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Accueil du site > Tribune Libre > Une nouvelle ère politique a débuté

Une nouvelle ère politique a débuté

De la campagne à l’investiture présidentielle, Nicolas Sarkozy, l’homme moderne de la politique française.

Avec l’élection du 6 mai dernier, une nouvelle ère politique a débuté. Le responsable de ce bouleversement n’est autre que l’actuel président de la République française, Nicolas Sarkozy, qui a, dès le 20 novembre 2003, admis que ce n’était pas seulement en se rasant qu’il pensait à diriger le pays. Depuis ce jour fatidique, ce grand communicant politique a permis de reconsidérer une matière qui semblait déconsidérée, gangrenée par la force hégémonique des appareils de partis aux consonances prolixes et machiavéliques. C’est par la remise en valeur d’une idéologie politique basée sur des principes de bases essentiels, dégriffés de toute appartenance partisane et emplis d’un certain légitimisme d’envergure et d’égards citoyens, que s’est constitué l’homme de rassemblement. Critiqué, fustigé, diabolisé par une certaine presse et par ses opposants, comme il est normal dans une compétition électorale, il a su, face à des visions fantasmagoriques, toucher le cœur et la tête des électeurs, remettant d’accord le citoyen avec la politique. Du fameux discours républicain du 14 janvier 2007, remettant la morale au coeur de la politique, aux propos solennels au service de la France traduits lors de sa première allocution présidentielle, Nicolas Sarkozy s’est affirmé comme l’homme moderne du paysage politique français. Son style décalé, rompant avec les protocoles et les formes imposées du système étatique, affirme ce changement d’époque. Tout d’abord, la campagne présidentielle a démontré un homme de droite apparaissant plus proche, plus décontracté avec le peuple, se différenciant avec la candidate de gauche sensiblement plus stricte et plus guindé qu’une candidate de droite n’aurait pu l’être. Au-delà de cette apparence, les références à Jaurès, à Blum, à Môquet ont déstabilisé un Parti socialiste pensant détenir le monopole de la considération sociale, s’affichant de la sorte comme le nouveau parti réactionnaire de l’échiquier politique. Puis se fut l’analyse de 1968, provocant une nouvelle fois l’ire de la gauche toute entière en faisant prendre conscience que le manque de différences a fait naître la différence. Enfin, c’est l’impact inattendu du duel télévisé entre un professeur d’université face à une maîtresse d’école, laissant supposer au citoyen français que la politique française aurait besoin d’un homme comme lui pour envisager l’avenir. Au lendemain de sa victoire éclatante, il se montre vêtu d’un jean, d’une chemise blanche et d’une veste sombre après une nuit passée au prestigieux Fouquet’s et avant de passer le portillon des voyageurs ordinaires de l’aéroport de Malte enfin de se reposer 48 heures et profiter du farniente à bord d’un yacht, essuyant encore les énièmes critiques d’une gauche en désaccord avec elle-même et pensant déjà à l’horizon 2012. A l’issue de cette retraite éphémère, l’esprit d’ouverture, par la sollicitation et la consultation de certaines personnes de gauche, va soulever l’indignation d’un Parti socialiste n’ayant pas encore compris qu’il était à une longueur de retard dans l’action politique. La passation de pouvoir entre le vieux lion de la politique, Jacques Chirac, et ce jeune loup va aussi s’interpréter comme un symbole de modernité, non seulement par ses applaudissements à l’égard de l’ancien chef de l’Etat, mais aussi par sa façon de bouleverser la cérémonie protocolaire que se soit dans le palais de l’Elysée ou lors de sa première sortie présidentielle. Sans attendre, il s’envole pour l’Allemagne afin de rencontrer Angela Merkel et nouer les relations franco-allemandes, si importantes et si profondes dans l’espace européen, pour réapparaître le lendemain aux côtés de François Fillon en jogger dans le bois de Boulogne après une matinée marathon et l’avoir nommé Premier ministre, n’hésitant pas à prendre la pose devant l’objectif de ses admirateurs stupéfaits de sa simplicité, de son amabilité et de sa proximité pour le personnage d’excellence qu’il est. Désormais, le sarkozysme risque de devenir la marque d’une nouvelle conception de la politique française, balayant les faux-semblants et les actions cachées des comportements et des agissements giscardiens, mitterrandiens ou chiraquiens imbibés dans le feutré de l’accomplissement de la fonction suprême. En effet, comment ne pas penser à l’affaire des diamants, aux écoutes de l’Elysée, aux marchés truqués, mais aussi aux voyages et aux amis complaisants des anciens présidents qui ont été moins critiqués à leur arrivée, alors qu’ils entretenaient des relations aussi contestables avec le monde de la finance, des affaires ou des médias. Comment oser parler de dérives sécuritaires, d’atteintes à la liberté d’expression, voire de mise en danger des libertés fondamentales de façon avant-gardiste, alors que le représentant de la nation n’a encore pris aucune décision susceptible de contrarier le quotidien des citoyens. Certes le style dérange, laissant penser que l’on assiste à une démocratie d’opinion reposant pour partie sur le spectre des peurs contemporaines, et que ces peurs sont véhiculées par des marchands de rêves qui n’arrivent pas à les concrétiser. C’est face à ce cynisme contemporain et à cette société surmédiatisée prônant le goût de la rumeur et du spectaculaire que le nouveau président incarne la modernité et la vision neuve de l’action et du comportement politique, vivant avec son temps et mettant le politique à l’échelle humaine en démontrant qu’il n’est pas différent des autres. Loin de la vanité et de la domination partisane, et plutôt pétri d’un credo politique et d’un orgueil à réaliser le bien de la nation, le nouveau président de la République s’est engagé à respecter les exigences et les demandes des Français selon une personnalité bien affichée qui ne laissera pas indifférents ses partisans ou ses détracteurs. Il a cinq ans pour y parvenir, cinq ans pour accomplir cette mission difficile, cinq ans avant de pouvoir être réélu.


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47 réactions à cet article    


  • Gazi BORAT 18 mai 2007 12:50

    « Certes, le style dérange.. »

    Il est surtout marqué par quelque chose qui pourrait s’apparenter à de la vulgarité et un côté (ce n’est pas le cas) « nouveau riche » : le Fouquet’s, le yacht, les copains milliardaires..

    Certes, avant d’être le président de tous les Français, il reste le maire de Neuilly et l’ami du CAC 40..

    Dernièrement, je me suis trouvé à jouer avec une collègue de travail au jeu :

    « Avec qui préfererais-tu te trouver sur une ile déserte » en proposant à chaque fois un couple de candidats à la présidentielle..

    Au couple Royal/Sarkozy, j’ai choisi Ségolène, pour d’évidentes raisons biologiques (J’aurais préféré Guigou mais bon..)

    Au couple Le Pen/Sarkozy, j’ai choisi Le Pen sans hésiter.

    « Pourquoi ? » m’a demandé ma collègue.

    J’ai réfléchi et je lui ai avoué que JMLP était au moins plus cultivé et qu’avec Sarkozy, j’aurais peur de n’avoir d’autres sujets de discussions que les différents modèles de chez Rollex..

    Mais je me trompe peut-être..

    gAZi bORAt


    • Alain Raphaël alain raphaël 18 mai 2007 14:47

      Votre analyse reste personnelle, mais je ne pense pas que le nouveau président soit juste un homme capable de parler de rolex sur une île déserte, des discussions plus importantes s’imposent lorsque l’on est sur une île déserte surtout lorsque l’on est avec quelqu’un qui est devenu Chef de l’Etat. Concernant l’anecdote de la rolex souvenez que Jospin avait cassé la sienne lors du débat avec Chirac et que c’est Pierre Moscovici qui lui a prêté la sienne pour qu’il débatte dans de « meilleures conditions ».


    • iliaval iliaval 18 mai 2007 21:00

      Vous, vous ne cachez pas votre idôlatrerie, c’est le moins qu’on puisse dire ! On se croirait à un concert des Beatles en 1964... Vous n’allez pas vous évanouir au moins ? Sarkozy, c’est le type qui va voir les ouvriers pour leur dire que les usines, c’est beau et qui, deux jours plus tard, se tire à Malte sur un yacht à 30 ans de SMIC les deux jours et demi. C’est un ami de Charles PASQUA, Patrick BALKANY, Alain CARIGNON : un concert de vierges. Mais il est génial on vous dit, ça va rentrer dans votre crâne de piaf ?


    • Alain Raphaël alain raphaël 19 mai 2007 09:45

      Tout d’abord je vous remercie de votre politesse en me qualifiant de piaf, qui est un oiseau sympathique et fort de vitalité et de liberté. Au niveau de l’idolatrie je suis un peu plus Rolling Stones. Quand à votre étroitesse d’esprit, elle semble prédominante lorsque l’on accepte pas certaines défaites. Oui, il faut considérer la capacité d’action du nouveau président, oui il a énormément d’ambition pour la France, oui il a le droit de prendre 48 h de repos comme il le veut et comme il le peut, mais non au fait que vous vous n’êtes pas hédoniste, non que vous n’aimez pas la modernité, non au mépris et à la considération des personnes et des opinions. Vous savez Victor Hugo disait « Etre contesté, c’est être constaté », à bon entendeur salut.


    • iliaval iliaval 19 mai 2007 13:28

      Si l’étroitesse d’esprit consiste à dire non à des idées d’extrême-droite (Sarkozy a même dit que le travail rendait libre...), alors je la revendique ! Sarkozy c’est le règne de l’inculture (il n’y a qu’à voir les « artistes » qui le soutiennent), de la vulgarité (idem) ; son ambition est là certes, mais pas pour la France et les Français, seulement pour lui-même. Le fait qu’il récupère Jaurès, Blum et maintenant Guy Mocquet et que, dans le même temps, il voue aux gémonies Mai 1968 et tous les acquis sociaux de l’après-guerre est écoeurant. Il citerait Che Guevara ou Mao si ça pouvait lui rapporter quelque chose, mais sa politique pue la vieille droite raciste et réactionnaire. Et ça ne m’étonne pas que vous préfériez les Rolling Stones aux Beatles, car contrairement aux seconds, les Rolling Stones n’ont jamais évolué musicalement, ils n’ont jamais cherché à faire autre chose, à voir ailleurs, et à 65 ans ils tournent toujours pour gagner toujours plus de fric.


    • LaEr LaEr 18 mai 2007 13:13

      Sarkozy ? Président ? Je croyais que c’était un acteur à la mode moi...

      Les preuves : ses copains (Reno, Clavier...), ses différents « rôles » (l’énervé, le zen, le gauchiste blumiens-jaursien, le nationaliste qui hait la France mais n’en part pas...), sa peopolisation parismatchienne, et mon dernier déjeuné qui remonte quand il récite son discours...

      Plus sérieusement : « le nouveau Président incarne la modernité et la vision neuve de l’action et du comportement politique » : avec Fillon, Juppé, et Bachelot ? Plus moderne, il fallait choisir la Simone Veil, ou VGDE... Ha !, mais oui, eux aussi était avec Sarko... Même le Jacquot y était :D. ET je ne relancerait pas la polémique sur la moyenne d’âge de son électorat smiley.

      Quant au « face à ce cynisme contemporain et à cette société surmédiatisé prônant le goût de la rumeur et du spectaculaire », c’est de son propre choix qu’il a pris cette voie, avec ses poses Gala/ParisMatch, et ses relations affichées (acteurs, décérébré mondain -spécial dédicace à Steevy-la-boulette qui, je vous rappelle, est sorti du loft1 avec son âne en peluche-, chanteurs.... et j’en passe..). De plus, ce sont ses propres soutients qui nous imposent cette société de la rumeur et du spectaculaire... Regardez à qui appartient TF1, Endémol, Paris-Match !!!

      Ne crachez pas dans la soupe, ce sont vos compagnons de jeux ! C’est même grâce à eux que Nicolas est devenu le Star-de-tous-les-pourris...


      • Alain Raphaël alain raphaël 18 mai 2007 15:03

        Vous gardez une vision totalement faussée de l’accomplissement politique, peut être parce que aveuglé par une conception prédéterminée, mais vous ne pouvez pas nier que l’équipe de N. Sarkozy est une équipe dynamique plus jeune et plus ouverte à écouter les demandes du public. Quand à l’aspect médiatique, je pense que vous serez d’accord, il le maitrise comme n’a pu le maitriser sa concurrente qui a pourtant cherché à investir les nouveaux moyens de communication, son fils ne s’est il pas occuper d’une certaine « Blogosphère ». Il faut donc considérer que la communication devient capitale, mais que l’on ne peut pas faire tout et n’importe quoi, et que sa façon d’agir est assez particulière et tranchante puisqu’il se permet de dire tout haut ce que certains pensent tout bas.


      • LaEr LaEr 18 mai 2007 15:54

        M. Raphaël (Ou Alain, désolé si je me trompe),

        Je ne vois pas ce qui vous permet de dire que ma vision serait faussée, et d’affirmer que je devrais reconnaître un quelconque dynamisme de son équipe.

        Et oui.... Je me sens tout à fait à l’aise en niant ce faux dynamisme que cette équipe aurait selon vous. Parlons plutôt de populisme, de raccourcis (trop) faciles, de tentatives de récupération de tous les bords, et surtout d’une contradiction permanente entre ses idées.

        Ce n’est pas parce que Nicolas Sarkozy est en lice pour le tour du monde en 80 secondes que le juge efficace.

        En revanche, un point sur lequel vous me rejoignez : en effet, il maîtrise la communication. Aussi bien d’ailleurs qu’un vendeur de chez Darty, car moi, je parlerai plutôt de marketing que de communication. Le marketing étant justement la spécialité de ses amis qui détiennent 80% des médias français, et qui l’aident beaucoup en cela. Et cela, VOUS ne pourrez pas le nier...

        C’est vrai que SES concurrents (je vous rappellerai que S.Royal n’était pas celle qui lui faisait peur) ont tenté d’investir le Web, et c’est tout à leur honneur. Car il est plus difficile de s’attaquer à ce nouveau média qui laisse un droit de réponse que d’utiliser TF1 pour faire passer ses idées. Et puis, tout le monde ne peut avoir Bouygues comme témoin de mariage et comme parrain du p’tit dernier....

        Un dernier petit rappel, celui qui disait dire tout haut ce que les autres pensent tout bas, c’était LePen. Le même qui, lui aussi, dénonçait la diabolisation faîte à son encontre.

        Donc, en conclusion, pour ma part, c’est votre vision qui est faussée, mais moi, je reste prudent en soulignant que c’est juste mon opinion.


      • Alain Raphaël alain raphaël 18 mai 2007 16:39

        Je ne me permets pes de remettre en question votre vision de la politique mais je veux juste vous indiquer qu’il est difficile d’accepter certaines choses lorsque nous ne sommes pas d’accord avec certaines idées, on assiste de profundis à une espèce de chauvinisme inconscient. Je comprends totalement votre analyse, mais j’assume totalement ce credo envers le nouveau Président. Il apparaît pour moi comme l’homme politique de la nouvelle génération se souciant de son image tout en restant proche de la grave tache qui l’attend. Laissons le temps se passer et n’ayons pas de présomptions de mal faire, N. Sarkozy n’est pas un dictateur comme la rumeur pourrait le faire croire. (Lors de l’élection de Mitterrand les chars russes n’ont pas remonté les Champs Elysées). Pour l’instant les choses ont été faites comme il l’avait proposé.J’espère que l’avenir pourra vous faire changer d’avis.


      • LaEr LaEr 18 mai 2007 17:22

        Tout d’abord, merci répondre aussi posément.

        Un regret seulement.... Quels que soient les convictions politiques et le soutient que l’on accorde ou pas à Sarkozy, j’aimerai rencontrer un UMPiste qui reconnaisse enfin que le soutient médiatique dont a bénéficié N.S n’avait rien de démocratique, et n’a rien à voir non plus, avec le fait de soigner son image.

        Il est dommage de voir que la France qui se réclame de De Gaulle se laisse avoir aussi facilement par la propagande qui a soutenu (voir porté) le leader de l’UMP (qui n’a d’ailleurs rien d’un gaulliste).

        Quant à la tâche qui attend M. Sarkozy, nous serons à même de juger dans quelques mois. Je pense que je serai « juste » (autant que je peux) envers lui, mais quels que soient ses décisions futures, je pleurerai cette élection comme étant un échec démocratique.


      • iliaval iliaval 18 mai 2007 22:47

        Oui, mais Mitterrand n’avait aucune admiration pour Joseph Staline... Alors, que Nicolas Sarkozy peut citer Le Pen dans le texte, et ça il l’a prouvé pendant la campagne. Quant à l’équipe jeune, vous repasserez : elle a comme un air de déjà vu et sent la naphtaline (Bachelot, Juppé, Kouchner). Mais, c’est vrai on en reparlera dans quelques mois, et je doute fort que vous soyiez toujours aussi enthousiaste ou alors, c’est que : 1- Vous appartenez au CAC 40 2 - Ou bien que vous êtes profondément raciste 3 - Ou encore que vous croyez que tous les chômeurs (les pauvres, les Rmistes, les homosexuels, les pédophiles, etc.)le sont parce que c’est génétique (théorie douteuse datant du 19ème siècle, à laquelle le génial et moderne Nicolas est très attaché).


      • vivelecentre 19 mai 2007 07:32

        comme beaucoup, vous faites injures à l’independance des journalistes

        ne vous en deplaise , les grands patrons de presse gerent leurs entreprises et n’interviennent pas dans le contenu editorial des journaux

        vous avez certe des journaux d’opinion qui ont defendu plutot tel ou tel candidature, mais la liberté de la presse existe en France

        Si effectivement certain groupe de medias collectionnent les titres, n’oubliez pas que 80/90% des journalistes ont declaré voter plutot à gauche

        Alors objectivement, on peut citer : Pro Sarkozy : Le figaro pro royal : le monde, liberation, le nouvelle obs pro Bayrou : Mariane

        Il y a aussi des titres clairement anti sarko donc favorisant les autres : Le canard, Marianne, Vsd

        Dans l’express, le point, j’ai trouvé des articles critique envers tous

        Il y a aussi la presse regional qui a un poid non negligable Les editoriaux de ces journaux que je lis egalement sont clairement « à gauche » La depeche (propriétaire et editorialiste !!)J M Baylet SUd Ouest, Ouest France, le telegramme

        Concernant la television, cela a plutot été equilibré (parce que controlé), quelque reportages orientés quand même sur France television (anti droite) Par contre Canal Plus franchement bobo et anti SArko

        Pour finir, n’oublions pas les humoristes Les guignols, anti Sarko Laurent Gerra (rtl)anti Royal ( et limite ringard , pas drole) Nicolas Canteloup(europe1)equilibré(tout le monde en prend pour son grade et de loin, pour moi , le plus drole !

        Alors le couplet sur le complot mediatique est ridicule et il a surtout pour principal interet de masquer les insuffisance des candidats qui en auraient pretendument été victimes


      • Alain Raphaël alain raphaël 19 mai 2007 09:31

        Loin d’être raciste ou xénophobe, et sans appartenir au cac 40, il me semble essentiel de reconnaitre au delà des défauts de N. Sarkozy qui vous agacent et qui vous obsèdent qu’il a aussi certaines qualités et qu’il est le politique qui bouleverse la politique. Peut être que vous n’êtes pas d’accord avec le fait que c’est un homme de droite, mais reconnaissez que le social n’est pas exempt de son programme, et que la force du mérite et la reconnaissance du travail est loin d’avoir été reconnu par la gauche.


      • Alain Raphaël alain raphaël 19 mai 2007 09:57

        Votre analyse semble assez contreversée, car je ne parle pas de complot journalistique, mais je considère que la force des médias à forgé de nouveaux comportements dans le monde moderne et que la neutralité de l’information dans certains cas a été faussée par un certain parti pris beaucoup plus lié à l’action mercantile qu’à certaines convictions, il est donc normal de savoir composé avec cet acteur, car rien n’est pardonné et tout est supputé, laissant le citoyen dans le domaine de la désinformation. Je ne fais aucun procès d’intention à l’encontre des journalistes, mais je considère qu’il doivent assurer un service public et pas une éxagération de la pensée personelle dans le seul but d’assurer spectacle et vente.


      • iliaval iliaval 19 mai 2007 13:58

        Il bouleverse peut-être le show-biz et les hormones des mémères et des pépères de plus de 60 ans qui ont voté en masse pour lui, mais la politique certainement pas. Il est le vil plagiaire de John Fitzgerald Kennedy, mort il y a 45 ans. Comme tout être humain, Sarko a certainement des qualités, mais en politique il n’a que des défauts :inculte, vulgaire, parvenu, se posant perpétuellement en victime, raciste, anti-pauvres, ébloui par la fortune de ses maîtres, brassant de l’air en quantité astronomique, criant à la calomnie dès qu’on le critique (tout comme Jean-Marie Le Pen) Ce type est un minable, qui vient de gagner un concours de circonstances. Je ne lui donne pas deux ans avant qu’il démissionne sous la pression de la rue.


      • Forest Ent Forest Ent 18 mai 2007 13:31

        Sur la forme, ce texte est difficile à lire et manque d’aération. Utiliser plus la touche serait utile.

        Sur le fond, la meilleure chose que je puisse en dire est que la sincérité n’est pas exclue.

        La seule chose certaine est qu’un nouveau quinquennat a débuté.


        • Forest Ent Forest Ent 18 mai 2007 13:32

          edit : la touche ( enter )


        • Céline Ertalif Céline Ertalif 18 mai 2007 14:51

          Ah Forest smiley Tu es bien bon.

          Il y a toujours plein de commentateurs pour dénoncer les gauchistes et les bayrouistes qui envahissent Agoravox. C’est vrai que les articles Sarkosystes sont rares. Mais le pire, c’est qu’ils sont pitoyables. C’est pire que rien. Faut-il être d’Ajaccio pour être si laborieusement bonapartiste ? Faut-il être docteur en droit pour aimer à ce point faire le cire-pompes ? Ne serait-ce pas les modérateurs partisans d’Agoravox qui censurent les bons articles sarkosystes pour laisser passer les plus discutables ? C’est vraiment désespérant, je propose à Carlo Revelli de solliciter Devedjian : puisqu’il est libre d’occupation gouvernementale et que lui, au moins, il est toujours brillant !

          @ l’auteur : je suis désolée d’être si peu flatteuse. Mais je ne veux pas être condescendante non plus et j’espère sincèrement que tu puisses nous proposer mieux.


        • Alain Raphaël alain raphaël 18 mai 2007 15:33

          Tu reste assez flatteuse dans tes propos puisque tu me propose les services de quelqu’un comme Devedjian. J’aurai pu avoir l’aide de quelqu’un qui parle de bonapartisme sans savoir véritablement ce que c’est. La preuve, ce vient d’être écrit. Toutefois, l’article proposé n’est que le constat sommaire du nouveau style politique de l’homme d’Etat que peut incarner N.Sarkozy. J’espère que tu as bien compris le sens de ce texte et qu’il t’a permis d’entrevoir certains petits détails que tu n’aurais pas saisi pour quelqu’un qui pense que la politique de nos jours ne se conçoit que sous la forme aristotélicienne ou platonicienne.


        • Francis, agnotologue JL 19 mai 2007 12:29

          «  »Tu reste assez flatteuse dans tes propos puisque tu me propose les services de quelqu’un comme Devedjian.«  »

          Heureusement que le ridicule ne tue pas...

          Désolé !


        • Alain Raphaël alain raphaël 19 mai 2007 17:48

          j’ai toujours aimé les gens pathétiques car ils ne savent pas affronter la réalité. Bon courage pour ces cinq années.


        • tvargentine.com lerma 18 mai 2007 14:02

          Les français ont-ils eu le choix ?

          Si le PS avez été vraiment un parti démocratique il aurait organisé des primaires à l’italienne,permettant aux électeurs de gauche de voter sur un candidat qui aurait eu ensuite une véritable légitimité.

          Le PS à préferé suivre les instituts de sondage et faire voter ses encartés à 10 euros et les militants fonctionnaires qui s’accrochent à leur petit privilège déconnecté de la réalité de la société.

          Résultat,une techno-mitterandiste coincé qui substitue un projet de société par de la compassion ! LE NEANT

          Donc,nous avons eu le non choix et celui d’un homme qui disposait d’un programme réaliste et il suffit de relire ses propositions sur http://www.sarkozy.fr pour qu’on tourne une page de notre histoire

          Maintenant,les effets de manches sont très limités dans le temps et si les mesures que nous a vendu Nicolas Sarkozy ne sont pas misent en applications,alors il sera peut etre le 1er president de la République à devoir s’exiler à l’etranger !


          • LosKr 18 mai 2007 17:11

            Etant donné le temps qu’il a passé à réaliser tous ces projets dans les anciens gouvernements depuis plus de 5 ans, et au vu de ce que ça a donné, je ne vois aucune raison de ne pas être critique !

            Il n’y a que les bas du cerveau pour croire qu’il est l’homme nouveau, la révélation, le changement tranquille... Ce n’est tout bonnement qu’un assoiffé de pouvoir ! Maintenant qu’il y est, beaucoup n’auront bientôt que leurs yeux pour pleurer, comme ceux qui l’ont soutenu pour le mettre là où il est et qui se retrouvent maintenant sans rien...

            Je voudrais bien voir la tête que doit faire JF Coppé en ce moment ! Ca doit valoir toutes les bons mots de JM Bigard ! mdr J’espère que l’auteur et Lerma auront le courage d’afficher la leur quand ils auront perdu leurs illusions...


          • Francis, agnotologue JL 19 mai 2007 12:35

            ça val Lerma ? bien déjeûné ? La reprise de 14H, pas trop dure ?

            Plus sérieusement, je me pose la question quand je lis ceci : «  »si les mesures que nous a vendu Nicolas Sarkozy ne sont pas misent en applications,«  »

            Lerma est-il français ? ou bien est-ce un employé appointed by the CIA ? smiley smiley


          • Alain Raphaël alain raphaël 18 mai 2007 15:22

            Tu reste assez flatteuse dans tes propos puisque tu me propose les services de quelqu’un comme Devedjian. J’aurai pu avoir l’aide de quelqu’un qui parle de bonapartisme sans savoir véritablement ce que c’est. La preuve, ce vient d’être écrit. Toutefois, l’article proposé n’est que le constat sommaire du nouveau style politique de l’homme d’Etat que peut incarner N.Sarkozy. J’espère que tu as bien compris le sens de ce texte et qu’il t’a permis d’entrevoir certains petits détails que tu n’aurais pas saisi pour quelqu’un qui pense que la politique de nos jours ne se conçoit que sous la forme aristotélicienne ou platonicienne.


            • Francis, agnotologue JL 19 mai 2007 13:07

              bis repetita, mais mon commentaire sera différent puisque cette je suis allé jusqu’au bout cette fois de la réponse d’AR, qui écrit :

              « J’espère que tu as bien compris le sens de ce texte et qu’il t’a permis d’entrevoir certains petits détails que tu n’aurais pas saisi pour quelqu’un qui pense que la politique de nos jours ne se conçoit que sous la forme aristotélicienne ou platonicienne. »"

              Sur la forme, vous pouvez faire mieux ?

              Sur le fond, vous pouvez développer ?


            • Alain Raphaël alain raphaël 19 mai 2007 17:51

              Bien heureux les simples d’esprit. No comments


            • Francis, agnotologue JL 19 mai 2007 19:37

              Mr le docteur en droit de l’université de Corse, « on ne voit jamais en quoi que ce soit davantage que ce que l’on est soi-même ».

              Vous me traitez de simple d’esprit, j’aimerais que vous compreniez ce que cela veut dire.

              Pour vous aider : personne ne vous a proposé les service de Devedjian. Relisez le commentaire.

              Deuxièmement, je vous ai posé une question, ne bottez pas en touche. Mais peut-être ne savez vous pas répondre ?


            • Francis, agnotologue JL 19 mai 2007 19:39

              ps : vous aurez noté que je ne tutoies pas ceux qui ne pensent pas comme moi, ça me ferait mal ! Et ça nous différencie.


            • Alain Raphaël alain raphaël 19 mai 2007 20:10

              Monsieur le donneur de leçon, « Vous » auriez pu mettre un « s » à service dans votre commentaire citant Devedjian. Plus que le pathétique, c’est misérable, et le mot est faible. Je n’ai jamais eu d’intérêt pour les gens qui se noient dans la superficialité et qui manque considérablement d’humilité. Le dialogue avec les gens de votre espèce sont rarement enrichissants. Dommage.


            • Francis, agnotologue JL 20 mai 2007 08:58

              «  »les gens qui .. qui manque considérablement d’humilité«  »

              Kolossale finesse ! si si !

              C’est par humilité que vous avez raccourci le verbe ?

              Pourquoi écrivez vous « dommage » (que les échanges bla bal) ?

              Parce que moi, je ne parle pas à certaines personnes, précisément pour ne pas avoir de regrêts.

              Je veux croîre que ce « dommage » venant de vous à moi, c’est du dépit !


            • Allonneau Patrick Allonneau Patrick 18 mai 2007 15:58

              Ne soyez pas trop naïf sur la confusion qu’il peut y avoir entre un style qui se veut moderne, direct, sportif , actif et moins ampoulé que ses prédédécesseurs (encore que VGE avait déjà ce désir « d’américanisation » du style présidentiel) avec une réelle modernité dans les pratiques politiques et les solutions économiques pour sortir le pays de la crise qui ne serons peut-être pas si innovantes que ça...Mais avant tout jugement sectaire, procès d’intention et condamnation par anticipation, attendons et jugeons sur les résultats obtenus. Rendez-vous dans quelques semaines pour un premier rapport d’étape...On en saura plus alors sur la réalité du style de gouvernement et son ambition louable de modernisation de la vie politique française.


              • Alain Raphaël alain raphaël 18 mai 2007 16:48

                Bien que je sois un véritable supporter du nouveau Chef de l’Etat, je suis totalement d’accord avec vos propos, mais il m’a semblé essentiel de souligner certaines choses qui dérangent de nombreuses personnes, exposant N.Sarkozy à de nombreuses diatribes qui n’ont pas lieu d’être à cet instant, constatant que par le passé beaucoup de choses étaient calfeutrées et bien moins critiquées.


              • La Taverne des Poètes 18 mai 2007 21:21

                J’espère seulement qe Sarkozy ne vient pas de signer l’arrêt de mort d’Ingrid Bettancourt par son coup de téléphone impulsif et le ton de patron qu’on lui connaît (suite à son initiative, l’ordre de charger les preneurs d’otages a été donné là-bas..) Cela serait mal débuté son quinquennat. Ce genre de coup d’audace peut s’avérer très lourd de conséquences, ce que Jacques Chirac, lui, savait. Je veux bien que Sarkozy soit admiré pour son dynamisme mis en scène avec le plus grand soin lors du passage du témoin pour ringardiser Chirac et marquer la rupture, mais tout cela c’est du show business ! La vie d’otages et l’équilibre mondial, ainsi que le maintien de la paix, cela exige d’autres qualités que Sarkozy n’a pas montrées.


                • Alain Raphaël alain raphaël 19 mai 2007 10:21

                  Les relations internationales et les accords entre pays ne sont pas des palabres de tribus. Je pense qu’un chef d’Etat se doit d’agir de manière posée et réfléchie lorsque certaines situations délicates se présentent ; je pense aussi qu’aucun chef d’Etat ne décide seul des différentes mesures à prendre lorsque un problème d’envergure se présente, et j’espère comme vous que la détention d’Ingrid trouvera une issue favorable. Toutefois,face à un individu si peu conscient de la situation comme le président Uribe, je ne crois pas qu’il faille jété l’opprobre sur le nouveau Président français.


                • Francis, agnotologue JL 19 mai 2007 13:15

                  «  »je ne crois pas qu’il faille jété «  »

                  Quand on est docteur en droit on écrit :

                  « je ne crois pas qu’il faille jeter » smiley

                  L’irrespect pour les lecteurs et la grammaire ça passe pour Lerma. Quoique, je me demande comment on peut penser sainement quand on écrit comme lui.


                • Alain Raphaël alain raphaël 19 mai 2007 17:55

                  Pardon pour cette faute dramatique. Pour le reste, gardez, Monsieur le « lettré », le commentaire que j’ai pu effectuer un peu plus haut à votre encontre.


                • Cédric 19 mai 2007 01:03

                  Je ne sais pas s’il faut rire d’un tel article hagiographique, mais reconnaissons trois coups de génie à Nicolas Sarkozy et à son équipe :

                  - le premier est d’avoir brillé par son absence pendant le débat sur le référendum. En dehors d’une couverture de Match avec Hollande, qui a d’ailleurs plus desservi ce dernier, il s’est tenu loin d’un débat où tous les intervenants en faveur du oui ont laissé des plumes. Le perdant à l’UMP durant cette campagne s’appelle Chirac qui est apparu déconnecté du reste du pays et le PS parce que Hollande n’a pas mis les nonistes devant leurs responsabilités politiques, ce qui aurait pu aller jusqu’à la cission mais aurait permis de clarifier la chose.

                  - Le deuxième est d’avoir fait passer l’ancien président pour un homme de gauche. C’est un fait, il suffit de discuter avec quelques militants de l’UMP pour entendre le refrain : « avec lui ce sera une politique vraiment de droite ». Entre 2002 et 2007, qui était au pouvoir ? Mystère. Le CPE-CNE, la réforme des retraites, sont imputables à qui ? Personne apparemment. Au final, en réussissant cela, il a pu permettre de passer le passif de la présente législature comme profits et pertes, bien aidé il est vrai par une presse plus avide de savoir le nombre de sous-marins plutôt que de connaître les véritables chiffres du chômage à l’heure où les statistiques fournies par le gouvernement font rire les spécialistes de l’OCDE et d’Eurostats.

                  - Troisième élément, créer un nouvel homme de droite dit « décomplexé » mais plus surement amnésique. Sus à la repentance, entend-on, cette horreur venu de la gauche et de mai 68. Mais il n’y a nulle repentance à reconnaître les actions de la France et de son gouvernement durant l’occupation, il n’y a aucune gloire à tirer des massacres de Sétif et dans une moindre mesure du « métro Charonne ». Ce sont des faits, pas le fruit d’une quelconque mystique amenant au repentir. La gauche n’est pour rien dans le complexe de la droite, ce sont les agissements de cette dernière qui en sont la cause. Mais voilà, dans une logique qui n’a rien de moderne et qui est bien à droite de la droite, le sieur Sarkozy et ses conseillers ont simplement réanimé l’efficace logique du bouc-émissaire. Ainsi mai 68 est devenu la cause de tous les maux de la société, de la même manière que le Front Populaire était désigné comme le responsable de la défaite de 1940 et non l’incurie de l’Etat Major. Les coups que la France prenait au plan international, sa timidité à célébrer Austerlitz et sa diligence pour envoyer le Charles de Gaulle pour la commémoration de Trafalgar, devaient avant tout autre chose à la faiblesse de la diplomatie française aussi bien au plan planétaire qu’européen, faiblesse masquée par l’affaire irakienne. En l’occurence, c’était bel et bien le passif de Chirac. Or celui-ci étant désigné comme étant à gauche par ses anciens électeurs, la nasse se refermait.

                  Le style de Sarkozy n’a rien de nouveau, il est d’un classicisme total auquel s’ajoute le mauvais goût des parvenus. Ce qui ne signifie en rien qu’il est dénué de finesse et d’intelligence, au contraire, mais il n’y a nulle modernité dans ce mélange de manoeuvres et de clientélisme dont le champ d’action se veut bien plus large que celui de son prédécesseur. Il suffit de voir le ralliement d’un Gallo, espérons pour ce dernier qu’il finisse par la décrocher sa place à l’académie française.


                  • Francis, agnotologue JL 19 mai 2007 13:20

                    J’ai mis un plus à votre commentaire, mais c’est pas pour Gallo smiley


                  • morice morice 19 mai 2007 09:56

                    Les premières déclarations sur le dossier Aibus sont du domaine du grand guignol : le président se présentant plus à gauche que le patron, seul moyen de mettre les ouvriers laminés par les annonces de parachutes dorés dans sa poche. Encore deux semaines, et Sarkozy DEVIENT sa marionnette des guignols. Grotesque.


                    • Alain Raphaël alain raphaël 19 mai 2007 10:05

                      Je vous laisse à vos premières impressions, et je pense que comme moi vous constatez qu’aucun président ne s’est rendu dans une usine pour parler des problèmes qui la concernait. Le scepticisme ne fait pas beaucoup avancer les choses, soyez patient et croyez en la modernité.


                    • Francis, agnotologue JL 19 mai 2007 13:24

                      L’état mettra la main à la poche, pour payer la commission de Forgeard. Sa poche ? La notre, oui. Si c’est pas du racket ça je veux bien être groupie de sarkozy !


                    • vivelecentre 20 mai 2007 11:10

                      pendant que les éternels persifleurs déchaînent leurs haines sur ce forum, une grande majorité de français est satisfaite de la composition du nouveau gouvernement

                      c’est particulierement savoureux qu’en on s’aperçoit que , parmi les électeurs Bayrou , les satisfaits sont encore plus importants !!

                      «  »«  »69% des personnes interrogées se disent satisfaites, tandis que 30% ne sont pas satisfaites et 1% ne se prononcent pas, selon cette enquête.

                      Le taux de satisfaction atteint 77% chez les électeurs de François Bayrou au premier tour, et 81% chez ceux de Jean-Marie Le Pen.

                      En ce qui concerne la popularité des ministres, Jean-Louis Borloo (Economie, Finances et Emploi) arrive en tête avec 55%, suivi de Bernard Kouchner (Affaires étrangères et européennes) avec 51%, et de Rachida Dati (Justice) avec 46%.«  »«  »

                      Les français sont pragmatiques, ils ne condamnent pas à priori comme certain militants sur ce forum et jugeront aux actes


                      • Alain Raphaël alain raphaël 22 mai 2007 11:53

                        Je vous remercie de cette analyse et de votre participation à ce forum qui semble malheureusement voué à peu de débats constructifs.


                      • frédéric lyon 23 mai 2007 19:09

                        Une critique de forme. Il faut penser à faire des paragraphes, afin d’aérer un peu et de faciliter ainsi la lecture.


                        • frédéric lyon 23 mai 2007 19:20

                          Il ne peut pas y avoir de débats constructifs avec des militants politiques de gauche, qui viennent ici en service commandé pour réciter leur catéchisme.

                          Le niveau à gauche est devenu si faible qu’on peut y voir une explication de leur défaites successives. Il ne reste plus à Sarkozy qu’à la provoquer sur des terrains de politique intérieure soigneusement choisis :

                          La suppression de la carte scolaire, l’autonomie des universités, la retraite des fonctionnaires, des baisses d’impôts directs en faveur de la classe moyenne,etc.

                          Ce doit être fait le plus rapidement possible, tout doit être mis sur la table dès cet été et cet automne, afin que la gauche réagisse par des grèves de fonctionnaires et des bris de vitrines et d’abribus. Comme d’habitude.


                        • Alain Raphaël alain raphaël 24 mai 2007 08:25

                          Entièrement d’accord avec vous. Merci de votre participation.

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