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Personne disparue ; les battues

Le samedi 30 octobre 2017, Alexia Davial-Fouillot une jeune femme de 29 ans parti faire son jogging vers 9h30 n'est toujours pas de retour à l'heure du déjeuner. Son mari inquiet appelle la gendarmerie vers 12 h pour leur signaler les faits. Le corps d'Alexia sera retrouvé par les gendarmes le lundi suivant à plusieurs kilomètres de son parcours habituel, calciné dans un petit fossé recouvert de branchages dans le bois de Velet-Esmoulin près de Gray (Haute-Saône), à proximité d'une battue citoyenne réunissant des habitants des villages alentours. Les enquêteurs vont passer trois jours sur la scène de crime. L'hypothèse d'un accident de la route ou d'un accident de chasse dissimulé semble écartée. Le corps aurait été transporté jusqu'au bois avant d'y être volontairement incendié. Le Procureur de vesoul a lancé un nouvel appel à témoins les invitant à : « signaler tout fait suspect constaté, dans les environs de Gray et de la forêt de Velet-Esmoulin, durant le week-end du 28 et 29 octobre, qui peut donner lieu à un signalement à la gendarmerie au numéro dédié : 03 84 65 11 45 » . 

Quand un individu se déplace dans la nature, il laisse derrière lui des traces de son passage. Pour réunir le maximum de chances de découvrir une trace de son passage ou un indice, il faut devenir une partie de l'environnement et faire corps avec la nature. Il s'agit là d'une attitude que beaucoup d'entre-nous ont perdu. La sélection de la zone des recherches commence par l'examen attentif d'une carte d'état-major de la région dont l'analyse permet de retenir les endroits propices à : un accident - une agression - à la dissimulation d'un corps - à une fuite, points qui feront l'objet d'une reconnaissance aérienne (hélicoptère ou drone avec prise de vue thermographique, infrarouges, fausses-couleurs), pédestre, aquatique, souterraine.

Autre atout, connaître le terrain et les personnes qui le fréquentent. Où font-elles paître leur bétail, couper du bois, chercher des champignons, etc. ? On constate trop souvent que les participants à une battue s'alignent sur un rang afin de couvrir le maximum de surface du terrain exploré, si cela a pour avantage de maximaliser la découverte d'une personne disparue, cela peut en cas d'homicide, venir contribuer à brouiller voire détruire certains indices. Il est tout aussi contre productif à un groupe de parcourir un chemin en file indienne. Des gardes-forestiers, « gabelous », chasseurs, louvetiers, braconniers seraient plus adaptés à cette phase de recherche. II faut être capable de suivre une piste, c'est à dire déceler des indices insignifiants aux yeux d'une personne lambda. Il convient de se montrer particulièrement attentifs aux indices : pédographiques - phytographiques - hydrographiques - topographiques. Il s’agit d’anomalies du sol : couleur, texture, relief (La terre remuée récemment présente une couleur foncée et son volume augmente de 1/5), et de la végétation (couleur, hauteur, inclinaison).

Dans le pistage les sens jouent un rôle important. Il suffit parfois de savoir sentir, regarder sous une lumière rasante, écouter pour découvrir un indice laissant subodorer une présence passée, présente ou future (traces dues à une reconnaissance préparatoire à une occupation ultérieure de la zone). L'odeur d'une cigarette, d'une eau de toilette, de terre remuée, etc., suffit à livrer une information à condition de prendre l'élémentaire précaution d'approcher la zone face au vent ! Les bruits peuvent renseigner sur : l'approche d'un véhicule, d'une personne, une activité humaine, les aboiements d'un chien trahirent une présence, etc. Là encore, retenez que le bruit voyage avec le vent. Qui se soucie d'aborder la zone de la battue au vent et de prendre en compte les ombres projetées ou absorbées ? L'absence soudaine de bruit est toute aussi informative que la présence d'un bruit. Si des oiseaux, insectes cessent leur activité, c'est que quelque chose les a dérangés. Le toucher (éventuellement prolongé d'une badine) permet d'écarter prudemment en s'assurant que on ne détruit pas ne serait ce qu'une toile d'araignée couverte de rosée, d'examiner un endroit recouvert par la végétation.

L'art du « pistage » repose sur la capacité à déceler et à interpréter toutes les traces et indices du passage d'un être vivant :

Au sol  : herbe écrasée (direction prise), empreinte de pas sur un sol meuble, pierre retournée (la couleur sombre est visible), pierre enfoncée par le poids du marcheur, objet perdu ou jeté (mégot, papiers, etc.), trace de sang (blessure), élément abandonné (fèces, urines, vêtement devenu inutile), traces laissées par les semelles des chaussures, etc.

En hauteur : éraflures faites par l'équipement transporté, « essuyage » d'une substance recouvrant une surface, branche cassée ou coupée, un feu de branchage, herbes hautes ou branches croisées dans un sens qui n'est pas le leur habituellement, rupture de toile d'araignée, partie d'étoffe restée accrochée à une branche, etc.

On distingue les traces temporaires qui bien seront balayées par le vent, la pluie, recouvertes de rosée, par la neige, ou évaporées sous l'action du soleil, des traces permanentes. Les principes de base qui servent à identifier, localiser et interpréter les traces sont : déplacement d'une partie du sol, de la végétation - tache de boue, sang, liquide, nourriture, baies qui ne sont pas naturelles dans l'environnement - le temps : pluie, soleil, humidité, saison, durée d'exposition d'un objet, autant d'informations susceptibles de livrer une information sur leur « date » d'apparition. Un paquet de cigarette jeté il y a une heure ne présente pas de décoloration ni trace de pluie, surtout si celle-ci a été absente depuis lors. L'humidité, la pluie entraîne la rouille d'objet ferreux. Le sac plastique biodégradable s'émiette après une exposition aux intempéries de quelques mois. Les débris : papiers, canette, restes d'un feu, excréments, équipement, etc., peuvent fournir de nombreuses informations (ADN, code barre..., etc.) sur les personnes qui les ont abandonnés. En présence d'un indice, il faut commencer par se figer sur place et observer tout son environnement alentour. Peut être que la personne a cherché à fausser ou brouiller les pistes. Dans ce cas vous découvrirez peut être une trace au sol qui viendra contre-dire une trace en hauteur ! Coup classique, « la marche à reculons », dans ce cas la longueur du pas sera moindre, les traces plus courtes, et l'empreinte de la partie avant du pied sera plus visible (en marche arrière le poids a tendance à porter à cette partie du pied).

Toute trace de pas est riche d'informations. Elle indique le type de la semelle et de la chaussure (ville, sport, « rangers » ne présentent pas les mêmes dessins ni le même profil) - le nombre de personnes et la direction suivie - le sexe, la pointure d'une femme et la forme de la chaussure ne ressemblent pas à une pointure 46 - la vitesse de déplacement (pas long et empreinte plus profonde) - la charge portée (pas plus court et talon plus accentué). Si la trace semble avoir été affectée par la pluie (trace remplie d'eau, contour moins net), cela signifie qu'elle est là depuis les dernières pluies. Si tel n'est pas le cas, on peut en déduire qu'elle a été faite après les pluies, la consultation d'un site météorologique permettra d'établir une fourchette. Connaître le nombre de traces de pas permet d'estimer le nombre de personnes composant un groupe. Il suffit pour faire de délimiter sur le sentier une distance de 4.5 mètres et de compter le nombre de traces dans l'espace délimité. Si le nombre de traces est faible, on porte la distance à 9 mètres et on divise le résultat obtenu par deux.

Sous l'action aérologique, le bord de la trace tend à s'éroder. Si elle est endommagée par une autre trace, il est possible d'en déduire laquelle est la plus ancienne et laquelle est la plus récente, ainsi que la direction suivie par l'une et par l'autre. Le vent et la vie animale de la zone viennent déposer des débris environnant dans les traces qui peuvent livrer une indication sur sa datation. Si elle est propre, elle est d'apparition récente. Sur un dénivelé, la trace de la pointe de la chaussure est plus prononcée vers la montée et les débris semblent comme chassés vers l'arrière. Lors de la descente, le talon s'enfonce plus profondément dans le sol pour « freiner » le mouvement.

Tout passage entraîne des traces sur la flore traversée. Les branches peuvent présenter une trace de coupure ou cassure laissant penser à l'utilisation de branches pour un camouflage. Une branche brisée ou coupée il y a une heure ne se présente pas du tout comme une branche cassée ou coupée il y a plusieurs jours, voire plusieurs heures. Des brindilles, une partie de feuillage, les baies tombées au sol peuvent avoir été écrasées par un pas ; à noter qu'une indication identique peut provenir de la vie animale : excréments d'animaux, nid de fourmis, trou de vers, etc. La rosée de l'herbe peut être manquante suite au passage d'un homme ou d'un animal (trace essuyée). Une épine a pu retenir un morceau d'étoffe de vêtement. Les herbes se couchent sous le pas et leur pointe indique la direction de la marche. L'herbe peut aussi présenter des traces laissant penser qu'une charge a été traînée en cet endroit. L'herbe pourra garder la forme d'un objet l'ayant recouverte, tente, sac-à-dos, forme d'un corps allongé, etc. Des végétaux ou des animaux appartenant à la pédofaune (qui vit dans le sol) ont pu être transportés d'un endroit dans un autre. Quand on marche sur des feuilles, celles-ci viennent s'agglutiner sous les semelles et quand le paquet ainsi formé devient trop lourd, il retombe au sol. L'empilement des feuilles indiquera de façon certaine la direction suivie et pourra permettre de retracer l'itinéraire emprunté. Le feu (allumé pour dissimuler des indices) détruira la végétation à l'emplacement de son foyer.

A proximité d'un fleuve ou d'un plan d'eau, il convient de chercher les indices : le long de la berge et de ses alentours immédiats - en eau peu profonde (pierres moussues retournées) - dans la végétation qui aurait pu servir à dissimuler la mise à l'eau. Toutes traces, éclaboussures, égouttures pourront trahir un passage, une mise à l'eau (déshabillage), ou le traînage d'un corps et/ou d'une embarcation.

Dans le cas d'une grande battue composée de citoyens, il conviendrait d'adopter une formation en « triangle » et de placer les chasseurs, gardes-forestiers à la pointe du dispositif. Autre précaution utile, refaire le chemin en sens inverse. Lors du retour on voit les alentours d'un autre point de vue et sous un éclairage différent. Pour tirer partie du moindre indice et de la moindre trace, il faut regarder autour de soi, s'agenouiller, et savoir profiter d'une lumière rasante qui contribue à accroître le contraste de la trace. Il faut aussi être vigilant à déceler les repères laissés par toute personne qui a marqué un endroit ou son passage, tas de pierres empilées, branche cassée dans une direction particulière, herbes nouées, sac d'engrais ou autre qui semble abandonné, etc.

En fonction des traces découvertes ou restées indécouvertes, le pisteur doit se poser la question de savoir s'il n'est pas en présence d'un ancien militaire ayant pu suivre un stage particulier. Une personne comme l'adjudant Chanal, affaire des disparus de Mourmelon, qui avait suivi différents stages « commando » y a sans doute appris l'art du camouflage et celui des caches, et à pu mettre ses connaissances à profit pour dissimuler les corps qui n'ont jamais été retrouvés... Les enquêteurs seraient-ils confrontés à une telle éventualité avec la disparition de la petite Maelys et celles de Marie Josée et Allison, épouse et fille de l'adjudant Francisco Benitez disparues en juillet 2013 ?

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12 réactions à cet article    


  • Nicolas_M bibou1324 10 novembre 2017 16:55

    Pour rappel, il y a environ 50 000 disparitions d’enfants en France chaque année, dont 30 000 qui sont au final retrouvés.

    Sur les restants, on estime qu’il y a environ 10 000 disparitions inquiétante (le reste c’est qu’ils sont parti avec leur autre parents, ou fugueurs multi-récidivistes....).

    Dit autrement, les enfants potentiellement victimes de prédateur dont on ne retrouve jamais le corps, il y en a 27 par jour.

    Cette année, seuls 2 cas ont été mis en lumière par les médias. Des histoires faciles où la famille en détresse espère un secours des médias et donc communique beaucoup. Des histoires à rebondissements probables et où le français complètement abruti par la télé peut s’identifier. Histoire de gagner quelques part d’audiences ou de mieux vendre sa feuille de choux. Mais où il est probable qu’on ne saura jamais rien, sinon l’histoire est trop courte et ça se vend moins bien.

    Les 9998 autres enfants disparus, on s’en fiche, faut pas ramener des histoires similaires trop souvent sinon le français moyen se lasse.

    • ZenZoe ZenZoe 10 novembre 2017 17:17

      @bibou1324
      Vos chiffres sont affolants.


    • sls0 sls0 10 novembre 2017 23:06

      @ZenZoe
      Affolants et faux si on se réfère au site des personnes disparues.


    • ZenZoe ZenZoe 10 novembre 2017 17:14

      Article très intéressant. J’ai lu quelque part que des drones étaient utilisés car une vue aérienne permet de mieux repérer un cheminement éventuel de véhicule ou autre.
      Sur des indices étant détruits par les battues, il faut avoir à l’esprit qu’on recherche toujours à retrouver une personne peut-être vivante mais blessée et que le temps presse et que plus il y a de monde pour chercher, mieux c’est.

      Sur le meurtre d’Alexia : entre le soi-disant départ à 9:30 et le début des recherches à 12:00.
      2 heures 30 me semble drôlement court pour agresser quelqu’un, tuer, déplacer, brûler, attendre le refroidissement du corps et recouvrir de branchages... Je ne serais pas surprise d’apprendre que l’autopsie a déterminé l’heure du décès bien avant 9:30 et que la pauvre femme n’est finalement jamais sortie faire de jogging. Enfin, je n’en sais rien et je parle trop vite peut-être..


      • Fpc ! 10 novembre 2017 20:22

        @ZenZoe

        « Sur le meurtre d’Alexia : entre le soi-disant départ à 9:30 et le début des recherches à 12:00. 2 heures 30 me semble drôlement court pour agresser quelqu’un, tuer, déplacer, brûler, attendre le refroidissement du corps et recouvrir de branchages... »

        Ce que vous dites aurait du sens si on avait retrouvé le corps deux heures et demie après le départ de la jeune femme. Votre « raisonnement » (qui n’en est certes pas un) est absurde, et quand on aussi peu de capacité de réflexion, on devrait éviter de l’exposer ainsi dans un forum comme celui-ci. 

        « Je ne serais pas surprise d’apprendre que l’autopsie a déterminé l’heure du décès bien avant 9:30 et que la pauvre femme n’est finalement jamais sortie faire de jogging. Enfin, je n’en sais rien et je parle trop vite peut-être.. »

        Quand on ne sait pas, quand on ne sait rien, se taire est aussi une attitude très honorable : arrêtez de vous exhiber ainsi, s’il vous plait !

      • alinea alinea 10 novembre 2017 20:32

        @Fpc !
        Ah bon !! je ne trouve pas le raisonnement absurde, et, au contraire j’admire cette réflexion !
        Vous démarrez bien votre participation à ce site !


      • Fpc ! 10 novembre 2017 20:41

        @alinea

        Relisez bien mon argumentaire et si vous ne comprenez toujours pas l’absurdité du « raisonnement » précédemment exhibé, je vous promets de vous l’expliquer très lentement. 

      • alinea alinea 10 novembre 2017 21:12

        @Fpc !
        Ce n’est pas un raisonnement, c’est une idée qui n’a rien d’absurde.
        De plus c’est le ton de votre réponse que je dénonce, vous pouvez bien trouver cette idée absurde, mais ce ne sera jamais que votre idée et vous pouvez l’exprimer d’une manière, comment dire, moins tranchée.et plus... sympathique.


      • Fpc ! 10 novembre 2017 22:20

        @alinea

        « Ce n’est pas un raisonnement, c’est une idée qui n’a rien d’absurde. »

        Relisez le message auquel j’ai répondu au lieu de bêler ainsi que « c’est une idée qui n’est pas absurde » : il s’agissait bien d’une tentative de raisonnement, selon lequel il n’est pas possible en 2 h 30 d’agresser, tuer, déplacer, brûler, attendre que ça refroidisse ...

        Moi, j’ai expliqué pourquoi ce raisonnement est absurde : le corps brûlé n’a pas été retrouvé 2 h 30 après (en fait, c’est deux jours plus tard, ce qui laisse largement le temps pour le déroulement des faits) quand vous ne faites que vous contenter de dire que l’idée n’est pas absurde ! (est-ce parce que vous « admirez cette réflexion » absurde que mon intervention vous gêne, ou parce que vous en êtes l’auteur ?)

        Essayez d’argumenter au moins, au lieu d’essayer sans y parvenir de vous planquer derrière vos leçons de politesse, de morale et de sympathie en répondant à la question qu’absolument personne n’a posée !

        Pour ma part, comme vous l’avez compris, je n’aurai jamais aucune sympathie pour la paresse de l’esprit, aussi ne vous répondrai-je plus ... 

      • alinea alinea 10 novembre 2017 20:37

        J’ai bien aimé cette pointilleuse description de ce que devrait être une recherche. C’est vrai qu’une meute en marche ne paraît pas adéquate !
        Cela fait partie de votre métier ? merci en tout cas pour cet article singulier et très fouillé.


        • sls0 sls0 11 novembre 2017 02:32

          Un plaisir et un étonnement quand un vieux garde-chasse décrit l’environnement où l’on est, le gite d’un lièvre, le passage d’un lapin garenne, le chien errant, le territoire d’un chevreuil, c’est incroyable ce qu’il voit.

          Un grand-père braconnier apprend aussi beaucoup de choses.
          Autre plaisir c’est d’entendre une discussion de garde chasse ou forestier depuis une cache que l’on a creusé et où on est en planque depuis plusieurs jours. Le plaisir c’est surtout quand il s’en vont sans rien remarquer.
          Il y a des personnes affûtées pour voir mais il y aura toujours plus affûté pour ne pas être vu.
          En une journée ces personnes affûtées fouille 4-5 hectares voir plus si elles connaissent l’endroit.
          Un diamètre de 1km c’est 80 hectares ou 20 personnes affûtées.
          Un diamètre de 10km c’est 8000 hectares ou 2000 personnes affûtées.
          Les battues traditionnelles ont encore de beaux jours. On explique bien ce que l’on cherche, les traces qu’il ne faut pas piétiner. Bon quand on découvre quelque chose ont évacue les personnes les plus proches et on les recense, pas la peine de fantasmer sur une empreinte d’un participant. Ensuite les hypers affûtés de la police scientifique.

          Une joggeuse normalement on s’oriente d’abord vers l’accident, la battue doit être rapide. C’est pas trop compatible avec la protection de preuves éventuelles.

          • pastounak pastounak 13 novembre 2017 00:01

            - petit aparté-

            Puisque il est impossible de faire connaitre au plus grand nombre, les pratiques récurrentes, de quelques uns, dans l’élite française (et ailleurs).

            Je partage avec vous ce qui semble impossible d’évoquer, sur les principaux sites d’actualités français.


            Une vidéo sur le sujet :


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