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Accueil du site > Tribune Libre > Nouvelles règles de conduite à l’usage des mâles

Nouvelles règles de conduite à l’usage des mâles

Voici donc quelques règles à respecter pour ne pas offenser / victimiser nos chères et tendre compagnes.

Merde ! 

Dès la première phrase je tombe dans l'apriori sexiste (victimes, tendres, compagnes que des clichés de femme soumise).

Allez ! Je me reprends, je fais attention !

1) Ne jamais saluer une femme le premier, bise, main tendue, salut, chacun de ces gestes, non sollicité, est une aggression, une inadmissible intrusion dans l'intimité de la personne.

2) Ne jamais appeler une femme madame (c'est la traiter de vieille), ni mademoiselle (c'est la traiter d'objet sexuel en disponibilité), ni l'appeler par son prénom (c'est une intrusion dans son intimité).

3) Ne jamais se trouver seul dans une pièce avec une femme, c'est forcément un guet-apens, l'intention est forcément malhonnête (on vous connait vous les mâles, vous ne pensez qu'à ça).

4) Ne jamais monter dans un ascenceur seul avec une femme, on connait votre fantasme avec les ascenseurs.

5) Ne jamais participer à une réunion, un attroupement, une manifestation, quels qu'ils soient, si vous n'avez pas la certitude de disposer d'un espace de sécurité d'au moins 50cm entre vous et la femme la plus proche (vous risqueriez de vous "frotter" et on sait que, chez vous, ce n'est jamais ni accidentel ni involontaire).

6) Ne jamais se placer derrière une femme (on sait bien que c'est, au mieux, pour mater son anatomie, au pire pour l'agresser).

7) Ne jamais regarder une femme dans les yeux, c'est une tentative de domination, d'intimidation.

8) Ne jamais regarder une femme ailleurs que dans les yeux, c'est dégoutant, vous êtes vraiment des gros porcs dégueulasses.

9) Ne jamais complimenter une femme sur sa tenue, sa coiffure, son maquillage ni quoi que ce soit de physique, au mieux c'est du sexisme lourdingue au pire c'est du harcèlement sexuel.

10) En fait, ne jamais complimenter une femme, sur quoi que ce soit, vous avez forcément une idée derrière la tête. Jamais un mâle ne complimente une femelle, juste parce que ce qu'elle a fait est bien ... Il cherche toujours à obtenir une faveur, sexuelle, en retour.

11) Ne jamais critiquer une femme, sur quoi que ce soit, c'est du harcèlement sexiste et de la discrimination.

12) Ne jamais raconter une blague mettant en scène une femme, c'est forcément une blague sexiste !

13) N'invitez jamais une femme au restaurant, mais payez toujours l'addition.

14) Ouvrez et tenez la porte aux dames, mais sans les regarder, sans leur parler et de préférence en leur tourant le dos. Empressez-vous ensuite de les dépasser en gardant la tête basse ... On sait bien que si vous restez derrière, c'est pour mater leur cul !

15) Ne contredisez jamais une femme, c'est de la mysoginie.

16) Ne l'approuvez jamais, c'est du paternalisme machiste.

17) Dans les transports, ne cédez jamais votre place à une femme, c'est du machisme rétrograde.

18) Dans les transports, ne restez jamais assis en présence d'une femme qui est debout, c'est de la goujaterie.

19) Dans le transports, ne vous levez pas à l'arrivée d'une femme, vous l'inquietez et l'agressez littéralement (vous ne pouvez qu'avoir de mauvaises intentions).

J'en oublie suremment, n'hésitez pas à compléter.

 


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22 réactions à cet article    


  • nofutur 13 janvier 2018 09:52

    Ho punaise. Je vais de ce pas me crever le yeux (je ne pourrais plus mater des culs) je vais aussi me couper les mains (j’éviterais ainsi la tentation de toucher l’interdit) m’arracher la langue pour ne plus dire des blagues lourdingues et sexistes notamment sur les blondes...

    Oui je sais toutes ces sensations font de moi un pervers ! Mais cela ne reste que des sensations ou tentations. Je l’avoue j’ai eu des moments de faiblesse dans ma vie j’ai cédé au péché de la chair apparemment d’un commun accord, mais il me semble que j’ai rencontré ma femme oups pardon mon double féminin à cause d’une drague lourdingue et assidue et cela fait 34 ans que ça dure.


    • Diogène diogène 13 janvier 2018 10:00

      Pour compléter ces quelques règles, il convient de se référer à deux grands principes sur lesquels doivent se fonder désormais les modes de relations entre les spécimens de l’humanité porteurs d’un chromosome « Y » et les spécimènes porteuses d’une paire « xx » :


      principe n° 1 : la galanterie est un archaïsme directement lié à l’attitude paternaliste et hypocrite des vieux mâles qui avancent masqués vers les proies qu’ils ont repérées. Il faut donc combatter et éradiquer ce vestige des temps préhistoriques.

      principe n° 2 : la séduction, le maquillage et la mode étant des outils et des techniques mis au point par des coquettes dans le but de soutirer de l’argent aux mâles engorgés de testostérone, il convient de mettre fin à ces artifices qui ne font qu’entretenir la braise qui couve sous les cendres du machisme vaincu. 

      • BA 13 janvier 2018 11:00

        Samedi 6 janvier 2017 :


        Rennes. Elles refusent les insultes : deux jeunes femmes tabassées.


        Deux jeunes femmes ont été violemment tabassées, mercredi soir. La raison : l’une d’elle n’a pas supporté des insultes très dégradantes de la part d’un groupe de jeunes. Et a voulu le leur dire... Un fait divers qui fait réagir sur les réseaux sociaux, notamment du côté des politiques.


        Mercredi, vers 20 h 30, près de la place de Monténégro, dans le quartier du Blosne. Deux jeunes femmes de 17 et 21 ans s’apprêtent à rentrer chez elles, quand elles croisent un groupe d’une dizaine de jeunes qui squattent le lieu. «  Sans aucune raison, elles se sont alors fait copieusement insulter », résume un enquêteur du commissariat de police de Rennes. Des insultes très dégradantes et à connotation sexuelle. Insupportable.


        La plus âgée des jeunes femmes n’admet pas de subir ça et décide de ne pas en rester là. Elle se dirige vers le groupe de jeunes, alors que son amie essaye de la convaincre de continuer à marcher et de les ignorer. « Un des hommes lui a alors dit qu’il était le chef dans ce quartier et qu’il pouvait faire d’elle ce qu’il voulait. » Il s’agit d’un mineur de 17 ans, déjà connu des services de police pour de multiples délits, dont des vols, des outrages...


        Le ton monte et, soudain, la jeune femme est frappée et jetée au sol. Les coups pleuvent sur elle, dont plusieurs au visage. Son amie tente de lui venir en aide et subit le même sort. Elle aussi se retrouve au sol et doit subir des coups. « L’un des agresseurs en a profité pour lui voler son sac et partir avec. »


        Un habitant du quartier, témoin de la scène, intervient. Il va réussir à récupérer le sac volé, le téléphone portable en moins, et à extraire les deux jeunes femmes des griffes de leurs agresseurs. Il va les raccompagner jusque chez elles. La majeure a de nombreuses ecchymoses sur le visage et est en état de choc. « Elle ne voulait pas prévenir les secours et la police de peur de représailles, explique un de ses voisins. Mais elle a finalement accepté. »


        https://www.ouest-france.fr/bretagne/rennes-35000/rennes-elles-refusent-les-insultes-deux-jeunes-femmes-tabassees-5485831



        • Francis, agnotologue JL 13 janvier 2018 11:12

          @BA
           
          ’’Un habitant du quartier, témoin de la scène, intervient. Il va réussir à récupérer le sac volé, le téléphone portable en moins, et à extraire les deux jeunes femmes des griffes de leurs agresseurs. Il va les raccompagner jusque chez elles.’’
           
          J’espère que son geste sera reconnu à sa juste valeur, qui es très grande.


        • mmbbb 13 janvier 2018 12:40

          @BA pourquoi employez vous ce terme « groupe de jeunes » Qui etaient ils ? des voyous oh pardon des sauvageons oh pardon des « jeunes » . et qu elle etait leur physionomie Des bretons des Ardéchois des Bressans ? il est toujours étonnant que nous parlions par péri phrases !


        • Francis, agnotologue JL 13 janvier 2018 13:28

          @mmbbb
           
           pendant que vous y êtes, dites nous aussi quelle était l’apparence du héros.


        • Mmarvinbear Mmarvinbear 13 janvier 2018 19:07

          @BA

          Règle de survie numéro 1 : en cas de doute, visez l’entre-jambes.

        • Ruut Ruut 15 janvier 2018 15:47

          @BA
          Quoi il y a des zones de non droit en France ???????
          Mais que fait la Justice ?


        • mmbbb 15 janvier 2018 22:01

          @JL A LYON http://www.20minutes.fr/societe/2168283-20171115-lyon-an-apres-violente-agression-marin-garde-importantes-sequelles
          Si nous inversions les noms patronymiques , il est évident que la presse se serait déchainée comme a l accoutumée Rigolo


        • Mmarvinbear Mmarvinbear 13 janvier 2018 19:05

          En fait, le mieux, pour ne pas vexer les femmes, c’est de ne plus les fréquenter et de vous taper des mecs.


          Croyez-moi, on est bien moins pénibles à fréquenter, séduire, et on coute moins cher en cadeaux et restos avant de passer à l’acte !

           smiley

          • JC_Lavau JC_Lavau 13 janvier 2018 22:57

            L’ESCLAVE MÂLE : ANIMAL, VEGETAL OU MINERAL ?
            poèmes [ ]
            par Aline d’Arbrant, professeur à l’I.M.E.G.(1) de France
            - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - -
            par Aline d’Arbrant [Aline_d’Arbrant]
            2004-09-08

            Les Femmes dominantes, propriétaires d’un ou plusieurs esclaves, ont souvent une vision trop sommaire de la psychologie des mâles qui les servent. Elles ont tendance (mais c’est une réaction très normale dès qu’on commence à prendre l’habitude de la soumission des mâles) à assimiler leur esclave à un objet, à un robot domestique dénué de sensations ou de psychologie. C’est une erreur. Certes, le soumis mâle a une psychologie très rudimentaire qui l’assimile plus à l’animal qu’à l’être humain. On l’éduque comme un âne avec la carotte et le bâton, on le dresse comme l’écuyère dresse son cheval de cirque, on le fait agir par réflexe conditionné comme les chiens de Pavlov... Ceci est parfaitement exact. Cependant son systême de pensée mérite tout de même quelque analyse, aussi brève et succincte soit elle. Nous avons vu dans un autre article (2) que le soumis devait intérioriser les goûts et les idées de sa Maîtresse tout en tentant au maximum de se rapprocher d’elle par l’imagination permanente, et en temps réel, de ses sensations de Femme supérieure dont il ne peut avoir naturellement la moindre idée. Ce dépassement psycho-sensoriel auquel le soumis doit être astreint en permanence pour tendre vers l’idéal féminin, auquel il ne peut bien sûr pas prétendre, peut également être transcendé dans un progressif renoncement cognitif.

            Son état hybride, mi-humain mi-animal, est souvent inconfortable pour l’esclave. Son esprit toujours tendu vers les sensations inconnues et hors de son atteinte qu’éprouvent les Femmes supérieures, et sa Maîtresse en particulier, les travaux qu’il effectue quotidiennement pour elle et l’adoration qu’il lui voue en silence, l’aident sans doute à vivre son infériorité naturelle et son destin servile mais, hélas, ne peuvent suffire à lui faire oublier sa profonde inutilité générique. C’est pour cela que, souvent sous l’impulsion d’une Maîtresse un peu psychologue mais quelquefois par quelque pulsion personnelle, s’enclenche chez l’esclave un véritable processus de réification qui est très loin d’être dommageable, tant pour lui même que pour sa Maîtresse a fortiori.

            Il y a, nous semble-t-il, trois grandes étapes à cette intéressante « chosification » du mâle.

            La première est en quelque sorte « immobilière ». Le soumis entre dans une maison ou un appartement auquel il va être rivé (au sens figuré, mais aussi souvent au sens propre). Il appartient à la demeure de sa Maîtresse autant qu’à elle-même. Son horizon de vie (laquelle est devenue par nature essentiellement domestique) est limité par ses murs et l’une des tâches principales qu’il doit accomplir est de veiller à la propreté et au rangement de tout ce qui est enfermé entre ses murs. Son identification première avec l’espace immobilier dans lequel il est placé, parfois auquel il est enchaîné définitivement (3), est un premier pas dans le processus de réification du soumis mâle.

            La seconde étape est « mobilière ». Le mâle attaché à un lieu, et dont la fonction principale est de veiller à l’entretien de celui-ci et de ce qu’il contient, parfois à cause de la façon dont il est maltraité ou simplement ignoré par la population féminine qu’il doit servir ou, très souvent aussi, grâce à une conscience aiguë et intrinsèque de son infériorité naturelle, sent obscurément qu’il est utilitairement et psychologiquement beaucoup plus proche des meubles de la maison que des Femmes, par trop supérieures à lui, qui y vivent régulièrement. D’ailleurs, il accepte très facilement (voire apprécie dès les premiers jours de son asservissement !) d’être utilisé longuement comme n’importe lequel des autres meubles de sa Maîtresse (4). Ces autres meubles, qui sont en définitive ses principaux compagnons, peuvent devenir aussi ses rivaux. Un bon soumis utilisé comme repose-pieds par une Femme aura à coeur de rester au moins aussi stable qu’un vulgaire tabouret de bois. Il serait vexé de se voir préférer son compagnon d’essence végétale ! A l’inverse, il se montrera fier de pouvoir, contrairement à son confrère portemanteau, s’avancer jusqu’à celle qui aura suspendu, par exemple, ses vêtements de pluie et son chapeau à ses bras tendus ou sur sa tête. Peu à peu, cette fonction mobilière du mâle doit prendre le pas sur toutes ses autres fonctions plus animales jusqu’à, par exemple, ne plus croire qu’il est un esclave en train de laver le linge de sa Maîtresse mais bel et bien un lave-linge perfectionné en cours d’utilisation par celle-ci ou une autre Femme sachant le faire fonctionner.

            Enfin, fétichisme aidant, l’esclave se met souvent à envier puis jalouser les vêtements ou les sous-vêtements de sa Maîtresse, surtout quand celle-ci lui interdit tout contact direct avec son corps divin de Femme. Pendant la lessive à la main d’un soutien-gorge ou d’une culotte, ou lors du repassage méticuleux d’une robe, le mâle soumis imaginera ce joli linge collé à la peau de sa Maîtresse, frôlant sans cesse son corps et ses formes, s’imprégnant de son parfum et de son odeur intime, tous plaisirs à lui interdits. Aussi appréciera-t-il d’autant plus le choix que la Femme peut faire de choisir un placard comme lieu de remisage de son esclave. Les étages supérieurs de ce placard étant réservés aux vêtements, sous-vêtements ou chaussures de sa Maîtresse, l’étage inférieur affecté au mâle pour ses périodes de repos ou quand sa présence est indésirable dans les pièces résidentielles des Femmes. Lentement mais inéluctablement, le sujet soumis s’objectivise et devient une chose utile. Le processus de réification est accompli.

            Objet « pensant », certes, mais objet tout de même, le mâle gagne à être très rapidement « chosifié » et assimilé au reste du trousseau de sa Maîtresse. Tout y gagne en clarté dans les rapports Femme/mâle (ou Maîtresse/esclave, ce qui revient au même). Une place pour chaque chose et chaque chose à sa place, dit la sagesse populaire. La Femme dominante aura a coeur de faire pénétrer cette maxime dans ce qui sert de cerveau à son esclave, tout en lui faisant bien comprendre qu’il est bel et bien devenu réellement une chose, sa chose, et qu’il doit rester définitivement à sa place de chose, pour laisser vivre les Femmes à leur place de Femmes.

            (1) Institut Mixte d’Education Gynarchiste.

            (2) Vivre la vie de sa Maîtresse, apprentissage et réussite de la vraie servitude masculine.

            (3) Dans le monde futur entièrement gynarchisé que nous souhaitons, pourquoi ne pas donner le statut d’« immobilier » à certains esclaves mâles qui pourraient être cédés, dans les transactions immobilières de particulière à particulière, en même temps que le logement auquel il serait affecté et rivé, comme l’évier, la baignoire ou le trône des toilettes ? Cette mesure présenterait l’avantage d’avoir un esclave toujours parfaitement au courant de l’entretien nécessaire à toutes les parties du logement en cours de cession. Certains appartements pourraient même prendre une certaine valeur immobilière grâce au mâle qui y serait fixé.

            (4) Tabouret, lampadaire, table, porte-manteau, etc., les possibilités mobilières d’un mâle sont innombrables...


            • JC_Lavau JC_Lavau 14 janvier 2018 11:01

              @arthes. Ouaip !

              Quand la JAFe taxe Frédéric P** de douze mille euros d’amendes, en représailles d’avoir osé demander à voir sa fille, c’est juste un jeu, hein !
              Un jeu nécessairement innocent et charmant, puisque matriarque.

              D’ailleurs, vous devriez le savoir que quand on choisit la carrière de magistrate, ça n’est pas seulement pour la garantie de l’emploi, mais aussi voire surtout, pour exercer librement et impunément son sadisme.

            • JC_Lavau JC_Lavau 14 janvier 2018 17:39

              @arthes. Tu aimes le sadisme, surtout le tien.

              Moi pas.

            • La Voix De Ton Maître La Voix De Ton Maître 14 janvier 2018 00:52

              Moi, quand je me prend le panneau en pleine poire, je ne me vante pas !


              • soi même 14 janvier 2018 21:04

                Au fond , si j’ai bien comprit il nous reste plus comme espace les plages nudiste, bite à l’air,pour que notre gente féministe fassent son marché.


                • JC_Lavau JC_Lavau 15 janvier 2018 16:53

                  @soi même. C’est sensiblement là le projet d’Agnès Echène : réserver toute possession immobilière et toute parentalité au seul Femellariat.

                  Les travailleurs journaliers mâles, bôf ! Ils n’auront d’autre bien que leur peau et ce qu’ils peuvent porter sur leur dos.

                • Festivus Festivus 16 janvier 2018 10:12

                  @JC_Lavau

                  C’est déjà le cas.
                  Il y a selon la Fondation Abbé Pierre 141 000 SDF répartis comme suit 80% d’hommes et 20% de femmes et cela sans l’indifférence la plus totale.
                  Ce ne sont que des hommes, de la chaire à canon.

                  Enfin plus exactement car la société étant ce qu’elle est, le Secours Catholique a eu la bonne idée de mettre une dose de « femmes victimes parmi les SDF » pour mettre davantage en lumière la pauvreté en France.

                  Le prisme de l’information en France (mais pas que) c’est le féminisme radical.



                • JC_Lavau JC_Lavau 16 janvier 2018 11:00

                  @Ratatouille.
                  https://matricien.org/essais/echene/dissoudre-le-patriarcat-entretien-avec-agnes-echene/


                  Ah ! Le matriarcat, ce temps béni où les sacrifices humains étaient la règle, en choisissant les fils aînés.
                  Il n’y a eu que ce salopard d’Abraham qui désobéit un jour, et sacrifia un bouc à la place de son fils unique...
                   
                  A présent que le matriarcat a repris le pouvoir, les sacrifices humains sont revenus avec.
                  D’autres modes d’assassinat sont plus subtils : 
                  Etc. 
                  Mais le procureur fait passer en garde à vue les témoins gênants, pour les intimider.

                • JC_Lavau JC_Lavau 16 janvier 2018 11:03

                  @Festivus.

                  10 700 suicidés par an, dont 7950 sont mâles.

                  Les lobbies féministes ont un grand succès médiatique, et savent faire croire qu’ils représentent le progrès, la modernité. Tandis qu’il n’y a autour de vous aucun lobby qui vibrionne pour attirer votre attention sur la croissance des suicides, 10 500 en 1999, 10 700 en 2003, et sur la proportion toujours croissante des hommes sur les femmes sur ces décès :

                  Chiffres connus en 2003 :
                  7943 hommes,
                  2721 femmes.
                  Soit 5222 hommes de plus que de femmes.
                  Pour les 30-39 ans, le suicide constitue la première cause de mortalité, soit un décès sur cinq.

                  Influence du statut matrimonial :
                  Les femmes mariées de moins de 65 ans se suicident le moins.
                  Les veufs se suicident le plus, à 588 ppm, les divorcés à 373 ppm, les célibataires à 204 ppm, enfin les personnes mariées le moins, à 168 ppm, deux sexes confondus.
                  Les hommes veufs se suicident le plus.
                  C’est le suicide qui est la forme de mortalité la plus sensible au statut matrimonial.

                  Il est de notoriété publique que l’injustice aux affaires matriarcales et antifamiliales est partie active dans ces désespoirs de pères, et dans leur élimination par tous moyens.

                  Mettons ces chiffres en forme plus médiatique :
                  365,24 jours par an font 8765,76 heures par an.
                  10 664 suicides par an, font un suicidé toutes les quarante-neuf minutes.
                  7943 suicides masculins par an, font un suicidé mâle toutes les soixante-six minutes.
                  2721 suicides féminins par an, font une suicidée femelle toutes les trois heures et treize minutes.

                  Donc rien que les suicides font vingt-quatre fois plus de victimes femmes que les violences conjugales n’en font.

                  Et les jugements systématiquement iniques, sexistes misandres, font largement plus de 120 décès masculins par suicide annuels...

                  Ah oui bien sûr, mais comment le lobby des avocats fera-t-il pour faire du pognon avec la prévention des suicides ? C’est là qu’est leur problème, à ces très braves gens... La médecine et la prévention psychiatrique, ça n’est pas leur truc. En revanche, parlez leur de trafic d’influence, là ils sont bons, ils savent faire...


                • JC_Lavau JC_Lavau 16 janvier 2018 11:07

                  @Festivus. 

                  Voyons les statistiques d’accidents du travail :

                  En 2004, la branche Accidents du Travail et Maladies Professionnelles de la Caisse nationale d’assurance maladie (CNAMTS) a indemnisé 1,4 millions d’accidents du travail. Parmi ces accidents environ 700 000 ont donné lieu à un arrêt de travail. Source :
                  http://www.risquesprofessionnels.ameli.fr/fr/accidents_du_travail_2/statist iques_acc_travail_1.php

                  A l’échelon national, on compte environ 40 accidents du travail avec arrêt de travail pour 1000 salariés. Ce pourcentage, aussi appelé indice de fréquence, est en baisse constante depuis 1950.

                  Combien d’accidents du travail mortels ?

                  Une statistique mondiale par le BIT et l’OMS : http://www.who.int/mediacentre/news/releases/2005/pr18/fr/index.html

                  D’après une nouvelle estimation du BIT des accidents du travail et des maladies professionnelles1 qui causent la mort de deux millions de personnes chaque année, le risque professionnel est en augmentation du fait de la rapide industrialisation de certains pays développés. D’après une nouvelle estimation du BIT des accidents du travail et des maladies professionnelles qui causent la mort de deux millions de personnes chaque année, le risque professionnel est en augmentation du fait de la rapide industrialisation de certains pays développés.

                  En France, en 2004, 713 300 accidents du travail avec arrêt, pour 18 107 000 salariés.
                  Source : http://www.risquesprofessionnels.ameli.fr/atmp_media/AT-AJ-MP-trim-2006-09.pdf
                  Accidents mortels en 2004 : 578.
                  Maladies reconnues professionnelles, mortelles en 2004 : 516.

                  Autre source avec des chiffres plus élevés : http://www.inrs.fr/inrs-pub
                  [[1]]
                  Accidents mortels en 2004 : 626 (661 en 2003).
                  Maladies reconnues professionnelles, mortelles en 2004 : 581.

                  La ventilation par sexe n’existe pas dans ces documents. Il reste de notoriété publique qu’on n’envoie pas les femmes là où c’est dangereux ou nocif, on envoie les hommes, de préférence les travailleurs immigrés, du reste : bâtiment, industrie, travaux publics... Sans parler des maladies professionnelles agricoles dues aux pesticides.

                  Regardons les statistiques d’accidents du BTP, à http://www.inrs.fr/htm/statistiques_accidents_travail_maladies.html :
                  En 2003, le BTP occupe 7,4% des salariés mais recense 16,6% des accidents avec arrêt et 27,4% des décès, avec 181 décès.
                  Viennent ensuite les transports, avec 122 décès, puis la métallurgie avec 80 décès par accidents.

                  19 155 maladies professionnelles ont entraîné une incapacité permanente, et 581 le décès en 2004.

                  Mais bon, les maladies professionnelles de la classe ouvrière, et ses accidents du travail, cela n’intéresse pas ces dames du Barreau. Elles, elles n’ont jamais perdu un père, un oncle, ou mari ou un frère, ou un fils, d’un accident du travail, et encore moins d’une leucémie due aux insecticides, qui ne tuent pas que les insectes.

                  Alors on va les leurs mettre sous forme médiatique, ces chiffres qui n’intéressent pas la bourgeoise : Toutes les huit heures, un ouvrier meurt d’accident du travail ou de maladie professionnelle. Et il est rare que cet ouvrier soit une ouvrière.

                  La France est championne d’Europe de l’écart d’espérance de vie entre femmes et hommes.

                   


                • Festivus Festivus 16 janvier 2018 23:52

                  @JC_Lavau

                  Position impossible à défendre sauf à être taxer de misogyne, retrograde, surtout, et c’est bien le problème, par des jeunes mâles qui ne veulent pas (plus) incarner le Mal.

                  J’ai eu une remarque d’un jeune homme de 14 ans qui me demandait comment devenir gay parce qu’être gay est plus cool.

                  Si j’étais gay, je serai effaré par ce genre de propos car c’est cela qui desservirait l’assimilation en douceur de l’homosexualité dans la société hétérosexuelle.
                  Or, précisément, les misandres et autres tenants du Parti Fem Rad arrosent le feu avec l’essence de la société post-moderne et pointe les hommes comme des pyromanes.

                  La bête est l’homme mais c’est une bête traquée, fatiguée et blessée..




                • JC_Lavau JC_Lavau 17 janvier 2018 00:27

                  @Festivus. C’est bien pourquoi les oligarques financent habilement la propagande féminazie : pour mettre les peuples à genoux.

                  Regarde QUI « informe » Gudrun Schyman :
                  http://deonto-famille.info/index.php?topic=26.0

                  Comme c’est étrange ! Justement le machin à Soros !

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