La guerre est désormais ouverte. Toute la question est de savoir qui va plier le premier, les savants ou les criminels d’Etat
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Nous serons bientôt 100 000 à soutenir Didier Raoult et tous les spécialistes mobilisés avec lui contre Macron et les criminels qui l’entourent. Que de temps perdu ! Que de cynisme : n’autoriser le protocole Raoult que pour les mourants…
https://www.mesopinions.com/petition/sante/faut-ecouter-professeur-raoult/82737
Le Pr Christian Perronne est chef de service d’infectiologie à l’hôpital de Garches. Il est estomaqué et scandalisé par la décision prise hier par le Ministère de la Santé et la Haute Autorité de Santé (dont Mme Buzyn était présidente avant de devenir ministre). Il dénonce le caractère illogique et aberrant de la restriction de l’usage de la Chloroquine à des patients atteints de formes très graves de la maladie engendrée par le Covid19. Il dénonce également le caractère anti éthique de l’étude multicentrique qui a commencé avec usage de placebos.
La gestion de la pandémie du coronavirus par le gouvernement est un véritable cauchemar, où se mêlent imprévision, incompétence, ignorance, improvisations chaotiques, conseils partiaux, irrespect à l’égard de professionnels chevronnés de la santé et énormes intérêts financiers.
Publiée par Paul-Henri Courtois sur Mardi 24 mars 2020
Professeur Valerie Pourcher sur LCI Paris Pitié-Salpètrière :nous n'avons plus de Chloroquine
De Loïk Le Floch-Prigent, ex-pdg d'ELF-Aquitaine, ancien président de la SNCF, ancien président de Gaz de France, et ancien patron de Rhône-Poulenc :
« Je ne comprends pas, compte tenu de l’existence de respirateurs uniquement fabriqués à l’étranger, je ne comprends pas pourquoi on n’en fait pas en France. Beaucoup d’industriels m’ont téléphoné pour me dire “nous avons des prototypes, nous avons proposé d'en faire, et nous n’avons aucune réponse de l’État depuis deux mois.” »
Le front de guerre contre le coronavirus se fissure
La guerre est déclaré contre le virus, mais pas seulement. Une partie des effectifs médicaux mène également une guerre ouverte contre le quartier général, c’est-à-dire contre l’Etat, contre Olivier Veran, ministre de la santé et contre Emmanuel Macron, président de la République.
Cette mutinerie, - en période de guerre, quand les effectifs mobilisés n’obéissent plus, on parle de mutinerie -, a pour épicentre la ville de Marseille et pour figure de proue le Pr Raoult. Le Pr Raoult et les autres soldats en blouse blanche de l’IHU Méditerranée infection ont retourné leurs fusils contre le Quartier Général. A Marseille, dimanche 22 mars, ces médecins ont signé un communiqué ou ils proclament que « conformément au serment d’Hippocrate que nous avons prêté, nous obéissons à notre devoir de médecin. Nous faisons bénéficier à nos patients de la meilleure prise en charge pour le diagnostic et le traitement d’une maladie ». Cette « meilleure prise en charge » ne passe pas du tout par le confinement et le paracétamol, mais par le dépistage pour le tout venant et par le traitement à la chloroquine pour les patients hospitalisés… ou non.
Ces médecins marseillais qui se mutinent contre le discours officiel « scientifique » et qui affirment que le confinement n’est pas la bonne réponse et qu’il vaut mieux dépister massivement la population tout de suite et de traiter les personnes atteintes à la chloroquine a suscité l’engouement des Marseillais qui ont fait longuement la queue pour être dépistés. Mais il n’y a pas que la population et les réseaux sociaux qui voient avec sympathie la dissidence marseillaise menée par le Pr Raoult. D’autres médecins, d’autres hôpitaux suivent
• . A Nancy, le CHRU va utiliser la chloroquine immédiatement pour traiter les patients touchés.
• Un patient du CHU d'Amiens atteint du coronavirus s'est vu administrer un traitement en partie composé de chloroquine. 48 heures après le début du traitement, son état semble s'être amélioré.
• A A Nice, le CHU expérimentera quatre traitements, dont l’hydroxychloroquine, « dans les prochains jours ». Le maire de Nice, Christian Estrosi, a annoncé ce dimanche le recours au traitement à la chloroquine au CHU de Nice. Testé positif au coronavirus, Christian Estrosi a indiqué suivre lui-même ce protocole.
• Au CHU de Caen où 7 patients sont actuellement accueillis en réanimation, l’équipe de Damien Du Cheyron, responsable coronavirus, expérimente la chloroquine. « Nous le faisons en notre âme et conscience, nous n'avons plus d'antiviraux ».
• Lundi 23 mars sur France Inter Philippe Juvin, chef du service des urgences à l'hôpital Georges Pompidou à Paris affirme qu’il « faut produire dès maintenant et très massivement" de la chloroquine,. Le Professeur Juvin estime que la France doit faire des stocks de cette molécule qui, d'après le Pr Didier Raoult à Marseille, est un traitement efficace pour soigner les personnes atteintes du coronavirus.
"L'étude du Pr Raoult semble montrer que la chloroquine est efficace, pointe le Pr Juvin. Il faut le dire très clairement. Le problème c'est qu'un certain nombre de gens analysent cette étude en disant qu'elle souffre de défauts qui font que les résultats ne seraient pas si probants que ça", tempère-t-il. Il faut "très rapidement" savoir si ce traitement est efficace, insiste l'urgentiste. Mais en attendant les résultats, les autorités ne doivent pas rester les bras croisés.
• vendredi 20 mars 2020, sur LCI le professeur Christian Perronne, qui dirige le service des maladies infectieuses de l’hôpital universitaire Raymond-Poincaré (AP-HP) de Garches stime que : « C’est le seul médicament aujourd’hui qui est disponible pour les malades. Malheureusement la pharmacie centrale des hôpitaux a annoncé aujourd’hui que c’était en rupture de stock totale. Que les stocks avaient été pillés. C’est lamentable. Les armoires ont été dévalisées. C’est les mails qu’on a reçus aujourd’hui. »
Bien entendu, la réaction s’organise. Interrogée dans le journal de 13h, le docteur Karine Lacombe, chef de service des maladies infectieuses de l'hôpital Saint-Antoine, à Paris, a déclaré :
« Ce qui se passe à Marseille est absolument scandaleux. Utiliser un médicament hors utilisation de mise sur le marché pour traiter le Covid-19 en exposant les patients à des complications, c'est en-dehors de toute démarche éthique ».
Les pouvoirs publics, fondamentalement conscients que leur rôle de chef de guerre est remis en question, ont pris des mesures. Lundi 23 mars, Olivier Veran, a fait savoir qu’il avait réuni le Haut conseil de santé publique et que ledit Haut Conseil avait mobilisé en réunion sept sociétés savantes concernant la question du traitement contre le covid19.
Le Haut conseil a recommandé que l’hydoxychloroquine « ne soit pas utilisé en tant que traitement en l’absence de recommandation à l’exception de formes graves hospitalières sur décision collégiale des médecins et sous surveillance médicale stricte ». Ce Haut conseil a exclu également toute prescription en ville, en l’absence de toute données probantes. Olivier Véran a annoncé qu’il prendra prochainement un « arrêté pour encadrer l’utilisation hors amm (autorisation de mise sur le marché) » de ce médicament.
La guerre est désormais ouverte. Toute la question est de savoir qui va plier le premier.
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