Sarkozy aux français : Vous souffrez et vous souffrirez longtemps encore !
« Vous souffrez et vous souffrirez longtemps encore, car nous n’avons pas fini de payer toutes nos fautes » c’est par cette phrase que dans son discours du 26 juin 1941, le maréchal Pétain lançait la France dans la collaboration [ source INA ].
De quelles fautes s’agissait-il à l’époque ? En vrac : le front populaire, les congés payés, la tentation du communisme et la résistance au vainqueur.
Hier à Toulon, Nicolas Sarkozy s’est glissé dans l’uniforme de Pétain pour à nouveau tancer les français. Quels péchés avons-nous commis cette fois ? les 35 heures, la retraite à partir de soixante ans, les congés maladie, la sécurité sociale, bref, toutes ces institutions issues du programme du Conseil National de la Résistance.
Le vainqueur du jour : les marchés vis-à-vis desquels nous sommes coupables de ne pas entériner la victoire.
Alors nous devrons payer. En vrac :
- 45 millions d’euros par an d’intérêts à 3,8% aux banques privées, pour des prêts que la BCE leur facture à 1%
- 200 milliards d’euros avec laquelle la BCE rachète aux banques privées leurs titres de dette des Etats de la zone euro, rubis sur l’ongle et ce à haut prix.
- 13 milliards par an de cadeaux fiscaux, conséquence de la loi TEPA mise en place par Nicolas Sarkozy lui même, sans aucun résultat en terme de croissance et d’emplois.
Comme l’a dit le Général DE GAULLE dans ses derniers discours, cité ici par le général Leclerc [ lire ici ] :
« il y a une mystique « Pétain » basée sur les dogmes de la culpabilité de la France, de la victoire certaine de l’Allemagne, de la Collaboration, de la Révolution Nationale. Cette mystique a été adoptée plus ou moins sincèrement :
- par les gens en place, petits ou gros, qui en ont tiré bénéfice.
- par les imbéciles et les faibles.
- par certains jeunes, enthousiastes et crédules. »
L’histoire se répète, et à la prochaine présidentielle, il faudra à nouveau choisir entre la résistance ou la collaboration
Publié sur LaDette2012.fr
34 réactions à cet article
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La dette est essentiellement due aux intérêts payés aux banques privées et aux 130 ou 150 milliards de cadeaux fiscaux divers aux entreprises et haut revenus.
La communication de Sarkozy vise à en détourner l’attention pour se fixer sur quelques abus, minimes, ou taper, souvent injustement, sur les actions de la gauche lorsqu’elle a gouverné. C’est sa campagne électorale, déjà lancée (avec l’argent du contribuable).
Et, notons, qu’on n’entend quasiment pas une réplique de la gôôôôche . Etonnant, non ?
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Bonsoir à tous,
Grand merci @ Fab, tout est dit et avec talentAvant le 31/12/2011, nos parlementaires doivent voter les modifications règlementaires pour transformer le FESF et le MES en institutions à durée illimitée.
Avant nos présidentielles de 2012, nous aurons certainement droit à la mise en oeuvre de ces deux dispositifs, plus les modifications, exigées par Merkel, substantielles du Traité de Fonctionnement Européen donc du Traité de Lisbonne, sans utiliser un référendum européen grâce à une astuce juridique déjà éprouvée avec succès que je vous décris plus loin.Il est un constat accablant, les dirigeants que nous avons élus, depuis l’époque Pompidolienne, se sont révèlés être de pitoyables gestionnaires (un euphémisme) sacrifiant l’intérêt général à l’intérêt de leurs « partenaires et sponsors » et le leur, clientélisme des réélections sans parler de la corruption.
Nous avons entendu un Ministre de la République indigne (Baroin) accuser ses opposants d’avoir obtenu leur succès de 1981 « par effraction ».
Mais que nous propose, dans son discours de ce soir, Sarkozy sinon un coup d’état, un anschluss, un pronunciamento, sur l’Europe au bénéfice de l’oligarchie financière dont il n’est que le commis, l’huissier, qui affirme que les déficits ont commencés en 1974 en omettant de nommer la loi Rotschild/Pompidou/Giscard de 1973.
Merkel a réussi son coup avec les Monti, Draghi, Papedemos et un Sarkozy qui a baissé son froc, à savoir lancer la Grande Braderie de l’Europe au seul bénéfice de cette oligarchie, avec une BCE qui rachète de la dette souveraine plus ou moins pourrie sur les marchés primaire et secondaire devenant une Bad Bank (en contradiction avec tous les traités) en attendant de la transférer au FESF, ce qui limitera dès maintenant les possibilités d’intervention du Fonds.
En effet, elle a obtenu ce qu’elle exigeait depuis toujours :
Une modification radicale, profonde du Traité de Fonctionnement de l’Union Européenne (TFUE) donc du Traité de Lisbonne.Mais cette modification du traité se fera en dehors de tout cadre référendaire européen, en utilisant l’article 48 du TFUE (Traité de Fonctionnement de l’Union Europe Européenne).
Ce procédé avait déjà été utilisé le 16/12/2010 par le président du Conseil Européen, Herman Von Rompuy pour l’accord du 11/03/2011, par amendement de l’article 136 du TFUE et de l’instauration d’un mécanisme permanent, le FESF et le MES, le 11 juin 2011.
Des sanctions automatiques ou décidées par la Commission sur plainte d’un état pour non respect des engagements budgétaires.Créer un mécanisme permanent de sauvetage.
Une règle d’or des 3% et de 60% du PIB, tout en sachant que cette règle définie lors du traité du Maastricht n’a jamais été respectée (même par l’Allemagne, qui prévoit d’augmenter son déficit en 2012) reposait sur les éléments suivants :
Les taux de 3% du déficit, et de 60% pour la dette sont le résultat d’un calcul représentant une situation d’équilibre : si un État a une dette de 60% du PIB, un déficit de 3% du PIB et une croissance du PIB de 5% (en € courants) alors la dette de cet État reste stable à 60% du PIB (même si cette dette augmente en valeur absolue).
"En juin 1981 qu’il était chargé de mission à la Direction du Budget du ministère des Finances, l’économiste Guy Abeille raconte avoir été mandaté avec son chef de bureau de l’époque Roland de Villepin d’établir un critère économique utilisable par le Président Mitterrand dans ses discours. Faute de mieux, Abeille et Villepin proposent alors ce critère relativement simple basé sur un ratio déficit/PIB qui, du propre aveu d’Abeille, « ne mesure rien » et sur une norme (3%) qui « n’a pas d’autre fondement que celui des circonstances » (le déficit budgétaire de l’époque atteint déjà presque 2% du PIB)".
Le FMI a décidé de mettre en place des « lignes de précautions et de liquidités » afin de couvrir des besoins financiers urgents grâce à des prêts de six mois à deux ans ne faisant que retarder l’échéance de quelques mois.
Enfin, les Banques Centrales Mondiales ont décidé de renforcer le FMI pour refinancer les dettes européennes par la BCE en contournant l’interdiction de création monétaire de cette dernière.
Une rapide analyse du dispositif du FESF mis en place le 28/10/2011 pour démontrer qu’il est catastrophique :
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l’abandon de créance de 50% par les banques européennes sera limité par l’obligation de recapitalisation des banques grecques aura une efficacité réelle de 19 à 27%. A l’issue de ce G20 inénarrable, il est passé à 60% alors que la provision devrait être de 100%.
- la garantie de 20% de la première perte sur des obligations souveraines est insuffisante pour rassurer les marchés et les banques, à terme.
- le renforcement du fond par un effet de levier est dangereux car il mènera à la création d’une pyramide de Ponzi.
-la création dans le FESF d’un « special purpose vehicle » ou Fonds Commun de Créances est un clone des supports à l’origine des ’subprimes"
Après la mise en place du MES (Mécanisme Européen de Stabilité) qui devrait se faire très rapidement, certainement avant les présidentielles de 2012 (et non en juin 2013, comme prévu), nous serons livrés pieds et poings liés à une organisation supranationale européenne qui gèrera directement les budgets de tous les états européens.
Description de la Banque-MES :
1°) Organisation Internationale, siège social au Luxembourg, d’une durée illimitée
2°) détient la personnalité et la capacité juridique et peut donc contractualiser, transiger en son nom
3°) les dirigeants, collaborateurs, la personne morale bénéficient d’une immunité juridique et d’un secret total sur tous leurs actes, missions. Par conséquent, aucune institution européenne, état, association, ne peut l’attaquer en justice sur ses actes, décisions même s’ils sont avérés avoir porté préjudice.
4°) Montant de départ de garantie de 700 mds d’euros qui seront complétés par des apports complémentaires décidés et imposés par la Banque-MES suivant ses analyses.
Ceci signifie qu’elle pourra réquisitionner automatiquement les capitaux qu’elle estime nécessaires et par conséquent avoir la mainmise sur les budgets des états.5°) les états européens seront contraints de garantir de manière irrévocable et inconditionnelle la dette créée par le MES et sa Banque
Et maintenant le tabou du découplage de la zone euro entre pays forts et faibles est levé et cette option est clairement envisagée, en cours d’évaluation.
In fine, la création d’une Europe Fédérale gérée par une techno-structure ultra-libérale, totalement anti-démocratique qui organisera, contrôlera les budgets de tous les états européens avec un pouvoir de sanction exorbitant.
Ce même Sarkozy veut nous vendre une Europe « plus démocratique, solidaire », qui exigera le renoncement aux acquis du Conseil National de la Résistance, du Front Populaire pour prétendument pour « conserver notre niveau de vie ». Il y a là une contradiction fondamentale.
Souvenez-vous de son discours de 2002, où il invoquait avec haine la destruction de l’esprit de Mai 1968, source de tous les maux de notre société. Ce jour là j’ai eu peur, une peur qui tordait le ventre, qui me rappelait cette Peste Noire et Brune qui a dévasté l’Europe et le monde.
Aujourd’hui, nous vivons un dangereux « parallélisme », car si l’histoire ne se répète pas, elle bégaie, balbutie en produisant des avatars.
Sachant que les textes votés par nos parlementaires sont à 70, 80% la mise en conformité de directives européennes, rajoutez le vote d’une Loi de Finances, d’une révision de la Loi de Finances N-1, imposée de l’extérieur et vous aurez le solde de ce qui restera notre souveraineté.
Dans ce discours, il a parlé de la peur des citoyens tout en omettant qu’il est le responsable, le pompier pyromane, de cette peur, de cette insécurité, des stigmatisations, du racisme, qu’il a su entretenir en soufflant sur les braises, aidé par des Hortefeux, Guéant, Besson.
Il a parfaitement assimilé « Le Prince » de Machiavel
En 2006/2007, Paul Jorion, Nouriel Roubini avaient lancé l’alerte sur les risques « subprime », ils ont été traités de fous et ceux qui ont relayé l’information, de « conspirationnistes »
Au-delà des personnages (Sarko, Merkel, Dragui, Van Rompuy....), d’institutions (Conseil Européen, Commission, FESF, MES, BCE), il s’agit de l’aboutissement d’une stratégie lente mais continue du contrôle de l’économie mondiale par une oligarchie financière qui se dévoile à l’aube de son succès.Pour ne pas voter con, lire immédiatement : La fabrique du consentement de Noam Chomsky.
Un entretien de Noam Chomsky :
http://chomsky.fr/entretiens/20070805.html
Je vous propose de consulter le blog d’un professionnel de la finance (peut-être actuaire bancaire ou trader) qui donne de très bonnes analyses et informations fiables :
http://www.renovezmaintenant67.eu/Mais aussi, le blog d’un actuaire bancaire Olivier Berruyer, avec ses analyses extrêmement pertinentes et son livre "Stop ! Tirons les leçons de la crise’ ( très accessible) :
http://www.les-crises.fr/Liens des mails des député français :
http://www.courtfool.info/fr_MES_le...
Lien mails des députés européens :
http://www.cdca.asso.fr/cdcaeurope/...
Dans leur grande majorité, les citoyens ne croient plus aux « politiques », à la « cuisine », aux programmes « soupes » électoralistes mais continuent à voter pour le moins pire.
NE NOUS TROMPONS PAS D’ENNEMI
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NE NOUS TROMPONS PAS D’ENNEMI !!
Effectivement, car le temps est compté, les constitutions bientôt bafouées, le MES au dessus des lois, des nations, et pourquoi pas une bonne guerre pour clore le tout.
Si Sarkozy est un ennemi, pour nos petites questions franco-françaises, il l’est surtout et gravement, en tant que serviteur de la « bête ».L’ennemi, c’est elle. Quelle est donc cette bête ?
Vu la situation, ce n’est peut être pas superflu de la définir, de constater son existence, prudemment mais surement.
Elle tient en un mot :EMPIRE
Une des ses forces, à cette bête, est de se déguiser, de ne pas « exister », de ne pas être reconnue comme telle.
Après tout : l’empire britannique n’a-t-il pas pris fin aux accords de Bretton Woods 1944 ?
Et, malheureusement, on produit l’effet incrédule similaire à celui dont on a tous été un jour témoin au moment où on apprend à quelqu’un la chute d’une 3e tour le 11 sept, lorsqu’on dit ceci :
Avec les accords de BW1944, Roosevelt avait l’intention de mettre fin à l’empire britannique par un accompagnement aux peuples dans leur accession à l’indépendance et au développement, en appliquant les méthodes (crédit productif public) qui ont permis aux USA de se sortir du marasme post 1929.
Puis Roosevelt est mort (1945), et Truman a trahi les intentions premières de ces accords :
il s’est fait le relais des politiques néo-coloniales de l’empire.La bête (qui désormais n’existait plus, ce qui est très pratique ) s’est doté d’armes redoutables : FMI, BCE, puis ce fut le démantèlement de Bretton Woods en 1971 ( l’or, découplé du $, $ devenant une denrée spéculative, cessant mécaniquement d’être assigné au développement de l’économie physique, l’ère du court terme naissait ), abrogation en 1999 de la loi Glass Steagall, nous forçant à sombrer avec eux dans leur Titanic (Glass Steagall, loi vitale qui séparait l’argent casino (produits dérivés etc) de l’économie réelle) et la « MES » est dite ...
Quelles sont les conditions, le système monétaire, les mécanismes qui permettent ou empêchent d’offrir un mieux vivre aux générations suivantes ?
C’est curieux, pour ne pas dire terrifiant que pas un, enfin si ! un seul, parti politique ne pose cette question de L ’ ECONOMIE PHYSIQUE au centre de son approche, cette omission répondant au voeux le plus cher de l’empire ... Ah oui, c’est vrai, l’empire n’existe pasAlors qu’en tirant le fil, tout vient ...
Comme si on avait adopté la façon de penser de l’ennemi, qu’on est sensé combattre.
Les économistes « alternatifs » restent tous dans une pensée monétariste, dans laquelle la valeur est l’argent en soi, et non sa correspondance sous une forme ou l’autre dans l’économie physique càd dans le « mieux vivre »L’empire, ses principes sont vieux comme le monde ... :
diviser pour mieux régner, stratégie du chaos, toujours favorable aux plus forts
( à ce sujet, regardez le moyen orient, les fables sur la Syrie, l’Iran ... what is in preparation ?)
Le non développement des peuples est au mieux indifférent à l’empire (profit profit, point barre)
Mais en réalité, ce non-développement est recherché (domination et libre échange)abêtir le peuple, du pain et des jeux
rendre opaque tout ce gros merdier, laissant croire que la question du système à adopter n’est pas d’abord politique mais dictée par TINA (their is no alternative, eh ben si ! Glass Steagall global et on repart sur un système de crédit ! )Sa nature intrinsèque : le monétarisme, l’usure. Pas d’empire sans un système d’usure
Comment parler de politique, comment se dire indigné, comment chercher à résister sans se pencher sur la distinction entre système monétariste et système de crédit productif :
Système monétariste : post 1971 essentiellement, usure, recherche du profit sans équivalent nécessaire dans l’économie physique (spéculation à outrance captant les capitaux), entrainant pensée et projets à court terme, assèchement de l’économie physiquesystème de crédit : ( de type Bretton Woods, les « 30 glorieuses » ) taux de change fixe permettant de soutenir des projets à long terme, sans subir d’attaque de type monétariste, spéculative.
reprise en main par l’état de l’émission monétaire, celle-ci consacrée à soutenir des projets pour un mieux vivre de la génération de demain. Càd tout ce que l’empire a patiemment détricoté.Dans un système l’être humain est d’abord un estomac, dans l’autre il d’abord est un être créatif ...
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Bonsoir @ Tepouhet,
Merci de compléter utilement mon commentaire.
A bientôt et très cordialement -
L’Histoire se répète parce qu’elle bégaie : « A - A - A la queue leu leu » derrière la chancelière allemande et son triple « A - A - A ! »
« Discipline, Discipline, Discipline ! »,
Travail, Travail Travail !«
»A - A - A ! ... Anschluss ! "-
IL LEVE ENCORE LE BRAS COMME ADOLF...ca devient une habitude
il se réfère au maréchal petain plutot qu’au general de gaulle.comme chirac sarko n’a jamais été gaulliste...................
SON remplacant BUISSON FAsCiSTE NOTOIRE ET AVERE EX BRAS DROIT DE LE PEN
ca commence par la chasse aux fraudeurs sécu...minime....a coté de la FRAUDE MASSIVE DU
MEDEF ET DE LA FRAUDE FISCALE DE 40 MILLIARDS D EUROS...
puis la chasse aux immigrés
(il en est UN ....)
CITOYENS REVEILLEZ vousREJOIGNEZ LE CMR ET LES INDIGNES..
SINON FAUDRA PAS VOUS PLAINDRE D AVOIR A CHOISIR ENTRE UN MONDE ISLAMISTE
ET LE NOUVEL ORDRE MONDIAL DE ROCKFELLER.fmi...cee...bce..sg...nnp..sarko...lamy (ps...agcs...) omc. -
A-A-A : Arbeit, Anschluss, Armut
ou
Achtung Anarchist Activ
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oui derrière Merkel et en plus la France livré en cadeau de noël aux allemand empêchera quiconque sera en place comme président de mettre son projet a bien CAR CE PROJET IL FAUDRA LE SOUMETTRE AUX ALLEMANDS donc qui que ce soit centre,gauche, ou droite devra faire approuver son projet et si ce projet est trop social trop généreux en social pan sur les doigts et recommence comme a l’école merci Sarkozy bonjour la rigueur pour les pauvres les classes moyennes et encore une fois caviar champagne pour les riches.
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Bonjour à tous.
Le candidat Sarkozy, une fois de plus, n’est coupable de rien comme le montrent ses discours qui, tous, désignent des boucs émissaires. Cette posture, éculée et terriblement éventée, peut-elle encore permettre la réélection de ce valet de l’oligarchie ? Ce serait à désespérer de tout. Mais n’oublions pas : 1) qu’il dispose, avec les moyens de l’Etat, d’une formidable logistique de combat ; 2) qu’il ne reculera devant aucun mensonge, aucune manipulation, pour se faire réélire et continuer son oeuvre de destruction. C’est pourquoi nous devrons être le plus nombreux possible pour virer ce personnage de l’Elysée.-
tu as raison Fergus ... mais ... si c’est pour mettre a la place de Pompidur un Pompimou qui va fare la meme politique, quel interet ?
On vire nicolas le Hutin et on recupere francois le Gros, est-ce que cela va defaire par exemple les liens entre Pierre Moscovici (porte parole de flanby) et Francois de Combret (ami de Jacques Delors, ancien conseiller de Giscard, Banque Lazard, et membre de l’Opus Dei) ... ?
il faut nettoyer la classe politique francaise au Karcher !
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Plus des trois quart de la population supporte de plein fouet les effets de la crise, pendant qu’une petite classe de privilégiés fait bombance, donne des réceptions, et étale sa fortune dans les magazines peoples....
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OUI .ET 72% DES FRANCAIS TROUVENT LEURS ELUS..CORROMPUS
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par soustraction j’en deduis qu’il y a 28% de gens qui se repartissent entre les cons, les naifs et les pourris .. bref un quart de la population !
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Culpabilisation , recherche du coupable , travail , patrie , familleQue des relents d’une époque que vous avez à juste titre rappeler les dérives.Nous assistons à la mise en place d’une république dictatoriale et totalitaire où peu d’espoir réside dans un changement mais c’est le dernier espoir avant une fuite en avant vers un sectarisme exacerbé via le fn.Philippe-
Je ne sais pas pour vous mais j’ai bien envie de rejoindre cette page facebook :)
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Oui, Alpo.
Souffrir aujourd’hui pour un hypothètique bonheur futur. L’espoir fait vivre... mais surtout ceux qui en profitent.
Le présent n’est pas monayable contre de l’espoir et du stress. Exercez votre droit au bonheur immédiatement. Pour celà faites la chasse aux sorcières dans votre esprit : les croyances qui vous disent qu’il y a quelque chose à attendre d’une idéologie, d’un parti, d’une religions, d’une nationalité, de l’exercice de votre violence (physique ou intellectuelle, armée ou financée) d’un l’objet de désir à consommer, de la gloire ou de l’argent.... Autant de formes d’égoismes qui nous séparent les uns des autres.
Ne nous laissons pas endormir par les grands hypnotiseurs de la boîte à images ni fasciner par leurs slogans : rien en dehors de nous-même ne nous empêche d’être vraiment là et de construire dès maintenant. Pour retrouver notre capacité créatrice, laissons de côtés le stress et toutes les justfications à nos souffrances. Souvenez vous qu’en nous-même, la source de lumière ne demande qu’à briller. Et ce n’est pas d’indignation qu’elle brillera, mais d’une affirmation inaliénable et tranquille, simplement parceque c’est celà que nous sommes.
Bonnes journées à tous.
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bonjour Fab
Je ne dirais pas qu’elle se répète, mais qu’elle continue parce que se sont leurs héritiers dans le vrai sens du terme.
L’empire a fait marche arrière plusieurs fois dans l’histoire, car des hommes (ou barbares) se sont battus contre lui, aujourd’hui il est à nouveau tout puissant, et ça va être sanglant pour les peuples.
Très intéressante cette phrase de Pétain.-
Sobre, efficace, bref et vrai.
Bravo Fab, votre article doit être diffusé le plus largement possible.
La déclaration de Montebourg sur la politique allemande a déjà permis une très intéressante mise en lumière des « collabos » et des « résistants ». Ces derniers sont aussi rares que les gaullistes en juin 44.-
Je sais pas si Sarko sera réélu mais ses fans ont pas l’air de se presser au portillon !
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Ce « sondage » mis en place par les souteneurs d’Asselineau est carrément grotesque... 570 voix dont 500 de l’UPR, tres probablement.... Mais certains croient en la méthode Coué...
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FAB vous faites bien d’établir un parallèle entre Pétain et l’exécrable chanoine. C’est totalement justifié dans la mesure que vous décrivez, et puisqu’il accepte en notre nom et à nos dépends les conditions des fricnanciers.
Que ceux-ci soient teutons ou gaulois ou ibères ou numides ou ricains ou saltimbanques, on s’en fout.
Il faut les discréditer, les disqualifier, éventuellement leur filer la dysenterie et la dysfinancie et les foutre en foutre en taule. En camp de travail.
Arbeit für Gerechtigkeit !
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J’ai bien aimé l’article, mais en même temps il me gène car il faut faire attention à ne pas se tromper d’adversaire. L’Allemagne est aussi sur une chemin qui la mettra en très mauvaise posture, il y a juste un décalage temporel avec la France, les fondamentaux sont mauvais (dette, démographie vieillissante... voir l’échec partiel de leur dernière émission de bonds).
Par ailleurs je respecte beaucoup la position de fermeté et de refus de l’Allemagne sur les Eurobonds, qui ne sont pas une solution viable et ne feraient que retarder l’échéance.
Le problème est bien l’incapacité de nos politiques actuels a reprendre la main pour imaginer autre chose que de se soumettre aux dictats du système financier.
Il n’y a que 2 sorties possibles :
- soit une rupture réelle avec le système, de celles qui font peur (révolution ou très forte volontée politique) qui aboutira rapidement à le reconstruction d’un nouveau système (Pas forcemment meilleur à terme, l’histoire ayant montré qu’en général une aristocratie/oligarchie fini par remplacer l’autre comme le souligne bien Paul Jorion).- soit on reste en attitude de soumission (le choix actuel) en attendant longtemps (très longtemps) que le système se purge, sachant qu’il profitera de la moindre opportunité pour reprendre ses mauvaises habitudes.., enfin rien de bon quoi.
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@Hurch Je vous suis parfaitement, l’adversaire d’aujourd’hui ce sont les marchés, c’est ce que je dis dans cet article. Les allemands ont de leur coté déjà vu leurs salaires diminuer de 15 à 20% ces 10 dernières années.
Les leviers sur lesquels s’appuie Sarkozy, culpabilité et soumission au plus fort, sont les même aujourd’hui que ceux utilisé par Pétain, et ils semblent fonctionner de la même manière, mais il ne faut pas se tromper d’ennemi. -
à l’auteur :
Vous m’avez devancé : je suis tombé sur votre (excellent) article pendant que j’étais entrain de chercher de la doc. pour écrire le mien sur, presque exactement, le même thème !J’aurais peut-être développé l’idée « du sang et des larmes ». En effet, le président - qui maintenant se prend pour Churchill - va nous faire le coup de ceux qui ont échoué dans leur politique. En substance, « ce n’est pas de ma faute - c’est évidemment celle des socialos, et accessoirement de la Crise - mais avec moi, pas de fausses promesses pour sortir du marasme, au contraire, vous allez en baver ... » Remarquons que c’est le discours tenu par le PP en Espagne, et ça a fonctionné.Bref, il est le meilleur, parce qu’il n’a pas peur de dire la vérité (?). C’est vrai, avec lui on sait ce qui va nous arriver s’il est réélu. Ce qui n’est pas le cas avec Hollande ! Qui paraît-il est « flou ». C’est possible. Mais le discours de Sarkozy n’est-il pas ambigu : il promet à la fois une révision de Schengen (pour faire plaisir aux Frontistes) et plus d’Europe (pour rassurer les Centristes) ?Bon, pour conclure : hier soir, ce n’était pas une discours à la nation, mais une plaidoirie d’un avocat d’affaires qui, sans se lasser, va répéter jusqu’à la présidentielle le même refrain. Espérons que les gens, eux, se lasseront ...Encore bravo pour votre article,RS-
La France a peur
Tous les soirs à 20 h
La police vous parle
Tous les soirs à 20H
Ay...ez confiance !!
Mickey 3D
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et on va pas mourir de rire
ça sert a rien de le dire -
Je crains hélas, que Kadhafi ne sera pas là pour établir une zone d’exclusion aérienne le jour où nous nous révolterons...
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le bon petit collabo du système, incapable de jouer son rôle de président, transmet les ordres qui viennent des éminences grises qui se réunissent au Bilderberg, Le Siècle et autres contre pouvoirs mis en place par les mondialistes pour ridiculiser ouvertement le rôle de l’état et des politiques !!
Avec Sarkozy on se régale en haut lieu et on s’essuie les pieds sales sur la France transformée en paillasse, avec un valet idiot et vénal, avec qui il a suffit de faire intervenir une geisha en haut lieu, pour pouvoir l’agiter comme un pantin ds les réunions internationales tout en lui laissant croire qu’il a un rôle réel ( lui même est persuadé d’avoir un grand rôle ds ces réunions, comme on dit, le ridicule ne tue pas heureusement pour lui, solennel et appliquant béatement les leçons de com basiques de son entourage, pas toujours de bonne volonté, encore moins de bonne foi pour certains sbires du pouvoir, à la solde des mondialistes et collabos du pire accabit)...
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La majorité des français trinque sous Sarkozy...
seule une petite élite de protégés( moins de 10% des français), d’amis et de cooptés, voit ses revenus augmenter de plus de 30% en moyenne, tandis qu’on parle de crise et de rigueur aux autres dans un discours très novlangue et mensonger !!
Vous rajoutez un t à Copé et ça fait Coopté, étrange non...
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Je ne crois pas que tous les vieux allemands avec leur pension gelée, leur hantise de l’inflation et qui tiennent en main notre destin économique soit pret a sortir dans la rue pour revendiquer quoi que ce soit mais je ne pense pas pas pour autant comme le croit Lepen et autre mélanchon que tous nos jeunes soient déja prét a creuser des tranchées de part et d’autre du Rhin.. Une prise de conscience salutaire pour l’avenir de nos pensions est abosolument indispensable pour le bienfait de la nation et le PMU... ; Bandes de petits salopards qui ne pensaient qu’a vous envoyer en l’air et a boire des biéres. C’est pas avec nos déambulateurs qu’on vous fera la révolution. Qu’on nous donnent des béquilles
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Des béquilles et des infirmières ! on pourrait envisager des défilés manifs en lâchant la gent féminine, charge aux messieurs de les rattraper.
Je m’inscris ! ne serait ce que pour les voir courir en ondulant de la croupe. En hiver c’est un spectacle rare à moins d’aller à la piscine.
Hé ! pas des mannequins anorexiques ! de vraies femmes avec des hanches et tout !
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en effet c’est etrange et si on ajoute sein ça fait Syncopé....surprenant n’est ’il pas ? on voit méme une auréole apparaitre... autour du téton
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Merci Fab, on m’a tant fait douter dans mes pensées que j’ai failli renoncer à parler ! Depuis le travailler plus pour gagner plus qui avait des allures du « travail rend libre », de la déchéance de la nationalité française (occasionnelle) qui avait un air de l’abrogation du Décret Crémieux en l’Algérie française sous Pétain alors qu’ il n’y avait aucun occupant allemand (A la mémoire du grand Jacques Derrida) ; j’étais glacée à l’idée d’une ombre noire planer sur la France... La messe est dite !
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