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Le libéralisme, une dictature qui se met en marche…

Le libéralisme, une dictature qui se met en marche… {JPEG}

Au temps du fascisme, le contrôle des gouvernants sur les peuples s’exerçait de manière autoritaire et la répression était la règle contre les opposants au régime. Aujourd’hui, le droit de vote constitue la clé de voûte de la démocratie. Établi en France par la Constitution des droits de l’homme et du citoyen de 1789, il permet à chacun d’exprimer pleinement ses libertés individuelles. Choix des dirigeants, moyen de faire entendre sa voix, voter reste selon la vulgate officielle le moyen le plus efficace et le plus direct de participer à la vie démocratique. La pétition, la grève, la manifestation, etc. ne sont que le corollaire du droit de vote qui reste le rouage fondamental du système démocratique. Cet horizon semble généralement indépassable. Alors, quand Herbert Marcuse affirme « qu’une des réalisations de la civilisation industrielle avancée est la régression non-terroriste et démocratique de la liberté, la non-liberté efficace, lisse, raisonnable, qui semble plonger ses racines dans le progrès technique même », cette phrase interpelle. Pour bien comprendre ce que le philosophe allemand voulait dire, il est nécessaire de comprendre les nouvelles formes d’assujettissement de la société postmoderne d’aujourd’hui, royaume de l’illusion réconfortante chère à Chomsky.

Depuis la disparition du Rideau de Fer et la chute du mur de Berlin, d’aucuns se croient entrés dans une ère post-idéologique. Une ère libérée des dogmatismes du XXème siècle, un monde dans lequel chaque individu est en mesure de déterminer lui-même le contenu de ses représentations intellectuelles, morales, politiques et religieuses. « On pense à ce que l’on veut et on pense soi-même à ses idées », nous dit-on.

À partir de la fin des années soixante-dix, le néolibéralisme apparaît comme la nouvelle idéologie dominante. Elle sera d’abord mise en application aux États-Unis avec le président Ronald Reagan et en Grande-Bretagne avec Margaret Thatcher avant de se propager au reste du monde. Sur le plan politique, le néolibéralisme prône une réduction maximale de l’État ce qui, mécaniquement, accentue le pouvoir de l’oligarchie. Sur le plan économique, c’est le développement du marché dans tous les domaines, la financiarisation d’une partie du capital et la mondialisation du commerce. L’État n’est plus à même de réguler à lui seul le marché, en conformité avec lequel la politique doit désormais évoluer. On assiste à un renforcement de la libéralisation, de la privatisation et de la dérégulation. Les conséquences sociales de ces mutations économiques sont de plus en plus perceptibles et douloureuses : l’émergence d’une « classe supérieure » adaptée au nouvel environnement concurrentiel va de pair avec celle d’un groupe sans cesse grandissant de personnes laissées pour compte. Les intérêts du marché l’emportent sur ceux de la société.

Ces mutations économiques et politiques influencent profondément le monde des idées et de la culture. Ces activités humaines ne doivent-elles pas elles aussi se soumettre aux lois du marché ? Les produits culturels deviennent interchangeables, la solidarité humaine est réduite à des rapports entre producteurs et consommateurs et les institutions culturelles deviennent des entreprises du marché de la culture.

C’est dans les médias, qui règnent à présent en maîtres sur le domaine culturel, que la commercialisation de la culture est la plus évidente. Les médias sont désormais plus importants dans la socialisation que ne l’étaient l’enseignement et l’Eglise autrefois. La télévision occupe aujourd’hui une place prépondérante dans notre société. Elle est pour ainsi dire le ciment social ; elle constitue le cadre référentiel, quasi unique, de la société. Les médias, on peut s’en douter, fonctionnent à tous égards selon des critères privés, inspirés du marché. Il y a encore une vingtaine d’années, les journaux dépendaient (en partie) pour leur financement d’organisations politiques ou philosophiques. La presse d’opinion était encore bien présente. De nos jours, tous les journaux sont des produits commerciaux dirigés par des entrepreneurs (des patrons) et soumis fatalement aux lois du marché. Il en va de pair avec la télévision.

Ne parlons pas de l’abrutissement dont est victime le secteur médiatique dans sa quasi-totalité. La plupart des journaux et émissions télévisées réduisent l’information et d’actualité aux futilités de la vie quotidienne. Les actualités se traduisent en taux d’audience, si bien que l’information n’est plus diffusée qu’à la condition de générer du profit. Les médias sont pour ainsi dire des producteurs de matière idéologique. Ils déterminent ce dont on parle et ce dont ne parle pas, ce qui peut être regardé et ce qui ne peut pas l’être, qui est ou qui n’est pas « expert ». Ils définissent les limites de la critique permise ; ils font partie de la grande industrie du divertissement, source d’enrichissement infinie pour les propriétaires et ses vedettes.

Le concept d’idéologie se voit dans ce contexte singulièrement réduit à une pensée unique. « Symbole d’un marché désincarné et sans visage, cette dernière évoque une représentation insaisissable du pouvoir, entre dispersion et disparition, dissémination et dissolution ». Notre époque est finalement la plus idéologique qui soit. Comme l’écrivait Marx il y a près de deux siècles dans l’Idéologie allemande, « les pensées de la classe dominante sont les pensées dominantes, autrement dit la classe qui est la puissance matérielle dominante de la société est aussi la puissance dominante spirituelle ». Ainsi, les pensées dominantes ne sont pas autre chose que l’expression idéale des rapports matériels dominants, elles sont ces rapports matériels dominants saisis sous forme d’idées, donc l’expression des rapports qui font d’une classe la classe dominante. Ce sont en quelque sorte les idées de sa domination. Le pouvoir exécutif, le pouvoir législatif et le pouvoir judiciaire, la société dans son ensemble, sont dominés par les relations sociales qu’impose cette pensée unique. Les propositions et projets de lois sont pensés à partir de cet environnement. Sous les apparences de liberté se cache en réalité une dictature suffisamment subtile pour faire croire au plus grand nombre qu’il est encore libre.

Capitaine Martin 

http://www.resistance-politique.fr/article-le-liberalisme-une-dictature-qui-se-met-en-marche-124720020.html


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43 réactions à cet article    


  • Gabriel Gabriel 6 octobre 2014 10:36

    Je vous créer des besoins par le biais des merdias qui m’appartiennent, je vous prête de l’argent fictif pour assouvir ces besoins inutiles et lorsque vous êtes bien endettés, vous m’êtes redevable et ainsi, je peux vous contrôler et faire de vous mes esclaves. Au cas ou il vous viendrait, suite à des éclairs de lucidités, des velléités de révolte, je trouverais toujours un bouc émissaire à vous désigner afin que sur lui, vous déversiez vos colères et vos frustrations pendant que je continuerais à vous tondre. Ainsi parlaient et agissaient les faiseurs de monnaie...


    • Tzecoatl Claude Simon 28 octobre 2014 18:34

      Désolé, grâce aux QE, il ne s’agit plus seulement de tondre, mais d’usurper.


    • colere48 colere48 6 octobre 2014 10:53

      Ne parlons pas de l’abrutissement dont est victime le secteur médiatique dans sa quasi-totalité

      Sans oublier la cupidité, l’arrivisme, le népotisme, la corruption, tout les moyens sont mis en œuvre pour « arriver » sexe, chantage, manipulation, délation...
      L’univers des « media » le concentré de ce que l’humanité peut produire de plus détestable  !!!


      • Francis, agnotologue JL 6 octobre 2014 11:43

        Bonjour colere48,

        votre pict, c’est une photo naturelle ou bien retouchée .



      • Francis, agnotologue JL 8 octobre 2014 08:19

        Merci beaucoup, Piotrek,

        je découvre avec étonnement.


      • Jacques-Robert SIMON Jacques-Robert SIMON 6 octobre 2014 11:01

        La société du spectacle est en place mais ce ne sont pas les citoyens qui écrivent la trame de celui-ci, ce sont les consommateurs, y compris les consommateurs de télévision.


        • 1871-paris 1871-paris 6 octobre 2014 11:15

          ce soir Foot ! Demain Ko lant, apres demain Secret story, ensuite star bidul etc etc... 

          de l’abrutissement, du temps vide comme disait Bourdieu....

        • Croa Croa 6 octobre 2014 15:46

          Tu veux dire : « La société du spectacle est en place mais ce ne sont pas des citoyens qui écrivent la trame de celui-ci, ce sont des consommateurs » ? Car ceux qui se croient des citoyens restent des sujets tout comme autrefois et surtout des consommateurs, ce qui est nouveau et caractéristique de notre époque où tout se vend grâce à la télévision, le plus puissant instrument d’abrutissement des masses !


        • Bracam Bracam 6 octobre 2014 20:13

          Je croa (pardon, pardon) surtout que cet état de consommateur touche à sa fin pour des centaines de milliers de citoyens « normaux » pour qui, toute foi dans un monde juste mise au rencard, le sens de la vie et les moyens d’y participer sombre. Quand deux revenus ne permettent pas de fonder une famille, et que l’un, l’autre ou les deux disparaît, les concepts fondamentaux ne sont plus les mêmes. Démocratie ? Droits de l’Homme ? Justice ? Bonheur ? Paix ? Santé ? Éducation ? Reconnaissance mutuelle, solidarités ?


        • 1871-paris 1871-paris 6 octobre 2014 11:13

          Le libéralisme c’est mis en marche des que le socialisme a commencé à prendre les commandes dans nos sociétés occidentales européennes.

          Keynes en UK.

          De gaulle poussé par les communistes en France.

          Ce que l’on appelle les 30 glorieuses dans ces pays, n’est ni plus ni moins le fait des acquis sociaux sur le capital !

           

          Ainsi sans surprise cette politique fit qu’une meilleure répartition de la richesse s’opéra, cela même aux USA à la suite de la politique de Roosevelt avec ses taxes à 75% qui paraitraient comme une politique bolchevik aujourd’hui.

          Mais in finé l’argent circulait, la thésaurisation reculait, les pauvres devenaient moins pauvres !

           

          Mais en même temps des idéologues comme Hayek (de la constitution de la liberté) établi dans les cercles mondain et bourgeois travaillaient idéologiquement à reprendre ces commandes. Et cela ne put ce produire chez nous tant que De Gaulle opposait un ferme veto à toute entré du libéralisme dans nos institutions, mais avec Pompidou changement radical, il n’attendit pas 10 mois après la mort de De Gaulle pour torpiller la BNF et son droit d’émission de crédit auprès du Trésor Français. L’instrument principal de la souveraineté du pays et du peuple, et l’élément d’indépendance vis-à-vis de la grande bourgeoisie était abolit !

          Puis les chocs de 1973-74 furent utilisé idéologiquement par les libéraux pour saisir les reines et proposé leur solutions en invoquant « un changement providentiel… » et cela fait bientôt 40 ans qu’ils nous vendent ce changement qui nous appauvri toujours plus et nous rend esclave de leur productivisme effréné a la recherche de la croissance perpétuel avec tous ses lots de sophisme idéologique habillant leur libéralisme hypocrite.


          • Le libéralisme fait reculer le nombre de pauvres dans le monde, encore aujourd’hui.


          • Francis, agnotologue JL 6 octobre 2014 15:04

            ’’Le libéralisme fait reculer le nombre de pauvres dans le monde, encore aujourd’hui.’’

            La misère c’est la pauvreté sans les moyens de subsistance.

            Les hommes préhistoriques étaient pauvres, selon les critères capitalistes. De même, les peuples primitifs et les paysans des contrées non développées. Mais ils n’étaient pas misérables.

            Le libéralisme répand la misère dans le monde, comme une épidémie dévastatrice.

            Aujourd’hui en France, les classes moyennes périclitent : il n’y aura bientôt plus que des riches de plus en plus riches et des pauvresde plus en plus nombreux. Aussi longtemps que les riches accepteront de contribuer à leur fournir des moyens de subsistance, peut-être au moyen d’un salaire universel et parce qu’un miséreux est plus dangereux pour les nantis que les pauvres, ils éviteront les révoltes sanglantes.

            Est-ce cela que vous voulez ?


          • bourrak 6 octobre 2014 15:35

            @1871-paris
            Le libéralisme s’est mis en marche bien avant la révolution.


          • bourrak 6 octobre 2014 16:14

            Erreur de lien, voilà le bon.


          • gaijin gaijin 6 octobre 2014 11:17

            " le contrôle des gouvernants sur les peuples s’exerçait de manière autoritaire et la répression était la règle contre les opposants au régime « 
            mais il en est toujours de même il suffit pour s’en convaincre d’essayer de manifester une vraie opposition au dogme du commerce » libre « 
            a ce titre on peut se demander ce que faisait le commandant perry avec ses cannons au large d’un japon qui ne demandait rien a personne on peut aussi se demander ce qui justifie des embargos contre des pays comme cuba .....et au nom de quoi les entreprises françaises doivent respecter des embargos décidés par les américains ( je parle ici par exemple du marché de 400 000 véhicule perdu par peugeot en iran .......qui sera bien sur regagné par des produits américains ......)
            il faut aussi s’interroger sur le sort qui dans le pays des libertés ( la france ) est fait aux sectes ou mouvements soit disant a dérive sectaire et dont l’immense majorité ne présente aucune dangerosité pour les individus ...mais un vrai risque de voir se développer une pensée »alternative "


            • Croa Croa 6 octobre 2014 15:59

              Il en est toujours de même en effet et pareillement les collaborateurs ne sont presque jamais à plaindre dans les régimes dits dictatoriaux.  smiley

              (Sauf cas de paranoïa du dictateur, par exemple Staline qui en était arrivé à soupçonner tout le monde autour de lui.)


            • tf1Groupie 6 octobre 2014 11:42

              Les communistes, thuriféraires du parti unique, qui critiquent la pensée unique c’est assez comique.

              Bon mais au moins l’auteur peut s’exprimer en toute liberté, elle pas si méchante que ça cette « dictature ».


              • Pyrathome Pyrathome 6 octobre 2014 12:07

                Tiens mon poulet, un peu de lecture pour te rendre un peu moins con....
                http://www.mondialisation.ca/le-cartel-de-la-r-serve-f-d-rale-les-huit-familles/25107
                Le jeu des 8 familles, tu y incarnes le rôle de l’idiot du village ?  smiley


              • Rik.D Rik.D 6 octobre 2014 16:08

                « elle pas si méchante que ça cette « dictature ». »


                Ça dépend pour qui Abruti ... pardon Groupie.

              • tf1Groupie 7 octobre 2014 22:15

                Si les débiles mentaux ont le droit de s’exprimer auprès de la terre entière, puisque ce merdia citoyen est accessible à tous, sauf aux cubains et aux chinois, c’est qu’on est assez loin d’une DICTARATURE  smiley


              • soi même 6 octobre 2014 12:35


                Il y a une loi dans l’évolution qui est dans le temps rien est immuable, tous à une durée impartie dans un temps donnée, en dehors de ce temps donnée sont implusion ne poura pas ce prolongé indéfiniment !


                • soi même 6 octobre 2014 13:46

                   Je suis ouvert à tous dialogue, celui qui à crus bon de noté négativement, je l’encourage de déculotter sa pensé !


                • larebil 6 octobre 2014 14:05

                  « Au temps du fascisme, le contrôle des gouvernants sur les peuples s’exerçait de manière autoritaire et la répression était la règle contre les opposants au régime »

                  Pourquoi avoir limité ça au fascisme, le communisme a fait encore plus fort dans le domaine de la répression des opposants il me semble.

                  « Le concept d’idéologie se voit dans ce contexte singulièrement réduit à une pensée unique »

                  Oui, il faut le dire, avec 75% des journalistes qui sont de gauche officielle ou d’extrême gauche, on voit très bien la pensée unique en France.


                  • TSS 6 octobre 2014 16:46

                    Oui, il faut le dire, avec 75% des journalistes qui sont de gauche officielle ou d’extrême gauche, on voit très bien la pensée unique en France.

                    Les journalistes ne sont ni de gauche ni de droite ! ils sont les employés d’un patron qui ce sert

                    d’un gouvernement quel qu’il soit pour s’enrichir un peu plus et ne pas oublier que la presse en

                    France est l’otage du gvt de par le soutien pécuniaire qu’il lui alloue... !!


                  • karibo karibo 7 octobre 2014 18:06

                    Bien d’ accord, et sans faire d’ amalgame, l’ enseignement en particulier, les média télévisés, les commentateurs comme animateurs, de la à imaginer une conspiration sioniste , vous plongez de suite le pouce en bas dans les votes négatifs , accusé d’ antisémite, de facho et bien sur raciste ,

                    le politiquement bobo étant le correcte , excluant tous autres que l’ on ne peut que qualifier de radicaux ...


                    • Pyrathome Pyrathome 6 octobre 2014 15:02

                      Qu’est ce que le libéralisme ?

                      De la merde.....


                    • Croa Croa 6 octobre 2014 17:08

                      En ce qui concerne notre régime, on ne peut, en toute rigueur, parler d’une « dictature ». Il s’agit plutôt d’un totalitarisme, système qui ressemble beaucoup à une dictature et qui peut même être pire... Déjà, nous ne pouvons pas rêver à une libération par mort du dictateur puisque c’est un système !  smiley


                      • christophe nicolas christophe nicolas 6 octobre 2014 17:54

                        Attention, la servitude ne se définit pas par rapport à l’émotion de l’égo mais par rapport à la vérité au sens noble... 


                        Si on vous manipule les émotions pour faire aimer des contre vérité comme le culte de l’argent, c’est effectivement de la servitude.Quand on joue sur l’émotion pour modeler une réaction, on est dans la manipulation et l’asservissement. Si on utilise l’émotion sincèrement pour appuyer des vérités authentiques, on est dans l’émancipation, l’éducation.

                        En fait dès qu’on stratégise, on tend vers la manipulation, l’intelligence prime la forme intentionnelle de bonté, on quitte le Paradis. Le Paradis n’est pas le lieu où on cherche la connaissance du bien et du mal mais le lieu où « il suffira mon amour qui circulera en vous §103  », c’est tout. Il ne faut pas vouloir « recréer l’homme » par la ré-éducation mais enseigner avec intention de bonté ce qui comprend la fâcherie devant les mauvaises actions mais pas la fâcherie simulée pour ré-éduquer, c’est subtil, il ne faut pas manipuler les émotions, c’est mentir comme pour des mots.

                        Quand Eve veut connaître le bien et le mal, elle envoie Adam en dehors du Paradis.... quand Juda veut connaître la force de Jésus, il le livre pour le tester et devient l’artisan de son meurtre. Tester, observer, piéger, étudier une personne n’est pas une intention de bonté mais une pensée orgueilleuse qui livre l’autre à la torture... celui ou celle qui veut transformer les personnes en Eve et en Juda est simplement un démon... C’est cela le meilleur des mondes, un monde démoniaque où l’homme joue à Dieu...

                        • lsga lsga 6 octobre 2014 18:24

                          Huxley : LA SF réactionnaire. 




                          • lsga lsga 6 octobre 2014 18:28

                            Et c’est lamentable de voir des prétendus communistes s’attaquer au Libéralisme. 


                            L’ennemi, ce n’est pas le libéralisme, c’est le CAPITALISME. 

                            Libéralisme et Keynésianisme sont 2 modes possibles du Capitalisme. Le pire des deux, selon tous les auteurs, c’est le Keynésianisme (qu’on nommait « Bismarckisme » au 19ème siècle).

                            Quand on est communiste, on est du côté des Libéraux, contre les Keynésiens, les bismarkiens, et tous ceux qui défendent l’État Bourgeois réactionnaire :

                            Quand on est communiste, on est contre le Drapeau Français et la Marseillaise, qui fait passer la Lutte des Nations avant la lutte de Classe. On n’est pas Français. On est prolétaire. Un prolétaire Français a plus à voir avec un prolétaire américain qu’avec un bourgeois français. 

                            Bref, vous êtes des Staliniens, vous êtes méprisables. 

                            • Piotrek Piotrek 6 octobre 2014 22:05

                              Vous chipotez entre la définition de libéralisme et libéralisme économique smiley

                              Cependant, je suis presque toujours d’accord avec vous, la quasi-totalité des gens qui se prétendent communistes uniquement sur le fait :
                              - qu’ils combattent le capitalisme
                              - qu’ils désirent un compromis à leur avantage sans remettre en cause le système (35 heures
                              - qui pensent créer un microcosme du communisme à une échelle nationale
                              - qui s’accrochent désespérément à leur petit confort mais tentent de maintenir une hygiène de leur estime de soi
                              - de la nostalgie de leurs rêves de gosses, la révolution (mais sans la faire vraiment)
                              - du gout de la contradiction dans leur vie monotone

                              Le communisme est un système exigeant intellectuellement et à part entière, pas un compromis, pas un ilot nationaliste, c’est tout ou rien... et vous avez parfaitement raison. Parmi vos appréciations de commentaires négatives, sachez qu’il y a presque toujours mon +1, et je ne suis même pas de votre bord (ou disons que je ne crois pas au miracle, à l’illumination de la populace... je sais vous me direz que la direction de l’Histoire va primer sur l’avis de tous)

                              Je suis aussi d’accord sur le fait que l’étincelle que vous espérez puisse venir des USA, cible de choix des anti-impérialistes primaires omniprésents sur Agoravox, par simple fait temporel... statistique ( il n’y a rien encore au niveau de Zeitgeist, de 4 horsemens ou autres qui trouvent leur origine en Europe)
                              P’têtre que nos anti-impérialistes maison ne comprennent pas l’anglais pour suffisamment saisir l’ampleur de la chose outre-atlantique ? smiley

                              C’est le fait d’avoir raison qui vous fait persévérer sur Agoravox ? (question sans rapport au sujet, veuillez me pardonnez, mais le phénomène Isga m’intrigue)


                            • lsga lsga 7 octobre 2014 11:07

                              Le Libéralisme économique commence avec John Lock, et est un travail d’affaiblissement de la propriété privée (l’objectif étant de pouvoir exproprié les indiens d’Amérique en toute tranquillité d’esprit). John Lock va sortir la propriété privée de la filiation, de l’hérédité, pour la fonder sur le TRAVAIL :

                               
                              Ricardo, grand penseur de l’économie libérale, va continuer dans cette voie en fondant la Valeur sur le travail. Marx va corriger les théories de Ricardo, en introduisant le concept de Plus-Value, il va pousser le libéralisme économique jusqu’à son aboutissement : l’abolition de la propriété privée des moyens de production. 
                               
                              Il n’y a rien de pire pour la classe ouvrière que le Keynésianisme (Bismarckisme) qui nous conduit droit à la guerre mondiale. 

                            • Micka FRENCH Micka FRENCH 7 octobre 2014 11:38

                              De l’Ecossaise.... en colère....


                              Marre de ces penseurs à deux euros du « Si ça continue, il faudra que ça cesse car NOUS SERONS BIENTOT EN DICTATURE ».....

                              On est en PLEIN DEDANS, nous et nos enfants déjà kidnappés par les VOYOUS européens et français, et depuis longtemps déjà...

                              Micka FRENCh....



                              • tf1Groupie 7 octobre 2014 22:17

                                Moi je dis que quand on n’a toujours pas compris le sens du mot dictature on n’a qu’à fermer sa gueule !

                                citation apocryphe de Coluche


                                • Ruut Ruut 8 octobre 2014 07:37

                                  Mais pourquoi l’état ne fait pas son travail de régulateur économique national ?
                                  Pourquoi permet il une concurrence délocalisée déloyale qui détruit son peuple ?


                                  • jjwaDal jjwaDal 8 octobre 2014 11:16

                                    Nous avons notre « Fuhrer » (le « marché ») dont les volontés non négociables sont parfaitement acceptées et codifiés pour la conduite des peuples de la planète entière (on ne parle plus d’un Etat ou deux) à travers l’OMC, la banque mondiale, le FMI, les traités européens et internationaux.
                                    Il ne peut être subordonné à rien, ce qui le qualifie dans un rôle de parfait dictateur.
                                    Nous avons dans toutes les « grandes démocraties » le Parti Unique (ou d’accord on vous en a mis deux (clônes) pour vous donner l’illusion du choix et de l’alternance, mais ne regardez surtout pas leurs actes concrets sur plusieurs décennies).
                                    Le choix de toute aventure locale innovante en matière sociale est concrètement mis à mort par le pouvoir de chantage mortel que font peser la création monétaire et financière par des entreprises privées (elles sont « intouchables » au sens ou leur faire assumer leurs erreurs entrainerait pour les Etats des conséquences incommensurables) et la course à la productivité qui musèle (via libre circulation des flux financiers) toute vélléité de rebellion de la classe « salariée » via la course au « moins-disant social » à laquelle sont contraints les Etats.
                                    On a augmenté la charge financière sur les Etats, on a tout fait pour diminuer leurs revenus. Il reste à achever la bête (une certaine idée du droit des peuples à disposer d’eux-mêmes) et nous saurons alors ce que le désintérêt collectif pour le collectif à réussis à produire.
                                    Des images de « Planète interdite » me viennent en mémoire. Le monstre, nous l’avons créé, en lui donnant la puissance de nous détruire.
                                    Il le fait donc. Il ne peut faire rien d’autre...


                                    • smilodon smilodon 8 octobre 2014 22:58

                                      Amusant de constater qu’il reste encore des « communistes » !....Sur les marches du podium des plus grands « criminels » de tous les temps, les 2 premières places sont occupées par des « communistes » !.... Sur ce podium, Hitler n’arrive que 3ème !... Juste après Staline, devancé par Mao !..... Et il reste encore des « communistes » !...BRAVO !... Quelques « groupuscules nazis » subsistent encore par-ci, par-là !.... Mais ils sont loin de former un « parti » !... Alors BRAVO aux descendants de l’idéologie « communiste » !... BRAVO !... C’est certainement « l’idéologie » qui aura causé le plus de morts à ce jour !.....Et ça embrigade encore des gens ?????!!... Je me prosterne et je m’efface !... Pour tout dire, cette idéologie me fait bien plus peur que l’autre « extrême » !.... Relisons mieux nos livres d’histoire !..... Ca pourrait « surprendre » !.... Adishatz.


                                      • tf1Groupie 12 octobre 2014 14:36

                                        Tous les ans Resistance nous sort le même article « nous sommes en dictature ! ».

                                        Et bien sûr cette « dictature » n’a toujours envoyé aucun membre de ce collectif au goulag, ni même en prison.

                                        Y a des pays qui rêveraient d’une telle dictature.

                                        C’est évident l’école ne remplit plus son rôle, les citoyens ne connaissent plus leur vocabulaire ... à moins que « Resistance » ne signifie « résistance contre la connaissance ».


                                        • sam turlupine sam turlupine 12 octobre 2014 15:58

                                          « dictature qui se met en marche » ? 

                                          Mais il y a belle lurette qu’elle est en marche, cette dictature ! 
                                          Depuis les lois de 1973, sur l’abandon de la création monétaire par les banques centrales, depuis l’abandon de l’étalon-or comme garantie de la valeur des monnaies, depuis que les dirigeants politiques du monde entier ont signé la vassalisation des états et des démocraties aux mafias financières, et n’ont cessé de déréguler le système financier, et ouvert la porte à la corruption par la soumission aux lobbies pétroliers, chimiques, financiers. 

                                          Une seule solution (réclamée en vain depuis des dizaines d’années par tous les économistes intègres et compétents) : LA REFORME MONETAIRE, qui supprimerait leurs pouvoirs de nuisance aux spéculateurs, aux bourses, et aux mafias financières. A force de crier dans le désert, y aura-t-il suffisamment d’oreilles pour l’entendre ? 

                                          • lloreen 12 octobre 2014 23:31


                                            La grande majorité de la population n’ a pas connaissance de la réalité : il est urgent de divulguer la raison pour laquelle la situation de l’ humanité est si préoccupante.

                                            LIVRE III – Premier Exposé – La réalité du Contact

                                            Nous vous saluons de loin maintenant. Dans nos deux premières séries de communications avec vous, nous pouvions être à proximité de votre monde dans un endroit caché de votre système solaire. Mais maintenant nous avons été obligés de fuir, depuis que nos révélations sont devenues publiques. L’intervention qui a lieu dans votre monde, menée par ces races extraterrestres cherchant à tirer profit d’une humanité faible et divisée nous a recherchés, tentant de nous trouver et de nous détruire pour que nous ne puissions pas rapporter leurs activités dans le monde et ainsi révéler leurs plans et motivations cachées.

                                            Les peuples de votre monde doivent savoir que vous émergez maintenant dans une plus Grande Communauté de vie intelligente, une Grande Communauté dont vous ne savez rien et à laquelle vous n’êtes pas encore adaptés. C’est une plus Grande Communauté de mondes avancés, car vous vivez dans une partie développée et peuplée de l’univers où les grandes nations ont établies des accords commerciaux complexes et anciens les unes avec les autres, où il y a des règles d’engagement et des règles de conduites que toutes les nations commerçantes de cette région doivent observer.

                                            Vous ne savez rien de ces choses, bien sûr, étant encore isolés à l’intérieur de votre monde. Pourtant votre monde est visité par de petits groupes – des petits groupes non-militaires, des forces commerciales pourrait-on dire – qui sont ici pour chercher avantages et ressources. Ils trouvent qu’actuellement l’humanité est une race faible et divisée et qu’elle est superstitieuse et inculte concernant les affaires de la Grande Communauté dans laquelle vous avez toujours vécu.

                                            Nous avons été envoyés comme observateurs par plusieurs différentes nations libres de cette région de l’espace, pour observer l’Intervention extraterrestre qui a lieu dans le monde aujourd’hui, faire un rapport sur ses activités et révéler ses motifs et son programme cachés afin que la famille humaine puisse prendre conscience et se préparer à la réalité du Contact. C’est cette réalité du contact qui est essentielle à votre compréhension.

                                            Votre monde est un prix à remporter. Il est hautement estimé par les autres. Vous êtes sans méfiance et peut-être supposez-vous que les races technologiquement avancées sont également avancées spirituellement. Mais hélas, ce n’est pas le cas. Le chemin du développement technologique, le plus souvent, conduit loin de la véritable liberté et de la vraie nature de la spiritualité telle qu’elle existe dans toute vie intelligente manifeste.

                                            Cela représente une des leçons importantes que la famille humaine doit apprendre maintenant si elle veut considérer la présence des visiteurs étrangers avec clarté, sagesse et discernement et si elle veut reconnaître le grand besoin pour l’humanité d’établir ses propres règles d’engagement concernant les visites présentes et futures à votre propre monde. De telles règles n’ont pas été établies. L’humanité se retrouve nue dans l’univers, vulnérable à l’intervention et à la persuasion de petits groupes rusés d’explorateurs de ressources et de Collectifs économiques – ceux qui voyagent dans cette région de l’univers à la recherche d’avantages et d’opportunités pour eux-mêmes et pour leurs clients.

                                            Vous, bien sûr, n’avez aucun moyen de comprendre cela, ne vous étant jamais aventurés assez loin dans l’espace pour témoigner de ces activités et pour apprendre sur la nature des interactions et du commerce dans cette partie de l’univers. Aussi ne savez-vous pas à quoi vous attendre, et en l’absence de sagesse, de clarté et de prise de conscience éclairée, beaucoup de gens qui sont conscients de l’Intervention font une méprise concernant cette intervention et l’interprètent de façon incorrecte, croyant qu’elle est ici pour le bénéfice de l’humanité.

                                            C’est parce que l’humanité n’a pas répondu avec la sagesse appropriée à cette intervention que nous, comme représentants des nations libres dans votre voisinage de l’espace, avons été envoyés ici pour observer cette Intervention, pour apprendre de ses activités dans votre monde et pour vous révéler la nature de ces activités leur but et même la nature de telles Interventions qui se produisent si souvent partout dans la Grande Communauté.

                                            Vous êtes en train d’émerger dans un environnement concurrentiel dans l’espace, un environnement complexe, un environnement où des règles anciennes ont été établies pour maintenir la stabilité parmi des nations et des mondes dont les institutions sont bien plus anciennes que tout ce qui a été établis sur Terre.

                                            A cet égard, vous n’êtes qu’une jeune race, jeune et imprudente – une jeune race qui commence à expérimenter les bénéfices et les responsabilités du pouvoir technologique ; une jeune race qui pille une belle planète, une planète qui est estimée par d’autres ; une jeune race sans sagesse et sans clairvoyance qui laisse son autosuffisance se désagréger ̶ autosuffisance qui est toujours exigée pour toute nation émergente afin de maintenir sa liberté et son autodétermination dans l’univers.

                                            Il y a tant à apprendre et à faire maintenant pour l’humanité. De grandes actions doivent être entreprises, mais elles doivent se fonder sur une claire compréhension de l’univers dans lequel vous êtes en train d’émerger – comment les nations commercent et fonctionnent, ce qui les retient, ce qui les encouragent, les libertés qu’ils ont d’intervenir dans un monde comme le vôtre et les contraintes qui les empêchent d’entreprendre certaines activités.

                                            Même maintenant, quoique nous soyons loin du monde, nous pouvons rendre compte de ces actions et vous donner une compréhension plus claire de la nature des interactions, du commerce et des échanges dans votre partie de la galaxie, dans cette zone densément peuplée de l’univers. Avec ceci, nous espérons que nous pourrons grandement encourager la famille humaine à utiliser sa sagesse native, à s’appuyer sur ses grandes forces et de ne pas devenir la proie de la persuasion ou de la tromperie qui est toujours un grands risque à des seuils comme ceux-ci.

                                            Émerger dans la Grande Communauté est le plus grand seuil qu’une race ait à affronter. Beaucoup de races échouent à ce seuil, tombant sous la persuasion et la domination de pouvoirs étrangers. Beaucoup de nations échouent parce qu’elles ont détruit leurs ressources autonomes et sont devenues impuissantes et dépendantes d’autres nations qui par influence et par des manipulations commerciales, ont pu gagner le contrôle de ces jeunes races émergentes.

                                            C’est un seuil à hauts risques et pourtant avec d’immenses opportunités. Face à la Grande Communauté, les jeunes races doivent s’unir, elles doivent corriger leur comportement destructeur, et doivent se concentrer sur l’établissement de la sécurité de leur monde et de ses limites dans l’espace.

                                            Nous croyons que dans cette troisième série d’Exposés, nous pourrons en illustrer l’importance et vous offrir nos encouragements et notre foi que l’humanité a encore la force et a encore l’intégrité de faire un grand effort pour son propre compte et de jeter les bases pour devenir une race libre et autodéterminée dans l’univers.

                                            Source :http://alliesdelhumanite.org/livre-iii-premier-expose-la-realite-du-contact/


                                            • lloreen 12 octobre 2014 23:32

                                              Car vous devez savoir que la liberté est rare dans la Grande Communauté et qu’une fois qu’elle a été établie, elle doit être soigneusement protégée et sauvegardée. Les grandes nations qui ne sont pas libres, qui ne donnent pas la liberté à leurs citoyens, considèrent toujours la présence de mondes et de nations libres avec beaucoup de peur et de méfiance. C’est pourquoi les nations libres, à très peu d’exceptions près, maintiennent leur autonomie et essaient de ne pas être entraînées dans le réseau par nature complexe et compromettant du commerce et des échanges de la Grande Communauté.

                                              Peut-être pouvez-vous comprendre ceci d’après votre expérience du monde, un monde où le commerce a compromis l’intégrité et l’autodétermination des nations les plus faibles. Nous en avons vu la preuve dans vos transmissions, qui sont étourdiment envoyées dans l’espace à la vue de tous.

                                              Nous prenons cet exemple pour que vous fassiez appel à votre propre expérience et à vos observations du monde parce que les événements dans la Grande Communauté et la réalité de la Grande Communauté elle-même représentent le même genre de forces, compromis et difficultés, mais à une échelle beaucoup plus grande et avec beaucoup plus de participants.

                                              Là, vous ne pouvez pas être comme des enfants, imprudents, dilapidant vos ressources, vous opposant les uns aux autres, inattentifs à vos frontières dans l’espace, ignorants de qui intervient dans votre monde aujourd’hui et espérant sottement la grâce et le salut de ceux qui vous rendraient visite. Ce sont des façons d’agir qui ne sont pas dans votre meilleur intérêt, gouvernées par des vœux pieux et par des attentes sottes et mal informées. Une telle approche de la vie dans l’univers vous laissera en proie à la tromperie et à la manipulation au-delà de ce dont vous avez l’habitude et pour lesquelles vous n’avez pas encore développé un ensemble de contre-mesures suffisantes.

                                              La vie dans l’univers est difficile parce que toutes les nations avancées ont dépassées la capacité de leur monde à les soutenir, les forçant donc à s’engager dans le commerce et d’être hautement contrôlées par d’autres nations en vertu des accords commerciaux auxquels ils sont maintenant contraints de se soumettre.

                                              La vie dans l’univers est périlleuse pour les imprudents. Et pourtant la Grande Communauté dans laquelle vous émergez est vaste et magnifique, détenant d’immenses opportunités d’apprentissage et d’éducation et d’immenses opportunités pour la découverte de soi et pour fonder un monde où une plus grande unité doit être établie et peut effectivement être établie.

                                              Il y a des races dans l’univers qui sont très avancées à cet égard, bien au-delà que tout ce que l’humanité a établi ici sur Terre. Mais ils ne s’engagent pas dans l’exploration de l’espace. Ils ne s’engagent pas dans l’acquisition de ressources et n’essaient pas de persuader ou de manipuler les jeunes races ignorantes telles que la famille humaine, parce que ce n’est pas éthique et mène à des conséquences malheureuses.

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