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Accueil du site > Tribune Libre > Nicolas Sarkozy, ce Président visionnaire que le monde entier nous envie (...)

Nicolas Sarkozy, ce Président visionnaire que le monde entier nous envie !


 
Avant Nicolas Sarkozy, en effet, rien de vraiment grand n’avait été accompli en France, ni politiquement et économiquement, ni diplomatiquement… Même De Gaule n’a été grand que pour avoir préparé l’avènement de Saint Nicolas. Quant à Chirac, Mitterrand, Giscard et même Pompidou, ce n’était que des nains comparés à Lui.
 
Notre Président est le symbole même de la grandeur, de la dignité, de l’honnêteté et de l’authenticité. Il en faisait ainsi le serment avant son élection : « Je sais le fossé qui s’est creusé entre la classe politique et les Français. Je sais le désamour vis-à-vis des partis et des responsables politiques. Je sais la méfiance. Je sais que chacun se demande si je vais tenir. Alors, je prends l’engagement devant vous de tout dire avant l’élection parce que je veux tout faire après.
La raison de la crise politique française est simple : la vie politique française manque d’honnêteté, de vérité, d’authenticité et de sincérité. Je suis comme je suis. Je ne mentirai pas, je ne trahirai pas, je ne me déroberai pas (…) Je dirai tout aux Français avant parce que j’ai pris l’engagement de tout faire après ».
 
Quelle autre homme ou femme politique a déjà fait une aussi belle promesse à notre Nation ? Je sais que d’aucuns, par esprit de polémique, diront : mais les autres hommes et femmes politiques n’avaient pas de problème avec la vérité et l’honnêteté, donc ne promettaient rien dans ce domaine. Laissons-les polémiquer.
 
Saint Nicolas Sarkozy n’est pas bon seulement pour la France, il l’est aussi pour le monde. En témoigne sa déclaration urbi et orbi, dans la nuit de son élection, juste avant qu’il ne rejoigne les représentants du peuple au Fouquet’s : « Le président de la République doit aimer tous les Français. Ma pensée va donc à tous les Français qui n’ont pas voté pour moi. (…). Je veux leur dire que je serai le président de tous les Français, que je parlerai pour chacun d’entre eux. (…) Ma priorité sera de tout mettre en œuvre pour que les Français aient toujours envie de se parler, de se comprendre, de travailler ensemble. Le peuple français a choisi le changement… ; je le mettrai en œuvre parce que c’est le mandat que j’ai reçu du peuple. (…). Mais je le ferai avec tous les Français. Je le ferai dans un esprit d’union et de fraternité. Je le ferai sans que personne n’ait le sentiment d’être exclu, d’être laissé pour compte. (…).
Je veux lancer un appel à tous ceux qui, dans le monde, croient aux valeurs de la tolérance, de la liberté, de la démocratie, de l’humanisme, à tous ceux qui sont persécutés par les tyrannies et les dictatures. Je veux dire à tous les enfants à travers le monde, à toutes les femmes martyrisées dans le monde, je veux leur dire que la fierté, le devoir de la France sera d’être à leurs côtés ».
Ne sommes-nous pas sous le régime de la concorde et dans l’union sacrée, comme prévu, depuis mai 2007 ? Notre pays n’est-il pas effectivement plus beau, plus prospère, plus égalitaire, plus humain, et aux côtés des déshérités de la terre, aujourd’hui ? Notre chef vénéré, honorant ses promesses, ne s’est-il pas rendu, tout de suite après son élection, dans un pays des plus déshérités de la terre, le Gabon d’Omar Bongo ? Le premier hôte de marque de son règne ne fut-il pas le chef d’un des pays les plus arides de la terre, la Libye ? Que demander de plus ?
Son honnêteté et son impartialité, il les a amplement illustrées dans l’épisode dit de l’EPAD. En effet, alors que ces prédécesseurs nommaient leur progéniture à des postes importants de manière officieuse, sa Sainteté ourdit l’intronisation du dauphin Jean au vu et au su de tous. Et il y a eu des esprits chagrins pour crier au favoritisme et au népotisme, sabotant une manœuvre de toute clarté. Quelle ingratitude chez nos compatriotes ! Le leader Maximo n’a agi pourtant que pour le bien du pays. Il voulait juste préparer l’héritier à occuper plus tard la plus haute fonction de l’État. Il sait bien que « bon sang ne ment jamais ». Effectivement, si lui-même, avec ce sang, à moitié hongrois, a pu devenir, en l’espace d’une génération, Président de la République, à coup sûr, le dauphin ne pourra que le devenir plus facilement, lui qui est à sang pour sang français. Quelle autre preuve de la méritocratie républicaine voulons-nous ?
 
Pareillement, alors que ses prédécesseurs désignaient leurs amis, à travers des commissions indépendantes bidon, à la tête des entreprises d’État et l’audiovisuel public, sa majesté a fait voter clairement une loi lui permettant de mettre ses amis indépendants et compétents aux postes qu’il souhaite. La République irréprochable est belle et bien là. Et dire que des gauchistes subversifs y ont trouvé matière à polémiquer.
 
D’aucuns ont d’ailleurs cru pouvoir prendre sa Magnificence en flagrant délit de mensonge et de tromperie pendant ces trois premières années du mandat. Par exemple, quand en 2007, le Guide suprême avait laissé entendre qu’il rapatrierait nos soldats engagés en Afghanistan, où disait-il, ils n’avaient plus rien à y faire mais qu’une fois élu, il décida d’y envoyer plus de soldats. Il n’a pas fait là ce qu’il avait dit mais cela s’explique aisément. Ce vieux et puissant pays, sous le joug éclairé du Guide, ambitionnant de diriger l’OTAN et de gouverner le monde, ne peut tout de même pas se permettre de se retirer des théâtres d’opérations qui permettent justement d’éprouver notre puissance à la face du monde. Les Américains sont d’ailleurs jaloux du professionnalisme de nos soldats, donc de leur commandant en chef.  
 
Ensuite, on a voulu percevoir une contradiction chez LE PRÉSIDENT quand il désigna, cet été, François Mitterrand comme l’horrible responsable des déficits des caisses de retraites actuelles, pour avoir ramené l’âge légal de la retraite à 60 ans, en dépit du bon sens. Or, certains se sont rappelés de certaines affirmations de celui qui n’était pas encore notre guide : à savoir que lui-même avait voté en 1982 pour la retraite à 60 ans, qu’il qualifiait alors d’acquis social. Mieux, certains fouilleurs de poubelles ont même ressorti le fait que notre Nicolas national n’aurait pas pu voter cette loi, étant donné qu’il ne devint député que 6 années après le vote de cette loi, en 1988. On y a vu un double mensonge. Mais qu’on se le dise bien, n’importe qui peut être accusé de mensonge, dans ce cas-là, mais pas notre mentor. En effet, quand on est en avance sur son époque on ne peut éviter de s’emmêler les idées. CQFD.
 
C’est pareil en ce qui concerne sa promesse d’être le président du pouvoir d’achat et d’aller chercher la croissance avec les dents. On peut considérer que la mission a été accomplie, en dépit des apparences. En effet, la plus grande crise que l’humanité et la France aient connue est passée par-là. Comme le répète la brillantissime Lagarde, La France a été moins touchée que les autres pays. Parce que nous avons un président de la trempe de notre Nicolas justement. Voyez-vous, cela ne se voit pas mais la croissance économique en France est plus forte que chez la plupart de nos voisins européens. L’Allemagne a presque deux point de plus que nous, en la matière, mais rien ne fait. En plus, comme notre PRÉSIDENT refuse toute politique de rigueur, la vie nous est plus douce. Et il ne faut surtout pas penser que le fait de rogner dans les soins des malades, les budgets sociaux, de réduire les subventions des associations, de chiffonner les ménages précaires et les classes moyennes soient de l’impôt déguisé. Bien au contraire ! C’est, en effet, vu d’un certain côté, une augmentation du pouvoir d’achat, une façon de donner aux Français de nouveaux acquis sociaux. N’est-ce pas le sens du mot réforme justement ? 
 
Comme tous les puissants, notre Conducator national est un peu cynique. Ce n’est point sa faute. Comme Mazarin, en son temps, notre guide sait qui, il faut de saigner en cas de crise. Pas les très riches ni les trop pauvres. « Il y a quantité de gens, disait effectivement, Mazarin, qui sont entre les deux, ni pauvres, ni riches. Des Français qui travaillent, rêvant d’être riches et redoutant d’être pauvres ! C’est ceux-là que nous devons taxer, encore plus, toujours plus ! Ceux-là ! Plus tu leur prends, plus ils travaillent pour compenser. C’est un réservoir inépuisable ».
 
Donc notre Unique ne fait en la matière qu’appliquer un précepte vieux comme le monde. On ne peut donc pas lui en vouloir. Alors faisons-lui confiance et laissons-le tranquille.
 
En conclusion, chers compatriotes, ouvrez grands vos yeux ! Nous avons la chance d’avoir, par les faveurs de la Providence, un président d’un sang hongrois anobli, prêt à sacrifier, en plus de sa personne, sa progéniture, pour nous offrir une dynastie d’un sang bien propre et bleu, et nous voilà en train de le vilipender, de l’accuser de mensonge, de mégalomanie, de népotisme, de voyoucratie, et que sais-je encore ? C’est bien français çà ! Chez nous, on n’aime pas les gens exceptionnels, méritants, en avance sur leur temps.
J’en conviens, le Genius a pu parfois dire des choses contradictoires, invraisemblables ou même fausses. Mais comme chez tout génie, il y a une dimension poétique chez le personnage. Or, « le poète, disait Nietzsche, est un menteur qui dit la Vérité ». En d’autres termes, chez un personnage démiurgique de sa trempe, vérité et fausseté s’interpénètrent. Il agit par-delà mensonge et vérité.
 
Pour une fois, notre incroyable ingratitude fait bien mentir l’adage qui veut que « tout peuple mérite ses dirigeants ». En effet, nous avons un président méritant par son génie mais que nous ne méritons pas. Nous sommes à la limite du crime de lèse-majesté au regard de la cote de popularité très basse et injuste que nous lui infligeons, depuis un an. A ce rythme, nous courons le grave risque à ce qu’il refuse de se représenter et que par ricochet le dauphin lui-même soit perdu pour le pays. J’entends des petits malins dire déjà : « bon débarras » ! Ces malheureux ne savent pas le péril que court la République, si le grand homme nous abandonnait seuls face au sort.
 
C’est pourquoi, j’appelle tous les sarkozystes convaincus, de gauche, de droite, d’extrême droite, royalistes, à œuvrer à perpétuer son règne. Défendons notre droit au bonheur éternel. Même si pour cela nous devrions mettre le pays à feu et à sang ; même si pour arriver à notre fin, il nous faut faire alliance avec la dauphine Marine.
 
Donc, en 2012, qu’on se le dise clairement : Nicolas Sarkozy devra être réélu ou adieu la France.
 Tao David.
 

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29 réactions à cet article    


  • frugeky 8 octobre 2010 11:45

    Nous devons même aller plus loin et lui souhaiter le martyr pour qu’il soit enfin sanctifié.


    • jako jako 8 octobre 2010 11:56

      C’est vrai , quel bohneur, heureusement que cela est arrivé en France !
      Chaque soir je prie pour que....
      L’été 2012 va nous paraitre bien terne sans notre soleil smiley


      • plancherDesVaches 8 octobre 2010 11:59

        Excellent. Rien à jeter.
        Malheureusement pour nous.


        • Massaliote 8 octobre 2010 12:40

          Un homme qui a fait fait don à la France de ses six cerveaux et de son périnée musclé. Foi de Carlita ! C’est beaucoup trop pour un peuple de « minables » (toujours selon Carlita). On brade que dis-je, on liquide, un peu d’altruisme, donnons le donc aux Anglais. Il remplacera avantageusement Elisabeth II. Plus jeune, plus dynamique etc... Comment, ils ne seraient pas enthousiastes ? Les ingrats smiley


          • zadig 8 octobre 2010 13:06


            J’adore !!!!


            • Daniel Roux Daniel Roux 8 octobre 2010 13:29

              Est-ce que je pourrais avoir un os de ce saint homme ? Oui, maintenant.


              • Gasty Gasty 8 octobre 2010 13:41

                Nous avons le père, le fil et les simples d’esprits.......pour le réélire.


                • Marc.M Marc.M 8 octobre 2010 15:08

                  Nicolas Paul Stéphane Sarközy de Nagy-Boc(as)sa , né le 28 janvier 1955 dans le 17e arrondissement de Paris. Titulature :

                  Sa Majesté naimpériale le nabot Leon, Tsar Kozy de toutes les Hongries.
                  - Roi des Présidents, Président des Rois, Président des Présidents, Roi des Rois
                  - Maître du monde
                  - Guide suprême
                  - Divin Konductor
                  - Génie des Hauts-de-Seine & Capo di tutti capi de Levallois
                  - Nil de la pensée (unique)
                  - Géniteur des Dieux
                  - Confesseur du Pape.
                  - Leader vénéré
                  - Libérateur du Libéralisme
                  - Grand Timonier à vue
                  - Petit (très petit) père des pipoles
                  - Commandeur des Chevaliers du népotisme
                  - Grand croix de perversion narcissique
                  - Docteur deshonoris causa Es-Manipulation
                  - Attila de la Démocratie (« La Démocratie ne repoussera pas derrière moi »)
                  - Néron des Droits de l’Homme
                  - Dépeceur de la Constitution
                  - Grand prêtre de l’Orient Tatcherien des courtisans du cac40
                  - Dilapidateur des deniers publics.
                  - Diplomé de l’Université Ferdinant Marcos de corruption.
                  - Doctorat en Omar Bonguisme appliqué.
                  - Licencié Es-Mobutu de pillage de l’état.
                  - Failliteur de l’Etat
                  - Camelot-Liquidateur des institutions au secteur privé
                  - Davos d’or de bradage de l’économie Française
                  - Grand Stakhanoviste du minage de fond du déficit budgétaire
                  - Généreux donateur aux banques
                  - Cordon d’Admirateur servile et Protecteur des riches et des puissants
                  - Chef-Fossoyeur de la Justice
                  - 1er prix d’ecarissage de l’Education Nationale
                  - Doctorat en euthanasie de la Santé Publique
                  - Meilleur éradiqueur des Libertés
                  - Maître en déstabilisation de la paix civile
                  - Affameur de l’agriculture
                  - Décoré de la croix du Medef (avec palmes) pour le démantèlement des acquis sociaux du Front populaire et du Gaullisme
                  - Secrétaire perpétuel de l’Académie des mensonges
                  - Grand psychoseur des naïfs
                  - Master en récupération de faits divers
                  - Prix G.W.Bush de corruption des consciences
                  - Loyal frère de la Fraternité Cheney-Romsfeld-Volfowitz pour une gouvernance mondiale non-démocratique
                  - Maître de conférence en cuistrerie médiocre
                  - Eternel recalé de Français.
                  - Membre d’honneur et perpétuel de la SDEDDEDJFDCNEDSPBJLM (Société Des Egoutiers Du Dimanche Et Jours Feriés Du Cap-Nègre Et De Sa Proche Banlieue Jusqu’à La Mer)


                  • fwed fwed 8 octobre 2010 20:03

                    « Tsar Kozy » et je dirais même plus Tsar Causant.


                  • mevoungoumichel mevoungoumichel 19 octobre 2010 02:15

                    Cet article vraiment me va droit au cœur. je suis de ceux qui sont convaincu que avec Monsieur Sarkozy la France et son peuple peuvent en tirer quelque chose de bénéfique.

                    Ii y aussi une réalité qu’il ne faut pas perdre de vu, en France les vieilles habitudes ont la peau dure. Moi je suis Camerounais, je suis un homme de science de haut niveau, j’ai toujours été contre la démocratie qui, il faut le reconnaitre, est le seul régime politique au monde qui divise officiellement. Tout le monde de bonne foi sait que l’on divise pour mieux régner ;puisqu’il aura non seulement le désordre, la mésentente et surtout les troubles. Nous savons aussi que la plupart aime pécher dans de l’eau trouble.

                    Ce qui se passe en ce moment en France prouve une fois pour tout, si cela demandait encore à être prouvé, que la démocratie n’est pas un régime pour le progrès. Nous constatons presque nous tous, que lorsqu’un parti politique gagne les élections, celui qui a perdu fera tout pour tout pour mettre les battons dans les roues de l’autre de manière à ce que son programme politique échoue. Les années passent, les régime se succèdent, le pays fait du surplace, on tient au peuple un langage économique de grosses théories politicienne sociale et économique. Lorsque l’on regarde de très près, c’est le peuple majoritairement pauvre qui perd. Les personnes naissent, grandissent et meurent dans des interminables discutions et revendication. La seule chose que la démocratie donne, c’est la libre expression.

                    Nous connaissons l’histoire de la cigale et la fourmi. Monsieur Sarkozy tante opérer un changement dans du concret en essayant d’être pratique et pragmatique. Ce qui n’est pas possible. La chose la plus étonnante, personne ne veut véritablement voir que les grevés sont de véritables ennemis du progrès. Pire encore, on ose même mêler des enfants. Vraiment, ce n’est que du satanisme.

                    Il serait absurde que la France opte officiellement pour la dictature, mais, il faudra reconnaitre que le régime démocratique profite à tout le monde sauf au peuple majoritairement pauvre. Je crois même deja que le peuple Français est deja atteins de la pauvreté morale qui est la pire des pauvretés. Moi Mevoungou Michel que l’on ne pressente plus, on sait ce que je pense dans ce domaine. L’a frique est véritablement sur de mauvais draps en ce moment à cause de la démocratie qui ne peut que devenir sauvage. Avec la démocratie et tous les droits bidon sans analyse en profondeur, « droit de l’homme, droit des enfants, droit de la femme Etc » a pour première conséquence, la déstabilisation de la famille, la suppression officieuse voire même officielle du poste de chef de famille. Résultat, les bateaux en mer sans capitaines. Si la base est nulle, c’est une plaisanterie de mauvais gout de faire croire aux gens que le sommet s’en sortira.

                    Monsieur Sarkozy pour une certaine autorité de l’état pour le bien de la France et les Français et Française, il doit mater la grève avec la dernière énergie. Il ne doit pas oublier que l’échec de la France se reposera sur sa tète. Il doit prendre ses responsabilités.

                    Mevoungou Michel


                  • dogon dogon 8 octobre 2010 15:18

                    Messieurs, messieurs, que diantre ! Sachez raison garder, parbleu !

                    Déjà qu’Edouard est assez émoustillé comme ça !

                    Si, aujourd’hui, nous ne sommes pas capables d’apprécier à leur juste valeur, les décrêts-lois qu’il promulgue pour nous, pour le moins, gardons-nous de déranger notre (très) Petit Père des Peuples dans son oeuvre civilisatrice ! Lui qui sait si bien libérer la femme de son voile pour l’attacher (et quel attachement !) à son lieu de travail !

                    De même pour sa cour. N’est-elle pas si remplie de gentilshommes et de nobles dames, toutes et tous d’une si profonde compétence, que les autres pays nous envient ! Car dîtes-moi, quel pays à quatre ministres de l’intérieur-justice ?
                    MAM sait se taire quand il le faut (Matignon en vue, MAM ?) puisque Besson, Hortefeux et Estrosi parlent à sa place. Simple application rigoureuse du Principe de Peter ? Quand à nos fiers procureurs, n’assument-ils pas avec excellence le rôle que notre Souverain leur à confié dans la conservation d’une pudeur de bon aloi quand ses propres frasques et à celles de ses courtisans ?

                    Sans oublier que, se les réservant par grand désintéressement, notre Guide Suprême nous garde de tomber dans de bien lourds travers. Ne voyez-vous donc pas que dans leur grande sagesse, Dieu, Yavhé et Allah pour le moins et tous à la foi(s), ont déposé sur une seule tête l’incomensurable poids de la tâche d’assumer les cinq grandes épreuves du quinquennat, à savoir corruption, concussion, prévarication, népotisme et immoralité ?

                    Ne vous lassez donc point, messieurs, de ne pas rendre à César ce qui lui appartient car tout revient naturellement à notre Tsar Nicolas III ainsi qu’à la Tsarine Carla-Gilberta et au prince héritier Jean « pas-tout-à-fait-sans-terre-merci-papa » !

                    De même, durant sa visite transalpine, un de nos courtisans doit conseiller à sa Sainteté de moderniser le vocabulaire oecuménique.
                    Désormais, cessez de dire Alléluia et préférez-lui Allez Louis !!!


                    Ouf, un brin d’espièglerie bouffone ne fait pas de mal.
                    Dans toute cette merde, sachons garder le sens de l’humour.
                    Merci Tao David !


                    • Denidid Denidid 8 octobre 2010 16:48

                      jolie plume, la métaphore est bien filée, et l’humour décapant.


                      quoi toujours pas de réactions hostiles ? ça manque de souffle du côté des thuriféraires.
                       
                      en plus laborieux , mais je vais dans le même sens avec quelques lignes parues aujourd’hui :




                      • Tao David Tao David 10 octobre 2010 10:21

                        Cher Denidid,

                        merci pour le compliment. Comme vous-même, je tire une certaine jouissance à la construction d’un texte. Ce n’est pas toujours une réussite malheureusement... mais quand c’est le cas c’est plaisant. Même s’il faut dire que c’est en général quand même le fond qui m’importe le plus. C’est votre cas aussi, j’ai compris en allant lire votre dernier article. Article que je ne trouve aucunement laborieux, soit dit en passant.

                         L’analyse est incisive et le portrait du personnage implacable.

                        La différence entre les deux articles réside dans leur registre. Pourtant leur préoccupation sont voisine. Le votre est un réquisitoire implacable contre un personnage on ne peu plus nocif pour notre pays ; dans mon article, je prends le parti d’en rire, de rire d’une situation grave. Je crois cependant que le but est le même : participer à nous ouvrir les yeux sur cette politique pathologique et mettre le doigt sur les graves enjeux de l’élection de 2012.

                        Pour finir, je dois dire, comme vous, que je suis très étonné du silence de, comme vous dites justement, des thuriféraires face à mon article ; face au votre aussi d’ailleurs, puisque j’ai aussi lu les commentaires. Ont-ils cru que je faisais un vrai éloge de leur maître ? Non, je ne le crois pas !
                         
                        Se sentent-ils pris à revers ? C’est jusqu’à preuve de contraire mon avis. Ou bien préparent-ils justement leur riposte ? C’est peut-être la vraie raison de ce silence assourdissant.

                        En attendant cette riposte salutaire, je vous dis à bientôt.

                         Tao David.
                         
                         


                      • Papybom Papybom 8 octobre 2010 19:10

                        Bonjour,

                        Nous avons la chance que le Nabot 1° ai épousé une chanteuse. Le message passe mieux. Comme le chante Sardou  :

                        « Et c’est tellement plus mignon ; De se faire traiter de con ; En chanson.. »

                        Cordialement.


                        • Salsabil 8 octobre 2010 19:21

                          Ah ! Que le second degré est bon à prendre !

                          Si l’on pouvait le cantonner au rôle de nain de jardin quelque part dans une zone pavillonnaire ou mieux, dans le parc de La Courneuve, il pourrait aisément servir de quille aux « petits joueurs » qui trouveraient là, enfin un moyen de se défouler sur une cible digne de leur bêtise !

                          Jamais vu un président (non, je ne mets pas de majuscule !) autant honni !


                          • kemilein 8 octobre 2010 19:47

                            C’est alors, que devant la magnificence céleste de notre empereur, souverain parmi les souverains et roi parmi les roi, Nicoléon 1er de France et Tsar Kozi de Hongrie, se soulevèrent les hérétiques Propagandistes Séparatistes et autres traîtres au royaume, dénonçant des complots imaginaires abreuvés de preuves falsifiées, afin de détruire la crédibilité de notre seigneur bien-aimé.

                            Il est évident, et là sera mon seul argument, que Nicoléon 1er ne peut être blâmé, de par son sang et son rang, d’une quelconque erreur dans la gestion du capital du prétendant Balladur à la régence du pays en 1995. Lui qui tenait les comptes n’a jamais reçu de financement rétrocédé occulte illégal sur des ventes d’armes ; enfin quelques fourches, piques et autres instruments agricoles à des paysans pakistanais, lui qui aime faire oeuvre de charité pourtant. C’est une impossibilité technique, il ne se trompe jamais, pour s’en convaincre il suffit de regarder son règne présent. De plus, notre empereur est réputé pour sa droiture morale et intellectuelle, il n’aurait pu accepter de telles manigances et même les aurait dénoncées.

                            Il en va de même pour sa propre campagne d’intronisation, il s’est attiré de par sa haute naissance les faveurs des puissants du monde connu, et reconnu comme tel, fût couronné empereur de France. Il est impossible qu’un certain Woerth ait jamais pu ourdir et perpétrer un acte aussi ignoble qu’accepter un financement occulte et illégal, notre Majesté ne saurait le tolérer.

                            Voyez comme les Propagandiste Séparatistes et autres détracteurs sont de mauvaise foi, regardez la concordance des deux accusations !
                            En conséquence, de quoi nulle charge sérieuse ne peut peser sur notre bienveillant Monarque.


                            • BOBW BOBW 8 octobre 2010 21:03

                              Le « Roi des nains de »Blanche Fesse" Prénom : Professeur-Simplet-Grincheux smiley


                              • FYI FYI 8 octobre 2010 22:19

                                « Il y a quantité de gens, disait effectivement, Mazarin, qui sont entre les deux, ni pauvres, ni riches. Des Français qui travaillent, rêvant d’être riches et redoutant d’être pauvres ! C’est ceux-là que nous devons taxer, encore plus, toujours plus ! Ceux-là ! Plus tu leur prends, plus ils travaillent pour compenser. C’est un réservoir inépuisable ».

                                Tellement inépuisable qu’ils en redemandent. Malgrè les cris d’orfraie de certains citoyens, le brave français éduqué l’a mis au firmament en votant pour le précieux. Que demande le peuple.


                                • ddacoudre ddacoudre 8 octobre 2010 23:25

                                  bonjour tao

                                  ton article est un petit nectar. j’avoue languir d’être en 2012 voir si tous ceux qui fourbissent leurs armes contre ce grand illusionniste du verbe, arriveront à contre balancer l’utilisation du principe pavlovien qu’il utilise depuis son arrivé au ministère de l’intérieur : à savoir qu’il associe son nom au besoin de sécurité, et le moment venu il suffit d’agiter la clochette pour que le cerveau donne la réponse attendu.j’ignore quel sera le timbre de cette clochette, mais cela ne me surprendrait pas de la survenance d’un drame ou d’une alerte au terrorisme dans cette période, car politiquement il est mort, aucun président n’a développé autant de haine entre les français que lui.

                                  cordialement


                                  • HELIOS HELIOS 9 octobre 2010 10:58

                                    J’ai bien peur qu’on ne trouve une bonne catastrophe....

                                    Pas une catastrophe a 10 000 morts, non, une de ces catastrophes « virtuelles » du style « boat people à la Yves Montand. ».. vous vous souvenez, ces exilés du mahgreb qui arrivent en France sur des barcasses et grande quantité et que le minumum d’humanité empeche de repousser a la mer ? eh, bien voila, ce sera ce genre de catastrophe là.
                                     Et a ce moment là, justement, le seul recours, ce ne sera surement pas Aubry ni personne d’autre a gauche... ce ne sera même pas Marine Le pen qui ne pourra jamais jouer ce jeux là sans condamner definitivement son part... mais Sarkozy, le seul pour qui les français voterons, même les immigrés deja sur place ....

                                    Bas jojo, le scenario, hein ?


                                  • M.Junior M.Junior 9 octobre 2010 11:20

                                    Plus la personne est petite plus elle voit les choses en grand


                                    • Nometon Nometon 9 octobre 2010 11:25

                                      @ L’auteur : Cette citation de Mazarin est extraordinaire :

                                      « Il y a quantité de gens, disait effectivement, Mazarin, qui sont entre les deux, ni pauvres, ni riches. Des Français qui travaillent, rêvant d’être riches et redoutant d’être pauvres ! C’est ceux-là que nous devons taxer, encore plus, toujours plus ! Ceux-là ! Plus tu leur prends, plus ils travaillent pour compenser. C’est un réservoir inépuisable »

                                      Sauriez-vous nous dire son contexte (ou la source où vous avez déniché cette perle) ? Grand Merci par avance !

                                      Bravo pour votre article.


                                      • Tao David Tao David 10 octobre 2010 09:03


                                        Cher Nometon,

                                        désolé de n’avoir pas pu répondre rapidement à votre question. Week-end et vie de famille obligent.

                                        Cette citation est un morceau de dialogue entre Mazarin et Colbert au temps du jeune Roi Louis XIV qu’un Mazarin vieillissant avait entrepris de former aux affaires de l’Etat.

                                        Dialogue que restitue la pièce de théâtre d’ Antoine RAULT (Le Diable rouge) jouée par Claude Rich, Geneviève Casile... à partir de 2008.

                                        En copie, ici, Le post qui m’a inspiré la citation : "

                                        Le cardinal Mazarin au chevet du Président Sarkozy

                                        01/02/2010 à 15h50 - mis à jour le 01/02/2010 à 16h04 | 1458 vues | 0 réactions


                                        C’est la trouvaille d’un internaute ce jour, d’un texte trouvé dans « Le Diable rouge » et qui correspond si bien à ce que nous vivons socialement, nous, le bas peuple, qu’il est intéressant de le livrer à la connaissance du lecteur ; comme quoi, même pour le Trésorier de la République, « c’est dans les vieilles casseroles qu’on fait les meilleurs plats ». A l’heure ou certains experts voient en Nicolas Sarkozy Bonaparte (du temps où Dominique de Villepin écrivait sur Napoléon), pas une seule comparaison avec Mazarin. C’est chose réparée. Voici donc l’extrait d’une conversation entre Colbert et Mazarin sous Louis XIV :

                                         

                                        « Colbert  : Pour trouver de l’argent, il arrive un moment où tripoter ne suffit plus. J’aimerais que Monsieur le Surintendant m’explique comment on s’y prend pour dépenser encore quand on est déjà endetté jusqu’au cou ?

                                        Mazarin  : Quand on est un simple mortel, bien sûr, et qu’on est couvert de dettes, on va en prison. Mais l’Etat ? L’Etat, lui, c’est différent. On ne peut pas jeter l’Etat en prison. Alors, il continue, il creuse la dette ! Tous les Etats font ça.

                                        Colbert  : Ah oui ? Vous croyez ? Cependant, il nous faut de l’argent. Et comment en trouver quand on a déjà créé tous les impôts imaginables ?

                                        Mazarin : On en crée d’autres.

                                        Colbert : Nous ne pouvons pas taxer les pauvres plus qu’ils ne le sont déjà.

                                        Mazarin : Oui, c’est impossible.

                                        Colbert : Alors, les riches ?

                                        Mazarin : Les riches, non plus. Ils ne dépenseraient plus. Un riche qui dépense fait vivre des centaines de pauvres.

                                        Colbert : Alors, comment fait-on ?

                                        Mazarin  : Colbert, tu raisonnes comme un fromage (comme un pot de chambre sous le derrière d’un malade) ! Il y a quantité de gens qui sont entre les deux, ni pauvres, ni riches… Des Français qui travaillent, rêvant d’être riches et redoutant d’être pauvres ! C’est ceux-là que nous devons taxer, encore plus, toujours plus ! Ceux là ! Plus tu leur prends, plus ils travaillent pour compenser ? C’est un réservoir inépuisable » (Extrait du « Diable Rouge ») 

                                         

                                        Notons-le au passage, la nouvelle taxe sortie du Grenelle de l’environnement contre la pollution visuelle, qui va mettre au portefeuille tous les commerces ayant enseigne commerciale, n’est pas plus stupide que l’impôt que Louis XVI imposa aux portes et aux fenêtres des maisons juste avant la Révolution Française…

                                         

                                        Et s’il s’agit de savoir quelle considération les grands de ce monde ou « les puissants » ont de nous, le bas peuple, gageons sur la plume acerbe du Marquis de Sade pour nous faire voir la réalité en face :

                                         

                                        « Vous voyez cette triste famille, nous dit la pauvresse ; il y a trois jours que je n’ai un morceau de pain à leur donner ; daignez, vous que l’on dit si riche, me mettre à même de soutenir leur triste vie. Oh ! Monseigneur, qui que vous soyez, connaissez-vous Monsieur de Saint-Fond ?

                                        - Oui, répondit le ministre.

                                        - Eh bien ! Vous voyez son ouvrage : il a fait enfermer mon mari ; il nous a pris le peu de bien dont nous jouissions ; tel est l’état cruel où il nous a réduits depuis plus d’un an...
                                        Et voilà, mes amis, le grand mérite que j’avais à cette scène ; c’est que tout en était exactement vrai : j’avais découvert ces tristes victimes de l’injustice et de la rapacité de Saint-Fond, et je les lui offrais réellement, pour réveiller sa méchanceté.

                                        - Ah, gueuse ! s’écria le ministre en fixant cette femme, oui, oui, je le connais, et tu dois bien me connaître aussi... Eh bien, qu’avez-vous à me reprocher ? J’ai fait enfermer votre époux innocent, cela est vrai ; j’ai mieux fait encore, car il n’existe plus... Vous m’avez échappé, je voulais vous traiter de même.

                                        - Quel mal avons-nous commis ?

                                        - Celui d’avoir un bien, à ma porte, que vous ne vouliez pas me vendre ; en vous accablant, je l’ai eu... Vous mourez de faim, que cela me fait-il ?

                                        - Et ces malheureux enfants ?

                                        - Il y en a dix millions de trop en France : c’est rendre service à la société que d’élaguer tout cela ; et les retournant avec son pied : La belle graine à recueillir ! » Plus loin :
                                        « Et pourquoi vivre quand on est pauvre, que la vie ne vous apporte rien ? Alors qu’il y en ait qui meurent, ou qu’on les tue, on sert au bien du pays… Nous, les gens riches sommes comme les dieux ; car nous vivons ici-bas et profitons des bienfaits de la vie comme eux. Comme les étoiles brillent dans le ciel noir, nous éclairons ce bas monde, rempli d’un peuple qui nous envie notre puissance et notre lumière ». (Marquis de Sade – Justine ou Les malheurs de la vertu – Juliette ou Les prospérités du vice)".


                                        Et merci pour le compliment.


                                         L’auteur.


                                      • libre dissidence libre dissidence 10 octobre 2010 09:32

                                        En complément du commentaire de Musima :
                                        Plus exactement élu par 53 % des votes exprimés !
                                        Ce qui fait que le nombre de voix était plus proches des 19,7 millions, et ce parce que les votes ’’blancs’’ ne sont pas toujours pris en compte, qu’il y a (encore) eu des problémes avec le vote par correspondance, les votes par procuration et que certains bulletins ont été annulés (portant des ratures ou des inscriptions).
                                        D’ailleurs les résultats proclamés par le Ministére de l’intérieur, mais il faut prendre le temps de les décortiquer ; sont plus proche des 20 millions que des 33 millions auto proclamés. Avant qu’il ne soit : pondérés !
                                        Seulement comment se prétendre ’’ le Président de tout les Français’’ avec des chiffres moins favorables ?


                                        • Tao David Tao David 10 octobre 2010 09:59

                                          C’est encore plus grave à y regarder de près. Si on compte ceux qui ont voté avec les pieds,
                                          ceux qui n’ont pas toute leur tête et qui ont voté par suggestion. Le compte n’y est pas. D’ailleurs, ceux qui se plaisent à répéter qu’il a été élu par 53% des Français, qu’il a reçu le mandat du peuple, se gardent bien de lui suggérer justement de vérifier sa popularité auprès de la nation
                                          en organisant, une fois au moins dans ce mandat, un référendum. Il aurait pu le faire sur le mini traité européen, ou le faire maintenant sur les retraites.

                                          Bien sûr qu’il ne le fera pas. Lui et ses partisans voient en notre peuple un simple moyen de profiter du pouvoir et non comme la fin de toute action politique. Il n’y a qu’à voir comment Sarkozy a mis, depuis son élection, notre Loi fondamentale entre parenthèse. Il fait loi par sa seule parole. Dans quel Etat vivons-nous ?
                                           L’auteur.


                                          • jtombeur jtombeur 10 octobre 2010 15:27

                                            Une sorte de « poutinisation » de Sarkozy, à l’occasion des réunions des G8 et G20, est peut-être prévisible.
                                            Dans le même genre, les « éléments de langage » de l’UMP.
                                            Si vous êtes modérateur, j’en traite incidemment dans un papier au stade de la correction :
                                            http://www.agoravox.fr/ecrire/?exec=articles&id_article=82615
                                            À quand le prochain acte terroriste ?


                                            • mevoungoumichel mevoungoumichel 20 octobre 2010 18:07

                                              Il y a quelque chose qui me chagrine, si c’est vrai que les trois président des chambre ont solennellement suggéré au présidant de la république de sursoir le projet de loi qui confirme au vu du monde entier que l’embrouillamini gagne la France, et aller discuter un peu plus avec les organisateurs de la déstabilisation de la France, c’est dommage.

                                              Je constate tout simplement que l’être humain, même ceux que l’on pense qu’ils devraient penser inévitablement au dessus de la majorité des humains qui eux sont beaucoup plus au niveau du ventre et du bas ventre, ne pense aussi qu’à eux et tant pis pour le future, c’est l’affaire de ceux et celles de cet époque là.


                                              • mevoungoumichel mevoungoumichel 24 octobre 2010 23:02

                                                La bonne logique et la sagesse populaire voudrais qu’au lieu du bras de fer, vau mieux rechercher une sortie de crise honorable au profit du peuple sans que le pouvoir perde la face. car, que l’on le veille ou non, le seul chef que la nature connait, c’est le président Nicolas Sarkozy

                                                Mevoungou Michel.


                                                • Tao David Tao David 26 octobre 2010 12:39

                                                  Cher Mevoungou Michel,

                                                  je prends enfin le temps de réagir à vos messages. Tout d’abord, bonjour.
                                                  Je ne sais pas au juste si vous faites du deuxième, troisième ou même du quatrième
                                                  degré. Si c’est le cas, c’est très fort !

                                                  A moins que vous ne m’ayez pris au sérieux ? Ce qui me paraît tout de même impossible. Sauf bien sûr si vous ne m’avez pas lu jusqu’au bout.

                                                  Effectivement, je pense, moi, comme Winston Churchill, que « la démocratie est le pire des régimes à l’exception de tous les autres ». Qu’est-ce que cela veut dire en termes claires. Que finalement malgré ses défauts et inconvénients éventuels, la démocratie surclasse tous les autres systèmes de gouvernements des hommes déjà expérimentés dans histoire. Le système qui lui serait supérieur n’est pas encore inventé.

                                                  Vous dites que vous êtes camerounais. Mais si le contraire de la démocratie, la dictature et autres régimes autocratiques étaient la panacée, le Cameroun, dirigé d’une main de fer par Paul Bia, depuis des décennies, serait un havre de paix.

                                                  L’Afrique dans son ensemble, serait un continent paradisiaque, n’est-ce pas ? Elle est le continent effectivement de l’autocratie et de la dictature depuis cinquante ans.

                                                  Or c’est le continent du non développement économique, de la pauvreté, des guerres de pouvoir, de l’irrespect de l’homme. En terme d’autocratie, Sarkozy y serait un simple apprentis. Même s’il n’est pas mal dans son genre, en tant qu’il est en train de transformer une nation, naguère encore institutrice des peuples du monde, un pays de pleutres, de suiveurs résignés. C’est en cela qu’il est fort dangereux.

                                                  Voici ce que je voulais vous dire, hors du registre faussement humoristique de mon article.

                                                  Bien à vous.

                                                   Tao David.

                                                    


                                                   
                                                   

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