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Accueil du site > Tribune Libre > Qui se souvient de Monsieur Bill ?

Qui se souvient de Monsieur Bill ?

Voici un bon exemple d'un fait divers hyper-médiatisé puis tombé dans l'oubli. Monsieur Bill est pourtant l'illustration parfaite de la transposition de la fiction à la réalité, ou comment un jeune bourgeois du 16ème arrondissement s'est cru en pleine série noire et tua deux personnes.

Qui se souvient de Monsieur Bill, star des médias dans les années 60, guillotiné pour le meurtre d'une prostituée et d'un pompiste à 22 ans ? Je l'ai découvert dans le livre d'Alphonse BOUDARD "les grands criminels", puis j'ai acheté le livre de Marcel HAEDRICH "le vrai procès de Monsieur Bill". Le mieux serait de posséder les innombrables revues dont il a fait la couverture. Si quelqu'un les a, qu'il veuille bien m'envoyer des infos sur cette histoire. Françoise SAGAN, CLOUZOT, BUFFET étaient présents à son procès. Pour HAEDRICH, pas de doute, Georges RAPIN était fou, retardé mental, et son livre est également un pamphlet contre les journaux, accusés de rendre la justice à la place des tribunaux. Comme quoi, cela ne date pas d'hier. 

Une photo du film "Touchez pas au Grisbi" ne saurait mieux illustrer l'histoire de Bill. Celui-ci rêvait à coup sûr de ressembler au beau Monsieur Max, joué par Jean GABIN. Il a même copié son nom. Mais Monsieur Bill tient plus de Riton, le copain boulet qui se fait emballer comme un cave.

Le personnage de Georges RAPIN n'est pas si monolithique, puisqu'il sait se dédoubler pour séduire Nadine LEDESQUE, modeste apprentie-coiffeuse de 16 ans dont les parents sont concierges. Pour elle, il est un honorable professeur au Lycée BUFFON. L'argent coule à flots, et Nadine n'est pas difficile à éblouir. Dans son autre vie, il achète également un deuxième bar, le Porto, qui sera fermé du jour au lendemain. Georges RAPIN disparait alors pendant un mois et revient le jour de la fête des mères chez ses parents. Il semble vouloir se ranger et prend des cours de comédie chez Madame BAUER-THEROND.

Le 30 mai 1959, Monsieur Bill entraine Dominique en forêt de FONTAINEBLEAU sous un faux prétexte. Il lui tire dessus à plusieurs reprises, asperge son corps d'essence et met le feu, en prenant bien soin de verser de l'essence sur le bas-ventre et les pieds, car la malheureuse avait dit qu'elle avait été opérée d'un ovaire et qu'elle avait un cors aux pied. Il se rend ensuite chez Nadine, à qui il confie sa chemise pour la nettoyer et couper les poignets ensanglantés. Nadine nettoie le revolver et la valise qui sent l'essence. Il demande à Nadine de lui fournir un alibi et passe la nuit avec elle.

Nadine LEDESQUE et Mme RAPIN

Les policiers retrouvent la trace de Dominique grâce à ses escarpins, des talons aiguilles vendus à PIGALLE. Du SANS-SOUCI à Monsieur Bill, il n'y a qu'un pas, et Georges RAPIN est retrouvé avec son immatriculation. Le commissaire CHAUMEIL n'est pourtant pas convaincu quand il débarque Boulevard St GERMAIN, et que la domestique lui ouvre la porte. En garde à vue, RAPIN se tait, il pense que les policiers n'ont rien, mais a oublié son cher ami GRANIER, à qui il a trouvé malin non seulement de lui faire part de ses projets de liquider une fille, mais aussi de lui confier son flingue et le couteau à cran d'arrêt de Dominique.

GRANIER, entendant la découverte du corps de Dominique en forêt, apporte les objets au commissariat. Monsieur Bill balance tout. Nadine est incarcéré pour faux témoignage. Reçu par le Juge d'Instruction, RAPIN confesse sans qu'on ne lui demande rien le meurtre d'un pompiste en 1958 à VILLEJUIF. Celui-ci, nommé Roger ADAM, ancien déporté, a eu le malheur de traiter de petit con Monsieur Bill. Il lui a demandé de s'excuser sous la menace d'un revolver et lui a tiré dessus. En prison, RAPIN se vante d'avoir tué 11 personnes à un maton. d'où la couverture de DETECTIVE, sur les 13 crimes de Monsieur Bill :

 

C'est l'heure de gloire de Monsieur Bill, la presse se déchaine, et RAPIN leur en donne pour son argent en prenant des poses que même Alain DELON n'aurait pas osé, l'air impassible et les menottes bien voyantes. Et pourtant, au procès, sans doute lassé du confort spartiate de la prison, Monsieur Bill n'existe plus. Georges RAPIN renie ses aveux et se présente en jeune homme de bonne famille, perverti par PIGALLE et injustement accusé. Ses parents ont les moyens de le faire défendre par Maître FLORIOT qui est obligé de plaider l'innoncence.

Pour ce qui est du pompiste ADAM, RAPIN accuse quatre algériens, clients de son bar, de lui avoir volé son colt alors qu'ils étaient en voiture avec lui. Au président, il dira pour se justifier de s'être accusé du meurtre : "un patron de bar ne dénonce jamais ses clients !". Signe des temps, au procès, seule la mère du pompiste est présente. La compagne du pompiste, mère de leurs trois enfants, n'est pas légitime et n'a pas été invitée.

Pour Dominique, RAPIN accuse un souteneur prénommé ROBERT. Dominique le faisait chanter, et il l'a tuée sous ses yeux. Les deux compères auraient convenu que RAPIN s'accuse du crime le temps pour ROBERT de se mettre au vert. Le scénario classique. La faune de Pigalle défile à la barre et ne se rappelle évidemment de rien. Marcel RAPIN, le père, lui croit son fils innocent, et ergote sur les talents de comédien et les notes de classe de Georges. Il excuse tous les errements de son fils par les ennuis de santé.

 Maître FLORIOT s'est réservé son petit effet de surprise lors de l'audition des psychiatres, qui ont eu le malheur de fonder en partie leurs conclusions sur une lettre de RAPIN, entièrement pompée dans le livre "l'ange du suicide" de Maurice ROSTAND. Les experts diront que cela ne change rien et décrivent RAPIN, comme quelqu'un d'in-émotif, à la recherche d'émotions violentes et nourrissant un complexe d'infériorité.

 

Il faudra une demi-heure aux jurés pour condamner à mort Georges RAPIN. La légende veut qu'il ait refusé la grâce présidentielle de Charles DE GAULLE. Ce qui est sûr, c'est qu'il écrit au Président pour désavouer les démarches de Maître FLORIOT qui essaie d'obtenir sa commutation de peine. Je ne sais pas par contre si la grâce lui a été accordée. Je doute qu'il l'ait refusé, ou alors il était vraiment cintré.

Alors incarcéré, le 26 juillet 1960, lorsque la radio annonce l'exécution de RAPIN, Alphonse BOUDARD rapporte une anecdote :

"J'étais ce matin-là au sanatorium pénitentiaire de Liancourt dans l'Oise. Avec des détenus de toutes sortes....assassins, voleurs, violeurs, escrocs.. dans de grands dortoirs de vingt lits. Innovations pour l'époque, un haut-parleur qui nous diffusait la radio nous annonça l'exécution de Georges RAPIN...mort courageusement précisait l'information. Sitôt, les réactions se firent entendre..."le sale con, il ne l'a pas volé" "une ordure de moins" "bien fait pour sa gueule"etc.Il y avait parmi nous un certain Antoine R..un caïd marseillais qui purgeait une peine de vingt ans de travaux forcés pour le meurtre d'un truand dans un règlement de comptes. Brusquement, il est intervenu avec autorité :

- Taisez-vous.. Y a plus rien à dire. Il est mort en homme !"

Comme épitaphe, il ne pouvait pas souhaiter mieux monsieur Bill."

A lire : - les grand criminels d'alphonse Boudard, le pré aux clercs

 - le vrai procès de Monsieur Bill de Marcel Haedrich, grasset

Le SANS-SOUCI existe toujours, à l'angle des rues Pigalle et Douai.

 

13 crimes selon la couverture de Détective, pas vraiment non. Deux victimes, parce que Georges RAPIN a voulu transposé jusqu'au tragique sa vie rêvée de truand. Né dans une famille bourgeoise dans le 16ème arrondissement, couvé en raison du décès prématuré de son grand frère, son père Marcel RAPIN est sorti major de l'Ecole des Mines, et a été exfiltré en Espagne durant la seconde guerre mondiale, pour le soustraire à l'occupant. Georges RAPIN souffre d'un problème de croissance qui le fait plafonner à 1m45 à 14 ans, âge auquel sa passion pour les armes grandit, à tel point qu'il en ramène à l'école. Le maître-mot de son enfance est de ne pas le contrarier. A 5 ans, au théatre avec sa mère, il la force à partir à l'entracte car il n'y a pas de bonbons. A 17 ans, viré de plusieurs lycées, il commence à travailler. Ses parents essaient de le caser dans des librairies, dont GILBERT JOSEPH, d'où il sera licencié pour avoir été surpris en train de manipuler une arme. Après son service millitaire, il demande à son père de lui acheter un bar, à PIGALLE. Le père cède.


Dans les années 50, l'imagerie truand fonctionne à plein que ce soit par les romans "Série Noire" ou le cinéma, où le film policier règne en maître. PIGALLE est le royaume des vrais hommes, le julot, le micheton en costard qui roule en décapotable, et partage ses journées entre les parties de cartes et les maîtresses. Georges RAPIN a décidé de vivre cette vie. Il achète donc un bar, renommé le bill's bar, se prétend corse, roule en gordini, se promène avec un 7,65 avec la ceinture, et se fait le look adéquat, costard bien coupé, houpette à la zazou, lunettes fumées. Sur les photos d'époque, il est plutôt classieux, n'hésitant pas à prendre la pose l'air impassible, tirant sur une cigarette de ses mains menottées. A tel point qu'il est le sosie d'un autre truand, un nommé VIVIER, guillotiné dans les années 50 pour le meurtre des amoureux du Parc St Cloud, jugez plutôt, Bill est sur les deux photos à droite :

 

Le Bill's bar ne marche pas, et Georges RAPIN le revend à Georges GRANIER pour 600.000 francs comptant, plus le solde à crédit. Rebaptisé le SANS-SOUCI, le bar devient le port d'attache de Bill, qui fait de GRANIER son confident. C'est là qu'il rencontre Dominique THIREL, Muguette dans le civil, entraineuse de son état, qui devient la maîtresse de RAPIN. Ce dernier décide bien évidemment qu'elle va travailler pour lui, et qu'elle devra cravacher. Sauf que Dominique est déjà maqué à Stello, corse emprisonné à la prison de la Santé pour projection de films pornographiques en appartement. Alphonse BOUDARD émet l'hypothèse dans son livre que RAPIN s'est fait arnaqué. Trop voyant, il a perdu aux cartes près de deux millions de francs, trop caricatural, le cave a attiré les appétits. On lui met Dominique dans les pattes, mais pour qu'elle travaille pour lui, il faut qu'il paye la dîme à l'ancien julot de Dominique, ce que RAPIN fait sans sourciller. Quand Dominique lui signifie son congé, RAPIN comprend qu'on l'a pris pour un cave, et n'a plus qu'à se référer à sa mythologie pour savoir comment punir Dominique. Elle lui a manqué, et le vrai truand sait ce qu'il a à faire.


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48 réactions à cet article    


  • chmoll chmoll 14 avril 2009 18:44

    il était fasciné par le monde du grand banditisme, ce mème milieu qui lui faisait croire qu’il était des leurs en réalité il était leur clown
    bref il a joué il a perdu


    • maxim maxim 15 avril 2009 12:36

      si si ,je me souviens de cette actualité ,j’avais 18 ans à l’époque ...

      il faut dire ( et vous y faites allusion ) que c’était la pleine vogue du roman et du film noir ,qu’il y avait comme une mode à jouer les voyous ,rouler en Traction 15 ,la bagnole des truands et des flics ,se prendre pour Eddie Constantine ou Jean Gabin ,ou pour un acteur Américain de polars .....

      et puis le milieu fascinait ,il y avait l’aura de Pierrot le Fou ,du milieu Corse ,l’univers des maquereaux et braqueurs à la fois ,de Pigalle ,du quartier des Halles ....

      il faut dire également qu’il y avait tout un tas de gens frustrés qui rêvaient de se prendre pour des durs ,les bals du Samedi soir terminaient souvent en bagarre pour une broutille ,au nom du code de l’honneur ,il suffisait d’un regard un peu trop appuyé sur la nana d’un autre mec pour que ça dégénère ...

      et puis ,on sortait de la 2eme guerre mondiale ,il y avait eu celle d’Indochine ,et puis on était en plein dans celle d’Algérie ,le climat restait propice à la violence ,bref c’était une autre époque ....

      ce Rapin était un pauvre type couvé par Maman ,qui a voulu s’accrocher une paire « de couilles » en jouant dans la cour des grands ,il a mal choisi sa voie et a payé cash sa connerie ! on lui a coupé la tête et ça lui a fait les pieds ....

      au fait ,au sujet de la victime qu’il a brûlée ,ça se passait sur la Route Ronde en forêt de Fontainebleau ,et en tant que Bellifontain ,je connais l’endroit où l’on a retrouvé le corps !

      c’est à quelques minutes de mon domicile .


      • angelle 25 avril 2009 12:17

        Bonjour,
        Pourquoi n’a t’on pas enquêté sur la disparition de Jo le Hongrois qui a disparu le lendemain de la mort de la jeune femme. Cet homme était le dernier ami de Muguette
        Voir le Dauphiné Libéré entre le 06 et le 10 avril 1960
        AP


      • angelle 26 avril 2009 18:41

        Bonjour,

        Est ce que Jo le Hongrois est toujours porté disparu pour sa famille et ses amis ?

        Si oui, ça serait bien que les gens qui le connaissait sache que je pose ces questions.
        D’autre part j’ai su aujourd’hui que dans Montmartre , les gens du quartier ont dit qu’elle avait été enlevée rue des Abesses :elle aurait été poussée de force par 2 personnes.
        Le Dauphiné Libéré,début juin 1959, relate ce fait mais sans affirmer qu’il s’agit de Muguette.
        Si elle avait été seule avec Georges Rapin, elle n’aurait pas attendu d’arriver jusqu’à
        Fontainebleau pour réagir.C’était une personne qui avait du caractère. 
         
        Pourquoi l’a-t-on enmené jusqu’à la forêt de Fontainebleau ?

        AP


      • angelle 1er mai 2009 18:21

        bonjour
        toujours au sujet de Jo le Hongrois.
        Dans le message du 26/04/09 il y a une faute de conjugaison, rectification :
        si Jo est toujours porté disparu, Il serait bien que les gens qui le connaissent, sachent que je pose ces questions.
        J’ai été amenée à m’interresser à ce meurtre suite à des recherches personnelles.
        J’étais une petite fille qui devait avoir environ 16 mois quand Muguette a été assassinée.
        Depuis la 2ème quinzaine de mai 2008, je cherche à connaitre le nom de Jo.
        Il semblerait que ça ne plaise pas à certains.
        AP


      • tawash 27 mai 2009 10:37

        bonjour
        j’ai découvert cet article lundi, juste quelques jours avant le 50ème anniversaire de la mort de cette femme.
        Angelle tu n’avais que 16 mois et pourtant tu as l’air de la connaître.
         


        • angelle 19 juillet 2009 15:15

          bonjour
          est ce que Jo le Hongrois a disparu avec son vehicule ?
          si oui est ce que c’était une Panhard ?

          si une personne s’interresse à cette affaire je repose la question suivante
          Pourquoi Muguette a-t-elle été enmenée jusqu’à Fontainbleau
          J’ai mon idée sur la réponse que je ne peux pas mentionner
          Si vous vous interressiez à cette affaire vous trouveriez un élément qui interroge et qui
          est lié au fait qu’elle a été enmenée jusqu’à LA foret de FONTAINEBLEAU limite MELUN
          AP


          • tawash 23 juillet 2009 11:49

            Bonjour

            je m’intéresse beaucoup à cette affaire et j’aimerais comme vous en savoir plus. Sur Muguette. Sa vie. Son destin tragique. 
            Mais je ne trouve rien sur « jo le hongrois ». Il faudrait peut-être connaître son véritable nom.


          • angelle 24 juillet 2009 18:00

            bonjour

            j’ai


            • angelle 24 juillet 2009 18:38

              bonjour
              j’ai essayé de connaitre le véritable nom de Jo le Hongrois par différents moyens.Aucun résultat à ce jour.
              Sachez que j’ai des photos de moi prises au printemps 1960 ,avec mes « parents » dans une propriété dans laquelle il y avait un fief d’une organisation qui était combatue.
              D’après les renseignements que j’ai eu, il y avait des « grandes pointures ».
              Au printemps 1959 mes « parent » travaillaient dans une propriété qui se situait à environ
              9 kilomètres de la propriété où il y avait le fief.
              La soeur de l’un des mes « parents » habitait Paris .
              Le 02/05/2008 je suis allée à Paris dans le quartier de Pigalles et le hasard a fait que j’ai rencontré un monsieur qui avait tenu un restaurant au moment des faits.
              Il a connu Muguette et quand je lui ai donné le nom de la soeur de l’un de mes « parents »
              il lui a semblé que ça lui disait quelque chose.
              Je lui ai demandé son téléphone pour éventuellement lui poser des questions sur l’époque .Il m’a donné un numéro que j’ai du mal relever car il n’ya pas d’abonné au N°
              que j’ai.
              Encore une fois pourquoi a-t-on enmené Muguette jusqu’à Fontainebleau limite Melun.
              J’ai une idée du pourquoi.
              Il faut lire les journaux de début juin 1959 et taper sur internet le nom d’une personne dont
              parle jes journalistes.
              Compte tenu des éléments que je viens de vous donner, vous aurez vite fait de comprendre porquoi G.rapin s’est retrouvé avec un Robert ou Joseph qu’il ne connaissait visiblement pas et que personne ne connaissait à Pigalles.
              La Police aurait dû connaitre.
              A mon avis ils n’étaient pas Corse et n’étaient pas du milieu....................
              Qu’est ce qui peut bien être pire que le milieu quand on a la malchance de se trouver sur
              leur route ?
              AP


              • angelle 25 juillet 2009 15:42


                bonjour

                Il faut savoir qu’à l’époque il était courant que les jeunes femmes de Pigalles qui avaient des enfants les faisaient garder par la famille des autres femmes qui étaient dans ce milieu.
                D’après le Dauphiné Libéré , le journal, Muguette voulait quitter Montmartre.
                Son dernier ami, Jo le Hongrois, faisait peut-être parti de ceux qui avaient dû quitter en catastrophe la Hongrie en 1956 et il a pu se retrouver dans un milieu qui n’était pas le sien quand il est arrivé en France.
                Et si Jo le Hongrois et Muguette avaient eu le projet de partir ensemble ?
                Et si Jo le Hongrois avait trouvé la mort en allant chercher quelqu’un ?

                Muguette devait aller chez sa mère pour la fête des mères.

                AP


                • tawash 26 juillet 2009 23:01

                  Bonjour

                  Après vous avoir lue, j’ai beauoup de questions.

                  Compte tenu de votre âge et des éléments que vous avez en votre possession, est-ce qu’il serait envisageable que vous soyez sa fille ? Quels éléments pourraient nous donner à le penser ?
                  Je n’ai pas trouvé d’exemplaire du Dauphiné Libéré de l’époque malheureusement. J’aurais beaucoup aimé lire leur version des faits.
                  Si vous êtes son enfant, qu’est-il advenu de vous après sa mort ? Comment avez-vous vécu, grandi, avec un si lourd passé. Comment avez-vous appris la nouvelle ? Connaissez-vous le reste de sa famille ? Les amis qu’elle a connu ?
                  De quelle manière connaissez-vous autant de détails sur sa vie privée (sa visite prévue pour la fête des mères).
                  J’espère ne pas vous importuner avec mes questions. 
                  Comme je vous l’ai dis, j’aimerais simplement en savoir plus sur la vie de Muguette. 


                • Ikky Ikky 25 juillet 2009 22:22

                  Message d’Ikky,

                  lors du chargement du fichier, les paragraphes se sont mélangés n’importe comment. Vous pouvez aller lire l’article dans sa bonne version sur mon blog : faitsdivers.blog4ever.com


                  • angelle 27 juillet 2009 21:17





                    Bonjour

                    Je vous remercie de l’intérêt que vous portez à la vie de Muguette.
                    Vos questions ne m’importunent pas du tout , au contraire.Par contre je ne peux pas tout dire.Par exemple je ne peux pas mentionner de nom.

                    Sur mes papiers je suis née en 1958 en juillet.
                    J’ai des photos de moi prises en avril 1960 et je suis certaine qu’elle n’ont pas pu être prises après.
                    Sur ces photos je suis censée avoir 1 ans et 9 mois.
                    J’en parais plus.Les personnes à qui je les ai montrées pensent que j’ai plus de 2ans et que j’approche plutôt les 2ans et demi.

                    D’autre part depuis que je cherche du coté de Muguette et que je recherche le nom de
                    Jo le Hongrois j’ai eu des problèmes sur ma voiture et une personne qui essayait de m’aider a eu les mêmes et nous n’habitons pas le même quartier.Ca s’est passé en aout 2008. Le pommeau du levier à vitesse de nos véhicules endommagé à 2 reprises en l’espace de 10 /15 jours.Avec une lame il a été enlevé un bout du pommeau.C’est simple la plaque circulaire qui permet de voir où sont la seconde,la marche arrière, la troisième etc, ne tient plus.
                    Les jeunes ne font pas des dégradations de la sorte.J’ai discuté avec quelqu’un qui connait bien la banlieue et ça ne correspond pas du tout à des dégradations faites par des jeunes.Par contre il m’a été dit que ça ressemblait à une menace.


                    IKKY mentionne le nom de la personne, qui tapé sur internet va vous faire aller sur une affaire elle aussi particulière où il y a 2 thèses . Le nom défend une thèse.
                    Et là comme moi vous vous demanderez si le choix de Fontainebleau était un hasard.


                    D’autre part le 24/11/2007 j’ai écrit en AR à quelqu’un d’officiel pour lui exposer mes soupçons quand à mon identité.
                    j’ai appelé à plusieurs reprises l’endroit où j’ai adressé mon courrier : je n’ai jamais réussi à avoir quelq’un qui me dise le nom du service qui avait le courrier.
                    Le 02/05/2008 j’étais à Paris dans le quartier de Pigalles. Comme je l’ai dit précédemment j’ai rencontré un monsieur qui tenait un restaurant dans le quartier à l’époque.
                    Et il m’a également dit qu’il y a 20 ans une personne était allée à l’adresse des parents de
                    G.Rapin et cette personne *aurait certainement eu besoin et aimé les voir, les connaitre.
                    Les habitants de l’immeuble lui ont dit « mais ils sont partis après tous les évènements et ils sont sans doute morts ».
                    Le 02 ou le 03 juin 2008 je téléphone de chez moi à un ami et je lui raconte et je lui dit que fin mars début avril 2008 2 personnes sont entrées dans le café où je vais tous les samedi matin .Ces personnes se sont installées à proximité de moi et l’une des deux n’arrêtait pas de me regarder
                    et regardait d’un air complice la personne avec qui elle était.
                    Quant j’ai vu cette personne je me suis que je la connaissais mais je n’arrivais pas à mettre un nom .
                    J’ai raconté le 02/03 juin 2008 tout cela à cet ami et je lui dit que c’était peut-être la personne qui était venu il y a 20 ans bld St Germain à Paris qui était au café ce matin là.
                    Le 05/06/2008 on répond à mon courrier du 24/11/07 .j’ai reçu le courrier le 07/06/2008.
                    Ce courrier disait à peu près cela :« on vient de me transmettre votre lettre du 24/11/07(je l’avais envoyée dans une autre ville que celle où j’habite ) en l’état on ne peut pas revenir sur des
                    fait remontant à presque 50 ans et qui ne sont pas suffisament justifié. »
                    Est ce le hasard ou mon coup de téléphone du 02/03 juin 2008 qui leur a fait peur,car à mon avis il ignorait l’existence de la personne qui cherchait à rencontrer les parents de
                    G.Rapin.
                    De plus le 06/06/08 entre 18h30 et 20 h il a été déposé uniquement les pieds d’une planche à repasser devant l’entrée de l’immeuble.(il n’y avait pas la planche)
                    Le lendemain 07/06/08 je reçois la réponse , je vais voir mes voisins qui sont au courant de mes recherches , je leur montre la réponse à ma lettre du 24/11/2007 et je leur parle des pieds de la planche qui ont été déposés.Eux aussi confirment que cela a été fait en fin d’après midi.
                    Et comme moi ils pensent qu’il pourrait y avoir un lien avec mon courrier : message :
                    je peux toujours repasser
                    Le samedi après midi 7/06/08 je passe 3 coups de téléphone et je raconte la réponse du
                    courrier et les pieds de la table à repasser.
                    Le samedi à 22 heures les pieds étaient toujours devant l’immeuble, le lendemain dimanche matin vers 8 heures, plus rien. Je suis descendue au poubelle pour voir si quelqu’un ne les aurait pas mis dans une poubelle.Il n’ avait rien.Quelqu’un était venu les retirer dans la nuit.
                    entre la réponse à ma lettre et les pieds de table à rapasser, on est en droit de se poser des questions.

                     * le monsieur a précisé qui était cette personne, mais je ne peux pas le dire.

                    Je continue à chercher,mais quand on est pas enquêteur c’est difficile en plus il semblerait que j’ai en face de moi des gens particuliers.
                     
                    je vous remercie pour votre attention

                    AP


                    • tawash 28 juillet 2009 11:20


                      Je vous propose de continuer cette discussion par mail.
                      Ce sera peut-être plus simple pour vous.
                      [email protected]
                      J’espère à bientôt.


                      • angelle 13 août 2009 21:59

                        bonjour
                        en 1956/1957/1958 « mes parents » travaillaient dans une propriété qui appartenait à un parisien PDG d’une grande entreprise.La publicité télévisée fait l’article de ces produits de temps en temps.
                        Ce monsieur avait visiblement des relations ou le le bras long.
                        En effet j’ai rencontré un de ces employés qui m’a raconté l’anecdote suivante.
                        Ce monsieur s’est trouvé en situation de ne plus pouvoir conduire sa voiture, une Chambord.Il a alors demandé à son employé de conduire.Ils sont allés dans une ville et le vehicule stationnait à un endroit interdit. Ils étaient dans la voiture et les forces de l’ordre sont arrivés vers eux et leur ont demandé de partir.Le monsieur a sorti une carte de sa poche et ce sont les forces de l’ordre qui sont partis .
                        Cet homme qui avait réussi sa vie professionnelle,n’avait pas eu d’enfant avec sa femme.
                        C’est ce qui m’a été dit.
                        Cet homme est décédé en 1963 au printemps.


                        Le XX juin 1990 j’ai appelé la femme de son neveu, également décédé, je lui ai posé des
                        questions sur cet homme qui avait pour habitude de d’offrir le baptême des enfants de ses employés. Bref j’ai essayé l’air de rien de poser des questions.
                        Une semaine plus tard la seconde fille de « mes parents » a eu un accident de voiture dans le lequel elle a perdu la vie.
                        Son mari ,elle et ses enfants avaient été à une course de moto.
                        Ils ont repris la route après minuit suivi de la voiture de l’un de leur ami.
                        Les enfants dormaient chacun dans un voiture à l’arrière.
                        Ils roulaient sur une nationale quand soudain,elle voit arriver en face d’eux une voiture qui roulait sans lumière.Elle le dit à son mari qui avait également vu le véhicule sans lumière.Il donne un coup de volant sur la droite mais ne veut pas laisser aller sa voiture sur le coté car il ne voit pas si il y a un fossé ou un champ.Du coup il redresse sa voiture mais comme il tractait une moto , la voiture est partie comme une savonnette sur la gauche.
                        En face un autre véhicule arrivait qui n’a pas pu les éviter et a heurté le coté passager. 
                        Le vehicule qui roulait sans feux a continué à rouler.
                        Un motard est arrivé sur les lieux de l’accident, il a essayé de retrouver cette voiture mais en vain.
                        La voiture qui n’a pas pu évité la voiture avec la moto, avait été doublée quelques minutes
                        auparavant par ce véhicule qui roulait sans feux.
                        Pendant lontemps on a pensé bêtement que la personne qui conduisait devait être quelqu’un du coin ,qui revenait chez lui en ayant beaucoup bu.
                        Mais quand on réfléchit ,l’alcool altère ce que l’on voit, mais en aucun cas ne permet de voir et de rouler comme l’a fait le conducteur de ce véhicule.
                        Il faut savoir que déjà en 1987 les lunettes qui permettaient de voir la nuit existaient.
                        En effet aux archives Départementale une personne qui faisait l’armée à l’époque m’a dit que ses supérieurs avaient ce genre de lunettes.
                        J’ai toujours pensé que mon appel téléphonique du xx juin 1990 était pour quelque chose dans cet accident.
                        A mon avis je me suis rapprochée d’une partie de la vérité et je ne serrais pas étonnée que la personne dont je porte le nom et prénom soit dans cette famille ou l’entourage.
                        Les personnes qui avaient quelque chose à se reprocher ne pouvait pas m’attaquer directement car elles ne savaient pas ce que j’avais découvert et surtout à qui je l’avais dit.
                        Donc ils ont du provoqué un évènement sans avoir l’intention de donner la mort,pour me stopper et avoir le temps de savoir où j’en étais pour éventuellement m’empecher d’avancer.A l’époque je pensais que je pouvais être la fille de la soeur de l’un de « mes parents » à PARIS qui a sans doute connu Muguette.Ils ont du être rassurés et c’est sans doute pour cela qu’il ne m’est rien arrivé.

                        Comme tous les autres, la personne qui a trouvé la mort dans l’accident avait le droit de vivre et comme pour tous les autres, justice doit lui être rendue.

                        D’autre part il serait interressant de savoir avec qui Muguette était à PARIS début 1957.
                        Si on a pu l’attirer rue des Abesses c’est peut-être parce qu’il avait dans ce quartier un ancien amoureux qui n’avait pas plu à la famille de celui-ci.
                        Est ce que ça ne pourrait pas être un homme qui a été retrouvé mort dans un voiture dans une rue proche de celle de la rue des Abesses .C’est arrivé quelques années plus tard .Je ne suis pas arrivé à retrouver l’année.J’ai le nom de la personne.On me l’a dit.
                        Une personne qui habite cette rue
                        Un monsieur qui habite cette rue,dans l’appartement de ses parents.Il se souvient d’avoir entendu ses parents parler de la mort de cet homme.
                        D’après lui ça pourrait être début 1970 mais il ne se souvient plus. Et
                        un couple qui a habité pendant 30 le quartier de Montmartre , le monsieur le croisait régulièrement .Il se souvient d’être rentré chez lui après le travail et la police était dans la rue, on venait de trouver le corps dans la voiture et il parrait que ça devait plusieurs jours qu’il était mort.
                        Le bruit a couru qu’il avait été assassiné, mais d’après ce qu’on l’on m’a dit, la presse n’aurait pas écrit beaucoup sur ce fait divers.
                        En 2007 on m’a orienté vers ce nom, mais ce n’est qu’en mai 2008 que j’ai su qu’un homme portant ce nom était mort dans ces conditions.QUEL HASARD !

                        J’aurais besoin d’être aidée dans toutes ces recherches.Seule ce n’est pas évident .

                        AP


                        • ANGELLE 10 juillet 2010 15:35

                          Bonjour,

                          J’ai trouvé il y a 25 ans ,lors du décès de « ma grand-mère » une broche au fond de la poche d’un vieux manteau représentant une croix qui ressemble à la croix de Lorraine et une rose.
                          J’ai su il y a peu de temps que la croix chrétienne des Hongrois avait la même forme.
                          La photo de cette broche est sur un site français d’annonces gratuites à la rubrique bijoux et la région 38000.
                          Si quelqu’un peut en déterminer l’origine ou veut avoir des renseignements complémentaires pour retrouver l’endroit où elle a pu être faite, elle pourra me contacter par ce site.


                          D’autre part est-ce que quelqu’un sait si les commissaires de Melun et Paris sont toujours
                          vivants.
                          Peut-être que eux aussi se posent des questions par rapport à la disparition de Jo le Hongrois. 


                          Précédemment j’ai expliqué que de 1960 début 1963 j’étais dans une propriété où l’une
                          des personnes faisait partie une organisation combattue.
                          Elle avait la responsabilité d’un service déterminant pour monter les opérations qui après
                          faisaient la une des journaux régulièrement..
                          Ce service a obligatoirement été infiltré.
                          Pour les combattre , c’était incontournable.

                          AP


                          • ANGELLE 11 juillet 2010 16:00


                            Bonjour

                            L’organigramme de cette organisation se trouve sur internet.Et la personne faisait partie de l’une des trois missions de la section Métropole.
                            J’apporte cette précision pour que l’on comprenne pourquoi la propriété a obligatoirement été infiltrée.
                            Je précise qu’une personne qui faisait partie du plus haut niveau de létat a failli être victime de cette organisation.

                            AP

                            AP


                            • ANGELLE 17 avril 2014 12:54

                              Bonjour,

                              Jo le Hongrois ou Joseph le Corse,( il semblerait que les 2 surnoms concernent

                              la même personne) était marié et avait 2 enfants.

                              Avait-il une petite fille qui avait une particularité aux yeux : l’un, le gauche en forme d’amende et l’autre, à droite plutôt bridé avec un strabisme .

                              Sa femme ou lui-même avaient-t-ils des origines asiatiques ?

                              Cordialement

                              AP


                            • ANGELLE 17 avril 2014 19:10

                              Bonsoir,

                              En 1959 cette petite fille devait en juillet 1959 avoir environ 1 an.

                              De1960 à fin de l’hiver début du printemps, ce n’est pas cette petite fille qui

                              était dans la propriété où des réunions concernant l’OAS avait lieu.

                              Le propriétaire où travaillaient mes supposés parents en 1959 du 15/03/1959

                              à fin 1959 début 1960 (cad à environ 15-20 kilomètres de la propriété que je vais

                              appeler Pivoine ), a eu une bonne raison d’aller trouver mes supposés parents

                              en 1960 à la Pivoine.

                              Il a du voir que la petite fille n’était plus la même.

                              Petite précision:cette petite fille ne pouvait pas celle dont je porte les papiers.

                              Car lorsque j’ai revu l’une des personnes qui travaillaient dans la propriété où

                              officiellement je suis née, il m’en aurait parlé vu ce que je lui ai dit.

                              D’autre part sur les photos de l’été 1958,date officielle de la naissance l’œil droit n’est pas bridé.

                              Ce qui veut dire qu’il y a eu 2 remplacements.

                              Sa fille du patron de 1959 qui devait avoir une vingtaine d’années en 1960, a fait sa vie à quelques kilomètres de la ville de Libourne.

                              A la Pivoine il y avait des réunions et notamment avec des membres de la

                              de la French Connect.

                              Un homme qui aurait pu connaitre Jo Le Hongrois ou Joseph le Corse, a été

                              à la Pivoine dans la période où j’étais présente(j’avais en 1960 2ans et 1/2 environ, officiellement 1an et 9 mois fin mars début avril 1960).

                              En 1978 lorsque j’ai revu mon supposé père que je n’avais pas rencontré depuis que l’on avait quitté la Pivoine, il m’a sorti un article de journal, sur lequel était écrit que l’on avait retrouvé cet homme mort dans les quartiers de haute sécurité à la prison de Chicago.

                              J’avais mis cette article dans mon portefeuille que je me suis fait volé dans les

                              transports en commun

                              Il me semble que mon supposé père m’a dit en mai 1978 que la mort de cet

                              homme était récente. Mais je ne pourrais pas l’affirmer, sans compter que sur

                              l’article il n’y avait pas la date.

                              Par contre cet homme était Corse, je pense me souvenir de son nom que je dirai pas.

                              J’aurai bien voulu savoir à quelle date il est mort. Car si c’est en 1977/1978

                              ça correspond également à la période ou Stello et sa fille ont été tués.

                              Si quelqu’un le sait , ça serait bien de me le dire .

                              Cordialement

                              AP


                            • ANGELLE 20 avril 2014 14:40

                              Bonjour,
                              Vous trouverez ci-dessous quelques précisions concernant la période allant de 1957 à fin de l’hiver 1963.

                              de 1957 au 15/03/1959 : propriété que je vais appeler Dahlia
                              La petite que j’ai et que je continue à remplacer est née dans cette propriété.
                              Mes supposés parents ont travaillé là avec un couple qui habitait la même maison, celle des employés.

                              du 15/03/1959 à début 1960:propriété que je vais appeler Les Gentianes
                              Mes supposés parents ont travaillé là : ils s’occupaient de la ferme.
                              Il y avait une autre activité à cet endroit mais qui demandait des comptétences autres que celles de s’occuper d’une ferme.
                              Le propriétaire de la Gentiane est tombé subitement malade l’été 1960 pendant que son fils était en vacances.
                              Il est mort en octobre 1960.
                              Sa fille qui devait avoir une vingtaine d’années en 1960 a fait sa vie à quelques kilomètres de Libourne.
                              La petite avec le problème aux yeux a du vivre là à partir d’avril 1959 environ jusqu’à début 1960.
                              Mon supposé père a fait valider son permis de conduire le 16/04/1959 qu’il avait du
                              avoir à l’armée.
                              D’après sa femme il a conduit sans permis et ils ont un accident avec « moi » devant m’a -t-elle dit .
                              Je pense qu’il n’avait pas validé on permis dans le civil.

                              début 1960 jusqu’à fin de l’hiver 1963:propriété que je j’appelle la Pivoine.
                              Ils ont travaillé comme gardien.
                              Des réunions concernant l’OAS se sont déroulé là et notemment avec cet homme qui est mort à Chicago.
                              Les propriétaires étaient peut-etre des sympathisants de l’Algérie francaise,mais ils
                              n’étaient pas des activistes.
                              Par contre un membre proche de leur famille faisait partie de l’organigramme de l’OAS
                              en Métropole dans l’une des missions.

                              AP


                            • ANGELLE 20 avril 2014 15:21

                              Suite,

                              Concernant la Gentiane :
                              Le propriétaire a eu une bonne raison d’aller à la Pivoine pour voir mes supposés parents.A sa place j’en aurai fait autant.Il y avait de quoi se mettre en colère. Là il a dû voir que la petite n’était plus la même.

                              Il y avait environ 20-25de kilomètres de distance entre les 3 propriétés.

                              Concernant l’embauche à la Pivoine :
                              Mes supposés parents ont remplacé les gardiens.
                              Ils ont dû partir très rapidement en mettant en avant des raisons de santé et ont
                              probablement recommandé mes supposés parents.
                              Les propriétaires qui habitaient Paris n’ont pas dû se méfier dans ce contexte et ont dû être bien content que quelqu’un prenne la suite:un couple avec une petite fille.

                              Mon supposé père a fait le service militaire en Algérie,il est né en 1930.
                              D’après l’un de ses neveux il aurait fait plus que le service militaire et aurait été bléssé.
                              Sur son relevé de carrière il n’y a pas d’indication concernant le service militaire.
                              Il a travaillé de 1960 à début 1963 à la Pivoine.Sur la carte d’identité qu’il a fait refaire en 1962 ,il est domicilié à la Pivoine.
                              D’après le relevé il n’est resté qu’en 1960 après il était dans les Yvelines.
                              Sa vie active commence en 1957 année de son mariage.Avant ?????

                              J’expliquerai dans un prochain message pourquoi je continue à m’interresser à la mort
                              de Dominique Thirel et à Jo le Hongrois ou Joseph le Corse.
                              C’est quand même plus que surprenant qu’un homme disparaisse dans ces circonstances et que l’on ne se pose pas plus de question.
                              Il a disparu avec sa femme et ses enfants.
                              Ils devaient habiter quelque part.
                              Leur disparition n’a pas du passer inaperçue auprès des voisins.
                              A moins que les enfants étaient gardés quelque part à la campagne et que sa femme était je ne sais où.
                              Là c’est sur, une personne seule ça se remarque moins si elle disparait.
                              Donc je ne lacherai pas.

                              AP


                            • ANGELLE 27 avril 2014 19:02

                              Bonjour,

                              Une autre précision au sujet du Dalhia :
                              Dans les années 2000 (peut-être en 2004) je suis allée au bourg du Dalhia.
                              J’ai rencontré le monsieur qui logeait avec sa femme dans la même maison que
                              mes supposés parents.
                              Je l’ai vu seul chez des personnes habitant le bourg,sa femme étant décédée.
                              Je lui ai exposé les raisons de ma visite.
                              Si la petite du Dalhia avait eu le problème aux yeux, il m’en aurait parlé.
                              Donc j’ai de bonnes raisons de m’interroger sur le remplacement à 2 reprises de la
                              petite du Dahlia.

                              Les raisons pour laquelles je continue à m’interesser à la mort de Muguette Thirel sont les suivantes.
                              En juillet 2007, un vendredi,j’ai dit à des personnes qui connaissent ma situation, que qu’autour de chez ma supposée grand-mère ,il y avait 2 endroits qui m’interrogeaient énormément.
                              La première fois ,en vavances chez elle ,je jouais à un endroit,elle est arrivée précipitemment et m’a dit de m’éloigner.Je me souviens m’être dit :elle me parle comme si on était au cimetière.
                              Je l’ai vu à plusieurs reprises ,le soir quand il faisait nuit, être devant cet endroit sans bouger , je me demandais bien ce qu’elle pouvait faire.
                              La seconde fois, toujours pendant les vacances, le matin, je me suis retrouvée seule avec elle, elle m’a dit de m’habiller,de mettre mes chaussures et de venir avec elle.
                              Nous sommes parties , et elle s’est arrêtée à un endroit.
                              Elle m’a dit regarde, ce qu’elle me montrait était joli.Je voulais lui montrer que j’étais
                              contente,mais par son attitude j’ai tout de suite compris qu’il ne fallait pas être joyeux.
                              Ses yeux bleu/gris regardait l’endroit avec une grande tristesse.
                              Son regard ne quittait pas l’endroit. La seule parole a été : regarde.

                              A la suite de cela alors que je n’avais pas encore lu dans les journaux la fin tragique de Muguette Thirel,des Corses se sont manifestés de différentes façons.
                              Je découvert ce qu’il s’était passé le 24/11/2007 aux archives Départementale en lisant les jounaux.

                              Par contre ça ne plait pas à tout le monde quand je me tourne du coté des Corses.
                              Je ne rentre pas dans les détails mais il y aurait de quoi dire et s’interroger.

                              .
                              En mars /avril 1976 j’ai été poursuivi dans ma montée par un homme en voiture accompagné de sa femme et d’un homme à l’arrière.
                              A ’époque je travaillais le vendredi et le samedi soir dans une restaurant de personnes que nous connaissions bien.
                              Le patron me ramenait souvent tard 2h du matin environ, me déposait à 10 mètres de l’immeuble et allait de garer à un endroit où on pouvait voir l’arrière de l’immeuble
                              et en arrivant j’allumais la cuisine pour qu’il sache que j’étais bien rentré.C’était le code.
                              Quand il a démarré, je suis allée en direction de l’immeuble, et là j’ai entendu une voiture démarrée sur les chapeaux de roue.Cette voiture je l’avais remarqué,elle raoulait devant nous et j’avais observé les occupants.A un moment la passagère s’est
                              adressé au conducteur, et je me suis dit elle parle de moi et après j’ai complètement oublié.
                              Par contre quand j’ai entendu le crissement des pneus, j’ai compris que c’était eux et qu’ils avaient reculé et avaient attendu que la voiture du patron ne soit plus en vue, pour demarrer de cette façon.
                              Sur le moment j’ai été tentée de courrir vers l’endroit où la voiture devait se trouver à attendre la lumière de la cuisine.
                              Leur voiture, une Mercedes, s’est arrêté pile dans la montée, alors qu’il y avait une coursive extérieur qui menait à 4 montées, et que je n’avais pas allumé la lumière de la montée pour ne pas être repérée.
                              J’étais au 2ème étage quand le conducteur s’est arrêté devant la montée et il est entré dans la montée dans allumer la lumière en montant les escaliers.
                              Inutile de vous que je n’en menais pas large.
                              J’avais vu au 2ème étage de la lumière sous la porte d’entrée hez les voisins et du coup je me suis mise à frapper en me disant que sans doute l’un des 2 jeunes venait de rentrer.
                              Je sentais la personne se rapprocher, il me semble que j’ai allumé la lumière et je me suis mise à crier au secours en montant les escaliers.J’habitais au 4ème.
                              Le fait de crier ,a fait peur à cette personne qui a aussitôt rebrousser chemin.
                              Les autres voisins du 2ème étage, ont ouvert leurs volets et lui ont demandé ce qu’il se passait.
                              Il a répondu qu’il cherchait une rue.
                              Cet homme ressemble énormément à une personne qui a déboulé en voiture dans la cour de la ferme l’été 1964 ou 1965.Je serai tenté de penser que c’est plutôt l’été 1965.
                              La tante avait le permis de conduire soit depuis 1964 ou début 1965.
                              C’était l’été,après le repas il avait décidé d’aller voir des animaux qui étaient dans un champ ,dans un bois légèrement éloigné de la ferme.
                              D’habitude j’allais avec eux.D’ailleurs ils allaient souvent à pied et j’ai été étonné qu’ils prennent la voirure.Ce jour là, la tante m’a posé la question de telle façon, que je pouvais répondre que je préférais rester à la ferme.
                              L’oncle n’était pas d’accord et il était visiblement inquiet.
                              Tous d’abord il a insisté pour que je vienne, et comme je n’avais pas envie et que
                              sa femme n’avait pas l’air contre le fait que je reste, il m’a dit ceci :
                              Si tu restes, tu vas aller te cacher dans le foin,derrière les bottes.
                              Personne ne doit savoir que tu es là, même si le facture arrive tu restes cachée.
                              D’ailleurs tu vas monter et je vais retirer l’échelle.
                              Sa femme est intervenue en disant qu’il ne fallait pas retirer l’échelle, que ce n’était pas prudent.
                              Il m’a fait juré de rester cachée.
                              Je ne l’avais jamais vu aussi inquiét.Il m’a fait promettre que je resterai cachée.
                              Je suis montée à l’echelle, je me suis cachée derrière les bottes.Il s’agissait d’un hangard avec 3 cotés fermés et là où il y avait l’échelle posée sur la poutre du haut c’était ouvert.J’avais la vue sur la cour et sur la maison attenante aux étables.
                              Ils sont partis et 5 minutes après, une voiture a deboulé dans la cour à toute vitesse avec 2 hommes à bord.La voiture s’est arrêtée devant la maison, partie habitation, le passager est descendu et sans attendre que quelqu’un de la maison se manifeste, il s’est précipité sur la porte d’entrée , a essayé de l’ouvrir.La porte était fermée à clé.
                              Il s’est retourné ,et a commencé à balayer du regard la ferme.
                              Je me suis baissée derrière les bottes où j’étais cachée.
                              Je ne comprenais pas , mais je me suis dit que l’oncle avait eu raison.
                              Je voyais bien que le comportement du passager n’était pas bien normal.
                              J’ai attendu d’entendre la porte de la voiture se refermer et la voiture a redémarrée et là j’ai relevé la tête et j’ai vu le conducteur.
                              Etrange ressemblance avec le conducteur de la Mercédes.
                              Je me demande ce qu’il se serait passé s’il m’avait vu.
                              Il était clair que ce n’était pas des personnes du coin.

                              Ils sont venu en 2008 ou 2009 à l’endroit je prends mon café le week-end.
                              J’ai l’impression qu’ils voudraient m’aborder.
                              Je me méfie car je suis presque certaine qu’il y a une couverture.
                              Certains éléments me laissent penser qu’il y en a une.
                              Une personne m’a fait comprendre que dans un tel contexte ,ça pouvait être possible voir problable.  Il ne faudrait pas que l’on ait impliqué une femme à l’époque qui n’avait à rien voir
                              avec moi mais qui aurait abandonné une petite dans des conditions illégalles comme ça se faisait beaucoup à l’époque et qu’elle soit devenue la marionnette de certains , pour mettre en place une couverture pour plus tard.
                              Ca pourrait expliqué que des gens sachent mais ne disent rien car comme des bons bofs, c’est la famille qui décide.La famille mouillée jusqu’au cou.

                              Bref actuellement je cherche à démystifier ceux qui font taire.
                              Avec des gens dans ce genre, il faut s’attendre à des coups tordus.
                              Comme qui dirait, on les a bien choisi et on peut compter sur eux.
                              Le pire c’est qu’ils bénéficient du silence de ceux qui savent.
                              On m’a orienté vers la Somme et Toulouse.Evidemment j’en sais un peu plus sur ces gens, mais j’aime autant vous dire qu’il n’est pas question de les aborder en dehors d’un cadre officiel et avec avocat.

                              Cordialement
                              AP


                            • ANGELLE 6 mai 2014 12:55

                              Bonjour,

                              Pour revenir sur la petite de 1959 à la Gentiane : l’œil droit est différent du

                              gauche .A première vue il semble bridé, mais il n’est pas exclu que ce problème

                              ait été provoqué par un accident qui aurait touché les muscles de la paupière

                              supérieure et inférieure.

                              J’ai montré la photo à plusieurs personnes qui elles aussi pensent que les paupières pourraient être bridées mais pourraient aussi avoir été atrophiées suite

                              à un accident. 

                              En ce qui me concerne : j’ai visiblement été accidentée très jeune.

                              En effet j’ai une cicatrice sur le menton à droite.

                              Je n’ai que 3 incisives sur la mâchoire inférieure au lieu de 4.

                              J’ai eu le cartilage du nez qui n’était plus dans l’axe, mais qui s’affaissait du coté de la narine gauche.

                              J’ai été opérée j’avais environ 28 ans. Le chirurgien a redressé le cartilage, je

                              devais être opérée une seconde fois pour redresser les tissus.

                              Je ne l’ai pas fait : donc on voit par les tissus une légère déviation qui

                              a été engendrée par le cartilage et on voit également la marque sur les tissus internes l’endroit où le cartilage se trouvait avant l’opération.

                              Il m’avait été dit que j’étais tombée du motoculteur de la Pivoine, mais en

                              aout 2007,ma supposée mère m’a dit : "C’est comme ta cicatrice , je ne sais pas

                              où tu as fait cela.

                              Elle ignorait également le grave problème que j’avais eu aux poumons découverts par hasard à l’hôpital quand j’avais environ 17 ans.

                              j’ai été à ’école de l’âge de 3 ans jusqu’à 18ans donc avec obligation de vaccination.

                              Ce problème que j’ai eu avant d’aller à l’école et qui a laissé des traces, elle l’ignorait complètement.

                              C’est à ce moment là ,qu’elle m’a dit qu’elle ne connaissait pas l’origine des

                              marques accidentelles que j’avais sur le visage.

                              Ces marques sont discrètes mais quand on regarde de près, c’est visible.

                              La prochaine fois je reviendrai sur la personne qui m’a poursuivie dans la montée et qui ressemble beaucoup au conducteur de la voiture de 1964 ou 1965 ainsi qu’à une femme qui s’est installée au printemps 1965 momentanément à proximité du bourg dont dépendait l’endroit où j’habitais.

                              Si ceux qui ont déboulé dans la cour, l’on fait l’été 1965,on peut se demander

                              si cette femme et eux n’étaient pas dans les mêmes histoires.

                              Pour en revenir à l’homme de Chicago, je me rappelle que l’article de journal n’était pas jauni et semblait au niveau du papier récent.

                              Cordialement

                              AP


                              • ANGELLE 21 mai 2014 20:43



                                Bonjour,

                                Au printemps 1965,une femme s’est installée à proximité du Bourg,mais sur la commune.Toujours d’après une camarade de classe dont l’un des membres de la famille avait ses entrées à la mairie,il s’agissait d’une parisienne et ........
                                Je l’ai vu 4 fois.
                                Elle avait le type europeen ,25 ans environ,les cheveux chatains tirant sur le blond,qui arrivaient aux épaules.Elle devait mesurer entre 1.62-1.65.Elle n’avait aucun problème pour marcher.Son visage était fin,un nez fin mais pas retroussé ,un visage triangulaire. La 1ère fois elle est passée au moment de la récréation devant l’ecole.Toutes les petites
                                filles qui étaient dans la cour se sont pressées près de la murette pour la regarder passer.C’est à ce moment là qu’une camarade m’a dit qui elle était.Elle a employé un mot qui m’a surprise et que j’ai répété d’un ton interrogateur et là cette femme s’est retournée et m’a foudroyé du regard.
                                La 2ème fois elle était à un croisement que je traversais pour rentrer et la 3ème fois elle était sur la route que je prenais pour rejoindre la petite route qui menait à la ferme.
                                Elle était à environ 300 mètres du croisement. Je me demandais ce qu’elle pouvait bien faire seule dans un endroit aussi perdu:pas de gare, pas de car.
                                C’est la 4ème fois qui est surprenante.
                                Ca devait soit fin juin soit début juillet 1965 :
                                Ma supposée tante et moi remontions la petite route qui menait à la ferme.Cette route grimpait tout droit et après toujours en montant allait sur la gauche en longeant les champs de la ferme.De là où nous étions,nous avons apperçu cette femme qui redescendait vers nous et qui était sur la partie de la route près des champs.
                                Quand nous sommes arrivées en haut avant le virage il n’y avait plus personne.
                                J’ai regardé la tante et je lui dit :Où a-t-elle bien pu aller ?
                                Elle m’a répondu en me regardant et en me souriant :"Elle est peut-être dans le chemin (au niveau du virage que nous avions dépassé), tu ne veux pas aller voir me dit -elle .
                                Le chemin n’étais plus visible à partir de 4 mètres de la route et elle voulait que j’aille voir si elle n’était pas là.
                                Je ne comprenais pas son attitude et je lui ai dit non.Elle aurait dû se demander où elle était passer.Surtout que le chemin longeait un champ attenant à la ferme Il faut savoir qu’à la campagne,à l’époque ,quand une voiture passait, les gens cherchaient à savoir de qui il s’agissaitet n’aimaient pas que des gens inconnus rodent près des fermes et des champs.
                                aux gens que tu ne connais pas etc....

                                Quand j’ai raconté cela pour la 1ère fois en septembre 2007, au téléphone, le lendemain en allant au travail,au croisement Gambetta/et une rue avec un square, il y avait un homme de type europeen blond, environ 50 ans qui attendait que le feu soit vert.J’étais en face de lui.A coté de moi il y avait une femme qui attendait comme moi.
                                Il a soulevé son tee-shirt et là j’ai vu une lanière de cuir que j’ai pris sur le moment pour une ceinture ,lanière qui était autour du ventre pas passée dans les passants de son pantalon.Ensuite il a soulevé la partie gauche du tee-shirt jusqu’à la poitrine et une lanière en cuir marron remontait et au niveau de la poitrine du coté gauche un carré de cuir rataché à la lanière.
                                C’était visiblement un port d’arme.
                                La dame qui était à coté de moi m’a regardé complément ahurie et attendait que je dise quelque chose car l’homme ne me lachait pas du regard avec un petit sourire mauvais.
                                J’étais tellement surprise sur le moment que je me suis dit qu’il nous faisait sa grand-mère qui a peur qu’on lui pique son sac à main.
                                Quand le feu est passé au vert il a évité le passage clouté et avait tourjours ce sourire à la noix.
                                Je me suis demandée après coup si la présence de cet homme était lié à ce que j’avais dit la veille au téléphone.Difficile de ne pas se poser la question mais je ne peux pas y répondre.
                                J’ai essayé d’en savoir un peu plus sur cette femme, en appelant des gens de l’époque, mais de toute façon j’ai remarqué que les gens n’avaient pas envie de parler.


                                • ANGELLE 21 mai 2014 20:57

                                  J’ai remarqué cela au village de la Pivoine.
                                  Dans les années 1990, j’avais appelé pour savoir si les gens se souvenaient de l’OAS à la Pivoine.Les gens parlaient sans proplème.
                                  Quand j’ai rappelé en 2008/2009, je n’ai pas réussi à avoir quelqu’un qui se rappelait.
                                  A l’époque je n’avais pas trouvé l’organigramme où il y avait le nom de la personne qui avait une responsabilité et je voulais prouver à une personne qui essayait de m’aider que j’avais été de 1960-1963 dans une propriété où il y avait un membre de l’OAS.

                                  Bref c’est comme ça.

                                  Cordialement
                                  AP

                                   


                                  • ANGELLE 22 mai 2014 13:08

                                    Bonjour,

                                    Non, j’ai eu la mère de la camarade au téléphone : ne se rappelait pas.

                                    J’ai eu une ancienne commerçante : ne se rappelait pas

                                    J’ai eu la mère d’une camarade qui allait essayer de voir :pas de retour.

                                    J’ai essayé de joindre des gens en laissant mes coordonnées mais sans suite.

                                    Pour en revenir aux années 1976-1977-1978 :

                                    En juillet 1977, une semaine jour pour jour avant le 26/07/1977, il m’est arrivé quelque chose qui laissait obligatoirement entrevoir que j’allais recherché mon supposé père.

                                    A une personne de l’époque : merci

                                    Cordialement

                                    AP

                                     


                                    • ANGELLE 14 juillet 2014 15:24

                                      Bonjour,

                                      Ma supposée grand-mère avait quitté sa petite ferme pour habiter dans une maison du bourg vers la fin des années 1970.
                                      Elle est décédée dans les années 1980.
                                      Elle travaillait dans son jardin attenant à la porte du couloir ou de la cuisine.
                                      Elle est rentrée pour une raison que l’on ne connait pas.
                                      Elle a été retrouvée sans vie à l’intérieur de la maison.
                                      Le médecin a eu l’impression qu’elle avait reçu un coup.Il voulait dans un premier temps faire faire une autopsie mais comme rien n’avait bougé dans la maison, il a renoncé.
                                      Mais, il a parait-il hésité.
                                      L’été qui a suivi nous avons retiré de la maison ses affaires personnelles et des objets style la vaisselle.
                                      Il a été trouvé un objet qui date des années 1880-1920.Il était avec la pièce d’identité d’une personne de la famille décédée qui pouvait connaitre le quartier de Pigalles et Montmartre.
                                      Quand je suis allée à Paris le 01/05/2008, un ancien restaurateur de ce quartier semblait connaitre son nom et voir de qui il s’agissait.
                                      J’avais demandé à cet homme s’il connaissait cette personne suite à une information que m’avait donnée mon supposé père.
                                      Soit dit en passant : toutes les informations qu’il m’a données n’ont pas pu être toutes vérifiée faute de moyen.
                                      Mais celles qui l’ont été ,ce sont toutes révélées exactes.
                                      Donc cet objet et cette carte d’identité étaient dans un endroit où il était peu probable que quelqu’un tombe dessus tant qu’elle était de ce monde.
                                      Cet objet pourrait symboliser à la fois un pays du Sud-Est Asiatique comme ceux de l’Indochine et un pays de l’Europe de l’Est :ce pourrait être le symbole d’un lien affectif entre une Indochinoise et un Légionnaire.
                                      Cet objet a pu appartenir à un homme ou une femme né dans les années 1930-1940 et qui l’aurait conservé comme souvenir de ses parents ou grand-parents, lesquels auraient vécu en Cochinchine ou en Indochine fin 1800 début 1900.

                                      Cordialement
                                      A.P.


                                      • ANGELLE 6 août 2020 15:44

                                        Bonjour,

                                        En aout 2019, j’ai été contactée par une personne qui s’intéresse à Mr Bill et Muguette Thirel .

                                        La personne m’ a tenu le propos suivant :

                                        -on vous a orienté vers différentes affaires ?

                                        -J’ai répondu oui en rajoutant qu’on me balançait des informations anonymement mais évidemment jamais par courrier avec dates et noms et lieux précis.

                                        -oui, c’est pour vous compliquer la tâche.(m’a-t-elle dit)

                                        -c’est évident .

                                        La personne m’a dit autre chose dont je ne peux pas parler. Le message pourrait être annulé.

                                        Je vais vous reparler de l’homme de Chicago et d’une référence française sur un site américain.

                                        Cordialement

                                        AP


                                        • ANGELLE 8 août 2020 17:52

                                          Bonjour,

                                          Lorsque j’ai rencontré mon supposé père en 1978 avec lequel le contact avait été rompu depuis le printemps 1963, il m’a fait part de nombreuses informations. Celles que j’ai pu vérifier, ce sont révélées exactes. Je l’avais déjà précisé auparavant.

                                          Il m’a raconté une anecdote que j’ai considérée pendant longtemps, comme n’étant pas une information, à première vue. Elle n’était pas vraiment à son avantage étant donné la démesure. Mais malgré tout je l’avais toujours trouvée bizarre car c’était trop, c’était le cas de le dire !

                                          Mais parfois il y a des gens qui sont prêts à se faire passer pour ce qu’ils ne sont pas, pour marquer votre mémoire, pour que vous n’oubliez pas.

                                          Et je pense que là ça a été le cas.

                                          Mon supposé père m’a parlé d’un homme, patron de xxx. Je vais l’appeler AZ.

                                          Ils habitaient le même quartier et ils se connaissaient m’a-t.il dit.

                                           La suite mardi, la bibliothèque ferme.

                                          Bon dimanche

                                          AP


                                          • ANGELLE 12 août 2020 17:05

                                            Bonjour,

                                            Mon supposé avait un terrain à proximité de la maison qu’il partageait avec sa compagne. Il faisait un peu de jardin. Quand nous y sommes allés, je n’ai pas eu l’impression qu’il faisait beaucoup de culture.Il faisait plutôt de l’entretien afin que le terrain ne soit pas envahi par les ronces ou autres.

                                            Il aurait proposé à AZ des poireaux de son jardin. Celui-ci aurait accepté l’offre.

                                            Mon supposé père m’a précisé qu’il lui en avait apporté une grande quantité(d’après ce qu’il m’a dit ça pouvait représenter 3 à 4 cagettes).

                                            AZ aurait été surpris et n’aurait pas du tout apprécié « le présent » encombrant.

                                            Pendant longtemps j’ai trouvé cette histoire bizarre par la démesure.

                                            Une telle quantité représente une plate-bande de jardin qui aurait été ramassée en une seule fois, et destinée à une seule personne, même s’il a une famille, ça me parait beaucoup.

                                            AZ n’était pas n’importe qui sur le plan social et il n’était pas dans le besoin.

                                            Or en 2014 j’ai retrouvé AZ sur un site américain dans le cadre de l’évocation d’une partie de l’histoire de l’homme de Chicago.

                                            Ce qui a été écrit, datait de quelques années avant 2014.

                                            Il était question de l’homme de Chicago relié à d’autres personnes.Par contre AZ n’était pas relié à eux mais sa référence était liée à eux.

                                            Je pense que mon supposé père était parfaitement au courant de la référence qu’il savait peut-être pas exacte du tout et qui arrangeait......

                                            Cette évocation me laisse penser que j’avais peut-être raison de m’interroger sur date de (1977) à cause de la mort d’une personne proche quelques années plus tard dont le décès m’a toujours paru suspect.

                                            Je vais essayer de valider ce que je viens d’écrire .

                                            J’expliquerai la suite après.

                                            Cordialement

                                            AP




                                                • ANGELLE 18 août 2020 17:47

                                                  Bonjour,

                                                  J’étais sur le point de faire part de mes doutes sur mon identité, à cette personne proche. J’allais également lui parler d’un autre sujet. 

                                                  N’a-t-on pas redouté qu’elle me propose alors, que nous allions, en autre, voir la famille de l’homme de Chicago ?

                                                  Ce n’est pas impossible.

                                                  Mais alors pourquoi, ça aurait pu déranger, voir paniquer ?

                                                  L’homme de Chicago est venu au printemps 1960 à la Pivoine, propriété où mes supposés- parents ont été embauchés comme gardiens début 1960. Dans cette propriété, un homme qui faisait parti de ce qui allait s’appeler l’OAS, organisait des réunions. Son nom et prénom sont dans l’organigramme de l’OAS.

                                                  La Pivoine était située dans un endroit retiré, en province.

                                                  Quand j’ai revu, la première fois, seule, mon supposé père, il m’a remis un article de journal concernant l’homme de Chicago, incarcéré et retrouvé sans vie.

                                                  Je devais remettre cet article à une personne : je ne l’ai pas fait.

                                                  Je vais essayer de valider ce je viens d’écrire.

                                                  Cordialement

                                                  AP

                                                   


                                                  • ANGELLE 20 août 2020 14:43

                                                    Bonjour,

                                                    Mon supposé-père m’a donc remis cet article de journal que j’avais mis dans mon portefeuille qui m’a été dérobé dans les transports en commun quelques années plus tard. Je me souviens que l’article ne précisait pas les circonstances de sa mort

                                                    Je m’étais d’ailleurs dit qu’on avait dû le « suicider ». J’ai su qu’il avait été assassiné en 2014 en recherchant dans les archives des journaux. Une personne de la région Bretagne/Pays de la Loire, a également recherché dans les journaux locaux, et il était également écrit qu’il avait été assassiné.

                                                    Mon supposé père m’a confirmé que l’homme de Chicago nous avait rencontré. Je sais qu’il a été présent plusieurs jours, mais je ne sais pas s’il a séjourné à la Pivoine ou s’il est venu et qu’il repartait le jour même. 

                                                    D’après mon supposé père, c’était un homme qui allait vers les autres d’une manière aimable, calme.

                                                    Comme je sais qu’il nous a abordé, je me demande, si pour rire, il ne m’aurait pas parlé une autre langue que le français, pour voir ma réaction. En effet cet homme parlait ,avec le français, au moins 3 langues.

                                                    Je ne serai pas étonnée qu’il ait voulu faire le clown, car d’après mon supposé père il aimait bien plaisanter.

                                                    Je me demande si je ne lui aurai pas alors répondu dans une langue autre que le français. Le fait d’entendre une autre langue et peut-être, celle que j’aurai pu parlé avant, aurait pu déclenché ce genre de réaction.

                                                    C’est une hypothèse, mais qui mérite d’être vue de près.

                                                    L’homme avec qui on relie l’homme de Chicago, a été assassiné 7 jours après une hospitalisation en urgence me concernant. On devait se douter que j’allais commencé à me poser des questions. Cet assassinat préparait peut-être celui de l’homme de Chicago.

                                                    Entre temps on a assassiné celui qui aurait pu démentir les raisons mises en avant.

                                                    Et l’homme de Chicago a été assassiné 16 jours après que mon supposé père ait su par sa sœur que nous le recherchions. Il l’a su un samedi. Il venait voir sa famille pour quelques jours. En effet sa sœur, m’avait écrit qu’elle allait bientôt le voir, que ce n’était pas la peine qu’elle lui écrive pour lui dire qu’on le recherchait.

                                                    Donc ça fait quand même des drôles de coïncidences.

                                                    Cordialement

                                                    AP


                                                    • ANGELLE 1er février 2022 16:55

                                                      Hello,

                                                      Je reviendrai sur l’homme de Chicago.

                                                      Je reviendrai également sur la période de juin 1963 à mars1966 cad plus précisément sur le printemps et l’été 1965 .Purée de couverture montée, forcément avec de gros moyens.

                                                      Une affaire qui pourrait bien motiver toutes les couvertures,pour qu’elle ne remonte pas à la surface et moi avec.

                                                      1-Hiver 1969/1970 ou 1970/1971 ou 1971/1972 : une femme qui avait très peur.

                                                      2-années 2015-2016:un nom

                                                      3-2016/2017:un contact
                                                      4-2021 : un membre de sa famille n’aurait-il pas été en réalité victime d’une surveillance, sous couvert de bons sentiments pour essayer de la localiser.

                                                      1-L’hiver 1969/1970(6ème) ou 1970/1971(5ème) j’allais au collège à pieds peut-être aussi 1971/1972 (4ème) mais je n’en suis pas certaine du tout.

                                                      Un matin en allant au collège à pieds, au niveau de la rue G.et de la rue AMB je croise une femme qui a une trentaine d’année avec un manteau couleur grenat et un chapeau/bonnet.Elle est, au niveau du champ cultivé selon les saisons, mais qui n’existe plus.Elle me regarde avec insistance,cad elle ne me lâche pas du regard et il est clair qu’elle veut que je remarque sa présence.Elle est légèrement typée.A L’époque je n’aurais pas pu la relier à un pays par manque de connaissance.Aujourd’hui je dirai qu’elle pouvait avoir des origines eurasiennes.Ce qui me frappe, c’est son inquiétude, son anxiété qui se voit sur son visage.Sa peur est très perceptible . Quand je la vois je me rappelle alors que je l’ai vue la veille, vers la petite tour de la propriété d’un artisan, également le matin. Mais après l’avoir vue je suis tombée dans une sorte d’inconscient.La seule comparaison qui me vient à l’esprit est celle d’un accident, à la perspective grave, entre le moment où on voit ce qui va arriver et qui laisse présager le pire et le moment où on est accidenté sans avoir perdu conscience .On ne se rappelle rien entre ces deux instants.Ca m’est arrivé dans un accident de moto en 1973.Je ne me suis pas même pas rappelée le bruit de la moto qui s’est encastrée dans une voiture en face.C’est une impression très bizarre.

                                                      Les jours suivants j’espère la croiser, car je sens que cette rencontre n’est pas dû au hasard.Mais je ne l’ai pas revue.je me souviens que lorsque je passais devant la petite tour, j’avais de grosses angoisses et je pensais que cette femme vivait dans la crainte.

                                                      Et puis le temps a passé et j’ai oublié jusqu’en 2016.

                                                      A plus

                                                      Goodbye


                                                      • ANGELLE 5 février 2022 18:12

                                                        Hello,

                                                        Années 2015-2016 : un nom

                                                        1°/2

                                                        Une première personne essayait d’attirer mon attention sur un nom.La visibilité d’une deuxième avec qui j’avais eu l’occasion, de discuter,m’incite à voir de plus près une affaire dans laquelle le nom a été évoqué. En aout/septembre 2016, je me documente sur l’affaire ce qui me permet d’avoir quelques informations ainsi que 2 photos en noir et blanc. L’une d’elle,la N°2°/2, me rappelle une photo(en couleur) prise de moi à 41 ans.Je la retrouve et je constate que la ressemblance entre elle et moi, est troublante.(c’est ce que me dira un membre,de sa famille, le contact,qui a essayé de faire ce qu’il a pu pour m’aider). D’autres personnes me diront la même chose en les voyant.                                                    J’ai photocopié la photo de moi, en noir et blanc.Quand j’ai montré les deux photos,la sienne et la mienne, beaucoup pensaient qu’il s’agissait d’une seule et même personne.

                                                        A plus


                                                        • ANGELLE 11 février 2022 15:53

                                                          Hello,

                                                          Années 2015/2016:un nom (que je ne peux pas mentionner)

                                                           Photo N° 1°/2

                                                          Après avoir constaté la ressemblance avec la photo 2°/2,lorsque je regardais la photo 1°/2, je me suis aperçue,que bien malgré moi, je voyais la personne avec un chapeau/bonnet.C’était systématique.                         J’ai essayé de comprendre pourquoi,mais en vain.                J’avais fini par me dire,dans l’hypothèse où j’avais un lien avec elle, que la dernière fois que je l’avais vue,ça pouvait être en hiver. C’est tout.Le temps a passé. Par contre je n’ai jamais lâché cette piste qui n’a pas l’air de convenir à certains. Et pour cause ! Avec tout le mal qu’ils se sont donnés pour m’orienter vers d’autres voies...... qui craignent sans doute moins, juridiquement, pour eux.

                                                                                                                    J’ai compris pourquoi en 2019/2020 la raison pour laquelle je la voyais avec un chapeau.En effet j’ai fini par me souvenir de cette femme si inquiète,(la seconde fois au niveau de la rue G* et AMB*)que j’avais croisée en allant au collège. De suite je me suis rappelée que je l’avais vue une première fois.Par contre j’ai mis du temps à retrouver l’endroit où je l’avais aperçue la première fois.Par le fait de 2 hasards en l’espace d’environ 4 heures le 30/09/2021, j’ai revu la petite tour qui est rue AMB. A ce jour,comme à l’époque, je ne me souviens de rien si ce n’est de l’avoir vue et de suite le blackout. Je continue à faire la comparaison avec l’accident de moto,cad, être dans rien, une fraction de seconde. C’est la douleur provoquée par la chute sur la route qui m’a remise dans la réalité de l’accident.

                                                          **Pour ceux qui connaissent le quartier :

                                                          ** :le lieu a changé.Le champ a laissé la place à des constructions. Une maison voir même plusieurs n’existent plus, au début de la rue AMB.De ce fait, j’ai employé l’expression « au niveau » mais je pense que j’étais dans la rue AMB,à peu près à 20 mètres de l’intersection de la rue G.et AMB.Ca n’a pas d’importance mais quand on peut être précis, c’est mieux.

                                                                                                                        La photo N° 2°/2 donne l’impression d’avoir été prise aux beaux jours, la N° 1°/2 à une saison plus froide.

                                                          Ce qui peut expliquer que la N°1°/2 m’ait plus aidée à me remémorer :      cette femme qui avait très peur.


                                                          • ANGELLE 13 février 2022 14:36

                                                            Les obsèques de la personne qui est sur les photos, ont eu lieu quelques années avant 1969.


                                                            • ANGELLE 20 février 2022 16:41

                                                              Entre aout 2016 et janvier 2017, j’ai contacté par téléphone, un petit cousin de la personne décédée.                                                Après avoir reçu les photos, il m’a fait part,entre autre, des informations suivantes :

                                                              Que la ressemblance entre elle et moi est troublante.

                                                              Que son père, cousin de la défunte, seule personne de la famille sur place à l’époque, n’a pas été autorisé à reconnaitre, ni à voir le corps.Il a insisté, mais malgré tout, il y a eu refus.

                                                              Qu’ils se sont posé beaucoup de questions.

                                                              Que le bruit aurait couru que le corps retrouvé,avait comme une marque de coup reçu à la tête.

                                                              Qu’après les obsèques, il est allé voir une connaissance Mr -------- pour essayer de tirer cela au clair.Une personne qui entre autre, avait les compétences,pour mener des investigations.Il lui a dit : — ---- -------, tu as une famille, il vaut mieux ne pas chercher,c’est risqué.

                                                              La dernière fois que j’ai parlé au téléphone avec son petit cousin cad janvier 2017, il m’a dit ceci :

                                                              Elle a peut-être été obligée de vous laisser,car vous étiez en danger. 

                                                              Il devait rechercher une information concernant une période avant le décès.Mais il n’ y a pas eu de suite.

                                                              Je sais qu’il a fait ce qu’il a pu pour m’aider.

                                                              Ca m’a été confirmé.


                                                              • ANGELLE 3 juillet 2022 15:10

                                                                le 03/07/2022

                                                                Quand j’ai discuté avec le petit cousin, je ne lui ai pas dit qu’en allant au collège , j’avais vu deux matins de suite, une personne, qui lorsque nous nous sommes croisées, avait voulu s’assurer qu’elle n’était pas passée inaperçue et qui ressemblait énormément à la défunte.Il a dû l’apprendre cette année en lisant ce que j’ai relaté.Son père avait eu de gros doutes qui avaient engendrés des questions m’a-t-il dit.Lors des conversations un doute ressortait .Ce j’ai expliqué a dû le renforcer.


                                                                • ANGELLE 21 août 2022 17:24

                                                                  le 23/08/2022

                                                                  Une parente est arrivée en France quelque temps après le décès.

                                                                  Elles étaient de la même génération.Il est plausible qu’entre les liens de famille et la proximité des lieux d’habitation,elles aient eu beaucoup de souvenirs en commun, au moins jusqu’au décès du père de la personne décédée.

                                                                  Il est probable que cette parente ainsi que ses très proches, n’aient pas eu connaissance du questionnement du cousin domicilié en France.

                                                                  Par contre il est évident qu’il a dû faire part de ses doutes auprès des descendants même père/mère.En effet cet homme, d’après son fils, s’est démené pour essayer de voir le corps de sa cousine décédée et le reconnaitre.Face à ce non catégorique, et pour les convaincre qu’il était un homme solide, il a fini par se décider à relater des évènements vécus difficiles dans le passé, pour leur prouver que non seulement il était un homme résistant, physiquement, mais également sur le plan psychologique.

                                                                  Malgré tout il n’y a pas eu moyen.On peut alors se demander pourquoi.

                                                                  Quel intérêt avaient des citoyens dans le cadre de leur profession à refuser au cousin de voir le corps ?

                                                                  Forcément compte tenu de ce qu’il savait, deux questions se sont imposées.

                                                                  1-Le bruit ayant couru que le corps retrouvé, aurait reçu un coup à la tête, il était légitime de se demander si on n’avait pas voulu empêcher une enquête.

                                                                  2- Le corps retrouvé était-il celui de sa cousine.

                                                                  Il faut savoir qu’à l’époque, même un corps très brulé, devait être reconnu par un proche, avant de refermer le cercueil.Une personne qui a connu une telle situation m’a expliqué que c’était obligé.

                                                                  Dans le cas de la défunte, le corps vu puis retrouvé était presque intact.

                                                                  J’ai pu par deux autres moyens, avoir des informations sur la famille de la défunte.

                                                                  Lors des échanges téléphoniques que j’ai eus avec le fils du cousin, c’est la 2ème question qui revenait souvent.Et je le redis, je ne lui ai pas parlé de cette personne croisée deux fois, un matin, en allant au collège.

                                                                  On peut alors se demander,en se plaçant dans l’hypothèse de la 2ème question, si la personne venue en France n’aurait pas pu faire l’objet d’une surveillance, si à un moment donné, on avait perdu la trace de sa parente.

                                                                  Pars le biais d’invitations dont elle n’était pas à l’origine,(visiblement on tenait à sa présence), elle a fait une rencontre influente : un homme qui mettra beaucoup d’empressement à l’aider, tout en lui montrant qu’il n’était pas indifférent, mais tout en sachant aussi qu’il n’avait rien à espérer en retour, si ce n’est son amitié sincère et sa gratitude.

                                                                  En effet il n’était pas sans connaitre l’existence d’un homme, qu’elle aimait depuis de longues années.Des évènements dans premier temps puis un contexte, les tenaient éloignés.

                                                                  Il essaiera même de faire son possible pour leur permettre de vivre ensemble.

                                                                  Parmi deux autres services apportés, l’un aurait pu faciliter une surveillance du lieu d’habitation, le second permettre de glaner subtilement d’éventuelles informations, pendant le temps de trajets réguliers.

                                                                  D’ailleurs elle n’aurait certainement pas accepté le 2ème service, si elle avait eu connaissance des doutes du cousin, et ni le premier.

                                                                  Forcément, elle se serait méfiée.

                                                                  Il y a un ensemble d’éléments qui mériteraient une enquête.Le fils du petit cousin a fait le nécessaire pour que les photos soient transmises à la famille très proche de la défunte.

                                                                  C’est ainsi.


                                                                  • ANGELLE 21 août 2022 17:27

                                                                    La date est le 21/08/2022 et non pas le 23/08/2022


                                                                    • ANGELLE 22 août 2022 15:42

                                                                      le 22/08/2022

                                                                      l’utilisation des deux mots « des descendants » du message du 21/08/2022 ne convient pas.Il est plus juste d’utiliser : « les très proches par l’ascendance et la descendance ».


                                                                      • ANGELLE 2 septembre 2022 16:42

                                                                        le 02/09/2022

                                                                        Je vais résumer au mieux, en allant à l’essentiel.

                                                                        Début 2015, en discutant avec une personne que je croisais régulièrement, j’apprends que son pays d’origine est celui où l’homme de Chicago a vécu quelques années..

                                                                        De suite je me dis qu’il ne faut pas surtout pas que je lui demande quoi que ce soit et ne surtout pas demander s’il lui reste des connaissances, afin de ne pas lui attirer des problèmes.C’est bien simple je passe de suite à autre chose.

                                                                        Fin février 2015, je demande par mail à un service d’état civil, si l’acte de naissance de l’homme de Chicago est enregistré dans leur registre.

                                                                        Peu de temps après cette demande, je n’ai plus croisé la personne.Dans un premier temps j’ai pensé que c’était peut-être dû aux vacances.Mais j’ai vite compris que non.

                                                                        Quelqu’un m’a fait remarquer, qu’on ne l’apercevait plus.

                                                                        En mai 2015 Je l’ai croisé, par un pur hasard.

                                                                        Fin juillet 2015 j’apprends que la personne a quasiment perdu son travail et que ça faisait 12 ans qu’elle faisait partie des effectifs.

                                                                        Un maillon...... tenait.Mais ça n’a pas été suffisant.

                                                                        Lors d’une campagne électorale qui s’est déroulée après 2015, j’ai eu l’occasion échanger avec un militant qui m’a demandé pourquoi je ne votais plus.

                                                                        Je lui ai expliqué ma situation et il a compris.Je lui ai également parlé de la personne que je croisais régulièrement.

                                                                        Il m’a répondu qu’il la connaissait et a rajouté : Tout ce que je peux vous dire , c’est que il/elle avait besoin de son travail.


                                                                        • ANGELLE 2 septembre 2022 17:14

                                                                          le 02/09/2022

                                                                          Depuis j’ai eu l’occasion de lui parler de mes recherches .

                                                                          Nous n’étions pas seuls.


                                                                          • ANGELLE 29 septembre 2024 22:25

                                                                            @ANGELLE

                                                                            Pour les personnes sur qui on pourrait vouloir exercer de l ’influence car, soit indirectement concernées ou éprises de justice du fait de ma situation, je leur recommande, en particulier lorsqu’elles sont seules ou en déplacement, de bloquer la porte de leur chambre.En effet même une porte avec les verrous fermés et la clé laissée dessus, ne semblent pas une sécurité à 100%.
                                                                            J’en ai fait l’expérience fin mars de cette année. On est rentré chez moi, la nuit.Evidemment je n’ai rien entendu et pas de souvenir. 
                                                                            Ca s’est su....et j’ai pu vérifier. 


                                                                          • ANGELLE 29 septembre 2024 22:54

                                                                            @ANGELLE

                                                                            Pour l’infiltration de fin mars 2024, ( dans les deux sens du mot), comprenez mon écœurement.
                                                                            Mais j’imagine que vous n’êtes pas rentré uniquement pour l’infiltration qui a laissé un bleu sur l’épaule gauche avec la marque d’une piqûre.
                                                                            Infiltration réussie car plus de douleurs aiguës quasiment du jour au lendemain,dues à une tendinite au bras gauche après une au bras droit.Je l’ai réalisé quand j’ai su.En effet si vous restez deux trois jours sans douleur, vous ne faites pas gaffe , c’est après quelques jours.Mon kiné qui est partie à l’étranger le 2eme semestre 2023 a mis plus de temps à soigner la tendinite du bras droit. Mais sa méthode a eu le mérite d’être respectueuse, efficace et naturelle.

                                                                            Forcément vous êtes rentrés pour une autre raison. 

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