@Philippe Huysmans, Complotologue
 « Tu nous quitteS quand toi ? »
 A mon avis, tu peux dormir tranquille. 
 Il n’est pas question de quitter le bateau, surtout quand il tanque trop.
 Tu n’as pas connu les débuts de Avox.
 Moi, bien.
 Au début, c’était de véritables débats entre rédacteurs sans prise de tête en cherchant des compromis que ce soit en mail ou sur le site lui-même.
  Tu n’as pas connu les rencontres entre eux en 2007.
  J’avais même proposé de l’organiser à Bruxelles à Carlo Revelli.
  Il n’a pas osé décevoir les Français et ce fut aux alentours de Paris....

 J’ai répondu à ton autre question.... Il faut apprendre à lire : Pfizer sans panaché. Deuxième dose dans dix jours.
 C’est ce qu’on donne comme vaccin au Heysel...
 C’est bien organisé jusqu’au repos d’une demi-heure avant de quitter. 

A lieu de rester derrière ta bécane pendant des heures et ton travail à domicile, tu ferais bien de te promener, de jogger et de véloter.
Ma technique, c’est pour correspondre à une vieille émission de 1966, « La Tête et les Jambes » 
Là, oui, tu peux panacher avec beaucoup d’intérêt..

@Philippe Huysmans, Complotologue
 Je me souviens que le rôle de correcteur t’était destiné.
 Je n’aime pas ça. 
  Mon copain Bernard d’othogaffe m’en donne beaucoup plus de leçon à tel point que tu ne pourrais pas suivre avec l’humour en plus sur mon site
  Connais-tu sketch « La faute de l’orthographe », ça c’est tof avec la zwanse bruxelloise en plus...
  Quant à mon repos éternel, « faut pas rêver » encore une émission télé .
  Un p’tit rhume, il y a des années que je n’en ai plus et une grippe, je ne sais pa ce que c’est.
  En 2020, c’est la première fois que j’ai pris un vaccin contre la grippe pour ne pas confondre avec le Covid ;
  Tu vois, tu en as encore du chemin avant de comprendre ma manière d’être.
  Il y a le conflit entre l’expérience et le progrès de la nouveauté
  Ce qui reste toujours, ce sont les concepts.. 
  

@Philippe Huysmans, Complotologue
 Pédaler dans la choucroute, j’adore mon p’tit jeune qui ne sait rien avant sa petite naissance de jeunet.
 Mon nombril. ne t’intéresse pas, le tien c’est idem pour moi.
 Parce que, encore une fois, je répète, nous ne baignons pas dans la même cours.
 J’aime bien être « has been », individualiste.
 Allez ma poule, je te laisse avec tes problèmes d’existence et de présence...
 Rien à cire... Un p’tit vieux se doit d’être présent à tellement d’autres endroits que sur cette antenne. Cela doit se coucher tôt pour se réveiller tôt. 
 Tu connais le litote « Je ne te hais point »
  
@+ ma poule
 
Hi han Hi han 
 

@Philippe Huysmans, Complotologue,
  Voilà, un rapide retour...
  D’abord au sujet de ce qu’est un concepts...
  Conceptualiser les choses, c’est le voir dès son début et participer à son élaboration comme je l’ai fait en tant qu’ingénieur système.
  Une époque que tu n’as pas connu... Une époque pendant la quelle tout était à créer et à écrire.
  Une époque pendant laquelle on venait te chercher sans avoir à postuler, à écire un CV pour se faire engager.
  J’adore être invisible. Etre incognito... C’est une bénédiction.
  Je viens de terminer un long billet avec le titre « Nietzsche, oser la liberté dans un éternel retour ». J’ai bien aimé l’écrire parce qu’il y a des similitudes de pensées. 

  Je disais que j’avais des choses à faire ce soir...
  Je viens de regarder le film « Wonder boys » sur ARTE 
  Tu ne vas pas me croire, mais j’ai pensé à toi dans le rôle de James Leer et moi dans celui du Prof Grady Tripp.
  C’est fou, non ?  
  Allez cette fois, je dis à demain, pour de nouvelles aventures.
 
@+ Ma Poule

@CYRUS, Bonjour,

  M’en venter pourquoi le ferais-je ?
  Leur vendre l’informatique, tu es sérieux ?
  Ils ne m’ont pas attendu pour la créer. 
 J’adore l’humour des Ricains.

  J’ai travaillé 30 ans avec eux.
  Des anecdotes floridiennes ou de l’ouest américain, t’en veux, en voici.
  J’ai même écrit quatre eBooks qui s’y passent.
  Le Japon, je ne suis pas allé...
  Vendre l’électronique aux Japonais... ???
  C’est le pays de l’électronique et des robots par excellence.
  J’en ai parlé par l’intermédiaire de ce qu’on en dit.
   

Bonjour eau-de-pression,

 Merci pour ce billet matinal très amusant. J’aime. 

 Vingt ans minimum me sépare de « ma poule » comme je l’ai appelé. Et vingt ans en informatique, c’est au moins un siècle. 

 « Guy est d’une époque où l’ordinateur était au service des puissants. »

 Tout à fait. C’est un fait indéniable. Je n’ai jamais fait l’autruche avec la tête dans le sable. Mais les Ricains se font ronger par l’intérieur. Tu connais la nationalité de ceux qui sont à la tête de Microsoft, de Google et d’autres entreprises américaines et tu comprends que les choses évoluent.

 Comme je le disais au sujet de ce qui est « concept ». J’ai commencé ma vie dans les années 70, par le développement d’un émulateur de l’Assembler de l’IBM 360 sur une petite machine qui ne s’appelait pas encore PC.

 Une machine Cogar-Singer avec des instructions qui étaient à deux voir trois bytes. Les bits, on les coupaient vraiment en deux. La moindre comparaison ou transfert entre deux zones de mémoire, se faisait par une boucle, byte par byte.

 La réentrance était une obligation pour gagner de la place en mémoire. Oui, il y a eu le bug de l’an 2000 qui se pointait, mais c’était très loin dans le futur.

 Avec l’Assember ainsi généré, un Cobol, un RPG ont été créée.

 Et ce n’est qu’après tout cela, qu’on a fait ce qu’on appelle, de l’applicatif qui est un autre sport, mais souvent moins intéressant parce que la comptabilité par exemple, avec n’importe quel soft (et j’en ai connu sous toutes ses formes dont celle du dieu Oracle), reste de la comptabilité.

 Mais nous sommes à une autre époque, une autre phase, une autre vague pour parler dans le vocabulaire covidien...

 Pour revivre cette époque d’excitation, un seul moyen, partir dans la Silicon Valley, là où tout s’invente « from scratch » à chercher « gourou capable de fabriquer une toile même sans araignée ». en permanence.

 Si tu connais l’allégorie de la caverne de Platon, à mon avis, on ne commence qu’à apercevoir un peu de lumière à sa sortie.

 Encore une fois, merci pour ce bon moment.

 Une excellente journée à toi et à la compagnie...

 Il y a une chose qui me caractérise en plus de mon nombril comme dit « Ma poule », c’est l’humour... Et ça c’est pas son fort.      

 J’en ai entendu une excellente ce matin...

 Une fois podcastée, je l’introduirai ci-après.

@+

Le cactus podcasté au sujet de la démolition du « Passenger » à Mons
 

Et des photos d’une époque révolue

Et comment configurer son PC... depuis qu’Internet a ouvert les vannes de la boîte de Pandore...

@eau-pression,
 Absolument d’accord.
 Je n’ai pas essayé exclusivement de donner des compliments. Je vous connais depuis bien longtemps, même sans avoir écrit un seul billet sur cette antenne, vous suivez avec un certain aplomb que j’aime. Quand vous avez quelque chose qui vous donne de l’urticaire, vous oser le dire en vous foutant pas mal du regard oblique des passants honnêtes. Je n’ai jamais fait autre chose pendant ma vie active et je n’avais pas l’intention de changer de politique. Je connais les défauts du « système » et je n’ai jamais mâché mes mots pour le dénoncer que ce soit à n’importe qui, patrons (et j’en ai eu plusieurs) ou autorités. La dépendance bête et méchante aux autres n’a jamais été mon fort. Evidemment, on a des bides sur son chemin.
La tête et les jambes mixés, j’aime. C’est ainsi que je fonctionne.
Pendant ma promenade matinale quotidienne, j’ai rencontré ce matin, un monsieur qui faisait sa gymnastique dans le quartier. Nous avons fait connaissance, pendant une dizaine de minutes.
Cela pour dire que j’aime les rencontres virtuelles, mais j’aime encore plus les rencontres en dur, en face à face. Malgré les masques qui cachent le visage, ce genre de rencontre est beaucoup plus vraies, moins derrière des masques virtuels qui permettent des écarts de langage qui n’existeraient pas sans recevoir des marrons en pleine g... dans le monde du réel.
Puisque nous sommes tous différents de formation, d’âge, d’idées et d’idéologies, la seule solution pour garder un climat agréable, c’est d’utiliser l’humour et la parodie.
Après quinze ans de management d’une équipe en permanence changeante, avec des jeunes et parfois des vieux qui attendent la retraite avec impatience et des cours de psychologie, cela permet de s’endurcir avec un œil avisé sur les relations humaines.
On apprend aussi à être seul entre le marteau et l’enclume.
Pas eu besoin de 5G pour y arriver. Juste un peu de psychologie et de philosophie. 
   

@Philippe Huysmans, Complotologue

Tu vis encore ma poule ? Pas encore honteux de s’adresser à l’âne ?

Lis « Ainsi parlait Zarathoustra » comme je le fais et puis tu l’as fermeras naturellement, sans effort pour te tenir en vie...
Ca c’est écrit et promis sur la facture.