Vitali Klitschko, maire de Kiev, et les nazis Stepan Bandera & Roman Choukhevytch

@Olivier Perriet « Glorifier des comportements d’aujourd’hui qui rappellent ceux des nazis (la guerre d’invasion de Poutine), en prétendant combattre les nazis d’avant hier (Bandera), telle est la mission des poutiniens »

C’est bien le coup d’état militaire américain de février 2014 à Kiev, et l’instauration de lois anti-russes qui ont mis le feu aux poudres. Les régions à majorité russophones ont refusé cette soumission du pays à l’Amérique.

Les USA et l’Union Européenne pensaient exterminer silencieusement la population civile du Donbass avec le financement militaire de la junte de Kiev par les gouvernements français et américain et éradiquer ainsi toute influence russe. 

Tous ces crânes défoncés d’enfants, ces entrailles dispersées de femmes, ces cerveaux broyés de vieillards, ces corps disloqués, coupés en deux, calcinés, sur les routes de Lougansk ou de Donetsk pendant plus de huit ans n’ont intéressé ni l’Occident, ni l’UE, ni les Américains, ni l’OTAN, ni Amnesty International :

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Torture de prisonniers civils par des milices ukrainiennes dans les prisons du Donbass pendant des années, dans l’indifférence générale

Zelensky, Porochenko et les dirigeants qui les ont soutenus devront être jugés pour crime contre l’humanité.

@Jonas

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@Jonas
C’est bien le coup d’état militaire américain de février 2014 à Kiev, et l’instauration de lois anti-russes qui ont mis le feu aux poudres. Les régions à majorité russophones ont refusé cette soumission du pays à l’Amérique.

Pourquoi avoir attendu 8 ans pour s’aviser d’un génocide en cours ?
Cette « analyse » ne tient pas une seconde et n’est qu’une nouvelle pitoyable pirouette réthorique

à vrai dire je m’en fiche un petit peu, vous devez répondre à Jonas

@Olivier Perriet « Pourquoi avoir attendu 8 ans pour s’aviser d’un génocide en cours ? »

Parce que pendant 8 ans, on a tenté de trouver des solutions diplomatiques au conflit (accords de Minsk), qui n’ont rien donné, puisque Angela Merkel, chancelière allemande à l’époque et signataire des accords, a avoué dans un entretien pour le journal « Die Zeit » que ces accords c’était du pipeau pour gagner du temps et armer l’Ukraine.
Il n’y a en fait jamais eu de volonté de paix de la part des occidentaux, mais un plan pour détruire toute influence culturelle et économique russe en Ukraine.

@Olivier Perriet
N’est-ce pas vous qui êtes pitoyable ?

Reprenons donc les écrits d’un historien spécialiste du nationalisme ukrainien (Rossolińsli-Liebe) ; que dit-il (en 2012, avant même les tensions avec les russes) ?

Au lendemain de la dissolution de l’URSS, de nombreux monuments consacrés aux victimes des nationalistes ukrainiens ou aux héros de l’Union soviétique se sont trouvés remplacés par des monuments consacrés à Bandera et aux “héros” de l’OUN et de l’UPA.
Allez on va donc traduire pour les idiots : depuis la fin de l’URSS, des monuments à l’effigie des héros ou des victimes ayant combattu le nazisme ont été remplacé par des monuments à l’effigie des nazis de l’époque. Comme cela est totalement anodin pour les idiots du village on va continuer ...

Bandera et les nationalistes révolutionnaires ukrainiens sont redevenus des éléments importants de l’identité ukrainienne occidental. [...] Non seulement les militants d’extrême d.roite, mais aussi le courant dominant de la société ukrainienne occidentale, y compris les enseignants du secondaire et les professeurs d’université, considéraient Bandera comme un héros national… dont la mémoire devait être honorée pour sa lutte contre l’Union soviétique
Pour ceux qui s’informent un minimum, l’OUN et l’UPA sont des groupes nazis depuis 1929 (il n’y a donc aucun lien avec la recherche d’un allié de circonstance, l’OUN et l’UPA ayant participé historiquement à des attentats et des meurtres dans l’intérêt du III Reich avant même la guerre). Et bien entendu, le fait que la culture des nazis de l’OUN et de l’UPA soit un élément déterminant des enseignants n’a pas d’incidence sur l’apprentissage de la jeunesse ukrainienne occidentale.

La politique mémorielle postsoviétique en Ukraine a complètement ignoré les valeurs démocratiques et n’a développé aucune sorte d’approche non apologétique de l’histoire.
JE résume pour les idiots : l’Ukraine occidentale n’a rien fait d’autre depuis 1991 que faire l’apologie des nazis ukrainiens de la seconde guerre mondiale. Certes c’est certainement gênant pour des abrutis incultes que de savoir qu’ils soutiennent des nazis et néo-nazis, mais les faits historiques sont là !

Quant à l’occident, exemplaire pour les idiots incultes, reprenons donc les liens entre l’occident et les nazis ukrainiens :
Iaroslav Stets’ko, qui « avait écrit des lettres au Führer, au Duce, au Poglavnik [le plus haut nazi croate] et au Caudillo [Franco], leur demandant d’accepter l’État ukrainien nouvellement proclamé, s’est fait désigner en 1966 citoyen d’honneur de la ville canadienne de Winnipeg
Cela devrait alerter sur des faits historiques des personnes un minimum censées et objectives, mais aujourd’hui ce sont des caractéristiques très encombrantes.

Continuons donc :
Le 11 juillet 1982, pendant la semaine des nations captives, le drapeau rouge et noir de l’OUN-B, introduit lors du deuxième grand congrès des nationalistes ukrainiens en 1941, a flotté au-dessus du Capitole des États-Unis.
Cet historien doit être un abruti pour insérer une telle affirmation, jamais un pays démocratique (exemplaire en matière de démocratie) n’affichera un tel penchant pour la nazisme, si ?

En 1983, Iaroslav Stets’ko

est invité au Capitole et à la Maison-Blanche, où George Bush et Ronald Reagan reçoivent le dernier premier ministre d’un État ukrainien libre, c’est-à-dire qui avait existé sous le contrôle du Troisième Reich.
Mince, les faits historiques semblent tenaces mais ce doit être une invention pure et simple.

Recherchons plus loin pour les idiots inutiles qui ne savent que bêler avec le troupeau, cela pourrait être important, même si j’en doute (idiot un jour, idiot toujours) :
L’alliance entre l’impérialisme canadien et le fascisme ukrainien s’incarne de la manière la plus frappante dans la personne de Chrystia Freeland, vice-première ministre, ministre des Finances et principale architecte de la politique étrangère « féministe » du Canada.

Dans un article de 2015 intitulé « Le grand mensonge de Poutine », Freeland s’est décrite comme un « membre fier » de la communauté ukrainienne canadienne. Elle a écrit : « Mes grands-parents maternels ont fui l’Ukraine occidentale après qu’Hitler et Staline ont signé leur pacte de non-agression en 1939. Ils n’ont jamais osé y retourner, mais ils sont restés en contact étroit avec leurs frères et sœurs et leurs familles, qui sont restés sur place. Pour le reste de leur vie, mes grands-parents se sont considérés comme des exilés politiques ayant la responsabilité de maintenir en vie l’idée d’une Ukraine indépendante, qui avait existé pour la dernière fois, brièvement, pendant et après le chaos de la révolution russe de 1917. Ce rêve a persisté jusqu’à la génération suivante, et dans certains cas jusqu’à la génération d’après. »

Cette histoire – qu’elle a souvent répétée, souvent accompagnée d’hommages touchants à son grand-père et au rôle qu’il a joué dans son éducation à la culture et au nationalisme ukrainiens – est un faux récit politiquement motivé. En bref, un mensonge.

Le grand-père maternel de Freeland, Mykhailo Chomiak, était un collaborateur nazi influent et grassement récompensé. Pendant cinq ans, du début de 1940 aux premiers mois de 1945, il a édité le seul journal en langue ukrainienne de la Pologne occupée par les nazis. Krakivs’ki Visti (Nouvelles de Cracovie) faisait l’éloge d’Adolph Hitler, célébrait la guerre d’extermination nazie contre l’Union soviétique, encourageait la haine envers les Juifs et encourageait la formation de la division ukrainienne ou « division Galicie » de la Waffen SS. Il était imprimé sur une presse volée à un Juif qui a péri dans un camp de la mort nazi.

Chomiak était membre de l’OUN (M), dont Bandera et ses partisans se sont séparés en 1940. L’OUN (M) était encore plus disposée à servir directement et servilement les nazis que l’OUN (B). Elle le faisait par le biais du Comité central ukrainien (UTsK), qui se déguisait en organisation d’aide sociale pour éviter l’interdiction des organisations politiques par les nazis. Le dirigeant de l’UTsK, Volodymyr Kubijovych, était l’éditeur de Krakivs’ki Visti. Lorsque la 14e division de grenadiers de la Waffen SS, appelée division Galice, a été créée au début de 1943, Kubijovych a été son premier membre officiellement enrôlé.

La division Waffen SS Galicie a été exfiltrée par les anglo-saxons malgré le jugement sans appel pour crime de guerre et crime contre l’humanité de Nuremberg. Ils ont trouvé refuge au Canada, le réceptacle étant l’UCC. Et on revient donc aux fameux citoyens d’honneur nazi de Winnipeg comme aux statuts à l’effigie des nazis ukrainiens dans certaines villes du Canada.

Le seul problème dans cette histoire c’est que les faits historiques sont sans appel. Et quand j’entends aujourd’hui parler d’article qui exonèrent Bandera de sa tendance nazie, c’est comme si l’Allemagne se mettait à construire des statuts en l’honneur de Goebbels et vénérait ses amis ... mais avec des générations d’incultes patents rien de plus facile.

@Mozart

Que Stepan Bandera fut interné 3 ans dans le camp de déportation de Schachenausen pour son manque d’implication voir même son refus d’adhérer au nazisme et qui sitôt libéré il demanda à ses troupes de combattre à la fois les allemands et les russes.

Oulah, c’est quoi ces histoires issues d’un conte de fée ?

En effet, Bandera fût enfermé par les allemands, non pour son manque d’implication mais pour avoir voulu une Ukraine indépendante du IIIème Reich ; relisez un minimum vos références historiques si vous en avez.

Il a été libéré pour qu’il rejoigne l’UPA afin de lutter contre l’avancée russe (ou bolchévique), ce qu’il a fait avec plaisir. Il a même travaillé pour les occidentaux (principalement les américains) depuis Munich contre l’URSS, guerre froide oblige. C’est justement pour lutter contre le communisme que la Waffen SS Galicie a été accueillie au Canada. Vous semblez avoir raté un épisode de l’histoire, ou du moins oublié ce qui vous gêne sans doute, vu votre honnêteté et votre soutien au nazisme.

@Mozart

La Crimée, lors du même référendum a voté à 55% pour son indépendance avec l’Ukraine assortie d’une autonomie au sein de l’entité, chose qui fut acceptée par l’Ukraine.

Dites moi, pourriez vous m’expliquer en quoi une nation indépendante de l’Ukraine serait-elle assortie d’une autonomie au sein de l’Ukraine ? Il y a comme une incohérence dans vos propos. Quand on est indépendant on n’a plus rien à voir avec le pays dont on s’est détaché.

Pour les % vous faites erreur, en 1991, la Crimée avec 98% de votants par rapport aux inscrits a voté à 88% pour son indépendance de l’Ukraine.

@Mozart

Tout d’abord le fait de dire que l’OUN et l’UPA étaient nazis : Fascistes sans doute, mais pas nazis. Elles prônaient un nationalisme exacerbé, point final.

En 1929, l’OUN a été créée en Italie sous la protection d’un certain Mussolini. Elle était nationaliste, en effet mais elle prônait aussi l’épuration ethnique par le meurtre et elle demandait l’éradication des juifs et des bolchéviques qui selon leurs propre écrits se rapportaient à un complot judéo-bolchévique contre l’Ukraine.

Les nazis allemands avaient exactement la même approche dans leurs codes et leur approche génocidaire.

Que ce soit par la suite l’OUN-M ou l’OUN-B ils se sont alliés aux nazis allemands par conviction politique et pas pour autre chose.

Vous parlez de Wasserstein alors que son seul ouvrage dédié à l’Ukraine a été édité en ... 2023, emprunt d’une dialectique propagandiste occidentale. Donnez au moins une référence d’avant 2014 ou au moins avant 2022, aujourd’hui des soit disant spécialistes de l’Ukraine qui ne connaissaient à peine ce pays fleurissent pour parler dans le sens du narratif occidental ou russe.

Les organisations n’avaient pas été désarmée parce que même avec Bandera prisonnier dans un camp, l’UPA a continué à mener ses actes génocidaire.

Vos chiffres pour les engagés chez les nazis n’ont strictement aucun intérêt ; pas un seul SS russe n’est vénéré en Russie, aucun n’a son nom pour une avenue principale de Moscou et aucun n’a des statuts à son effigie en Russie. La différence est là mais vous êtes bien incapable de voir, incapable de vous détachez de ce conflit pour y voire les véritables faits historiques. Vous cherchez à manipuler des chiffres sans aucune signification pour aujourd’hui pour vous extraire de votre soutien indéfectible au nazisme ukrainien.

Bandera était considéré comme un criminel de guerre, un criminel contre l’humanité par le tribunal de Nuremberg (sans doute un tribunal mal informé). Pourtant il a travaillé pour les USA depuis l’Allemagne contre les intérêts soviétiques en Ukraine jusqu’à son assassinat par le KGB. Sacré protection pour échapper à son jugement, vous ne trouvez pas ? Ah oui, les anglo-saxons l’ont protégé, comme ils ont protégé les nazis ukrainiens dont le grand père de la vice première ministre canadienne ... mais cela aussi c’est un fait que vous feignez d’ignorer.

@Mozart

Savez-vous lire ou dois-je me répéter : Bandera n’était pas un SS comme le million de russes, mais un membre de la Werhmacht.

mdrrr, vous lisez quelle histoire, celle qui est réécrite par les anglosaxons ?

Bandera était un SS et cela est confirmé par les écrits historiques d’avant cette foutue guerre. Certes, je conçois qu’aujourd’hui l’occident et les anglo-saxons principalement ré-habilitent ce SS avec l’aide d’historiens complaisants mais cela ne changera rien aux faits historiques.

Lorsque je cite un historien, je cite l’unique expert du nationalisme ukrainien, Rossolińsli-Liebe, docteur en histoire dont la thède de doctorat repose sur l’analyse poussée de Stepan Bandera. Avez-vous lu sa thèse ?

Avez-vous lu The Stepan Bandera : Life and Afterlife of a Ukrainian Nationalist. Fascism, Genocide, and Cult, Stuttgart : Ibidem-Verlag. 654 p

Je ne vous parle ps d’un histoiren de pacotille qui vient d’éditer un ouvrage sur l’Ukraine en 2023, mais d’un historien et historiographe qui ne fait des recherches que sur le nationalisme ukrainien, et cela depuis plus de 20 ans.

Vous venez me parler d’un historien inconnu, britannique qui vient d’éditer son premier livre sur l’Ukraine pendant la guerre de propagande, autant dire un ouvrage qui pourrait avoir un quelconque intérêt mais qui laisse penser que cet historien n’est rien d’autre qu’un historien qui surfe sur la vague propagandiste anglo-saxonne.

Les références ... mais que croyez-vous, le travail de Rossolińsli-Liebe est documenté, il démontre le nazisme de Bandera même si à un moment il y a eu dissentions avec les SS allemands cela n’efface en rien les idées nazies de Bandera. Goebbels aussi était nationaliste cela ne l’exonère en rien de son penchant nazi, si ?

Bandera étéait même un des pires SS dans les SS ... selon certains SS allemands. Lisez des ouvrages historiques de spécialistes de ces mouvements, pas des ouvrages d’historiens qui prônent plus les aspects politiquement corrects du moment. Si mes souvenirs sont bons, l’Holodomor est une création américaine par un propagandiste anti-soviétique et un historien grassement rémunéré pour ses élucubrations dans les années 80 ; c’est une simple ré-écriture de l’histoire qui amoet de perler des grandes famines des années 31 et 32 qui ont touché certes l’Ukraine mais toute la Russie, l’Amérique du Nord et même une partie de l’Europe.

En fait vous utilisez juste des discours d’historiens non spécialistes du domaine mais qui ont le bon discours propagandiste du moment pour avancer vos argument fallacieux. Cela fait bien longtemps que vous soutenez le nazisme ukrainien, avant même que cet ouvrage de cet historien non spécialiste ni de l’Ukraine ni du nationalisme n’écrive cet ouvrage de propagande.

@Mozart
Etre juif ne lui octroie pas de statut particulier. C’est comme si vous considériez Bernard Henry-Levy comme un philosophe. Désolé, c’est un écrivain mais il n’a rien d’un philosophe, sa judaïcité ne lui donne pas un statut particulier. C’est un écrivain va-t’en guerre qui ne défend que des thèses sionistes et anti-russes.

@Mozart
Vous connaissez Mykola Lebed ? C’était un ami de votre SS préféré, Stepan Bandera, un des dirigeants de l’OUN-B.

Lebed a été impliqué avec Stepan Bandera dans l’assassinat du ministre de l’Intérieur polonais Bronislaw Pieracki, en 1934 pour lequel il fut condamné à mort puis à la prison à vie, avant d’être libéré par l’attaque allemande contre la Pologne. La Gestapo entraîna Mykola Lebed et les bandéristes (dont Stepan Bandera) au sabotage, à la guérilla et aux assassinats à Zakopane.

L’OUN-B est responsable de massacres à l’encontre des Juifs et des Polonais de Volhynie et de Galicie avec Stepan Bandera toujours ...

Pour revenir à Mykola Lebed, bien qu’un rapport du Counter Intelligence Corps dévoile son passé de « bourreau bien connu et de collaborateur des Allemands », Mykola Lebed émigra aux États-Unis et vécut à New York où il travailla avec la CIA jusque dans les années 1960, pour fournir à celle-ci des renseignements par l’intermédiaire de sa société Prolog Research Corporation.

Ce sont ces gens là que vous défendez encore aujourd’hui, grand bien vous fasse, mais vous êtes tout aussi nazi qu’eux.