Quand les violons l’emportent sur la raison
Une des choses qui me font penser que nous nous trouvons en plein matriarcat est l'impudeur avec laquelle les jeunes femmes dites "modernes" se dévoilent, parlent de leurs conquêtes, s'en vantent. Il fut un temps ou l'autorité du père n'aurait jamais été remise en cause en public. Dans nos sociétés, l'homme est constamment tourné en ridicule lorsqu'il résiste ou avili lorsqu'il se soumet à avoir les mêmes tares que la gent féminine : soin du corps, crèmes, régimes, épilation...
Les femmes ont un pouvoir phénoménal sur eux, trop grand. Et nos ancêtres avaient raison de les tenir à l'écart des décisions politiques en ce sens que lorsqu'une femme rie, pleure ou se dévoile, ils n'arrivent plus à faire ce qu'ils font de mieux : raisonner. Ils considéraient à raison toutes les femmes comme des magiciennes aux pouvoirs infinis. Ce pouvoir peut-être bénéfique dans le cadre d'un matriarcat "éveillé" c'est à dire dont le premier des soucis est la préservation des hommes, de leur bien-être car ils sont une denrée plus rare que les femmes. Ainsi, tout l'art des femmes serait utilisé pour éviter les guerres. C'est le contraire que nous voyons s'accomplir : des femmes qui appellent à la vengeance, à la haine, au meurtre, à la guerre, alors qu'elles ne la font pas. Alors qu'elle devraient au mieux relativiser, au pire savoir se taire. Nous sommes dans l'Ere de l'émotionnel. Nous voudrions que hommes et femmes soient égaux...qu'est ce que cela veut dire ? Un homme ne pourra jamais porter ni allaiter un enfant. Egality is a bitch. Et il faudrait qu'ils aient les mêmes capacités, les mêmes caractéristiques physiques, les mêmes envies, les mêmes buts ? Oui une femme est plus adaptée à faire et élever des enfants dans leurs jeunes années. Oui un homme est plus fort physiquement, plus raisonné et moins émotif. Et nous avons énormément besoin de ces qualités actuellement. Que les femmes cessent de tenter par tous les moyens de déviriliser leur mâle. Que les hommes reprennent leur place. Que les femmes restent à la leur.
Il est dans leur nature de vouloir disperser le plus possible leur semence et leurs gênes. Et cela nous gêne...reconcentrons-nous sur notre nature profonde, et nous comprendrons beaucoup de choses.
Les images choquantes sont en cela dangereuses et relèvent du sophisme quand elles font résonner les violons, la corde sensible, le trouble exacerbé. On tombe dans l'hystérie émotionnelle, l'éloge de l'affect, le panégyrique de la sensiblerie. Et on ne cogite pas de manière optimum et efficace quand on a de la musique plein les oreilles...
Bien à vous,
El Lobo
resistenzaeliberta WordPress
72 réactions à cet article
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cogno4 31 janvier 2013 11:28Ah ouais quand même.
Dénoncer les excès du féminisme, soit.
Mais de là a vouloir les renvoyer aux couches culottes et aux fourneaux en les excluant de la vie sociale...Dites moi l’auteur, qui êtes vous ?
Je demande parce que ce truc pue la « tradition » et la « religion ».-
Je suis une femme. Agnostique tendance anarcho-national socialiste.
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cogno4 31 janvier 2013 12:57Tu veux être soumise ?
Je te propose l’Arabie Saoudite.La femme telle que tu la décris n’a rien d’attirant, les potiches n’ont rien d’attirante, elles sont creuses, vides, et sans intérêt.
J’aime avoir du répondant en face, j’aime avoir quelqu’un sur la même marche que moi, et non à la cave, j’aime la réciprocité.Mais le pire dans cet espèce d’article réac, c’est de mélanger le fait que « l’émotion » à supplanté l’analyse dans bien des pans de la société (on le vois assez sur AV), avec le fait que la femme quitte enfin son rôle de faire valoir, de côte d’adam, de « truc » rajouté à la dernière minute, pour assumer le fait qu’elle compose la moitié de l’espèce.
Puis alors ça : anarcho-national socialiste.
Et mon cul c’est du poulet ?
Ca ne tient pas avec ton discours qui transpire le besoin de stabilité, d’autorité, de protection, tu affabules complètement, et tu prends les gens pour des cons. -
Je ne veux pas être soumise. Chacun son rôle, c’est tout. Pourquoi cela vous défrise ?
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Je partage votre point de vue sur la féminisation de notre société mais pas sur l’emprise de l’affect sur la raison sur laquelle devrait et doit se baser une décision. D’ailleurs, c’est là ce qu’apprend un décisionnaire qu’il soit homme ou femme.
C’est avec cette affectisation que nos politiques nous maintiennent en servage avec pour eventuel retour de baton, une prise de conscience collective sur l’importance de notre rapport au vivant et donc, à la prise de décision d’un changement de société et donc, un retour du patriarcat et l’avènement possible d’un équilibre.-
D’accord avec vous.
Les hommes, la masculinité, la virilité ce sont aussi beaucoup de qualités qu’aujourd’hui il semblerait préférable de taire parce que pas du tout dans l’idéologie dominante féministement correct. Il est de bon ton de rabrouer les hommes et d’ encenser les femmes ; et au nom de l’égalité. Va comprendre Charles ? C’est l’idée de plus en plus récurrente du féminisme (devenu d’Etat) que de tout ramener à un clivage des sexes que seules les femmes entretiennent en definitive.
Mais que l’on s’y trompe pas ici : ce n’est pas l’égalité qui est recherchée mais la suppression du masculin. Les études de genres que l’on va subrepticement nous coller dans les programmes scolaires (entrée de l’idéologie à l’école) en attestent : Ce qui est visée c’est l’abolition du masculin in fine. Disons la confiscation de celui-ci pour les hommes (ou pour le moins un rabotage sérieux) afin que les femmes puissent enfin se l’approprier. Cette abération, car cela en est une, vient des Ricaines féministes lesbiennes.Tout est dit quand on dit ça.
En résumé l’idéologie actuelle ou poliquement correct, c’est le féminin avec les dérives que l’on peut déjà constater. Une société molle en perdition. Sans réelle envie de résitance, sans aucune perspective politique, sans lutte, la servitude volontaire en quelque sorte. Avec pour seule perspective d’existence : la consommation. Être comblées, au sens propre et figuré, pour remplir le vide existentiel. La consommation et la phallus étant les deux moyens d’y parvenir.
Cela fait les affaires du NOM.
Je sens que ça va hurler.
ça lancera le débat.
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Essayez de vous demander par quoi et par qui les femmes sont, en fait, mises en scène ?Plus elles sont objectivées (prenons le simple cas des films -faits parqui pourqui avecqui- où même leurs paroles ne sont pas des paroles de femmes, mais celles des dialoguistes)et plus elles vont tenter de se défendre en faisant DEUX CHOSES CONTRADICTOIRES :- se conformer aux demandes (dequi de quoi ?) parce qu’il faut bien vivre, et aussi parce qu’elles le veulent bien, c’est ça l’amour,- se révolter contre le fait d’être objectiées, soit par des discours raisonnés (mais on les objective avec les termes qu’il faut pour les re-mettre à leur place : féministe par ex)soit par des comportements désordonnés parce que c’est tout ce qu’elles ont à leur portée (et là on les objective aussi avec les termes qu’il faut pour les re-mettre à leur place : hystérique, pute, etc..)Mais cela ne sert à rien car « en face », les hommes (pas vous, apparemment, puisque vous le dites) DE POUVOIR vont augmenter ce même pouvoir, et « en face » re-belote etc..ça n’est pas simple du tout, en fait, ni pour les hommes, ni pour les femmes.-
cogno4 31 janvier 2013 12:27Eh ben y a de l’écho dis donc.
C’est la qu’on se rends compte que c’est pas gagner d’enterrer le modèle familial issu des religions.
Une des choses qui me font penser que nous nous trouvons en plein matriarcat est l’impudeur avec laquelle les jeunes femmes dites « modernes » se dévoilent, parlent de leurs conquêtes, s’en vantentOui, l’homme qui aime le cul est un vrai mâle, la femme qui aime le cul est une salope et une pute, vous n’avez rien inventé, mais c’est toujours affligeant de lire ça.
Il fut un temps ou l’autorité du père n’aurait jamais été remise en cause en public.C’est ça, l’homme fort domine avec son gourdin entre les jambes, lequel gourdin fait ’uil a toujours raison et qu’il sait tout mieux que tout le monde, et la reproductrice sur patte ferme sa gueule et ne sort pas de sa cuisine sous peine de se manger une dérouillée.
Ce qui me sidère, c’est que ça ne semble choquer personne.
Y a qu’a moi que l’auteur inspire une espèce de dégout ?-
Votre reaction est quelque peu épidermique.
Les hommes qui se ventent de leur tableau de chasse se font très rares aujourd’hui, ils seraient taxés, comme vous semblez avoir la tentation de le faire (est-ce un procès d’intention, je ne le pense pas), de machos. Ils l’ont bien intégrés figurez-vous. Le plus souvent donc ils se taisent. Ou alors n’en parlent qu’en privé entre potes par exemple.
Alors que les nanas le font savoir bien plus largement et pas seulement dans un cercle privé.
Après nous avoir rabâché qu’elles ne mangeaient pas de ce pain là, pouvant ainsi plus aisément en faire le reproche aux hommes, voilà que non seulement elles en bouffent mais s’en ventent. Alors pourquoi nous seraient-il pas possible de crétiquer un comportement qu’elles même nous reprochaient et nous reprochent encore d’ailleurs.
Ah décidemment la paille du voisin sera toujours plus grosse que sa poutre.
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Rassurez vous : si si peu de monde réagit c’est que l’inconsistance et la débilité des propos ne méritent même pas un commentaire. ça sent même le troll ...
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« Des images qui relèvent du sophisme »
Il fallait l’inventer celle-là, El Lobo l’a fait !
Olé, un ola pour El Lobo !
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Bravo ! Je suis surpris de voir un tel article aussi peu politiquement-correcte sur Agoravox.
Je me désole tous les jours de voir se ramollissement des hommes. Tant pour ces mecs qui ne savent plus où se placer et qui sont en concession constante avec autrui, tant pour ces femmes qui cherchent des hommes, des vrais, qui sont des piliers sur lesquels s’appuyer.
La nature n’étant pas constante, les règles sociales non plus, je veux croire que ce n’est que le retour de bâton des siècles passés de patriarcat.
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Retour de bâton ? Peut être. Mais il faut savoir pardonner. C’est ce qui fait notre humanité.
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Témoignage intéressant. Le sincérité de l’exposé d’une expérience vécue ne peut susciter que l’indignation des esclaves du consensuel.
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Ce ne sont pas les femmes qui démolissent les hommes ce sont les sociétés qui démolissent les hommes et les femmes.
il est évident que sans fric ,les femmes étaient obligées de se soumettre.mais en travaillant, elles sont plus libres et se comportent comme des hommes libres.Jusqu’à ce que plus personne n’ait d’argent.mais dans ce cas-là , c’est encore l’homme qui paume le plus. Question d’image.J’ai lu qu’un homme qui fait la vaisselle a moins envie de faire l’"amour. Mais une femme aussi ! Ahahahahah !!!-
C’est un point de vue. .l’autre point de vue c’est que l’homme était autrefois contraint d’entretenir sa femme.
Vous vous imaginée contrainte d’entretenir monsieur pour qu’il reste à la maison et dispose de son temps à sa guise ?Vous considèreriez ça comme une soumission de votre mec ou comme une contrainte pour vous ? -
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Autrefois pour faire sa cour On parlait d’amour...
Autrefois s’il arrivait Que l’on se querelle L’air lugubre on s’en allait En laissant la vaisselle
Aujourd’hui, que voulez-vous La vie est si chère On dit : rentre chez ta mère Et l’on se garde tout
(Ah ! Gudule) -
Ce n’est qu’un mauvais moment à passer ! Nous n’avons jamais résolu un problème du premier coup !!
J’entends parler de tout ça, de tout ce que les uns ou les autres disent mais il se trouve que dans ma vie, mes ami(e)s, rien de semblable. Il existe des femmes qui sont des femmes et « ne se font pas mettre » ! et des hommes qui sont des hommes et « qui ne mettent pas »
Et puis il y a Tatcher, Lagarde, Merkel... : où on les place celles-là ?
Parler de sexe, parler de son intimité, sur facebook par exemple, n’est pas le résultat d’un « matriarcat », juste l’effet d’un « je le vaux bien » !
Tout se mélange à mon avis ; aux cas pathologiques de s’en sortir ; pour les autres, ça ne va trop mal, si ?-
lulupipistrelle 1er février 2013 01:17La Grande Catherine, Christine de Suède...quand les femmes ont le pouvoir elles sont des hommes comme les autres, ha,ha,ha.
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Shawford42 1er février 2013 01:20Et sinon, Lulu, Storm Bringuer, je peux la remettre dans son fourreau ?
Merci d’avance -
Shawford42 1er février 2013 01:23Tu me préfères, en Super Toutou ?
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lulupipistrelle 1er février 2013 01:39C’est un dogue argentin ?
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Shawford42 1er février 2013 01:40Tout ce que je peux dire, c’est qu’il danse très bien le tango
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lulupipistrelle 1er février 2013 01:42 -
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Shawford42 1er février 2013 01:44On est faits pour s’entendre, surtout quand je vois le charmantissime avatar en haut gauche de Morticia.
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lulupipistrelle 1er février 2013 01:51Ah oui, la guitare en arrière plan ? ... j’aime bien le jazz manouche, mais c’est pas exactement le style du guitariste de la maison.
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Shawford42 1er février 2013 01:54J’ai failli devoir faire ma Grande Monade.
J’irai donc plutôt brûler un cierge pour toi et pour ton salut, où tu sais, à Biarritz -
Elles cherchent pas à deviriliser le mâle , on leur a juste donné et on leur donne encore une vision fausse , mensongère du mâle , des relations hommes femmes et de l’histoire.
L’une de ces déformations étant... qu’on les aient maintenues depuis toujours en dehors des sphères de décision.
Quand on parle d’égalité , on parle d’égalité de droit. Personne ne prétend agir sur les bases biologiques.Si la sensiblerie , ou la sensibilité, est à la mode c’est parce qu’on est dans une société globalement pacifiée , et les hommes peu guerriers ni violents sont privilégiés par ces dames , en temps de crise c’est l’inverse et ils reviennent , etc... Ce qu’il faut critiquer c’est le fait de qu’on continue à dire que les femmes ne jouent aucun rôle là dedans , la guerre et tout ça je veux dire, pas que nous soyons non-violents ni exagérément brutes quand ce n’est pas la peine...
Est-ce que c’est vraiment celà être dévirilisés ?
Quand j’entends des gars parler de virilité et d’agir en types virils , ça se résume souvent pour eux à agir comme des enculés et rien d’autre. On insulte les homos et on bat sa femme , ou inversement , voilà leur idéal de virilité à ces bouffons. Voilà tout ce qu’ils en comprennent.Et , franchement , c’est les textes comme le votre qui font aussi que les revendications des hommes , contestant ce féminisme radical et puant justement l’irrationnel , sont constamment tournées en ridicule et assimilées à du masculinisme façon Zemmour ou Soral.
On défend pas une vision antédiluvienne du mâle mais le mâle dans toutes ses facettes possibles. Incluant ceux qui se « passent des crèmes... »« Féminiser la société » , ça n’existe pas , le côté féminin/masculin , ça n’existe pas non plus ,c’est des termes que l’on s’attend à lire dans ELLE , rubrique psycho , ça.
Il n’y a pas d’autorité ni de naturel tout puissant qui nous dise : tel comportement sera celui d’un homme et tel autre sera celui de la femme. Cette valeur sera masculine et celle là sera féminine...
C’est du vent tout celà , les valeurs changent avec le temps et les cultures ...Allez dire à un guerrier franc que sa longue chevelure fait efféminé ou à une indienne d’Amazonie que les cheveux courts c’est seulement pour les hommes ou même que son mari ne devrait pas se passer des onguents sur la figure car ça fait « lopette »...
C’est pas politiquement incorrect , c’est juste incorrect et à côté de la plaque si je peux me permettre.-
Je renonce à répondre. Trop de choses à dire. Lisez Soral.
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Si , si , répondez sans crainte d’être blessante.
Mais ne vous cachez pas derrière Soral. Je ne crois pas à ce qu’il dit.. -
ouaauou !!! ça décoiffe presque de lire un truc pareil... pas de mot assez fort pour m’exprimer...
L’auteure parle de raison mais oublie elle même d’en user. Un ramassis de clichés et d’âneries sans aucune limite. La liberté d’expression c’est bien, mais seulement quand on a un truc à dire...-
Anthony : pareil. Si l’on a aucun autre argument à opposer, on ne réagit pas. Merci.
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Vous abusez du mot mâle. Un problème ? Ne serait-ce pas ceux qui s’accouplent avec des femelles ?
Il semblerait tout de même que vous confondiez ou plutôt que vous n’appréhendiez pas la virilité pour ce qu’elle est : si elle n’est pas exempte de muscles, il est surtout question de raison et d’esprit. Est-ce que cela aura effleuré le votre ?
Pour ce qui est de la perception que certains en ont aujourd’hui, c’est celle que les féministes véhiculent depuis des décennies avec l’aide zélée des médias, à savoir :
- viril = gros con qui pue
Alors faut pas s’en étonner.
Il serait donc grand temps de lui redonner la réelle dimension qu’elle a et parler de ces aspects nobles complètement passés sous silence dans le seul but de caricaturer l’homme et donc de l’emprisonner dans des shémas dévolorisants afin que lui-même s’en détourne. Et alors les feministantes s’en accaparent. Elles en ont toujours rêvé.
Pour le reste, voir plus haut mon commentaire.
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Justement, je dis que ce qu’ils font le mieux, c’est raisonner. M’avez- vous bien lue ?
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Si si, je vous ai bien lu. Ce commentaire ne vous était pas déstiné. Je réagissais aux propos de nemotyrannus. Erreur de manip. qui m’a fait choisir « réagir à l’article » plutôt que « réagir à ce message ». Erreur d’aiguillage donc.
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D’accord, pas de soucis. C’est moi qui aurais du vous relire plus haut. J’aurai compris qu’il y avait quiproquo. Désolée.
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Ah , c’était donc pour moi...
Mais on est d’accord pourtant. La virilité ne se résume pas au muscle mais est un état d’esprit. Etre fort et protéger , rassurer.
Helas , les états d’esprit , comme je l’ai dit , ça change selon les lieux et les cultures , parfois même selon les gens. Et aucune de toutes ces dféfinitions ne peut prétendre avoir la primauté sur l’autre.Seulement voilà : Si certaines féministes sont dans des délires complets , certains qui se veulent virils font n’importe quoi aussi.
Viril ,pour eux, se résume , encore une fois , à faire ce que je veux car je suis le plus fort. Genre racaille de banlieue par exemple. Ou le type qui va foutre une torgnole à sa femme pour lui apprendre à vivre ou la corriger... Voilà , ces types aussi se veulent virils.Il y a également des imbéciles qui se prennent pour dieu et OSENT venir nous dire comment devraient se comporter les hommes et les femmes , et je ne parle pas des lois mais de gens accordant trop d’importance à des codes sociaux et moraux sans grande importance .
Et puisque dans leur vie ils n’ont jamais connu autre chose , dans leur tête , ils se disent que tout écart ou tout changement de mode de vie ou de conception des choses est répréhensible ou contre_nature pour les plus extrêmes...Ces types là viennent dire qu’un mec non violent , qui n’agi pas comme un John Wayne , qui se laisse pousser les cheveux ou qui prend soin de lui n’est pas viril... Ben cette conception de la virilité m’emmerde profondément. C’est une plaie , un reliquat des années 50 made in USA .Une petite preuve que c’est un peu débile : C’est que beaucoup font SEMBLANT en se montrant « viril » , ils sont dans un rôle ! Ils se forcent à ne pas pleurer et à faire les durs ! Ils savent qu’ils y perdraient face à leurs potes et aux femmes qui se trouveraient là... Même moi je fais comme ça !!! Mais le truc c’est qu’à un moment il faut se poser la question : Qui sont-ils pour me dire comment je devrais réagir ? Si ils sont pas contents , pourquoi ne serait-ce pas à eux de se bouger le cul et de changer , pour une fois ?
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Pauvre auteur qui vit dans un monde de femmes et d’hommes un peu primaire ou est atteint de schizophénie ?
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J’ai dû mal à lire les lettres du clavier :
skizophrénie. -
Argumentum ad hominem faux et irrecevable. Et apprenez à écrire schizophrénie, pitié, ne nous faîtes pas spectateurs de la votre.
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lulupipistrelle 31 janvier 2013 16:43J’ai eu un père, un athlète , ancien para, qui nous câlinait quand ma mère une petite femme sèche était d’une froideur terrifiante, au moins avec moi...
J’ai un fils et une fille... je ne supporterais pas un monde qui fasse la part belle à l’un au détriment de l’autre. En tout cas, leur éducation tient compte de leurs aptitudes personnelles, pas de leur sexe.Je ne comprends pas votre article. Vous souffrez peut-être et je vous souhaite de trouver l’apaisement. Ne ruminez pas.-
La définition de l’homme, de la femme, est bien complexe et de toutes manières évolutive autour d’une certaine évidence physique
Mais ce qui est sûr c’est que nous sommes en train de perdre, depuis 1945, un mécanisme secret ou implicite qui me semblait intéressant
Clotilde et Clovis tiraient tous deux profit d’un jeu implicite mais culturel, que partageaient les autres gens, consistant à créer deux espaces de débats. Un espace public et un espace privé, les autorités entre conjoints s’inversant en passant de l’un à l’autre. En public le puissant roi ne lâchait rien, Clotilde se taisait. En chambre, le roi capitulait et ça se savait.
L’espace de la chambre aura toujours été propice aux caresses.
L’espace public, aura été celui où il faut faire état de sa force pour tailler un menhir ou pour dégommer un Romain
Il me semble intéressant pour la fluidité des pensées et considérations, donc pour les intelligences, que chacun puisse passer d’un espace à l’autre en inversant sa vapeur
Lorsque l’espace public est à la lourde charrue et à la guerre, l’espace de la chambre lui est très contrasté et les deux postures sont exploitées à fond par chacun.
Chacun se montre ferme dans un des espaces pour mieux lâcher dans l’autre.
Lorsque l’espace public est à l’ascenseur, à la conduite assistée et à la paix de marchands de tissus ou à la guerre avec des manettes, l’espace de la chambre, lui aussi à manettes et à bidules électriques, ne lui fait plus contraste.
Les conjoints ne jouent plus de cette antique respiration blanc/noir.
Ils passent neutres, ils se rigidifient sur le milieu.
Ils sont centraux mais ne savent plus changer de position
Clovis et Clotilde c’était un couple avec marche avant + marche arrière
Les couples d’aujourd’hui c’est le point mort bloqué
Ce que je dis là, tout le monde le sait mais il y a quelque chose dans la situation trop neutre actuelle qui fait qu’on ne peut pas en parler
Sauf en une extraordinaire occasion telle celle qui s’est présentée avec le cas de Bachar el-Aszsad, qu’on aura trouvé dur et dont on aura interpelé l’épouse afin qu’elle le fasse plier depuis la chambre. En vain
Nous savons tous, sans jamais en parler explicitement, qu’il est intéressant que le père passe pour dur devant les enfants pendant que la mère passe pour conciliante.
Nous le savons mais nous ne trouvons plus le biais pour le dire depuis que les pères aussi doivent allaiter et langer leur enfant
Etant donné cette égalité de posture, je ne doute pas qu’avec la venue des nouveaux couples, on va voir, en salle de travail, les deux conjoints haleter, ahaner, hurler et transpirer pareillement, pendant que ce sera d’une troisième personne que sortira leur enfant
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« Chacun se montre ferme dans un des espaces pour mieux lâcher dans l’autre. »
(sans blague, intéressant) -
parmi ce qui est souvent reproché aux femmes, on trouve bon nombre de choses qui sont dictées par des hommes : qui lance les grandes tendances de la mode, aboutissant à des objets qui se veulent artistiques, luxueux, aux prix exorbitants, certes, mais parfois assimilables à de véritables tenues et accessoires de bizutage, sinon en majorité des hommes ? Qui leur impose un modèle de minceur frisant l’anorexie ? Qui oeuvre à forger des femmes, en particulier dans la tête des ados, une image de chair à phallus, sinon principalement des hommes ?
Avant de vouloir tout faire commes les hommes, les femmes auraient dû se demander s’il n’y avait que du bon à prendre comme modèle chez eux...
Par ailleurs, la nostalgie de l’auteur quant au « bon vieux temps » où les femmes étaient préposées à la becquetance et aux lessives prête à rigoler !!
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Cela vous fait rire ? Le réalité c’est que de nos jours, non seulement, elles doivent préparer la « becquetante » comme vous dîtes et faire le ménage, mais en plus elles doivent travailler...ah, oui, belle évolution. Vous savez très bien que dans la réalité, ce sont toujours les femmes qui en font le plus à la maison. Je préfère à la limite être dispensée de travailler, dans ces conditions.
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Ne pas travailler et ne pas vouloir s’exhiber n’est pas un signe de soumission. Et...je rêve...vous citez la Grèce !!! Alors qu’elles n’y étaient pas considérées comme citoyens, n’avaient pas accès à énormément de lieux réservées aux hommes, étaient la majeure partie du temps enfermées dans des gynécées et ne pouvaient pas faire d’autre métier que péripatéticienne...belle référence ! Ensuite nous avons deux autres exemples on ne peut plus limités où seule une élite avaient quelques rares droits et XVIIIeme siècle : Ah ? elles ne passaient pas directement de l’autorité du père à celui du mari et avaient le droit de vote ??? Vous révisez l’histoire !
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Oh comme je suis impressionnée !!! Vous trouvez UN contre exemple et en faîtes une généralité !!!
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Ahahaha encore une fois, vous n’avez rien compris : ce n’est pas parce que vous êtes capable de me citer quelques pauvres exemples de femmes sans grand talent qu’il faut en faire en généralité...le domaine de prédilection des femmes est d’influencer le monde derrière leur homme. Ce sont les grandes femmes qui font les grands hommes. Mais dans l’ombre.
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Question de point de vue. Je pense personnellement qu’elles ne cassent pas les briques. Quant à vous en citer une ? Il y en a des tas (Elsa Triolet, Mme Mitterand, les femmes de Victor Hugo, Cléopâtre pour César (bien que pour son pays elle ait fait de la merde) sa mère pour Alexandre le Grand, la mère de Napoléon, la mère et la femme de Kennedy...) Vous voyez comme cela se confirme : derrière chaque grand homme, une ou des grandes femmes, et qui ont su rester dans l’ombre à un tel point que l’histoire ne les retiendra pas toutes hélas.
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Des tas d’autres. Faîtes vos recherches vous même. Pas que ça à faire. Vous me faîtes perdre mon temps à ce stade, c’est tout. Sérieux,, mais vous avez que ça à foutre ou quoi ?
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Je ne porte pas de voile, je suis agnostique, mais je ne me mets pas de jupes au ras du c... avec des décolletés de dingue. Je tâche de m’habiller décemment sans m’exhiber, c’est tout.
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Je ne répondrai plus aux attaques ad persona, espèce de gros pervers, allez vous faire soigner.
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personam*
Et ne vous inquiétez pas pour moi, je n’ai pas besoin de m’exhiber pour plaire aux hommes. -
Encore une fois, loupé, loupé et loupé. Laissez tomber les attaques sur ma vie personnelle : elle est l’inverse que vous n’imaginez. Et je n’ai pas envie de vous en dire plus. Sachez juste que je comprends la polygamie, qu’aucun mec ne m’a jamais quittée (ça se comprend) et que je ne suis pas jalouse. Et de toute façon lorsque dans un couple les deux partenaires travaillent, la femme se tape quand même tout le boulot à la maison. Et ceci est une évidence dans l’immense majorité des cas.
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Oh, putain...
Quelqu’un a prévenu COLRE ?Bon, allez, je tente un truc.Il fut un temps où les femmes étaient des femmes et les hommes des hommes (jusqu’ici rien de trop licencieux).Puis est venu à l’idée de certaines féministe que la revendication ne devait pas se cantonner à l’égalité de traitement mais que les femmes étaient juste des hommes, en différent (bon, pas toutes et pas tous, mais on schématise).Depuis, elles se comportent comme des hommes et ça devient sacrément merdique.En plus, les hommes cultivent leur part de féminité et ne savent plus trop où ils habitent (sans mauvais jeu de mots)...Alors bon, c’est la merde.Marrant, mais ça me rappelle un autre débat où l’on réclame l’égalité pour tous et où l’on prétend que réserver le mariage aux hétéros n’est qu’une discrimination honteuse...Re-marrant, ce matin, je prenais pour exemple de l’égalitarisme forcené de beaucoup celui de l’assurance automobile où, à force d’à force, les femmes ont enfin fait reconnaître leur statut d’homme à part entière et ont obtenu un tarif ... supérieur de 9% à celui qu’elles avaient jusque-là !Bon, tout ça pour dire que cet article apporte un peu de fraicheur dans un monde de brutes (mot féminin).-
Ahahaha exactement. Egality is a bitch. Nous n’avons aucun droit. Nous n’avons que des devoirs ou des privilèges.
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Le chien qui danse 3 février 2013 13:29Vous ne faites pas envie avec votre univers de vaisselle et ménage assumé. Femme de service, c’est comme ça que mon père, pour faire viril, traitait ma mère. Elle, soumise, ne pouvait, lui donnant raison, s’opposer
C’est nous les fils, à l’adolescence, qui avons pris le parti de ma mère. Pour m’apercevoir e, fait, que le père doit jouer le viril, qu’il cherche un moyen, donc humiliation du féminin, version facile mais au combien répandue.
Pas un poil de virilité le père... Ah pauvre homme, pour finir, qui a du mettre sa sensibilité, sa tendresse de coté pour répondre à sa « réalité d’homme » et faire le pendant de « la femme ». Peur-être aurait-il du faire « la femme » comme disent les virils, mais alors quelle honte....insupportable.Heureusement que l’on tente de faire péter tout ça...
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Apparemment vous ne faîtes pas la différence entre un homme viril et un macho misogyne...trop long à expliquer, ouvrez un dictionnaire.
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Hahaha si vous saviez ! Pauvre de vous qui jugez sans connaître !
Et bien je vous laisserai dans votre ignorance. -
Loupé, je ne prie pas et je pense que Jésus est un prophète capable de miracles (comme beaucoup d’autres).
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Ai-je parlé d’abnégation sexuelle ? Je suis baptisée catholique et agnostique de sensibilité. Et je ne vois pas ce que cela change que je sois musulmane, catho ou hindouiste...
Et je ne suis soumise à personne. -
Ahahahaha merci pour cette interprétation libre et simpliste. Le niveau de votre raisonnement m’inspire tout ce qu’il mérite : vous laisser dans vos convictions surfaites.
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Et un athée n’a franchement rien à voir avec un agnostique. Ce serait même le contraire. Je ne voit pas ce que ce rapprochement vient faire là.
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