OGM. Le guide des produits plus ou moins mangeables
Pour y voir plus clair avec ce qu’on achète, et notamment les produits avec ou sans OGM, voici un guide clair et bien documenté – élaboré par Greenpeace – des produits et des marques que l’on peut manger, de ce dont on doit se méfier, de ce qu’on peut rejeter.
La colonne verte liste les produits SANS OGM, la liste orange liste les produits contenant peu d’OGM, quant à la liste rouge, la plus fournie - hum ! - elle va peut-être vous préparer de belles scrofules cancéreuses bien sournoises !
Eh ! On a encore le choix de ce qu’on achète avec notre pognon. Encore faut-il avoir l’information sur ce qu’on met dans notre assiette, et laisser de côté tout ce qui est trop dégueulasse. Ce guide fort pratique nous ouvre les yeux.
Lorsque les marchands de merde verront baisser leurs ventes, ils changeront leur façon de faire. Le consommateur n’utilise pas assez sa puissance : c’est lui qui sort son portefeuille !
A imprimer ou mettre dans son i-phone avant d’aller faire ses courses !
http://guide-ogm.greenpeace.fr/guide
Illustration X – Droits réservés
16 réactions à cet article
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Bonjour,
Faire ses courses avec son i-Phone, c’est aliéner son jugement et faire allégeance au système de domination économique.
Nul besoin de guide, il suffit de fuir la grande distribution.
Dans les magasins bio indépendants, on ne croise AUCUNE des marques incriminées par ce guide, et on ne dépense pas plus, parce que l’on achète seulement ce dont on a besoin, autant que possible en « vrac ». Quand une « marque » figure sur un emballage, c’est simplement la signature du producteur indépendant.
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@Frédéric BOYER
tu as vécu avec le smic ou moins ? -
@foufouille
J’ai vécu des années avec peu.
Aujourd’hui, je suis seul. Mon budget alimentation oscille entre 200 € et 250 € par mois.
C’est beaucoup plus cher que dans un Mamouth ? -
@Frédéric BOYER
on ne dépense pas plus, parce que l’on achète seulement ce dont on a besoin,
Exact, j’ai testé par nécessité vu le montant exorbitant de ma retraite et je m’en trouve très bien.
J’ai le souvenir de pleins chariots (dont la moitié d’emballages), de gâchis (grignotage ou gaspillage) et de digestions lourdes et somnolentes alors qu’il me suffit de vérifier mon stock, d’établir une liste et de me poser la question chaque fois que je tends la main vers un produit : « en ai-je vraiment l’utilité » pour réduire la note alimentation et la consacrer essentiellement aux produits de qualité : si ça ne fait pas d’économies, ça ne fait pas de dépenses supplémentaires et c’est tout bénef pour le bien-être.
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@Parlez moi d’amour
on dirait de la propagande de bobo vert extatique.
le bio est beaucoup plus cher que le premier prix quand on met les pieds dans un supermarché. personne ne t’oblige à gaspiller. ni à grignoter.
le plat du jour pour un smicard n’a jamais été 17€. -
« Dire qu’il suffirait qu’on arrête d’en acheter pour qu’ils n’en fabriquent plus… » Coluche.
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@Rincevent
vrai et faux
vrai quand on peut faire son jardin et aller chercher des produits à proximité pour l instant , je dis bien pour l instant, car avec ce qui va être mis en place l agriculture de proximité va tendre à disparaitre "totalement ou presque) au profit des gros groupes et des grosses exploitations.D’ où le faux .... -
@Sozenz
Je n’ai pas l’impression que l’agriculture de proximité va disparaitre, au contraire. Chez moi elle est plutôt en plein développement, les producteurs ne voulant plus passer sous les fourches caudines des hypermarchés.
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autre point avec le codex alimentarius on appauvrit la diversité et les résistances par là même.
Les procès qui tendent à faire plier les exploitants vers une uniformité et les procès contre les exploitants refusant de traiter leur terre autrement qu avec des traitements chimiques quand il y a risque de maladies font plier certains exploitants de BIO ou de cultures raisonnées.-
« On a encore le choix de ce qu’on achète avec notre pognon. »
Un énoncé parfaitement stupide. Non, vous n’avez que le choix parmi ce qu’on vous propose.
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Décidément les modalités de parution des articles sur Agoravox resteront pour moi un mystère aussi insondable que le triangle des Bermudes .
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@Laissebéton
Pourtant c’est pas faute de cirer des pompes..
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Le problème avec le sujet des OGM, c’est que tout le monde a un avis, et peu de personnes savent de quoi elles parlent !Ainsi, la directive européenne 2011 18 qui fait loi définit de façon schématique les OGM comme tout organisme ayant fait l’objet d’une modification génétique qui ne se produirait pas naturellement. Rentre ainsi les lignées végétale issues de mutagenèse. Ceci dit, ces dernières font l’objet d’un statut dérogatoire (et c’est tant mieux !) qui peur permet d’échapper à la réglementation spécifique aux OGM issus de transgenese.Pourquoi est ce tant mieux ? Parce que plus de 2000 lignées végétales couvrant 175 espèces, dont environ 70% sont destinées à l’alimentation humaine ou animale, sont des dérivés mutagénisés, et sont donc des OGM. Parmi ceux ci, toutes les lignées d’orge sont OGM en France et en UE (mutagenèse) et donc tout ce qui contient de l’orge contient un dérivé d’OGM : toutes les bières, le whisky, le muesli et les céréales du matin, certains pains à l’orge, etc. Il en est de même pour les pamplemousses et autres agrumes, de nombreux fruits à noyaux, les pistaches, etc.Bref, si vous voulez faire une liste des OGM a statut OGM ou à statut dérogatoire, vous pouvez aller dans votre marché ou supermarché préféré, et noter à peu près tout ce qui se trouve en rayon...Manger sans OGM est donc une absurdité sans nom, et l’on mesure bien là au travers d’un discours convenu, toute la méconnaissance du sujet de la plupart des intervenants...-
@Ronny
En somme : les OGM c’est génial et vous êtes tous des nazes. -
Bref, si vous voulez faire une liste des OGM a statut OGM ou à statut dérogatoire, vous pouvez aller dans votre marché ou supermarché préféré, et noter à peu près tout ce qui se trouve en rayon..
De plus, sans que certains produits soient modifiés par manipulation en vu d obtenir tel ou tel gène actif.et en désactiver d autres ; un autre facteur vient modifier les caractéristiques d’un produit : La ionisation.
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