La Monnaie, hier, aujourd’hui et demain
Du diktat des banquiers à une civilisation adulte
Préface : Serge Latouche - Éditeur : Libre & Solidaire
En librairie depuis le 27 février 2020
Après lecture de cet ouvrage, la monnaie n’aura plus de secret pour vous. Vous découvrirez tout sur les banques, les cercles du véritable pouvoir en Occident, le fonctionnement des instances monétaires actuelles et les alternatives à ce système inique et violent. Ce livre, à caractère politique, vous permettra de nourrir votre réflexion sur la monnaie et la démocratie, et d’envisager la société sous un nouveau regard.
La monnaie n’est qu’un moyen pour mobiliser l’énergie humaine et son émission devrait légitimement appartenir aux institutions représentant les citoyens, ce qui n’est pas le cas aujourd’hui !
Notre société est fondamentalement absurde et profondément injuste du fait de ce système monétaire à l’origine des épisodes de dépressions dont souffrent les économies capitalistes depuis le début de leur histoire, c’est-à-dire depuis « l’invention » de la monnaie par les banquiers.
Le capitalisme, ce système mortifère où règnent la monnaie-dette et son corollaire, la pensée de marché, connaît en permanence des crises annonciatrices de son effondrement… Ne serait-il pas temps de passer à autre chose ?
Introduction → mouvement-monnaie-juste.blog4ever.com/introduction
Table des matières → fraternitecitoyenne.blog4ever.com/liens-du-livre
Conclusion de l'ouvrage :
« On nous dit que l’État ne peut plus assurer les coûts de ces mesures citoyennes. Mais comment peut-il manquer aujourd’hui de l’argent pour maintenir et prolonger ces conquêtes alors que la production de richesses a considérablement augmenté depuis la Libération, période où l’Europe était ruinée ? Sinon parce que le pouvoir de l’argent, tellement combattu par la Résistance, n’a jamais été aussi grand, insolent, égoïste, avec ses propres serviteurs jusque dans les plus hautes sphères de l’État. Les banques désormais privatisées se montrent d’abord soucieuses de leurs dividendes, et des très hauts salaires de leurs dirigeants, pas de l’intérêt général. L’écart entre les plus pauvres et les plus riches n’a jamais été aussi important ; et la course à l’argent, la compétition, autant encouragées. Aussi, appelons-nous toujours à une véritable insurrection pacifique contre les moyens de communication de masse qui ne proposent comme horizon pour notre jeunesse que la consommation de masse, le mépris des plus faibles et de la culture, l’amnésie généralisée et la compétition à outrance de tous contre tous. »
Stéphane Hessel (1917-2013)
L’indignation m’a envahi lorsque j’ai compris, au milieu des années 1980, le fonctionnement du système monétaire, la supercherie bancaire, et je ne cesse depuis d’essayer, avec d’autres, de faire comprendre cette colossale escroquerie. Les banquiers nous manipulent depuis trop longtemps et il faut que cela cesse. Vous pouvez mentir à quelques-uns tout le temps et à tout le monde quelque temps, mais vous ne pouvez pas mentir à tout le monde tout le temps !
Je suis choqué par la mentalité ou l’idéologie de l’oligarchie, de la ploutocratie. Les solutions existent pour vivre sainement, paisiblement et confortablement dans notre pays une fois débarrassés de ce gouvernement de privilégiés qui ne défendent que leurs intérêts. La solution est politique au sens noble du terme. L’indignation n’est pas suffisante, le combat politique s’impose, il s’agit de chasser du pouvoir cette oligarchie manipulatrice.
La masse monétaire d’un pays devrait représenter la richesse qu’il produit pour la mettre en vente. On ne doit pas confondre l’être et l’avoir en mélangeant dans une même comptabilité les matériaux et les ressources humaines. Dans une démocratie, c’est au débat politique que devraient revenir les décisions essentielles relatives à la monnaie du pays, à savoir : sa création, sa masse totale et les rôles qui lui sont attribués.
Pour reprendre une métaphore chère aux Anciens, la monnaie est à l’économie ce que le sang est au corps humain ; s’il en manque, c’est l’anémie, s’il y en a trop, c’est la congestion. Il ne viendrait à l’idée de personne d’emprunter son propre sang. Alors, il revient à l’État, pour le service du bien commun, d’assurer l’offre à la demande de monnaie pour qu’enfin l’économie soit au service de l’homme.
La monnaie est aujourd’hui un instrument de manipulation d’une infime minorité sur l’ensemble de l’Humanité. Cette minorité se prend pour « Dieu », et l’on comprend pourquoi lorsque l’on constate l’implication des problèmes d’argent dans la société : divorces, mafias, drogues, exploitation, etc. Le citoyen doit réaliser à quel point le problème monétaire est primordial. La monnaie doit devenir un instrument au service de l’Humanité et pour cela il doit être contrôlé par des représentants issus d’un processus démocratique et non pas par une cabale privée comme aujourd’hui.
La vérité nous crève les yeux. Bien entendu, tout ou presque est sous contrôle des marionnettistes de la finance. L’histoire récente révèle de façon incontestable que pour l’Empire occidental de la finance, le schéma est toujours le même. Si tel ou tel homme politique ne peut être contrôlé, il est éliminé, si celui-ci est hors de portée (trop bien protégé), on utilise les minorités, religieuses ou autre, pour le renverser. Ou encore, on pose un embargo contre son pays et si tout cela ne fonctionne pas, on envoie la 5e flotte – United States Fifth Fleet.
Rappelons que deux présidents de la 5e République ont été employés de la banque Rothschild : G. Pompidou et E. Macron. Les maîtres de l’argent financent et corrompent les différents partis politiques, ils détiennent les principaux médias, contrôlent l’appareil judiciaire, le marché du pétrole et le complexe militaro-industriel. Ils peuvent truquer des élections, renverser des gouvernements, organiser des coups d’État ou des révolutions, et ils n’hésitent pas à financer des dictateurs et des organisations terroristes si cela peut servir leurs intérêts. Ils pratiquent les assassinats politiques, le blanchiment d’argent, la corruption, le trafic d’armes ou de drogue à grande échelle, ils utilisent le terrorisme d’État, ils manipulent l’opinion publique pour déclencher des guerres, ils peuvent spéculer sur la faim dans le monde, piller les ressources naturelles d’autres pays en toute impunité, tuer des centaines de milliers d’innocents et les appeler « dommages collatéraux » en se posant comme les sauveurs et les défenseurs de la démocratie et en présentant leurs opposants comme des terroristes. Ils asservissent des nations entières par la dette, peuvent travestir l’histoire, ils protègent les plus grands criminels de guerre, les réseaux pédocriminels et les plus grands pollueurs ou empoisonneurs de la planète. Ils nous demandent de nous serrer la ceinture, d’accepter leurs mesures d’austérité, disent qu’il n’y a plus d’argent pour l’éducation de nos enfants ou la retraite de nos anciens, mais ils financent les conflits armés. Ils vont, évidemment, totalement à l’encontre de l’intérêt général et parce qu’ils nous laissent, de temps en temps, voter pour les gens dont ils financent les campagnes électorales et font partie de leurs réseaux, nous, nous continuons à croire que nous sommes en démocratie.
La seule chose que les marionnettistes de la Finance ne pourront jamais contrôler, c’est une véritable prise de conscience citoyenne. À partir du moment où les citoyens s’investiront politiquement à l’unisson dans un projet de société réellement axé sur le bien commun et qu’ils comprendront l’ampleur des exactions et trahisons faites par les différents pantins qu’ils ont élus, les solutions apparaîtront évidentes pour tous. Encore faut-il que les citoyens en aient connaissance. Encore faut-il que les citoyens fassent connaître ces vérités à leurs concitoyens.
F. W. Nietzsche disait que souvent les gens ne veulent pas voir, entendre et parler de la vérité parce qu’ils ne veulent pas que leurs illusions soient détruites. Je n’ai aucune affinité particulière avec ce philosophe, mais il me semble qu’après toutes ces années passées à faire connaître ce qui me semble être « la vérité », politique en tout cas, sur notre société, qu’il avait fondamentalement raison ! Alors, quoi qu’il en soit, c’est à chacun de nous de faire le choix. Soit nous continuons à consommer, à travailler et à polluer sans conscience, soit nous nous arrêtons pour prendre véritablement conscience de ce que nous faisons. Ce choix individuel, lorsqu’il deviendra majoritaire, changera forcément le monde.
Afin que le système monétaire à réserves fractionnaires ne s’écroule pas, il faudrait une croissance obligatoire jusqu’à la fin des temps, même si on doit tout détruire sur cette planète et mettre en esclavage salarial les 99 % de la population. Et c’est encore mieux quand le taux de chômage est élevé (cf. annexe 1), comme ça vous êtes plus docile et il y a moins d’inflation, ce qui arrange bien évidemment les rentiers, les banquiers, les 1 %.
La chute du Mur de Berlin a été un événement politique considérable. Du jour au lendemain ou presque, le « contre-capitalisme » est démantelé, laissant le champ libre à une économie de marché planétaire. Le combat idéologique que nous mène ce système avec pour prétexte l’austérité afin de rembourser une « dette » est un véritable défi à la démocratie ; et à travers ce défi une atteinte à l’intégrité des nations, des peuples et de leur souveraineté. Fondé sur un économisme scientiste qui voit dans l’avènement de la société de marché l’accomplissement de l’histoire universelle et la réalisation de la nature humaine, le néolibéralisme, par le biais d’une avant-garde d’économistes professionnels, promeut la production de l’homme nouveau adapté au marché mondial ; il use, pour ce faire, de la propagande des médias de masse et soumet ainsi chaque individu à la discipline managériale qui lui impose l’entreprise comme modèle de réalisation d’un soi préalablement défini comme producteur-consommateur. Il contribue ainsi à l’institution du marché comme totalité et s’emploie à détruire tout ce qui viendrait entraver son totalitarisme.
La société de consommation actuelle a tendance à enfermer les gens dans des attitudes individualistes où chacun s’isole et vit pour lui-même. Pour en sortir, il faut reconstruire une société plus solidaire, qui permette un partage plus égalitaire des richesses et offre une promotion à chaque être humain. Notre société trop souvent mécanique, froide et impersonnelle, souffre d’une déshumanisation, de logiques strictement comptables et de perspectives à courte durée. Une citoyenneté bien comprise devrait instaurer davantage de partage, de fraternité et de liberté pour conduire des actions créatrices d’avenir. Choisir de résister, c’est faire un choix de vie, pour préserver la vie, et ce choix engage pour toute une vie.
Il est difficile d’être un homme politique de conviction de nos jours. On risque gros en défendant le bien commun. Il n’est pas facile de faire une politique du peuple souverain qui déplaît par nature aux puissances industrielles, militaires, banquières et à leurs serviteurs : les grands médias. Vous serez décrédibilisé, ridiculisé, voire même éliminé ! L’ordre mondial néolibéral n’aime pas la liberté des citoyens, le principe d’égalité est vidé de son sens et la notion de fraternité n’existe que dans les cercles du vrai pouvoir : Bilderberg, Le Siècle, etc. Mais quelle que soit leur puissance, les banquiers et leurs larbins finiront par perdre leur pouvoir. La chute de l’Empire n’est donc qu’une affaire de temps, et elle entraînera tout aussi inéluctablement la chute du Système néolibéral dont il est la matrice. Je ne crois pas en effet à un simple basculement des centres de pouvoir de l’Occident vers l’Asie, avec la simple reprise en mains des mêmes structures néolibérales mortifères par d’autres, ce qui reviendrait à reculer pour mieux sauter.
J’ai la conviction que la chute de l’Empire US sera le point de rupture, le choc qui provoquera la chute du Système. Le séisme sera sans aucun doute terrible, mais salutaire. Le modèle de société néolibéral qui a produit la contre-civilisation qui est la nôtre est en effet un cancer qui ronge et détruit non seulement le vivant, la terre, les mers, l’air, tout ce qui marche, nage, pousse ou vole, mais qui annihile aussi les sociétés humaines, les rabaissant à un agglomérat d’égoïsmes en concurrence, de consommateurs compulsifs aliénés aux « cerveaux disponibles ». Notre planète n’est déjà plus capable de digérer toutes les déjections de ce Système de production de masse et, si cette folie propre à « consommer tout l’Univers » ne cesse pas, il est évident que nous disparaîtrons.
En provoquant une surchauffe du Système par sa dynamique propre, l’histoire pourrait nous sauver de nous-mêmes en nous aidant à tirer la chasse sur cette pègre néolibérale, et en offrant l’opportunité d’un changement radical. Il appartiendra alors aux sociétés civiles de saisir la chance offerte, de cesser de s’indigner inutilement pour enfin se révolter. Ce sera d’abord pour empêcher le Système d’instaurer un totalitarisme qui constitue son aboutissement naturel et sa dernière ligne de défense, ensuite pour se prendre en mains et développer d’autres façons d’être, de cohabiter et de coopérer, pour nourrir d’autres idéaux que la propriété et la possession, pour chercher à bâtir cette société libre, égalitaire et décente que nous souhaitons tous finalement.
Avec cet ouvrage, j’apporte ma pierre à ce combat de résistance pour la défense inconditionnelle de l’être humain et des valeurs démocratiques. Ma conviction profonde c’est que, quels que soient le lieu de naissance et la couleur de peau, il y a une seule race, la race humaine. Aucune communauté, aucune religion, aucune ethnie n’est supérieure aux autres et n’est élue – par je ne sais qui ? – pour prétendre gouverner le monde. À toutes les époques, il y a eu des hommes et des femmes qui se sont battus pour une société meilleure, qu’il s’agisse des esclaves dans l’Antiquité ou des Sans-culottes de 1789, sans oublier les Résistants de 1940-1944, les opprimés ont toujours fini par gagner. Il faut donc poursuivre le combat contre les inégalités, sans tomber dans la lassitude, le pessimisme ou le désarroi ambiant, car les victoires résultent d’un engagement constant. On n’est pas citoyen par intermittence, ni en surface : la conscience citoyenne s’ancre profondément dans l’être et l’accompagne sa vie durant.
La base même pour construire une alternative au capitalisme mondialisé, c’est la souveraineté populaire, l’appartenance à un peuple. Il nous faut partir des identités des peuples qui composent les états pour défendre l’intérêt général contre celui des transnationales de droit privé, l’oligarchie financière. Pour recueillir l’adhésion populaire et donc une majorité aux élections, il ne faut pas, bien que le combat contre la mondialisation libérale soit un combat international, nier l’identité nationale qui est un repère pour le peuple afin de résister et construire de nouvelles solutions « du vivre ensemble » sur un territoire. Mais gardons-nous, bien sûr, de tomber dans l’étroitesse d’esprit du nationalisme qui consiste à caresser dans le sens du poil les idées et les émotions les plus simplistes.
C’est au peuple français de trouver les solutions particulières qui correspondent à sa culture, à son histoire, à son territoire. Et de toute façon, il n’est pas possible de lutter contre la mondialisation financière sans un réel pouvoir au niveau de la nation française, un État fort qui puisse s’opposer fermement aux transnationales, aux fonds de pension, au pouvoir financier mondialisé. C’est donc uniquement au niveau national qu’il peut y avoir un changement politique radical. Cela n’empêche pas de « travailler » de concert avec les autres mouvements qui sont pour une autre mondialisation partout sur la planète, notamment en Europe, bien entendu, mais aussi en Amérique du Sud par exemple. La France pourrait, comme il y a un peu plus de deux siècles, montrer l’exemple d’un changement radical de régime. La France, terre d’accueil, de tolérance et d’échange, territoire relativement homogène aux niveaux linguistique, historique, géographique et culturel pourrait être le théâtre d’une vraie révolution, mais contrairement à l’exemple sanglant de 1789, elle pourrait donner l’exemple d’une révolution non violente, d’une révolution profonde des rapports sociaux et de notre relation à la Nature.
Pour sortir de la crise monétaire absurde dans laquelle nous sommes englués, je propose une réforme monétaire inspirée du « 100 % Money » et un assouplissement monétaire pour les peuples (QE4P), c’est-à-dire, premièrement un contrôle de la totalité de la masse monétaire en circulation par l’État et deuxièmement un revenu d’existence pour tout un chacun. Il est évident que ces réformes ne pourront se faire qu’au niveau de l’État français en commençant par la nationalisation de toutes les banques françaises. En effet, comment se mettre d’accord sur des réformes aussi importantes au niveau européen ?
Seul un État fort peut lutter contre cette « infime minorité », autrement dit l’oligarchie financière transnationale. Et il faut vraiment avoir le cerveau lavé par la propagande médiatique pour ne pas le comprendre. Malheureusement, « ils » font plutôt bien leur boulot ! Sans souveraineté nationale, aucun combat politique n’est possible ; sans souveraineté, on peut déclarer tout de suite forfait contre la mondialisation libérale et ce n’est plus la peine de faire de la politique dans le sens noble du terme, ou autrement dit de mener un combat pour ses convictions afin de convaincre ses concitoyens qu’une autre vision du vivre ensemble dans notre pays que la mondialisation capitaliste est possible.
En clair, je pense qu’il n’est pas utile de faire de la politique au niveau national si l’on ne parle pas de :
1 – Comment fonctionne le système monétaire ?
2 – Qui contrôle l’émission monétaire actuelle ?
3 – La possibilité de réformer cette émission de façon à ce que cela soit bénéfique à l’ensemble des citoyens, et non pas à une infime minorité.
Cette crise est là pour abattre les nations et les démocraties, c’est un « coup d’État » de la finance internationale. Elle le fait en confisquant la souveraineté des nations grâce à la dette de leurs gouvernements, avec la complicité des agences de notation. Elle détruit les économies nationales en imposant aux nations un libre-échange débridé avec la complicité de l’OMC et du FMI afin de leur imposer un nouvel ordre mondial, autrement dit : une dictature financière planétaire. Bref, nous vivons depuis trop longtemps dans une dictature de banquiers et ce régime est basé sur des valeurs telles que l’argent à tout prix, la croissance et le progrès à tout prix, la science sans conscience, la concurrence et la concentration exacerbées.
Ce que nous vivons, ce n’est pas une crise, mais c’est la plus grande escroquerie de l’histoire de l’Humanité ! Il est plus que temps de nous réveiller et de foutre un bon coup de pied dans cette fourmilière de banksters, de multinationales et de psychopathes qui dirigent le monde. Et il faudra le faire un jour ou l’autre, c’est incontournable. Ces fous veulent nous amener à une confrontation planétaire juste pour ne pas perdre le pouvoir. Nous le savons, les médias nous ont menti sur les guerres de Syrie et de Libye et non seulement ils nous mentent, mais ils nous manipulent par leur propagande incessante sur la rigueur budgétaire, la crise financière, etc. Réveillons-nous ! Cette crise monétaire est virtuelle puisqu’elle est basée sur une monnaie créée à partir de rien par les banksters qui contrôlent la Fed. Les gouvernements européens et américains sont soumis à ce pouvoir discret, mais totalitaire : les banquiers qui contrôlent la Fed et les groupes de personnes présentés dans cet ouvrage qui nous considèrent, ni plus ni moins, comme du bétail.
Alors, on arrête de se faire manipuler comme des moutons, de s’agiter, de se laisser distraire et de consommer n’importe quoi ; on réfléchit et on fait autrement. Quoi qu’il en soit :
1 – Le système financier transatlantique de la City et de Wall Street est fondamentalement néfaste pour l’humanité.
2 – Le jour ou une majorité de citoyens auront compris la nocivité de ce système, l’empire des banksters, le système capitaliste, va s’effondrer aussi sûrement que l’Empire soviétique s’est effondré.
3 – Pas de panique car les solutions pour remplacer ce système basé sur la cupidité et l’égoïsme existent et peuvent s’appliquer du jour au lendemain.
4 – Nous n’avons jamais été aussi riches de savoir-faire, de machines, d’usines, de logiciels, etc.
5 – Par contre, nous n’avons jamais eu un environnement aussi dégradé (air, sols, nappes phréatiques, rivières et biotopes).
6 – Le plus urgent, ce n’est pas une réforme constitutionnelle, mais une réforme du système monétaire.
« Les banques, je les ferme. Les banquiers, je les enferme. » Vincent Auriol, alors secrétaire d’État de Léon Blum en 1936
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