Une politique de régression sociale !
Après l’annonce faite d’une réduction importante effective de la durée du congé parental et l’escroquerie qui consiste pour le gouvernement à dire qu’il s’agit de favoriser l’égalité entre les hommes et les femmes, voici un train de nouvelles mesures de régression sociale.
A partir du deuxième enfant, la prime de naissance qui s’élevait à 923 euros va être divisée par trois.
Pour beaucoup de familles de milieux modestes, cette somme allouée représentait une aide substantielle.
D’un côté le pacte de responsabilité allège les cotisations sociales des entreprises sans contre- partie quant à l’emploi et de l’autre les plus humbles sont ceux qui sont sacrifiés.
Le complément de mode de garde versé aux parents qui emploient une nourrice à domicile ou une assistante maternelle va être réduit pour les familles les plus aisées.
Quelles sont donc ces familles ? A partir de quel niveau est-on aisé ?
Encore une fois, le gouvernement qui a réduit le budget d’action sociale de la CNAF, remettant en cause la convention d’objectifs qui liait celle-ci à l’Etat modifie et dénature, brutalement, sans évaluation ni concertation, un dispositif conventionnel.
Pour compléter le tableau bien noir pour les familles, la majoration d’allocations familiales versée pour un enfant atteignant 14 ans est supprimée… Il faudra attendre que cet enfant atteigne les 16 ans.
Mais jusqu’où iront-ils ?
Le gouvernement veut aller vite, très vite.
Comme l’écrit l’UNAF dans un communiqué publié ce jour :
« la loi s’applique à partir du 1er octobre : imaginez la situation des parents qui attendent un enfant et qui ne savent toujours rien des modalités exactes de ce dispositif, ni quelle sera la durée d’obligation de partage. Accueillir des enfants, c’est se projeter sur 20 ans, aujourd’hui, elles ne peuvent même pas se projeter à 2 jours ! »
C’est une remise en cause d’une politique familiale et sociale au nom de l’austérité.
C’est inacceptable !
Jean-François Chalot
29 réactions à cet article
-
« Le gouvernement veut aller vite, très vite. »
Le gouvernement accomplit la mission que lui a dictée la commission européenne pour aligner tous les pays membres sur les moins-disant pour les dépenses publiques.C’est à peu près aussi pertinent que de toujours choisir l’entreprise la moins chèrs dans une commission d’appels d’offres : les malfaçons sont tellement nombreuse que le surcoût pour remise aux normes dépasse largement les coût d’une réalisation qui les respecte dès les départ.Pour le système d’aides (appelé haineusement état-providence par les libéraux), la vraie facture se paiera dans une dizaine d’années, quand il faudraprendre en charge les conséquences de la casse.Mais le mal aura été fait.-
la vraie facture se paiera dans une dizaine d’années
Oui, avec, plus largement, les effets des économies de 50 milliards d’euros réalisées sur les services publics en général.
La « gauche » emploie le garrot là où la droite utilise le sabre. -
Le gouvernement a ponctionné un demi milliard dans les caisses des chambres de commerce. Les écoles des chambres de commerce sont en état de faillite. Des écoles qui forment principalement des milliers de jeunes qui n’ont pas la chance de suivre de études supérieures et en particulier dans les régions. Le gouvernement sacrifie la jeunesse aux banquiers.
Jeunes gens, vous n’avez pas la possibilité de vous faire une place dans la société, de fonder une famille et d’élever des enfants ? Pas grave, le gouvernement a la solution : http://dai.ly/xytynl -
bonjour chalot
«
C’est une remise en cause d’une politique familiale et sociale au nom de l’austérité.
C’est inacceptable !.... »
d’autant plus inacceptable que pendant ce temps le budget militaire des OPEX (opérations extérieures) est pulvérisé passant de 450 Millions d’Euros à 1.2 Milliard .
Pour tuer des gens , là on trouve du pognon sans difficulté ...ECOEURANT !
@+
-
Vous avez raison de bien le noter : un méfait parmi tant d’autres.
-
Le chômage est un problème structurel en France.Le mode de financement des retraites ne l’est pas.Promouvoir une politique nataliste pour espérer financer les retraites est aberrant. Le système actuel est incapable d’absorber les nouveaux arrivants sur le marché du travail. Plus de naissances pour moins d’emploi ne résoudra pas rien. D’autant qu’il faudra former toute cette jeunesse avec des profs et c’est sans garantie qu’ils restent sagement en France après pour payer des impôts.Et au pire, nous pourrions très bien choisir de faire progresser la population par le recours à l’immigration, que certains pays font déjà, et de manière sélective.Et puis bon, quand on choisit d’avoir des enfants, on les assume sans compter sur le portefeuille de son voisin.J’espère ne pas vous choquer mais je pense que nos bon-sens respectifs ne sont pas les mêmes.Bien à vous-
Sur le plan financier uniquement, je vous rejoint. Ceux qui font des enfants sans avoir les moyens, ils n’avaient qu’à avorter. S’ils crèvent dans la misère, c’est leur souci. On est bien assez dans le monde, une politique nataliste est une aberration.
Sur le plan durée du congé, par contre, pas du tout. Le problème, c’est qu’avec cette réduction, les parents ont l’obligation de ne pas rester avec leur gosse. Ils doivent retourner travailler après 18 mois. Riches ou pauvres, aisés ou non, les enfants n’ont plus le droit de rester avec leur mère.Qu’on baisse, voir qu’on supprime ces aides, je m’en fiche, si il faut faire des économies, pourquoi pas. Seuls ceux qui ont les moyens feront des enfants, ça responsabilisera les français. Tant mieux. Qu’on diminue la longueur du congé, c’est à mon sens une vrai régression. Car la mère n’a alors plus le choix : soit elle quitte son poste, soit elle ne voit pas son enfant grandir.C’est mauvais pour la mère, c’est mauvais pour l’enfant. Et ceci pour les couples riches comme pauvres, sans considérations pécuniaires. -
« Le chômage est un problème structurel en France. »
Non, pas d’accord. C’est le résultat de toute une politique de désindustrialisation, de délocalisation et de mise en concurrence sauvage voulue par nos chers « représentants » de droite ou de gauche et appliquée depuis vingt ans. Nulle fatalité là-dedans, nul problème structurel, nulle tare propre à la France, mais juste un GROS problème politique, rien d’autre...
-
Ces règles c’est pour sortir l’épouse du monde du travail, sans l’avouer, pour luis sucrer sa retraite.
Car l’allaitement, le père ne peut pas le faire.Oui, il y a le biberon, mais c’est vraiment moins bon pour l’enfant. (c’est juste un bon complément lorsque la mère est trop fatiguée)
Ce qui est honteux c’est que si aide il doit y avoir, elle ne doit pas être discriminante face aux revenus en plus elle devrais être automatique.
-
Les conseillers ministériels évoquent l’égalité des droits entre les hommes et les femmes, la nécessité de la parité pour justifier la diminution du congé parental s’il n’est pris que par l’un seulement des parents.
C’est un leurre car la seule logique gouvernementale est comptable.-
Ce gouvernement ne fait qu’appliquer en toute logique sa politique de mépris des familles, de dénatalité et de promotion de la reproduction marchande.Et le féminisme bobo montre son véritable visage, qui ressemble fichtrement à celui de DSK : Les femmes sont des exploités comme les autres, elles n’ont qu’a bosser la nuit, arrêter de s’occuper de leurs enfants et idéalement louer leur utérus aux amis de Pierre Bergé.De quoi vous plaignez vous Chalot ? La famille c’est un truc de pétainiste, non ? -
La réaction de l’auteur semble en décalage avec celle du cnafal... (http://www.cnafal.org/politique-familiale-on-ne-fait-pas-des-enfants-pour-largent/) c’est à dire plus en phase avec les familles en souffrance et moins à la remorque du gouvernement, c’est courageux de sa part mais un peu confus pour les observateurs
-
Que pouvons-nous attendre d’un gouvernement de droite qui n’a qu’un souci comme tous les gouvernements de droite : enrichir encore et toujours plus ceux qui détiennent la finance. La politique sociale, il s’en fiche, la politique familiale également, les retraités, rien à faire, les salaires, aussi bas que possible, mais les dividendes, eux ils doivent exploser !
Si seulement, cela pouvait leur brûler au moins le bout du nez ...-
Que pouvons-nous attendre d’un gouvernement de droite qui n’a qu’un souci comme tous les gouvernements de droite : enrichir encore et toujours plus ceux qui détiennent la finance. La politique sociale, il s’en fiche, la politique familiale également, les retraités, rien à faire, les salaires, aussi bas que possible, mais les dividendes, eux ils doivent exploser !
Si seulement, cela pouvait leur brûler au moins le bout du nez ...-
Ce que l’UMP rêvait de faire, le PS le fait sans complexe.
Le problème avec les cons, c’est qu’ils osent tout. C’est d’ailleurs à ça qu’on les reconnait !!-
Et pourtant ce sont les notaires, les pilotes de lignes, les pharmaciens, les médecins, les agriculteurs et même les huissiers qui manifestent. Alors pas de doute c’est bien la gauche qui est au pouvoir
-
Que l’UNAF arrête de spolier des millions de vieux dans le système des curatelles tutelles...eux aussi ne sont pas blancs !
-
Le gouvernement a raison.
Ce genre d’aide ridicule devrait être supprimé.
Pondre n’est pas un métier.
-
Bonsoir Monsieur l’auteur, et merci pour votre article.
Il est pourtant, selon mon opinion, bien trop court, et trop réducteur.Voici mes opinions - assumées - et que je souhaite partager à tous.Et je vous cite :1/« Pour beaucoup de familles de milieux modestes, cette somme allouée représentait une aide substantielle. »
Certes, mais il s’agit bien là d’un luxe à la française, que nous ne pouvons conserver au vu de l’état des finances publiques. Il s’agit là d’une politique assumée d’incitation à la natalité. Toutefois, faire des enfants est un projet réfléchi, et ce ne sont pas 600 euros de plus ou de moins dans le budget familial qui vont faire une grande différence.Certes, ce « manque à gagner » est un peu difficile à vivre pour certaines populations précaires. Toutefois, soyons raisonnables, la conception (et pas extension l’accueil, le financement etc.) d’un nouveau né est un choix individuel. L’Etat moderne n’a pas vocation a intervenir dans ce domaine, que ce soit pour limiter tant que pour favoriser.Sur le long terme, ces 600 euros de plus ou de moins seront totalement dilués.Peut-être faudrait-il trouver une mesure transitoire, pour les grossesses déclarées au jour de l’entrée en vigueur de la loi, en effet, mais pour le moins, je ne crois pas que la décision de faire un second enfant soit liée à des considérations qui relèvent de l’aubaine financière.2/ D’un côté le pacte de responsabilité allège les cotisations sociales des entreprises sans contre- partie quant à l’emploi et de l’autre les plus humbles sont ceux qui sont sacrifiés.
Que vient faire le pacte de responsabilité dans cette histoire ? Est-ce un amalgame involontaire ou malhonnêteté intellectuelle ? Les entreprises contribuent en effet au financement de la branche famille de la sécurité sociale. Toutefois, c’est une ineptie ! En quel honneur les seules entreprises devraient contribuer au financement des allocations familiales sous prétexte qu’elles embauchent des salariés ? Il n’y a aucune logique à relier activité salariée et financement des familles ! Cela revient à faire peser sur le coût du travail une charge qui ne lui est pas directement imputable.Si nous souhaitons continuer à financer les allocations familiales, de toutes sorte qu’elles soient, alors il doit s’agir d’une cotisation solidaire de tous les français, cotisation du type CSG ou TVA sociale.Enfin, je m’étonne de ne pas lire quelque offuscation sur le principe de réduction du congé parental.C’est bien là que le bat blesse, dans la proposition de loi !Une nounou, ou tout autre mode de garde permanent coûte, au bas mot, environ 1200 euros mensuels. Nous sommes là bien au dessus d’un SMIC, et très proche du salaire médian en France. Cela signifie que, avant les deux ans de l’enfant, il faudra sacrifier son salaire pour payer une nounou.Le congé parental permettait de suspendre le contrat de travail pendant 3 ans max, (sans donc toucher de salaire - mais au passage en continuant de bénéficier de la mutuelle employeur). La CAF prend alors le relais, en versant une indemnité de « libre choix d’activité ». Ce dispositif est très coûteux pour les finances publiques, et l’idée de le réformer n’est pas mauvaise.Toutefois, pourquoi ne pas garder la possibilité des 3 ans, et limiter l’indemnisation à 18 mois maxi ? L’économie est la même.Car désormais, le choix offert à un couple sera :A / l’un des deux démissionne, pour s’occuper de l’enfantou B :Reprend son travail, mais vas devoir verser 100% ou plus de son salaire en mode de garde (et devra en plus payer des impôts sur de l’argent qu’il ne touche pas vraiment, puisque les frais de garde ne sont déductible que pour moitié).Après travailler plus pour gagner plus, puis travailler plus pour gagner moins, on en arrive à arrêter de travailler pour ne pas perdre trop !!!On marche sur la tête !A moins que ce soit un moyen détourné, après la réforme des rythmes scolaires, pour renvoyer les femmes « au foyer », et laisser des emplois vacants ? Et ainsi inverser la fameuse courbe que personne n’ose plus nommer ?Révoltons-nous sur ce point précis.Ne touchons pas au congé parental de 3 ans, toutefois, réfléchissons à faire des économies sur ce dossier, en suspendant l’indemnisation par la CAF au delà des 12 à 18 premiers mois !-
C’est bien vous qui avez promotionné la dépense sans compter des assurances sociales......
Et ils croyaient que les entreprises allaient payer 2 fois plus en France qu’ailleurs pour payer des privilèges.....Tellement beau la vie sur le compte des autres.....Dur retour aux réalités...-
Une politique de régression sociale !Inéluctable, tous les pays en crise de UE en sont passés par là, pourquoi voulez vous que la France y rechape.
Arrêtons de faire l’autruche, et assumons le train de vie que nous nous étions offert sur le dos de nos progénitures.
-
Bonjour Chalot,
Cette aide est surtout une aide à la consommation, un coup de pouce de l’état aux entreprises qui vendent les fournitures nécessaires aux nouveaux nés...Ce sont ces entreprises qui seront impactées par cette mesure, pas les familles modestes qui pourront se procurer layette, poussettes et autres accessoires sur le marché de l’occasion ou auprès d’associations pour un prix dérisoire..Autre chose : est il raisonnable d’envisager une deuxième naissance (voire plus) quand le quotidien est déjà difficile, plutôt que de reporter celle ci, dans l’intérêt des enfants lorsque la situation matérielle le permettra ?Une réalité s’impose : Le poids de la dette réparti entre tous les français, nouveaux nés compris c’est 30 000 euros par personnepuis une autre : celle ci nous disent les économistes les plus compétents ne pourra pas être honorée... d’autant plus qu’elle s’accroit du fait des intérêts de 4 milliards par seconde !Maintenant dites moi comment vous comptez dans un pays quasi en défaut de paiement, continuer à payer des primes de naissances et autres prestations non essentielles (contrairement aux minimas sociaux, aides au logement, allocations chomage) lorsque le nombre de chomeurs, d’entreprises et de commerces qui ferment s’accroit chaque jour un peu plus... ?Dans certaines villes, villages on se croirait en grecemon fils cadet aimerait bien lui aussi avoir un deuxième enfant, il n’en a pas les moyens et ce n’est pas faute d’avoir un emploi, son épouse, ma belle fille ne trouve elle que des jobs en interim..Quand à mes deux filles, leur premier se trouve repoussé aux calendes grecques, conscientes qu’elles sont de la situation précaire dans laquelle nous nous trouvons qui ne garantit pas que nous puissions limiter la casse...Heureusement, nous ne sommes plus dans les années 40 et l’on peut programmer la naissance d’un enfant..Maintenant pensons aussi aux classes moyennes dites basses monoparentales, sans allocations familiales ni aides aux logement, assujetties à l’impot, et qui ne peuvent même pas emmener leurs enfants en vacances..peut on encore leur demander des efforts supplémentaires ? Comment vivent elles le fait que des familles se conduisent de manière irresponsables en s’offrant ce qu’eux se refusent tout en comptant sur leur aide ?-
Regression sociale ? Pas pour tous le monde…
Alors qu’on étrangle les familles en général et les pauvres en particulier, le pouvoir :- Exonère d’impôts ses « clients » : la baisse ou l’exonération de l’IR pour ceux qu’il ose nommer « les plus modestes », spoliant symboliquement les pauvres autant qu’il les spolie financièrement, bénéficie à des gens qui font parti des 50% les plus riches du pays.- Le blocage des loyers dans les centres villes bénéficie aux mêmes : qui a vu des rsaistes susceptibles de louer dans les centres historiques ?- La nouvelle loi écolo, va permettre de fortes économies d’impôt aux propriétaires, ayant les moyens de se payer une bonne isolation. On est à nouveau sur les un peu plus de 50% les plus riches. Bien sur, les très riches en profiteront aussi, mais en masse, c’est bien la classe moyenne sup socialisante qui nous coutera le plus cher.- et si on augment de 40 euro, en 2015 !, les retraités les plus pauvres et du même ordre pour les rsaistes, on a quand même trouvé de l’argent pour offrir un journée de carence aux gens qui votent en général à 70% comme il faut, sans connaitre la grande pauvreté ou la précarité.Je vous avais annoncé de longue date que pour faire croitre et embellir, ou au moins maintenir leur train de vie, les socialistes comprendraient assez rapidement que faire payer les riches ne suffit pas et qu’ils en viendraient très rapidement à racketter les pauvres.Nous y sommes.Il y avait UNE mesure, qui pouvait toucher de façon privilégiée leur clientèle. faire payer des droits d’inscription en classe préparatoire. Vous constaterez qu’on en entend plus parler à ma connaissance.Rarement une classe sociale aura été aussi loin dans l’exploitation, le cynisme de classe et le discours aliénant.Parce que le moins nauséabond dans ces comportements d’égoïsme pur, n’est sans doute pas qu’il prétendent à chaque fois faire cela au nom de l’égalité et pour « les plus modeste ».Mais le plus surprenant, c’est que vous, qui devez quand même avoir des bases de culture marxiste, ne compreniez pas d’où vient l’argent, ou il va et ce que cela signifie.Votre indignation est ponctuelle, partielle, alors qu’on a affaire à une logique cohérente, minutieuse, systématique.Quand vous aurez pris conscience, peut être comprendrez vous que compte tenu de l’inexistence des gauches de gauche sur le plan politique aujourd’hui, la lutte pour plus de justice sociale passe désormais par un ralliement aux droites de progrès.De plus en plus, vous ne pourrez pas dire que vous ne saviez pas….-
« la lutte pour plus de justice sociale passe désormais par un ralliement aux droites de progrès. »
-
Ouai ! Il y en a un qui suit !
Il faut voir que rester à gauche dans un avenir proche, va demander des efforts intellectuels de plus en plus exigeant ! L’obscurantisme réactionnaire n’est pas à la portée de tous les esprits, et certains ne pourront s’empêcher de réagir…On sait tous comment cela se passe dans les laboratoires d’idées de ces gens, ils ruminent, macèrent entre eux des concepts qui s’imposent ensuite de gré ou de force à tous ceux qui pourraient avoir la prétention d’être « à gauche autrement ».Pour que vous sachiez à quelles tortures intellectuelles vous allez êtres soumis dans un avenir proche, les futurs éléments de langage qui s’imposeront. Mieux que le « genre »« L’intersectionnalité » !!!!Et regardez les participants, toute la gauche pensant y est ! Que du beau monde… !Chalot ! Je vous passe le truc, continuez votre vrai travail social, mais commencez à penser à l’emballage « intersectionnant », les subventions seront bientôt à ce prix !Le GID organise à l’Ined une journée d’étude sur l’intersectionnalité en pratiques. Attention, le nombre de places est limité (salle Sauvy) et il faut s’inscrire.
Patrick
Le DIM "Genre, Inégalités, Discriminations" (GID)
a le plaisir de vous inviter à la journée d’étude
L’intersectionnalité en pratiques :
disciplines, méthodes et enquêtes
le vendredi 14 novembre 2014
Ined, 133 Bd Davout, Paris 20, Salle Sauvy
L’inscription en ligne est obligatoire.
Programme complet du colloque en fichier attaché et sur la page dédiée : http://www.gid-idf.org/files/file_file_1724.pdf
— -
éric défenseur des oppressions contre la vrai liberté : c’est à dire l’absence d’oppression.
Monsieur est scandalisé que des gens se préoccupent des diverses oppressions, de la façon dont elles interagissent.
Et après ça clame que ça défend la liberté, la liberté oui celle d’opprimer. Bref oui quelqu’un bien de droite, qui défend la licence, le privilège avec la liberté.
-
la gauche est libérale à la base, d’ailleurs on voit que tu n’aime spas la liberté car tu appelles « licence » toute trop grande liberté, non sérieusement la liberté n’est pas absolue, ne fais pas croire que ton collectivisme bolchevique soit garant de la liberté ce n’est pas vrai, le libéralisme comme le collectivisme soumet les gens à quelque chose. mais tu devrais être content car le libéralisme défend les libertés individuelles contre tous groupe ou autorité, l’oppression libérale découle de la liberté, chacun est libre (donc d’oppresser aussi) mais a en même temps les mêmes droits pour pouvoir dominer, donc pas de licence.
-
Ceci dit, viser la stabilité démographique, sinon sa décroissance, n’est pas complètement idiot. Qui peut croire à une croissance infinie dans un monde fini ?
-
CHALOT
Tu ne devrais pas etre étonné, vu ton age et ton experience (comparé a moi). Mais pourquoi j’ai l’impression que tu as cru au pere noel ?
Le changement c’était pas en arrondissant des angles en 80’s, c’était bien plus que ca. Maintenant tu t’étonne ? Tu ne devrais pas.
Quand j’arrivais au monde, vous croyiez changer, mais ce n’était que le début d’un boulversement.
A 15 ans on me moralisait sur le civisme.... J’avais deja sentis le mauvais vent, mais on me rétorquait que « je devais grandir pour comprendre ». Bien j’ai grandit, et j’ai compris, enfin j’ai pas changé et je vois la meme chose surtout. La morale de la generation babyboom, je la met la ou je pense. Surtout qu’ensuite c’était « bha, la retraitre, vous l’aurez pas c’est sur ». Ils le savaient déja.Nous y sommes, pour beaucoup d’entre vous, c’est deja terminé, mais pour la génération a suivre, c’est finit.
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
Ajouter une réaction
Pour réagir, identifiez-vous avec votre login / mot de passe, en haut à droite de cette page
Si vous n'avez pas de login / mot de passe, vous devez vous inscrire ici.
FAIRE UN DON