleurs personne ne sache exactement ce qu’est la paranoïa.

        Cela fait quelques années que je connaissais cet aspect bidon de l’immigration « nécessaire », bien des articles, ici et là, le signalait ( d’ici 2040, par exemple, selon les calculs de quelques journalistes allemands, l’Allemagne serait habitée par une majorité de ... Turcs. Donc cette méchante Allemagne disparaîtrait au profit d’un nouvel état turc...), mais j’avais lu aussi des rapports de l’ONU et Cie, expliquant, imposant cette immigration de « remplacement ».

        En fait, que les « sales blancs » européens disparaissent, place à la si sublime Afrique.

        Désespérant, désespérant car la population « victime », - nous - laissons faire au nom d’un politiquement correct qui n’est qu’un bâillon.

        Au nom d’une « repentance » excessive, l’Europe doit être purement et simplement COLONISEE. Quelques masochistes trouvent cela très bien, au nom d’un juste retour. Masos qui oublient un peu vite que des milliers de gens - leurs pères, leurs oncles, voire leurs mères - se sont battus, sont morts aussi, pour que ces africains, et aussi les orientaux, puissent venir librement en Europe. Venir ET repartir. Pas s’y installer.

        Moi, je veux bien me battre pour que les Africains puissent vivre LIBREMENT dans leurs pays. Dans leurs pays. Pas chez moi, pas à ma place.

        Il est même étonnant que ce fil n’ait pas été censuré !


        • bulu 5 octobre 2007 16:50

          « Au nom d’une « repentance » excessive, l’Europe doit être purement et simplement COLONISEE. Quelques masochistes trouvent cela très bien, au nom d’un juste retour »

          Vous n’avez pas compris l’article, il n’est point question de repentence, mais de bizz


        • polo 5 octobre 2007 15:16

          « Un jour, des millions d’hommes quitteront l’hémisphère sud pour aller dans l’hémisphère nord. Et ils n’iront pas là-bas en tant qu’amis. Parce qu’ils iront là-bas pour le conquérir. Et ils le conquerront avec leurs fils. Le ventre de nos femmes nous donnera la victoire ».

          Houari Boumedienne (président de l’algérie, devant une tribune de l’ONU en 1973)

          « Grâce à vos lois démocratiques, nous vous envahirons. Grâce à nos lois islamiques, nous vous conquerrons »

          Propos tenus pendant une réunion inter-religieuse en Turquie.

          « La France deviendra dans moins de 20 ans la colonie de ses anciennes colonies ».

          Vladimir Poutine

          Je rappellerai inlassablement ces propos, tant que nos belles âmes pro immigrationniste refuseront d’affronter en face la perspective des lendemains douloureux qui s’annoncent...


          • Gaolinn Gaolinn 5 octobre 2007 16:27

            Effectivement çà fait peur. smiley


          • Pie 3,14 5 octobre 2007 17:42

            Prendre des déclarations violentes hors de leur contexte historique, les agencer ensemble de manière à créer un effet terrifiant, cela s’appelle de la propagande et n’a pas grand chose à voir avec la réalité.

            Exemple : la déclaration de Boumédiène.

            En 1973 l’Algérie accueuille la quatrième conférence des non-alignés qui réclament une augmentation du prix des matières premières et un effort du Nord envers le Sud.

            Ils parviennent à convoquer une scéance extraordinaire à l’ONU en 1974 sur le thème du développement et des matières premières.

            Boumédiène qui apparait comme le leader des non-alignés à cette époque y fait un discours où il prononce la phrase que vous citez.

            A aucun moment il n’est question d’immigration, il prédit simplement que si le Nord refuse d’aider le Sud et perpétue ce qu’il considère comme une exploitation, le Sud ,pauvre , mais riche en hommes se révoltera et détruira le Nord.

            C’est violent évidemment mais pas plus que les discours de ses collègues de l’époque ( Castro, Tito et d’autres).

            De plus, les bientôt quatre décennies écoulées prouvent que Boumédiène s’est trompé. La grande révolte du Sud n’a pas eu lieu, la plupart des non-alignés sont devenus des NPI dynamiques (cf la Chine et l’Inde) sans que le prix des matières premières y soit pour grand chose.

            Replacer les faits dans leur contexte, c’est faire de l’Histoire et c’est plus intéressant que d’agiter des chiffons rouges.

            Vous devriez essayer.


          • masuyer masuyer 5 octobre 2007 22:00

            Pie 3,14,

            merci de votre intervention très intelligente. Hélas j’ai bien peur que sur ce fil la plupart des intervenants n’ont pour tout intérêt historique que la célébration de Jeanne d’Arc. smiley


          • Gaolinn Gaolinn 5 octobre 2007 16:32

            Reçu par internet, juste pour rigoler smiley

            LA CIGALE ET LA FOURMI

            1/ VERSION ANGLAISE

            La fourmi travaille dur tout l’été dans la canicule.

            Elle construit sa maison et prépare ses provisions pour l’hiver.

            La cigale pense que la fourmi est stupide, elle rit, danse et joue tout l’été.

            Une fois l’hiver venu, la fourmi est au chaud et bien nourrie.

            La cigale grelottante de froid n’a ni nourriture ni abri et meurt de froid.

            2 / VERSION FRANCAISE

            La fourmi travaille dur tout l’été dans la canicule.

            Elle construit sa maison et prépare ses provisions pour l’hiver

            La cigale pense que la fourmi est stupide, elle rit, danse et joue tout l’été.

            Une fois l’hiver venu, la fourmi est au chaud et bien nourrie.

            La cigale grelottante de froid organise une conférence de presse et demande pourquoi la fourmi a le droit d’être au chaud et bien nourrie tandis que les autres, moins chanceux comme elle, ont froid et faim.

            La télévision organise des émissions en direct qui montrent la cigale grelottante de froid et qui passent des extraits vidéo de la fourmi bien au chaud dans sa maison avec une table pleine de provisions.

            Les Français sont frappés que, dans un pays si riche, on laisse souffrir cette pauvre cigale tandis que d’autres vivent dans l’abondance.

            Les associations contre la pauvreté manifestent devant la maison de la fourmi.

            Les journalistes organisent des interviews demandant pourquoi la fourmi est devenue riche sur le dos de la cigale et interpellent le gouvernement pour augmenter les impôts de la fourmi afin qu’elle paie « sa juste part ».

            En réponse aux sondages, le gouvernement rédige une loi sur l’égalité économique et une loi (rétroactive à l’été) d’anti-discrimination.

            Les impôts de la fourmi sont augmentés et la fourmi reçoit aussi une amende pour ne pas avoir embauché la cigale comme aide.

            La maison de la fourmi est préemptée par les autorités car la fourmi n’a pas assez d’argent pour payer son amende et ses impôts.

            La fourmi quitte la France pour s’installer avec succès en Suisse.

            La télévision fait un reportage sur la cigale maintenant engraissée. Elle est en train de finir les dernières provisions de la fourmi bien que le printemps soit encore loin.

            L’ancienne maison de la fourmi, devenue logement social pour la cigale, se détériore car cette dernière n’a rien fait pour l’entretenir.

            Des reproches sont faits au gouvernement pour le manque de moyens.

            Une commission d’enquête est mise en place, ce qui coûtera 10 millions d’euros.

            La cigale meurt d’une overdose.

            Libération et l’Humanité commentent l’échec du gouvernement a redresser sérieusement le problème des inégalités sociales.

            La maison est squattée par un gang d’araignées immigrées.

            Le gouvernement se félicite de la diversité multiculturelle de la France.

            Les araignées organisent un trafic de marijuana et terrorisent la communauté.


            • Pie 3,14 6 octobre 2007 01:14

              Tout ce texte pour dire que l’immigré profiteur s’engraisse sur le dos du bon français...

              En voilà de la bonne grosse bêtise autosatisfaite .

              Et en plus , vous précisez : « juste pour rigoler »...entre copains du FN je suppose.


            • moebius 5 octobre 2007 23:02

              ....Mon Dieu !


              • moebius 5 octobre 2007 23:05

                @ l’auteur...c’est quoi ces lobbies européens représentant des cercles favorables a l’émmigration non européenne ???


              • Falkland 6 octobre 2007 00:01

                Le gourvernement nous a mentis !! oh non !! je suis abasourdis par ce que vous venez de m’apprendre !!


                • Pie 3,14 6 octobre 2007 01:52

                  Cet article tente de nous faire croire que la commission européenne va imposer aux pays menbres une politique migratoire qu’ils ne pourront refuser.

                  De deux choses l’une, soit l’auteur ne comprend rien au fonctionnement de l’Europe, soit il vise un but partisan.

                  Affirmer que la méchante Europe (obligatoirement anti-française), va favoriser l’entrée de hordes d’immigrés ( obligatoirement musulmans) fait partie des fantasmes que l’extrème droite aime évoquer pour se faire peur.

                  Les commentaires complaisants et parfois délirants vont presque tous dans ce sens.

                  Arrêtez de vous comporter comme des châtelains assiégés, personne ne vous demande de devenir musulman ni d’abandonner vos chères racines.

                  Il sera peut-être alors possible de parler d’immigration sans les empoignades habituelles sur ce site.


                  • stephanemot stephanemot 6 octobre 2007 09:40

                    Le Japon a effectivement accédé au rang de grande puissance dans les années 80, mais sa politique d’immigration n’est pas vraiment un succès : dénatalité catastrophique, regain du fascisme et de l’ultranationalisme impérialiste, raciste et révisioniste, profond malaise dans une société totalement ankylosée et inadaptée à l’époque...

                    Faute d’avoir voulu s’ouvrir, le Japon va souffrir encore plus à l’avenir.


                    • Martin sur AgoraVox Martin sur AgoraVox 6 octobre 2007 11:42

                      À la lecture des commentaires je souhaite apporter un complément à mon article. Cela me permet d’insister sur certains aspects du sujet exposé.

                      Et je précise que je suis immensément honoré qu’il se trouve des lecteurs qui se donnent la peine de bien vouloir lire mes articles que je propose ici dans le cadre de l’échange démocratique d’opinions. Je me réjouis de tout commentaire qui apporte une contribution constructive à la discussion démocratique et qui nous permet d’avancer vers la vérité, quel que soit le sens de cette contribution : en accord ou en opposition avec mes opinions.

                      Permettez-moi de développer des compléments notamment autour des thèmes introduits dans le commentaire apporté par Pie 3,14 (IP:xxx.x7.24.150) le 6 octobre 2007, que je cite : « Cet article tente de nous faire croire que la commission européenne va imposer aux pays membres une politique migratoire qu’ils ne pourront refuser. »

                      Mon opinion est que cet article traite du sujet fondamental pour la société européenne. L’avenir que l’on préparé ainsi, par l’immigration massive non européenne destinée à remplacer la population européenne actuelle, est pour les peuples européens en vérité une voie vers l’absence d’avenir. Si c’est « être ou ne pas être » qui se décide ainsi, tout le reste est secondaire. Les autre sujets de politique ou de société n’ont que peu d’importance face à ce sujet-là : « être ou ne pas être ».

                      Concernant ce sujet comme concernant les autres questions qui relèvent des décisions politiques, les articles que l’on peut écrire, sur AgoraVox ou ailleurs, peuvent-ils amener les politiques qui sont au pouvoir à respecter les règles fondamentales de la démocratie véritable ? Quelles actions faut-il entreprendre pour obliger enfin les politiques au pouvoir à mettre en application la démocratie véritable, la démocratie dans laquelle chaque décision politique répond aux souhaits de la majorité des citoyens qui se sentent concernés par la décision ?

                      Cet article expose le fait que les instances de l’Union européenne mettent en place la politique d’immigration massive en provenance d’autres continents. Cet article donne les chiffres quant aux flux d’immigration non-européenne que les politiques européennes appellent de leurs vœux. Cet article explique qu’est-ce qui motive les politiques pour prendre ces décisions. Cet article explique que la volonté démocratique de la majorité des citoyens européens n’est pas prise en compte lorsque sont mises en place ces décisions qui conduisent aux changements fondamentaux de la population européenne.

                      Cet article ne prétend pas que la Commission européenne prend des décisions de façon indépendante.

                      Il se trouve que les politiques européens, qui se succèdent au pouvoir depuis des décennies dans les États membres, jouent un double jeu. Ils jouent une comédie pour le public local, à l’intérieur de leurs États membres, et d’autre part ils prennent par l’intermédiaire des instance de l’Union européenne des décisions fondamentales pour l’avenir de citoyens.

                      Voici un exemple : lorsqu’il était candidat à la présidence de la République française, M. Sarkozy a déclaré qu’il est opposé à l’entrée de la Turquie dans l’Union européenne. Il apparaît à présent, après son élection, que c’était semble-t-il une déclaration neutre, qui ne l’engageait en rien. Une déclaration peut-être aussi neutre que celle qu’un général français avait jadis prononcée depuis un balcon devant une foule nombreuse : « Je vous ai compris ! ».

                      M Sarkozy a-t-il promis de façon claire et certaine qu’il fera tout pour arrêter le processus d’adhésion de la Turquie ? Peut-être pas. M Sarkozy peut continuer à faire des déclarations médiatiques « contre l’entrée de la Turquie », mais nous constatons que le processus d’adhésion de la Turquie, conduit par les institutions de l’Union européenne, continuera. À l’heure actuelle, il semble que M. Sarkozy a simplement fait des déclarations qui étaient censées lui apporter des voix des électeurs qui n’ont aucun autre moyen de voter pour arrêter le processus d’adhésion de la Turquie. C’est bien un exemple qui montre que dans les faits les politiques au pouvoir ignorent la volonté de la majorité des citoyens tout en parsemant leurs discours du mot démocratie.

                      Ceci dit, il ne faut pas croire qu’on n’y peut rien, que l’Union européenne, plus exactement les institutions de l’Union européenne, décident de l’élargissement de l’Union européenne et que les politiques des États membres ne sont pas en position de s’y opposer.

                      Il faut se rappeler que les institutions de l’Union européenne ne sont pas autonomes quand elles décident de l’élargissement de l’Union européenne. La décision de ce genre est prise à l’unanimité du Conseil européen. Le Conseil européen réunit quatre fois par an les chefs d’État et de gouvernement des États membres de l’Union européenne. Toutes les orientations importantes de l’Union européenne sont décidées lors de ces sommets périodiques. Cela concerne aussi l’élargissement de l’Union européenne à de nouveaux États membres. Pour ce type de décision les représentants des États membres (le chef d’État en ce qui concerne la France) doivent être unanimes, donc il suffit qu’un seul représentant d’État membre décide de s’opposer à une adhésion pour que cette adhésion ne puisse pas aboutir. C’est seulement plus tard, lorsque le représentant d’État membre a donné son accord (le chef d’État en ce qui concerne la France), que les parlements nationaux doivent ratifier la décision d’élargissement et le Parlement européen, composé de membres directement élus, doit donner son avis conforme. Donc le chef d’État français est en position d’arrêter l’adhésion de la Turquie s’il souhaitait vraiment l’arrêter.

                      Il apparaît donc que les politiques qui se partagent le pouvoir en Europe sont globalement favorables à l’entrée de la Turquie, puisqu’ils n’arrêtent pas ce processus. Peut-être qu’on peut soupçonner divers lobbies d’influencer les orientations politiques qui sont décidées par les politiques au pouvoir.

                      Mais dans tout cela, où est le respect du principe fondamental de la démocratie, le respect systématique de la volonté de la majorité des citoyens ? La majorité des Européens veut-elle prolonger le processus d’adhésion de la Turquie ? Les politiques tiennent-ils compte de l’opinion de la majorité des citoyens ? Les politiques au pouvoir sont-ils démocrates ?

                      Concernant l’immigration non-européenne, comme concernant toutes les orientations fondamentales pour l’Union européenne le processus est le même. Les décisions sont prises de manière conjointe, par les représentants politiques des États membres, au sein des instances de l’Union européenne.

                      L’immigration non-européenne entre dans le cadre global des actions répondant aux préceptes de l’idéologie mondialiste. Ces actions apparaissent sous la forme d’un processus qu’on a dénommé mondialisation.

                      La mondialisation a bien entendu aussi été imposée aux Européens de cette façon, par les politiques se réunissant dans des instances européennes et prenant des décisions sous la dictée des lobbies économiques et financiers qui pour défendre leurs intérêts prêchent la croissance économiques perpétuelle.

                      La globalisation des économies n’est pas venue s’imposer dans nos contrées européennes comme viendrait l’épidémie d’une maladie inconnue, à laquelle personne ne s’attendait. La globalisation des économies a été voulue et imposée en Europe par ceux qui dirigent les États européens et par les lobbies qui entourent les cercles au pouvoir.

                      La globalisation des économies a pour conséquence en Europe la perte des emplois, la destruction des moyens de production industriels et bientôt agricoles, ainsi que la dégradation des conditions de travail. Lorsque par exemple les entreprises délocalisent des emplois vers d’autres continents, au Maroc, en Chine ou ailleurs, les représentants des partis au pouvoir font parfois un déplacement électoraliste sur le lieu de la catastrophe économique et ils déplorent publiquement ces conséquences nocives de la globalisation. Mais en vérité ce politiques appartiennent aux partis politiques qui au fil des 30 dernières années ont mis en place la globalisation. C’est toujours le double jeu : d’un coté la comédie destinée à l’électorat local, et d’un autre coté les décisions mondialistes, face auxquelles ceux-là même qui les ont lancées prétendent qu’il n’y peuvent rien, car « la décision vient de Bruxelles ». Les politiques jouent un jeu hypocrite.

                      Ces orientations vers la globalisation ont par exemple été confirmées et renforcées lors du Sommet du Conseil européen de Lisbonne, en mars 2000. Rappelons encore une fois afin que ce soit clair : le Conseil européen réunit quatre fois par an les chefs d’État et de gouvernement des États membres de l’Union européenne. Toutes les orientations importantes de l’Union européenne sont décidées lors de ces sommets périodiques.

                      Les orientations de Lisbonne, comme d’autres orientations qui visent les mêmes objectifs de globalisation, ont donc bien été décidées par les partis politiques qui en Europe alternent au pouvoir ces 30 dernières années ou plus.

                      Les orientations de Lisbonne se situent dans le cadre de la globalisation et leur but déclaré est d’améliorer la compétitivité des entreprises de l’UE en s’alignant sur les façons de procéder qui sont courantes dans les pays tels que la Chine ou l’Inde, où n’existent pas la protection sociale et la réglementation des conditions de travail des salariés. Cela signifierait reculer vers les conditions sociales qui étaient normales en Europe au début du 19ème siècle. En résumé à la place du libéralisme on vise l’ultralibéralisme, ou en d’autres termes, à la place du capitalisme avec visées sociales, on veut le capitalisme pur.

                      Si on veut remplacer les orientations de Lisbonne, par des orientations européennes économiques que souhaite majoritairement la population européenne, quelles que soient ces orientations souhaitées par la population, il faudrait que des mécanismes existent pour permettre aux citoyens d’exprimer et d’imposer leur volonté aux politiques.

                      Par le présent commentaire, j’apporte un complément à l’article, en évoquant le contexte du mondialisme, et en rappelant quel est le double jeu des politiques, je vais au delà de la seule question de l’immigration massive non-européenne que les politiques ont mis en place sous la dictée des lobbies.

                      Ces lobbies, ou groupes de pression en faveur des flux de plus en plus massifs d’immigration non-européenne, sont essentiellement de deux sortes.

                      Il y a d’abord les groupes de pression organisés au sein d’institutions internationales, telles que l’ONU, qui - comme cela est détaillé plus loin dans le texte - poussent à installer la masse croissante des Africains, sur le continent européen. Du point de vue de ces dignitaires des institutions internationales, l’organisation des flux migratoires toujours plus forts d’Afrique vers l’Europe, est la solution idéale pour résoudre l’incapacité des Africains de se prendre eux-mêmes en charge, et notamment est d’après eux la solution idéale pour résoudre les problèmes africains induits par l’incapacité des Africains de brider leur natalité, laquelle est devenue la cause principale de leur pauvreté.

                      Il y a aussi les lobbies qui représentent les très gros intérêts économiques privés, qui ont intérêt à maintenir un haut niveau d’activité économique en Europe, afin de continuer à s’assure un haut niveau de profits, veulent une forte immigration non-européenne. Dans le but d’accroître encore la richesse de quelques cercles restreints, les lobbies ont poussé les dirigeants européens à mettre en place une politique d’immigration, qui permettra d’importer 13,5 millions de nouveaux immigrés par an en Europe. Ce sont les objectifs chiffrés que l’ONU à fixés à l’Union européenne. La « carte bleue » permettra de régulariser le très fort flux d’immigration non-européenne qui est programmé dans les prochaines décennies.

                      Mon article décrit les faits. Les liens fournis dans l’article permettent de vérifier les chiffres qui sont avancés concernant l’ampleur des flux d’immigration non-européenne, qui est une immigration de remplacement (comme le précisent les textes de l’ONU), qui est certes une immigration en provenance pas uniquement d’Afrique, mais qui est ces dernières années devenue très majoritairement un flux massif et en augmentation en provenance d’Afrique (du nord et sub-saharienne).

                      Dans leurs décisions, les politiques tiennent-ils compte de l’opinion de la majorité des citoyens ? La mise en place des flux de remplacement de la population européenne a-t-elle été décidée d’après la volonté de la majorité des citoyens européens qui souhaitent exprimer leur opinion sur cette question qui est certainement fondamentale pour leur avenir et pour l’avenir de leurs descendants ? Les politiques au pouvoir sont-ils démocrates ?

                      Je souhaite à présent laisser la place aux commentaires d’autres lecteurs, qui je l’espère décideront encore de se manifester, quelles que soient leurs opinions. Globalement j’ai exprimé ce que je voulais dire sur ce sujet, et à présent j’estime qu’il est souhaitable de laisser les autres citoyens apporter leurs contributions au débat. Je les en remercie d’avance.


                      • Antoine Diederick 10 octobre 2007 23:16

                        J’aime bien votre article, Martin.

                        Comme vous je ne veux pas croire aux fatalités .


                        • Antoine Diederick 10 octobre 2007 23:25

                          La Russie connait aussi un dénatalité, ils ont mis en place un programme d’encouragement. On verra si c’est efficace.

                          Les administrations européennes, ne pourront imposer ce type de politique sans se heurter à du refus et des impossibilités tant techniques que pratiques.

                          Cependant, comme vous le montrez dans votre article, des administrations y pensent à cette immigration économique.

                          Il y a un problème structurel en Europe pour affecter les ressources de main d’oeuvre au travail proposé.

                          La fameuse loi de l’offre et de la demande de travail ne fonctionne pas, à mon avis.

                          Personnellement, je crois surtout qu’il serait bien de poser les jalons pour un autre type de société, dont je ne connais pas le visage et de grands changements vont surement arriver.


                        • Antoine Diederick 10 octobre 2007 23:27

                          Le bureau international du travail est aussi une source d’infos à ce sujet.


                        • Antoine Diederick 10 octobre 2007 23:28

                          L’avenir que l’on prépare ainsi pour les peuples européens est en vérité une absence d’avenir.

                          Comme c’est vrai !!!


                        • Antoine Diederick 10 octobre 2007 23:30

                          en France ds le batiment , il y a un déficit de main-d’oeuvre et des banlieues au chomage....faut il y comprendre quelque chose ?


                        • vinvin 16 novembre 2007 00:01

                          Bonjour ;

                          je croyais que la « carte bleue » européenne était pour ceux qui veulent faire de la natation ??????

                          Bon, alors la solution serait de faire que tous les candidats a l’ immigration traversent la mer a la nage, en meme temps qu’ un lacher de requins : ceux qui nageraient plus vite que les cétacés seraient « naturalisés » scéance tenante ;(les autres,.....ben,..... c’ est comme ça, c’ est le destin, quoi !.......)

                          Cordialement.

                          VINVIN.

                          PS : c’ est de l’ humour noir !


                          • Pie 3,14 29 décembre 2007 19:41

                            De l’humour de chemise noire voulez-vous dire...


                          • Mustapha (---.---.181.111) 3 janvier 2008 14:03

                            j’aimerais savoir les étapes pour obtenir la carte bleue, pour votre inforamtion je suis ingénieur d’Etat en informatique avec 5 ans d’éxpérience dont 4 ans en tant que enseignant d’informatique


                            • hadile 29 novembre 2008 00:48
                              • pour moi je veux s’avoir seulement la procedure pour obtenire cet carte

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