Salauds d’pauvres !!!
C'est vrai quoi... Je pourrai faire un effort quand même. Arrêter de fumer, de me chauffer, de me laver, de m'éclairer. Je peux aussi arrêter internet et le téléphone... Et puis quoi ? 200 euros/mois pour manger et m'habiller alors que je pourrai aller aux « restos »... Non, vraiment, j'exagère !!!
C'est vachement bien de faire l'aumône :
-S'il vous plaît, j'ai faim et je suis tout nu... Assistez moi.
-Fais la queue aux « restos » fainéant !!!
Pas si simple.
D'abord, il faut s'inscrire. On étudie votre pedigree jusqu'au moindre détail : relevés de compte des trois derniers mois, carte grise de la voiture, assurances, avis d’imposition et j'en passe. Quand tout est validé, on vous donne ce qu'on vous donne, périmé ou pas et à la prochaine fois. Vous vous retrouvez à attendre votre tour en espérant avoir un bout de viande cette fois-ci et quelques légumes à la place des sempiternelles boîtes de conserves géantes sans étiquette. (surpriiiiise... Oh ? 5Kg de taboulé sans semoule, youpiiii). Les pauvres gens autour de vous n'osent même plus regarder leur interlocuteur dans les yeux. Interlocuteurs qui sont souvent des retraités bénévoles avec un œil inquisiteur et suspicieux (il n'a pas l'air honnête celui-ci avec ses grandes phrases...En plus, il n'est pas habillé en survêt' ou en leggins...).
Les « restos », c'est la cour des miracles... ça boîte, ça tousse, ça pleure, ça gueule, ça se plaint tout le temps et c'est jamais content.
J'y suis allé plusieurs fois en culpabilisant et en me disant que ce serait temporaire. Que mes compétences et mon expérience professionnelles viendront à bout de ce foutu chômage. La première fois, j'ai pleuré en serrant dans les bras la présidente de l'association qui venait de me donner à manger pour une semaine. Je peux vous dire qu'un gaillard de 120 kg (nourriture de pauvre) qui pleure devant tout le monde, ça fait de l'effet. Moi, j'avais honte de prendre la part de quelqu'un qui n'avait pas d'autre choix perdu dans son abandon et son désespoir. Désespoir qui se traduit dans la plupart des cas par un bulletin FN. Pas par racisme, car toutes les ethnies sont présentes, respectueuses et tolérantes aux « restos » mais par jalousie. Oui, les pauvres sont jaloux entre eux. C'est comme ça. Ils se méprisent comme ils sont méprisés. C'est humain comme comportement, les riches font pareil.
Le meilleur dans tout ce fiasco, c'est la peur de ceux qui ne sont pas pauvres :
-ça peut nous arriver à nous aussi.
Alors ils votent Le Pen ou à droite, pour qu'on ne leur enlève pas le pain de la bouche. La France aux Français et blablabla...
J'ai peur.
Pas de Le Pen.
J'ai peur de penser que ce que je croyais être le bien serait finalement le mal absolu. Je pensais que les valeurs universalistes de la République française défendaient le bien commun. Je pensais que la notion de partage était mise en évidence par la résonance des mots « liberté, égalité, fraternité ». Je pensais que partager c'est aimer.
Non ! Partager c'est mal. Partager c'est se faire du mal en se privant. Donner à l'autre une part de son bien sans adhésion au don de soi pour les autres, c'est donner sous la contrainte. La contrainte étant une privation de liberté, c'est anti-républicain. Donc c'est mal.
La liberté du « chacun pour soi » est donc réelle et légitime car vitale. C'est un instinct de survie. Si il n'y avait pas les « restos », je volerai dans les magasins en me fichant bien du mal que je causerai. En arriver là, c'est de la survie, au delà, c'est les poubelles et l'aumône. Notre instinct nous dicte de ne pas partager en cas de survie. Pire, il nous ordonne de prendre. Prendre est aussi une liberté. Notre instinct s'éveille par la peur. Pour changer notre instinct, cessons d'avoir peur. Cessons d'avoir peur de manquer.
Pour changer de paradigme jusqu'à son contraire, c'est à dire passer de « prendre » à « donner », il faut lutter contre son instinct vital. Imaginez deux combattants à mort dans une arène :
-ça te ferait plaisir que je te donne ma vie ? Dit l'un.
-ben ouais. Réponds l'autre.
-je te la donne. Lui dit-il avant de se trancher lui même la gorge.
Voilà de quoi il s'agit. Accepter de se sacrifier pour le bonheur des autres sans avoir peur que tout s'arrête.
C'est ça le partage.
Dimanche, un hommage sera rendu à un homme qui prônait la paix par le pardon, l'amour et le partage. C'était sa passion, son espoir. Il s'appelait Jésus.
Que l'Amour nous submerge.
55 réactions à cet article
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Liberté fraternité égalité...qu’ils disent...mais a l’arrivée y a comme un défaut...y a des riches et des pauvres qui se regardent de travers...ou des pauvres qui ne peuvent pas se piffer...comme avec les riches mon bon c’est pareil il y a rivalité sur les comptes en banques...Bon pour les pauvres c’est ce qu’il y a dans le panier du resto par rapport a celui qui vient de partie avec plus que vous...une injustice effroyable..inconcevable..ça vous serre les tripes..Chez les riches c’est la même chose mais sur la grandeur de la villa ou des bagnoles..eux aussi ça serre les tripes..sont jaloux..le bateau en rade de Monaco est plus grand...vite une commande pour gagner 5 mètres...au suivant..Nous sommes dans un monde de merde ou tout va de travers..les peuples crèves (sans restos du coeur)..quand ce n’est pas une bombe qui tombe au mauvais endroit...Ce matin j’ai lu dans un canard...Palestine/ONU : « ils le paieront cher » (Israël)...Les Palestiniens vont « payer cher » leur décision de relancer leurs démarches d’adhésion aux agences de l’ONU et traités internationaux, a averti aujourd’hui un ministre israélien, les menaçant de sanctions économiques, voire d’annexion de territoires occupés....Le Monstre juif se dévoile face au monde tel qu’il est...Une immense mafia qui vole les territoires Palestiniens depuis 1948...Même chez eux c’est du grand n’importe quoi...pourtant ils ont souffert...maintenant aux autres de souffrir...Y a pas de justice..nulle part l’humanité est égoïste..mais de temps en temps un mec sort de l’ombre et apporte du réconfort...sont pas assez nombreux hélas...
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Dans mon village, il y avait un vétérinaire qui s’était fait construire une piscine de onze mètres.
Cela devait correspondre à la topologie de son jardin, même si c’est un drôle de chiffre.Ce que voyant, mon voisin (plus con tu meurs !) s’est construit une piscine de 11.5 mètres.Et il n’aime même pas l’eau... -
+++Par doctorix...Tout a fait ça...j’en connais des tas dans le genre...
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@ Par claude-michel (---.---.224.199) 2 avril 13:44
Liberté, Egalité, Fraternité.- La liberté est une richesse qui se partage, et plus ceux qui y prétendent sont nombreux, moins la part de chacun est importante. Alors que paradoxalement, plus nous sommes nombreux plus nos exigences de liberté sont grandes.- L’égalité (que beaucoup confondent avec l’égalité devant la loi, voire avec l’égalitarisme) est un mythe attesté par nos différences.- Quant à la fraternité, s’il est une valeur qui ne se décrète pas, c’est bien celle-ci. Mis à part quelques Saints, qui peut dire qu’il n’existe personne avec qui qui il refuserait de fraterniser ou dont il refuserait la fraternité ? -
je suis sur qu’on lui tend un micro de TF1 ou Frane2 ou etc... il dira
« la jalousie quelle vilain defaut, moi je suis nullement matérialiste, je sais faire abstraction de tous ces desires que la société commercial motive par ci par la... ! »
Un Francais moyen parmis d’autres ! -
C’est vrai qu’il semble con, celui-là
Alors qu’il aurait pu se contenter de 11,01 m -
On vie. On finit tous par mourir. Même si certains meurent 2 fois. La question est de savoir que faire de temps pendant lequel nous pouvons agir sur ce monde. Certains culpabilisent par rapport aux pauvres qu’ils rencontrent. D’autres s’en fichent. Qu’ils crèvent maintenant, dans 1 an ou dans 10 ans, quelle différence ? Certains donnent de leur temps pour les autres, d’autres se contentent de vivre en savourant le bonheur de se sentir en vie.
Je fais partie de la catégorie des gens qui pense que pour que les gens soient heureux, il faut sortir de cette culpabilité complètement chrétienne, qui nous pourri la vie depuis plus de 2 millénaires. J’ai déjà été dans le besoin, il ne me serais jamais venu à l’idée de demander de l’aide. Question d’éducation sans doute. Je préfère de très loin mourir de faim, plutôt que de demander à mon voisin s’il aurait un truc à manger.Des gens meurent de faim ? Ce n’est pas ma faute. Le système est ainsi fait, si les puissants en décidaient autrement, cela serait réglé depuis longtemps. Le puissants ont décidés que les pauvres crèveraient. Ils crèvent. Essayer d’en sauver quelque uns, c’est illusoire. C’est gâcher sa vie pour ne pas en sauver une autre.-
Provoc....
Un de ces gusses qui veulent établir le record des moinssages.Ou parfaite ordure, peut-être. Ça existe aussi.Je ne moinsse même pas, ce serait trop d’honneur. -
Moi je suis comme toi Doctorix, j’aime bien m’acheter une bonne conscience en montrant de la compassion à peu de frais.
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Je ne vais pas vous raconter ma vie, mais la compassion passe parfois par de gros frais.
Mais pour ceux qui ne peuvent pas, c’est déjà pas mal d’approuver la compassion. -
Le système est ainsi fait, si les puissants en décidaient autrement, cela serait réglé depuis longtemps.
Tout-a-fait d’accord sur ce point.Sans les pauvres, le système ne fonctionnerait pas.C’est bien connu, les plus grosses marges bénéficiaires ( ikéa, Aldi, lidl etc...je parle pas de l’épicier du coin) se font sur la consommation des pauvres .Ceux-ci regardent rarement à la dépense, faut bien se nourrir, s’habiller ...contrairement au petit bourgeois, qui lui, fait tjrs bien attention à ne pas payer plus que ce que ça vaut, le pauvre achète de la merde.Les puissants en possèdent et en fabriquent en abondance...A qui la vendraient-ils s’il n’y avait pas de pauvres ? -
« relevés de compte des trois derniers mois, carte grise de la voiture, assurances, avis d’imposition et j’en passe. »
?? pourquoi faire ?
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Pour vérifier si vous êtes pauvre ou non selon ces critères.
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C’est vrai que dans le parking de la barre de HLM de mon village, il y a une Audi TT toute neuve, et ça fait mauvais effet.
C’est vrai qu’en allant chercher une pièce pour mon vieux Chrysler chez Mercedes, j’ai vu, sur un tapis rouge, le dernier cabriolet merkos à 70.000 euros qui attendait son nouveau propriétaire. Il y avait le nom de l’heureux destinataire écrit sur un papier sous l’essuie-glace, et, pipelette comme je suis, j’ai regardé.C’était le nom d’une de mes patientes qui me présente chaque mois sa carte CMU (tout comme le reste de sa grande famille).C’est vrai, ça la fout mal.Mais il vaut mieux se faire baiser une fois de temps en temps plutôt que de laisser un malheureux dans sa merde.C’est juste pour dire qu’il y aurait quand même des choses à vérifier. -
c’est quoi la limite ? faut revendre la vieille BM qui fonctionne bien car elle consomme trop pour acheter une AX bonne pour la casse ?
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La limite, c’est la décence.
Mes deux exemples sont des indécences.Et vous le savez bien. -
« C’est juste pour dire qu’il y aurait quand même des choses à vérifier. »
c’est dèjà le cas
par contre le gars qui bosse au noir ne peut le dire a son assistante sociale qui va l’envoyer aux restos du coeur.la voiture neuve de luxe, on est plus proche du dealer très con
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« voiture neuve de luxe, on est plus proche du dealer très con »
En l’occurrence ce n’est pas le dealer qui est con.
Mais le commissaire, le percepteur du coin qui voient passer tous les jours la voiture devant leur pif, mais qui n’ont même pas le début de commencement d’intelligence de se pencher sur le cas. -
Est-elle vraie ? l’histoire de la patiente. :->
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On peut en inventer à tire-larigot des exemples...
A Sarlat, il y a un type qui s’appelle Sylvain et roule en Maserati.
Facilement vérifiable.
Il m’a fait travailler pour dépanner son système de vidéoprojection avec surround.
Il ne m’a jamais payé et ne le fera sûrement jamais.
C’est comme cela qu’on devient riche.
Ah oui !! Il est un peu « grillé » de partout, mais il a les moyens de passer outre si il a vraiment besoin de quelque chose... -
Le 421 , j’ai eu le même problème ,mais lui avait une grosse et magnifique Harley ,moi une très bonne petite visseuse 12V et un non moins bon petit foret acier .
Il parait que la Harley a eue des problèmes de fuites d’huile ...Y a pu de qualité américaine ... -
Et cerise sur le gateau, Dotorix à un vieux Chrysler qu’il répare tant bien que mal.
C’est connu, tous les docteurs ont de vieilles voitures pourris pour faire leurs visites.
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surement pour faire VRAI PAUVRE.... esprit Francais tricheur ==>
« comme tu es (tricheur), tu vois les autres.... » -
Si tu as Internet et le téléphone c’est que tu est un vilain capitaliste .. en plus tu réclames du pouvoir d’achat, du pognon, toujours du pognon !
Tu vas te faire mal voir sur Avox par ceux qui clament la décroissance, l’abandon de la monnaie et le retour aux vraies valeurs humaines.
Manquerait plus que tu sois un électron libre, émancipé du travail et autres contraintes matérialistes.
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Mais non les pauvres ne sont pas des salauds ; tout au plus sont-ils stupides.Stupides de se multiplier plus vite que les autres, au point de s’offrir de plus en plus nombreux, avec leur descendance, à une société (et pas seulement aux riches) qui n’a jamais assez de main d’œuvre ni de consommateurs.Chômage, pauvreté, inégalités, pillage des ressources naturelles sont autant de maux contre lesquels les politiques économiques et sociales des États, comme des collectivités qui les composent, ne peuvent avoir de sens que si sont pris en compte les fondamentaux de la démographie mondiale et les problèmes de surpopulation qu’elle génère inexorablement, au détriment d’une planète mutilée de toutes parts et par voie de conséquence, des espèces qui la peuplent, à commencer par les plus défavorisées.Quels que soient les indicateurs et autres indices inventés ici ou là, au gré des croyances et des idéologies dominantes, si la pauvreté augmente, si les inégalités se creusent, les raisons en sont avant tout l’augmentation considérable de la population et celle de la richesse globale que cette même population génère par son activité, avec l’aide du progrès ; le partage de cette richesse étant une toute autre affaire.Chaque jour, plus de 250 000 êtres humains s’ajoutent à la population terrestre, qui devrait atteindre 9 milliards vers 2050 et dépasser 11 milliards au début du prochain siècle. Par l’effet du sort qui les a fait naître ainsi ; produits des taux de natalité les plus élevés, les pauvres qui représentent la grande majorité (70%) de ces nouveaux arrivants vont s’ajouter à ceux qui surpeuplent déjà la base atrophiée d’une pyramide sociale dont le sommet s’élève par ailleurs inexorablement, accentuant chaque jour les écarts qui y règnent. La croissance démographique mondiale, en cherchant à répartir ses surcroîts de population miséreuse partout où cela peut contribuer à les résorber, nourrit et accentue la pauvreté et les inégalités. Mécanisme démographique à l’origine de tous nos maux, mais sujet tabou.C’est par le contrôle de la population, en luttant contre le surnombre, qu’il faut la combattre les maux de la société, à commencer par la pauvreté ; le reste suivra naturellement.Et malgré cela, non contents d’être pauvres eux-mêmes, les pauvres continuent à faire des enfants, qu’ils condamnent à naître pauvres comme eux.Pour approfondir cette réaction, voir :Ne pas manquer schémas et tableaux.-
zinquiétez pas, Bill Gates, avec ses vaccins, va remédier à tout ça.
Certains contiennent de l’hormone gonadotrophine chorionique. Ils sont réservés aux femmes, et celles-ci fabriquent des anticorps contre l’HCG empêchant définitivement toute grossesse.Ce bon Bill Gates...Moi j’ai une autre solution : on peut « écrêter » le 1% de la planète qui possède 70 % des richesses, et refiler cette manne à tout le reste. Avec d’autant moins de remords que c’est ce 1% qui fait les guerres.Devenant plus aisés, les pauvres feront moins d’enfants (comme nous) et le problème disparaîtra.La Terre peut nourrir 15 milliards d’humains, si on répartit. Il y a de la marge. -
Par doctorix (---.---.87.181) 2 avril 20:03
Prisonnier de votre vision compassionnelle de l’humanité, vous ne semblez pas avoir compris que la pyramide sociale, par définition, ne s’écrête pas.La pauvreté – comme la richesse – est une composante de la société, structurelle et mécanique, aussi relative qu’incontournable ; et les inégalités de toutes sortes en résultent. En prendre conscience serait le premier pas à faire pour atténuer cette pauvreté et ces inégalités, voire les maîtriser, à défaut de pouvoir les éradiquer. La preuve a en été largement administrée depuis plus 20 siècles, durant lesquels les raisonnements, les doctrines ainsi que les méthodes et les moyens appliqués pour les combattre n’ont fait que les augmenter et les exacerber.En occident comme ailleurs, dans les pays développés comme dans les autres, la société des hommes est, a toujours été et sera jusqu’à sa fin, faite de différences et d’inégalités. L’exception y domine la masse ; le pouvoir y domine le peuple, la force la faiblesse, l’intelligence la sottise, le savoir l’ignorance , la richesse la pauvreté etc. ; dans tous leurs aspects. Et plus les richesses augmentent – qu’elles soient d’ordre matériel ou immatériel –, plus s’accroît l’écart entre le sommet d’une pyramide sociale qui n’a pas d’autres limites que l’ambition humaine et les capacités de la planète et, à l’opposé, une base reposant sur la pauvreté absolue et l’indignité, dernier état de la condition humaine.Il faudrait avoir clairement conscience de ce mécanisme avant de tenter quoi que ce soit d’utile pour secourir durablement les plus nécessiteux d’entre nous, qu’il s’agisse de continents, de nations, de régions, comme d’individus.Le sommet de la pyramide sociale s’élève sans cesse partout sur la planète, du fait de l’activité des hommes et de l’accroissement de la richesse collective qui en résulte. Dans le même temps, sa base s’atrophie inéluctablement, chaque jour davantage, en raison de la croissance démographique.L’homme et le progrès dont il est porteur ont ainsi créé, en 20 siècles, 5 fois plus de miséreux qu’il n’y avait d’individus de toutes conditions sur terre au début de leur entreprise. Et la population augmente, quotidiennement, de 250 000 âmes qui viennent dans leur grande majorité surpeupler la base d’une pyramide sociale dans laquelle le « descenseur social » prend le pas sur l’ascenseur du même nom démontrant, s’il en était besoin, que la pauvreté est plus facile à partager que la richesse.Pour approfondir cette réaction, voir :sans manquer schémas et tableaux. -
Par bonheur, il y a des riches pour estimer et proclamer que les pauvres sont une nécessité incontournable.
Par contre, je connais aussi plein de pauvres qui estiment que rien n’est moins nécessaire que les riches.Et les uns comme les autres savent bien lesquels disparaîtront les premiers.C’est bien pour ça que les riches financent des armées : mais c’est peine perdue. -
Par doctorix (---.---.87.181) 2 avril 23:11« Par bonheur, il y a des riches pour estimer et proclamer que les pauvres sont une nécessité incontournable. » - Nous sommes bien d’accord et c’est exactement ce que je dis d’une autre manière : La pauvreté – comme la richesse – est une composante de la société, structurelle et mécanique, aussi relative qu’incontournable ; et les inégalités de toutes sortes en résultent.Que vous connaissiez des riches qui ... et des pauvres qui ... n’y change rien, et si vous êtes réellement désireux de vérifier votre opinion, je ne puis que vous inviter à nouveau à visiter attentivement :En tout cas, que vous puissiez envisager et vous réjouir que le riches disparaissent les premiers me semble pour le moins étrange. Le triomphe de la pauvreté vous parait-il à ce point souhaitable ? Ne confondez-vous pas triomphe de la pauvreté avec bonheur des pauvres ?En choisissant délibérément une politique sociale appauvrissant les riches au profit des pauvres – sans jamais parvenir à enrichir ces derniers dans une mesure pouvant les satisfaire –, avec un manque de discernement que seul peut expliquer l’idéologie romantico-compassionnelle dont est pétrie la pensée unique, nous ne faisons que préférer, dans l’absurdité la plus complète et au détriment de tous, « plus de pauvres et moins de riches » à "plus de riches et moins de pauvres. Je préfèrerais pour ma part que nous soyons tous riches plutôt que tous pauvres, quitte à ce que nous soyons moins nombreux.Lutter contre la pauvreté c’est se battre pour les pauvres et non contre eux. -
Votre article cité frise l’eugénisme, bien qu’avec précautions oratoires.
Il y est dit que la richesse ruisselle des riches vers les pauvres. Je crois plutôt qu’elle remonte par capillarité des pauvres vers les riches, que s’il n’y avait pas de pauvres, il n’y aurait pas de riches, parce que seul le travail a une valeur.Les pauvres peuvent très bien se passer des riches, alors que les riches ne peuvent se passer du travail des pauvres.C’est pourquoi les riches disparaîtront les premiers, quand la valeur du travail retrouvera sa place primordiale devant celle du capital, qui n’est jamais qu’un artifice.Je suis convaincu que la boule de gui est persuadée que c’est grâce à elle que le chêne vit, comme la mouche croit sincèrement qu’elle fait avancer le coche.Mais toutes deux se trompent, et on peut se passer d’elles. -
@ Par doctorix (---.---.87.181) 3 avril 07:02Je m’étais permis de vous recommander une visite « attentive » de mon blog, ce qui n’a manifestement pas été le cas.« La richesse remonte des pauvres vers les riches » - Parce que vous avez déjà vu les ruisseaux remonter les pentes ? Quant à la capillarité, comment pourrait-elle jouer puisque la base de la pyramide sociale est, par définition, dépourvue de la richesse qui pourrait en être la source ? Je dis d’ailleurs bien d’autres choses sur l’effet de ruissellement, que vous n’avez pas comprises ou que vous préférez taire.Les pauvres existent par les riches et réciproquement, comme le travail est le complément du capital et vice versa.Pour ce qui est de l’eugénisme dont vous me taxez, quelles sont ces précautions oratoire qui le dissimuleraient ? il est bien connu que selon une certaine dialectique, les pires mensonges font l’affaire de ceux qui, dans de grands élans de générosité inspirés aussi bien du marxisme que du christianisme et autres idéologies et religions, veulent imposer la dictature du prolétariat. Mais ils sont en réalité les promoteurs de celle-ci, au détriment premier de ceux qui en souffrent. Prétendant lutter pour ces derniers, ne s’obstinent-ils pas, dans une lutte des classes dont la faillite est partout avérée, moins à partager les richesses du monde qu’à rejeter sommairement sur les riches et la collectivité, la responsabilité du destin des pauvres ? Ils négligent ce faisant, la part prépondérante qui en incombe à chacun de ces derniers ? Les pauvres enfantent des pauvres (comme les riches des riches). Quel que soit le sort de chacun, il est d’abord dû à sa naissance, et vouloir l’ignorer ne fait que retourner la colère des plus déshérités contre eux-mêmes, les enfonçant toujours plus dans leur condition en perdant de vue qu’elle est avant tout héréditaire en même temps que favorisée par le nombre, et que c’est par conséquent sur ce terrain qu’il faut la combattre.C’est dans la négation de cette évidence que se situe la stupidité, non seulement des pauvres mais de tous ceux qui les entretiennent dans leur ignorance et qui eux sont les salauds dont vous parlez. -
Tu dialéctises beaucoup trop « ta société » mets un peu de retour sur investissement, lorsque tu passes de l’état de nature a celui d’un projet de société c’est justement pour garantir a tous un minimum de vie decente.
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@ 1871-paris (---.---.123.82) 3 avril 11:32
Sauf qu’il ne s’agit pas d’un « projet » de société et encore moins de « ma » société, mais d’un constat que n’importe qui peut faire – pour autant que son endoctrinement ne l’en empêche pas irrémédiablement –, avec bilan chiffré sur 20 siècles à l’appui.Quant à garantir à tous un minimum de vie décente, en encourageant une prolifération qui aggrave mécaniquement chaque jour un peu plus le sort des plus pauvres, je vous laisse face à vous-même pour y réfléchir. -
« La richesse remonte des pauvres vers les riches » - Parce que vous avez déjà vu les ruisseaux remonter les pentes ? Quant à la capillarité, comment pourrait-elle jouer puisque la base de la pyramide sociale est, par définition, dépourvue de la richesse qui pourrait en être la source ? »
Des ruisseaux remonter des pentes non, d’où le terme capillarité... dans ce cas, cela remonte effectivement... vu la largeur de la base de la pyramide, petites quantités par petites quantités... ça devient une énorme quantité... et le fait que « cette richesse » n’existe pas... il y a quand même, pour certain, un pécule, certes plus que limité, mais qui existe et remonte jusqu’au sommet de la pyramide par la consommation via les marges de vente, ainsi que par la productivité, toujours via les marges, car les coûts salariaux n’impactent que très peu la marge bénéficiaire d’un produit, cette dernière ayant tendance à se retrouver au sommet de la pyramide...Le terme capillarité a donc été choisi de très belle manière !J’ai par ailleurs beaucoup de mal à identifier ce « ruissellement » de la richesse vers la pauvreté... un milliardaire s’achetant un Yacht ? Dans ce cas, et pour les raisons citée plus haut, je doute que ce genre de dépense ruisselle vraiment, au mieux une goutte se retrouve à la base de la pyramide... qui ne tardera pas à remonter vers le sommet, la TVA récolté (pour ne parlait que d’elle) servant soit à rembourser la dette, soit à payer de grandes entreprise pour un pacte de solidarité qui, nous l’imaginons très bien, ignoreront les « retours sur investissement ». -
Par DsrEvil (---.---.41.42) 3 avril 12:36Mise à part la référence douteuse a la capillarité que vous défendez, si nous sommes plusieurs à avoir lu votre post, je pense que vous devez bien être le seul à ne pas percevoir (ou identifier, pour reprendre votre terme) le « ruissellement » à partir de votre exemple du milliardaire et de son yacht.Il suffit en effet de penser aux nombreux métiers nécessaires à sa construction et aux non moins nombreux travailleurs qui y auront participé. Et cela continuera lors de son emploi (fonctionnement, entretien, approvisionnement, stationnement, etc). Élémentaire !Bien que je sois personnellement porté à penser qu’il existe d’autres priorités que les yachts pour milliardaires, il me semble plus profitable à tous, que ceux qui possèdent des fortunes en emploient une partie pour satisfaire leurs envies (tout comme vous le faites vous-même, à votre échelle, lorsque vous vous offrez le dernier modèle de téléphone ou la machine à café dernier cri) plutôt que de s’asseoir devant leur tas de dollars pour passer leur temps à le regarder grossir. Non ?Rassurez-vous, quand nous serons tous pauvres, la question ne se posera plus ... Mais qui jalouserez-vous ? -
Claudec ne voit pas- ne veut pas voir- que la richesse, au moins la grande, ne vient pas en récompense à un travail mais de toutes formes de spéculation.
On spécule sur le travail des pauvres en premier lieu, par des salaires minables. Et puis quand on les a sucés jusqu’au trognon, on spécule en leur prêtant l’argent qu’on a amassé sur leur dos avec des intérêts.Avec l’argent qu’on leur a piqué, on achète des logements dont on a pas besoin pour les leur louer à un prix tel que les loyers payent l’achat de ce logement.Après ça, on fait des placements hasardeux en bourse, comme on jouerait au casino, mais toujours avec leur argent. Si on gagne, on garde les bénéfices. Si on perd, on appel les états au secours, qui s’empressent de régler la note et de la facturer à qui ? Devinez.Mais tout cet argent venait de leur travail, et c’est un vol, répété à l’infini.Je vous ai bien expliqué le capitalisme ? -
@ doctorix (---.---.87.181) 3 avril 19:21Vous n’avez pas totalement tort, mais pour aller au-delà de votre vision romantico-compassionnelle de la question (excusez si je me répète) lisez donc : https://docs.google.com/document/d/19A-0tVopdP-mUTQFsyfjx3RqDjiwFmvxjUCkJ7xD4BU/editLe capitalisme n’est qu’une forme achevée du matérialisme, dont les variantes, tant collectivistes que libérales, ont séduit tous les niveaux de la pyramide sociale (riches, classes moyennes et pauvres), au cours des siècles et de l’évolution des sciences, de l’industrie, de l’économie ...et de la démographie.Et ceux qui prétendent que le capitalisme est condamné, expire, est moribond, voire mieux, est mort, se trompent ou mentent.Nous parvenons au contraire – pour le meilleur et pour le pire –, par l’enrichissement considérable de la société, à un capitalisme triomphant, avec la complicité, consciente ou objective, de tous : depuis ceux qui trônent au sommet de la pyramide sociale, jusqu’aux plus humbles qui, non content de vivre des miettes de plus riches qu’eux, se multiplient pour qu’il en soit de même pour leurs descendants, chaque jour plus nombreux.Pour en revenir à l’objet de l’article dont nous débattons ici, c’est en cela que le pauvre, comme ceux qui lui accordent une compassion trop sommaire, est davantage stupide qu’un salaud. -
Doctorix, qu’on le regarde par le petit ou le gros bout de la lorgnette, c’est toujours le même paysage.
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Nourrir loger blanchir 51 personnes avec 7.000 euros, c’est quand même pas le Pérou...Même pas 5 euros par personne et par jour.
Mais pourquoi irait-on s’enculer soi-même quand on a tant d’hommes politiques que nous payons pour ça ? -
Tu m’as fait rire... l’image est drôle.
Je vais juste préciser la science. Il est prévu par Einstein que les rotations mécaniques crée un petit effet vortex. Pas de bol pour Einstein ça crée plus d’effet que prévu, Martin Tajmar est un de ceux qui l’a prouvé. C’est expliqué dans la vidéo avec l’habituel vieux débris qui casse les c... à la fin, il y a des centaines de preuves...
Quand j’en aurai fini avec Einstein, dans 25 ans... il aura la réputation d’O. J. Simpson... Je plaisante mais il a quand même mis le merdier. Ces grands penseurs Juifs, depuis Jésus, ils font des faux témoignages... S’ils sont aussi bon après la rédemption qu’ils ont été mauvais avant, ils vont être exceptionnels...
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Ces grands penseurs Juifs, depuis Jésus, ils font des faux témoignages
Tiens, pour une fois que les juifs - et là, je ne parle pas des israéliens - n’étaient pas dans le coup, il a fallu qu’il y en ait un pour y remédier. Regardez bien sous votre lit avant de vous coucher, Christophe Nicolas, il y en a sans doute cachés là pour vous faire les poches pendant votre sommeil…-
d’abord quand il n’y aura plus de pauvres , il n’y aura plus que des riches !
et comme ils seront tout seul , ils seront obligés de travailler ou de faire de la politique et comme ils ils ne savent rien faire ils crèveront la gueule ouverte !
bien fait ! na !-
Il faut montrer la carte grise de l’Audi TT ou celle de la Polo Match de 1983 ?
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L’indécence et la violence c’est aussi toutes ces publicité pour des mercedes à 40 000 € ou pour des montres à plus de 5000 € dans des journaux comme le JDD alors que 99,9 % des lecteurs ne pourront jamais se les payer.
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Le jour ou vous avez atteint un certain stade de sagesse, vous avez appris à vous contenter de ce que vous avez. Aussi peu que ce soit.
Ce jour là, vous commencez à faire vos courses en vous posant à chaque fois la question : « Est-ce que j’en ai vraiment besoin ? »
Ce jour là, vous commencerez à faire la nique au système qui ne vit principalement qu’en vendant de l’inutile...
Si tout le monde fait comme ça, vous allez voir que pour gagner de l’argent, certains se rabattront sur l’essentiel.
Et les paysans deviendront des traders...
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Quoi ??
C’est déjà fait ??
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l’argent des uns n’a jamais fait le bonheur des autres.
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Non, mais l’argent des autres fait souvent le bonheur des uns.
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Bonjour à vous auteur ! Et bravo pour votre article ! Concernant les restos du cœur, je souhaite dire, que ce qui « me fait doucement rire, » et sans offenser qui que ce soit, surtout pas, c’est le gros discours démago du style « Ce n’est pas la honte de manger au resto du cœur ! ça peut arriver à tout le monde de se retrouver dans une situation difficile etc etc et ce n’est que temporaire hein ! Ça va passer » discours de gros con désolée !
Parce que si ! C’est la honte d’aller mendier ! Si c’est la honte d’aller au resto du cœur ! Dites-le ! Ce n’est pas possible d’en arriver là ! C’est insupportable !
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Jésus disait « des pauvres vous en aurez toujours »...
Contrairement à l’idée recue, le pauvre est aussi capable de vous rouler dans la farine que le riche et même si la pauvreté amène parfois à l’empathie, au partage, ce n’est pas non plus une généralité..
L’envie ce poison s’insinue partout, n’épargnant aucune couche sociale..
En guise de bienvenue dans mon lotissement hlm, j’ai eu droit (à la fête des voisins) aux « eh bien, vous avez de la chance, votre appartement avec jardin » on est beaucoup à avoir fait des pieds et des mains pour l’obtenir«
Ce dont je ne me doutais pas, c’est qu’au fil des ans, j’allais établir une liste des culottés qui vinrent frapper à ma porte me proposer l’échange avec leur logement..
dont une désespérée que sa voisine dotée d’un staff, battait à l’occasion et qui se jeta à mes pieds (véridique) pour que je vienne m’installer dans son appart à la tapisserie en lambeaux (maison en construction au maroc oblige) et aux vitres avec trou de balles (des vraies balles)
Une autre qui s’en alla trouver le gérant (lequel moufta :) exigeant l’échange , motif : elle avait un chien (moi aussi mais le sien n’était pas un bon gros batard comme le mien)
Une pour se reposer de ses journées de travail dans la restauration autrement que sur sa grande terrasse en béton..
une encore pour se »rapprocher de sa maman« histoire de ne pas avoir à traverser le lotissement pour aller lui faire coucou tous les jours ! (rhoo mais quoi merdalors !)
et le dernier cette semaine, malheureusement situé au bord de l’autoroute devant un chantier en travaux qui voulait me fourguer d’une manière plus qu’insistante, ses particules de diésel plein pot, son bruit et sa poussière de platre..
Si donc j’appliquais à la lettre, le »donnez à qui vous demande", j’aurais passé ces dix dernières années à déménager jusqu’à me retrouver in fine, dans un studio bruyant au dernier étage d’un immeuble surplombant l’autoroute nice-toulon-hyères avé mon chien, mon chat et ma fille..
et parfois je me dis qu’avec des mentalités pareilles, faut pas s’étonner que les bénédictions se fassent attendre...
et puis l’amour c’est aussi parfois savoir dire non.-
@ Loatse (---.---.89.42) 3 avril 13:54« La foi stupide ne saurait plaire à Dieu » Jules Renard. -
@claudec
« Heureux les simples d’esprit, le royaume des cieux leurs appartient »
Jésus.
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Dans une société impérialiste, les pauvres servent de base pour la pyramide. Les pauvres en sont le fondement.
Ils sont tout d’abord un modèle qui fout la trouille. Ils sont une main d’œuvre gratuite. Ils portent sur leurs épaules un système bien gras et lourd.
Le pauvre est toujours endetté, heureusement ça rapporte aux banques.
Quand l’élite veut réguler la population, il y a juste à créer une guerre, les pauvres sont là, pour se battre.
Si l’élite veut changer de régime, il y a juste à agiter le pauvre peuple pour créer une révolution.
Bon, vous avez compris, que les riches ont besoins de pauvres pour vivre dans l’opulence.-
Si,si rocla, simplement je suis une socialiste de terrain... ;)
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« s’ cuse j’ croyais que vous étiez de mon genre »
Vous êtiez boulanger, je fus longtemps une bonne pâte... cela devrait nous rapprocher
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@Bartneski
J’ai lu les évangiles et c’est une très belle conclusion que la vôtre pour cet article très touchant.
Que ce soit la progression de la fréquentation des restos du cœur ou celle des mal-logés et des SDF, nous sommes confrontés à une grave crise.
A cela, l’opinion populaire indigné y répond par la Haine de l’autre. Qu’il s’agisse du Riche, de l’Immigré, du Politicien, etc... Cette Haine n’est pas une solution mais un problème plus grave encore.
Moi-même, je me creuse la tête pour savoir quoi faire. En tout cas, je vous remercie de nous rappeler, qu’en toute laïcité, à des forces négatives il nous faut répondre par des forces positives égales ou supérieures.
Je suis Athée. Mais les évangiles que j’ai lu avec beaucoup de plaisir, portent une philosophie d’amour, de fraternité et d’humanisme qui m’inspireront toujours.
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