Les médias traditionnels ont multiplié les articles étranges sur l’énigmatique « affaire DSK ». Le site Arrêt sur image s’est même amusé à en dresser un palmarès avec attribution de prix parodiques : « Prix de la rumeur hypothétique » « Prix spécial "boule de cristal" » « Prix dus scoop sans intérêt », « Grand prix de deux témoignages qui ne prouvent rien et qui n'ont pas été vérifiés », « Prix du meilleur dialogue bidon », « Prix du grand n'importe quoi », etc.
L’article qu’ a fait paraître Le Journal du Dimanche, le 26 juin 2011, avec pour titre « "Nafissatou pleure tous les jours depuis un mois" - EXCLUSIF. Mamadou Diallo, le frère de Nafissatou, parle au JDD », semble de la même eau mais peut aussi intriguer. Une « envoyée spéciale » est allée recueillir un curieux témoignage du frère de Mme Diallo, la femme de chambre de l’hôtel Sofitel que DSK aurait agressée sexuellement.
1- Un témoignage apparemment sans valeur
S’est-il agi pour le journal de seulement livrer une information indifférente susceptible de stimuler le réflexe de voyeurisme pour capter l’attention de ses lecteurs ? Les médias sont familiers du procédé. L’agression sexuelle supposée d’une femme de chambre par un représentant de l’oligarchie mondiale, comme on l’a souligné (1), est un sujet propre à provoquer la sidération tant par l’exhibition du plaisir sexuel sadique de l’un que par celle du malheur de l’autre. La métonymie des pleurs de la victime supposée, choisie en titre comme l’effet de la tragédie qu’elle est censée vivre, vise à stimuler le réflexe de compassion. Pour le journal, les faits sont donc établis alors qu’il n’en est rien. Il s’expose, comme dit Fontenelle, au ridicule de trouver des causes à ce qui n’est pas.
N’importe, faute de pouvoir puiser des informations à la source, le journal rôde autour pour tenter d’en grappiller ici et là : protégée, dit-on, par la police, la plaignante est, en effet, inaccessible, et la défense ne livre rien dans l’attente de connaître les charges qui pèsent sur elle.
Mais à quoi bon recueillir le témoignage d’un membre de la famille de la plaignante ? Ne connaît-on pas d’avance l’éloge qu’il fera d’elle ? Et puis, quelle valeur à ce genre d’attestation en justice ? Aucune, comme toutes celles émanant de personnes ayant des liens familiaux ou de subordination avec une partie. Alors pourquoi déployer tant de moyens et consacrer tant de place à une information inutile ? Car il a fallu chercher pour retrouver ce « témoin » sans intérêt. Comment « l’envoyée spéciale » y est-elle parvenue ? Il vit à Indianapolis dans l’Indiana, loin de New-York où réside sa sœur.
2- Un brevet d’orthodoxie musulmane délivré par un demi-frère qui ne connaît guère sa demi-soeur
À la différence, cependant, d’un précédent gugusse qui s’était fait passer pour le frère de la plaignante, ce « témoin » serait vraiment son frère, ou plutôt son « demi-frère : le père polygame entretenait deux familles aux enfants si nombreux que M. Diallo, dit-il lui-même, « n’arrive pas à compter ». Or, c'est précisément pour cette raison que demi-frère et demi-sœur ne se connaissent guère : ils ont vingt ans d’écart. Lui avait déjà quitté son pays quand elle est née. Tout juste ont-ils de rares entretiens téléphoniques.
Mais ça n’empêche pas le demi-frère de réciter l’éloge convenu déjà entendu de la mère interviewée précédemment en Afrique. Il se résume à un brevet d’orthodoxie musulmane délivrée à l’aveugle, par déduction de la belle éducation que leur père commun, imam et marabout, est censé avoir donné à sa ribambelle d’enfants. Qu’on en juge ! « Il a élevé tous ses enfants dans la religion et le respect des autres, assure avec aplomb le demi-frère. Nous ne sommes pas allés à l’école. Mais il a appris le Coran à chacun d’entre nous. À Nafissatou comme aux autres. Elle fait ses prières tous les jours. Pendant le ramadan, elle donne de l’argent aux pauvres alors qu’elle est pauvre elle-même. Chaque fois que je lui téléphone pour lui demander d’envoyer de l’argent au village, pour un mariage, un malheur, elle le fait immédiatement. »
Pour le reste, « elle (irait) très mal (aujourd’hui, et pleurerait) tous les jours depuis un mois. » L’infâmie qui lui a été infligée rejaillirait sur toute la famille et sur tout le village : « Sa vie est détruite,décrète le demi-frère. Elle est finie. Il n’y a plus rien à faire pour elle ».
Il s’agit donc bien de dresser un portrait édifiant de la plaignante par quelqu’un qui ne la connaît pas, bien qu’il soit de sa famille, et, en la présentant comme une victime incontestable, d’insinuer par voie de conséquence la culpabilité de l’agresseur supposé. Ce verdict définitif est toutefois contredit par un prudent aveu simultané : le demi-frère dit ne rien savoir de ce qui s’est passé dans la chambre du Sofitel : « Il n’y a que l’homme, Nafissatou et Dieu qui connaissent la vérité », conclut-il. On est bien avancé !
3- Le grief surprise du demi-frère envers sa demi-soeur
On reste donc intrigué par les motivations qui ont inspiré cet article apparemment inutile et coûteux. Mais comme toute information indifférente, il peut remplir discrètement certaines fonctions. N’entre-t-il pas dans la stratégie de l’accusation ? Il a fallu bénéficier de « tuyaux » précis pour aller dénicher ce demi-frère dans le fin fond des USA. Qui y a conduit « l’envoyée spéciale » ?
Dans ce « témoignage » prévisible et sans valeur, on relève, toutefois, une information insolite. Un grief envers sa demi-soeur paraît avoir échappé au demi-frère : il lui reproche de s’être égarée en allant travailler à l’hôtel Sofitel pour gagner plus d’argent : « Cet hôtel, dit-il, n’était pas fait pour elle. L’argent n’est pas tout dans la vie. Il y a des choses plus importantes. Avant, elle travaillait avec la femme d’un Gambien du Bronx dans un restaurant familial. Elle gagnait moins, mais c’était mieux pour elle. »
On a déjà entendu ce genre de critique envers la femme de chambre : son entourage ignorait qu’elle travaillait à l’hôtel Sofitel. Or, ça faisait trois ans qu’elle y était. Pourquoi ce cloisonnement étanche opéré apparemment par la plaignante entre ses relations ? Faute d’indices supplémentaires, cependant, on doit se garder de toute déduction hâtive.
Curieusement, cette article qu’on peut juger parfaitement inutile puisqu’il rapporte le témoignage élogieux convenu d’un témoin qui ne connaît guère la plaignante, fût-il son demi-frère, ouvre sur une interrogation qui accroît le caractère énigmatique de l’affaire DSK. La femme de chambre, victime au-dessus de tout soupçon, que vante l’article, apparaît en marge de sa communauté d’origine et même de sa famille et semble avoir cloisonné ses relations. Il n’en faut pas plus pour épaissir le mystère autour d’elle. On peut même y voir un indice susceptible de nourrir une des deux hypothèses qui, à ce jour, sont à même de résoudre l’énigme de cette affaire, sans qu’il soit encore possible de se prononcer pour l’une ou l’autre. Paul Villach
(1) Pierre-Yves Chereul, « L’affaire DSK, deux hypothèses pour une énigme », éditions Golias, juin 2011.
(2) Marie-Christine Tabet, envoyée spéciale à Indianapolis - Le Journal du Dimanche
« "Nafissatou pleure tous les jours depuis un mois" EXCLUSIF. Mamadou Diallo, le frère de Nafissatou, parle au JDD. »
"Mais à quoi bon recueillir le témoignage d’un membre de la famille de
la plaignante ? Ne connaît-on pas d’avance l’éloge qu’il fera d’elle ?
Et puis, quelle valeur à ce genre d’attestation en justice ? Aucune,
comme toutes celles émanant de personnes ayant des liens familiaux ou
de subordination avec une partie. Alors pourquoi déployer tant de
moyens et consacrer tant de place à une information inutile ? Car il a
fallu chercher pour retrouver ce « témoin » sans intérêt. Comment
« l’envoyée spéciale » y est-elle parvenue ?" Peut etre pour compenser un tout petit peu le torrent l’Eloge monolithique faite sur DSK par nos merdiacrates, oligarques, laquets et famille de DSK, eux meme qui crient au complot en notre nom.
Extraordinaire. L’auteur (est-il payé par les communicants de DSK) ne cesse de défendre de façon détourné DSK, se plaît à défendre la présomption d’innocence, cependant trouve tous les biais pour décrédibiliser la plaignante. Ici encore tout en faisant croire qu’il ne faut pas tirer de conclusion hâtive en tire tout de même. Lui qui ne cesse de crier que l’on ne sait rien réussit l’exploit de mettre en accusation cette femme de chambre sous prétexte qu’un demi-frère aurait préféré qu’elle ne fût pas femme de chambre mieux payée mais moins digne que de travailler dans le restaurant où elle travaillait.
L’auteur malgré ses grands talents d’analyse répétitive use abondamment de ce qu’il critique ailleurs. Il semble que le New York Time avec sans doute un peu plus de moyens que l’auteur et sur place ait fait une vaste enquête fouillée qui conforte de façon très importante la crédibilité de cette femme de chambre, mais l’auteur lui lui trouve un air suspect.
Travail gratuit au profit de DSK ou rémunéré ? Moi aussi je peux émettre des hypothèses. Non ?
C’est le dixième article que vous faites pro-DSK alors ma preuve est là.
Quant à soupçonner la femme de chambre uniquement parce qu’une partie de la communauté peule de NY ignorait qu’elle travaillait depuis 3 ans au Sofitel d’être pour le moins pas claire est d’une profonde malhonnêteté. Il s’agit de faire des amalgames au profit de DSK. Il y a des milliers de raisons - si tant est que cette information soit vraie - pour qu’elle est préférée ne pas en parler ; image supposée dégradante auprès des musulmans de travailler dans un hôtel, risque de jalousie, discrétion … voilà pour quelques unes. Mais tenter de faire un lien avec cette discrétion et une possible - suggérée par l’article mais non dit directement - défiance quant à la victime déclarée ce qui par contre-coup déculpabilise DSK est évidemment partial et de peu de valeur.
Au fait on a fait tout un tintouin sur le téléphone de DSK qu’il n’aurait pas oublié mais qui serait un piège de la police, on finit par apprendre (du reste cela avait dit au procès par les avocats mêmes de DSK, mais cela n’avait pas suffit à calmer les ardeurs des défenseurs du complot contre DSK ) qu’il l’avait bien oublié, qu’il aurait d’abord demandé à sa fille de vérifier au restaurant pour enfin rappeler l’hôtel. Pas de magouille de la police. Tout comme on disait qu’il n’avait oublié aucune affaire personnelle. Il en aurait oublié au moins une, ce téléphone, outil primordial d’un haut responsable, que l’on oublie généralement pas sauf si on est troublé et pressé (moi aussi je peux faire dans la suggestion subliminale).
Vous avez l’air d’avoir suivi l’affaire... Bravo de vous être fait une opinion sans avoir entendu les arguments de la défense ! Vous êtes champion !
Si j’ai consacré plusieurs articles à cette affaire et même un livre, au risque de vous déplaire, c’est qu’elle illustre à merveille l’approche de l’information que je défends, et qui n’est pas celle de la crédulité qui est la vôtre. Paul Villach
Moi non plus, je n’aime pas les lyncheurs ( ni les faux-culs « sauveurs » de la Grèce et de l’Islande ....) , mais lorsque je vois des flics manipuler les horaires ( comme dans les affaires Richard Roman ou Omar Rhaddad ) pour empêcher le coupable-certifié-conforme de disposer d’un alibi ( encombrant ) , je n’ai pas besoin d’autres « conclusions hâtives » pour comprendre où je me trouve !... Et depuis le début de l’affaire ( « le crime de la nouvelle heure d’été » ou « le crime du fuseau horaire » .... même la grande Agatha n’aurait pas osé !...) , on marche sur la tête, avec la « Défense » du coupable [ pas oublier : c’est lui le coupable ! ] toute-puissante !... Alors que toute critique du système judiciaire commence par les moyens dérisoires que peut opposer la Défense d’un accusé face à l’appareil de l’accusation !... Là, c’est l’inverse : on hallucine ... car c’est complètement faux : comment , confronté à de telles manipulations ( plus une arrestation à la légalité douteuse ! ), une juge qui se déclare « juste »(!) décide au lieu d’un classé sans-suite logique ( et « Expert » !) , de l’incarcération dans une des prisons les plus dangereuses des US !... Ensuite, un procureur, ignoble, provocateur, à l’affût de la moindre indignation de DSK pour le maintenir en détention, lui tient des discours hallucinants , en gros plans TV, en martelant la salle de sa haine, pour lui « accorder » sa « libération » dans des conditions délirantes , espérant jusqu’au bout que DSK ( probablement sous sédatifs ) va se révolter !...
Maintenant, çà empire : le demi-frère avoue qu’il rackettait régulièrement sa soeur !... Il est facile d’extrapoler ( sans « hâte » !) pour comprendre que Mme Diallo a dû payer son immigration et qu’il lui faut « rembourser » !... Et si le demi-frangin déplore qu’elle ne travaille plus dans ce « restaurant gambien » , c’est qu’elle y était virtuellement prisonnière , le réseau gardant un contrôle sur ses revenus !... Cette « femme de ménage » a baigné dans un univers de corruption , bien loin donc de « l’enquête » ( de « moralité » ) que lui a mitonné le New York Times !... 7 journalistes ( samouraïs, mercenaires ...) pour fabriquer ce CV imaginaire !... Qui paye, au fait ?... Une enquête « à l’oeil » ?... On hallucine toujours !...
Je crains qu’après le coup de théâtre de vendredi 1er juillet, vous ne dévalisiez bientôt la chapellerie de votre arrondissement : gare à l’indigestion de chapeaux ou au retournement de veste ! Paul Villach
N’en déplaise à l’auteur de ce message mais, plus on avance dans le temps et plus les faits semblent donner raisons à PaulVvillach. Celui ci na pas eu besoin d’être payé soit disant par le srvice de communication de DSK : il a juste fait son travail de journaliste et s’est interrogé sur des zones d’ombre. Que cela plaise ou non, dès le départ, beaucoup de journaux ont sorti des articles à tort et à travers avec toujours un témoin surprise. Le but ? vendre du papier et rien d’autre. Une trop grande partie des journalistes et des hommes politiques, même s’ils ont répété à tout va que Strauss Kahn bénéficiait de la présomption d’innocence, n’ont cessé de faire des papier ou des émissions dans laquelle ils mettaient en avant les travers de Strauss Kahn et les « preuves » annoncées par le procureur. Ils auraient voulu brûler ce qu’ils adoraient 15 jours auparavant qu’ils ne s’y seraient pas mieux pris. Paul Villach, lui émet des hypothèses et fait ce que tout journaliste devrait faire : il cherche, comme s’il instruisait à CHARGE et A DECHARGE ! En somme il investit, acte que plus beaucoup d ournaleux ne font lus si ce n’est derrière un écran et Internet !
De mieux en mieux ! Donc pour vous écrire 10 article sur un sujet grave en s’interrogeant sur les zones d’ombre et sur la façon don a été menée l’enquête eéquuivaudrairt à être une preuve ! Heureusement que vous ne viviezpas sous la Terreur : Fouquier Tinville aurait eu fort à faire avec concurrent comme vous !
Paul, seriez-vous UMP ? Quel assassinat par procuration ! Finalement, parlez-nous plutôt et plus directement de votre nombril : nous aussi on a la radio, le net, et les journaux, pas besoin de repassages doctoraux et narcissiques. Sinon, cette histoire de JFK... euh pardon, DSK, quelle poilade moi qui me demandais qui serait président... Très con pour le suspense.
« cette article qu’on peut juger parfaitement inutile ». Tout comme votre article d’ailleurs.
« Cet hôtel, dit-il, n’était pas fait pour elle. L’argent n’est pas tout
dans la vie. Il y a des choses plus importantes. Avant, elle
travaillait avec la femme d’un Gambien du Bronx dans un restaurant
familial. Elle gagnait moins, mais c’était mieux pour elle. »
Mais de quoi se mêle ce demi-frère issu de père polygame qui ne connaît pas la victime présumée ? Vous noterez que je dis « victime présumée » et non « victime supposée de DSK » contrairement à vous qui prenez parti et manquez d’objectivité alors que nous ignorons les faits.
L’adjectif « présumé » est utilisé, depuis peu, à la victime, par extension de l’expression « coupable présumé » pour indiquer la prudence mais pas la suspicion.
DSK etait le candidat des oligarchies au remplacement de Sarkozy depuis au moins un an et les sondages bidons le presentant comme « favori des français »....
La campagne multimedia qui suivi l’affaire du Sofitel New Yoek avec « mise à mort de la bète » est une façon, pour ceux qui organisent la democratie par le controle de la presse de « purger le dossier ». 15 jours inimterrompu d’infos en direct c’est ce qu’on appelle une sequence d’effacement. C’est aussi une sequence Vaudou puisque c’est sensé faire porter sur une « victime » clouée au pilori TOUTES les fautes de TOUTE la classe politique, et donc de leur offrir une nouvelle virginité . Malgrès cela, les sondages(les vrais) du petit nicolas ne decolent pas...
Le probleme , dans cette comedia del arte, c’est que les marionettistes de l’ombre ne sont pas les seuls acteurs de l’information. Certains, dont monsieur Villach veulent CROIRE, une autre vérité.
Si vous voulez des faits, il y a deux sources, les deux seuls acteurs de cette piece :
version 1 , celle de la supposée victime qui porte plainte : Il m’a enfermé, et violé (je passe pour l’instant les details techniques).
Version 2 , celle de DSK : je l’ai seduite et elle m’a dit oui.
Maintenant decrivons la scene : une femme jeune(28 ans) , belle (DSK au moins l’a pensé puisqu’il l’a « seduite »), noire et employée surprend un vieu juif de 60ans au sortir de sa douche, la bedaine sur la serviette , son unique oeil torve rivé sur elle.
Quel seducteur ! Si je te suce, est ce qu’en echange tu m’encule ?
Bon prince, Dominique accepte. On aime ou pas l’humour noir sur cette scene bicolore, mais chacun est libre de son opinion. Il y a quand meme un contexte DSK a prendre en compte :
On croit ce que l’on veut jusqu’a ce que la justice US tranche...ou que la victime touche une compensation suffisante en vertue du principe de droit germanique du WehGeld , le prix de la douleur, le pretium doloris du droit latin. On peut racheter ses fautes en payant suffisament, surtout si la victime est pauvre.
Le probleme est que la campagne de « creation » du candidat DSK a laissé quelques orphelins : les militants socialistres qui voulaient que les socialistes « prennent leur revanche sur LA droite , incarnée par le seul Sarkozy. Formaté par les médias puis abandonné, ces idiots utiles continuent, tels des poulets decapités a courir dans tous les sens en criant »dsk innoncent« , »dsk innocent"...
Pour croire à un complot, il faudrait au moins que la victime du complot en fasse etat. Et si il est trop bete pour le comprendre, trop bete pour croire qu’une jeune beautée de la moitié de son age puisse serieusement s’interesser à lui innocement, la question est posé : un tel naif / idiot etait il l’omme que vous avez cru pour prendre le destin de la France en main ?
l’ART D ETRE GRAND PERE revisité en terres celtiques profondes
et voici la raclée que le tavernier m’a adressé :
Message deStéphane Bersier auquel je souscris face à la bêtise crasse et ignoble de ce commentaire de Brieli67 :
« Mon pauvre am i ! Si vous êtes incapable de comprendre la tendresse d’un grand-père pour ses petits-enfants, alors que le ciel les préserve d’un grand-père tel que vous...
Notes : Quand on se laisse aller à ce genre de sous-entendus vaseux, on ne se cache pas derrière un pseudo ! De plus, quand on se permet d’utiliser des mots savants, on prend le soin de vérifier son orthographe...( »Que nous cache tu ?« ) (Un collègue de la Muse ?... Non mais, je rêve !)
L’indice relevé indiquerait que cette femme a échappé à une forme d’esclavage communautaire (ce travail dans un restau tenu par une famille africaine), et qu’être femme de chambre était une émancipation...
En outre il semblerait que sa communauté, sous prétexte d’aumône, et de traditions,la rackettait gentiment ... et que ce n’ai pas fini... Son déshonneur rejaillit sur tous,tout le village, nul doute que si elle touche une réparation financière pour l’outage subi, il valui faloir en rétrocéder une bonne partie pour laver l’affront subi à travers elle par les siens...
Pauvre femme, on comprend que la police la protège elle et sa fille de 15 ans.
Actualité de Victor Hugo - Réflexions sur le bicentenaire de 2002
Le bon grand-père est aussi un vieillard lubrique, ce qu’on sait au moins depuis le compte-rendu en 1865 des Chansons des Rues et des Bois par Barbey d’ Aurevilly.
Les fantasmes sur la vie sexuelle de Victor Hugo ont toujours un arrière-goût politique
De grâce le Popol avant d’invectiver à la sauce béarnaise, instruis - toi !
"A force, les débordements festifs ont fini par créer le boxon dans Strasbourg la propre-sur-elle. Au point que Pierre Pflimlin, maire de la ville de 1959 à 1983, élu plus tard à la présidence de l’assemblée européenne (1984-1987) a commencé à s’inquiéter de l’animation nocturne. Une vraie industrie, il faut dire… Avec une ronde intense autour du fameux hôtel Sofitel où le classique code - « allo, je voudrais un autre oreiller » - donnait le signal à la réception pour faire monter une fille dans la chambre d’un heureux élu. Un sésame tellement utilisé que le personnel y voyait malice à chaque fois. Au point d’aboutir à un magnifique quiproquo de comédie italienne, lorsqu’un soir un député anglais voit débarquer une belle créature dans sa chambre en guise d’oreiller réclamé pour sa femme. Un bel esclandre éclate. La fin des années 70 s’achève mal pour la direction et l’équipe de l’hôtel, qui tombe pour proxénétisme.---
Sans prendre parti, il est toujours interessant d’observer à quel point on peut exploiter les pleurs d’une femme.
Je me rappelle dans mon ancienne boite avoir engeulé une fille qui passait son temps à me prendre pour un imbecile au lieu de faire ce que je lui demandais (niveau travail j’entends).
Et bien elle s’est mis à pleurniché et à bien montrer à tout le monde ses petites larmes.
Comme beaucoup de personnes avaient été témoin du conflit, il n’y a pas eu de suite pour moi mais tout de même un cadre sup m’a averti : il faut faire attention avec certaines femmes surtout si elle sort en pleurs de ton bureau alors que vous étiez seuls. Les gens peuvent alors croire n’importe quoi par compassion. C’est très dangereux
C’est pour ça qu’aux US, aucun homme n’ose prendre seul un ascenseur avec une femme...
J’ai peine à croire que l’on puisse hors menace armée imposer une relation buccale à qui que ce soit sauf à se retrouver castrat. Marié à une africaine et ayant passé une grande partie de ma vie en Afrique de l’ouest, la tonicité musculaire et la pugnacité des femmes africaines est telle qu’elles mettraient n’importe quel gorille en rut en fuite (surtout elle avec son 1m80), chance pour lui si il s’en tire avec son 3 pièces intact. Enfin sans généraliser les relations sexuelles « casuelles » sont nettement moins normalisées en afrique au point qu’il est anormal de ne pas avoir au minimum un deuxième et un roisième « bureau ». Sans cautionner l’individu et ayant fréquenté ces palaces (personne ne rentre quant la carte clef qui aussi active clim et éclairage est dans le contacteur), j’ai les plus grand doutes sur la version des impérialistes puritains et riquains qui historiquement n’en sont pas à une manipulation prèt (quitte à lancer une guerre mondiale).
DSK est un âne qui s’est fait pincer avec une simple carotte !
Et comme le dit si bien NON ??? ne mérite pas la place de concurrent a la présidentielle ?
Par contre il y a des zones d’ombre, voire plus car forcer une femme a une fellation quand on connait la dentition des africaine me semble quand même être digne de la roulette russe avec 6 balles dans le barillet ?
la seule question est : QUI a organisé la souricière ? La nomination de Lagarde est elle un début de reponse ?
De toute façon DSK n’est pas fiable, il a des trous de mémoire depuis plus de 10 ans . Mery lui avait confié une K7 vidéo qui accablait Chirac et l’a égarée ( il ne sait plus dans quel tiroir) ! Résultat Chirac n’est toujours pas jugé ?
Cet article n’est pas utile : M. Villach, vous comprenez bien que les enquêteurs ne comptent pas sur le JDD pour faire avancer leur travail. Ce que le JDD fait paraître est un simple témoignage : on prend ou on ne prend pas.
Par ailleurs, le jeu des supputations sur la présomption d’innocence ou la présomption de l’état de victime est parfaitement vain car seuls les enquêteurs sont en possession des éléments permettant de cerner progressivement la vérité judiciaire. Il faut donc se contenter, comme dans tout procès, tant qu’il n’est pas encore ouvert, d’être dans l’incertitude. Tout le reste est hypothèse plus ou moins éclairée, souvent, d’ailleurs, moins que plus.
Restons modestes et acceptons de ne pas savoir : le jeu des supputations est gratuit et d’aucune utilité sauf à vouloir satisfaire son ego en voulant démontrer sa pseudo-sagacité.
Une petite allusion à la polygamie du père (ah que c’est pas bien !), une « victime supposée » (ah ?).....
Un « portrait édifiant » : il n’a tracé aucun portrait.
« une information inutile » : VOUS décrétez qu’elle est inutile pour ensuite construire tout un bric-à-brac comme pseudo-analyse.
Et après avoir déduit à tire-larigot, vous avez le culot de nous conseiller « on doit se garder de toute déduction hâtive »...ben mon colon !
Et ce demi-frère parle aussi à demi-mots et nous fait des demi-révélations : « le demi-frère dit ne rien savoir de ce qui s’est passé dans la chambre du Sofitel : « Il n’y a que l’homme, Nafissatou et Dieu qui connaissent la vérité », conclut-il. On est bien avancé ! »........pourtant c’est l’exacte vérité : que voudriez vous qu’il y fît ?
:)
M.Villach voudrait des informations complètes comme au cinéma : quand est frère, même à moitié, on se doit de nourrir la presse.
Je me demande ce que vous pensez qu’il pourrait savoir de plus ? ce qui s’est passé REELLEMENT dans la chambre 2806 n’est connu que des seuls présents au moment des faits.
C’est une évidence.
Chercheriez-vous à obtenir des infos, même bidon, pourvu qu’elle soient croustillantes ?
Heureusement que DSK a eu le bon goût de se faire arrêter sur le sol américain. Je n’ose imaginer PV faisant barrage de son corps contre un commando héliporté. On l’a échappé belle.
Poursuivons ensemble l’analyse avec les éléments que vous/JDD nous founrissez, déjà par une mise en perspective de deux passages de l’interview du vieux frère mais néanmoins très proche de sa pourvoyeuse de soeur :
"Chaque fois que je lui téléphone pour lui demander d’envoyer de
l’argent au village, pour un mariage, un malheur, elle le fait
immédiatement.«
»L’argent n’est pas tout dans la vie. Il y a des choses plus
importantes. Avant, elle travaillait avec la femme d’un Gambien du Bronx
dans un restaurant familial. Elle gagnait moins, mais c’était mieux
pour elle."
L’argent qu’elle leur envoyait immédiatement était suffisant puisque jamais refusé. Que lui restait-il pour vivre et permettre à sa fille adolescente d’étudier ?
Ceci pour ajouter un élément méconnu : les immigrés sont les pourvoyeurs de 90% de l’Aide Internationale au Développement des pays du Sud.
Alors, songez : va-t-elle aller crier sur tous les toits qu’elle gagne désormais beaucoup plus !?
DSK est un requin nageant dans les eaux du capitalisme financier mondialiste où tous les coup sont permis et qui sont infestées d’autres requins encore plus féroces qui l’a piégé et mordu -------------------------------il fallait s’y attendre
Tout à fait d’accord avec Imothep et après avoir pris connaissance des réactions des uns et des autres pour parfaire mon opinion, je me contenterai d’ajouter que cet article me semble être un exercice d’intox d’une rare lourdeur, écrit par quelqu’un qui ne fait décidément pas dans la dentelle !
Non seulement il est pénible de lire les vomis du cervelet des apprentis « experts » mais au surplus ceux-ci utilisent une terminologie juridiquement absurde : la femme n’est pas une « présumée victime » mais une plaignante, seul l’accusé est présumé innocent et doit être traité comme tel. Explication à ces truffes : les présomptions s’annuleraient et il faudrait oublier et passer à autre chose. En droit, il y a présomption lorsqu’il est nécessaire de prouver le contraire afin de la renverser, vu ?
L’être humain est doté de deux hémisphères cérébraux, dont on sait maintenant que les fonctions sont bien distinctes : l’hémisphère gauche chargé de la froide logique, du langage, du raisonnement mathématique, de l’analyse des situations, des formes, des sons etc... et l’hémisphère droit chargé de l’intuition, des émotions, de la prosodie ( intonation et mélodie du langage sans laquelle notre langage ressemblerait aux phrases monocordes d’un ordinateur lorsqu’il parle ) de la compréhension des émotions d’autrui, de la reconnaissance des mélodies, des visages, de la synthèse plutôt que de l’analyse, de jugement intuitif et de l’imagination plutôt que du jugement logique. ( Cette description est valable pour les droitiers ) .
Certes, mon hémisphère gauche approuve tout à fait la démarche intellectuelle et la logique rigoureuse que vous appliquez à l’affaire Strauss Kahn dans les divers articles que vous lui consacrez, néanmoins , mon hémisphère droit n’y croit pas un seul instant, et ça, je n’y peut rien.
En tant que scientifique, j’ai la plus grande méfiance a priori vis à vis de l’intuition, à laquelle je préfère nettement une démarche intellectuelle logique.
Néanmoins, dans le domaine d’activité qui est le mien, il m’est arrivé à quelques reprises pour diverses raisons de court-circuiter la logique et de laisser s’exprimer mon intuition, ce qui m’a permis de faire des diagnostics bien plus rapides que ce qui aurait été possible avec la seule froide logique. Il arrive, en procédant ainsi , que l’on ait l’idée en un éclair de la solution de problèmes diagnostiques difficiles qui avaient échappé à des semaines d’investigations logiques et poussées diligentées par des spécialistes chevronnés, et que cette solution, dictée par l’intuition et non par la logique, soit confirmée par les examens complémentaires ...
Alors bon, je ne suis pas spécialiste en criminologie, mais, malgré tous mes efforts pour ne tenir qu’un raisonnement strictement logique, je ne parviens pas un seul instant à croire sérieusement à l’innocence de DSK. Tout mon cerveau droit s’oppose de toutes ses forces à accepter cette hypothèse même si je met de la bonne volonté à essayer de le raisonner !
Je ne conteste pas cette analyse des deux cerveaux. Juste une correction, il semble que la perception des formes appartienne au cerveau droit.
Il reste qu’au stade de l’affaire, seule la version de l’accusation a été diffusée. On ignore toujours la version de la défense, et pour cause : elle doit attendre de savoir quelles sont les charges qui pèsent sur elle avant de répliquer.
Il ne me semble donc pas possible à cette heure-ci de trancher entre les deux hypothèses qui peuvent résoudre cette énigme. Je ne dit rien de plus. Paul Villach
J’ai mal compris ce que vous entendiez par forme. N’est-ce pas le cerveau droit qui perçoit les formes à partie d’unités élémentaires : deux accents circonflexes au-dessus d’un entrecroisement de lignes = une tête de chat, par exemple ? Le cerveau gauche, je vous l’accorde, est celui qui analyse, étiquette, calcule ... Paul Villach
Mais soyons sérieux Morice puisqu’il
est convenu que la personne inculpée soit supposée innocente, il
est tout à fait logique d’appliquer le même principe à la victime.
Morice : au vu des nouveaux éléments de ce jour (DSK innocenté), ta clairvoyance me sidère... Docdory, vous aussi, vous y êtes allé un peu vite en besogne. Avez vous réellement vu autre chose qu’un complot dans cette histoire trop grosse pour être vraie ? Je veux bien que vous n’aimez pas DSK, mais d’ici à le voir violenter une femme de chambre, il ne faut pas exagérer. Pourtant, en tant que médecin, vous devriez connaître le comportement humain.
34 annees dans l’enseignement ........ Il faudrait retrouver ses eleves pour nous dire comment il etait en tant que professeur . Mais faute d’indices on se doit de garder de deductions hatives
Since her initial allegation on May 14, the accuser has repeatedly lied, one of the law enforcement officials said. [...] Indeed, Mr. Strauss-Kahn could be released on his own recognizance, and
freed from house arrest, reflecting the likelihood that the serious
criminal charges against him will not be sustained. [...] Prosecutors from the office of District Attorney Cyrus R. Vance Jr., who
initially were emphatic about the strength of the case and the account
of the victim, plan to tell the court on Friday that they “have problems
with the case” based on what their investigators have discovered, and
will disclose more details of their findings to the defense. [...] According to the two law enforcement officials, the woman had a phone
conversation with an incarcerated man within a day of her encounter with
Mr. Strauss Kahn in which she discussed the possible benefits of
pursuing the charges against him. The conversation was recorded. [...] In addition, the official said, she told investigators that part of her
application for asylum included a previous rape, but there was no such
account in the application. [...] In recent weeks, Mr. Strauss-Kahn’s lawyers, Benjamin Brafman and
William W. Taylor III, have made clear that they would make the
credibility of the woman a focus of their case. In a May 25 letter they
said that they had uncovered information that would “gravely undermine
the credibility” of the housekeeper.
Still, it was the prosecutor’s investigators who found the information about the alleged victim.
L’aura de sainteté que lui confère le statut de la soi disant « victime » ne doit pas empêcher l’impartialité. Ce n’est donc pas sa première affaire de « viol », elle en a une certaine expérience. Sa conversation avec un détenu le jour même de l’événement pour parler de la « rentabilité » des poursuites, c’est un argument béton pour DSK. Le fait qu’elle soit pauvre, noire et musulmane n’est la preuve ni de son mensonge, ni de son innocence.
Merci à Mor Aucon de nous livrer ce buzz qui fera les grands titres de la presse aujourd’hui. DSK innocenté, le piège démasqué ? C’est certain maintenant. En attendant, on a irrémédiablement souillé son nom. Tous ceux qui l’ont insulté, à commencer par la presse légère dont les supputations ont conduit à une lapidation populaire ratissé par les mouvements féministes extrêmes, lui doivent les excuses les plus plates. Combien de fois je me suis fait moinsser, insulter par les trolls sur Agoravox pour avoir osé supposer de son innocence. J’espère que ceux-là la ramèneront un peu moins, maintenant. Et je parie qu’il sera en deux temps, trois mouvement de nouveau dans la course aux présidentielles. Cette histoire, contrairement à ce qu’espérait l’UMP, lui sera finalement bénéfique. On ne peut évidemment que s’interroger sur les raison de l’empressement de la police new-yorkaise à le mettre au trou sans aucune vérification de la crédibilité de la plainte. Les relation de Sarko avec le patron de la police R. Kelly y serait-elles pour quelque chose ? L’humouriste Stéphane Guillon, pourtant pas tendre avec DSK dans le passé, l’exprime avec brio.
De rien Deneb. Mais ne soyons pas ingénus. On va avoir droit à la version complotiste de ceux qui pensaient le complot impossible. C’est comme ça que ça marche, maintenant.
Oui, il faut savoir rester prudent, quoique les indices qui s’annoncent proviennent... de l’accusation !
Je n’ai fait que proposer une approche prudente de l’information : « L’affaire DSK, deux hypothèses pour une énigme ». On va bientôt voir quelle hypothèse l’emportera. Paul Villach
On a réussi à salir la plaignante, il faut dire qu’en embauchant des avocats mafieux et en mettant des millions sur la table on peut tout faire à notre époque, même faire marche arrière à une justice des hommes ou ce qu’il en reste face à la corruption et la mafia de communautés à l’échelle mondialiste...
Coupable ou pas, cette affaire DSK, nous prouve à quel point de mensonge sont rendues les affaires qui concernent les hommes importants pour la mise en place de la gouvernance moniale unique...
Brave brave new world, tu renonces à tel mandat, tu fais profil bas, et la « famille » mondialiste va te trouver une place ailleurs...
Les développements récents dans l’affaire DSK m’obligent à reconnaître que votre raisonnement logique était beaucoup plus perspicace et clairvoyant que mes intuitions divaguantes ...
Cerveau gauche : 1
Cerveau droit : 0
Mea maxima culpa ( même si je suis loin d’avoir été le plus virulent commentateur anti DSK sur agoravox ) !
Mais qui comme vous, parmi toutes les langues de vipères qui sur mon dernier article ont péroré sans avoir entendu la version de la défense, auront le courage de reconnaître leur égarement ?
On risque d’assister, si le procureur confirme les informations du NYT, à un désastre de l’information telle qu’elle est enseignée à l’École, à l’Université et défigurée par la mythologie des médias. Paul Villach
D’autre part, il a fort à parier que si tout cela tourne au vinaigre pour Cyrus, nous allons assister au spectacle de la merveilleuse justice démocratique, que certains vantaient tant, transformant en chair à saucisse à la pauvre soubrette, cette fois réellement désemparée car personne n’aura rien à gagner à la défendre.