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Accueil du site > Tribune Libre > Sociétés multiculturelles : pourquoi ce malaise entre les musulmans et les (...)

Sociétés multiculturelles : pourquoi ce malaise entre les musulmans et les Français d’immigration plus lointaine ?

Une des particularités de la France (du fait de sa situation géographique) est d’avoir toujours été une terre de rencontres (brutales ou conviviales) et à ce titre, nous sommes donc tous des enfants d’immigrés (plus ou moins lointains).
 
L’arrivée de personnes en provenance de pays musulmans n’est pas récente mais s’est accentuée depuis 1974, année où le gouvernement, en autorisant le regroupement familial, a acté la transformation d’une immigration de travail (qui satisfaisait bien un patronat à la recherche d’un salariat docile et malléable) en immigration de peuplement (tout en se préoccupant bien peu des indispensables mesures éducatives d’intégration qu’il aurait fallu mettre en œuvre à l’époque).
 
Dans un second temps et depuis une bonne décennie, le capitalisme triomphant et sa recherche permanente de profits toujours plus exponentiels qui écrase les peuples à travers le monde a poussé de nombreuses personnes de ces mêmes pays à vouloir rechercher une relative sécurité dans les quelques régions du monde où subsistent encore quelques espaces de paix, de liberté et de protection sociale.
 
Et c’est ainsi que notre communauté nationale compte maintenant plusieurs millions de citoyens ou d’étrangers de culture ou de religion musulmane.
 
Il n’aura échappé à personne que cette situation ne va pas sans poser de problèmes et qu’il semblerait même qu’ils aillent augmentant (et il en est de même dans tous les pays européens où des communautés musulmanes importantes sont implantées).
 
Dans l’histoire récente de notre pays, chaque vague migratoire antérieure a vu des frictions entre arrivants et autochtones (car une phase d’adaptation est toujours nécessaire et il y a toujours de part et d’autre des minorités intolérantes) mais sans jamais atteindre le fossé actuel.
 
Bien évidemment, la question sociale (c’est-à-dire de l’emploi) est importante mais ce serait du pur angélisme de penser qu’une amélioration à ce niveau (même significative) nous amènerait à une situation totalement apaisée.
 
Que cela plaise ou non à notre bienpensance, la différence de fond entre « avant » et « maintenant » est religieuse (en rappelant encore et toujours que les religions sont avant tout des systèmes politiques élaborés par des êtres humains qui se préoccupent de régir la vie temporelle de leurs adeptes selon des dogmes à connotations fascisante et raciste basés sur des superstitions et des balivernes).
 
Et même si l’indécrottable agnostique anticlérical que je suis ne peut que le regretter, je ne peux également que constater qu’antérieurement tout le monde se retrouvait sur les bancs des églises (ce qui facilitait évidemment les échanges et discussions) et qu’après quelques « affrontements rugueux » tout rentrait relativement dans l’ordre.
 
Or, que constate-t-on à l’heure actuelle si ce n’est une volonté très forte de communautarisme (évidemment politique pour les chefs religieux et par réflexe identitaire pour une partie de cette population).
 
Cela se traduit par des faits dont certains peuvent paraître anecdotiques mais qui symboliquement sont très forts ; on peut citer à titre d’exemple :
 
 - une affirmation de plus en plus provocatrice de la primauté des règles de vie musulmanes dans l’espace public (écoles, hôpitaux, entreprises, rues, etc.)
 
 - une forme de racisme sur la question des couples mixtes (avec la règle de l’endogamie)
 
 - une sorte de mépris vis-à-vis de la culture populaire française à travers cette bêtise des interdits alimentaires concernant en particulier notre goret national (alors qu’il en représente évidemment un symbole fondamental)
 
 - un désintérêt évident pour les traditions et folklores locaux (qui certes peuvent ne pas être foncièrement plus intéressants que d’autres mais qui sont ceux du pays depuis des siècles)
 
 - une idéologie en conflit fréquent avec les droits de l’Homme (soumission généralisée et place de la femme), de l’Enfant (mutilations sexuelles) et de l’Animal (rituel d’abattage)
 
Par rapport à cette énumération, il est vrai que les musulmans ne sont pas les seuls à avoir ce fonctionnement (attitudes similaires ou comparables des adeptes des nombreuses autres religions et sectes sévissant dans notre pays) mais la question se pose différemment vu le nombre important de personnes apparemment concernées et le prosélytisme quasiment guerrier d’une partie également importante des chefs islamistes.
 
Il est également vrai que nous retrouvons dans l’attitude de nombreux musulmans des ressemblances avec celle nos arrière grands parents et grands parents à qui la religion catholique dictait une bonne partie de leur vie quotidienne et des règles auxquelles ils obéissaient sans réfléchir, par habitude ou crédulité.
 
A ce niveau, on peut donc raisonnablement penser qu’un peu de temps permettra d’améliorer les choses, pour autant que l’organisation sociétale priorise ce qui nous rapproche plutôt que ce qui nous éloigne (et en particulier tous ces accommodements déraisonnables).
 
La problématique des prêtres et autres prédicateurs est, elle, beaucoup plus vicieuse et dangereuse car ces représentants d’une idéologie internationale totalitaire et hégémonique, savent sciemment ce qu’ils font et ce qu’ils veulent : ils ont évidemment compris l’esprit de « ventre mou » qui caractérise notre époque sur la question de la place des religions dans la cité et utilisent avec beaucoup d’à propos les failles ou vides de notre législation élaborée à une époque où l’Islam était quasiment inexistant en métropole.
 
André Malraux avait d’ailleurs parfaitement apprécié le danger politique dictatorial de l’Islam dans sa déclaration pessimiste de juin 1956 (1) mais sans anticiper évidemment à l’époque les conséquences en France métropolitaine d’une importante immigration musulmane.
 
La lecture de la charte des musulmans d’Europe (2) signée par de nombreuses organisations islamiques est d’ailleurs édifiante puisqu’elle indique très clairement, sous couvert d’un « enrobage » humaniste, l’immuabilité des règles coraniques (article 1), la primauté de l’appartenance religieuse sur l’appartenance nationale (articles 10 et 14 à 16), la volonté de soumission des lois républicaines quand elles s’opposent aux dites règles précitées (article 17) ainsi que l’imposition d’un fonctionnement quotidien sans réflexion sur sa nécessaire adaptation par rapport aux modes de vie des pays d’accueil (article 18).
 
Il n’y a guère de nouveauté puisque c’est une spécialité des trois systèmes dits monothéistes (mais qui en fait correspondent à une seule et même idéologie) de prôner l’obscurantisme et la soumission et de vouloir imposer ses règles à la terre entière (voire à l’univers quand cela sera possible) et ce, plus particulièrement pour les religions chrétienne et musulmane.
 
Mais, à la différence de toute la hiérarchie chrétienne, celle du culte musulman n’a jamais eu à se « frotter » à une résistance politique qui affirme avec détermination la séparation entre l’Etat et les religions.
 
Tout ceci fait que certains Français d’immigration plus lointaine, qui eux vivent en majorité leur relation à la religion de manière plus ou moins folklorique, ressentent cette pratique musulmane comme le début d’une colonisation (voire même le début d’une invasion).
 
Ce malaise est peut-être exprimé parfois de manière disproportionnée mais il existe et à ce titre, ne peut être ni balayé d’un « revers de main » ni « diabolisé » par ceux qui ne partagent pas ce point de vue.
 
Le sondage réalisé (3) par le CSA en août 2008 (à prendre évidemment avec beaucoup de précautions comme tout sondage) ne peut malheureusement que confirmer les interrogations quand on y lit par exemple que :
 
 - 22 % des personnes sondées se sentent d’abord musulmanes avant d’être françaises et 60 % autant musulmanes que françaises
 
 - 54 % des personnes sondées pensent que la charia doit être appliquée intégralement ou partiellement dans le pays où vivent des musulmans
 
D’autres réponses sont plus ambiguës (voire contradictoires) : 75 % sont favorables à la laïcité mais parallèlement 78 % sont pour le financement de la construction des mosquées en France par l’Etat…
 
Pour ma part, je suis né en France de parents français d’origine européenne et je n’en tire ni fierté, ni honte (ça n’est qu’un hasard de la vie). Mais par contre, j’en suis très heureux, car je sais la chance que j’ai d’être ici et qu’il vaut manifestement mieux naître et vivre en France que dans n’importe quel pays musulman, me semble-t-il (tout du moins encore à l’heure actuelle).
 
Issu des milieux populaires, comme une majorité de mes concitoyens je suis évidemment imprégné par la culture chrétienne omni présente dans notre société. Mais grâce à des parents quelque peu iconoclastes tout en étant pétris de valeurs de bons sens dans leur rôle éducatif, et également convaincus du rôle fondamental de l’instruction assurée par l’école publique pour l’émancipation humaine (et cela sans faire appel à une quelconque transcendance éventuelle), j’ai su prendre mes distances avec le fatras de croyances véhiculées par les religions pour vivre mon existence terrestre (la seule dont je sois sûr) en essayant d’être à la fois curieux et vigilant sur tout ce qui est nouveau. A ce titre, je suis atterré par la régression que connaît notre société sur la question de la place des religions dans l’espace public et par le retour affirmé du cléricalisme.
 
Comme tout pays, le nôtre a une histoire avec des côtés sombres et lumineux mais c’est une imbécillité de premier ordre de juger moralement des événements du passé et les « élites » actuelles (dirigeantes ou influentes) jouent là un jeu extrêmement dangereux pour la cohésion nationale et territoriale :
 
 - sur l’esclavage, l’occident n’a fait qu’industrialiser une pratique millénaire sur tous les continents et on retrouve là, le début du système capitaliste actuel qui pille et abêtit le monde entier dans sa volonté de consommation et d’amoncellement de biens matériels
 
 - sur la colonisation, on retrouve le même schéma. Mais il est à la fois amusant et très irritant de constater de plus que ceux qui sont maintenant dans la repentance permanente par rapport à ce passé sont les descendants idéologiques de ceux qui ne voyaient que des vertus à cette politique censée apporter la pensée moderne de l’occident aux « pauvres sauvages » du monde entier (prétention, quand tu nous tiens…).
 
Et puisqu’on est dans le devoir de mémoire et le droit d’inventaire, on pourrait aussi les appliquer à l’immigration et dans ce cas, il est fort probable que l’Islam (et son cortège d’archaïsmes) ne fera pas partie des apports positifs (sauf évidemment pour les partisans d’une société rétrograde).
 
Ce qui est important maintenant (et tout en tirant des leçons du passé sans anachronisme), c’est essayer de construire une société vraiment démocratique, plus équitable et totalement émancipée en commençant par notre territoire (pour autant qu’on puisse le faire dans cette Europe, certes indispensable, mais aux ordres de la puissante domination financière, voire parfois de la racaille en col blanc).
 
Deux conditions paraissent toutefois indispensables pour y parvenir :
 
 - la première condition consiste pour les individus dans la nécessaire adaptation au territoire dans lequel on arrive ou dans lequel on vit : l’animal humain, à l’instar de tout ce qui vit sur cette planète, est ainsi fait qu’il faut un minimum de cohérence de fonctionnement dans l’espace public commun si on veut maintenir une cohésion indispensable à une vie paisible dans la cité
 
Sans chauvinisme franchouillard, il faut tout simplement savoir où on est : un citoyen de notre pays est prioritairement français et peut être accessoirement affilié à un mouvement religieux ou sectaire et non l’inverse.
 
Oui, on a le droit de croire en n’importe quoi et de pratiquer n’importe quelle religion, mais en ayant toujours à l’esprit que notre liberté s’arrête où commence celle des autres et qu’il convient donc d’abandonner les attitudes ostentatoires provocatrices qui ne peuvent qu’engendrer des phénomènes d’incompréhension au mieux ou des réactions de rejet au pire du reste de la population.
 
Oui, il y a des discriminations dans notre pays (comme dans tous les autres et de tout temps) mais la première et la plus importante correspond à cette organisation sociale de plus en plus insupportable de classes et / ou de castes et ce n’est pas en instituant une course à la victimisation que nous règlerons les problèmes.
 
Oui, il faut sanctionner avec la plus grande fermeté les actes racistes, discriminants ou de rejets de l’autre mais TOUS et donc y compris ceux qui se drapent de la vertu religieuse ou identitaire.
 
Oui, nous sommes des êtres par nature duales mais, et cela sans renier nos origines multiples, nous devrions rejeter les attitudes infantiles ou schizophréniques (bien qu’elles soient actuellement flattées par certains à travers les notions de diversité ou de visibilité).
 
Oui, cela demande plus d’efforts de penser plutôt que de croire mais ce n’est que grâce à ce travail sur nous-mêmes que nous pourrons finir par être des êtres libres car la pensée permet le doute qui libère… Alors que la croyance induit la certitude qui enferme…
 
La civilisation occidentale est loin d’être parfaite mais il faut savoir apprécier le chemin parcouru et sur ce thème il convient de relire ou réécouter le formidable document intitulé « Je me souviens » attribué à Johanne Chayer (4) qui pose remarquablement le problème actuel avec des mots simples.
 
 - la seconde condition correspond vis-à-vis des chefs religieux à la poursuite et la finalisation du non moins formidable travail initié par nos aînés pour commencer à domestiquer ces fléaux qui ont nom religions quand elles se mêlent de politique
 
Les terribles excès de la religion chrétienne (et particulièrement catholique), que les différents peuples soumis à sa domination ont payé au prix fort, ont généré parallèlement une forte résistance qui s’est concrétisée en France par les différentes lois laïques mises en place depuis la fin du 19 ème siècle.
 
Depuis, malheureusement, plusieurs brèches ont été ouvertes par les forces réactionnaires avec parfois la complaisance naïve des organisations qui se disent de progrès. Et dans ce contexte, le totalitarisme musulman (avec la bénédiction de tous les autres qu’ils soient politiques, religieux ou financiers), représente le fer de lance de ceux qui veulent une société dans laquelle le peuple soit réduit à n’être que des croyants et des consommateurs passant leur temps dans les lieux de culte, les galeries marchandes, les temples du showbiz musical ou sportif ou devant des écrans « endoctrinants » ou des consoles de jeux pour partie débilitants.
 
Cette doctrine professée depuis l’Antiquité (dieu(x) / pain / jeux) n’est donc pas récente mais elle est largement remise au goût du jour à l’heure actuelle.
 
Aucune loi religieuse (et particulièrement la charia issue d’une époque et d’un folklore lointains) ne doit s’imposer à la République. A l’inverse, ce sont les règlements intérieurs religieux qui doivent être amendés pour s’adapter aux textes issus de la représentation démocratique.
 
Parallèlement, tous les enfants doivent pouvoir bénéficier d’un enseignement public de qualité, prioritairement axé sur l’instruction (acquisition de connaissances, réflexion et raisonnement), qui puisse contrebalancer les effets délétères d’une éventuelle éducation religieuse afin que, devenus adultes, ils puissent disposer du maximum de sources de réflexion leur permettant d’être des citoyens libres et émancipés.
 
Le travail est donc loin d’être abouti (cf. la première partie du texte concernant les sociétés multiculturelles sous le titre : hypothèses de conditions pour qu’elles soient paisibles).
 
 
En conclusion, on ne peut être qu’interrogatif devant l’ampleur du phénomène, de la complaisance affichée et des compromissions de la quasi-totalité des gouvernants (passés, en place ou potentiels) qui interpellent tant une partie importante des citoyens français : on ne peut malheureusement s’empêcher de penser qu’elles résultent pour partie d’une forme de chantage économique (approvisionnement en pétrole et en gaz, marchés financiers) mené conjointement par le capitalisme mondialisé et les pays musulmans producteurs.
 
Ce qui est sûr et dans cet éventuel contexte, c’est que notre république laïque aura besoin de toutes les personnes de bonne volonté et entre autres, de celles de culture musulmane mais fondamentalement attachées aux valeurs humanistes qui privilégient la raison sur la croyance et qui, à l’instar de leurs concitoyens, sont souvent silencieuses.
 
En espérant que cet ensemble soit majoritaire, ce sont maintenant toutes ces personnes qui doivent s’organiser et se faire entendre afin d’essayer de faire reculer à la fois la bienpensance laxiste à l’ouvrage depuis quelques décennies et sa conséquence actuelle, à savoir le pouvoir cynique et réactionnaire (à la fois simulacre de démocratie et dictature douce) qui nous gouverne depuis quelques années.
 
Peut-être qu’avec un peu d’utopie…
 
 
 
 
 

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36 réactions à cet article    


  • Phil Phil 16 janvier 2010 11:29

    Rien à jeter, ni dans le fonds que dans la forme

    "Sans chauvinisme franchouillard, il faut tout simplement savoir où on est : un citoyen de notre pays est prioritairement français et peut être accessoirement affilié à un mouvement religieux ou sectaire et non l’inverse.
    Oui, on a le droit de croire en n’importe quoi et de pratiquer n’importe quelle religion, mais en ayant toujours à l’esprit que notre liberté s’arrête où commence celle des autres et qu’il convient donc d’abandonner les attitudes ostentatoires provocatrices qui ne peuvent qu’engendrer des phénomènes d’incompréhension au mieux ou des réactions de rejet au pire du reste de la population."
    C’est tout et suffisant en l’état


    • anti-oligarchie anti-oligarchie 16 janvier 2010 15:15

      ça commence a devenir fatigant agoravox.....Toujours des articles sur les musulmans....leurs intégration...leurs religions....
      lâchez leur les bottes,non ?


    • Christian Delarue Christian Delarue 16 janvier 2010 18:00

      @ anti-oligarchie
      Lâcher les bottes des musulmans oui des intégristes non ! Il y va de l’émancipation de tous !
      Il n’y a pas que la lutte de classe dans la vie. Il y a aussi les rapports de genre et l’emprise du religieux montant qui est tout aussi pénible que les amalgames de Mme Tasin. sur ce site.

      CD


    • Patrick Lefèvre 16 janvier 2010 19:40

       @ anti-oligarchie

      Cela serait facile : il suffirait que les chefs adaptent leur règlement intérieur en supprimant tout ce qui ne facilite pas une intégration sereine et demande à leurs adeptes de pratiquer sans ostentation et de se fondre paisiblement dans la société (au lieu de faire l’inverse) 


    • Shaytan666 Shaytan666 17 janvier 2010 10:57

      ça commence a devenir fatigant agoravox.....Toujours des articles sur les musulmans....leurs intégration...leurs religions....
      lâchez leur les bottes,non ?

      Moi j’aurais plutôt écrit « lâchez leur les babouches, non ? »  smiley


    • Patrick Lefèvre 16 janvier 2010 13:34

      ? ?????
      Pensez-vous que je sois juif ?
      Si c’est le cas, vous avez tout faux : l’idéologie juive n’est évidemment pas plus intéressante puisqu’elle est basée sur un complexe de supériorité à connotation raciste (le fameux peuple élu...) mais au moins ne fait pas acte de prosélytisme (à l’inverse des chrétiens et des musulmans)
      Et de toute manière, les racines de tous ces mouvements fascisants sont les mêmes (c’est juste l’histoire de trois frères ou soeurs...)
      Juste pour notre information : pouvez-vous préciser ce qu’est cet avenir resplendissant ?
      Bien cordialement 


    • armand armand 16 janvier 2010 15:29

      La différence, PNG, c’est que les juifs, même très orthodoxes, n’étranglent pas ni ne vitriolent leur fille parce que celle-ci va avec un Goy - ni ne la bannissent de leur famille.


    • benedicte_gab 16 janvier 2010 16:26

      ne la vitriolent ni le l’étranglent, je veux bien l’admettre, mais ne bannissent pas de leur famille la fille ou le fils qui sort de la communauté et de ses dogmes, existe tout autant chez les juifs bornés que les chrétiens ou musulmans bornés ... Il faut arrêter de dire des conneries !
      La bêtise, le sectarisme et l’obscurantisme sont également répartis partout, et pas seulement chez ceux qui ont des croyances religieuses, la croyance a de multiples visages.
      Maintenant faut-il encore être suffisamment ouvert pour accepter de parler avec tout un chacun, pour s’en rendre compte, et ne juger une personne que sur ce qu’elle est, et non sur des à priori arbitraires.


    • Shaytan666 Shaytan666 17 janvier 2010 11:02

      Là je ne suis pas d’accord avec Armand. Dans pratiquement toutes les religions, les clans (p.ex. les gitans), les tribus, la noblesse (je sais de quoi je parle), les personnes qui ne suivent pas l’esprit de la « caste » sont irrémédiablement bannis.


    • elec 42 elec 42 16 janvier 2010 11:46

      la religion est une chose,la làicitée en est une autre,il ne peut y avoir de compromis entre les deux,la france,pays républicain ne peux faire l’amalgamme entre religion et laicitée,l’école de la république est ouverte à tous,heureusement,personne n’y regarde la couleur de peau,le millieu social, la religion,chaque enfant y est accepté comme il est,


      • Patrick Lefèvre 16 janvier 2010 14:03

        Que nous ayons les mêmes racines biologiques que nos cousins animaux me paraît une évidence (et il n’y a pas que les poissons qui vivent encore à l’heure actuelle dans la mer...)

        Que nous ayons un ancêtre qui vienne d’une partie de la terre qui s’appelle actuellement « Afrique’ me semble possible

        Que nous ayons tous un aïeul qui ne ne soit pas né sur le territoire qui s’appelle actuellement »France" me paraît être plus qu’une évidence (certains depuis peu de temps, d’autres depuis plusieurs siècles...)

        Bien cordialement


      • Christian Delarue Christian Delarue 16 janvier 2010 12:18

        Le blanc-bourgeois qui trempe sa baguette dans son café est français comme moi mais dans un monde à des années lumière du mien qui suis prolétaire.

        Comparativement, un prolétaire musulman d’un pays francophone qui ne m’indispose pas avec l’islam à tout bout de champ et ne manifeste pas plus de sexisme que le français moyen me semblera plus proche, et pour peu qu’il se dise altermondialiste il sera un frère (ou une soeur).
        Les mécanismes d’identification sont subtiles car les appartenances sont multiples.

        CD


        • Marc Viot Marc Viot 16 janvier 2010 12:46

          Quand je vois certains commentaires et que je constate tous les jours l’accroissement des comportements de replis sur soi, d’ailleurs encouragés par nos soit disant élites, je me prends à espérer un miracle laïque ou non.


          • Pascalou 16 janvier 2010 12:47

            Le raisonnement est rigoureux et précis mais je déplore le terme « balivernes » pour qualifier les évolutions successives de la pensée métaphysique. Ce terme est dépréciatif et partial. Il fait fi des efforts de l’esprit humain qui s’interroge sur ce qui le transcende et des efforts des religions pour vulgariser des concepts abscons, même si je reconnais que se superpose à cette louable vulgarisation des expériences spirituelles, une implication dans les affaires temporelles de la cité.


            • Patrick Lefèvre 16 janvier 2010 13:18

              Ce n’est pas les évolutions de la pensée métaphysique qui sont des balivernes car elles sont interessantes et peuvent participer de notre construction éthique (cf. mon texte précédent) 
              Mais les dogmes le sont de par leur relation avec des histoires plus proches de la science fiction (j’adore la science fiction mais je sais que c’est de la science fiction...)
              Très cordialement 


            • Pascalou 16 janvier 2010 15:33

              Cette réponse que vous me faites (« des histoires plus proches de la science fiction ») me révèle que vous n’êtes pas agnostique (comme vous prétendez l’être au neuvième alinéa de votre article). En effet, si vous étiez agnostique, vous ne vous feriez pas de Dieu une idée suffisamment précise pour nier qu’Il puisse créer des « histoires plus proches de la science fiction ».


            • Patrick Lefèvre 16 janvier 2010 19:24

              L’agnostisme est une attitude déclarant que l’absolu est inconnaissable pour l’esprit humain : c’est la conclusion logique d’une réflexion sur l’éventualité de la présente de un ou plusieurs dieux
              L’athéisme par contre rejoint la croyance mais en sens opposé (puisqu’un athée croit qu’il n’y a pas de dieu) 
              Par contre tous les textes dits sacrés ont été écrits par des être humains beaucoup plus interessés par le pouvoir temporel que par une réflexion spirituelle 


            • Pascalou 16 janvier 2010 22:21

              Justement ! Puisque « l’absolu est inconnaissable » (selon la définition de l’agnosticisme), je ne comprends pas comment, n’étant pas capable en bon agnostique, de l’appréhender, vous vous autorisez néanmoins à qualifier de « balivernes » ce que d’autres en disent. C’est là une incohérence dans votre raisonnement à laquelle vous devriez réfléchir. Plus prosaïquement, je vous demande : « qu’en savez-vous ? puisque vous me concédez qu’en bon agnostique vous n’en savez rien. » Tel était le sens de ma remarque à laquelle vous n’avez répondu qu’en citant une définition.

              Comme je vous l’ai écrit plus haut, votre article est excellent tant qu’il porte sur l’aspect sociologique de la question suggérée par le titre. Mais le seul mot qui porte sur l’aspect métaphysique révèle une insuffisance dans le raisonnement. Je conçois qu’il ne s’agit que d’une vétille eu égard à l’excellence de tout le reste. Il n’en demeure pas moins que vous auriez dû vous en tenir à la sociologie sans céder à la tentation de mortifier au passage ceux dont vous vous prétendez l’adversaire « indécrottable », à savoir les cléricaux, car en agissant ainsi vous vous aventurez dans un domaine qui vous dépasse. (Lao Tseu écrit : « Le SENS que l’on peut exprimer, n’est pas le sens éternel » et dans le même verset : « Mystère des mystères est la porte par où surgissent toutes merveilles. »)

              Quant à votre dernière remarque sur les textes sacrés, dois-je vous rappeler que Jésus lui-même a dit : « il faut rendre à César ce qui est à César et à Dieu ce qui est à Dieu. » ? Je ne doute pas que vous n’ayez à cœur de suivre le premier précepte. Il vous reste à suivre le second. 


            • Patrick Lefèvre 16 janvier 2010 23:47

              C’est amusant votre réaction : ce sont des balivernes puisqu’en bon agnostique, je pense qu’on ne peut avoir de réponse quant à l’existence ou l’inexistence d’un ou plusieurs dieux et que les chefs religieux n’en savent pas plus mais ont évidemment le droit d’inventer des histoires dignes de la science fiction... Que tout citoyen libre peut appeler « balivernes » puisqu’il n’y a pas de preuves scientifiques...
              Et rien n’empêche ces personnages de dire que les agnostiques racontent aussi des b...
              Il me paraît bien plus important d’essayer d’apporter une petite pierre à l’édification d’une société plus paisible alors que les religions, depuis qu’elles ont été créées de toute pièce par des êtres humains (et non par un ou des dieux), sont parfois initiatrices, souvent complices et toujours complaisantes vis-à-vis du totalitarisme politique (à l’exception du malheureux exemple communiste)
              Sans vouloir vous froisser, disposez-vous d’une preuve que Jésus ait dit la phrase que vous citez ?
              Qu’elle ait été diffusée par des individus qui se disaient ses adeptes, oui puisqu’ils y a des traces écrites mais c’est tout 
              Et pour en revenir à Jésus, ce personnage a-t-il existé ? Il semblerait que oui mais on peut penser qu’il était tout simplement un homme politique charismatique qui a dit des choses parfois interessantes sur les valeurs éthiques mais que ses successeurs idéologiques se sont empressés de les transformer en dogmes dictatoriaux.
              Bien cordialement 


               


            • DESPERADO 16 janvier 2010 15:26

              Oui Gelone
              On connait la chanson, et les chinois sont en train d’écrire un nouveau texte, masi on garde la musique.
              Vous êtes pas fatigué avec les musulmans.
              C’est usé jusqu’à la corde, l’étape suivante c’est le recenssement des musulmans par la prefecture de police, ça a déjà commencé d’ailleurs.
               ça deveint saoulant.


            • plancherDesVaches 16 janvier 2010 14:32

              La religion est en effet le premier pouvoir d’abêtissement et vient ensuite la télé.

              Lorsque tous les humains n’auront plus besoin de croire en une force « supérieurement telle qu’on ne peut la voir et à laquelle il faut se soumettre », alors, l’humanité pourra être considérée adulte en étant consciente de ses actes tant en actes bons qu’en actes qui viennent du fait que vous vouliez remplacer ce putain de dieu qui vous gène.

              Soit, pas demain la veille. Rendez-vous en 12034 après « jésus cri ».


              • plancherDesVaches 16 janvier 2010 14:36

                Tiens... un sondage :

                Pourquoi voulez-vous utiliser l’autre... ????


              • Charles Martel Charles Martel 16 janvier 2010 14:46

                rien à jeter.


                • Ali 16 janvier 2010 14:59

                  l’auteur pratique l’amalgame dans la mesure ou il paraît bien informé toutefois je relève :

                  « une forme de racisme sur la question des couples mixtes » en effet, nous connaissons le problème, les femmes musulmanes ne peuvent épouser des personnes d’une autre confession qui ne reconnaîssent pas l’Islam ni notre Prophète (ws) ceci laissant craindre que leur mari juif ou chrétien les empêche de pratiquer ; donc pour en finir il suffit de dire « nous reconnaîssons le Prophète Muhammad (ws), c’est très simple et il n’en tient qu’au Pape et il ne s’agit pas de racisme sous quelque forme que ce soit

                  je relève également :

                   »22% des sondés se sentent musulmans avant d’être Français et 60% musulmans et Français

                  jusqu’à ce jour j’ignorais l’existance de la Musulmanie situé probablement près de la Moldavie smiley




                  • Meslier 16 janvier 2010 15:16

                    Mort de rire ! J’adore cette conception de la diversité. Il faudrait reconnaître le prophète pour pouvoir épouser une femme musulmane... Pourquoi ne pas prononcer la shahada, pendant qu’on y est ??

                    Moi, ce n’est pas comme ça que j’ai procédé. J’ai démontré à ma future femme, crayon à l’appui, que les textes religieux de l’islam (mais j’aurais pu prendre n’importe quel texte religieux) étaient d’origine humaine, « trop humaine », en plus d’être rétrogrades. Elle en a convenu. Désormais, elle travaille, vit librement, sans s’embarrasser d’idéologies du VIIème siècle.

                    Vous ne croyez pas que c’est mieux ainsi ?


                  • armand armand 16 janvier 2010 15:34

                    Ali,

                    On ne peut pas parler de mariage mixte si, automatiquement, l’enfant doit être musulman. Or on constate effectivement, dans les cas où le père est musulman, celui-ci impose bien souvent un nom et la religion musulmans à ses enfants. Dans le cas où la mère est musulmane, de toute façon le promis devra se convertir (pratique car rien de plus facile...) et le résultat sera le même.
                    C’est un comportement qui s’apparente à celui d’une secte - même si, comme le rappelle Albatar, une secte est à la religion ce qu’une PME est à une multinationale.
                    En tout cas, c’est une volonté d’aparté et de repli sur soi dans une société qui, en principe, est ouverte.
                    Ceci dit, on remarquera que nous sommes en voie de tribalisation déjà....


                  • Patrick Lefèvre 16 janvier 2010 19:58

                    à Ali,

                    je sais bien que ça ne fait pas plaisir à entendre mais Oui, rejeter une personne au prétexte que sa religion ne convient pas est un acte raciste (au même titre qu’un rejet pour une couleur de peau différente)
                     
                    Dans un couple, l’important est de s’aimer et pour un parent (j’en fais partie) que le conjoint ou la conjointe de son enfant soit quelqu’un de correct

                    Et pour les enfants qui vont naitre de cette union, ne pas les polluer (endoctriner) avec ces questions religieuses : à eux de voir quand ils seront majeurs

                    Bien cordialement 


                  • TITI 16 janvier 2010 16:00

                    l’enfant né de mère Juive est Juif.
                    Membre du peuple Juif avec ISRAEL pour pays
                    Une nationalité de « sang ».

                    concernant l’article.

                    l’auteur emploi la formule : « immigration de peuplement » 
                    avec pour conséquence une colonisation idéologique.
                    Nous constatons, en effet, que l’islamisation de notre pays est une réalité.
                    Il suffit de voir ce que sont devenues certaines civilisations pour comprendre qu’il faut affirmer QQ fondamentaux

                     


                    • Ali 16 janvier 2010 16:22

                      @ armand

                      votre coreligionnaire titi vous a mouché !! mdr, en sus il introduit une notion de sang
                      or le message divin relayé par le Prophète Muhammad (ws) s’adresse à tous les peuples de la terre sans distinction de race et bien entendu de sang
                      CAR LES MUSULMANS NE SONT PAS RACISTES


                    • TITI 16 janvier 2010 17:04

                      du calme ALI...
                      sang est entre guillemets.
                      Contrairement à l’impérialisme islamique qui impose son idéologie à travres sa multinationale sectaire à tous ...le fait d’être Juif est une nationalité qui se rattache à un pays ... d’ou l’expression : PEUPLE JUIF. (avec la loi du retour)
                      Imagine un instant que ma maman Française ait accouché de moi en Algérie.
                      serais je algérien ...de sol ?
                      si oui, bien évidemment j’aurais renie ma « nationalité » à la premiére possibilité.
                      Ma maman est Française...je suis Français. Point !
                      Algérien...entre nous...MDR !
                      tout ça pour dire que le droit du sol...ben, pourquoi pas...mais pas n’importe ou AHAHAH
                      Parce que ce droit, moi...je n’en aurais pas voulu !


                    • armand armand 17 janvier 2010 10:18

                      Titi,

                      La transmission par la mère est souvent le propre de peuples dominés, susceptibles d’être ballotés de gauche à droite, et souvent l’objet de persécutions, dont des massacres et des viols. On sait toujours qui est la mère, on peut ne pas savoir qui est le père.

                      L’Islam effectivement ignore le déterminisme du sang.... au niveau religieux, et vise au prosélytisme. D’où l’extrême facilité à se convertir à l’Islam, alors que pour devenir Juif ou même Catholique de nos jours c’est un véritable parcours du combattant.

                      Il n’empêche, l’Islam reste très réfractaire aux adoptions. Quant aux enfants nés hors de situations ’licites", il n’est que de lire un reportage sur l’orphelinat de Bethléhem voué aux enfants des viols ou des adultères, auxquels l’Autorité palestinienne refuse toute existence légale, pour comprendre la primauté du sang dans cette culture.


                    • bigoudi7 16 janvier 2010 16:16

                      La religion c’est la guerre camouflée ...dés qu’elle montre à peine le bout de son couteau,malheur ! On peut comprendre nos ancêtres,forcés de croire aux fariboles car ne sachant rien de l’univers mais de nos jours,avec les connaissances fantastiques fournis par la science , la communication et l’expérience,comment comprendre des croyances et des traditions héritées de ces oisifs ignorants ancestraux ? De nos jours la seule religion (mondiale et pacifique) devrait etre internet,c’est amplement suffisant ! Vivre au 21e siecle avec des croyances vieilles de 2000 ou 1000 ans,y’a pas un stuck ?


                      • darkribot 16 janvier 2010 17:28

                        Cela fait un certain de temps que je m’intéresse au débat concernant l’identité nationale .
                        Et certaines questions me démangent .cela me plairais beaucoup s’il était possible d’y répondre sans être insultant .
                        Avant de parler des problèmes la concernant qu’est donc l’identité nationale ?
                        A-t’on une liste exhaustive de critères a remplir qui nous définit comme étant français ? (Par exemple si j’apprécie Cervantès et que je n’aime pas Zola alors je ne suis point français ??) 

                        Refuse t’on toute nouvelle forme de culture/religion dans notre pays ou est-ce seulement les musulmans qui dérangent ??

                        Et vu que cela a l’air d’être le fer de lance de nombreuse personnes quel est le problème avec l’islam ??
                        Ne pensez vous pas que comme dans toute religion il existe des modérés et des extremis tes ?
                        Pour citer mon expérience personnelle ,je suis actuellement dans une MPSI très cosmopolite ,( marocains chinois portugais ivoirien ...) certains sont de confession musulmane ,n’égorgent pas de mouton dans les baignoires , et son extrêmement sympatiques ..
                        Le seul extrémiste que j’ai connu de ma vie était chrétien et si lui fait partie de ceux qui remplissent les critères ,alors notre identité est bien horrible .


                        • srobyl srobyl 16 janvier 2010 19:01

                          A revoir et écouter



                          <object width="445" height="364"><param name="movie" value="http://www.youtube.com/v/46ig3DpQv58&hl=fr_FR&fs=1&rel=0&border=1« ></param><param name="allowFullScreen" value="true"></param><param name="allowscriptaccess" value="always"></param><embed src="http://www.youtube.com/v/46ig3DpQv58&hl=fr_FR&fs=1&rel=0&border=1" type="application/x-shockwave-flash" allowscriptaccess="always" allowfullscreen="true" width="445" height="364">embed></object>


                          • TITI 16 janvier 2010 19:03

                            l’identité nationale pose la question de la place et du rôle de l’islam dans la cité, de l’immigration, de l’intégration.
                            Comment pourrait il en être autrement lorsque l’on voit ce que sont devenues ou deviennent les identités Berbéres, Egyptiennes, Libanaises, Turques, Perses, Indiennes (Pakistan), Indonésiennes...suite à la colonisation de peuplement et /ou idéologique islamique.
                            L’islam est une idéologie politique qui a pour but l’islamisation de la société.
                            Le débat est nécessaire, il doit être permanent et se prolonger par des actes concrets.
                            Dans ce cadre la question de la dissolution du parti des musulmans de France et du parti antisioniste est posée.


                            • staybehind 17 janvier 2010 10:37

                              titi,------------------>le zelateur zelé,d’abe foxman.
                              hi hi hi....
                              tu es demasqué petit cretin,tu roules pour une puissance etrangere,et tu viens nous gonfler avec ton identitée nationale...retourne à tel aviv,et fais y pousser des petits pois....

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