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Accueil du site > Tribune Libre > Le rôle essentiel de l’école...

Le rôle essentiel de l’école...

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L'école à la maison ? Ce fut un cauchemar pour nombre de parents : difficile de s'occuper des apprentissages des enfants, alors que l'on doit travailler.

 

Lors du confinement, les parents ont pris conscience plus que jamais du rôle essentiel de l'école, et des enseignants.

Bien sûr, il y eut et il y a encore l'enseignement à distance, grâce à internet.

 

Mais rien ne remplace le contact direct avec les autres élèves et avec les enseignants.

 

Ainsi, sur internet, le professeurs ont été confrontés à de nombreuses difficultés techniques : bugs, surcharge des réseaux, pannes diverses, manque de matériel, etc.

Ils ont dû se démultiplier pour répondre aux attentes des élèves et des parents...

 

L'école est aussi un lieu de socialisation et de rencontres avec les autres : peut-on envisager un enseignement sur ordinateur et à distance ? La dimension sociale de l’école se déliterait alors…
 
Va-t-on vers une société où l’ordinateur va primer et s’imposer à nous dans l’apprentissage, dans le travail ? Va-t-on vers une société où les gens vivront, apprendront, travailleront, chez eux, sans contact avec l’extérieur ?
 
Ce serait, sans doute, dommageable car une société s’organise autour de contacts, même si ces contacts se révèlent, parfois, difficiles.

 

On peut le rappeler : les enseignants prennent en charge les élèves tout au long de la semaine, lors de chaque année scolaire, ils ont donc un rôle éducatif fondamental.

Les professeurs ont pour fonction de transmettre des savoirs, des connaissances indispensables, pour permettre aux élèves de s’épanouir dans la société, mais ils ont, aussi, une fonction éducative, ils inculquent des valeurs aux élèves, le respect des autres, la tolérance... ils doivent donner l’exemple du travail, de la rigueur.

 

Les enfants, les adolescents ont aussi besoin de contacts avec les autres, hors du cadre familial...

Ils apprennent à vivre en société, avec les contraintes qu'elle suppose...

L’école transmet des codes de conduite nécessaires aux enfants et les prépare aux rôles sociaux de la vie d'adulte.

 

Avec le déconfinement, l'école n'a pas vraiment repris, puisque de nombreux élèves ne peuvent être accueillis en raison de protocoles sanitaires très stricts et très contraignants.

De nombreux parents s'inquiètent et sont à la peine face à cette situation qui perdure...

Ils comprennent que l'école est vraiment indispensable à l'épanouissement des élèves, et à leur propre tranquillité...

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Le blog :

http://rosemar.over-blog.com/2020/06/le-role-essentiel-de-l-ecole.html

 

Source :

https://www.franceculture.fr/emissions/radiographies-du-coronavirus/en-attendant-lecole-les-desillusions-du-deconfinement

 


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43 réactions à cet article    


  • Armand Griffard de la Sourdière Armand Griffard de la Sourdière 10 juin 2020 18:37

    « De nombreux parents s’inquiètent et sont à la peine »

     et bien souvent dans l’attente d’une réponse de l’enseignante


    • Armand Griffard de la Sourdière Armand Griffard de la Sourdière 10 juin 2020 18:44

      @Armand Griffard de la Sourdière
        nouveau lien


    • rosemar rosemar 10 juin 2020 18:47

      @Armand Griffard de la Sourdière

      Une caricature...


    • rosemar rosemar 10 juin 2020 19:27

      @Armand Griffard de la Sourdière

      Il arrive de nos jours que des élèves insultent des professeurs...


    • Armand Griffard de la Sourdière Armand Griffard de la Sourdière 10 juin 2020 20:51

      @rosemar
       Les risques du métier ... dur dur ! smiley


    • lcm1789 11 juin 2020 16:02

      Réinformation

      Source, le café pédagogique

      « Alors que dans leur grande majorité, les PE ont repris la classe, on les soupçonne de jouer les prolongations du confinement et le ministère, censé les soutenir, entretient le flou sur des chiffres fantaisistes. Une manière de déplacer le projecteur et de les rendre responsables d’une situation particulièrement mal gérée », écrit le Snuipp Fsu. « Une enquête du SNUipp-FSU indique que moins de 10% des personnels enseignants sont concernés par des problèmes de santé ou de vulnérabilité de leur entourage, et ne peuvent aujourd’hui reprendre la classe en présentiel. Bien loin donc, des 40% qui seraient soi-disant « dans la nature » ».

       

      « Une campagne de dénigrement des personnels enseignants a cours dans un certain nombre de media depuis quelques jours. Aujourd’hui, c’est au tour du ministre Blanquer lui-même de livrer les personnels à la vindicte populaire », écrit Sud Education.« Le ministre a ainsi pu déclarer qu’une partie des personnels “n’a pas été à la hauteur”, et que leurs manquements sont “sanctionnables”. Comme à son habitude, Blanquer use de trois registres pour essayer de faire oublier son incapacité à gérer correctement la crise sanitaire : paternalisme, infantilisation et autoritarisme... Le ministre Blanquer n’a pas un mot pour défendre les personnels face à la mise en cause de leur professionnalisme. Il n’a pas non plus un mot pour les personnels qui ont contracté le virus en retournant au travail dans des conditions sanitaires déplorables, dont il est responsable en dernier ressort ».


    • rosemar rosemar 13 juin 2020 08:35

      @lcm1789

      MERCI pour cette mise au point utile...


    • Fergus Fergus 10 juin 2020 18:51

      Bonsoir, rosemar

      Dommage que vous n’ayez pas écrit un mot sur les enseignants décrocheurs.

      Le ministère en reconnaît 4 à 5 %. Certains experts avancent 10 % ! Au minimum, 40 à 50 000 enseignants qui ont, sans vergogne, laissé tomber leurs élèves !!!

      Le pire étant qu’il se trouve des syndicalistes pour défendre ces gens-là qui sont la honte d’une corporation où, par chance, la grande majorité s’est démenée, dans des conditions difficiles, pour maintenir le lien avec les élèves et leur permettre de se maintenir tant bien que mal à niveau. Un grand merci à ces éducateurs !


      • rosemar rosemar 10 juin 2020 19:25

        @Fergus

        Une honte pour ces profs décrocheurs...

        Juste 4% de tire-au-flanc dans une profession, cela prouve qu’une écrasante majorité d’enseignants a tout de même bien travaillé. Et ce fut pour eux une rude tâche...


      • lcm1789 11 juin 2020 15:07

        @Fergus

        Fergus le bon petit soldat de la macronie (mais ici tout le monde le sait maintenant !) tape sur les professeurs... 

        • Vos chiffres sortent du même ministère que celui qui « n’a jamais envisagé la fermeture des écoles » . 
        • Ou de celui qui n’a vu que « 5% de Lycées dans lesquels les E3C ne se sont pas tenues... »
        • On peut poursuivre la liste, elle est très longue, sur les masques, les tests, les pensions de retraites etc.

        Le maintien du lien pédagogique a été très compliqué, seul Blanquermenteur a prétendu comme d’habitude que tout allait très bien. Il a d’ailleurs été séchement démenti tout au long de la crise par le PR et par le PM !

        Un minimum de décence l’aurait poussé à la démisssion.

        Le manque total d’anticipation a jeté élèves& parents dans une situation inextricable. La communication en mode jevaisbientoutvabien a introduit un décalage délètère pour la confiance entre la réalité vécue et les discours, décalage flagrant qui a nourrit le ressentiment et la défiance de la population.

        Les enseignants ont fait et font encore leur travail. (Il ne sont pas allés cueillir des fraises.)

        N’étant pas policiers, ils ne sont pas purs et parfaits et par essence, admettons-le. Néanmoins rappelons que les enseignants rendent compte à leur hiérarchie, et qu’ils ne décident pas de leur présence ou de leur absence. Si certains manquent à leurs obligations, ils sont ou seront sanctionnés, et contrairement à ce qui se passe dans les FdO, les syndicats de l’enseignement ne cautionnent ni ne soutiennent les tires au flancs.

        Certains voudraient faire accroire que sans cours en visio il n’y a pas eu de travail. Rien n’est moins faux.

        Professionnels et conscienceux, les enseignants ont rempli leur mission et l’ont fait en prenant en compte les réalités matérielles de leurs élèves.C’est pourquoi les cours en visio très utiles pour la communication lénifiante ministérielle ont été massivement abandonnés pour des raisons pragmatiques.

        • Les cours en visio laissent de côté tous les élèves sans poste informatique et ou sans connection et cela constitue l’immense majorité des élèves.
        • Le manque d’anticipation a empéché de former avant le confinement les élèves à l’utilisation de nouveaux outils en ligne : non un élève ne se forme pas tout seul à l’utilisation des classes virtuelles, la pluspart sont en difficulté, à l’image de la population pour utiliser avec efficience des outils numériques nouveaux. Il faudrait voir à ne pas confondre un collègien avec un consultant dans une SSII...
        • Il s’est avéré matériellement impossible de combiner ces visio-conférences avec le travail à distance des parents et autres membre des fratries, tout en ménangeant un espace pour toutes les disciplines... Les classe virtuelles n’étaient pas le bon outil pour s’adresser à tous les élèves : ça c’est la réalité !
        • Ils ne sont pas adaptés à des classes à effectif pléthorique, (la majorité des classes).
        • Les classes virtuelles sont parfois devenues le théatres d’insultes racistes, sexistes etc... du fait de leur manque de sécurisation.
        • Rappelons aussi aux faux idiots utiles comme Fergus, que pour bien des disciplines un minimum de matériel est nécessaire à la mise en place d’un cours « interactif » normal, dont.... un tableau. Fergus va-t-il accabler nos enseignants de ne pas avoir installé à leurs frais un studio de tournage dans leurs minables appartements ? Domiciles, où ils se trouvaient assignés à résidence comme l’ensemble de la population du fait de l’impéritie de nos gouvernants que Fergus ne dénonce jamais leur trouvant toujours des excuses sous ses dehors de faux opposant vrai courtisan.

        D’ailleurs avec retard, les corps d’inspection ont découvert que ces superbes outils étaient plus qu’inutiles, facteurs eux-même de décrochage et ont recommandé l’usage massifs d’outils disponibles pour tous : manuels &polycopiés. Ils ont aussi constaté (sic transit gloria mundi) l’éloignement du numérique des populations scolaires (savoir utiliser Snapchat ce n’est pas être habile dans le monde numérique !), pour le coup cela montre une certaine deconnexion de ces élites dirigeantes, qui finissent par croire à leurs discours performatifs.

        Faire un cours cela ne s’improvise pas, et il n’est que des petits malins et des agitateurs pour laisser penser qu’il suffisait aux enseignants de s’assoir devant une webcam... il ne s’agit pas des réunions policées des hautes sphères de l’entreprise et de l’Etat où l’on bulle dans l’entre-soi pendant que les opérationnels triment...

        Certains parents (les plus aisés) auraient souhaité des cours particuliers par skype, ce n’est pas le travail des enseignants qui enseignent à TOUS leurs élèves et qui donc ont mis en place des solutions COLLECTIVEMENT VIABLES pour maintenir le lien pédagogique. Pour ce qui est de l’éducation et de l’encadrement des enfants, il s’agit du rôle des parents, et nos chers libéraux qui attaquent l’Etat partout où ils le trouvent devraient dans ce cas réfléchir sur la notion de responsabilité individuelle. La Nation avait besoin des enseignants, et ils ont répondu présents. Elle avaient aussi besoin des parents, le concert de pleurs d’une partie d’entre-eux devant la difficulté à assumer leur tâche est édifiant. (La majorité, sans écrire de tribune dans Libé à fait du mieux qu’elle a pu pour élever ses enfants et prendre leur part de travail, les chouinerie ne doivent pas faire oublier ce sens des responsabilités partagé.)


        En présentiel ou en distanciel l’enseignement ce n’est ni du divertissement ni de la garderie et les parents ont un rôle à jouer. Si certains se sont rendus compte à cette occasion combien leur chérubin est paresseux et désobéissant, c’est leur mode d’éducation qui est à blamer, pas l’enseignant !

        Rappelons à M. Fergus le macroniste, que le ministère n’avait aucun plan ni dispositif pour faire face, sa seule action ayant été de retarder au maximum la fermeture des établissements scolaires laissant se développer des contaminations explosive comme au Lycée de Jean Monnet de Crépy en Valois... (plus de 40% de contaminés !). Les personnels ont inventé seul les solutions pour maintenir le lien pédagogique. Ils l’ont fait avec compétence et en utilisant leurs ressources personnelles, pendant que l’immanse majorité des salariès du privé était en chomage partiel payé par nos impôts.

        Calomniez, Calomniez, il en restera toujours quelque chose.

        Les enseignants qui ne sont pas actuellement présents dans les établissements, ne le sont pas soit pour des raisons médicales, soit pour des raisons matérielles dû aux contraintes de distanciation et de non brassage des populations. Ils ne font pas l’école buissonière. Ce n’est pas possible, car tout est controlé par les hiérarchies. Il n’y a pas d’absence injustifiée dans l’éducation nationale. La position administrative d’un fonctionnaire et régit par des Lois.

        Rappelons que, par peur des suites judiciaires, le gouvernment à rendu le retour en classe facultatif. 80% des elèves sont restés à la maison, il est donc logique que certains enseignants soient AVEC leurs élèves en distanciel... 

        Rappelons que les écoles en Italie et en Espagne sont toujours fermées, comme l’avait prescrit le Conseil Scientifique.

        Rappelons que la prépublication de Robert Cohen sur le covid et les enfants ne concernent que des données pédiatriques partielles (jeunes enfants) et n’a porté que sur l’évolution des taux de positivité des tests RT_PCR dans les services de pédiatrie participants à la revue restrospective des données pendant le confinement : elle n’apporte aucun élémént solide sur la contagiosité des enfants= probabilité de transmission, elle n’apporte aucune étude statistique sérieuse s’appuayant sur des échantillons construits scintifiquement et apariés. Elle ne s’appuie sur aucune statistique robuste.

        Bref... la haine anti fonctionnaire a de beaux jours devant elle.

        Fergus y participe, alors que les éléments que je donne ici, il aurait pu les trouver lui-même comme le simple citoyen que je suis l’a fait lui-même en cherchant d’autres sources que les articles de Pesch dans Le Figaro.... et je n’ai pas cherché bien loin, 

        Mais Fergus est une belle âme et elle est « de gauche... » comme Manuel Valls ou Jules Moch !

        Le monde d’après est le même que celui d’avant... avec plus de 30 000 morts en plus.


      • foufouille foufouille 11 juin 2020 15:13

        @lcm1789

        « Il faudrait voir à ne pas confondre un collègien avec un consultant dans une SSII... »

        le niveau ...........


      • Fergus Fergus 11 juin 2020 17:00

        Bonjour, lcm1789

        Je ne tape pas sur les enseignants. Bien au contraire, je les défends très souvent, eu égard aux conditions difficiles dans lesquelles ils exercent leur métier. Et je suis bien d’accord avec vous pour dénoncer les conditions d’impréparation et de soutien dans lesquels ils se sont trouvés lors de la mise en place du confinement., du fait de l’incurie du ministère.

        Cela n’empêche pas de dénoncer les comportements de ceux  et il y en a eu, ne vous en déplaise  qui ont baissé les bras et de facto laissé tomber leurs élèves. Ces gens-là ont été très minoritaires, heureusement. 

        Et ce débat n’a strictement rien à voir avec la « Macronie » dont je souhaite vivement qu’elle ne soit pas prolongée en 2022 !


      • lcm1789 11 juin 2020 18:05

        @Fergus

        Ne faites pas l’innocent, vous soutenez les professeurs comme la corde soutien le pendu.

        On n’organise pas une campagne de de dénigrement avec passage du ministre dans les matinales pour quelques enseignants (très minoritaires je vous cite) qui font mal leur travail...

        Si vous êtes si malin, vous pourriez nous donnez le nombre de personnels opérationnel de l’EN contaminés par le SARS-CoV2, dans le Lycée Jean Monnet de Crépy en Valois, c’est près de 60% (plus de six fois plus qu’en population générale ! et 20 fois plus que chez les personnels de l’IHU marseille méditérannée.)

        Il ne vous a pas effleuré l’esprit, que dans les professeurs dont on a eu peu de nouvelles, certains étaient malades et peut être décédés ? Des enquêtes épidémiologiques avec campagne de tests ont été demandées par les syndicats et sont restées lettre morte.

        Faire croire que les enseignants ont laissé tomber leurs élèves, c’est de la désinformation. 

        Toute comme faire croire que l’enseignement à distance était prêt et serait mis en place, dans une institution qui n’y avait pas été préparée puisque le jour même de l’annonce de l’arrêt des cours le ministre annonçait « n’avoir jamais envisager la fermeture » des établissements scolaires, ne pouvait être qu’une stratégie de com’

        Je vous lis depuis assez longtemps pour voir que l’air de ne pas y toucher, vous donnez toujours le coup de griffe nécessaire à ceux qui sont attaquès pas le pouvoir en place. Je sais que les autres intervenants voient clair dans votre (double) jeu.

        Blanquer est le ministre décrocheur du gouvernment. Tous les commentateurs l’ont vu, cela a été même documenté dans Gala, c’est dire...

        L’EN a été l’institution la moins préparée à l’épidémie. C’est à lui de rendre des compte. Tout le monde le voit, il n’a cessé d’être recadré par Philippe. 
        En ces temps de remaniement , les agents de l’EN lui servent de fusible. C’est un scandale de plus, aprés la pénurie de masques de tesst et le restez-chez-vous jusqu’à-avoir-les-lèvres-bleues.


      • Fergus Fergus 11 juin 2020 18:44

        @ lcm1789

        La « désinformation », et même la manipulation, c’est d’écrire « faire croire que les enseignants ont laissé tomber leurs élèves » lorsqu’il eût fallu écrire « des » !


      • Désintox Désintox 12 juin 2020 19:31

        @Fergus

        « Dommage que vous n’ayez pas écrit un mot sur les enseignants décrocheurs. »

        On pourrait plutôt parler du ministre décrocheur qui a laissé ouvert des lycées de 1500 élèves, pendant que l’Italie voisine se confinait.

        Comment ? Il n’écoutait pas les infos ?

        Le public peut avoir des lycées l’image qu’en donnent les séries américaines. Dans celles-ci, les salles de classes sont immenses et pas trop remplies, les élèves disposent de tables individuelles, etc.

        Mon cher Fergus, demandez donc à vos enfants ou à vos petits-enfants, ou bien à vos amis profs si les lycées français sont comme ceux des séries américaines. Les salles de classe sont elles grandes et ventilées ? N’y a-t-il pas de files d’attente et d’embouteillages dans tous les coins ? Les élèves ne vont-ils pas au lycées dans des bus pleins à ras bord ?

        Oui, oui, demandez à vos enfants.

        Et s’ils sont à l’université, posez leurs aussi la question. Les amphis ne sont-ils pas bondés ? Et la queue au resto-u, vous connaissez ? Je parle pour ceux qui ont le temps de manger à midi, parce que beaucoup d’étudiants et de lycéens ne le peuvent plus.

        En fait, chaque Lycée français est devenu un petit porte-avions Charles De Gaulle pendant une semaine. Mais si les marins du porte-avions se contaminaient entre eux, les lycéens rentraient chez eux et contaminaient leurs parents ou leurs grands-parents.

        J’aimerais bien connaître les conséquences sanitaires de ce « décrochage ministériel » dont personne ne parle.

        Après on pourra parler du « décrochage » d’enseignants qui sont tombés malades ou bien de jeunes parents qui se sont retrouvés confinés chez eux avec 2 ou 3 marmots en bas âge ...


      • rosemar rosemar 13 juin 2020 08:39

        @rugueux

        L’absentéisme des profs ! On en parle si souvent ! Les profs des privilégiés, toujours absents ! Bizarre, étant donné que l’on n’arrive plus à en recruter tant le métier est facile, bien payé et surtout, il y a tellement de vacances !


      • popov 11 juin 2020 07:04

        @rosemar

        L’enseignement à distance ne s’improvise pas. Ni les enseignants ni les élèves n’y étaient préparés et c’est probablement ce qui a causé des difficultés pour tous.

        Avez-vous jamais entendu parler d’enseignement programmé ?


        • caillou14 rita 11 juin 2020 07:40

          L’école depuis mai 68 n’existe plus !

          Tous les ministres de l’éducation ont eu pour but de la désintégré pour ne former que des esclaves dociles !


          • caillou14 rita 11 juin 2020 10:26

            @rita..J’ai deux enfants dans l’enseignement, ils déplorent la casse de cette institution depuis des dizaines d’années par des ministres incompétents..Casse voulue par les politiciens pour faire des esclaves des futurs adultes !


          • Albert123 11 juin 2020 08:36

            Les profs sont effectivement essentiels au bon formatage des enfants, la fabrique des bons petits soldats nécessite en effets du personnel adhérant totalement aux idéologies du moment,

            On l’a d’ailleurs bien vu hier avec votre article sur la chloroquine, vous avez été aussi réactive qu’un patrick cohen en mission commandée


            • rosemar rosemar 11 juin 2020 12:33

              @Albert123

              Ben voyons ! On mélange tout !

              Je vous conseille d’écouter ceci :

              https://www.franceculture.fr/emissions/linvite-des-matins/la-science-de-lincertitude-a-la-defiance


            • Albert123 11 juin 2020 17:11

              @rosemar

              « radio bon petit soldat » n’est pas pour les gens comme moi,

              me conseiller d’écouter la propagande d’un gouvernement et d’une république ayant perdus tout crédit ne fait que démontrer mon propos précédent.

              le fait que vous ne vous en rendiez même pas compte souligne le long chemin que vous avez encore à parcourir.


            • Aristide Aristide 11 juin 2020 08:55

              Mais rien ne remplace le contact direct avec les autres élèves et avec les enseignants.


              Il ne s’agit pas de remplacer mais améliorer, de compléter .... 

              Visiblement même devant l’évidence du besoin impérieux de mettre en place de nouvelles formes d’enseignement, vous continuez dans cette phobie de l’usage des NTIC dans l’enseignement.

              Qu’a t’on pu constater ? La faiblesse de notre Education Nationale dans ce domaine. Un outillage inexistant obligeant les profs a pédaler pour trouver les bons moyens de communication, les logiciels, les supports, les exercices, .... enfin tout cette « infrastructure » qui ne servirait pas seulement en période de crise. Utile pour rattraper un cours lors d’une absence, revoir un sujet mal compris, réviser, ....

              J’ai eu l’occasion de suivre un cours de maths à distance, le prof est un véritable héros, jongler avec les élèves qui sont là mais qui perdent la liaison, micros qui disparaissent, impossibilité d’annoter convenablement une figure géométrique, ou alors avec la souris, sollicitation des élèves difficile, ...Si on ajoute l’absence de ressources pédagogiques officielles, ... 

              Seule consolation, l’implication de certains enseignants qui y pallient en fournissant en accès libre sur Internet des cours, des exercices, des analyses, ... L’EN incapable de mobiliser ces énergies pour mettre en place tous ces supports pédagogiques pour l’ensemble des matières. 


              Quand les enseignants, pas tous heureusement, verront que les possibilités pédagogiques des NTIC ne sont pas des concurrents mais des aides, il comprendront ... enfin j’espère. Quand on voit encore que les livres scolaires sont souvent limités à lester les cartables de nos enfants, on peut en douter ...



              • Fergus Fergus 11 juin 2020 09:14

                Bonjour, Aristide

                Je partage votre avis : les NTIC en sont pas des ennemis de l’enseignement traditionnel, mais des outils complémentaires qui offrent de formidables opportunités aux élèves. La difficulté est de trouver le bon équilibre entre les deux formes d’enseignement.


              • rosemar rosemar 11 juin 2020 12:33

                @Aristide

                Comme si les enseignants n’utilisaient pas internet dans leurs cours !


              • Fergus Fergus 11 juin 2020 14:07

                Bonjour, rosemar

                Pas tous, loin s’en faut.
                Une partie des « enseignants décrocheurs » est d’ailleurs à rechercher dans le lot des « allergiques » au web.


              • lcm1789 11 juin 2020 15:55

                @Aristide

                Non rien ne remplace un cours en classe avec ses intéractions multiples... et certainement pas le numérique

                Les NTIC sont des outils, ils sont utiles dans un contexte et pour une utilisation donnée.
                (En tant que citoyen et téléspectateur, j’ai entendu d’ailleurs M. Blanquer dire et redire que tout allait très bien... s’il y a eu des problèmes, peut être que ce discours décalés et performatif peut en partie les expliquer : comment régler des problèmes qui officiellement n’existent pas ?)

                Les NTIC ne sont pas des solutions miracles, et peuvent même constituer des obstacles, lorsqu’ils sont utilisés dans un contexte inadapté...
                Il n’est que de voir les écoles sans numérique qui éclosent dans la Silicon Valley !

                La généralisations des NTIC dans l’enseignement a-t-elle permis une élévation de la qualité de l’enseignement ?

                Rien n’est moins sur

                (mais peut être faut-il une étude en double aveugle randomisée pour le prouver !!!)

                Les quelques enquêtes menées sur l’utilisation de tablettes montrent que passé l’engouement du à la nouveauté, il n’y a pas d’effet sensibles...

                Le travail scolaire, avec un porte plume, ou avec une tablette, c’est du travail scolaire, les outils apportent un confort mais ils ne changent pas la nature de la tâche. 

                Un TBI, c’est un tableau plus confortable certe, mais c’est un tableau, rien de plus !

                Téphone-t-on mieux avec un Iphone18 ou avec un nokia 3310 ?

                Il ne faut pas se leurrer, le « e-learnig » c’est un marché plus important que celui des traitements pour le Covid-19....cela aiguise les apétits.

                En effet, l’enseignement des mathématiques à distance ce n’est pas simple... quiconque a essayé d’écrire des mathématiques dans un traitement de texte le sait.

                Il existe des solutions (libres d’ailleurs) pour rédiger les mathématiques (LaTex, Dmaths), elles sont hors de portée de bien des élèves&étudiants.

                Personne à part Fergus ne peut croire que les cours par visio étaient une solution miracle pour les raisons que vous avez citées et pour d’autres que nous simples usagers ne pouvons pas imaginer car nous ne percevons qu’une petite partie de la réalité. Qui en dehors des enseignants peut mesurer la pertinance d’un outil pour faire cours à distance à 100 élèves en prenant en compte leurs contraintes matérielles et pédagogique ?

                Ce n’est pas parce que je sais bien cuisiner les Saint Jacques beurre noisette que je vais ouvrir un restaurant de poisson de 100 couverts ! soyons sérieux.

                Ceux qui comme moi ont eu la curiosité de regarder les cours de maths de Lumni sur France 4 ont pu en constater l’indigence des contenus et les lacunes en termes d’interactivité... Et pourtant ils étaient fait avec les moyens énormes de l’audivisuel public et assurés par des Chargés de Mission de l’Inspection...

                Pour trouver un terme de comparaison, Fergus veut nous faire croire que si je filme avec périscope un concert du Philarmonique de Prague, ceux qui regarderons seront comme au concert... c’est une farce !

                Non ce n’est pas la réalité. Comme tout le monde j’ai regardé des tutos sur YT, cela n’a jamais été à la hauteur de trois secondes de cours avec un professeur même mauvais avec qui l’on peut dialoguer dans une unité de temps et de lieu.

                Tout comme lire Doctissimo ne m’a jamais soigné (bien au contraire).

                Il n’y a pas besoin d’enseigner pour le comprendre, juste d’être de bonne foi.

                Total soutien au enseignants
                #Mercilesprofs !


              • rosemar rosemar 13 juin 2020 08:41

                @lcm1789

                MERCI encore pour cette mise au point !


              • Étirév 11 juin 2020 09:27

                Origine de l’école et de l’éducation

                On s’est habitué à rapprocher le nom de Minerve de celui des Muses et du Mont Parnasse.

                Ceci a une cause lointaine qu’il faut expliquer.

                Parnasse se disait antérieurement Larnassas, mot qui signifie Ecole. Il dérive du verbe laren ou leeren, enseigner en anglo-saxon. Lar signifie doctrine, et Lareow, Maître ou interprète de la parole divine. Il existe dans la Belgique plusieurs endroits nommés Lærne, Leerne, Lerne ; c’étaient des lieux consacrés à l’instruction du peuple.

                « Les dieux Lares étaient, dans leur origine, des précepteurs du public. Diane était réputée Lare  »

                Il s’est donc formé, chez nos aïeules, une catégorie de Maîtresses d’Ecole qui a porté différents noms. On les appelle souvent des Normes (d’où normale), et on nous représente trois Normes fondant un collège chez les Germains et les Scandinaves ; de là le mot Dryade (dry, trois). Mais le nom qui a surtout été conservé est Druidesse, féminin de Druide.

                D’où vient-il ?

                Fabre d’Olivet dit : « Le mot Drud signifie l’enseignement radical, le principe de la science. Il vient du mot rad ou rud (mots qui ont fait irradier et radiation), qui veut dire une racine. De là le latin radix, l’anglais root, le gallois gredham, etc.  »

                Chez les Irlandais, il est quelquefois question de Druidesses appelées ban-drui, et plus souvent de ban-filé, qui, comme les filé, étaient à la fois devineresses et poétesses.

                Or ban signifie Mère. Ce mot ban-drui voudrait donc dire Mère-Enseignante.

                Dans la mythologie, on résumera cet enseignement en quelques mots, on dira que la parole des femmes éclairées était l’oracle des voyantes. On nous parle de l’enseignement des Prêtresses qui était oral, et on nous dira aussi que, si elles ont laissé des écrits, ils ont été détruits.

                Mais ce qui est certain, c’est qu’elles ont laissé une tradition qui s’est perpétuée de Mère en fille, et c’est cela qui est le fond même de l’éducation.

                A l’époque reculée où l’homme n’avait encore pour mœurs que ses instincts, on avait remarqué combien sa nature le portait à l’opposition, à la contradiction, à la domination.

                C’est pour enrayer ses mauvais instincts que les Mères instituèrent une discipline élémentaire qui est toujours restée depuis dans la société, et qu’on désigne encore par les mots « éducation », « convenance », « savoir-vivre », « manières comme il faut ».

                C’est cette retenue des mauvais instincts qui fut d’abord la Religion. La connaissance que l’on avait des lois qui régissent la nature humaine avait fait comprendre que l’homme doit être discipliné, « apprivoisé », pourrait-on dire, afin de pouvoir vivre dans la société des femmes, des enfants et même des autres hommes.

                On institua donc une règle de vie commune, dont l’homme comprenait la nécessité, car il s’y soumettait volontairement. C’est dans cette vie calme et bien organisée qu’on élevait son esprit vers la pensée abstraite et qu’on lui donnait les moyens de vaincre les sens dont on sut bientôt que l’usage abusif mène à la folie.

                Dans cette société idéale, l’homme ne s’appartenait pas à lui-même, il était à la vie familiale qui devint la vie sociale, et c’est cela qu’on exprime par le mot « civilisé ».

                Toutes les communes, toutes les républiques furent primitivement des associations de vie et de travail, sous les auspices d’une Déesse nationale. Et ces républiques ont été puissantes tant qu’un même lien unissait les citoyens entre eux comme des frères, et les unissait avec la Déesse comme avec une Mère.

                La dissolution des Etats, c’est-à-dire le désordre, commença quand certains hommes, troublés par le mauvais esprit qui engendre l’orgueil, voulurent mettre leur personnalité au-dessus des autres, s’affranchir des lois établies et dominer les faibles. Cette révolte fut le commencement de l’erreur sociale, c’est-à-dire de l’injustice.

                L’éducation était encore donnée chez les Gaulois par les grandes prêtresses et prophétesses que les Romains trouvèrent dans la Gaule et dans la Germanie lorsqu’ils allèrent combattre les guerriers de Vercingétorix et d’Arminius.


                • xana 11 juin 2020 09:53

                  Franchement je vous préfère dans cet article, où vous pouvez prétendre à une certaine compétence, plutôt que comme pourfendeur du protocole marseillais.

                  Je n’ai pas d’avis sur la question, sauf qu’il me semble qu’à l’EN tout le monde semble croire à la nocivité du virus D’où tous vos problèmes.

                  Reprenez les cours sans masque et sans « distances sociales » comme on l’a fait durant quelques centaines d’années avant cette mode idiote, et vous verrez comme tout ira mieux...


                  • xana 11 juin 2020 10:21

                    @xana
                    Ah oui, mais nous avons peur !


                  • Julot_Fr 11 juin 2020 11:49

                    L’école républicaine, initialement poussée pour séparer (autant que possible) les enfants de leur famille et les formater en bon petits robots qui recrachent ce qu’on leur raconte. Supprimant ainsi toute éducation plus orienté vers l’initiative et la créativité, la sélection des sujets essentiels


                    • rosemar rosemar 11 juin 2020 12:35

                      @Julot_Fr

                      C’est absurde ! Les enseignants forment les élèves à l’esprit critique par la lecture, par l’étude rigoureuse des textes...


                    • foufouille foufouille 11 juin 2020 12:40

                      @rosemar

                      mouarf mouarf.


                    • Albert123 11 juin 2020 18:01

                      @rosemar

                      « Les enseignants forment les élèves à l’esprit critique »

                      « l’esprit critique » des gens conformes au consensus tout au plus. Cela fait bien longtemps que l’école ne produit plus que des intellects fades et surtout dociles.

                      l’école est juste une ingénierie sociale parmi tant d’autres qui prépare la classe populaire à la soumission vis a vis de la classe dominante par le biais d’une culture totalement annexée par cette dernière.

                      ce n’est pas pour rien d’ailleurs qu’elle n’est plus qu’une garderie, permettant aux besogneux de fournir le labeur nécessaire au train de vie de cette même classe dominante.

                      « l’étude rigoureuse des textes » comme vous dites est basée sur la lecture et l’interprétation qu’en fait cette même classe dominante, s’assurant ainsi sa domination culturelle sur les classes dominées 

                      le professeur lui incarne l’agent tampon qui rend légitime cette interprétation, entérine la domination de la classe dominante sur les classes populaires et garantie la reproduction sociale sous couvert du potentiel « ascenseur social » qui a depuis bien longtemps rendu l’âme.

                      L’esprit critique ne se forme pas à l’école mais seulement quand on en sort et si tant est qu’on s’en donne la peine à titre individuel.

                      les bons petits soldats qui sortent de celle ci avec un beau diplôme qui leur permet de devenir un bon salarié / fonctionnaire bien docile en sont dépourvus.

                      il est dès lors difficile de considérer que l’école forme l’esprit critique quand celle ci n’a pour réelle fonction que de conformer les individus aux attentes d’une société, qui plus est quand celle ci est malade et en phase de déclin. 

                       


                    • phan 11 juin 2020 12:23
                      La chlorocoquine est payée à rien faire depuis le 16 mars, les parents sont obligés de faire l’enseignement à sa place. Vivement les grandes vacances à partir du 4 juillet, pour aller se vautrer aux alentours de Nîmes : Les enseignants n’avaient que de vieilles caisses pour ranimer leur feu.

                      • rosemar rosemar 11 juin 2020 12:38

                        @phan

                        Encore des clichés honteux sur les profs : les vacances, payée à ne rien faire... !!


                      • rosemar rosemar 11 juin 2020 12:45

                        @phan

                        Des profs, des privilégiés ? Alors qu’on n’arrive plus à recruter dans ce métier... Mais, réveillez-vous !


                      • JC_Lavau JC_Lavau 11 juin 2020 12:56

                        @rosemar. Quand la marde rose se mêle de santé publique, il vaudrait cent fois mieux qu’elle ne fit rien du tout.


                      • phan 11 juin 2020 13:43

                        @rosemar
                        <<on n’arrive plus à recruter dans ce métier>>
                        C’est normal ils sont passés du côté obscur de la propagande du bourrage de crâne. Il parait qu’on embauche dans les machines à laver des cerveaux (BFM, LCI ....) 
                        Franchement avez vous fait une étude rigoureuse avec un esprit critique l’étude Recovery ?


                      • Brunehaut 11 juin 2020 16:47

                        Niveau indigne des commentaires, qui donne vraiment envie de mettre l’arme au pied ( 18 heures, sans travail en amont, ni en aval... Je rêve de ce type de grève du zèle, massif, pour voir votre tête à tous ! ).

                        Quant au refrain sur l’école hors du réel ... Venez face aux jeunes Français, par paquet de trente, et pour les faire bosser, pendant seulement huit jours ! On verra bien si vous ne prenez pas la réalité de notre société en pleine tronche...



                        • Brunehaut 11 juin 2020 16:58

                          Chez certains, ce n’est plus du profbashing mais du nihilisme !

                          Les profs décrocheurs, ce sont des allergiques à l’informatique, qui n’ont donc pas été capables d’assurer l’enseignement à distance. Des paresseux pour certains. Et, sûrement, des contractuels qui, ayant fini leur contrat, n’en ont rien à foutre, et je ne leur donne pas tort ! Précaires, avec un salaire qu’une femme de ménage ne voudrait pas pour leur boulot ... Et c’est la condition enseignante dont les pourfendeurs des FONCTIONNAIRES rêvent pour tous ! Y a pas à dire : le monde de demain ressemble à celui d’hier... en pire, comme disait l’autre ...

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