Le démantèlement de la société française à coups de sondages
Depuis que le gouvernement s’est lancé dans le vaste programme de réformes promis par Sarkozy pendant la campagne présidentielle, la France est bombardée de sondages - enfin, encore un peu plus que d’habitude.
Si 82% des Français sont favorables à la réforme (sondage Ifop pour Métro, paru le 16 octobre juste avant la journée de grève nationale du 18) et 55% trouvent la grève « non justifiée » (sondage BVA pour Le Figaro)... il faut vraiment être obtus, corporatiste, rétrograde, dépassé... pour être du côté des grévistes ! N’est-ce pas ?
Sarkozy ne s’y trompe pas : « il compte sur le soutien de l’opinion publique pour remporter l’épreuve de force avec les syndicats ». (cf. nouvelobs)
Le sondage, par lequel on peut prouver tout et son contraire, en fonction des questions et de l’interprétation des résultats, est devenu l’outil privilégié des gouvernants pour forcer les réformes : dans un monde de plus en plus individualiste, tant qu’une catégorie d’individus n’est pas touchée directement, elle ne « bouge » pas, ou pire, elle supporte activement « le changement ». Et quand elle est finalement concernée, elle se retrouve à son tour seule, et donc affaiblie pour défendre ses intérêts.
Concernant la réforme des retraites, si, sur le fond, l’idée d’aligner l’ensemble des régimes paraît raisonnable, il y a au moins cinq bonnes raisons d’accorder son soutien aux grévistes :
Premièrement : parce que le déficit des régimes de retraites est en bonne partie généré artificiellement par des baisses de charges non compensées.
D’ailleurs, certains régimes spéciaux, tel celui des électriciens et des gaziers, sont bénéficiaires, et financent le régime général.
Deuxièmement : parce que si réforme il doit y avoir, elle doit être juste : or si aujourd’hui sont stigmatisés les « nantis » des régimes spéciaux tels que les cheminots, nos députés parlent un peu moins du régime « très spécial » qui les concerne : http://www.dailymotion.com/video/x396sg_la-retraite-de-nos-elus.
Pourtant, côté déficit, on peut difficilement faire pire : http://www.bakchich.info/article1734.html
Mais quand l’on regarde la réforme que les députés « sont disposés à s’appliquer »... il y a de quoi rire... amer !
Troisièmement : parce que sur un sujet aussi sensible, qui a un impact significatif sur la vie de millions de personnes, le minimum que l’on doit exiger du gouvernement c’est un réel dialogue, ouvert et constructif. Dans ce domaine, le gouvernement a été exemplaire (presque du niveau Juppé 95) : il est arrivé à se mettre à dos la quasi-totalité des syndicats, y compris les plus modérés.
Quatrièmement : parce que s’il y a un problème de déficit (chose en soi déjà contestable - voir point 1), quand il y a la volonté politique, il est toujours possible de trouver des solutions non pénalisantes.
Ainsi, à l’arrivée sur le marché des graveurs de CD, l’impact du piratage musical a été compensé par un impôt spécifique sur les CD vierges. Quand le piratage est devenu immatériel (Internet, iPod, etc.), le politique a envisagé la licence globale (impôt sur l’accès Internet).
Quand la source de financement traditionnelle d’un secteur d’activité est touchée, les politiques font preuve de grande créativité. Quand cela concerne le maintien du système social, beaucoup moins. Un peu plus de pression sociale pourrait peut-être permettre aux citoyens d’égaler, en termes de lobbying, l’industrie du disque !
Enfin, cinquièmement : parce qu’une fois ré-alignés les régimes spéciaux sur le régime général, la casse recommencera du côté du régime général, à chacun son tour ! D’autant plus que de ce côté-là, les résistances sont minimes.
A dire vrai, il y a une sixième bonne raison de sympathiser et de se mobiliser avec les hommes et les femmes qui seront dans les rues ces prochains jours. Et c’est peut-être la meilleure des raisons.
Comme le résume très bien, et avec beaucoup de cynisme, Denis Kessler (ancien numéro deux du Medef) dans un article de Challenges, au-delà de la réforme des régimes spéciaux, le projet de ce gouvernement n’est ni plus ni moins que de défaire méthodiquement le modèle social mis en place au sortir de la Seconde Guerre mondiale par le Conseil national de la Résistance !
Voir http://contreinfo.info/article.php3?id_article=1316
Ce danger a été dénoncé le 8 mars 2004 par un groupe d’anciens résistants lors d’une conférence de presse, appel touchant et percutant à la fois, qui situe très bien les enjeux actuels : http://www.re-so.net/spip.php?article3465
Nous avons tous profité et nous profitons toujours des acquis pour lesquels les générations qui nous ont précédés se sont battues : une école de qualité accessible à tous, un système de santé qui est un modèle dans le monde, les congés payés, l’allocation chômage, le CDI, la retraite, la liberté de la presse, etc.
Pourtant, par un mélange de crédulité, d’apathie et d’égoïsme, nous laissons détruire cet héritage sans lever le petit doigt, sans grand souci pour les générations qui suivront.
Il est peut-être temps de changer, d’assumer nos responsabilités et d’agir ! Pensez-y dans les prochains jours : la société que nous laisserons à nos enfants dépendra de notre action ou de notre inaction aujourd’hui.
74 réactions à cet article
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Souhaitons qu’à l’avenir, les usagers des transports en commun puissent voir des conducteurs de trains âgés de 60 ans. Un train « fou » pourrait rendre la raison à tous les démolisseurs d’un système de retraite qui ne pénalise personne et qui ne constitue en aucune façon un « privilège ».
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Bonjour,
Enfin ! Un article qui expose des arguments.
Oui, je partage votre position.
Non pas que je sois favorable au maintien des régimes spéciaux mais plus parce qu’il ne peut y avoir d’alignement sans discussions sur le fond (pénibilité, décotes etc...)
Le vrai problème par ailleurs, n’est pas tant le focal qu’on nous vend sur ces « usagers pris en otage » et cet « alignement équitable » que sur le VOLUME de cette disposition : Est-ce que cela va fondamentalement changer la donne ?
Est-ce que cette attaque frontale des bastions syndiqués ne cache pas une volonté de se « payer » le noyau dur pour ensuite faire avancer le troupeau de crédule vers plus d’annuité sans pour autant voir la retraite grossir d’un seul euro ?
La machine à « penser pareil » est bien rodée : on préfère focaliser sur le nombre de trains que sur les contenus du problème. D’ailleurs, on ne sait toujours pas quels sont les « 14 propositions SNCF » et autres noeuds à dénouer.
Pire, on ne sait toujours pas si, finallement, travailler plus longtemps sera « meilleur » pour la qualité de vie et pour l’économie. On peut le penser à priori, mais rien ne dit que cela ne freine pas l’accès à l’emploi, gèle les salaires ou rétablisse un tant soit peu les finances publiques...
Regardons aussi du côté des « aides » aux entreprises, des exonérations pour les pêcheurs, de la non taxation TIPP sur les agriculteurs etc...
Ca + ça + ça , ça finit aussi par peser lourd.
Certains financent alors avec des CSG/CRDS sur les « salaires » le poids des erreurs du passé ainsi que les charges de certaines filières mieux organisées que d’autres.
La feuille de paie est un labyrinthe de ponctionnements que personne ne comprend.
Quand on comprendra que sur cette fiche, on sert un peu tout le monde (valises UIMM, exo patronales etc...) on pourra peut-être se dire : et si on s’occupait un peu de rééquilibrer tout ça dans le sens du pouvoir d’achat ?
Et puis, il y a aussi l’aspect humain.
Aujourd’hui « 40 annuités », soit pour un diplômé la retraite à 65 ans, demain plus encore ? Pour quelle vie, quelle qualité, quel progrès ?
Me casser les roubignolles pour ramer 40 ans et misérer avec une petite retraite : est-ce cela le progrès de société ?
On ne met pas aux yeux des citoyens les bonnes questions : si on leur disait ce qui est balancé par les fenêtres dans les poches de certains, on aurait vite fait de comprendre qu’en France, une partie de la société vit au dépend de l’autre.
Mais c’est bien plus marrant de donner les coups de bâtons aux uns puis aux autres tout en les montant tous contre tous : ça permet à ceux qui savent de vivre sur la naïveté des autres.
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Dire, comme les médias et le GVT le font, que 82% des Français sont « favorables aux réformes » ne signifie rien, tant qu’on ne précise pas : A quelles réformes, précisément ?
Si on détaille réforme par réforme, les nouveaux chiffres devraient être bien différents. Simplement car ce chiffre additionne tous les mécontents du système actuel, et tous parfaitement différents, lorsqu’ils ne sont pas opposés.
Comme d’habitude, la réponse dépend de la question posée.
Etes vous favorable à « des réformes » pour préparer l’avenir ? 90% de OUI. Qui doutait du résultat ?
Les médias poursuivent actuellement une campagne de désinformation, en ne présentant qu’un point de vue. A titre d’exemple, sur Europe1, ce matin. Suite aux grèves des transports, les auditeurs appelés à commenter à l’antenne étaient très majoritairement, sinon totalement, des usagers gênés par le mouvement.
Diviser pour régner. Vieille tactique, hélas, très bien utilisée par Sarkozy.
Cela rappelle le langage des politiques en campagne. Tous parlent de « changement », un mot auquel chacun va accoler ce qu’il veut, lui donner le sens qui lui convient. Et le tour est joué.
Encore de la communication.
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Vous pouvez partir avant 65 ans sauf que vous n’aurez pas toute votre retraite (moi je dois partir à 69 si rien ne change, cad 42 ans).
Quand le système des retraites a été créé, nous cotisions 37.5 ans pour vivre 12 ans à la retraite soit en gros 3 ans de cotisation par année de retraite. Aujourd’hui, nous vivons 20 ans en retraite. Si on conserve ce ratio de 1 pour 3, on obtient 60 ans de cotisation, hors nous en sommes loin heureusement d’ailleurs car je me vois mal travailler jusqu’à 90 ans. Cela dit ça permet quand même de voir le rapport années travaillée/années à la retraite.
Aussi quand le système a été créé, il y avait 5 cotisants pour un retraité dans une époque de 1% de chômage et 5% de croissance, nous en sommes maintenant à 1.7 dans une époque à 8% de chômage et 2% de croissance. On voit donc bien un problème mathématique pour payer ces retraites. Certains parlent d’un démantèlement du système des retraites, ceci serait vrai si le système était viable hors en première approximation ce n’est pas le cas sans réforme. La France comme beaucoup de pays dans le monde a profité des 30 glorieuses ; le problème a été de croire que cette époque était normal au niveau économique. Les générations des 30 glorieuses ont joué à la cigale alors qu’il aurait fallu faire la fourmi. Bilan, ces générations ont profité d’une période économique faste et partent à la retraite tôt, ceux qui doivent payer sont eux derrière.
Un système par capitalisation n’est pas forcement une bonne chose mais un système par répartition doit savoir accepter les réalités démographiques et économiques : cotiser 25% de son salaire pendant 40 ans va difficilement financer 20 ans à 75% du salaire surtout si on oublie les 17 années les plus mauvaises ou que l’on ne prenne que les 25 meilleurs au choix.
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Cette semaine est la grande semaine du Président.
S’il arrive à casser ces syndicats qui sont parmis les plus durs, les autres suivront et il arrivera à réformer le pays comme l’a fait Mme Tatcher dont le pays nous dépasse aujourd’hui après avoir stagner pendant des années. S’il n’y arrive pas, nous continuerons de descendre vers l’Espagne.
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ah tati tatcher, je l’aime ! elle a donné en son temps d’excellents groupes punks ! dieu sait ce qu’une telle rage festivo-culturelle pourra donner en france, pays où un beau jour initiatique on a coupé les têtes des nobles et des curetons ! plus vite onc’ sarko !live fast, die young telle est la moderne devise.
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AGORAVOX CENSURE
On n’a pas le droit de censurer mais un journal peut toujours refuser une contribution de ceux qui contribuent à sa construction pour des motifs divers et variés. Tel est le cas por agoravox à condition toutefois de préciser que la motivation doit être sérieuse.Dans ce cas précis, l’article ci dessous a été refusé parcequ’il n’apportait rien de neuf à ce qui a été déjà écrit : à ma connaissance il n’a jamais rien été dit comme critique du concept de développement durable ou comme critique du totalitarisme vert !!! MR REVELLI ? 1 Agoravox est il sous influence et cet articlE valait il le traitement qui lui a été réservé ? 2 Pourriez vs rendre transparentes les règles de choix d’édition sur AGORA
MERCI A TOUS DE VOS REACTIONS
DE L’ESCROQUERIE DU DEVELOPPEMENT DURABLE
Dans les années 70 , lors d’un congrès de la CFDT, les délégués, portés par on ne sait quelle brise ou bercés par on ne sait quelle mélopée décidèrent, en cours de nuit de mettre l’autogestion au cœur du projet syndical. Pendant quelques décennies, on parla donc d’autogestion sans jamais vraiment savoir ce dont il s’agissait et sans , bien sûr, la mettre un tant soit peu en pratique.
Le développement durable , entonné sur un mode incantatoire a pris aujourd’hui le relais comme une sorte de prolongement de ces vapeurs étranges qui , dans la Grece antique faisaient délirer la Pythie.
Première remarque : comme le note fort justement Wikipedia, le développement durable fait figure d’axymore . D’aucun lui préfèrent une traduction beaucoup plus fidèle à son origine anglo-saxonne qui est celle de développement soutenable ( sustainable developpment ». Mais cette version met à nu l’ADN du concept en faisant apparaître son origine clairement malthusienne. Le développement soutenable, théorie élaborée par une certaine Bo Gruntland, premier ministre norvégien à la retraite, n’est jamais qu’une copie des thèses du club de Rome, lesquelles reprennent avec d’autres paroles la musique composée par Malthus et dont on connaît la pertinence à l’échelle de la vérification par les faits. Pour le club de Rome, en 1970, nous n’avons plus que pour 28 ans de réserves de pétrole et cette prévision , pour ne pas dire cette prophétie n’est qu’un des éléments d’un délire plus général sur les catastrophes qui nous attendent à compter de 2010 2050 ! Le problème est que ces théories malthusiennes sont fondamentalement viciées par une erreur fondamentale dans le diagnostic : la négation du progrès technologique qui fait que toutes les exponentielles chères aux Diafoirus de tous poils (Albert Jacquard en tête) finissent non pas en apocalypse mais dans le marais d’une pensée qui n’en a que le nom tant on l’imagine issue de la sauce blanche que décrit Boris Vian dans la Java des bombes atomiques !
Deuxième problème : les tentatives de faire accoucher la notion d’autre chose que de l’incantatoire ont débouché sur les fameux trois cercles ou trois ovales en partie superposés et qui sont censés constituer l’essence même du concept. Le schéma ci dessous est celui qui figure dans Wikipedia
Economique
Selon se schéma , seule le champ qui résulte de l’imbrication des trois éléments relève du développement durable. C’est ici que le bât blesse.
La quasi totalité de la planète fonctionne en économie de marché . Depuis la mondialisation la régulation économique et sociale par les Etats est d’ailleurs à l’agonie.
Dans ce schéma, on voit vient que l’environnemental, l’économique et le social ne relèvent pas du même statut de gouvernance . L’environnemental est le seul qui fasse l’objet de régulations par les Etats ou les organisations internationales. Celles ci s’imposent au champ économique dont elles compliquent la tâche. D’ailleurs, leur mise en oeuvre dans certaines régions de l’espace économique plutôt que dans d’autres produit des distorsions de concurrence et pénalise les pays qui les mettent en oeuvre,
Il n’en va pas du tout de même de l’économique ou du social lesquels ne sont plus régulées par les Etats mais par les grandes entreprises et les organisations financières internationales. Sauf dans le monde d’Arlette Laguiller et peut être d’Olivier Besancenot, on n’imagine pas que l’on puisse interdire les licenciements ou imposer des conditions de travail à la hauteur des enjeux de bien êtreet de santé qui sont ceux des travailleurs.
Il en résulte cette impression que le champ de l’économique et du social relèvent d’une sorte de point aveugle , d’un espace totalement irréel. D’ailleurs, assez curieusement, les objectifs cités tiennent de l’exotique ( un commerce équitable moins juteux pour les consommateurs et les producteurs que pour ceux qui en maîtrisent les rouages opaques) ou de l’affirmation totalement virtuelle de droits « ovnusiens « ( droit à l’éducation ou à la culture) ou encore de l’économie verte:droit à l’eau potable. L’économique et le social dans le champ du développement durable , c’est d’abord un ensemble vide, un espace de logorrhée et ce pour deux raisons fondamentales:d’une part, l’écologie est avant tout antinomique du développement économique et social, en tout cas dans une perspective de court et moyen terme, d’autre part, comme on l’a vu, leur mode de régulation n’est pas le même .
A ce stade, une question s’impose : La notion de développement durable est sans doute une escroquerie intellectuelle et conceptuelle ; il n’en reste pas moins qu’elle constitue aujourd’hui l’alpha et omega d’une classe politico-administrativo-médiatique en mal d’imagination . Elle est même devenue l’équivalent de ce que pouvait être le discours liturgique au moyen âge en tant que Sésame du salut de tous. J’y vois trois raisons fondamentales.
- Le développement durable trouve un maximum de soutiens chez un certain nombre d’anciens chantres de la planification et des charmes de l’économie stalinienne. Alors que la débâcle des systèmes communistes a fait place à une idéologie du marché omni-présente dans laquelle on affirme que l’intelligence humaine est aveugle au dela du court terme.,le développement durable, c’est la promesse ressuscitée que l’on puisse projeter la prévision et l’action à 250 années. On imagine volontiers que cela flatte beaucoup le désir de puissance de ceux qui demeurent convaincus qu’une avant garde éclairée est à même de satisfaire le bonheur du peuple.
- Corrélativement, le développement durable trouve un large soutien chez tous ceux qui , fonctionnaires ou non , sont en charge d’une parcelle d’autorité publique,L’environnement est source d’un nombre incroyable de réglementations et d’interdits qui sont autant de moyens de conforter leur pouvoir vacillant, Les seuls domaines de l’Etat où le pouvoir est aujourd’hui fier et arrogant sont le maintien de l’ordre et les activités environnementales..
Enfin dans un monde où le pouvoir des gouvernants est en haillons, où l’on s’esclaffe quand ils nous promettent d’augmenter le pouvoir d’achat ou les salaires, l’environnement et l’écologie sont avec les politiques sanitaires et sécuritaires, les seuls domaines où nos élus peuvent laisser une trace dans l’Histoire fût ce en pourrissant la vie de leurs concitoyens !
On pourrait rire de tout cela en se disant que l’humanité a quand même suffisamment de clairvoyance pour qu’un jour soit sifflée la fin de ce concours de bugs intellectuels et qu’Hulot soit jeté aux orties avec sa soutane. Mais le mal est peut être plus grand qu’il n’y parait.Le développement durable fait un peu penser à Alfred Jarry : l’auteur est sympathique ! Mais derrière , il y a Ubu !
Le rêve sarkozien , voire ségolénien de voir l’écologie nourrir le développement économique et social est une illusion presque totale ( ce qui ne veut pas dire qu’il n’existe pas des effets de levier dans certains secteurs comme l’énergie( HQE par exemple) et il faut évidemment anticiper l’après pétrole)mais l’essentiel n’est que délire et peurs régressifs
Au lieu et place se profile un changement de paradigme et la mise en place d’un tout autre ordre, Il repose sur trois piliers :
1.Affirmation du principe de précaution sur la base duquel, rappelons le le feu n’existerait pas aujourd’hui si nos ancêtres l’avaient appliqué : il est déjà dans la constitution
2.remise en cause du caractère prométhéen du projet humain:la nature est intangible et on ne doit pas la transformer. Il est déjà dans les discours incantatoires du radicalisme vert 3.Remise en cause des fondements même de l’humanisme : l’Homme n’est qu’une créature parmi les autres et n’a pas plus de droits que les autres animaux. En se multipliant il est un facteur de nuisances. On a déjà commencer à tuer pour ce motif au Royaume uni !!!!!!!
Au bout de la cuite du développement durable, on va trouver le sous -développement durable et c’est ce qui attend notre beau pays.
Au bout du radicalisme vert qui n’est jamais que sa dérivée on trouve l’enfer totalitaire !
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@ Fred qui dit :
« moi je dois partir à 69 si rien ne change, cad 42 ans. »
Doit-on comprendre qu’il a commencé à travailler à 27 ans ?
Si oui, de deux choses l’une : ou bien il a profité longtemps du nid douillet de ses parents, ou bien il a fait de belles études supérieures. Non ?
Dans le premier cas il n’a pas trop à vous plaindre et dans le deuxième, combien gagne-t-il aujourd’hui ?
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"@ Fred qui dit :
« moi je dois partir à 69 si rien ne change, cad 42 ans. »
Doit-on comprendre qu’il a commencé à travailler à 27 ans ?
Si oui, de deux choses l’une : ou bien il a profité longtemps du nid douillet de ses parents, ou bien il a fait de belles études supérieures. Non ?
Dans le premier cas il n’a pas trop à vous plaindre et dans le deuxième, combien gagne-t-il aujourd’hui ?"
Euh il y a d’autres explications monsieur logique. Quand Fred a fini ses études, il est parti acquérir de l’expérience à l’étranger (5 ans) parce qu’en France un doctorat n’était/est pas très bien reconnu donc il n’a pas cotisé dans le système pendant ces années. Je ne me plains pas trop car cette expérience a été excellente, j’ai rencontré ma femme et j’ai vu le système américain de l’intérieur. Ça permet d’avoir un oeil un peu différent sur ce système que vous défendez.
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@fred-donc si je comprends bien vous avez eu votre doctorat a 22ans(27moins 5)
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Sauf que les seules options que l’on nous proposent et qu’on présente comme unique, sont soit d’augmenter le montant ou la durée de cotisation soit de faire baisser le montant des retraites reversées.
C’est oublier l’accroissement sans équivalent de l’inégalité entre revenus du travail / revenus financiers. C’est aussi oublier que les gains de productivité obtenus n’ont pas profité aux mondes du travail ou dans des proportions qui sont sans commune mesure avec ces gains. Ainsi le passage de 40 à 35 théoriques sans pertes de revenus peut représenter une augmentation de revenus à hauteur de 12% masi sur une seule année, à comparer à la progression de 7/8 à 20% des revenus financiers par an sur presque toutes les années écoulées.
Je propose donc de mettre en oeuvre une taxe non négligeable sur les mouvements de capitaux et les revenus financiers, et de revenir sur les cadeaux fiscaux faits aux plus riches (qui représentent à eux seuls 5 à 7 fois ce que coutent les régimes spéciaux à l’état). L’ensemble devrrati servir à améliorer le « social », retraite et secu incluses.
Pour cela, faudrait que nos conitoyens arrêtent de regarder TF1 !
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« @fred-donc si je comprends bien vous avez eu votre doctorat a 22ans(27moins 5) »
Euh non, on cotise lorsque l’on a une bourse de thèse.
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"Sauf que les seules options que l’on nous proposent et qu’on présente comme unique, sont soit d’augmenter le montant ou la durée de cotisation soit de faire baisser le montant des retraites reversées.
C’est oublier l’accroissement sans équivalent de l’inégalité entre revenus du travail / revenus financiers. C’est aussi oublier que les gains de productivité obtenus n’ont pas profité aux mondes du travail ou dans des proportions qui sont sans commune mesure avec ces gains. Ainsi le passage de 40 à 35 théoriques sans pertes de revenus peut représenter une augmentation de revenus à hauteur de 12% masi sur une seule année, à comparer à la progression de 7/8 à 20% des revenus financiers par an sur presque toutes les années écoulées.
Je propose donc de mettre en oeuvre une taxe non négligeable sur les mouvements de capitaux et les revenus financiers, et de revenir sur les cadeaux fiscaux faits aux plus riches (qui représentent à eux seuls 5 à 7 fois ce que coutent les régimes spéciaux à l’état). L’ensemble devrrati servir à améliorer le « social », retraite et secu incluses.
Pour cela, faudrait que nos conitoyens arrêtent de regarder TF1 !"
La part du capital dans la richesse est identique à celle qui existait en 1960 pourtant à cette époque là on ne parlait pas trop de ce problème. Cela je suis d’accord pour taxer un peu plus les profits boursiers mais si ça ne se fait pas au niveau mondial, le seul effet en France sera la fuite des capitaux à l’étranger.
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Eh oui les sondages et les statistiques... On parle beaucoup des sondages sur les grêves, sur le service public et le mécontentement des français sur le service public qui est censé travailler pour le bien de tous... C’est bien de le savoir c’est clair, mais on parle beaucoup moins des sondages à grande échelle qui placent la france en retard dans tous les domaines, l’innovation, la recherche, la politique économique, le redressement du pays...
Ca on s’en fiche, c’est moins racôleur. En attendant on n’avance pas, on régresse, et nous sommes la risée de tous ces pays à qui on a donné pas mal de leçons (Espagne, Irlande...) et qui aujourd’hui se rénovent à vitesse grand V pendant que nous on est en train de se battre avec des cheminots qui veulent à tout prix garder un système moyen âgeux...
Ceci dit, j’espère qu’un jour on aura une politique moderne avec une réelle volonté d’avancer, ce n’est pas dans le PAF de la politique actuel que l’on trouve ce genre de personnages, un jour peut être... on se sera bougé avant de rattraper l’afrique.
J’exagère ? A peine... Ce matin j’écoutais fun radio et Cauet a peut être dit la seule chose intelligente de toute sa vie : « il n’y a vraiment qu’en france où on est encore persuadé d’être une grande puissance mondiale, nous sommes la risée de tous les pays du globe ».
J’étais scotché qu’il soit capable de telle réflection, c’est tellement vrai...
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« »« En attendant on n’avance pas, on régresse, et nous sommes la risée de tous ces pays à qui on a donné pas mal de leçons (Espagne, Irlande...) »« »
A qui ont a surtout beaucoup accordé de subventions et dérogations (relire le Traité de Maastricht.) Si vous étiez un européen convaincu, que vous importerait de savoir que la France « décline » (selon vous) puisqu’elle est destinée à entrer dans un ensemble qui s’appelle Europe et qui englobera notre pays, avec ses qualités et ses défauts, ses anvancées et ses retards ?
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Fondamentalement, je ne m’oppose pas à la mise à plat, au nom de l’équité, des régimes spéciaux de retraites, afin de dire exactement ce qui est et ce que l’on vise. Parmi les éléments qui me semblent nécessaires, que l’équité revendiquée se retrouve réellement, que la pénibilité soit définie enfin proprement, et qu’à l’issue d’une seule loi, tous les régimes se trouvent clarifiés, sans contournement par caste ou lobby.
On jette aujourd’hui l’opprobre sur les cheminots, qui pourtant cotisent plus que les autres régimes, et on oublie que certaines catégories de personnes peuvent toucher une retraite après 15 ans (militaires), 10 ans (députés, et ils peuvent cotiser double au besoin), voire... 6 mois (ministres d’état, président directeur général de la République).
Pour moi, sur le respect de tous ces principes, la proposition en cours est plus que déficiente. S’agissant de toute proposition de loi qui ne respectera pas ces principes, je préfère le status-quo. Donc acte.
Que les discussions puissent s’ouvrir avec du concret, de l’équitable, et que l’on annonce que tout se fera en un vote unique pour ne pas laisser les députés se défiler. C’est pour moi le minimum « syndical » de cette réforme.
Nota : je ne suis pas (encore ?) concerné, mais j’ai autant mal à mes impôts quand ils financent un militaire, un cheminot, un ministre ou un président. Sauf peut-être que le cheminot me rend aujourd’hui encore un meilleur service que les autres.
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« Nota : je ne suis pas (encore ?) concerné, mais j’ai autant mal à mes impôts quand ils financent un militaire, un cheminot, un ministre ou un président. Sauf peut-être que le cheminot me rend aujourd’hui encore un meilleur service que les autres. »
Par definition, un militaire ne rend pas de srvice à la population.
On peut meme dire que dans la logique de defense d’un pays qui souhaite vraiment la paix, cet « investissement » ne doit jamais se « rentabiliser »
Bien entendu, cela n’est pas le cas des etats unis qui , ayant reussit a se faire refinancer leur armée après la première guerre du golfe, ont souhaité re-editer leur exploit avec des benefices petroliers à la clef dans leur deuxieme invasion.
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« »« Par definition, un militaire ne rend pas de srvice à la population. »« »
Sauf ceux de la gendarmerie, qui, eux, commencent aussi à s’inquiéter de leur situation. Il est vrai que, de par leurs attributions, ils sont peut-être plus proches des fonctionnaires que des militaires. Ceci pouvant expliquer cela.
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@NON666 « Par definition, un militaire ne rend pas de srvice à la population. »
parmis les missions des Militaires il y a « participer à la sécurité publique » , « aider les populations en difficultés » ... En France un Préfet peut réquisitionner des Militaires pour aider la population après une catastrophe quelconque ... dire que les Militaires ne rendent pas de services à la population c’est un peu gros
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@L’auteur
<< dans un monde de plus en plus individualiste, tant qu’une catégorie d’individus n’est pas touchée directement, elle ne « bouge » pas, ou pire, elle supporte activement « le changement ». Et quand elle est finalement concernée, elle se retrouve à son tour seule, et donc affaiblie pour défendre ses intérêts. >>
En effet les intérêts de chacun, ne correspondent pas toujours aux intérêts de tous....Cet extrait de votre texte résume l’éssentiel.Une telle manière de gouverner est en fait un des principaux dangers qui guette ces gouvernements populistes.Ils ont pour objectif éssentiel de plaire ponctuellement au plus grand nombre(sondages obligent...),tout en se disant préoccupés des intérêts de chacun.
Par ailleurs le jeu est quelque peu faussé en ce qui concerne le monde opaque de la finance et du grand capital et la fameuse « opinion des Français ». Dans ce domaine particulier les sondages ne sont pas fournis « brut de décoffrage »... C’est sans doute là qu’interviennent alors la « mise en forme » et « l’nterprétation » des résultats des sondages par les fameux Instituts relayés par les des médias réputés indépendants et objectif comme l’ont sait...
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Nous en avons souvent parlé ici pendant la campagne électorale : le sondage est une arme..
Sans être défavorable à un certain alignement des régimes de retraite, il faut arréter de fantasmer..Voici un bulletin de paie d’un cheminot arrivé presque en fin de carrière (cliquez pour lire le bulletin) :
http://www.rue89.com/2007/11/13/pour-en-finir-avec-les-privileges-ma-feuille-de-paie
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Le débat a déjà eu lieu hier à propos d’un autre article : c’est un débat stérile. Même une preuve matérielle ne sera d’aucune utilité : les pouvoirs publics ont, une fois de plus, rendu tout dialogue impossible. Diviser pour régner...
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>> http://www.rue89.com/2007/11/13/pour-en-finir-avec-les-privileges-ma-feuille-de-paie
Ce n’est PAS la fiche de paie d’un cheminot, il faut arreter de dire n’importe quoi. C’est la fiche de paie d’une personne travaillant a la SNCF. Il y a tout de même une différence. Il faut savoir qu’un cheminot qui sort de l’école interne de la SNCF après 1 an et demi de formation, gagne un peu plus de 2000 € net par mois.
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d’aprés un sondage, l’article est à 19% défavorable, 81% favorable à l’heure de ce commentaire. Sondage réalisé sur un échantillon de 19 intervenants volontaires.
...
avouez que vous avez regardé vous aussi.
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d’aprés un sondage, l’article est à 19% défavorable, 81% favorable à l’heure de ce commentaire. Sondage réalisé sur un échantillon de 19 intervenants volontaires.
...
avouez le, vous avez regardé vous aussi.
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Vous avez raison, je suis intéressé aux statistiques concernant mon article. Cela dit, une chose c’est de vouloir connaitre combien de personnes partagent votre point de vue (une fois celui ci exprimé) ... une autre est d’utiliser les sondages (que je soupçonne pilotés) pour mettre les citoyens les uns contre les autres dans une stratégie de « diviser pour régner ». C’est à mon avis une dangereuse dérive de la démocratie.
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Il est facile de manipuler un sondage, il suffit notamment de poser les bonnes questions au moment opportun car l’opinion publique est très variable. Il est également possible de manipuler l’opinion publique. Il suffit pour cela que les principaux journaux soient alignés sur la même pensée dominante, la presse alternative ne pèse pas bien lourd en terme d’influence !
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Ca part un peu dans tous les sens. Beaucoup de choses sont dites, qui effacent les précédentes. Un coup de gueule chasse l’autre. Mais bon, continuons.
Vous écrivez : « »Sarkozy ne s’y trompe pas : « il compte sur le soutien de l’opinion publique pour remporter l’épreuve de force avec les syndicats ».
Je dirais plus, il organise la division, par tous les moyens.
Il distribue des avantages catégoriels pour faire taire les marins pêcheurs, mais n’a à la bouche que ce mot d’équité.
équité ? avec le triplement des son salaireil montre que l’équité pour les riches c’est vers le haut, cf. le bouclier fiscal.
l’équité pour les travailleurs : c’est tous dans la même galère.
L’organisation de la division ? il n’y a qu’à écouter France Inter (les autres radios je ne sais pas), c’est micro trottoirs à longueur de journeaux d’info : que des raleurs contre la grève.
Les sondages ? Ce matin à peine JF Kahn venait-il de dire sur la station voisine que le sondage de cet obscur institut britannique avait été entièrement fabriqué par l’Elysée, qu’au journal on y faisait référence pour dire que les usagers n’en peuvent plus.
Ce n’est pas seulement Sarkozy qui nous ment, c’est tout l’appareil médiatique. Pour qui ? L’AGCS : lire l’article paru ce jour, c’est ce que vais faire.
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JL
« il n’y a qu’à écouter France Inter (les autres radios je ne sais pas), c’est micro trottoirs à longueur de journeaux d’info : que des raleurs contre la grève. »
Ecoutes France Culture. Les émissions sont bien meilleures, plus argumentées et objectives.
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Le modéle n’existe plus déja depuis 1983 ,tournant de la rigueur économique mis en application par des « visionnaires » de la « nouvelle gauche » (rocard,delors et compagnie..)
Ce virage a consisté à faire disparaitre des industries comme l’acier ou le charbon en fermant des usines et des mines pour aller vers une société de service.
Nous constatons au regard des cours de matières premières que cette stratégie a été une grave erreur,car non seulement elle a entrainé la France dans du chomage de masse ,acru la misère sociale et la grande pauvreté mais elle a généré des emplois de services de pauvres (qui ne peuvent pas s’exporter et donc,rapporter des devises)
Aujourd’hui,que reste t-il à la France ?????? RIEN
Merci encore aux amis socialistes ,car comme passif ,il est vraiment lourd.
Concernant les salariés du privé,il y a bien longtemps que leurs avantages n’existent plus.
Il n’y a donc pas de raison de leur faire payer encore des priviléges pour une minorité de personnes qui ne sont pas solidaires des problèmes du privé
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« »« Le modéle n’existe plus déja depuis 1983 ,tournant de la rigueur économique mis en application par des »visionnaires« de la »nouvelle gauche« (rocard,delors et compagnie..) »« »
Eh oui ! Il a bien fallu redresser la situation que nous a léguée le tandem Giscard/Barre. Mais je suppose que vous n’êtes pas au courant.
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« Eh oui ! Il a bien fallu redresser la situation que nous a léguée le tandem Giscard/Barre. Mais je suppose que vous n’êtes pas au courant. »
Il y aussi eu 2 chocs pétroliers, je suppose que vous n’êtes pas au courant.
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Cela n’a jamais justifié une inflation à 13%. Mais je suppose que vous n’étiez pas né à l’époque.
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« Cela n’a jamais justifié une inflation à 13%. Mais je suppose que vous n’étiez pas né à l’époque. »
Ben je vous conseille de regarder l’augmentation du cout des matières premières à l’époque. Le pétrole a commencé en passant de 3 à 12$ (intéressant de penser que le baril était à 3$) donc multiplication du prix du baril par 4 au premier choc pétrolier, le prix est monté à 40$ au deuxième choc pétrolier. Donc en 6 ans le prix du baril est passé de 3 à 40$ soit une augmentation de 1300% associé à un dollar fort puisqu’à l’époque nous avions le franc et donc nous avons subi de plein fouet ces chocs pétroliers.
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Sarkozy ne s’y trompe pas : « il compte sur le soutien de l’opinion publique pour remporter l’épreuve de force avec les syndicats ».
Comprendre : « Communication maximale », « Efficacité des sondages », « Modelage des esprits », « Unification de la pensée ». On appelle cela une démocratie, c’est toujours plus agréable que la torture mais bon, on aimerait bien penser un petit peu tout seul. merci.
Personnellement, je trouve le concept même de sondage d’un absurdité absolue. Déjà, j’en ai rien à branler de ce que pensent les autres, et en plus je vois pas pourquoi je penserais pareil que la « majorité » annoncée par ces sondages (bien que cela m’arrive certaines fois).
Ne nous trompons pas, la manipulation des cerveaux a commencé depuis belle lurette. Les outils ont simplement changé.
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Un doc sur la « fabrique du consentement » :
- Le lavage de cerveaux en libertéComme disait Coluche, « A force de vous montrer que des conneries à la télé toute la journée, vous finissez par les acheter... Vous n’êtes pas raisonnables non plus. »
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à propos de Fabrique du consentement , un film en 9 partie sur Noam Chomsky et la fabrique du consentement sur dailymotion :
1er partie : http://www.dailymotion.com/video/x2fv3m_chomsky-manufacturing-consent
pour les autres parties suffit de suivre les liens donnés sur dailymotion .
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et alors ???
allez demander à un « agent technique » dans une usine combien il gagne en fin de carrière, certainement pas 1600 euros
les « critiques » (que je ne partage pas) s’adressent plus aux avantages des conducteurs de train (notamment le montant du salaire en fonction du nombre d’heures travaillées)
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« »« allez demander à un »agent technique« dans une usine combien il gagne en fin de carrière, certainement pas 1600 euros »« »
Ben, là non plus : c’est 1380 €.
« »« les »critiques« (que je ne partage pas) s’adressent plus aux avantages des conducteurs de train (notamment le montant du salaire en fonction du nombre d’heures travaillées) »« »
Vous pouvez montrer la fiche de paye d’un agent de conduite ?
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Salaire à l’embauche d’un membre de ma famille comme conducteur de train en région parisienne il y a quelques années : 2200 euros
ses qualifications bac+0
citez moi un métier comparable ?
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En début de carrière, le salaire net mensuel d’un conducteur de train est de 1 341 euros et peut atteindre en fin de carrière 2 012 euros.
Vous voyez que vous écrivez n’importe quoi.
http://www.dailymotion.com/related/5248330/video/x38a1f_les-conducteurs-de-trains-informent
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Ce qui est sympa sur la vidéo que vous montrez est le cadrage sur la première ligne qui effectivement donne 1560€. Hors on s’aperçoit que la 4ème donne un chiffre de +698€ et on regarde ça s’appelle traction, je ne veux pas spéculer mais il y a bien un + devant et le total ça fait déjà 2258€ sachant qu’il y a d’autres lignes avec des + ; sur le haut de la feuille il y a 8 lignes qui parlent de primes ; certaines on peut le voir ne sont que de 1.5€ ou 16€
Donc certes on peut peut être inclure ces primes dans le calcul de la retraite mais arrêtons avec les salaires car ils sont supérieurs à la moyenne française.
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Exact, mais comme vous pouvez le voir dans la première colonne, cette indemnité de « traction » ne sert de base à ...rien. Il s’agit d’une prime de fin d’année, peut-être. Si on regarde le montant de la prime de résidence de 16,77€ et celle de l’indemnité de « frais spéciaux » de 1,53€, on peut voir que la SNCF ne donne pas son argent à la lègère. Il en va de même dans l’Education Nationale, où le personnel enseignant doit acheter son matériel personnel à ses frais. Je ne sais plus si ça se pratique encore, mais un instituteur touchait 6,33 F par mois et un prof certifié 13,66 F pour ses « frais spéciaux ».
Ce que vous semblez ignorer : le personnel « roulant » est recruté après une sélection impitoyable sur les capacités physiques et la résistance psychologique. Si on compare le revenu d’un conducteur de train avec celui d’un pilote de ligne, je ne crois pas qu’il vole son salaire. D’ailleurs, la SNCF semble aujourd’hui disposée à faire des efforts en matière de salaires. Ce seront les usagers qui feront les frais de cette réforme idiote des retraites. Et ils auront une raison supplémentaire de râler.
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il me semble qu’il y a eu un sondage grandeur nature en 2007 ?
ceux qui s’interessent au futur de leur pays ( les autres sont partis pecher à la ligne...) on voté majoritaierment pour un candidat ( et une majorité legislative) dont on ne peut pas pretendre qu’il n’a pas mis en avant et dans son programme son volontarisme et son reformisme
cela doit s’appeler de la democratrie et en tout cas c’est plus legitime que le gouvernement de la rue ou la manip de la gauche !
cette majorité de français ne comprendraient pas que ce president ne tienne pas bon et ne fasse ses reformes
Dans le cas contraire , nul doute que les extremes seraient les gagnants des prochaines elections
c’est malheureusement certainement ce que veulent les tenant de la politique du pire...
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Je n’ai pas voté pour ce président, je n’approuve pas ses méthodes, ses réformes, ses mesures, son comportement. Donc je le fais savoir. Ca s’appelle la liberté d’expression et c’est un droit, chose que cet homme a tendance à ignorer de temps en temps.
Je serai d’accord avec sa réforme des retraites quand ils appliqueront le même régime que tout le monde (je parle des parlementaires, ministres, président et autres hauts fonctionnaires).
On se serrera la ceinture quand il se serrera la ceinture, c-à-d quand il n’aura pas un salaire astronomique et nourri logé, blanchi.
Faudrait arrêter de se foutre de la gueule du monde un peu !
PS : lerma, vous êtes grillé, on connaît désormais votre nouveau pseudo...
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Bravo pour ce superbe article.
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Moi ce que je vois c’est que quand on parle du service public on parle beaucoup de droits mais bien peu de devoirs...
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@ L’auteur
Excellent article. Mais quand est-ce que ceux qui ont voté pour lui vont-ils se réveiller et prendre conscience de l’illusion sarkozyste ?
Bon... si Ségo avait été élue, elle aurait fait pareil : gouverner à coups de sondages manipulateurs dont elle a usé et abusé pendant sa pré-campagne électorale.
Il nous faudrait un Mendès-France. Malheureusement aucun politicien n’a sa stature actuellement.
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Bon article.
Le bourrage de crâne médiatique fonctionne à plein pour faire avaler aux français que son « ennemi », le mec qui lui plombe ses impôts, c’est... son voisin ! Le pauvre couillon qui galère autant que lui pour joindre les deux bouts. Mais différemment. Et c’est là que tout ce joue pour nos manipulateurs. Comme les rémunération, les systèmes de prime, de retraite etc. diffèrent du privé au public, d’une branche économique à une autre, voir, au sein d’une même entreprise, il est aisé de mettre en avant les « privilèges » du secteur auquel on veut casser les reins des salariés. Bien sur, on ne montre pas les contre parties, les astreintes, les difficultés inhérente à cette activité. Les médias de masse (TV, radio, grand majorité de la presse écrite) pointe du doigt la cible du moment et c’est la curée. On dénonce, on bousille, et on passe au suivant. Et ça marche !
Mais, à ce lessivage industriel, se rajoute depuis quelques temps des « mouvements spontanés » de « citoyens contre les grèves ». Ces braves gens au look de fils à papa, vont gentiment distribuer des tracts sur papier glacé au usagers galèrant pour se choper un métro. cible facile, s’il en est. La propagande marche mieux sur les gens fatigués. Et ça fera de belles image au 20h. Je me demande d’ailleurs qui sont ces gens, qui les finance ? Visiblement, pas des « travailleurs », parce que rester planter un jour de semaine a distribuer des tracts, c’est assez suspect... (Ont il pris un jour de RTT pour ça ? Ça serait assez ironique). Sont ils payés ? Bref, si vous voulez mon avis, le fric de l’UMP et du MEDEF doit pas être bien loin... Le bourrage de crane de proximité en somme. L’occupation du terrain, laissé vacant par une gauche plus intéressée par le crêpage de chignon en interne.
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Le sondage, on ne peut pas lui faire dire tout à fait n’importe quoi. Il faut un peu le trafiquer, ou tout au moins lui tordre un peu le bras. Voici deux manières, en partant de la question simple : « Etes-vous favorable à la rediscussion des régimes spéciaux ? (O/N) »
1- Poser la question adéquate : tout d’abord, on va tortiller la question de façon à tomber sur la réponse qu’on veut. Je prends un exemple, on veut obtenir la réponse « je suis favorable à la rediscussion des régimes spéciaux », je ne vais surtout pas poser d’emblée la question « Etes-vous favorable à la rediscussion des régimes spéciaux ? », je risque un médiocre 50/50, ou pire, une majorité de « non ». Je vais donc « emballer » la question avec un adjuvant qui va infléchir la réponse.
Je peux faire appel à une personnalité fortement impopulaire. « M. Le Pen (ou Hitler, ou Ben Laden) a déclaré qu’il était fermement opposé à la disparition des régimes spéciaux, qu’il qualifie de ’dernier bastion de la Nation Blanche face aux hordes immigrées’. Etes-vous vous-même favorable à la rediscussion des régimes spéciaux ? » Gagné, on va avoir 20% oui, 80% non, à tous les coups.
Je peux aussi lier la question à une autre. Je pose une question préalable sur par exemple l’immigration (ou mieux, la fraude à la Sécu ou aux ASSEDIC, ça braque mieux les gens), et j’enfile à la suite les régimes spéciaux : j’aurais une réponse influencée par le contenu de la première question. Par exemple : « trouvez-vous qu’il y a trop d’immigrés en France ? Trouvez-vous qu’ils coûtent rop cher à la Sécurité Sociale ? » Et zou, « Etes-vous favorable à la rediscussion des régimes spéciaux ? » ; l’idée que la Sécu est plus ou moins en difficulté s’est implantée, les gens auront plus tendance à penser que les régimes spéciaux coûtent cher, et c’est gagné.
Je peux aussi poser la qestion sous une forme alambiquée, qui appelle une réponse donnée « Ne trouvez-vous pas que les régimes spéciaux, doivent être abolis ? »... On a du mal à dire « non ».
2- Poser des questions adéquates à des gens adéquats. Par exemple, pour les régimes spéciaux, faire une enquête chez les abonnés du Figaro. Ou pour la détaxation des plus-values, chez les abonnés de la Tribune. Ce ne sont pas tout à fait des sondages sur des « échantillons représentatifs de la société française », mais on appellera ça un sondage, et on n’y verra que du feu. Dans cette catégorie, je rangerai bien le fumeux institut OpinionWay qui clame quasi mensuellement dans le Figaro, 20 Minutes et autres media bien placés, la furieuse approbation du gouvernement et de notre Maître « par les Français ».
J’en profite pour dire au passage que les sondages d’Agoravox ne sont pas des sondages, vu que la population n’est pas sélectionnée activement. Mais on peut utiliser cyniquement le même système pour obtenir une réponse « voulue » : posons la question « Etes-vous favorable à la rediscussion des régimes spéciaux ? » sous forme de pseudo-sondage sur le site... hmm, voyons... tiens, le site du MEDEF, par exemple. Vous imaginez le résultat.
3- Ne jamais oublier que si personne n’y comprend rien, il faut surtout choisir des relais d’information qui s’y connaissent encore moins. Faire commenter tel ou tel « sondage » par un présentateur vedette qui ne sait pas additionner 2 et 2. Lancer le « dernier sondage » dont tout le monde parle, dans une émission à scandale genre chez Ardisson, ou chez Fogiel, ou pourquoi pas chez Stéphane Bern (« hin hiin hiiin »).
Vou spouvez leur mâcher le boulot en économisant sur leur temps de cerveau disponible. Préparez un dossier au fond bien trash, mais sous une forme très clean (très « Institut »). Exemple : vous avez obtenu finalement, malgré tous vos efforts, un score un peu médiocre de 57% « contre » les régimes spéciaux. Annoncez sur la page de garde : « un sondage de [date] montre que plus d’un Français sur deux... », euh.... Allez, allez, pas la peine de se tâter, allez-y franchement : « ...plus d’un Français sur deux rejette les régimes spéciaux », voilà c’est mieux.
Et puis d’ailleurs, pourquoi jouer petit bras ? 57%, c’est presque 66%, lâchez-vous : bing, « près de deux Français sur trois refusent l’idée même de régime spécial ». Il y aura bien un imbécile qui en fera ses choux gras aux Grosses Têtes.
L’essentiel est que les medias reprennent vaguement le chiffre, mais surtout la conclusion que vous aurez préparée.
Ne faites pas dans la dentelle, c’est de la propagande. Vous avez posé la question « Etes-vous favorable à la rediscussion des régimes spéciaux ? », et vous avez obtenu 55% de « oui » ? Concluez carrément « Une forte majorité des Français veut qu’on fasse disparaître les régimes spéciaux », personne ne vous en voudra. Ajoutez quelques commentaires sociologisants sur l’évolution des moeurs, dites avec surprise, que la société française est visiblement plus moderne qu’on en croirait, et tout le monde voudra être « moderne ».
Et voilà comment on nous crétinise. Allez, à vos tablettes, je veux un sondage bien présenté, dans trois jours, montrant que plus d’un Français sur deux est prêt à sacrifier la retraite de son voisin pour qu’on lui foute la paix.
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Je ne peux qu’être en parfait accord avec l’analyse de mon congénaire palmipède. Il y avait tout à l’heure un représentant d’un quelconque institut tout à l’heure sur I-télé. Le mec avait une façon très « orienté » de présenter « l’opinion des français ». Ça allait bizarrement dans le sens du clanpin du gouvernement également présent sur le plateau. Sans doute une coïncidence.
Et, je ne parle même des micro-trottoirs, ou l’on va chercher un certain type de réponse bien précis. Et dont on ne gardera au finale que les passages les plus « représentatifs »...
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Excellente remarque. On devrait, à l’instar des films violents ou pornographiques, indiquer un signal de subjectivité du journaliste dès que les formules magiques apparaîssent (« une forte majorité », « plus d’un français sur 2 », ...). De plus, si aucun détail (comme c’est généralement le cas) n’est précisé, le sondage devrait être intprété comme un message de propagande. Car les gens ne se soucient pas - la plupart du temps - de l’origine du sondage, des populations sondées, du demandeur du sondage, ... Information rarement donnée aussi clairement que les chiffres eux-même.
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gül 14 novembre 2007 16:56Et notre cher Président a été élue à une très large majorité, ce qui ne c’était jamais vu !!!! 51% Waooooh...
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Les « instituts » de sondage peuvent aussi tout simplement bidonner les chiffres, il n’y a aucun moyen de vérifier...
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Mirifique Seigneur Canard, pas étonnant qu’on tombe d’accord, coin coin. Le micro-trottoir, aboutisement du journalisme à la Jean-Pierre Pernaud, c’est finalement un faux sondage sur une personne choisie parmi d’autres, qui passent moins bien à la télé, sans même qu’on nous montre ceux qui ont été électés. Alors là c’est encore plus facile, on prend le pemier qui gueule, et hop, on a un « pris en otage ».
On peut même donner l’illusion d’une pseudo-démocratie. Vous avez 1 pour dix mille des gens qui veulent couper la tête à leur voisin privilégié ? Trouvez-en un, et passez-le après n’importe quel « contre », vous donnerez l’impression qu’il y a 50/50 dans la population. Il n’y a plus qu’à emballer avec un commentaire bien beauf du genre : « dans la rue, les avis sont partagés, à vous Machin, en direct du trottoir de la Maison de l’ORTF », et une conclusion du genre « Eh oui, les Français semblent de plus en plus décidés à rendre justice eux-mêmes », ça y est, c’est gagné.
Pour cette grève, je n’ai jamais vu en vingt ans une telle entreprise de conditonnement des masses, l’article tombe à point pour le souligner.
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conduite un train à 60 ans ? impossible ? que dire des centaines de chauffeurs routiers qui pilotent des 40 tonnes et qui ont 60 ans ou plus , nuit et jour , sont ils a égalite de droits eux qui cotisent 40 ans la solidarité serait donc un principe qui consiste a recevoir et ne jamais donner que je sache les biens portants financent eux aussi pour les soins aux malades..donc s’il y a des régimes bénéficiaires il est normal que les soldes positifs soient versés dans la caisse commune c’est ce qu’on appelle la répartition___ exacte ?
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De deux choses l’une. Conduire un train et conduire un camion, c’est quand même deux choses *un peu* différentes. En terme de masse, de responsabilité etc.
secondo, laisser un camion entre les main d’une personne de 60 piges et plus, je ne trouve pas que cela soit une chose très raisonnable. En effet, quoi qu’on en dise et malgré l’amélioration de la santé moyenne de la population, l’age avançant, on a pas vraiment les mêmes capacités a 30 et 60 ans. Je pense notamment à la vue, aux réflex, aux risques d’accident cardiaques etc. En gros, ce n’est pas parce qu’on fait une connerie de gestion quelque part qu’il faut la répéter ailleurs sous le fallacieux prétexte de « l’égalité ».
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Le pilote d’avion impliqué dans la fumeuse affaire de l’arche de Zoé n’avait il pas 75 ans ?
et dans un train avec « lhomme mort » et les rails qui vous empeche de sortir de la route ou de la piste, en cas de malaise, les consequences sont moindre qu’au volant d’un semi remorque ou au manche d’un jumbo !!
et si par malheur , le mecano( sncf) a des soucis de santé à 49 ans , rien n’empeche l’employeur à lui faire faire autre chose !
et compte tenu d’une certaine oisiveté et de temps libre propice aux loisirs ethyliques, le probleme survient des fois beaucoup plus tot....
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allez arlette , pas besoin de pseudo, on t’a reconnue !
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Pendant la campagne électorale, j’avais comparé Sarkozy au personnage que l’on trouve dans le numéro d’Astéix dont le titre est : « La zizanie ».
Il s’agit d’un petit romain très bavard et qui a un drôle de don : partout où il passe les individus se diputent et ne tardent pas à en venir aux mains, sans se rendre compte que c’est ce petit bonhmme insignifiant qui est cause de tout un tas de quiproquos. César s’en sert pour foutre la zone dans le camp de ces irréductibles gaulois.
N. Sarkozy n’est pas insignifiant, il est même très visible, même les non voyants et les malentendants n’y échappent pas. Les idiots peut-être ...
Mais il a ce don : si ça continue il va déclencher une guerre civile. Déjà les étudiants avec leurs dispositifs de blocage et leurs dispositifs anti blocage ...
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gül 14 novembre 2007 23:29Ah ! non, non, non, les idiots n’y échappent pas..., eux, ils ne s’engueulent pas c’est tout !
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Au lieu de critiquer constamment pour tout et pour rien : Pour augmenter le niveau de vie et le pouvoir d’achat des Français, il faut remettre le France au travail. Travailler plus pour gagner plus. La hausse des prix du pétrole et des produits dérivés est inéluctable et va encore s’accélérer. IL faut entreprendre le développement et la réalisation de sources d’énergie alternatives, notamment avec le solaire photovoltaïque et surtout le solaire thermodynamique. Je vous suggère d’étudier attentivement le projet pilote suivant, en cours de réalisation en Suisse : http://www.romande-energie.ch/wwwromande/pages/presse/pdf/communique_070926_fr.pdf
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Autant je trouve la première partie du commentaire confondant de bêtise. (On dirait un copier-coller des âneries qu’on peut trouver sur n’importe quel site pro-UMP) Les français ne sont pas des fainéants qu’il faut remettre au travail. Il travaillent déjà, enfin, ceux qui ont pu trouver un job. Mais, le ratio travail/gain personnel devient décidément trop faible pour le salarié. Bref, le travail est tout sauf valorisant. Salaires à la ramasse, conditions de plus en plus dur, pression morales, stress etc...
Bref, c’est pas en beuglant « travailler-plus-pour-gagner-plus » que les choses changeront. Et, de plus en plus on travaille plus... pour gagner moins !
Ceci étant dit, je suis assez d’accord avec vous sur la deuxième partie du commentaire. Il faut absolument que la France investisse dans les industries « écologiques » et les diverses techno de pointe. Manque de bol, ayant une industrie gouvernée par des « héritiers » (complètement à la ramasse, voir à la limite de la débilité profonde, je pense notamment a un célèbre avionneur militaire), on est mal partie. Cette bande de crétins ayant trop le regard vissé sur les cours de la bourse et le profit immédiat pour comprendre l’intérêt des investissements à long terme. Et c’est pas le gouvernement qui va prendre des mesures intelligentes dans ce domaine. Surtout, si il n’y a pas de mesure « contraignantes » pour les entreprises. Franchement on est mal parti. Pourtant, on a des ingénieurs de talent, une foule de « petits inventeurs », des chimistes, des physiciens etc. qui végètent dans des labos universitaires sous équipés, ou sont tout simplement au chomdu’. Pourtant on peut difficilement qualifier un mec qui passe 5 ou 10 ans de sa vie a étudier des domaines pointus de feignasse. Simplement, le « moteur » est cassé, les décideurs ont le nez dans le brouillard...
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Au nom de la Résistance, volons au secours des avantages des régimes spéciaux !
- ça va pas non ?-
et quand 10 millions de salaries du prive sont passes a 40 annees de cotisation t etait ou ???????? c est le prive qui finance les deficits de ces retraites et quand a edf on calcule la retraite sur le dernier mois de salaire ????? c est equitable par rapport aux 25 annees de cotisations du prive ???? et 6 mois a la ratp et sncf
y en a marre de VOS mensonges et contre verites allez voir en coree du nord, en chine, ou en birmanie si la France vous deplait tant et arretez de faire c.... les gens qui veulent bosser et gagner leur vie sans etre assistes continuellement
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gül 14 novembre 2007 23:33Et quand on offre des retraites dorées aux parlementaires, aux élus, aux patrons, au militaires, c’est équitable ????
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Deux faux ne font pas un vrai. Je suis d’accord il faut aussi réformer les parlementaires, ça ne signifie pas qu’il ne faut pas réformer les régimes spéciaux. On vit plus longtemps, on cotise plus longtemps comme tous les pays dans le monde.
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a fred—lorsque l’on parle de « reforme des regimes speciaux »,c’est d’emble un mensonge ;il faudrait dire « reforme de certains regimes speciaux ».beaucoup ne seront pas reformes, et en particulier (ou si peu)du regime des parlementaires, qui est tres deficitaire.il parait que le depute « françois goulard » avait propose son alignement sur le regime general et bien cela a ete refuse (etonnant non).a quand un sondage sur la reforme du regime des parlementaires et son alignement sur le regime general ; a mon avis ce n’est pas pour demain.si les regimes des marins ou des mineurs n’ont pas etes reformes(il suffisait de les reformer en prenant en compte la penibilite de ces metiers), c’est pour justifier le maintien des regimes speciaux des vrais nantis et en particulier des deputes.alors reforme oui mais alors pour tous sans exceptions
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Bonjour ferrante.
Les français votent depuis la reconnaissance de la loi du marché comme seul mode d’échange pour des politiques libérales qui tendent à mettre dans le domaine marchant tous les secteurs a l’exception de la justice de la défense et de la police.
C’est plus que des sondages qui maintiennent les citoyens dans une ignorance des accords que signent leurs gouvernants et qui engagent leur avenir social et économique, lire le lien en fin de commentaire.
http://horsagcslogo.chez-alice.fr/
Qu’est ce que l’AGCS ? AGCS veut dire Accord Général sur le Commerce des Services. L"AGCS est un accord cadre signé en 1994, actuellement en cours de renégociation dans les couloirs de l’OMC : C’est un accord visant à la libéralisation des Services planétaires. Ces services sont entre autres, l’eau, l’éducation, la santé, le tourisme, l’énergie, le transport...
Je crois que chacun peut y trouver la source de discours récent, mais ils ont toujours habilement étaient emballés avec le principe de recherche d’égalité républicaine.
Et ça marche à tous les coups car nos choix et nos décisions sont guidés par nos émotions plus que par un raisonnement et la logique. Ceux qui nous dirigent le savent car ils ont des spécialistes en communication qui passent leur temps à cela. Un certain nombre de valeurs socialisantes se sont inversés.
Par exemple le travail de nuit avait était interdit aux femmes et aux mineurs car considéré comme une activité pénible, au non de l’égalité cet article à été abrogé, comme si partager une pénibilité était un acte d’égalité. Aujourd’hui nous remettons cela avec les régimes spéciaux qui tiraient leurs avantages de leurs statuts négociés en un temps favorable et de certaines tâches pénibles. Et encore au non de l’égalité, avec ceux qui pour des raisons de lâcheté n’ont pas eu le courage en 1990 de défendre leur 37,5 années de cotisations, et qui ayant oublié leur couardise voudraient que les autres soient alignés sur leur ligne régressive au non de l’égalité. Et sans honte le même président qui en appelle à l’égalité ne craint pas de dire que chacun doit recevoir en fonction de ses mérites, ce qui est en l’espèce source d’inégalité. Alors les agents des régimes spéciaux ayant mérité leurs avantages il n’y a aucune raisons que l’on les leurs retire au prétexte que les salariés du privé ne sont pas des « couillus ».
Mais il faut être convaincu que si c’était une compagnie d’assurance privé qui dispensait ces avantages je gage que le gouvernement n’y verrait aucun inconvénient.
Je n’ai jamais de mépris pour mes semblables, mais parfois c’est dur de constater que ce sont des ignorants donc les puissants utilisent leur ignorance plutôt que les informer ou les instruites. Le seul fait de faire ce constat signifie que les décisions qu’ils prennent ne leur sont pas favorables.
Ensuite il faut savoir que dans une population à tour de rôle suivant les sujets 70% environ sont obéissants, et seulement 30% transgressifs, ceci permet toujours de faire dénoncer les comportements transgressifs par les autres.
Sauf que ces autres ignorent que la démocratie dans laquelle ils vivent, ils la doivent aux transgressifs et non pas au courage des obéissants qui ont toujours été solidaires des dominants. Sans cela il n’y aurait pas si peu de démocratie et le système capitaliste qui est une organisation du travail totalitaire n’aurait pas prospéré.
Depuis un certain nombre d’année les tenant du libéralisme ont parfaitement utilisé ce partage, pour discréditer les luttes syndicales qui s’opposent à leur finalité régressives dont le lien offre une vision claire. Cordialement..
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"Ensuite il faut savoir que dans une population à tour de rôle suivant les sujets 70% environ sont obéissants, et seulement 30% transgressifs, ceci permet toujours de faire dénoncer les comportements transgressifs par les autres.
Sauf que ces autres ignorent que la démocratie dans laquelle ils vivent, ils la doivent aux transgressifs et non pas au courage des obéissants qui ont toujours été solidaires des dominants. Sans cela il n’y aurait pas si peu de démocratie et le système capitaliste qui est une organisation du travail totalitaire n’aurait pas prospéré."
C’est pas une politique tout blanc ou tout noir, certaines grèves méritent d’être défendues mais pas toutes. La France a fait le choix d’un système par répartition et comme la population vieillit il faut travailler plus longtemps, c’est tout.
On se méfiera de votre histoire d’obéissant solidaire des dominants car les grévistes plutôt communistes avant la guerre étaient plutôt du côté de l’Allemagne au début de la guerre parce que celle-ci avait signé un pacte avec l’Union Soviétique, ce n’est vraiment que quand l’Allemagne a attaqué la Russie que le parti communiste et les ouvriers ont joint la résistance. Comme quoi on peut être obéissant un jour et transgressif un autre, tout est question d’intérêt.
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Bonjour fred.
Ce n’est pas aussi simple que cela car la finalité est la privatisation à but lucratif. Cela a commencé dans les années 1976 lors des états généraux sur la sécurité sociale.
Les compagnies d’assurances privaient se portaient candidates pour entrer dans le processus de couverture sociale. C’était Chirac le premier ministre d’alors.
Le syndicats force ouvrière déjà dans le début des années 1970 conscient de cette évolution démographique et du développement des technologies réduisant l’emploie de main d’œuvre proposait une taxation machine, car il soutenait que les machines remplaçants les hommes poserait des problèmes aux organismes sociaux basés seulement sur la cotisation des salaires.
La proposition de cette organisation fut rejetée par le CNPF d’alors considérants que cela réfrènerait les investissements.
Donc malgré un accroissement de productivité sans égal puisque nous sommes passé de 1793 heures de travail en 1976 à 1355 en 2000 en produisant plus. En effet en 1886, 72 ,7% des français produisaient des biens, en 1999 seulement 29,1% produisent des biens. Il faut bien entendu rapporter ces chiffres aux nombres de français actifs et aux volumes de biens produits. Pour les biens il suffit d’ouvrir les yeux.
« En effet, en France de 1886 à 1999 les salariés du secteur agricole sont passés de 47% de la population active à 4,2%. Dans l’industrie c’est la productivité qui s’est accrue, les salariés sont restés stables passant de 25,7% à 24,9% des actifs, avec une crête à 35,9% en 1980. Quant aux services ils ont progressé de 27,3% à 70,9 % des actifs. Toutefois, il me paraît nécessaire de signaler que n’est pas estimé, le transfert d’activité de « services » qu’effectuaient elles-mêmes antérieurement les entreprises, et qui se trouvent aujourd’hui comptabilisés dans « les services ».
Cet accroissement de productivité du essentiellement à la robotique c’est traduite par des gains financiers dont les salariés ont bénéficié jusqu’en 1977 ou le premier coup d’arrêt fut donné par Raymond Barre, en mettant fin à l’indexation des salaire sur le coût de la vie.
Dans le même temps il appelait à l’investissement et à la mort des canards boiteux suivant son expression. Ce fut le début de la régression pour les salarié du privé et le début de l’amenuisement des ressources pour les organismes de sécu ou retraite pour le sujet, sans que les investissement machine qui donc ne bénéficiaient plus aux salariés ne soient jamais soumis à cotisation et donc pérenniser les systèmes sociaux. Rien ne nous oblige à rester sur la seule cotisation du salaire, ce n’est seulement qu’une question de volonté politique et de choix idéologique. N’ayant jamais eu un pays aussi riche, il n’y a qu’une raison idéologique qui peut suggérer une régression des avancés sociale des régimes de retraite.
En 1974 j’ai signé le premier accord d’entreprise instituant la cinquième semaine de congé payé, les entreprises en avaient les moyens le blocage n’était qu’idéologique. Quand la gauche l’a instauré, le pays ne c’est pas écroulé seul les canard boiteux sont morts comme toujours.
Et aujourd’hui l’on vous fait vivre les mêmes peurs en ne vous donnant que les chiffres qui la développe car cela concours au développement d’une idéologie libérale et capitaliste. Quelque part j’allais dire c’est le jeu car ce sont ce que pense beaucoup et que je ne partage pas. Le jeu c’est plutôt comme le dit Amartya Sen, qui a reçu le prix Nobel d’économie en 1998, de recevoir le retour de sa « capabilité » (ce que nous sommes capable de faire), et l’État a un rôle important à jouer pour promouvoir la liberté individuelle et non asservir les hommes à un outil de production.
Cordialement.
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Les GREVISTES de la SNCF, RATP, EDF et GDF...ont eu raison de faire GREVE pour defendre leurs droits face a la politique Anti-sociales et les destructions des droits sociaux . Oui pour des reformes qui ameliorent les conditions et le partage du travail, NON aux Reformes pour permettre a l’Etat et au patronat de faire d’immenses profits et d’exploiter les employes..C’est un Nouveau SYSTEME D’ESCLAVAGE DES TEMPS MODERNES....C’EST D’EXPLOITER LA MISIERE HUMAINE . Beaucoup d’entre eux (un tier environ) de ces travailleurs decederont vers les 60 ans et ne toucheront pas leur rente de retraite, l’ETAT et le PATRONAT le savent deja d’apres leurs previsions statistiques. Verifier vous meme , et faites le compte autour de vous et vous verrez que pas mal de gens decedent dans leur 60e annee .
Nos gourvernants et le president profitent de leurs pouvoirs pour s’auto attribuer des augmentations de salaires, exemple le cas de notre president qui s’est auto attribue une augmentation de salaire de 140 % c’est a dire de 110000 € passe a 240000€ de facon royale sans aucun OBTACLE et ni d’objection de la part des deputes ...ils sont bien tous complices .. ?... , et avec en plus le soutien des Medias, voir les differentes press. Pour ca , Le president n’a meme pas fait une minute de GREVE pour l’OBTENIR .... Ca c’est un PRIVILEGE... !!!... ON REVIENT COMME DANS l’ANCIEN TEMPS, AUX TEMPS DES SEIGNEURS ET DES ROIS .... Bravo !!! Mrs les journalistes de vos prises de position , de vos convictions, et de vos objectivites politiques pour une meilleure justice sociale POUR TOUS LES CITYOENS de ce pays.
Avec plus de 4 millions de Chomeurs , nos gourvernants pourraientt mieux faire en matiere de reformes de creations d’emplois pour venir en aide a tous les gens qui sont sur la touche et qui attendent un VRAI TRAVAIL .
A quand la REFORME pour une Retraite a 35 ans de cotisation et le depart a 55 ans .. ?????..... AINSI POUR PERMETTRE A D’AUTRES SANS EMPLOI ( CHOMEURS ) DE POUVOIR PRENDRE D’OCCUPER LES EMPLOIS LIBERES PAR LES DEPARTS EN RETRAITE . CA, c’est une des bonne facon de REFORMER nos DROITS SOCIAUX pour LA FRANCE...
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la seule véritable avançée sur le plan social, le seul véritable avantage pour les salariés, étaient à l’évidence de faire le contraire :
au lieu de vouloir supprimer les régimes spéciaux (soit-disant privilégiés par rapport à d’autres), c’est faire accéder à ceux-ci les salariés du régime général...
et donc au lieu de vouloir niveler par le bas, amener à l’équité PAR LE HAUT !!!!
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suite de mon post précédent :
car les travailleurs ont toujours eu besoin de « locomotives » (!) pour leurs avançées sociales.
jamais le patronat n’aurait agréé de lui-même l’amélioration des salaires et des conditions de vie. Celles-ci ont été obtenues au prix de luttes parfois très dures.
si certaines professions ont réussi à obtenir certains avantages, il faut généraliser ceux-ci à l’ensemble des travailleurs.
malheureusement il apparaît que les moins bien lotis réclament l’abolition des privilèges des autres, au lieu d’y avoir eux-même accès !
Battus, cocus, et contents !
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