Mme Dati en couverture de Paris-Match : les fonctions de l'information indifférente

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Tandis que, pour pressurer leur peuple, les banques attaquent financièrement les États européens qui les ont sauvées de la faillite, qu’a choisi Paris Match de mettre en couverture, le 13 mai 2010 ? Une scène banale de famille empruntée à l’album de Mme Dati où elle s’exhibe en train de faire joujou avec sa fille. Cette information indifférente qui relate les faits et gestes insignifiants d’une star, semble bien être un leurre de diversion pour détourner l’attention des lecteurs du magazine de la guerre financière qui fait rage et les menace dans leurs moyens d’existence.

Une mise en scène aux leurres trop apparents

On reste toutefois surpris qu’une scène aussi insipide puisse être choisie pour capter l’attention du client potentiel. Y a-t-il même, en effet, stimulation du réflexe de voyeurisme par cette apparente intrusion dans la vie privée de l’ancienne ministre ? Qui peut être intéressé par cette mise en scène qui respire à ce point l’affectation ? Peut-on céder a fortiori à un réflexe d’attendrissement devant ce symbole stéréotypé de la relation privilégiée entre une mère et son enfant ? Mme Dati fait d’ailleurs seulement semblant d’ignorer l’objectif du photographe pour donner à l’information une apparence de fiabilité, comme si elle était surprise dans ce moment d’intimité avec sa fille, selon le leurre de l’information donnée déguisée en information extorquée.

Car, même si elle ne plante pas son regard dans celui du lecteur et le laisse errer de côté, elle n’en délaisse pas moins sa fille pour se retourner vers lui, montrant ainsi qu’il l’intéresse davantage que sa fille qui n’est là, tout compte fait, que pour lui servir de décor et de faire-valoir. La métonymie de la mère affectueuse jouant, accroupie, comme toutes les mères avec sa fille s’oppose, en fait, au procédé amorcé de l’image mise en abyme qui offrant un simulacre de relation interpersonnelle prend le lecteur à témoin de sa pantomime. Même son sourire est figé, forcé.

Le symbole d’une descente aux oubliettes interrompue ?

Ce profil diffère assurément de celui que Paris-Match a promu dans le passé quand Mme Dati paradait, le 6 décembre 2007, en robe de haute couture, au faîte de sa splendeur de ministre de la justice et d’amie très proche du président de la République. Quand on rapproche les deux photos, on est tenté de voir un symbole dans le passage de la tenue d’un mannequin, riant aux anges debout en représentation, à la posture à croupetons de la mère faisant semblant de jouer avec sa fifille. Est-ce seulement le double visage d’une femme dans ses deux activités professionnelle et maternelle ou faut-il y voir, de la station debout à la position accroupie, le symbole d’une descente inexorable de la gloire vers les oubliettes que le magazine aiderait l’intéressée à interrompre ? Les titres choisis résonnent comme des slogans d’une campagne publicitaire : « RACHIDA DATI, UNE NOUVELLE VIE – En politique , l’engagement pour les jeunes ; en privé, la tendresse avec Zorha. Portrait d’une femme de pouvoir ».

Deux raisons plausibles d’une promotion inattendue

Il reste qu’on s’interroge sur les raisons de cette nouvelle promotion inattendue. Les fans de Mme Dati seraient-ils à ce point nombreux pour faire d’elle un produit d’appel susceptible de stimuler les réflexes d’attiranceet d’identification qui conduisent à la pulsion d’achat de l’hebdomadaire et à l’accroissement des ventes ? C’est possible. Mais on ne peut écarter d’autres raisons plus politiques.

- La preuve vivante d’absence d’ethnisme anti-musulman

En plein débat sur l’opportunité d’une loi sur la burqa, l’ami du président de la République, propriétaire de Paris-Match, n’a-t-il pas eu pour mission de participer à une contre-campagne visant à valoriser, comme il l’a déjà fait dans de précédents numéros, une icône venue de l’immigration maghrébine qui a « réussi » en adoptant les moeurs européennes ? Mme Dati est manifestement « l’anti-burqa » par excellence, vu son goût de la mode européenne et son statut de mère-célibataire qui est ici mis en scène de façon ostentatoire. Ce faisant, la célébration de « sa réussite » est avancée comme une preuve vivante de toute absence d’ethnisme anti-musulman dans le projet d’interdiction de la burqa sur tout l’espace public.

- L’indice du retour en grâce d’une collaboratrice à ménager

On ne peut pas non plus ne pas songer à une autre raison inspirée de la querelle où des proches du président de la République l’ont mise en cause dans la propagation de rumeurs qui visaient le couple présidentiel. Mme Dati y avait mis un terme en deux phrases prononcées un matin sur RTL, le 7 avril 2010, et reprises quasi mot pour mot dans le quotidien espagnol El Pais, le 30 avril : 1- elle faisait une différence entre le président et son entourage qui avait cherché à la détruire, avait-elle dit en substance ; 2- et surtout, elle n’avait peur de rien ! Le soir même, l’épouse du président en personne, Mme Bruni-Sarkozy, était dépêchée à Europe 1, la radio du propriétaire de Paris-Match, pour mettre un terme aux hostilités et déclarer que Mme Dati restait l’amie du couple présidentiel.

Cette couverture de Paris-Match, offerte par l’ami du chef de l’État, n’est-elle pas une manière de manifester le retour en grâce de celle dont on disait qu’elle était tombée en disgrâce ? Soupçonnée par l’hebdomadaire Le Point de connaître bien des secrets du fait de son activité aux côtés de M. Sarkozy comme directrice générale adjointe au conseil général des Hauts-de-Seine, chargée des marchés publics, de 2004 à 2005, elle disposerait d’une force de frappe qui justifierait qu’elle affirmât n’avoir peur de rien, et qu’on la ménageât. (1)

Ainsi, parce qu’elle est par nature anodine et ne contrarie les intérêts de personne, « l’information indifférente » peut-elle remplir paradoxalement des fonctions stratégiques diverses, comme le montre cette couverture de Paris-Match. À la façon d’une fusée à têtes multiples, elle viserait ici au moins trois objectifs : elle servirait d’abord de leurre de diversion en période de guerre financière sauvage qui s’en prend aux conditions d’existence même des peuples d’Europe. Elle offrirait ensuite simultanément un contre-feu pour neutraliser les accusations d’ethnisme anti-musulman portées contre le projet de loi qui prévoit d’interdire la burqa sur tout l’espace public, malgré l’avis contraire du Conseil d’État lui-même. Enfin, il n’est pas impossible que cette promotion gratuite offerte à Mme Dati soit une marque d’attention tendant à rendre crédible le retour en grâce d’une collaboratrice qui connaît trop de secrets pour être méprisée, comme elle l’a été inconsidérement par certains conseillers de l’Élysée. Paul Villach

(1) Le Point, « L’extravagante Mme Dati », n°1891 - 11 décembre 2008

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19 réactions à cet article

Yann Amare 22 mai 2010 19:47

Faudrait voir la tronche déconfite (elle était colère) de la Dati quand on lui a retiré sa voiture de fonction avec chauffeur et gardes de corps (qu’elle avait gardé on ne sait pourquoi), ça fera toujours ça d’économisé...Sinon vivement qu’on en entende plus parler de cette greluche totalement inintéressante et même pas belle (la connerie ça amochit c’est bien connu)...

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Jojo 22 mai 2010 13:44

M. Vivi M. Lalach [*1*],

Voilà, j’estime que vous devriez écrire plus souvent. Si si.

Et pas que sur AV, en fait vous devriez écrire sur au moins deux [*2*] sites différents. AV évidemment pour l’essentiel (désolé pour mon égoïsme mais je ne suis pas prêt à renoncer facilement à vos lumières), en revanche une fois de temps en temps mais alors très rarement hein… d’une manière exceptionnelle (je vous aurai prévenu), je pourrais (en faisant un gros effort), consentir avec renoncement et noblesse à laisser partir (la larme à l’œil), un de vos articles sous d’autres cieux.

Ainsi d’autres que moi pourraient en profiter en …ex-clu-si-vi-té.

Pardon ? Lesquels d’articles dites-vous ?

Ouh là ah mais je n’en ai pas la moindre idée moi, tiens au hasard (sans réflexion aucune et juste parce que je ne m’attendais pas à la question), tous les articles avec les mots clés PARIS capitale de la culture ou MATCH de football… .

[*1*] Al Mansour a vu en rêve que toutes ses dents tombaient. Ayant mandé le meilleur spécialiste du coin en interprétation, il lui fût dit ceci : Vous allez perdre un à un tous vos proches.

Fou de rage, il expulsa l’indélicat exigeant qu’on lui ramenât un autre « savant » pour un deuxième avis. Ce dernier lui fit alors l’annonce suivante : Vous vivrez très longtemps et survivrez à tous les vôtres…

[*2*] IL N’Y A [*3*], QU’UN SEUL PAUL VILLACH

[*3*] Dieu merci.

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- morice 22 mai 2010 14:13
  
  Paul, avez-vous vu ce que j’ai proposé en modération sur l’image de Strauss-Kahn vu par le Figaro ? il y a là sujet à un bel article, je pense. Comme le dit Jojo, qui rate de se moquer, continuez oui, plutôt et laissez la meute vous assaillir : c’est aussi la rançon du succès... quant à « Jojo », on va lui dire d’aller se faire voir ailleurs : il sait très bien d’où ; il en vient....
  
  lui qui aime tant les synonymes.. on pourrait très bien lui en attribuer un de sa liste...
  http://www.agoravox.fr/auteur/jojo?debut_bestof=5#pagination_bestof
  
  « Après tout il n’y a pas mort d’hommes, alors arrêtez de nous souler avec ça. Et pendant que vous y êtes veuillez demander à vos lecteurs de parler d’autre chose merci. »
  
  c’est vrai, ça en France on a le DROIT de tirer à la Kalachnikov, c’est bien connu et de tuer des policiers aussi je parie...
  
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  - brieli67 22 mai 2010 14:35
    
    aH ces noms d’Artistes...
    
    C’est pas Pôôôôôôl, ................................ c’est Pierre !!
    
    et Villach ne se dit pas willak
    
    LAlalala laaaaaaaaaaaaaaaaaaaa
    
    à Villach la Fête à partir du premier du mois d’Août
    on compte sur votre présence
    
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  - Jojo 22 mai 2010 17:07
    
    Morices,
    
    Primo rapport à votre invitation à aller me faire voir ailleurs, j’y travaille patience
    
    « il sait très bien d’où ; il en vient.... »
    
    Non non je vous assure je ne sais pas du tout et si vous m’affranchissiez, d’où est-ce que je viendrais au juste ? Un illustre membre de votre non moins illustre confrérie aurait-il repéré dans mes favoris, quelque honteuse officine, des amitiés inavouables ou que sais-je encore ?. A moins que … nooooon pas mes copains néo-nazislamisto-négationnisto-khmer-rougo tendance moricide si ? (Gardez-là au frais, une confession comme ça, ça peut toujours servir n’est- ce pas)
    
    Pour ce qui est de votre insinuation (car c’en est bien une, vous direz à d’autres que mon com pouvait prêter à confusion), bref comment dire… non même pas.
    
    Une dernière chose, j’ignore si vous êtes des barbouses, mais ce que je sais par contre c’est que vous êtes autrement plus moches que la DGSEuse du billet d’hier. Pour tout dire je pense aussi qu’elle doit être beaucoup plus futée que vous tous réunis (un euphémisme ).
    
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  - l’homme pressé 22 mai 2010 14:13
    
    Villach, l’homme qui sait tout sur tout
    
    qui n’a jamais réalisé la moindre interview ni séance photo, mais qui sait néanmoins :
    - absolument tout des pensées de l’interviewée et du photographe,
    -absolument tout sur les messages que Match voulait y faire passer et donc sur celui qu’il fallait faire passer dans les photos,
    - et absolument tout, cerise sur le gâteau... sur les fonctions de contre-feu vis-à-vis de la crise monétaire, de la burka et celle de signalisation quasi-officielle de la fin de la disgrâce de l’intéressée, fonction affectées à cet article dans un journal qui - nul ne l’ignore, évidemment - est le fer de lance de l’influence politique gouvernementale (sarkozyste, si tu préfères) sur le bon peuple de France.
    
    Le tout saupoudré des habituels leurres, information donnée et information extorquée, côtoyant l’inénarrable information indifférente - qui n’est autre que l’information n’intéressant pas Sa Sublime Gonflitude - information qui donc se devrait de n’intéresser personne, bordel de D... ! puisque le Grand Maître vous le dit.
    
    Sauf que, par un entêtement tout de même bien agaçant, le bon (?) peuple s’obstine à ne considérer l’information qu’au travers des prismes déformants de TF1, Match et autres VSD et torche-balles assimilables.
    
    Villach, tu devrais fréquenter davantage le peuple : tu comprendrais mieux ce qu’il peut attendre de medias comme ceux que tu cites. Tu verrais que ça sert juste à alimenter les conversations autour de la machine à café, et surtout pas à construire une pensée politique.
    Match et consorts, c’est pas de l’info c’est du produit de consommation : du jetable qu’on oublie presque aussitôt après l’avoir lu, telle la littérature de gare.
    
    Villach ou l’art de disserter sur le futile, étaler ses parti pris (à cet égard ton billet d’humeur sur la burka était un régal. Bravo, j’ai apprécié en connaisseur)
    
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    - morice 22 mai 2010 14:17
      
      « Villach, l’homme qui sait tout sur tout »
      
      non, mais c’est mieux que celui qui poste pour ne rien dire, je trouve.
      
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      - l’homme pressé 22 mai 2010 14:35
        
        Morice, ton commentaire ne manque pas de sel, surtout quand on le rapproche de celui que tu as posté juste avant.
        
        Allez, retourne à ta saga sur la CIA et laisse les grandes personnes
        
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      - morice 22 mai 2010 14:50
        
        Allez, retourne à ta saga sur la CIA et laisse les grandes personnes
        
        si vous saviez...
        
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      - rocla (haddock) 22 mai 2010 14:22
        
        c ’est mieux que Morice qui lui sait tout sur rien .....
        
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        brieli67 22 mai 2010 14:41
        
        Ne pas troubler Meischder Beck les artistes !
        
        Wenn’s beleeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeebt !!
        
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        Il est leurre 22 mai 2010 16:23
        
        Bonjour Maître,
        
        il y a quelques temps déjà, vous m’avez apostrophé avec votre ton méprisant habituel en me disant qu’à force de lire vos articles j’y apprendrais quelque chose.
        
        D’autre part, et lors de plusieurs de vos articles, vous avez critiqué le bas niveau des français, sans doute là également du haut de votre expérience d’enseignant.
        
        Et bien M. Villach, vous allez êtreheureux car j’ai appris quelque chose. Je sais en effet pour quoi le niveau des Français est si bas et la faute vous en revient.
        
        Comment en effet, et venant d’une personne qui affiche son CV de manière aussi prétentieuse que sa photo, peut-on laisser passer l’ignominie grammaticale de votre première phrase (je n’ai pas lu les autres, vous comprenez pourquoi) :
        
        "Tandis que, pour pressurer leur peuple, les banques attaquent financièrement les États européens qui les ont sauvées de la faillite, qu’a choisi Paris Match de mettre en couverture, le 13 mai 2010 ?
        
        1°) Pourquoi donc un point d’interrogation, puisque vous ne demandez rien, ce qui est d’ailleurs une habitude chez vous qui savez tout.
        
        2°) Depuis quand les banques ont elles un peuple ?
        
        3°) Cette phrase est un vrai charabia incompréhensible et indigne d’un enseignant.
        
        C’est donc ce Français là que vous avez enseigné ? Je comprends dès lors bien mieux.
        
        Vous êtes un cancre M. VIllach, comme d’ailleurs bien souvent les gens prétentieux qui n’ont que ce vernis hautain pour se protéger.
        
        Ce n’est pas du harcellement M. Villach, mais une simple constation.
        
        Je vous remercie toutefois de ne pas me faire regretter le fait de ne pas avoir suivi de hautes études, cela ne m’aurait guère fait progresser vu le niveau des enseignants eux-mêmes.
        
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        Il est leurre 23 mai 2010 07:57
        
        @Chanteclerc, je comprends que vous teniez à défendre un collègue, ce qui renforce le côté inquiétant pour les enfants, le côté corporatiste l’emportant sur la connaissance.
        
        Vous dites que je n’ai pas compris et que cette phrase est parfaite :
        
        " Tandis que, pour pressurer leur peuple, les banques attaquent financièrement les États européens qui les ont sauvées de la faillite, qu’a choisi Paris Match de mettre en couverture, le 13 mai 2010 ? Tandis que ..... Les banques :
        Quel est le lien entre le peuple et les banques ?
        
        Le « Tandis que » est inapproprié et aurait du être « Alors que » « qu’a choisi Paris Match de »
        
        Là également il manque l’élément de comparaison obligatoire dans ce genre de phrase.
        
        La phrase Villachienne, appuyée par Chanteclerc :
        
        « Tandis que, pour pressurer leur peuple, les banques attaquent financièrement les États européens qui les ont sauvées de la faillite, qu’a choisi Paris Match de mettre en couverture, le 13 mai 2010 ? »
        
        La même en Français : Alors que pour pressurer leur peuple, les banques attaquent financièrement les États européens qui les ont sauvées de la faillite, qu’est-ce qu’a choisi (ou qu’a donc choisi) Paris Match de mettre en couverture, le 13 mai 2010 ?
        
        Je ne vois toujours pas le lien entre les banques et cette couverture, mais bon, si cela lui fait plaisir.
        
        Il n’est pas question d’aveuglement Chanteclerc, mais quand on veut être respecté, il faut être respectable, surtout quand, comme l’auteur, on est un grand donneur de leçons, et que de plus on arbore un profil d’enseignant , qui il est vrai, est le gage d’une relative éducation, mais obligatoirement d’une quelconque intelligence, et encore moins talent.
        
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        Il est leurre 22 mai 2010 16:49
        
        Puisque vous m’avez appris quelque chose maître, à mon tour :
        
        "Cette couverture de Paris-Match, offerte par l’ami du chef de l’État, n’est-elle pas une manière de manifester le retour en grâce de celle dont on disait qu’elle était tombée en disgrâce ?"
        
        C’est de la diffamation pure car une affirmation sans preuve, mais vous ne risquez rien, personne ne vous lit, du moins dans ces sphères.
        
        Au lieu de critiquer ce journal, vous feriez mieux d’y postuler pour un emploi, cotre profil devrait leur convenir.
        
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        voxagora 22 mai 2010 19:03
        
        Une photo, c’est une fraction de seconde.
        Qu’aurait-on vu une seconde avant, et une seconde après,
        qui aurait peut-être infirmé vos propos sur la mère qu’elle serait ?
        
        Sans le contexte, rien ne sert de développer : une photo, ça peut mentir.
        
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        Clouz0 22 mai 2010 19:20
        
        Villach, c’est un peu notre Léon Zitrone.
        
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        65beve 22 mai 2010 21:14
        
        Qui est cette Mme Dati ?
        
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        curieux 22 mai 2010 21:55
        
        Dati, c’est celle dont il est question dans l’article : Prostitution étudiante : rencontre avec une vieille « escort-girl »
        
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        Mireille 23 mai 2010 17:01
        
        P’tain il est grave cet article
        
        Bah
        
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