Norman Finkelstein dénonce le ’culte transgenre’
Source : normanfinkelstein.com, le 14 juin 2023
Traduction : lecridespeuples.fr
Une personne transgenre a récemment fait la couverture du magazine hyper-woke New Yorker. L'hôpital pour enfants de Boston définit la dysphorie de genre comme « un conflit entre le sexe qui vous a été assigné à la naissance et le genre auquel vous vous identifiez ». Ses symptômes comprennent une « forte aversion pour votre anatomie sexuelle » et peuvent conduire à des « tentatives de suicide ». Si l'on interdit les interventions médicales aux enfants souffrant de cette condition, a fustigé Zooey Zephyr, l'élu transgenre à la Chambre des Représentants de l'État du Montana, le nouveau héros du wokisme, « cela équivaut à de la torture ». Il s'agirait, du moins en partie, d'une maladie organique et biologique, qui semble appartenir à la famille des maladies mentales. En effet, « on a constaté que la prévalence de la dysphorie de genre était plus élevée chez les personnes atteintes de maladies psychiatriques telles que la schizophrénie et les troubles du spectre autistique ». Cependant, un dogme du wokisme veut que la dysphorie de genre « ne soit pas une maladie mentale » mais, au contraire, « une question de diversité et non une pathologie ». La diversité est bien sûr une bonne chose, quelque chose qui doit être célébré. Mais la schizophrénie n'est pas célébrée, alors pourquoi la dysphorie de genre le serait-elle ? Dans mon livre I'll Burn That Bridge When I Get to It, j'ai commenté le fétichisme pervers et perverti du monde « woke » à l'égard des personnes transgenres :
« La foule woke s'est trouvé une nouvelle mascotte : les personnes transgenres. Pendant les manifestations consécutives à la mort de George Floyd, le New York Times a blasonné sur sa page d'accueil : “Les femmes noires transgenres cherchent plus de place dans le mouvement qu'elles ont aidé à lancer”. Angela Davis met l'accent sur les “prisonniers trans" en tant que “groupe qui est peut-être plus criminalisé que n'importe quel autre groupe”. Si l'on veut jouer à la “loterie de l'oppression”, on peut supposer qu'un jeune Noir enfermé à vie pour un crime qu'il n'a pas commis est également un candidat digne de concourir. En écoutant les émissions wokes, on pourrait croire que les deux questions les plus brûlantes auxquelles l'humanité est confrontée sont le changement climatique et les toilettes pour transsexuels en Caroline du Nord. Au cours des premiers jours de la guerre catastrophique en Ukraine, Amy Goodman, présentatrice de journaux télévisés à la mode woke, a décidé de mettre en évidence le sort des “Ukrainiens transgenres incapables de partir parce que leur identité de genre sur leur passeport ne correspondait pas à leur identité de genre.” On pourrait toutefois supposer que toutes sortes de personnes présentant des difficultés et des handicaps particuliers ont eu du mal à s'enfuir. Bien que moins pervers, la fuite n'a pas dû être une partie de plaisir pour les personnes en fauteuil roulant non plus. Les présentateurs wokes bavent littéralement devant un invité transgenre, comme si c'était la meilleure chose qui puisse arriver, juste après être couronnée reine du bal de fin d'année. Nous sommes tous censés célébrer. Mais célébrer quoi ? Y a-t-il matière à célébration si l'on naît avec un décalage déchirant entre le soma (corps physique) et la psyché (âme), si l'on subit des procédures médicales longues, pénibles et coûteuses qui, en général, réparent le patrimoine génétique aussi efficacement que les prothèses capillaires et les implants mammaires ? Il ne fait aucun doute que l'UCP (Union des Chirurgiens et Pharmaciens !) fait péter le champagne [l'industrie transgenre brasse des millions de dollars]. Mais pourquoi devrions-nous le faire, nous autres ? Une personne transgenre mérite un maximum de compassion, c'est certain. Je refuse cependant de monter dans le train woke. J'entends déjà les objections : La célébration n'est-elle pas un acte de compassion ? Appelez-moi sceptique. Pendant l'occupation allemande de la France, se souvient Sartre, les Parisiens embrassaient ostensiblement les Juifs qu'ils croisaient dans la rue. Le Juif, observait Sartre, [...] “savait immédiatement qu'il était devenu l'objet d'une démonstration de tolérance, que son interlocuteur l'avait choisi comme prétexte pour déclarer au monde, et à lui-même : 'Regardez-moi, j'ai des idées libérales'.”
Le lecteur, j'en suis sûr, peut faire le lien. La foule woke s'accroche aux limites les plus extrêmes pour montrer à quel point elle est à la pointe du progrès, meilleure et plus pure. Les gays et les lesbiennes sont tellement dépassés, tellement banals. Dans sa pire forme, le culte woke des transgenres est un mélange de voyeurisme et de morbidité, une fascination pour la bizarrerie sexuelle, une version politiquement correcte de snuff movies pornographiques. Il se situe à l' “intersectionnalité” de la culture lassitudinale des Hamptons et de l'ennui sexuel dépravé d'Hollywood. Ce n'est très clairement pas la vie de 99,999 % de l'humanité, y compris les personnes transgenres, qui aspirent modestement à la dignité du travail et à la joie de l'amour, et non à être présentes ou exposées dans un spectacle pervers de monstres.
Pour les lecteurs du New Yorker appartenant à la classe supérieure consumériste et improductive, à la fois sursaturée et en manque de stimulants, qu'y a-t-il de plus émoustillant et transgressif que la mutilation génitale ?
Voir notre dossier sur la question transgenre.
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33 réactions à cet article
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Le mouvement LGBT qui est un lobby (groupe de pression en français) n’est pas apparu ex nihilo, et il n’exerce pas l’influence qu’on lui connait dans les pays aglo-américains et leurs colonies dont nous sommes sans bénéficier de soutiens et de moyens considérables.
Quel est l’enjeu de cette idéologie ? C’est une façon comme une autre de se tromper de cible volontairement pour canaliser les forces contestataires vers de faux combats et laisser le champ libre aux businessmen et à l’industrie de l’armement.Le piège dans lequel il est difficile de ne pas tomber, c’est d’aasayer d’argumenter. Ils ne demandent que ça, parce que vous allez perdre votre énergie à des conneries.
Et c’est ce que je fais en ce moment.
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@Grincheux
Il s’agit aussi, dans le cadre du fameux transhumanisme californien, de préparer ou plutôt de tester les foules et l’opinion, au futur individu neutre biologiquement.
L’explosion démographique effraie tout le monde et surtout eux, il n’est pas impossible qu’un droit à la reproduction soit en cours dans les saintes tablettes.
Le neutre est malléable a merci et n’est plus sujet à des variations comportementales endocriniennes.
Ceci dans un cadre occidental décadent, il n’est pas impossible de faire cohabiter des neutres dans les pays riches et des homo sapiens domestiqués chair à usine ailleurs...
Ce débat est tellement profond en termes de modifications sociétales que les meilleurs philosophes s’y cassent les dents. -
@Grincheux
< ... vous allez perdre votre énergie à des conneries.
Et c’est ce que je fais en ce moment. >
Pas vraiment...
... car expliquer au bon peuple pourquoi le sujet présenté en pièce-montée est en fait un attrape-mouche-nigaud, ce n’est pas perdre son temps...
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@Grincheux
Résumons par « c’est un piège à cons » pour citer une fameuse réplique du cinéma français populaire. -
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@Montdragon
A propos de trans, la cohabitation entre les migrants et les électeurs de Meéenchon se passe à merveille :
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LGBTQ+ c’est une tentative de légaliser et de normaliser l’immonde que sont la pédophilie et l’esclavage sexuel d’hybrides (Chimères).
Si le LGB (entre adultes (plus de 18 ans) est totalement accepté moralement, le TQ+ reste moralement discutable.
Toucher aux enfants (moins de 18 ans) doit rester le fil rouge.Rappelons que le respect du libre arbitre est la différence entre le mal et le bien.
Si respect total du libre arbitre, nous restons dans le bien. (Paradis terrestre)
Si contrainte, propagande, manipulation en vue d’altérer le libre arbitre, nous entrons dans le mal. (Enfer terrestre)Ne laissons jamais les agents du mal transformer notre paradis terrestre en enfer de vie.
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Tout ça fait un peu peur à vrai dire, surtout si ces désaxés d’un nouveau genre trouvent un boulot dans l’IA et le paramétrage de logiciels. Je vous dis pas l’état du monde après !
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Le perversion est le dernier rempart contre la régression psychotique. La schizophrénie relevant de la structure psychotique. Au sein du dsm-iv [1][1]American Psychiatric Association, mini dsm-iv-tr, Critères… et de la cim-10 [2][2]Classification Internationale des Maladies cim-10 (1992), Dans…, le transsexualisme est décrit en termes de « Trouble de l’identité sexuée : identification intense et persistante à l’autre sexe (ne concernant pas exclusivement le désir d’obtenir les bénéfices culturels dévolus à l’autre sexe), sentiment persistant d’inconfort par rapport à son sexe ou sentiment d’inadéquation par rapport à l’identité de rôle correspondante, l’affection n’est pas concomitante d’une affection responsable d’un phénotype hermaphrodite ». Par ailleurs, il ne doit pas être associé à un trouble mental, tel qu’une schizophrénie. Néanmoins, des études tendent à considérer les manifestations visibles comme associées ou secondaires à différents autres troubles pouvant être rencontrés dans d’autres pathologies telles que l’anorexie ou la schizophrénie (Michel et Mormont, 2003). En 2005, Nadine Vermeylen, Fabienne Bauwens, Alex Lefevre et Paul Linkowski publient une recherche portant sur l’étude du fonctionnement psychique de 28 sujets transsexuels avec le Rorschach. En comparant les données obtenues avec celles d’un groupe témoin, et en s’appuyant conjointement sur une analyse psychodynamique, sur l’analyse d’indices de la méthode Exner et sur l’Indice d’Élaboration Symbolique (ies) de Léon Cassiers (1968), leurs résultats montrent une adéquation au réel correcte (contrairement à d’autres auteurs qu’ils citent) et suggèrent l’existence d’un mode de pensée opératoire analogue à celui observé chez certains patients souffrant de pathologies somatiques. Pour eux, en ayant besoin d’une marque corporelle pour attester leur identité, les personnes transsexuelles présenteraient une difficulté majeure à fantasmer, rendant compte d’une carence de mentalisation. la carence de metalisation s’appelle alexythimie. Les personnes atteintes d’alexythimie sont proches du spectre psychotique. https://www.cairn.info/revue-psychologie-clinique-et-projective-2014-1-page-213.htm
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@Mélusine ou la Robe de Saphir.
« le transsexualisme est décrit en termes de « Trouble de l’identité sexuée : identification intense et persistante à l’autre sexe (ne concernant pas exclusivement le désir d’obtenir les bénéfices culturels dévolus à l’autre sexe), »
Qu’est-ce que cette connerie.
La sexualité n’a rien à voir avec un trouble.
C’est encore un coup de Jarnac de la religion catholique ? -
En plus c’est une régression psychotique d’après ce commentaire.
On aura tout lu....
Je ne suis pas de ce bord, mais il ne faut pas que cela devienne une maladie, en plus. -
@Réflexions du Miroir
’’ La sexualité n’a rien à voir avec un trouble.’’
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Vous voulez dire que tout ce qui est relatif à la sexualité est naturel ? Que le concept de déviant sexuel est un fantasme de moraliste ? -
@Mélusine ou la Robe de Saphir.
’’La perversion est le dernier rempart contre la régression psychotique.’’
— >
pas faux mais je n’en ferai pas une règle.
Si la perversion comme la psychose, c’est la personnalité construite par clivage(s), elle en est le contraire par le fait qu’elle signe la réussite du déni. -
@Réflexions du Miroir ce n’est pas votre domaine, laissez tomber...
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@Mélusine ou la Robe de Saphir.
Argument d’autorité ? Intéressant... Il y a des psy woke...
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Il faut envoyer l’article à Macron, visiblement il est dans la « classe supérieure consumériste et improductive, à la fois sursaturée et en manque de stimulants ». Nul doute que le wokisme transgenre l’intéresse.
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Heureuse de savoir qu’un juif remet en question toute cette clique de cinglés. Parce qu’avec Butler, Iacub (Libé) et Roudinesco, je commençais à me demander si les juifs n’avaient pas un gros problème psy. Le grand rabbin l’a dit : avec les mariage homosexuel, l’antisémitisme risque fort de revenir. Merci Monsieur FINKELSTEIN.
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@Mélusine ou la Robe de Saphir.
Pas sur que même sa judaïté le protège de la mise au placard classique réservée à tous ceux qui ne restent pas sur la ligne officiellement admise .
Un professeur Vladimir Zelenko dénonçant le covid et les injections n’a pas été protégé par celle-ci, alors...
https://www.i24news.tv/fr/actu/international/ameriques/1656679689-usa-le-dr-vladimir-zelenko-qui-a-mis-au-point-un-traitement-contre-le-covid-19-meurt-a-49-ans
Le cancer, pratique quand quelqu’un gêne, pas vrai ? Marrant, Kissinger 100 ans, tout va bien, Albright (cancer à 84 ans) ne sont pas morts de cancer à un jeune âge, le miracle du pouvoir ?
Pas protégé, donc, comme on le voit ici :
https://fr.timesofisrael.com/le-medecin-juif-pro-hydroxychloroquine-quitte-la-communaute-ou-il-la-testee/
et là (sans surprise, les falsificateurs de faits étant là justement pour ça...)
https://www.conspiracywatch.info/qui-est-le-docteur-vladimir-zelenko-nouvelle-star-des-complotistes-antivax.html -
Salut les VOXIENS
Petite devinette avant d’aller dodo :
Quel est le point commun entre ;
Le couple POMPIDOU — le couple OBAMA et le couple MACRON ???
Vous avez toute la nuit
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@Bendidon ... Wind Pilgrimer
je t’ai déjà prévenu : le DSA t’as à l’oeil, tu es cuit avec tes insinuations
Poste la photo avec Barack et Michelle si tu oses !
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@Bendidon ... Wind Pilgrimer
Pour la femme à Pompon, on n’a jamais trop su -
@leypanou
Il ne faut pas avoir peur de diffuser l’information. Il y’a eu un article intéressant là :
Le mystère Claude Pompidou... - Egalite et Réconciliation (egaliteetreconciliation.fr)
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Le coût de l’opération peut être pris en charge à environ 80-90% si celle-ci est réalisée en Belgique.... Je trouve TOTALEMENT scandaleux que le citoyen paie pour ces opération de malades mentaux, alors qu’il n’y a pas d’argent pour payer les psychologues. La Belgique me dégoûte. Je suppose qu’en France, c’est la même chose...
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@Mélusine ou la Robe de Saphir.
Rantanplan (qui vous a généreusement moinssée sans commentaire, le fainéant...) est pour sa part très favorable au remboursement intégral du charcutage génital, avec une prime d’encouragement, et même que ça devrait être présenté systématiquement en annexe des cours sur la turlute et le broute-minou en fin de maternelle, qu’il vous dit...
Ne soyez donc pas si rétrograde d’extrême-droite des heures les moins claires...
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Concernant le don d’organe il donne quoi le transgenre ?
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Le transgenrisme. c’est la tentation de matérialiser le vieux mythe platonicien de l’androgyne primordial. Mais cet androgyne primordial, comme dit dans le BANQUET, c’est clairement la Syzygie (la pleine lune ou la rencontre du soleil et de la lune : (Trenet : le soleil a rendez-vous avec le lune...). Et donc toute sa vie l’homme recherche sa moitie perdue : quand Dieu sépara l’homme à quatre jambes et quatre bras pour créer la femme. Le transgenrisme êtes une pâle copie (je dirais même quelle s’enfonce dans le magma de la psychose) du mythe primordial.
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En tant que « woke » transgenre appartenant au mouvement LGBT je vais tenter de contribuer. Une première remarque, le lien concernant Norman Finkelstein renvoie à l’article du 14 juillet 2023 et non celui du 14 juin. Peut être que les lecteurs connaissent bien Norman Finkelstein, mais pour moi je le connais surtout comme polémiste et l’article est de cette veine-là. Zooey Zephir est une députée du Montana exclue pour avoir défendu les droits transgenres au parlement. Un jour les députés français trouveront probablement normal d’exclure un député qui défend nos droits à l’assemblée...
Ce n’est pas le dogme du wokisme qui énonce qui veut que la dysphorie de genre ne soit plus une maladie, c’est son classement qui mérite une explication. La dysphorie de genre est un diagnostic du DSM5 créé en 2013 et utilisé surtout par les pays anglo-saxons. Et si vous voulez plus de précisions, ce n’est pas la transidentité qui est vue comme une maladie, mais la dysphorie de genre qui s’y rattache avec son cortège de souffrances (ça fait woke des gens qui souffrent). Aujourd’hui la CIM 11 qui est la classification de l’OMS nous place depuis 2022 sous le diagnostic d’Incongruence de genre, hors du chapitre de la psychiatrie, dans celui de la santé sexuelle. Nous sommes donc « dépsychiatrisés » de fait. Bien évidemment ceux qui préfèrent nous considérer comme des malades mentaux préfèrent le diagnostic de dysphorie de genre ou mieux de transsexualisme de la CIM10 comme y fait référence Mélusine.
Si l’on a fait état d’une éventuelle importance de la schizophrénie dans notre population, ce n’est plus le cas depuis une dizaine d’années. Les troubles du spectre autistiques sont effectivement plus représentés que dans la population en général. Les comorbidités les plus fréquentes dans notre population sont l’anxiété et la dépression. Ces deux comorbidités sont souvent influencées par les conditions de vie sociales (travail, famille, logement, rue etc.). Je ne m’étendrais pas par exemple sur les difficultés que peut représenter le fait d’avoir une apparence qui ne correspond pas à son état civil ça ferait encore woke.
Je m’étonne de voir que « woke » est devenu une insulte. Il ne me serait jamais venu à l’esprit de traiter quelqu’un de « charitable » en y voyant une insulte. Et ce qui m’étonne aussi c’est de lire cet article quelques jours après que la Russie ait décidé d’interdire les transitions, et de soigner les irréductibles trans en hôpital psychiatrique. Cela aurait pu faire un bon sujet d’article et aurait permis de célébrer le bon vieux temps où l’URSS savait si bien normaliser les déviants !
Une woke de la clique de cinglés
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@Saiseriet
En plus des troubles du spectre autistique, il s’avère d’autre part que l’immense majorité des ados qui veulent « changer de sexe » ( il faut mettre à part les cas d’autogynéphilie, qui touchent des hommes plutôt mûrs ) sont en fait juste homosexuels. Et que l’immense majorité de ces derniers ( je parle bien des ados qui veulent changer de sexe ), s’ils sont correctement accompagnés du côté psy, sortent de l’adolescence en acceptant leur homosexualité et sans s’être fait charcuter pour « changer de sexe ». Bref, en gardant leur capacité de se reproduire d’une part, ET d’accéder à l’orgasme d’autre part. Deux aspects fondamentaux de la vie qu’un nombre important de trans a perdus ( et regrette amèrement d’avoir perdus... ) du fait qu’il y a eu des adultes pour accéder à leur désirs ( hormones, chirurgie = tiroir-caisse ! ) à un moment où il fallait leur dire qu’il était hors de question qu’on les laisse prendre cette décision avant qu’ils soient majeurs et responsables.
Il y a même certains de ces ados qui en sortent en étant... hétéros ! Mais qui voulaient, 4 ans plus tôt, changer de sexe ! Ce qui signifie que le mouvement « trans » a beaucoup à voir avec le concept de mode sociale, dont on sait que les ados sont friands, voire d’épidémie psychique... Faire partie des gens différents pour être intéressant... Enfin ! Enfin je suis intéressant ! Même pour mes parents, dis-donc ! Avec mes cheveux verts ! Ou bleus ! Ou rose ! Ou vert et rose ! Quoi ? Ça peut être aussi bête et primaire que ça ? Et comment ! Merci Tik tok !
Être ado, c’est souvent ( toujours ? ) être très con. On est tous passés par là. C’est pourquoi il ne faut pas laisser des ados prendre des décisions graves comme celle-là, qui pourraient avoir des conséquences définitives et terribles sur leur vie future. « Quand t’auras 18 ans, on en reparle » et accompagnement psy si nécessaire jusque là.
Et pour finir, il faudrait dire un mot des leaders de ce mouvement. Ceux qui poussent, par désir d’influence, c’est-à-dire de pouvoir, à la prise d’hormones et à la chirurgie. Mais, ce mot, je ne vais pas le dire : je serais très grossier. En même temps, faudrait pas me pousser beaucoup...
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@quijote
J’ai oublié quelque chose d’essentiel. Qu’est-ce que le désir d’un garçon homosexuel qui veut changer de sexe ? Le désir de rentrer dans la norme... Puisque ce qui m’attire, ce sont les garçons, si je deviens une fille, je rentre dans la norme...
Ce qui pose la question de l’intérêt de considérer l’homosexualité comme une norme à égalité avec l’hétérosexualité, ce que le mouvement lgb cherche à faire depuis 40 ans, indépendamment des statistiques. Belle réussite ! Maintenant le désir d’un ado homo, c’est de rentrer dans la norme statistique : l’hétérosexualité ! Bien joué, les gars !
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@quijote
Les personnes transgenres ne veulent pas forcément changer de sexe. Celles qui font une transition médicale (hormonothérapie avec ou sans chirurgie) ne représente qu’environ 1% de la population.Ceux qui ont fait le parcours reviennent très rarement en arrière. D’abord parce que la France avait jusqu’en 2020 son propre parcours (SoFECT) alors que l’on nous compare constament à la Suède la Grande Bretagne etc. Le parcours SoFECT était 2 ans de suivi psychiatrique avant d’être éligible à l’hormonothérapie + 2 ans de suivi psychiatrique avant d’être éligible à la chirurgie le plus souvent accompagnée de psychothérapie. Les décisions étaient prisent en réunion pluridisciplinaires. Ce schéma est en train de se modifier.
Dans le cas des femmes trans les vaginoplastie permettent d’avoir des orgasmes, c’est moins évident dans le cas des hommes trans. Dans les deux cas il est conseillé de faire une conservation de sperme ou d’ovocyte avant la transition, si l’on veut plus tard devenir parent.
Pour les regrettants on cite souvent le procès Tavistok gagné en première instance, perdu en appel et pour lequel la Cour suprème d’Angleterre n’a pas voulu se saisir. Ce procès ne concernait que 2 personnes. La plus grande cohorte pour estimer le nombre de regrettant est la cohorte d’Amsterdam portant sur 6,793 personnes avec un taux de regrets de 0,6% de femmes trans regrettant et 0,3% d’hommes trans regrettant (DOI :
10.1016/j.jsxm.2018.01.016 ). Le nombre de regrettant ira probablement en grandissant parce qu’il faut le temps qu’ils se manifestent et du temps pour que l’on puisse trouver une méthode d’échantillonnage fiable, mais on ne s’attend pas à un raz de marée.
En ce qui concerne la contagion sociale je suppose que vous faite allusion au ROGD de Lisa Littman. Cette étude est un des très rare cas d’étude remise en cause par le comité scientifique de Plus One ou elle est parue. Les scientifiques ne sont pas des gens excessifs. Il n’ont pas dit que cette étude ne valait rien. Il ont simplement dit qu’elle n’avait pour le moment que valeur d’hypothèse d’une part, parce qu’elle comportait trop de biais et d’autre part parce qu’il faut un bon nombre d’études pour confirmer l’existence d’un diagnostic.
https://doi.org/10.1371/journal.pone.0202330La plupart des ados ne me paraissent pas « con ». Ils ont souvent le souci de leurs familles et la peur de s’affirmer surtout si ils sont trans parce que c’est évident que ce n’est pas aller vers une vie facile. La plupart du temps les jeunes vont chercher des copains ou des copines qui leur ressemblent et je crois que c’est ce que nous avons tous fait à partir de nos centres d’intérêts.
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@Saiseriet
Citation :« Celles qui font une transition médicale (hormonothérapie avec ou sans chirurgie) ne représente qu’environ 1% de la population. »
1% de la population : totale ou population des trans ? Donc tu appelles « trans » des hommes qui s’habillent en femmes et veulent qu’on les appelle « madame » ? A une autre époque, on les appelait des travestis. S’il n’y a pas de transition médicale, y a pas de problème... Le problème apparaît quand on accepte ou promeut la transition médicale d’enfants ou d’adolescents. Si tu es adulte et que tu veux te faire charcuter, c’est ton affaire. On pourrait discuter du remboursement éventuel par la sécu mais ce n’est pas le problème ici.
Citation :« Ceux qui ont fait le parcours reviennent très rarement en arrière. »
Tu m’étonnes... Comment tu reviens en arrière quand tu t’es fait couper les couilles ou la bite et les couilles ou les seins ou les seins et charcuter l’avant bras pour te « fabriquer » une bite ? Une bite qui marchera pas, évidemment. Tu peux pas. Faut vivre « avec »... Et en plus, si t’es pas content de la situation et que tu le dis, le lobby, ses leaders et les petites mains te considèrent comme un traître à la cause et veulent te faire taire...
Un peu comme si tu refusais de te faire vacciner en période de covid, quoi.Tu parles de la Suède et de l’Angleterre, ils viennent, avec d’autres pays, de modifier les protocoles de prises en charge du « problème » pour les enfants et les ados. Et c’est très bien. Plein d’état aux USA suivent le mouvement. Et c’est très bien.
Citation : « Dans le cas des femmes trans les vaginoplastie permettent d’avoir des orgasmes,
Ouais... Ecoute, je vais faire semblant de te croire. Semblant seulement, hein... Parle un peu des problèmes de »dilation« , comme ils disent en anglais. Tu sais, le nouveau »vagin« qui est perçu par ton corps comme une blessure qu’il doit refermer et que toi, tu dois maintenir ouverte en t’y enfournant tous les jours un truc de la taille d’une bite pour empêcher la nature de faire son oeuvre... Sans compter les autres problèmes de santé afférents ( infections, etc ). Le bonheur, quoi.
Citation : »Pour les regrettants on cite souvent le procès Tavistok gagné en première instance, perdu en appel et pour lequel la Cour suprème d’Angleterre n’a pas voulu se saisir. Ce procès ne concernait que 2 personnes«
Les »regrettants« ? C’est marrant, cette propension du lobby à créer des mots... C’est pour faire comprendre au reste de la population que c’est vous les patrons, nan ? Ouais : j’ai fait socio, moi... Et psycho, aussi : je comprends immédiatement les tentatives de manip.
2 personnes, hein ? Ouais, t’as raison... C’est abuser, hein ? Vous êtes encore victimes de la méchanceté de la société à votre égard, pas vrai ? C’est un point de vue... Tiens, voilà le mien :
Citation : »La plus grande cohorte pour estimer le nombre de regrettant est la cohorte d’Amsterdam portant sur 6,793 personnes avec un taux de regrets de 0,6% de femmes trans regrettant et 0,3% d’hommes trans regrettant«
0,6 et 0,3% : bien sûr. Bien sûr. Ah bah c’est scientifique, hein... Irréfutable, quoi !
Je t’en foutrais du 0,6 et du 0,3...Quand tu as le sentiment d’être responsable de ton malheur, comme c’est le cas pour les »regrettants« , qui ont demandé, qui, à se faire couper ceci, qui à se faire couper cela, tu vas pas le crier sur les toits. Tu vas te cacher avec ton malheur. Et tu fais semblant de fonctionner. Bah ouais... »Moi ? Super ! Qu’est-ce que je suis heureux !« ... Tu penses... T’as eu ce que t’as voulu, hein ? Tu vas pas aller te plaindre et dire »bah ouais, je croyais que c’est ce que je voulais mais maintenant je me rends compte que...«
0,6 et 0,3, hein ? Je veux pas être cruel. Je sais qu’il y a de la souffrance derrière. Mais pas à moi...
D’autant plus que t’as raison sur une chose : il y a de plus en plus de »regrettants« . Plein de jeunes. Qui se sont fait charcuter un peu partout. Et qui, en plus de tous les problèmes de santé liés aux opérations ont perdu la faculté d’avoir un orgasme. Et des enfants. Et souffrent toujours de la dysphorie de genre à l’origine du merdier infernal dans lequel il se sont engagés grâce à la complicité de médecins... Médecins qui se sont fait des couilles en or en coupant celles des autres. Y compris de mineurs. Peterson, le psy canadien, voudrait les mettre en prison...
Citation : »Les scientifiques ne sont pas des gens excessifs.«
T’as mis un masque pendant le covid ? Bah ouais : c’était obligatoire. Pourtant les scientifiques savaient que ça n’a aucune incidence sur la transmission. Bref, ça empêche pas de tomber malade. Zéro. Ou alors peut-être 0,6 ou 0,3...
T’es vacciné covid ? J’espère parce que »ça évite la transmission« ... Dixit de grands scientifiques. A la télé. A une heure de grande écoute. C’était »excessif" ou pas ?
Bon. Et puis, puisque t’es là, bah tu vas prendre pour tout le monde.
T’en es où, toi, des pronoms ? Combien y a-t-il de genres différents ? Es-tu pour que des trans aillent lire des histoires de trans dans les écoles maternelles et primaires comme on le voit aux USA ? Es-tu pour l’éducation sexuelle dès la maternelle, comme le font plein d’écoles là-bas sous la pression d’équipes de direction ultra-woke ? Y compris en mettant dans les bibliothèques, à la portée des gamins, des bouquins considérés par la majorité silencieuse ( qui l’est d’ailleurs de moins en moins... ) comme pornographiques. Un gamin de 6 ans, qui vient de commencer à apprendre à lire, peut ouvrir ces bouquins et tomber sur la description textuelle et graphique de ce que c’est qu’une fellation. Ou quoi que ce soit d’autre : tout y est. Nos amis du lobby y ont veillé...
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A propos de la diffusion de la propagande transgenre et LGTBQ, je trouve scandaleux que la chaine du service public français ait adapté l’émission américaine de Ru Paul « Drag Race ». Ce sont les impôts des français qui payent pour ça ! J’ai eu le malheur de faire une réflexion dans ce genre sur Tweex et je me retrouve maintenant face à une horde de Drag Queen sur la toile !
Cette émission a un but profondément toxique, montrer les trans et les Drag comme si ils étaient la « normalité ». En plus bien souvent c’est une caricature outrancière de la femme....
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A propos du wokisme. Nous espérons un article sur la « nouvelle » version de Blanche-neige par les studios Walt-Disney. Lire cette analyse du psychanalyste Borman. Manifestement, la nouvelle version rate totalement sa cible... https://psychanalyste-paris.com/blanche-neige-et-les-sept-nains-l.html
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