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Accueil du site > Tribune Libre > Le déficit cache-t-il la baisse du PIB ?

Le déficit cache-t-il la baisse du PIB ?

Bruno Le Maire l’a dit, il a sauvé l’économie française ! Mais n’a-t-il pas cherché plutôt à cacher la baisse du PIB pendant plusieurs années sur ordre présidentiel afin de faire croire aux français que tout allait bien et dans ce cas n’arrive-t-on pas à l’heure de vérité ?

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En 2019, la France n’allait pas bien, la crise des gilets avait prouvé le profond malaise des français faisant face au chômage, à la précarité et à la baisse de leur niveau de vie. Le déficit budgétaire s’élevait alors à 3 % du PIB. Puis vint le COVID et le premier confinement : deux mois d’internement de toute la population et d’arrêt de toute activité économique. Le résultat fut un déficit de 9,2 % du PIB !

Mais depuis, tout le monde le sait, notre économie s’est redressée ! Tout va mieux !

En fait, les déficits des années suivantes sont remarquablement stables :

6,6 % en 2021 ;

4,8 % en 2022 (le plus faible)

5,5 % en 2023

6,1 % en 2024

5,0 % en 2025 (modifié par rapport à un prévisionnel de 7,0 % initialement ! )

En résumé, le déficit sur 5 ans est toujours supérieur ou égal à 5,0 % du PIB !

Conclusion, notre déficit est désormais structurel, l’économie française suite au confinement a calé et n’est pas repartie. Emmanuel Macron et son ministre de l’Economie Bruno Le Maire ont caché la situation économique en maintenant cette dernière sous perfusion.

Cette situation est-elle tenable ? Non ! Notre dette s’élève à 112 % du PIB, avec 5 % de déficit annuel, nous passerons en 2 ans à 122 %, en 4 ans à 132 %. Nos créanciers ne nous font plus confiance et cesseront de nous prêter de l’argent et nous ne pourrons faire tourner la planche à billet de manière infinie (la BCE et les allemands n’accepteront pas).

Alors que va-t-il se passer ? Nous allons sûrement vers une forte récession : que l’on décide de baisser nous-même notre déficit en faisant des économies ou que cela se fasse sous pression de l’Union Européenne et de nos créanciers, nous nous dirigeons vers le sort de la Grèce : en réalité notre PIB est déjà à 95 et non à 100 car un déficit structurel à 5 % du PIB signifie bien qu’il nous manque 5 % de PIB pour le maintien du niveau d’activité et du niveau de vie : l’ajustement sera donc très difficile pour tous.

Cela implique une baisse forte des dépenses publiques et du niveau de vie des français : cela se fera-t-il de manière ordonnée ou de façon abrupte et qui en pâtira le plus ? C’est désormais la vraie question !


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19 réactions à cet article    


  • Opposition contrôlée Opposition contrôlée 14 novembre 18:49

     l’ajustement sera donc très difficile pour tous.

    Encore un article de propagande toujours avec la même technique..

    Tous ? Tu te fous ma gueule ? Jamais les riches n’ont été aussi riches, Rolls Royce, LVMH, ils ont tous fait des ventes record l’année dernière, et cette année certainement encore meilleure. Les yatchs de plus de 30 mètres, les carnets de commande sont pleins... Et comme il n’y a pas d’argent magique, ni pour les riches ni pour les pauvres, il faudra un jour comprendre que ce sont des vases communicants. Ben oui banane, t’es plus pauvre puisque tes oligarques sont plus riches.


    • Maître Yoda Maître Yoda 14 novembre 19:00

      @Opposition contrôlée
      A partir d’une certaine richesse, une personne s’exclut d’elle-même de la communauté nationale.


    • xenozoid xenozoid 14 novembre 19:08

      @Maître Yoda

       on peu dire la même chose sur :

      A partir d’une certaine pauvreté, une personne s’exclut d’elle-même de la communauté nationale.


    • Maître Yoda Maître Yoda 14 novembre 19:11

      @xenozoid
      Oui, ce sont des « outliers » pour ceux qui connaissent un minimum de stat.


    • mmbbb 15 novembre 09:02

      @Opposition contrôlée on sent le petit aigri ! 


    • perlseb 14 novembre 19:22

      De 1945 à 1973, la France s’est reconstruite tout en remboursant sa dette de guerre.

      On peut dire que depuis 1973, on a fait exactement l’inverse : on a tout délocalisé, et notre dette correspond à celle qu’on aurait si on sortait d’une guerre.

      Mais tout n’est pas noir pour tout le monde, évidemment. Si on se place à la place des riches, la période n’a jamais été aussi faste. Et avec une dette colossale, une monnaie qu’on ne contrôle plus, ils se sont assurés qu’aucun gouvernement de « gauche » ne reprendra le pouvoir (sinon attaque immédiate des marchés).
      Du point de vue des riches, il n’y a pas assez de tentes dans les rues, pas assez de bidonvilles et les français sont encore bien trop préservés : c’est pour cela qu’ils sont faignants et qu’ils rechignent à faire des jobs indignes que seuls des immigrés acceptent. La prostitution augmente également. Bref, la soumission va monter en flèche en même temps que la misère : et il n’y a que ça qui fait bander un riche, la soumission sans limite des pauvres. Sinon à quoi ça servirait d’être riche ?
      La mondialisation, c’est la mise à niveau (par le bas) de tous les prolétaires du monde. Et comment aurait-il pu en être autrement s’il y a à la fois libre circulation des marchandises et des capitaux, et aucune nécessité, pour nos concurrents, de respecter nos règles coûteuses qu’on nous impose (on le voit à nouveau avec l’accord avec le Mercosur) ?
      Le système est abject, totalitaire et destructeur dans ses principes. Les manifestations anti-système sont sévèrement réprimées (un mai 1968 serait absolument impossible aujourd’hui), donc on est loin d’avoir touché le fond.


      • perlseb 14 novembre 19:34

        @perlseb
        Quant au fond de l’article, évidemment que la France est dans une situation calamiteuse, même par rapport à l’Allemagne (qui ne cherche pas à masquer une baisse d’activité en empruntant). Mais on ne peut pas avoir un système sans déficit qui marche quand certains groupes minoritaires (ultra-riches) font des bénéfices sans les réinvestir dans l’économie (ou en tout cas, pas en France). L’argent s’assèche par le profit et la délocalisation de ces profits, si on n’en crée pas à partir du vent, c’est la déflation et on va maintenant y gouter.

        La déflation a quelque chose de génial : elle va faire augmenter la misère, baisser l’activité (PIB) et donc augmenter le ratio dette / PIB. Donc il faudra encore serrer la vis (déflation), pour encore plus de misère, et une dette qui ne voudra pas s’assainir : la Grèce a déjà vécu cette absurdité économique. Et ils vont nous la servir sur un plateau, comme si c’était le remède. Non, c’était le but initial de leur gestion calamiteuse.


      • titi titi 14 novembre 21:08

        @perlseb

        Parce qu’il n’y a pas de riches en Allemagne ?

        Au début des années 2000 l’Allemagne et la France étaient dans la même situation et allaient faire la manche à Bruxelles.

        Puis l’Allemagne a appliqué les lois Hartz. Elle a privatisé les hopitaux, mis en place une TVA sociale.

        Nous nous n’avons rien fait à part « Ouin, ouin, c’est la faute des riches »

        On peut comparer la situation des deux pays 20 ans plus tard.


      • perlseb 15 novembre 12:41

        @titi
        Oui, on va résoudre le problème du chômage comme l’Allemagne l’a fait (lois Hartz). Augmentation de la pauvreté et des jobs mal payés. L’avenir c’est de cumuler plusieurs petits boulots et de dormir dans sa voiture, les USA sont l’exemple à suivre.
        Et on pourra fièrement afficher un taux de chômage de 5% (voire moins si, comme aux US, on ne touche plus rien donc on ne s’inscrit même plus).
        Si on regarde uniquement les chiffres et qu’on ferme bien les yeux, c’est un succès. Et ça l’est effectivement car le but est d’obliger la masse à travailler non pas pour ses propres besoins (d’où son appauvrissement) mais pour les lubies de psychopathes.


      • Octave Lebel Octave Lebel 14 novembre 19:42

        Jolie supercherie présentée comme une vérité de bon sens.

         

        « Cela implique une baisse forte des dépenses publiques et du niveau de vie des français : cela se fera-t-il de manière ordonnée ou de façon abrupte et qui en pâtira le plus ? C’est désormais la vraie question ! »

         

        Il y des élus qui font au parlement ce qu’attendent leurs électeurs et qui essaient tant bien que mal de faire fonctionner la démocratie même si les médias n’en rendent pas compte correctement. En dépit de ceux  qui ayant échoué sur à peu près tout voudraient encore nous faire payer l’addition qu’ils ont générée.

        Les dépenses publiques sont aisément compensables sans spoliation ni mise à la rue de ceux qui se sont enrichis au détriment des ressources mobilisables pour la satisfaction des besoins du plus grand nombre et des investissements qui ont manqué. Ces élus ont équilibré un budget au final rejeté par les votes des droites et du RN au final même s’il a soutenu quelques propositions. Comédie, comédie...

        Michel Barnier, du haut de sa représentativité médiatico-politique, a décrété que pour un déficit de 60 milliards, il en fallait 20 en impôts et 40 en baisse des dépenses sociales. Quand une taxe de 2% sur les revenus des 147 milliardaires du pays ayant doublé leurs revenus sous la gestion Macron en rapporterait 14.Que nos 20% de concitoyens devant payer des impôts de successions sont parmi les plus favorablement taxés dans l’UE et en Europe. Que l’assujettissement à cotisations des revenus des dividendes alimenterait de 15 milliards les caisses de retraites. Qu’une surcotisation pourrait être aussi envisagée à partir de 4000 euros net de salaire, que l’égalité de salaire homme femme boosterait les caisses de retraite etc...Il y en a qui imaginent encore que l’on peut nous tromper éternellement et qu’il suffira d’agiter leurs moyens habituels avec l’aide de qui vous savez pour nous diviser.

         

         



        • Octave Lebel Octave Lebel 14 novembre 19:42

          Des donneurs de leçons qui pensent que nous avons oublié que ce sont eux qui ont tout fait méthodiquement sur à peu près tous les plans de notre vie politique ( décisions économiques, fonctionnement de nos institutions et de la démocratie en général , qualité et objectivité de l’information délivrée, lisibilité et cohérence de notre politique européenne et internationale)  pour nous mettre dans la situation actuelle avec une constance certaine dans la supercherie : « C’est pas moi qui est, c’est les autres » « Soyons sérieux et responsables, tous ensemble, soyons gentils et réparons tout ce qui ne va pas tellement la vie c’est dure et qu’il y a des méchants partout ».

           

          Sinon, un tour d’horizon rapide mais précis sur l’actualité qui nous rappelle qu’il y a des choses qui méritent d’être expliquées simplement et clairement parce que nous sommes censés être quand même des citoyens et qu’il y a encore des politiques qui parlent comme des hommes d’état en France.

          L’actualité politique de la semaine : Ambiance pourrie politico-médiatique ( 12/11/24-23mn)

           

          https://www.youtube.com/c/JLMelenchon

           


          • CSRD ou la directive européenne qui rend fou

            Les patrons se voient obligés de soumettre leurs entreprises à un standard de normes sur la responsabilité sociale et environnementale. Une véritable usine à gaz !

            Connaissez-vous la Corporate Sustainability Reporting Directive ou CSRD ?

            Derrière ces quatre lettres se cache une directive européenne sur la responsabilité sociale et environnementale des entreprises… qui est devenue, depuis quelques mois, la bête noire des patrons français.

            À tel point que le Premier ministre Michel Barnier, cherchant à épargner des dirigeants éprouvés par la conjoncture économique et la recherche farouche de rentrées fiscales, a évoqué récemment l’idée d’un moratoire sur son application…

            De quoi s’agit-il ? Cette directive oblige les entreprises à mesurer leur empreinte environnementale et sociale, de manière que la transparence soit faite, sur ces sujets, notamment à destination des investisseurs.

            Ce texte impose aux sociétés de mettre en place un « reporting » de leurs pratiques d’achats, de production et d’investissement(...)


            • Eric F Eric F 15 novembre 13:16

              @SPQR-audacieux complotiste-Monde de menteurs
              Du coup, les entreprises préfèrent délocaliser hors d’Europe sur des continents moins regardants, et leur empreinte carbone est alors bien pire puisque c’est du charbon qui est utilisé (le record annuel de consommations de charbon est dépassé), sans compter le transport sur des dizaines de milliers de kilomètres pour réimporter.
              On s’interdit le gaz naturel de proximité qui est le moins polluant des combustibles fossiles, certains pays d’Europe s’interdisent le nucléaire, alors les entreprises ferment boutique.


            • mmbbb 15 novembre 15:48

              @Eric F  pour les entreprises cela devient insupportables cette folie normative puisque le coût de production doit l inclure .

              Et redite les ecolos ont empeches l usine BRIDOR ( viennoiserie) de s installer dans le nord .

              Ce qui est cocasse est la CGT demande sans rire une loi pour le plein emploi .

              L Allemagne ne sera pas epargnée BSAF et Wolswagen ont l intention de délocaliser .

              La montée du chômage risque de devenir tres problématique .

              et 2025 sera une dure année .


            • Crash Act : les données de la France en danger

              Alors que l’État et les entreprises multiplient leurs données en ligne, la question de la souveraineté numérique devient cruciale. Une plateforme clé de l’administration française est récemment passée sous la gestion d’une société étrangère, soulevant de sérieuses inquiétudes. Lorsque des infrastructures critiques et des données sensibles échappent au contrôle national, les risques pour l’indépendance et la sécurité de la France se multiplient.

              ⁉️Qu’est-ce que la souveraineté numérique ? 

              C’est le pouvoir pour un pays de garder en main ses données stratégiques et ses infrastructures digitales, sans intrusion étrangère. 

              La souveraineté numérique peut sembler abstraite, mais elle touche notre quotidien : données de santé, informations bancaires, et secrets d’entreprises sont directement menacés par la gestion étrangère. Quelques exemples ci-dessous :

               Le cas Microsoft et les risques pour les données sensibles
              En 2024, la CNIL a retenu Microsoft pour héberger les données de santé des patients français dans le cadre du projet européen EMC2 sur son cloud Azure, ce qui a suscité de vives inquiétudes

              En 2019, Engie a annoncé un partenariat avec Google Cloud pour utiliser des solutions de cloud et d’intelligence artificielle dans la gestion de ses infrastructures énergétiques

              La SNCF utilise les services d’Amazon Web Services (AWS) pour une partie de ses applications cloud et de ses analyses de données. 

               (https://www.ibm.com/fr-fr/case-studies/bnp-paribas-systems-software-z)Plusieurs grandes banques françaises, telles que le Crédit Agricole et BNP Paribas, utilisent des services de cloud fournis par IBM pour la gestion de certaines de leurs données financières et de transaction

              Renault a établi un partenariat avec Google pour équiper ses véhicules connectés d’un système Android intégré, permettant de collecter et d’analyser des données d’usage, de géolocalisation, et de conduite.(...)


              • Octave Lebel Octave Lebel 15 novembre 10:58

                note » numéro quatre des économistes participants aux travaux de l’Institut La Boétie. Deux logiques frontales. Chacun peut comprendre pourquoi les oligarques et ceux qui les représentent sont prêts à tout pour sauver leurs intérêts.

                https://melenchon.fr/2024/11/14/grace-a-ses-economies-barnier-aura-davantage-de-dettes

                La logique de la « profitation » est confirmée par la note des économistes. Et cela dans la suite de celle menée auparavant par Hollande avec son choc de compétitivité et le « crédit d’impôt recherche », dont Macron était déjà un des organisateurs. Le gouvernement Barnier ne s’en distingue en rien. L’un après l’autre, ils ont diminué des impôts sur les richesse produites et sur les revenus du capital. Ils pensaient obtenir de cette façon une relance de l’activité par un effet de « ruissellement » c’est-à-dire de transfert de ces sommes vers l’économie productive, l’investissement, l’innovation. Il n’a jamais eu lieu. Mais les recettes fiscales manquantes ont creusé les déficits, augmenté la dette et le prix qu’elles coûtent en intérêts. Résumé : l’État a été volontairement appauvri.....

                C’est le capitalisme sans risque et sans effort. Le capitalisme au-dessus de nos moyens. À la fin tout le monde est ruiné : les salariés, l’État, le pays. À présent, le budget Barnier ne porte ni vision ni projet autre que de faire des économies. Cela signifie pour le premier investisseur du pays qu’est la puissance publique de renoncer à l’initiative économique. Tandis que le budget voulu par les insoumis et le Front populaire vise au contraire la relance volontariste de l’activité économique. Mais ici le moyen c’est par une injection d’argent pris par l’impôt là où les fortunes inutiles et l’accumulation monstrueuse de ces dernières années le permettent largement. 2% sur les patrimoine des 147 plus riches rapporteraient par exemple 15 milliards ! Le budget tel que l’ont modifié les députés insoumis et du NFP est désormais réorienté dans ce sens. À l’inverse, Barnier et les macronistes envisagent un «  redressement » au niveau de férocité des plans imposés à l’Europe du Sud au début des années 2010. 

                La note de l’Institut La Boétie compare l’ampleur du plan de « coupes budgétaires » de Barnier pour 2025 avec ceux qui ont été appliqués aux pays du sud de l’Europe pendant la crise de la zone euro. On peut avoir peur. Ce plan Barnier est pire que le remède de cheval appliqué à l’Italie ! Tant d’années après, elle ne s’en est toujours pas remise ! Il aura fallu attendre 2024 pour que le PIB italien retrouve son niveau d’avant la crise mondiale de 2008. Le taux de chômage, lui, est monté jusqu’à atteindre 13 % de la population active en 2014 et n’a actuellement toujours pas retrouvé son niveau antérieur à la crise de 2008. Quant à la dette publique italienne, alors qu’elle s’élevait à 114 % du PIB en 2010, elle est aujourd’hui passée à 139 % du PIB. Seize ans avec boulet au pied  ! Et un résultat toujours négatif. Avis aux amateurs.


                • Eric F Eric F 15 novembre 11:20

                  Il est en effet plausible que la pénurie de rentrées fiscales mentionné par Lemaire lui-même résulte d’une baisse d’activité de l’économie réelle du pays, et que la hausse affichée du PIB (très faible, du reste) soit de la gonflette.

                  Moins de consommation et moins d’exportations, c’est forcément que la production baisse !

                  Notre productivité a chuté par rapport au début des années 2000 (jusqu’en 2004 on était encore avec une balance commerciale positive), l’industrie a délocalisé, l’agriculture régresse, on fait surtout de l’administratif et des services sans valeur ajoutée tangible.


                  • juan 15 novembre 17:22

                    Ne pas confondre la baisse du PIB avec l’abbé du pays, baisse...(y en a plus dans les églises)


                    • Olivier142 18 novembre 18:54

                      La gouvernance Macron se révèle de plus en plus catastrophique.

                      Mais ce n’est pas de l’incompétence, c’est une politique délibérément mise au service des forces de la finance mondiale (Macron vient de la banque Rothschild) et des milieux mondialistes (style Soros, Attali, Davos, etc.).

                      Pour ces gens-là la disparation des nations européennes est un objectif délibéré, qu’ils accomplissent via des marionnettes comme Macron ou Biden mises en place à la tête des états.

                      On comprend que le sort du con moyen qui gobe la propagande des médias du système les intéresse fort peu...

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Christophe Bugeau

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