Marseille, capitale européenne de la culture...
Rarement une ville aura été autant conspuée, dénigrée, vilipendée...
Mais Marseille, ville de tous les excès est enfin honorée et devient, pour cette année qui s'ouvre, capitale européenne de la culture... Tout le monde connaît la mauvaise image de marque de la cité Phocéenne : taux de chômage record, règlements de compte multiples, insécurité, délinquance, prison délabrée et indigne....
Marseille a été souvent mise sous les feux de l'actualité pour ses violences, ses difficultés, une ville mal aimée souvent décriée et malmenée...
Pourtant, Marseile mérite mieux, avec son vieux port, ses bateaux, ses pêcheurs, c'est une ville ouverte sur la mer, une ville d'accueil, ville cosmopolite qui mêle des populations d'origines variées : arméniens, italiens, espagnols, algériens...
C'est une ville ancienne avec une histoire très riche : fondée par des grecs venus de Phocée en Asie Mineure, ses origines sont légendaires et mythiques...
Célèbre pour son vieux port, son marché aux poissons, sa bouillabaisse, Marseille est liée à la Méditerranée, ville du soleil, de la lumière, elle représente bien le Sud avec ses paysages de collines escarpées, ses côtes abruptes, ses calanques et ses criques protégées.
Ville de lumière, elle mérite d'être mise en lumière, elle mérite d'être enfin célébrée : une cité qui possède de nombreux atouts : ville de culture, de tourisme, ville solaire, aux paysages variés....
Voilà une ville constituée de petits quartiers populaires et vivants aux noms pleins de charme : le Panier, la Belle de Mai, la Capelette, la Barasse, la Pomme, la Treille, la Valentine, le Merlan, les Aygualades, l'Estaque, enfin, petit port de pêche associé à des noms illustres : Cézanne, Braque, Zola, Robert Guédiguian y ont habité ou séjourné...
Enfin, Marseille trouve l'occasion d'accéder à une notoriété différente, d'être distinguée, de montrer ses possibilités, ses richesses....
Enfin, Marseille peut être réhabilitée et peut redorer son blason terni par tant de faits divers.
Les festivités de Marseille Provence capitale de la culture 2013 ont été lancées samedi par le Premier ministre Jean-Marc Ayrault. Elles se poursuivront toute l'année sur l'ensemble des Bouches-du-Rhône. Plus de 400 propositions culturelles et artistiques, dont soixante expositions, vont ponctuer l'année dans les communes de la capitale européenne.
72 réactions à cet article
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Bonjour, Rosemar.
J’aime beaucoup Marseille, et j’espère sincèrement que cette distinction servira à métamorphoser la ville sur le plan culturel. Mais ce n’est pas gagné quand on voit qu’à Marseille, c’est surtout la culture OM qui l’emporte. Rendez-vous compte que Maupetit mis à part, il n’y a quasiment pas de librairie digne de ce nom alors qu’il en existe 2 en centre-ville à Dinan pour seulement 10 000 habitants. Bref, il y a du pain sur la planche. Croisons le doigts pour que cela fonctionne, et surtout pour que les initiatives soient pérennisées.
Cordialement.
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Bonsoir Fergus
je suis d’accord : la « culture »OM est parfois envahissante...mais Marseille rayonne aussi par ses paysages, son passé, son histoire...il faut la réhabiliter...Merci pour ce message... -
Et c’est dû à quoi à votre avis, Fergus et Rosemar ?
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Bonjour, Francesca.
Certainement pas à la seule présence des étrangers, si c’est ce que vous voulez dire. N’oubliez pas que Marseille, grand port méditerranéen, a toujours été cosmopolite. Or, Marseille était, dans les années 30 et 40, un haut lieu du spectacle, avec plusieurs scènes dont l’Alcazar était le fleuron. Certes, il s’agissait essentiellement d’une culture populaire, mais elle était omnipréssente dans la vie des Marseillais.
S’il faut chercher des responsabilités dans la dégradation, c’est surtout du côté des politiques et de leurs magouilles qu’il faut se tourner. La montée chômage a fait le reste en induisant progressivement une économie parallèle contre laquelle on n’a pas lutté pour faire la part du feu, style : j’abandonne la Belle de Mai mais on ne touche pas à Endoume et au Roucas Blanc.
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Bien sûr, Fergus, bien sûr.
S’il n’y a pas, je vous cite, quasiment (pas) de librairie digne de ce nom alors qu’il en existe 2 en centre-ville à Dinan pour seulement 10 000 habitants c’est parce que Marseille est une ville corrompue, bien sûr.Etes vous sûr que le cosmopolitanisme des années ’30-’40 soit comparable au cosmopolitanisme d’aujourd’hui ? Ce n’est pas spécialement très politiquement correct, je le comprend bien, mais c’est vous qui avez fait le constat. Vous pouvez y réfléchir sans à priori juste deux minutes ? -
Bonjour Rosemar,
J’ai appuyé sur la touche « ecouter en mp3 », et là quelle a été ma déception de ne pas entendre l’article avec l’accent marseillais .Et moi ce que j’aime dans Marseille, c’est la mesure, le fait que l’on n’est jamais dans l’exagération .Belle journée Rosemar-
Bonsoir fatizo
merci pour l’extrait de Pagnol ....mais là on est dans le folklore et les clichés....j’aime bien mais je préfère Giono qui évoque aussi la Provence, sans la caricature...L’exagération , la sardine qui a bouché le port ...oui,cela fait aussi partie des clichés sur Marseille et il y en a bien d’autres...Belle soirée... -
Il y a du boulot pour métamorphoser Marseille.
Il faut y vivre pour voir qu’elle est cradingue et gangrenée par la corruption le copinage, les trafics, le m’enfoutisme etc.Pas gagnée !-
Tu l’as dit ! vraiment très moche cette ville !
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Bonsoir juluch
hélas, je pense que la corruption et le copinage existent partout et ce n’est pas une spécificité de Marseille...on est encore dans les clichés.... -
moche, Marseille ?
avec ses calanques, ses côtes escarpées et pittoresques, la Méditerranée, les cigales ?etc etc. -
Dans les clichés ??
Hélas non......la triste vérité.Je le vois tous les jours et pourtant il y fait bon à Marseille.La mer le soleil les calanques, l’arriere pays......snif !! -
Bonjour, Le Chat.
Affirmer que Marseille est moche, c’est vraiment ne pas connaître cette ville. Outre la ville ell-même, il y a les calanques (comme l’a rappelé Rosemar), toutes marseillaises à l’exception de Port-Miou et Port-Pin. Sans oublier les îles du Frioul, à 15’ de bateau. Ou les hauteurs du Mont Puget d’où l’on domine toute la côte. Superbe !
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@fergus
évidemment , si tu vas dans les calanques , les îles du Frioul , Cassis etc etc
mais la ville elle même est très moche et très sale , j’y vais toutes les semaines .... -
Salut, Le Chat.
Tu confonds la saleté, bien réelle dans certains quartiers, et la beauté de la ville, bien réelle également. Mais je reconnais que du côté de la Porte d’Aix ou du métro Noailles (pour ne parler que du centre-ville), il y un véritable problème sur ce plan-là.
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Bonsoir ZEN
et oui peucheure comme on dit à Marseille ! On a bien du mal en lisant les commentaires à se débarrasser de certains clichés... -
Marseille, toute une culture qu’on a patiemment éliminée...
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Bonsoir
une culture qu’il faut réhabiliter : je pense aux peintres qui se sont intéressés aux paysages de Marseille, je pense aux vestiges qu’on a retrouvés sur le vieux port... -
Keny Arkana en a fait une chanson « Capitale de la rupture » ...
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Merci pour cette chanson que je ne connaissais pas mais pourquoi : capitale de la rupture ?
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car les modifications de la ville sont contre le mélange de culture qui à toujours été présent dans cette ville historique.
Les quartiers sont rachetés par des grands groupes (Euromed notamment), qui dégagent les gens qui ne correspondent pas (en terme de revenus notamment, en terme de manière de vivre aussi pour les ROM par exemple). La ville rejette toute la culture qui ne correspond pas à la culture marchande.
D’autre part, la ville se « militarise » par l’installation de nombreuses video surveillances, de ghetto pour riches qui se construisent en même temps que les moins riches s’entassent dans les ghettos populaires.
Expulsions, choc des cultures, ...
une explication de cette chanson ici
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à Marseille il faut aller chez Fonfon manger la bouillabaisse ou la bourride
c ’est top dans la calanquevery très bien !-
Bravo rocla !
c’est seulement à Marseille qu’on peut déguster une vraie bouillabaisse... -
J’connais Capt’ain ,juste à coté y a Fanfan ,y vend des tulipes ...
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On peut manger aussi une bonne bouillabaisse à l’Estaque...
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Juste Aïta , Fonfon la bouillabaisse et Fanfan la tulipe ...
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Salut, Capitaine.
Effectivement, c’est très bien chez Fonfon. Avec en prime une vue sur les pointus du Vallon des Auffes. Un peu cher toutefois désormais.
Bonne soirée.
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Oui Rosemar
à l’ Estaque les chichis et les panisses .L ’ Estaque un très joli quartier de Marseille avec son en haut , ses ruelles étroitesle port en bas , et tous les estaminets pour un plat du jour .La vie , la belle vie est un alliage d’ un peu cradingue et d’ un peu sublime .-
Voici la bouillabaisse à l’Estaque...
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plus bleue que la mer à Marseille tu meurs .
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T’ as pas vu Marseille t’ as rien vu .
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MERCI rocla pour ces déclarations d’amour à Marseille...
La Méditerranée et ses paysages : une merveille ! -
Spéciale dédicace du Capt’ain pour les aveugles marseillais !
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A propos de Marseille, je me permets de mettre en lien un article de 2009. Intitulé « Marseille : de la Grande peste aux Nuits Caroline », il met en lumière l’hôpital Caroline, un lieu que j’aime tout particulièrement, du moins lorsque les « gabians » (goélands) ne s’y montrent pas trop agressifs.
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Merci Rosemar pour cette adresse .
J’ irai sans doute y déguster un plat le mois prochain .En effet j’ ai loué un gite à Ensues la Redonne le mois prochain pendanthuit jours .Sneufeu passe par là , j’ irai en tchu-tchu .Encore un peu de rouille ?Bella vida .-
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Aïta , tu tires ou tu pointes ? ...
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Phocéa un joli nom pour une ville de beaucoup de villages .
Marcel Pagnol artiste des mots , des émotions a su reproduire l’ âme bon enfantde ses habitants .Une joie immense de vivre , avec deux bouts de ficelles et une charrette .As tu du coeur ?-
L’ aime tu la Marine Française ?
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Panisse - Ah ah ah, eh ben quoi, c’est à toi...
Escartefigue - Eh, je le sais bien, mais j’hésite.
César - Et alors, tu vas hésiter comme ça jusqu’à demain ?
Monsieur Brun - Allons, capitaine, nous vous attendons.
Escartefigue - Eh, c’est que la chose est importante. Ils ont 32, et nous, combien nous avons ?
César - 30.
Monsieur Brun - Nous allons en 34.
Panisse - C’est ce coup-ci que la partie se gagne ou se perd.
Escartefigue - C’est pour ça que je me demande si Panisse coupe à coeur.
César - Eh, si tu avais fait attention au jeu, tu le saurais si y coupe à coeur. Mais tu fais jamais attention.
Panisse - Ne te gêne plus ! Montre-lui ton jeu, pendant que tu y es !
Monsieur Brun - En tous cas, nous jouons à la muette. Il est défendu de parler.
Panisse - Et si c’était une partie de championnat, tu serais déjà disqualifié.
César - Écoute, Panisse, moi j’en ai fait plus de dix, des parties de championnat, et j’ai jamais vu une figure comme la tienne.
Panisse - Oh, toi, tu es perdu. Les injures de ton agonie ne peuvent pas toucher ton vainqueur.
César - Ton vainqueur... Regarde-le, celui-là... On dirait la statue de Victor Gelu !
Panisse - Je te répète que quand on joue on ne doit pas parler. Même pour dire bonjour à un ami.
Escartefigue - Mais je dis bonjour à personne. Je refléchis.
Panisse - Eh bien refléchis en silence.
César - Il a raison, tu n’as pas besoin de parler... (signes)
Panisse - Et puis je te prie de ne pas lui faire de signes. Tu ne dois regarder qu’une seule chose : ton jeu. Et toi aussi... Si vous continuez à faire des grimaces, je fous les cartes en l’air et je rentre chez moi !
Monsieur Brun - Ne vous fâchez pas, Panisse, ils sont cuits !
Escartefigue - Moi, je connais très bien le jeu de la manille, et je n’hésiterais pas une seconde si j’avais la certitude que Panisse coupe à coeur.
Panisse - Ils continuent à faire des grimaces ! Tenez, monsieur Brun, surveillez Escartefigue, moi je surveille César.
César - Comment, tu me fais ça à moi, un camarade d’enfance à toi ? Je te remercie.
Panisse - Oh, je t’ai fait de la peine, je te demande pardon.
César - Non, tu me fais plaisir ! Tu me surveilles comme si j’étais un scélérat, un bandit de grand chemin. Tu me fais plaisir, merci... Tu me fends le coeur...
Panisse - Allons, César...
César - Y a pas d’allons César. Tu me fends le coeur... J’ai le coeur fendu par toi... Tu me fends le coeur... Et alors, nous ne jouons plus ? A moi y me fend le coeur, à toi y te fait rire, alors, à toi y te fait rire ?
Escartefigue - Ah ! Très bien, compris ! Té, coeur, hé !
Panisse - Est-ce que tu me prends pour un imbécile ? Tu as dit : « Y me fend le coeur » pour lui faire comprendre que je coupe à coeur... Et alors il joue coeur, parbleu ! Tiens, tiens, les voilà, tes cartes, hypocrite, tricheur ! Je ne joue pas avec un grais. Siou pas plus fada que tu, sas ! Faut pas m’y prendre por un aoutré. Siou Mestre Panisse. Et sies pas prou fin per m’aganda. Tu me fends le coeur, tu me fends le coeur...
César - Tout de même, ce Panisse, qué caractère !
Monsieur Brun - Cette fois, je crois qu’il est fâché pour de bon !
César - Il a tort, monsieur Brun.
Monsieur Brun - Il a eu tort de se fâcher, mais vous avez eu tort de tricher.
César - Écoutez, monsieur Brun, si on peut plus tricher entre amis, ben c’est pas la peine de jouer aux cartes, alors... En attendant, il s’est arrangé pour vous laisser les consommations à tous les deux.
Monsieur Brun - Comment à tous les deux ? à tous les trois...
César - Qui ça tous les trois ?
Monsieur Brun - Nous jouions ensemble... Vous, moi, et le capitaine.
César - Le capitaine ? Qué capitaine ?
Escartefigue - Eh ! Moi !
César - Ah ! Escartefigue, le capitaine,du ferry boate ! Ah bon... Et si nous faisions une manille aux enchères pour savoir qui paie les consommations ?
Escartefigue - D’accord. A qui à faire ?
César - À toi, eh, capitaine.
Escartefigue - Allez, coupe, César.
César - Allez joue. 30.
Monsieur Brun - 31.
Escartefigue - Dis César, qui est-ce la maîtresse de Marius ?
César - Oh je n’en sais rien, nous n’en avons parlé qu’une fois, comme ça, vaguement, j’ai pas insisté tu comprends. C’est des choses délicates ça. Il est grand ce petit. 32... Seulement moi je soupçonne que c’est la femme d’un navigateur.
Escartefigue - Pourquoi ?
César - Parce qu’il va passer toute la nuit chez elle, ça prouve que le mari ne rentre pas tous les soirs. 35.
Monsieur Brun - 36.
Escartefigue - 37.
César - Et puis... 37 ? Et puis tout le monde sait bien que c’est dans la marine qu’il y a le plus de cocus. 40.
Escartefigue - Comment ?
César - Je dis : tout le monde sait bien que c’est dans la marine qu’il y a le plus de cocus. Tu entends pas ? 40, par 4.
Qu’est-ce qu’il a ? Tu mets la veste, tu as froid ? Mais qu’est-ce qu’il a ? Qu’est-ce que vous lui avez fait, monsieur Brun ?... Ah, c’est parce que j’ai dit que dans la marine y avait... Eh bien, je t’ai fait de la peine, je te demande pardon.
Escartefigue - Et à qui tu demandes pardon ? Au marin, ou au cocu ?
César - Eh à tous les deux, voilà...
Escartefigue - Et tu crois qu’il suffit de t’excuser en souriant ?
César - Oh, je t’en prie, Félix, ne te fâche pas. Je sais très bien que si tu es cocu, c’est pas de ta faute. Mais tout le monde le sait que tu es cocu, c’est pas un mystère.
Escartefigue - Monsieur Brun ne le savait pas !
César - Et c’est lui qui me l’a dit, voyons ! Et puis à Marseille, quand on parle d’un cocu on dit Escartefigue !
Escartefigue - Bon, que je sois cocu, ça te regarde pas. Mais je te défends d’insulter la marine française. Et après la phrase que tu viens de prononcer, je ne peux plus faire la partie avec toi.
César - Mais écoute Félix...
Escartefigue - Je n’écoute rien. Je me présenterai ici demain matin pour recevoir tes excuses. Bonsoir monsieur Brun.
Monsieur Brun - Allons, capitaine...
César - Bon, tu veux des excuses, eh bien moi je te les fais tout de suite, là...
Escartefigue - Non. J’exige des excuses refléchies. Il faut que tu te rendes compte de la gravité de ce que tu as dit.
César - Mais Félix ne sois pas bête par-dessus le marché.Mais c’est des paroles en l’air, ça. Moi j’ai pas l’intention d’insulter la marine française. Je l’admire, la marine française, moi je l’aime !
Escartefigue - Il se peut que tu aimes la marine française. Mais la marine française te dit merde.
Monsieur Brun - Oh...
César - Mais qu’est-ce qu’il a voulu dire par là ? Monsieur Brun, moi je vais vous le dire : Escartefigue, c’est un grossier.
et être disqualiffffié c’ est énorme
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La partie de cartes : toute une légende aussi !
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L’écrit ajoute encors à la qualité de ce dialogue .
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Pour faire avancer la musique, rien de telle que les honneurs, à ce que l’on aime aujourd’hui les honneurs, sa lave plus blanc que le bon savon de Marseille.
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Et oui merci de ce rappel soi même : il ne faut pas oublier le savon de Marseille réputé dans le monde entier, comme chacun sait... !
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le petit Marseillais est fabriqué à Dijon !
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Nous le savons de Marseille .
D" autres le savent d’ ailleurs .L’ important est d’ être propre sur soi , comme au figuré .Fan de chichourle !-
Excellent rocla comme d’habitude !!
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Navette de Marseille :
Ingrédients500 g de farine,
200 g de sucre,
75 g de margarine,
3 oeufs,
50 ml d’eau de fleur d’oranger,
50 ml d’eau
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ET on mélange le tout sous les aisselles ?
Meme en tant qu’homme faut-il s’épiler, avant, les instruments de travail ?
N’en v’la des questions ! -
la fille du puisatier , le Château de ma mère ,
des odes au bonheur de vivre .-
La description du bonheur à une époque où l’ argent avait pas encore
pris le dessus .Des plaisirs très simples de la vie , comme l’ eau claire de la fontaine .-
On prenait le ferry-boate .
Le ferry b o a t e .-
@ Rocla.
Le ferryboite n’est plus ce qu’il a été, peuchère. Le pôvre Escartefigues doit s’en retourner dans sa tombe, fan de chichoune !
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Fergus ,
Nous sommes d’ un âge déconnectés un peu de la vie de maintenant ,c ’était trop beau la vie d’ alors , même enfleurie par Marcel .L’ important n’ est il pas une jolie romance contre la réalité obscène ? -
Château Gombert , Le vieux Port , la canebière , le Quai des Belges ,
la Jolietterien que pour vos yeux .-
La piz de la camionnette du p’ tit Louis , délicieuse avé ses anchois et ses olives
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La Bonne Mère ... elle est pas belle la Bonne Mère ?
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Les pointus
La poupe (arrière) est pointue alors que la proue (avant) se termine par une extrémité d’étrave caractéristique, le « capian », et peut être prolongée par un éperon ou « mourre de pouar » (museau de cochon en provençal). Le terme de pointu apparaît àToulon, synonyme de « Rafiaus » (et non de rafiot). À Marseille on parle d’abord de barquette marseillaise avec les bateaux d’André Ruoppolo, construits de 1880 à 1967, qui servent à la pêche à la palangrotte ou au filet.-
Je reste néanmoins à dire que les anciens Marseillais sont bon enfants .
Des gens simples et magnifiques .-
S’ asseoir sur le devant d’ un bar à Marseille , vue sur l’ eau bleue , un pastaga ,
regarder passer la génération montante moulée roulée , quel régal .Freud et tes copains vous pouvez remballer .-
Marseille c’ est un peu un genre de patron de la mer méditerranée .
La taquetique de l’ Estaque .-
Vous en connaissez des acteurs comme Raimu ?
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Bsoi Rosemar,
Antonin Artaud, Maurice Béjart,
natifs de Marseille, happés par la capitale et leur fulgurant succès
créateurs emblématiques voire inégalés dans leurs domaines respectifs,
l’a t on déja oublié ?
la ville ne devrait elle pas célèbrer leur talent, durant ces festivités ?
Marcel Pagnol, brillant et séduisant lors de sa jeunesse s’est discrédité, par la suite, en caricaturant la ville et ses habitants, un talent gâché.
La cité sait se montrer accueillante auprès de certains visiteurs, se laissant parfois aller à qques
confidences, souhaitons les nombreux afin de démentir les mauvaies réputations et qu’elle retrouve tout son éclat.-
massilia delanda est !
la ville est perdue ces festivitées vont etres payées par les 38%qui paient l’impot à marseille par ceux qui paient le gaz et l’electricité à l’inverse de quartiers entiers ou n’entrent plus ni policiers ni facteurs ni agent edf ,par ceux qui paient les bus et metros ou malgrés
la distribution genereuse et anarchique de pass gratuit monter sans payer est dans l’ordre des choses pour des tribus entiere .Quelle ville magnifique ou dés le jolis mois de mai des rezzou partent depuis arenc direction les plage par le 19 et fauchent pillent agressent tout ce qui est blanc de 7 a 77 ans.Quelle ville magnifique ou les friqués et les intellos cucultureux vivent dans deux arrondissement voutant la concentration des 200 policiers municipaux ? Laissant des territoires entiers sous khalifat venez vister les 15 e 14 11 arrdt
il y des rues relevant de mogadishio.Allez au urgence à la conception vous y verrez qui regnes en maitres. La racaille des quartiers plus la racailles bourgeoises intello politiques de marseille gangrenent cette ville , les gens se tirent les commerces fermes les travailleurs
qui ne peuvent partir survivent juste tolerés et ostracisés sur leur sol ! Je conchie toute l’inteligenstia boboiste thurifaire d iam et autre akenaton je la met au defi de venir vivre dans l’enfer de nos zus ! ou samus. et pompiers n’ interviennentque protégés par les flics et avec l’aval du consul d’algerie.Désolé Rosemar je vous sais humaniste mais ces fetes ne sont que la maquille outrancier d’une vieille putain verolée et malgrés les lampions et les flon flon du bal regne une odeur de putréfaction et d’émeutes en devenir.
Asinus : et in massilia ego-
PARIS suit ce même mouvement, lentement mais sûrement. Encouragée par la politique du logement social de Delanoe donnant la priorité aux immigrés africains sur les français (jeunes notamment) l’alliance bobo et racailles devient de plus en plus patente. Les fils de achètent la came et contribuent à la prospérité des caïds des cités. A côté, le Maire des bobos multiplie les spectacles pseudo culturels qui servent surtout les intérêts d’artistes copains au talent usurpé et qui occupent des bobos oisifs en mal de consommation d’expos payés par les contribuables.
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oui Marseille , c’est aussi ça ! St Jerôme by night , ça craint un max !
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La vérité pour ceux qui vivent Marseille et ceux qui viennent et repartent
est pas la même .Un peu comme le bien portant parlant des maladies .La corniche et les arrondissements sont pas pareils .-
Faconde et exagération n’auront pas été absentes de ces commentaires
décidément tout y est ! Même vous rosemar vous usez d’un peu trop delyrisme ! (hihi)Té, vé, quitte à jouer les pisse froid comme Môssieur Brun, j’en dirai pasplus ! Marseille capitale ? mais qué ? c’est une galéjade !noodlesUn écrivain marseillais tardif : jean-claude Izzo-
MARMOR 15 janvier 2013 11:58Marseille fut tout ce que vous dites, c’est du passé...
Marseille fut cosmopolite, c’est maintenant une ville arabe. Je n’ai pas reconnu le boulevard Belsunce (Alcazar), ni la cannebière, ni la rue st ferreol, ni le vieux port. Le marché de la joliette est un souk, et je ne parle pas des quartiers nord.....
Ce que vous décrivez, c’est le Marseille d’il y a 50 ans, l’image d’epinal magnifiée par Pagnol. Vous verrez des gens qui font « bonne figure », mais pas parcequ’ils sont contents, seulement parcequ’ils ont peur. Même les voyous marseillais et corses ne font plus la loi et baissent la tête. Ceci est aussi valable pou Aix, Avignon, Nimes, Arles, Lunel, Orange, etc...où on ne parle plus le provençal, remplacé par les dialectes du sud....
Ce n’est qu’un constat.......
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