Un réacteur nucléaire « débranché » à Fessenheim : un suicide en direct de la France
Ça y est, les écologistes ont obtenu du Chef de l’Etat et de son gouvernement clientéliste, la fin du fonctionnement d’une centrale nucléaire, par pure idéologie antinucléaire. Le spectacle de cette fin programmée qui est un gâchis humain, scientifique et financier inimaginable, un sabordage d’une de nos richesses nationales, constitue une sorte de suicide de la France en direct, acte majeur d’un démantèlement de notre pays comme puissance mondiale. On a « débranché un premier réacteur" diffusent les médias ce 22 février 2020. Le mot est bien choisi, au sens d’euthanasie !
La fin de Fessenheim : de la déraison écologiste à un suicide en direct de la France
On a donné, depuis le renoncement à l’aéroport de Notre-Dame-des-Landes contre la démocratie, tous les gages nécessaires aux minorités agissantes, aux lobbies écologistes intégristes, de France nature environnement à Greenpeace en passant par Réseau Sortir du nucléaire et autre WWF, dans le sens d’une régression obscurantiste, contraire à l’intérêt de tous, contre le sens de l’histoire. Nous avons l’un des prix de l’électricité des plus bas au monde, deux fois moins cher et cent fois moins polluant que l’Allemagne avec son tout charbon. Qu’à cela ne tienne, les militants antinucléaires peuvent continuer dans ce contexte leur campagne par des intrusions dangereuses sur des sites nucléaires civils, comme à Tricastin ce 21 février, pour demander évidemment plus : la fin du nucléaire français, et peu importe pour ces cerveaux plats les conséquences. Cela avec la complicité de la plupart des grands médias, incapables du moindre recul sur ce sujet. Le journal le Parisien titre "Des dizaines de militants écologistes ont investi ce vendredi matin la centrale construite en 1974 dans la Drôme, réclamant sa fermeture en raison de sa « vétusté »." (1). Il présente uniquement le point de vue de Greenpeace, de façon scandaleuse, alors que depuis 40 ans les installations ont subi, par la volonté de l'Etat, mais aussi sous la pression des mêmes écologistes, des transformations qui leur donnent un allongement de vie qui dépasse de loin la durée initialement prévue. Mais ça, le Parisien ne le dira pas. Comment se fait-il que ces militants puissent agir sans risquer la prison, pas plus que les anciens « faucheurs volontaires » de champ d’OGM, y compris de ceux exploités par l’INRA pour étudier les propriétés du bois génétiquement modifié pour la production de biocarburant de 2e génération. La justice a toujours été d’une complaisance complice de ces délits commis sous couvert de « désobéissance civile ».
Les OGM, reparlons-en, une technologie de génie génétique des plus prometteuses, à laquelle on nous a fait renoncer par manipulation de l’information, alors que l’on en connait aujourd’hui l’inoffensivité (2). Des OGM qui évitent justement l’usage de pesticides, ceux que veulent interdire ces mêmes écologistes. C’est l’enjeu du fameux Glyphosate dont on sait par une étude américaine internationalement reconnue, qu’il n’est pas cancérigène (Cette étude contredit celle du Centre International de Recherche sur le Cancer (CIRC), un organe de l'Organisation Mondiale de la Santé (OMS), qui a classé dès 2015 le glyphosate "cancérogène probable", mais sans aucune étude sur l’homme. Seule cette enquête américaine fondée sur 20 ans de recherche sur ce dernier, et donc réellement sérieuse, a permis d’affirmer cela contre le principe de précaution qui permet de tout amalgamer et d’interdire. (3). Des peurs irrationnelles et mystiques se diffusent, comme concernant les lignes à hautes tensions et autres antennes relais toutes aussi inoffensives, accusées du pire sans le moindre élément tangible. Et c’est grâce à ces radicalisés de la nature que l’on sacrifie la centrale de Fessenheim ! Dans l’édition du journal Le Monde du 20 février, 1000 personnes dites « scientifiques », appellent à la désobéissance civile, soi-disant face à l’inaction climatique du gouvernement : « Nous sommes en train de vivre la sixième extinction de masse, plusieurs dizaines d’espèces disparaissent chaque jour, et les niveaux de pollution sont alarmants à tous points de vue (plastiques, pesticides, nitrates, métaux lourds…) » Des scientifiques ? Ce qui est ici affirmé de façon alarmiste sur les espèces qui « disparaissent chaque jour » est faux, ce qui n’est qu’une formule qui verse dans le catastrophisme, et rien ne dit que la disparition de certaines espèces soit due à un hypothétique « réchauffement climatique », la nature se transformant de façon continue en éliminant elle-même des espèces par sélection depuis la préhistoire.
Quant à la pollution, alors que depuis les années 50 on a multiplié par quatre le PIB de la France, nous sommes classés par une étude internationale de l’Universités de Yale et de Columbia aux Etats-Unis de 2018, au 2e rang Mondial pour l’environnement (4). La France, ce n’est qu’1% de la pollution mondiale, alors qu’elle y a été divisée par deux sur l’ensemble du spectre depuis les années 60 (5). Ils défendent l’objectif de limiter le réchauffement sous les + 1,5 °, présenté désormais comme hors d’atteinte, dans le sillon du GIEC, formé d’experts univoques choisis par des Etats devenus obsessionnels par des schémas prophétiques invérifiables, avec cette fable que tout dépendrait encore là de restrictions jusqu’à l’os de l’activité humaine, de la « décroissance ». Le plus beau, c’est que ce sont les mêmes qui soutiennent le démantèlement du parc nucléaire français qui nous fait être parmi les meilleurs non-pollueurs de la planète. Allez comprendre, sinon en y ajoutant le critère de l’irrationnel propre aux peurs qu’induit une pensée prophétique hors de la réalité, pour nous prédire la fin du monde dans 50 ans. Une prophétisation mise sur le dos de fluctuations climatiques qui n’ont pourtant pas la nature extraordinaire qu’on leur prête, la température n’augmentant que de façon infinitésimale à l’échelle de la planète depuis 1998. Un phénomène déjà observable dès la plus haute antiquité, avec un désert qui avance et une montée des eaux qui n’a cessé depuis de s’amplifier, bien avant que l’Homme n’embrasse l’industrie. Il y a eu mille réchauffements et refroidissements climatiques dans l’histoire de notre planète. (6) La nature est remuante, elle n’a rien de linéaire, et nous sommes loin de comprendre et de maîtriser son jeu complexe. La fonte actuelle des glaces est par exemple sans commune mesure avec l’amplitude du « réchauffement » mineur actuelle.
Demain, il faudrait donc au nom de ces oiseaux de malheur, stopper les centrales nucléaires et tant pis pour les conséquences, interdire le Glyphosate alors qu’il n’existe aucun substitutif, et donc programmer la fin de l’agriculture française traditionnelle, pour une culture bio qui ne représente que 5 % de la consommation des ménages (Chiffre de l’Agence Française pour le Développement et la Promotion de l'Agriculture Biologique), plafonnant en raison de son prix. Ceci impliquant donc de se faire importer demain les produits industriels absolument nécessaires à une grande consommation propre à un pays comme le nôtre. Remémorons-nous que nous avons mis des siècles à atteindre le niveau de réponse aux besoins de la population française. Et peu importe qu’on en perde des emplois, des savoir-faire français que le monde entier nous envie, et le contrôle de la qualité de ces produits. Ces 5 % de bio suffisent, il faut le dire, à nourrir cette nouvelle bourgeoisie urbaine boboïsante, hygiéniste et hyper-individualiste, quant aux autres, ils mangeront ce qu’ils peuvent. Du même acabit, la décision toute récente du gouvernement français, 20 février dernier, de mettre définitivement fin aux forages pétroliers maritimes en France, après les avoir interdits au large de la Guyane, alors qu’ils nous promettaient des hydrocarbures en accroissant l’autonomie de la France. L’intégrisme écologiste et le clientélisme dont abuse cette majorité, auront eu raison par déraison de cette aubaine de façon toute aussi suicidaire. Mais qui paiera la facture de cette absurdité sans fond ? Il faudra de toute façon acheter ces hydrocarbures, dont on n’est pas près de pouvoir se passer en étant encore plus dépendant des prix et des volontés étrangères. Cela rappelle le scandale de la « vache folle », le scandale que tout était faux, alors que comme avec le « réchauffement climatique », on nous avait fait peur en nous promettant des millions de morts. Il n’y en a eu aucun !
L’écologie politique, un allié rêvé du capitalisme ultra-libéral
D’u point de vue politique, l’écologie est un allié rêvé du système qu’elle prétend mettre au pas. Il faut bien à une société hyper-individualiste et ultra-libérale un soupçon de morale, que l’écologie ne manque pas d’apporter avec ce procès du progrès et de l’Homme rendu responsable du tout, bien pratique aux yeux de ceux qui y voient de quoi faire plier l’échine au peuple, entre mea-culpa individuel et culpabilisation générale. C’est le simple retour, après la fin de tout projet politique réel de transformation sociale s’appuyant sur une analyse de classe, d’une pensée mystique, en reflet d’une économie qui dicte sa loi au politique dépossédant les individus de leur liberté de choisir leur destin. On leur laisse l’illusion écologiste, justifiant le système par l’adoption de ce costume vert passant pour vertueux, ce qui ne change rien à ce capitalisme injuste. En plus, ces nouveaux riches qui donnent le « la » écologiste on « leurs pauvres » pour satisfaire leur bonne conscience individuelle, entre les SDF et l’immigré, la défense des « minorités », pour se faire passer pour des révolutionnaires et qui ne sont que la contre-révolution, qui tirent un trait sur la lutte des classes et la cause réelle des inégalités. Il faut dire qu’ils croquent au système, et ne leur demandez pas de lâcher leur condition bourgeoise, hormis les illusions de la discrimination positive pour les banlieues, goutte d’eau dans un océan de problèmes. Ils ne veulent surtout rien voir changer sur l’échelle des pouvoirs et du prestige. Une écologie politique « supporter » inconditionnel du libéralisme, mais aussi de l’islam politique et donc d’un multiculturalisme diviseur des forces sociales, sans lesquelles il n’y a rien à attendre, balayant le mensonge qu’elle défendrait la question sociale qui est la dernière roue du carrosse de cette imposture.
On a fait circuler l’information que des salariés de Fessenheim aurait voulu refuser de couper le réacteur mis à l’arrêt dans la nuit, mais on les a menacés de sanctions pénales. Deux poids deux mesures, ici il n‘est pas question d’accepter la moindre désobéissance civile. CQFD !
Poussée écologiste prévue aux municipales : reflet d’une propagande de guerre à la raison
La poussée écologiste fait la « Une » à la veille des municipales dans ce contexte incroyable, en pronostiquant qu’elle sera décisive. Il ne saurait en être autrement tant on en fait véritablement propagande aujourd’hui. Médias et politiques se sont tous convertis à l’intégrisme écologiste, à l’image d’un Yanick Jadot, ancien porte-parole de l’association Greenpeace, qui fait du lobbying pour mettre la France sous sa cloche, sans rencontrer le moindre obstacle. Il s’y voit déjà et il a malheureusement raison, la preuve par les lâchetés de nos dirigeants et de la plupart des grands médias suivistes, et la fin de Fessenhiem. Notre président en a fait une affaire d’Etat comme en temps de guerre, réunissant ce qu’il appelle un « Conseil de défense écologique ». On frise le ridicule. Tout doit devenir vert, même si la France est l’un des pays les plus en pointe en la matière, ce qui justifierait que bien d’autres sujets tiennent l’actualité en haleine. Mais l’écologie a du pouvoir d’influence sur les foules, car en étant associée à la théorie du « réchauffement climatique » elle peut jouer sur le catastrophisme et les peurs, l’irrationnel, et un vote apolitique, faisant passer le concept de « transition écologique », fourre-tout indescriptible de régressions, pour un projet de société. Peu importe si cela génère de nouvelles inégalités, de la discrimination sociale, comme avec les critères d’accès à la capitale : les véhicules légers portant la vignette Crit'Air 4 ou Crit'Air 5 ne peuvent plus circuler à Paris de 8h à 20h, du lundi au vendredi, avec une interdiction des voitures roulant au diésel en 2024, qui enjoignent donc les voitures les plus anciennes et les plus populaires, de propriétaires banlieusards peu fortunés pour en changer, de ne plus y entrer. Cela, selon une cote d’alerte de pollution dont le seuil n’a cessé de s’abaisser pour correspondre aux vertus de ceux qui les interdisent, et vivent au chaud des quartiers riches des centres-villes. Madame Hidalgo a inscrit dans son programme la suppression de 60.000 places de parking à Paris par des pistes cyclables, il n’y pas pire signe politique de rejet de ce peuple de la France périphérique, que la révolte des Gilets jaunes a incarné. Peu importe aussi si, à réclamer des règles de contrôle écologique exponentielles et obsessionnelles, cela conduit des pays en voie de développement à ne plus suivre, en mettant sur la paille des populations entières, avec une augmentation régulière des produits de consommation courante sous prétexte d’hygiénisme présentée au service du bien de tous, excluant une partie croissante de notre propre population populaire du mode de vie commun, vouée à encore plus de difficultés.
L’écologie sous l’emprise d’une nature divinisée, contre la science et contre l’Homme
L‘écologie, qui était une science étudiant l’environnement, est passée au statut de divinité, lorsque la théorie du « réchauffement climatique » l’a porté au-dessus des partis politiques et de la démocratie, comme la grande cause des causes. Elle a ainsi soudain prétendue n’être plus à la portée de l’Homme et de la maitrise de son destin. Il n’y a rien de plus dangereux que le prophétisme qui ouvre les portes à toutes les balivernes et les peurs paniques qui y collent, alimentées par l’appel à la désobéissance civile, ce qui peut conduire à la folie collective et à l’affrontement. Par certains aspects, cette psychologie des foules n’a rien à envier au stalinisme tant la questionner vous promet aux gémonies et à la marginalisation. Si on ne s’incline pas, on est traité de négationniste… Comment peut-on croire contenir par régression la progression de la température lorsqu’on prétend qu’elle est de cause humaine et que l’homme se multiplie, alors que pour vivre il a besoin de développer les sociétés et l’économie, de produire plus de richesses, d’énergie ? Nous sommes déjà en plein irrationnel si on suit le raisonnement par l’absurde de ceux-là. Derrière cette vision culpabilisatrice et autopunitive, il y a comme les relents d’une religion. On ne voit pas en quoi, s’il faut en croire les prédictions de ces experts officiellement adoubés, faire contrition toujours plus en France pourra dénouer des problèmes dont les principaux pourvoyeurs n’ont pas grand-chose à faire : Classement selon les émissions de CO2 liées à l’énergie en 2017 : 1-Chine, 2-USA, 3-Inde, 4-Russie, 5-Japon, 6-Allemagne... La France est à la 19e place… (7) Des experts d’ailleurs face auxquels on interdit qu’il n’existe le moindre contre-pouvoir. Impossible d’avoir un débat télévisé avec des avis contradictoires sur le sujet. Le dernier appel de scientifiques raisonnés appelant au retour d’une démarche scientifique n’a pu être publié dans un grand média Français, mais sur le Huffington Post (8). Ce qui questionne pour le moins la liberté d’information et la démocratie.
La vision qui rend le progrès de l’Homme responsable de cette situation, amène à rejeter de ce schéma la science comme principal moyen de la résolution des problèmes, en se dépossédant de la capacité de faire face aux défis contemporains. Il faut sortir des théories défaitistes, scepticismes et suicidaires, qui concourent à un déterminisme qui prend des allures totalitaires. La façon dont les écologistes condamnent le nucléaire civil est à l’image de cet irrationnel, alors que cette énergie offre des perspectives que l’on ne soupçonne pas, comme pour la propulsion nucléaire des engins spatiaux en multipliant leur vitesse pour se projeter vers d’autres mondes, comme les capacités de l’Homme en contiennent la belle promesse. Nous avons encore dans ce domaine, malgré l’arrêt irresponsable du « projet Astrid » de centrale à neutrons sous les pressions écologistes, une avance certaine, permettant précisément une production d’énergie offensive pour le développement humain, et sans émission de CO2. Ce ne sont ni les éoliennes au rendement incertain, ni les panneaux solaires individuels ou collectifs, ultra-subventionnés par les bénéfices de l’électricité nucléaire, que l’on assurera l’avenir, au regard d’un pays censé être l’une des cinq à sept premières puissances mondiales, à moins de vouloir réduire la France à n’être qu’un immense Disneyland. Il faut un grand service public de l’énergie pour se projeter vers le XXIe siècle.
Remettre l’écologie dans le politique pour que l’Homme reprenne la main sur son destin
Ne serait-ce pas à la démocratie qu’il faudrait revenir, en réintégrant l’écologie au politique, comme l’un de ses enjeux, pour entreprendre un programme de recherche qui, au lieu d’une idéologie de la soumission serait émancipateur, tout en sortant de se battre la coulpe dans l’attente du « jugement dernier » ? Il faut rendre à l’Homme sa faculté à façonner son destin, avec la science au cœur de son projet, et une démocratie réelle associant le peuple aux grandes décisions qui le concernent.
Il est assez édifiant de voir comment, les gouvernants qui représentent des intérêts qui sont ceux de la mondialisation libérale, s’empressent d’embrasser ce thème, pendant que les méfaits du capitalisme ultra-libéral et de la surexploitation passent au second plan. Un système qui n’a rien à craindre de cette divinisation verte du temps, qui ne contredit rien concernant les affaires. Le principal pour la classe dominante, l’élite bienpensante de notre société, étant de manger bio et de calculer la meilleure empreinte carbone. L’écologie, sous le signe de la théorie du « réchauffement climatique », s’est transformée en obscurantisme antidémocratique au service d’un libéralisme qui peut ainsi s’en donner à cœur joie, quitte à ce qu’un pays comme la France, des plus avancés, finisse de recul en recul à passer au rang de pays sous-développé. N’oublions pas que nous parlons du pays de la Révolution française, celle qui a amené les Droits de l’Homme et du Citoyen, aux protections sociales les plus avancées, à la République sociale que d’aucuns rêvent de faire plier sous ces auspices, pour tout y marchandiser. Après le ni droite ni gauche, l’écologie devient la bouée de secours de ce système, comme le président s’en est saisi, en cédant sur tout aux écologistes, signifiant régressions sans fin comme l’arrêt délibéré des réacteurs de Fessenheim, en parfait état de marche, en témoigne. Ce n’est pas simplement de la technologie, de la science, des richesses mises à la poubelle, mais l’Homme. Il faut stopper cela, par un grand mouvement populaire de transformation sociale, pour la science et le progrès humain !
1-« Centrale nucléaire du Tricastin : des militants de Greenpeace interpellés après une intrusion »
2- Lien entre OGM et cancer : l’étude était une manipulation
https://eldorhaan.wordpress.com/2018/07/04/lien-entre-ogm-et-cancer-letude-etait-une-manipulation-2/
3-"Lien entre glyphosate et cancer : une étude de 20 ans sème le trouble" https://www.sciencesetavenir.fr/sante/cancer/glyphosate-et-cancer-une-etude-menee-sur-plus-de-20-ans-relance-le-debat_118479).
4- L’Universités de Yale et de Columbia aux Etats-Unis « Environmental Performance”, 2018. http://archive.wikiwix.com/cache/?url=https%3A%2F%2Fepi.envirocenter.yale.edu%2Fdownloads%2Fepi2018reportv06191901.pdf
5-Evolution de la pollution depuis les années 60.
6- « Délire furieux sur le climat : Ne nous laissons pas devenir fous ! »
https://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/delire-furieux-sur-le-climat-ne-209198
7-Liste des pays par émissions de dioxyde de carbone https://fr.wikipedia.org/wiki/Liste_des_pays_par_%C3%A9missions_de_dioxyde_de_carbone
8- « La culture scientifique est à reconquérir » https://www.huffingtonpost.fr/virginie-tournay/ne-nous-reposons-pas-sur-nos-lauriers-en-france-la-culture-scientifique-est-a-reconquerir_a_23369215/
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