Qu’Est-Ce Que Tu Viens M’Emmerder Avec Ton Identité Nationale ?
Avant d’être français, de chair et de sang, je suis. Fait et refait.
Et cette chair, et ce sang, n’appartiennent à aucune patrie,
n’obéissent à aucun drapeau, ils sont miens, pour toujours, à jamais.
Ils sont ma seule et unique propriété, et je revendique le droit d’en
user comme bon me semble.
Mon identité, c’est mon sang, c’est ma chair, et tu ne peux rien y changer.
Tu ne peux rien y faire.
Avant d’être français, je suis fils, frère, cousin et oncle de.
Avant d’être français, je suis aimant, amant, compagnon de.
Et fier de l’être.
C’est ainsi que je suis, c’est ainsi que je vis, et tu ne peux rien y changer.
Tu ne peux rien y faire.
Je ne suis ni le fils d’un drapeau, pas plus que je le suis d’une nation ou d’un hymne.
Je ne suis pas rejeton de Charlemagne ou de Napoléon, mais de Verlaine et Rimbaud.
Je préfère me nourrir de Villon ou de La Boétie, que de Besson ou de Sarkozy.
Et si je dois mourir que ce soit sous la plume d’un Hugo plutôt que sous celle d’un Guaino !
Je ne suis pas et ne serais jamais le posthume héros de vos guerres et de vos carnages, ce temps-là est révolu, et d’ailleurs, si, comme je l’entends, vous avez tant l’amour de votre patrie, alors crénom de Dieu, montrez l’exemple, pour une fois ! En Afghanistan, donnez votre sang ! En Somalie, donnez votre vie ! Plutôt que de sacrifier, toujours, celui et celle des autres ! Donnez-lui vos propres fils, plutôt que les nôtres ! A nous l’Epad, à vous le front ! Allons quoi ! Vous l’aimez donc ou pas, votre patrie ? Eh bien, dans ce cas, vous dis-je, montrez l’exemple ! Que ce ne soit pas, toujours et encore, aux pauvres et autres miséreux d’engraisser votre République par la chair et le sang !
Puisqu’elle ne sera jamais, votre République, celle de l’égalité des chances – ô la belle foutaise ! La terrible enculerie ! – osons celle, moins chimérique, de l’égalité des risques ! Partageons-les au nom de la patrie et de l’amour de la nation ! Au nom du “vivre ensemble” ! Mais n’oubliez jamais que dans “vivre ensemble” il y a, avant tout : vivre !
Je vis et suis fait de chair et de sang, ensuite de quoi, peut-être, oui, je suis français.
Je n’ai pas honte de l’être, mais je n’en suis pas fier non plus ! Pourquoi, et pour quoi faire, serais-je fier d’être français ? Je pourrais, pourquoi pas, être fier d’avoir accompli ceci ou cela, oui, même ce peu-là, mais être fier d’être français .. Franchement, entre nous, n’est-ce pas un tantinet incongru ? Psychanalytiquement préoccupant ? Oh bien sûr, je l’avoue, j’eus comme une érection vaguement patriotique quand, et pour la première fois, l’équipe de France, celle de football, remportait en 1984, son premier titre ! Mais quand l’autre équipe, celle de Sarkozy, refile des Rafales aux brésiliens, ma foi, dois-je, la queue basse, faire acte de contrition tant, oui, je le confesse, je ne sens, là, aucunement vibrer une quelconque fibre nationale ?
Et si tu évoques ou me parles de République, je t’énumère, derechef, les noms de celles et ceux qui sont morts pour elle. Encore une fois, ce ne sont pas tes fils. Et pourtant, tu oses, toi, nous demander, à nous, ce que c’est d’être français et la fierté de l’être ? Toi qui refuses toujours, obstinément, de payer dignement ceux, sénégalais, kabyles ou marocains, qui se sont battus pour la France, notre pays ?
Non, je ne suis pas fier d’être français, je suis né français. Mais si d’aventure - et j’en suis fort marri - je devais en avoir honte, c’est à toi que je le devrais. Toi qui récite Pétain. Qui Lepénise nos fils et nos compagnes. Qui insulte et maltraite la Terre qui m’a vu naître. Cette Terre que j’aime, malgré tout, malgré toi.
Et si tu me parles de Moulin ou de ses ancêtres, je te répondrais, Joffrin, qu’ils ne sont pas morts pour la France, ou pour une je-ne-sais-quelle identité nationale, non, ils sont morts pour la liberté ! Et la liberté, par définition, n’a pas de nation, de patrie ou de drapeau !
La liberté, c’est un chant.
Un hymne, sa prison.
Avant d’être français, je suis libre. Libre de choisir mes liens, mes contraintes et mon fardeau.
Libre, entends-tu ?
Je suis libre et de l’être, je ris. Je suis librairie. Camus, Villon, La Boétie.
Et si tu me dis que cette liberté, je la dois, entre autres, à Moulin, ses ancêtres, j’en conviens. Mais puisqu’ils sont morts moins pour l’idée d’une nation que pour sauver la liberté, qu’est-ce que tu viens m’emmerder avec ta prison d’identité nationale ?
Ce n’est pas la nation qui fait l’identité, ni nos identités qui font une nation.
Et nous ne sommes pas plus français que nous n’étions, hier, tous des américains ou des juifs allemands.
Nous sommes, identitairement, au delà les nations. Et fiers de l’être.
Avant d’être d’une nation, je suis un être humain.
Or donc, voilà LA question, la seule qui vaille :
Qu’est-ce que c’est, être humain, aujourd’hui ?
58 réactions à cet article
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L’identité nationale c’est le respect des lois si celles-ci sont justes, c’est l’adaptation aux modes de vie du pays dans lequel on se trouve, c’est le respect de l’autre. C’est aussi ne pas importer afin d’imposer les coutumes, traditions ou religions de son pays d’origine. Si ceci est mis en application, alors quelque soit l’endroit ou l’on se trouve, on peut se considérer comme nationalement intégré. De ce fait, le débat lancer par Besson n’est que enfumage électoral.
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Après avoir pris lu, ici ou la, sur le Net, moult commentaires, un doute m’habite (ce n’est pas sale ..).
Bon d’abord, faut l’avouer, dans ce « texte » je ne développe pas grand chose. Il faut dire que l’affaire est compliquée. Que le moment choisi par Besson (via la voix de son maître, Monseigneur Sarkozy) est stratégique : il coïncide avec le rapport d’une commission planchant sur la Burqa, et dont on devrait avoir les détails la semaine prochaine, genre le 2 novembre (jour de la fête des morts - ça ne s’invente pas).
Je n’aime pas cette présumée coïncidence.
Itou, il permet (après l’affaire Mitterrand ..) ce débat, de (tenter de) regagner des points Smiles auprès de l’électorat de la droite dure.
J’aime pas, non plus.
De fait, n’aimant ni le timing, ni la méthode, je me suis cantonné au « lyrisme », que d’aucuns pourront qualifier de « boboïsant » (mais peu me chaut - je ne suis pas bobo, vraiment pas).
La vérité, c’est que je ne suis pas assez calé sur ce sujet que je considère être une affaire d’historiens, de philosophes aussi, mais pas vraiment de « politiques ». Encore que ...Il me semble, vu de ma fenêtre, que ce débat pourrait être intéressant, oui, mais s’il était de bonne foi. Or, ça part mal.
Il me semble que ce débat pourrait, oui, être passionnant, encore faudrait-il que les dés qu’on nous lance, tel un os à ronger, ne soient pas pipés.
J’ai bien peur que ce soit l’immigré qui soit visé dans les questions posées par M. Besson. Or, ce n’est pas - à mon sens - l’immigré qui met en péril, ce qui est nommé : notre identité nationale.D’autre part, j’entends et je lis que notre identité nationale serait inscrite sur les frontons des mairies : Liberté, Égalité, Fraternité. Ah ? ... Non. Je ne crois pas. Ce sont plutôt, les trois mamelles de notre République. Mais passons. A moins que quelqu’un veuille rebondir, je suis preneur.
Maintenant - et j’en discutais ce matin, au petit déjeuner - l’Europe, telle qu’elle se construit, la technocratique, se soucie-t-elle de l’identité nationale, celle du peuple français, comme celle du peuple allemand, polonais, espagnol, etc. ?
Qu’en pensez-vous ?-
@ l’auteur
L’Europe telle qu’elle se construit, la technocratique, se soucie-t-elle de l’identité nationale, celle du peuple français, comme celle du peuple allemand, polonais, espagnol, etc. ? Qu’en pensez-vous ?
Cette Europe est faites pour et par des financiers qui rêvent d’un vaste supermarché allant Vladivostok à la Roche sur Yon ! L’identité nationale n’est que l’épouvantail qu’ils agitent pour mieux diviser donc mieux régner. Les valeurs fondamentales tel que la solidarité, la fraternité et la liberté n’ont, à leurs yeux, aucun intérêt Euro/Dollars et ne servent qu’à ponctuer leur beaux discours écrit par des nègres afin de faire vibrer la corde patriotique des zombis lobotomisés par leur télévision. Comme vous avez pu le remarquer, la monnaie commune et le libre échange ont été très vite mis en place. Par contre une politique de protection sociales ou un Smic européen, ça vous pourrez toujours attendre. Leur but est de tirer les droits des populations vers le bas afin de mieux les contrôler et de s’enrichir personnellement. De plus, l’Europe est gouvernée par un ramassis de vieilles filles qui sont arc-boutée sur ce qui le reste de pouvoirs afin de conserver ses privilèges.
Conclusion : l’Europe est une idée merveilleuse qui ne verra jamais le jour tant qu’elle sera dirigée par des financiers ou des guignols roulant pour eux. Elle ne viendra que des peuples, eux-mêmes qui prendront leur destin en main par le biais, et j’en ai peur, d’une révolution.
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D’accord avec vous sur les motivations douteuses de Sarko lorsqu’il lance ce débat.
Cela dit, il me semble qu’on ne peut se contenter de lui opposer un « moi l’identité nationale je m’en fous », c’est le sentiment que je retire de votre article.
Pour reprendre le symétrique d’une de vos propositions :votre proposition : « Si tu te sens français alors verse ton sang pour elle, chiche ? »
une proposition symétrique : « Si tu ne ressens pas le besoin d’une identité française alors dissolvons la france et remettons nous en à l’europe ou autre, chiche ? »Votre commentaire à ce propos est d’ailleurs plus modéré : vient la question de l’europe et de notre adhésion à ce projet, comme quoi la question de l’identité surgit déjà à l’intérieur même de notre continent.
Je continue à penser que les francais ont des valeurs spécifiques à défendre, il suffit de voir ce qui se passe aux états unis ou encore dans les régimes islamistes pour le constater.
Un débat national, (mais sous quelle forme ?), qui remettrait sur la table les mots « liberté,égalité,fraternité », (qu’en a t on fait ? que sont-ils devenus ? que va t on en faire ?) sans chercher soit à glorifier soit à enfoncer, mais juste à prendre du recul, serait très utile.
Mais voilà, Sarko a de nouveau une longueur d’avance : il a lancé le débat, que va t il en faire ?La coïncidence avec le projet pathétique de loi sur la burqa montre bien le genre de microlorgnette qui va réduire le débat à une discussion hystérique et stérile, voire néfaste.
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J’aime bien vos textes en général et celui-ci en particulier
Merci-
Le gros texte de bobo !
« Qu’est-ce que c’est, être humain, aujourd’hui ? »Vous raconterez ca à ceux qui viendront prendre votre terre, sans vous offrir la leur !-
Ah je l’attendais celle-là, le mot définitif : bobo. Je n’en suis pas, monsieur. Mais si vous aviez pris la peine de lire le commentaire que j’ajoutais ce matin à ce texte, alors vous me parleriez de l’Europe, plutôt que de ceusses qui viennent prendre vos terres.
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J’ajoute que : si on ne peut plus verser dans une sorte de lyrisme sans se faire traiter de « bobo », c’est assez consternant.
D’où le lyrisme est la propriété du « bobo » ?
Et puis, c’est quoi : un bobo ?C’est quoi cette façon de réduire les autres à un terme grotesque, et je dirais même, issu du vocabulaire (limité) de la « pensée unique » ?
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@vilistia : un salmigondis, vous voulez dire ...
Mon Dieu, mais ça a l’air répugnant, cette chose !
Et on peut se faire vacciner ou il n’y aurait aucun espoir ?
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@ l’auteur
Oui je persiste à dire que vous faites partie de ces bobos qui se gargarisent de bons mots et de phrases toutes faites sur l’amour entre les peuples et la terre universelle.
Je pense que vous devriez faire un stage au milieu des autres peuples de l’amour, vous verriez qu’ils sont fondamentalement identitaires et qu’ils ne partagent pas vos points de vue.
Pour ce qui est de l’europe, nul besoin d’en discuter.
Si vous vous apercevez seulement maintenant que l’europe veut supprimer l’identité de chaque pays pour le remplacer par un bloubiboulga mondialiste, c’est triste. -
tient le guerrier frustré nous refait sont come back , la fibre guerriére ne vous quittera donc jamais
vous ne voyez pas plus loin que votre nombril ,allez garde vous et hissé les couleurs
l’auteur à une ilustration de l’identité tres realiste et dans ligne de mes pensées ,la votre serait plutot du genre retrograde
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@ProjetX : eh bien si vous persistez, persistez donc seul, que voulez-vous que je vous dise. Je suis bobo ? Soit ! Allez, hop, dans une case ! Formatez-moi comme un rat, au fond, qu’est-ce que j’en ai à faire ?
Tiens, je vais aller faire du Velib’ pour vous faire plaisir et me prendre en photo !Je me fous des peuples de l’amour, mon cher ami, mais à un point ! Qu’ils meurent, même. Oh la la. Et bon débarras ! Et s’ils ne partagent pas mon point de vue - ce dont je me fous absolument - tant mieux pour eux. Mais grand bien leur fasse.
Quant à l’Europe, pas besoin d’en discuter ? Mais vous savez que vous êtes bon à ratifier par le parlement, mon ami ! Ratifions ProjetX, et plus vite que ça !
Oh, je vois sur que sur un autre article vous commentez comme ci :
« Donc les gens ont toutes les raisons d’etre islamophobes !!! »Ah pardon, de vous avoir dérangé .....
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Un mot : Bravo ! C’est tout à fait ce que je ressens .Tout le reste n’est que racisme .Je n’ai pas dit antisémite ,c’est un gros mot celui là ,les autres sont permis . Où la folie d’un homme peut mener ? Les noms sont si nombreux dans ce domaine ,hélas !
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Trois choses (au moins) qui font que Besson est obsédé par l’identité :
1 - Il a un problème à régler avec sa propre identité : de socialiste, il est passé sarkoziste et il s’aperçoit que le maître étouffe sa personnalité, qu’il n’a pas d’identité propre.
2 - La honte d’être français monte partout dans le peuple (et sous le regarde du monde qui nous voit) : donc il faut chasser la honte par la fierté d’être français.
3 - A l’approche des élections, se poser en rassembleur c’est une bonne formule pour engranger des voix. Mais ne soyons pas dupes, le sakozisme ne rassemble pas : il divise ! Il détruit !
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J’ai bien aimé ce texte.... Quelle identité commune entre ceux qui se gobergent, qui n’hésitent pas à nous envoyer guerroyer à leur profit, nous exploitent dans leurs entreprises de merde pour un salaire de misère et nous ?
Aucune. Mon pays pour moi c’est Gracchus Babeuf, Blanqui, Louise Michel, Jules Vallès, Flora Tristan tous enfants de Spartakus. C’est aussi mon grand père et ses frères tous combattants malgré eux de la Grande guerre et dont ils ne sont pas tous revenus...
C’est aussi ma grand-mère que je n’ai jamais connu décédée à 25 ans atteinte par la tuberculose attrapée à la filature Le Blan et ses saloperies de particules de coton en suspension dans l’air.... C’est mon grand cousin Claude, résistant, combattant les nazis et pétainistes encore bien présents sur Avox, déporté au struthoff et mort à Dachau...
C’est mon père travailleur de la CEAT (l’entreprise possédée par les Tédeschi famille de Carla Bruni).... etc etc...
Quand on joue la Marseillaise, c’est sans moi. Le drapeau bleu, blanc rouge n’est pas mon drapeau mais celui de la bourgeoisie érigée en oligarchie dominante....
Et je me sens frère de tous les peuples dominés dans ce monde de souffrance (100 000 morts de faim ou de malnutrition par jour !)... et je soutiens leur résistance...
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Ne soyons plus Anglais , ni Français , ni Allemands.Soyons Européens.
Ne soyons plus Européens , soyons Homme , Soyons l’HUMANITE ;
Il nous reste à abdiquer un dernier égoîsme- La Patrie.. Victor HUGO
On ne meurt pas pour la Patrie , on meurt pour les Industriels... Anatole FRANCE (Prix Nobel de littérature en 1921...)-
L’identité nationale existe, c’est une langue et des coutumes.
Elle ne vient, ni de l’État, ni des nouveaux venus, mais de l’ensemble des citoyens.Ceux qui se sentent citoyens européens, ou citoyens du monde, sont très mal-polis.
En effet, ce sont eux les premiers qui acceptent de parler anglais à leur travail,
ou qui passent leurs vacances au Maroc dans un quartier dit français
et dont le seul contact avec la population locale est un achat de bibelots souvenir.-
Pourquoi avoir voter pour « Nos » députés Européens ??
Nôtre franc n’a t-il pas été remplacé par l’€ ??
Quelles coutumes ???....Haloween ? , Jeunesse « Macdonalisée » ? , Manger de la Paélla ?, des Pizzas ? , du Couscous ? ....au pays de la « Poule au Pot » !!!!
Monsieur sachez que la Langue « commune » des pilotes de lignes est l’ Anglais... !!!
Monsieur , comment nos entreprises se feraient-elles comprendre pour exporter ???
Monsieur , comment comprendre nos touristes ??? (nous sommes le 1er pays en nombres de touristes )
A quoi servent nos secrétaires Bilingues ???
etc....la liste est trop longue pour énumérer l’OBLIGATION de pratiquer une deuxiéme langue pour obtenir un emploi ...ou le préserver.... !!!
Monsieur , à l’approche de Noél....vérifier d’ou vient la couleur des habits du Père Noél ...une fois fait....vous comprendrez pourquoi ...nombre de citoyens parlent anglais.
La coutume est une seconde nature qui détruit la première . Blaise Pascal -
Réponse @ fhefhe, que j’ai apparemment mis en pétard.
Voici quelques paradoxes, qui justifient un débat sur l’identité nationale.(1) L’Union Européenne n’a pas encore de gouvernement supra-national, ce qui a permis au Président Chirac de dire non à la guerre en Irak.
(2) Un étranger peux devenir français s’il en fait le choix et c’est bien, pourtant un français lui n’a pas le choix, on lui impose d’être européen.
(3) On ne devient pas français par le droit du sang et c’est bien , pourtant un immigré à le droit au regroupement familial, donc par son sang.
(4) Un Français ne peux pas obtenir la nationalité de pays arabe, car ces pays imposent l’Islam et le droit du sang, pourtant la réciprocité devrait être une condition.
(5) Vous aussi, vous êtes contre la MacDonaldisation et donc certainement contre la violence du rap et contre l’éclatement de la famille, pourtant c’est le mode-de-vie avec lequel les États-Unis ont homogénéisé la planète, avec leur langue et leur système économique.
(6) La pluralité des cultures n’est compatible, ni avec l’homogénéisation anglophone, ni avec l’homogénéisation islamique. -
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Réponse @ monbula.
Je suis bien d’accord. Je pense que Sarkosy, cherche à s’approprier le thème de l’identité nationale, pour mieux la dissoudre dans la future identité européenne. Son objectif, une France dissoute dans une Europe anglophone.
Finalement il existe une différence entre la gauche et la droite, entre la gauche des droits et la droite des devoirs, mais il n’y a pas de juste milieux équilibré.
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@ Philippe Sage ; merci pour ce très beau texte.
La France offre autant d’exemples , de justice, de beauté, d’intelligence, de création, de rayonnement que de déshonneur, de bassesse, de vilenies, de trahisons, d’injustices, de crimes...
Comme la plupart des pays.
Ce sont les êtres humains qui font un pays, non le contraire.
Et ce sont les révoltés qui font avancer l’histoire, pas les moutons, ni les requins, ni les charognards.L’identité nationale ; une fumisterie, un piège pour gogos, un leurre pour rétrécis du bulbe.
Quant à tous les « de souche », les empotés revendicateurs de leurs « racines », je me permets de reproduire ici un texte déjà publié sur un autre fil :
la nationalité française, c’est avoir la carte d’identité nationale : point barre.
Quels que soient les gouvernements en place, qui ne sont que transitoires, quoi qu’en pensent les uns et les autres, la règle, elle, est intemporelle.
Quand aux « racines »,elles n’appartiennent qu’aux arbres, aux végétaux et... aux empotés.
L’homme est un être nomade ; il n’a pas de racines ; si on veut parler de ses origines, on peut faire référence à ses sources ; et c’est une différence essentielle, pas seulement sur le plan sémantique, mais surtout sur un plan ontologique.Partant de sa source, un homme réalise un parcours ; pendant lequel, il se mêle à d’autres sources, s’enrichissant de leurs apports, se fertilisant de leurs limons, découvre de nouveaux horizons, de nouveaux rivages, se joignant à un flot dont il peut, à tout moment, se détacher, pour tracer son propre cours, ou choisir un lieu où s’écoulera son temps.
Il peut, également, avoir le désir de remonter à ses sources, s’y ressourcer, les enrichir de son expérience acquise, décider d’y rester, leur permettre de donner naissance à d’autres êtres déjà plus fertilisés, qui iront, à leur tour, se mêler aux autres sources, d’origines diverses.
C’est cette capacité de mobilité, de mélange, de diversification, qui créé la richesse de l’être humain, c’est ce qui fait sa spécificité, et qui a fondé son histoire.
Constatez simplement la différence entre « se ressourcer » et « s’enraciner » ; et vous aurez tout compris.
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Réponse @ Philippe Sage.
Selon vous : « la nationalité française, c’est avoir la carte d’identité nationale, ceux qui ne sont pas d’accord sont des empotés ». Aucune ouverture au débat, quel autorité !
Croyez-vous que devenir catholique, c’est juste avoir un certificat de baptême, ou que devenir musulman, c’est juste avoir un certificat de conversion ?
Lorsque l’on distribue des droits aux gens, sans réclamer de devoirs en contrepartie, l’on constate que beaucoup deviennent des animaux.
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« la nationalité française, c’est avoir la carte d’identité nationale : point barre. »
En terme de droit évidemment.
En terme d’identité, de sociologie, de culture, pas du tout. -
Qu’est-ce que c’est, être humain, aujourd’hui ?
Tha’ t’s the quouestionne !-
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Mais bien sûr !
Donc , et en toute logique , tu renonces à ta carte d’identité , aux avantages sociaux s’appliquant aux Français , au RMI ,à la SS, à la CMU , et puis aussi au code de la route et à tout ce qui peut te paraitre comme « Français » ....
Il te reste à grogner dans ton coin ....
C’est bien !
maintenant va coucher ! et comme tu le penses , « Vive le capitalisme sans frontières ! »
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Yanne
ta noublié la CGT-
L’être humain n’est rien sans le langage et l’instruction qui permettent les relations avec les autres, et en France, instruction et langage sont français, aboutissent à une culture, à des références partagées qui définissent la nation française.
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et la nation française, sa culture son « identité nationale » ne serait rien sans tous les apports de tous les hommes et femmes de tous horizons, qui sont venus lui donner ses « références ».
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Exact Sisyphe
Pour ma part, mes ancêtres Goths sont arrivés un jour sans permis de séjour et sont fixés pour partie en Lorraine
Gonflés ! -
Sysiphe et zen.
Votre argument est à double tranchant et je pense que vous ne comprenez pas toute sa portée.
Votre propos est de dire : on a du mal à definir le francais car il est le résultat de tout une mixture. Faisons simple , mettons qu’être français , c’est d’avoir la carte d’identité.
Est-ce bien là votre propos ?
Alors sysiphe et zen , allons au bout du propos. Disons qu’au hasard des flux migratoires et le temps aidant, la france devienne une république islamique. On peut tout imaginer , n’est-ce pas ?
Mettons cela dans le possible. Et bien , sisyphe et zen , selon vos arguments , vous ne pouvez qu’être d’accord avec ce qui se passera. Dans votre tête , le changement est toujours positif (mixité , partage et enrichissement personnel) mais il peut être aussi négatif selon les points de vue. Pensez à quelque chose de négatif et imaginez que la france se transforme en ça puisque vous n’avez rien fait contre.
Vous allez peut-être me sortir l’argument que les gens changeront mais que la république et les lois francaises allant de pair avec la carte d’identité resteront, Donc que dans un sens , la france restera peu importe ses habitants.
Croyez vous sérieusement que si il y a plus d’un certain pourcentage d’une population autre , elle restera avec les mêmes lois qui était définies pour un certain type d’habitants qui sont devenues minoritaires ? -
Bon allons au casse-pipe.
Voici ma vision des choses :
Philippe sage, vous vous contredisez énormément dans vos propos sans que vous vous en rendiez compte.moi je dis qu’un homme qui met tant d’acharnement à prouver que l’humanité n’est qu’une , qui apelle de ses voeux le jour ou tous les hommes seront égaux et indissociable quand vous dites :
Et nous ne sommes pas plus français que nous n’étions, hier, tous des américains ou des juifs allemands.
Nous sommes, identitairement, au delà les nations. Et fiers de l’être.
Avant d’être d’une nation, je suis un être humain.
cet homme là est intolérant au dela de l’intolérance ordinaire , car l’intolérant ordinaire croit en la différence mais ne l’accepte pas. Vous , vous ne croyez même pas à la différence , vous évacuez le fait qu’un chinois , un mongol ou un arabe n’est pas un indien ni un mexicain.
Vous voulez effacer la différence pour ne plus avoir à la prendre en compte , pour rendre acceptable votre propre intolérance. Réfléchissez , qu’y a t’il de plus facile :
- voir les différences et les accepter.
- voir les différences et ne pas les accepter.
-vouloir effacer les différences pour ne pas avoir à les accepter.
J’ai bien l’impression que vous avez choisi la dernière solution.
Vous dites : nous sommes tous les mêmes , tous humain. Mais dans votre culture endogène , vous imaginez les autres comme vous , aimant raimbaud , voltaire.
Vous croyez que vos valeurs sont universelles , que l’idée de liberté , d’amour , d’intelligence seront les mêmes d’un pays à l’autre ?
On s’entend sur les mots : tout les gens de la planète veulent la liberté , la justice.
Mais derrière les mots , il y a les idées qui sont parfois diamètralement opposés. Croyez vous que votre idée de la justice soit la même qu’un afghan ou qu’un américain du texas ?
Croyez vous que votre idée de liberté soit la même qu’un moine boudhiste ou un mormon ?
Le francais sera légaliste quand l’afghan ou le texan sera légitimiste. et ce sont deux idées qui s’opposent.
Le « tous pareil , tous humain » est une grosse fumisterie inventé par les lumières (quel nom pompeux , est-ce à dire que tous les hommes avant eux étaient de parfaits connards ?) qui détruira la nation française par excès d’altruisme et de sophisme.
Il n’y a rien à faire , c’est une question de temps.-
Eh ben voilà !
Vous avez oublié une chose, cependant : l’individualisme.
En vrai, j’hésite. Entre me foutre de tout ou pas. J’aimerais me foutre de tout, mais - et ça m’ennuie - je n’y arrive pas.
Or donc, ce n’est pas de l’intolérance, ou même que je veuille gommer et différences et/ou ne pas les accepter, en fait, je m’en fous. Ça doit être cela.
Il y aurait donc le type qui écrit ce texte, et puis de l’autre, le type qui s’en fout, et qui lit amusé ou désolé, les commentaires.
Je ne crois pas que nous soyons « tous pareil », non. Je m’en voudrais de penser une connerie pareille.
Je crois en cette phrase de l’Arthur, le Schopenhauer :
« »Dans un monde où plus des cinq sixièmes des gens sont des gredins, des fous ou des imbéciles, les autres sont contraints de vivre à l’écart, surtout s’ils sont très différents, et, plus la distance sera grande, mieux cela vaudra.On doit se pénétrer de l’idée que le monde est un désert et qu’on ne peut compter sur la société." [A Soi-Même]Et donc, je m’en fous.
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ah le bon post du citoyen du monde qui se permet de ne prendre dans l’héritage français que ce qui l’arrange (verlaine et rimbaud, finalement c’est pas trop à son honneur d’ailleurs Rimbaud était un marchand d’armes qui a fait une petite crise d’ado en écrivant quelques poemes à la con) et s’arrogant le droit de refuser ce qu’il trouve politiquement incorrect (bon sarkozy bien sûr, Napoléon et que sais-je, sûrement François Premier ...etc...) tout ne nous expliquant le blabla habituel qu’il se reconnaît pas dans untel ou tel truc. (d’ailleurs on s’en fout).
ce pt’it branleur de posteur se serait rendu compte de ce que c’est d’être français s’il avait vu les troupes Allemandes défiler sur les champs Elysées. cette vidéo poignante, on voit les gens de la rue abasourdis avec la larme aux yeux, dégoûtés.
S’il n’avait aucune identité nationale, croyez vous qu’ils pleureraient ?
Si le drapeau qui flotte sur l’arc de triomphe ne vous fait aucun effet quand il est français, peut être en sera-til autrement quand il émanera d’une puissance étrangère ? A ce moment là sans doute vos considérations boboesques seront remises au placard car vous comprendrez ce que vous venez de perdre.
dommage qu’il faille arriver à des temps difficiles pour se rendre compte d’un certain nombre de choses qui se vautrent dans la paresse quotidienne du prêt à penser facile.
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Charles martel ,
J’ai bien peur que la france se soit embourbés dans la miasme du sophisme et du philosophiquement correct.
Quand la france et les français dans leur majorité exalte l’idée de « citoyens du monde » , les autres exaltent l"identité nationale. Il ne peut en résulter qu’un lent mais sur déclin de la france tel qu’elle existe aujourd’hui.
Qu’en pensez vous ? -
Pour moi le sûr et lent déclin de la France est dû principalement au déclin de ses élites. Les considérations philosophico mystiques des citoyens du monde n’ont finalement que peu d’importance, c’est juste le signe d’un certain confort de penser qui sera amené à être révisé le jour où l’auteur verra ce qu’il peut perdre.
Occupons nous déjà de nos élites, il sera toujours temps d’ergoter plus tard avec des Philippe Sage qu’on trouve en pagaille.
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Rimbaud était un marchand d’armes qui a fait une petite crise d’ado en écrivant quelques poemes à la con)
En voila un qui a tout compris.
Si c’est là les défenseurs de « l’identité nationale », vivement qu’on s’en débarrasse !
Et vive Paul Déroulède ! -
plus l’appât est gros, plus la prise est bonne. les lois de discussions sur internet sont incontournables !
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Ah, je l’attendais aussi celle-là, le terme à la noix, le terme à la con : citoyen du monde !
Citoyen de mon cul, oui, Monsieur Martel !Oui, je prends dans l’héritage français ce que bon me semble, comme vous, d’ailleurs.
Je me fous que Rimbaud ait été marchand d’armes, qu’il ait fait sa crise d’ado, tout comme je me fous de ce que pensais Louis-Ferdinand Céline.
Je ne me reconnais pas en untel, à la limite, il me distrait. Du monde. De vous, Monsieur Martel, même si, je vous le dis, vous me distrayez aussi, et je vous en remercie.
Je ne suis pas un posteur, mais un imposteur. Comme vous.
Et si une puissance étrangère vient hisser son drapeau sur notre belle France, mais monsieur, je les trucide, bien sûr. Je les empale. Je les ventile. Ah les cons, comme ils vont comprendre leur douleur ! Ou je m’exile au Danemark, comme Louis-Ferdinand Céline.
Je pense facile. Je suis d’accord. Vous pensez pas si compliqué non plus, Monsieur. Notre médiocrité est notre point commun. Je vous aime (comme dirait Chirac).
Vive la République, vive Charles Martel !
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On trouve aussi des Charles Martel en pagaille.
Ne me faites pas croire que « vous » allez vous occuper de « nos » élites, cher Charles.
Ne nous faites pas croire non plus que vous ne vivez pas dans un certain confort.
Et la paresse. -
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Ah c’est clair que tu viens de remonter le niveau.
merci
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Encore un article qui, sous prétexte de refuser le débat sur l’identité nationale au motif que « je suis avant tout un humain » et « Besson fait ça pour le régionale », lance le débat sur l’identité nationale voulu par Besson.
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Mais non, c’est juste que le débat sur l’identité nationale, on en veut pas. On s’en fout !!! On a bien d’autre chats à fouetter....
Et puis, ils vont encore situer le débat de l’identité nationale sur le pathos.... avec toutes les dérives à craindre.
Alors que la citoyenneté française, c’est quelque chose qui a trait à la raison (pas à l’amour dont il est question dans le pitoyable "La France, tu l’aimes ou tu la quitte).
Bref, je suis citoyen du monde, citoyen européens, citoyen français, citoyen de la région parisienne, et je préfèrerais qu’on parle de la crise (économique, écologique, sociétale) et de ses conséquences plutôt que d’identité nationale.
Je rappelle que l’uhème-pet veut lancer ce débat sur l’identité nationale à l’occasion des.... régionales ! Cherchez l’erreur....
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Réponse @ JahRaph, qui paradoxalement ne voit pas le lien entre crise sociétale et identité nationale.
Voici quelques autres paradoxes, qui justifient un débat sur l’identité nationale.(1) L’Union Européenne n’a pas encore de gouvernement supra-national, ce qui a permis au Président Chirac de dire non à la guerre en Irak.
(2) Un étranger peux devenir français s’il en fait le choix et c’est bien, pourtant un français lui n’a pas le choix, on lui impose d’être européen.
(3) On ne devient pas français par le droit du sang et c’est bien , pourtant un immigré à le droit au regroupement familial, donc par son sang.
(4) Un Français ne peux pas obtenir la nationalité de pays arabe, car ces pays imposent l’Islam et le droit du sang, pourtant la réciprocité devrait être une condition.
(5) Vous aussi, vous êtes contre la MacDonaldisation et donc certainement contre la violence du rap et contre l’éclatement de la famille, pourtant c’est le mode-de-vie avec lequel les États-Unis ont homogénéisé la planète, avec leur langue et leur système économique.
(6) La pluralité des cultures n’est compatible, ni avec l’homogénéisation anglophone, ni avec l’homogénéisation islamique. -
@Mr Pigeon :
Vous soulevez des points très intéressants, mais qui, à mon avis, relève moins du débat sur l’identité national (dont le périmètre est d’ailleurs très difficile à cerner) que des champs suivants :
(1) Le gouvernement de l’Europe, la souveraineté nationale concernant la guerre, cela concerne le rapport entre l’Europe et ses nations.
(2) Sur l’Europe qui se dessine, c’est un problème démocratique, on nous a imposé une constitution que nous avions rejeté par référendum
(3) Ce point concerne l’immigration
(4) Jusqu’à présent, le droit international s’est construit sur la souveraineté des nations, donc je ne vois pas où vous voulez en venir sur ce point.
(5) Juste suis plus contre la violence de notre société que contre nos ghettos et la violence du rap qui en découlent tous deux. Concernant ce point, je me situerais sur une ligne plus culturelle qu’identitaire. La souveraineté est importante aussi dans ce domaine.
(6) l’homogénéisation anglophone n’existe pas, l’anglais est et demeurera longtemps une langue d’échange ; l’homogénéisation islamtique est une chimère. La pluparilité des cultures est effectivement menacée, il convient de la défendre.
Amicalement,
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Aaah la race Canine !
Mais où avez-vous lu que je refuse le débat sur l’identité nationale ?
Oui, Besson a des arrières-pensées politiques, c’est évident. Le nier serait de la bêtise. .
Sortons de ce champ !Si un débat doit se faire sur ce thème, tant mieux ! Non ?
Pour le reste, si je mords dans l’os à ronger de M. Besson, vous mordez aussi, finalement. Mais vous n’êtes pas le seul.
C’est vrai que, au fond, 44 000 chômeurs de plus en septembre, voilà une nouvelle qui passe inaperçue, ou presque, c’est emmerdant.
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@ Pigeon
,
le pt 4 c’est juste un fantasme ? les pays arabes ça n’existe pas vraiment , il n’y a pas de ghuichet unique ni meme de règle absolue . c’est du cas par cas....les juifs marocains qui ont la nationalité marocaines sont -ils devenus musulmans ?
enfin il existe entre l’Algérie et la France des conventions bilatérales .la question est donc celle des binationaux et de leur statut.... -
Réponse @ fouadreden.
J’ai écrit au point (4) Un Français ne peux pas obtenir la nationalité de pays arabe, car ces pays imposent l’Islam et le droit du sang, pourtant la réciprocité devrait être une condition.
Bien sûr, que les locaux juifs natifs du Maroc, ou de la plupart des pays musulmans, bénéficient du droit du sang à la naissance. Cependant, je parlais des émigrés natifs de France.
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@ Philippe Sage.
Mais où avez-vous lu que je refuse le débat sur l’identité nationale ?
Dans votre titre. Quand un sujet vous « emmerde », il est rare que l’on souhaite en débattre.
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En même temps si tu t’ appelles Sanchez et que tu dois rester tout le temps debout c ’est pas rigolo ...
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Ouais c’est beau mais on connaissait déjà .poésie , théologie ou philosophie , à chacun son dieu de la liberté. j’y souscris bien évidemment
Mais, car tt est ds ce mais,
demeure ce pkoi cette question existe dans la société française.....
et là tt va péter....-
Mr l’auteur sans la patrie française vous ne pourriez pas dire ce que vous dites et vous promener allègrement dans vos divagations poétiques anarchisantes .
je ne pense pas qu’en Arabie Saoudite vous puissiez dire ce que vous dites et vivre ce que vous vivez .-
Je ne vois pas ce que l’Arabie Saoudite vient foutre là, cher monsieur ...
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philippe, vous vous foutez de pas mal de choses on dirait.
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Nous sommes avant tout des habitants d’une planète, où la cupidité humaine a dressé des barrières entre nous, par le pillage des énergies fossiles qui étaient un patrimoine commun, la religion pour asservir, l’état et touts ses dégâts 14-18 ,39-45 : (plus de 60 millions de morts pourquoi ?).
Notre petite vision nombrilisme causera notre perte : voir la tournure du futur sommet de Copenhague où seul l’individualisme étatique prime sur la survie de l’humanité !
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